Mise en tourisme CR 10 février 2016

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Mise en tourisme CR 10 février 2016
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SCHEMA DEPARTEMENTAL DU TOURISME FLUVIAL
ATELIER N°1 MISE EN TOURISME ET MARKETING
Compte-rendu
Deuxième réunion du mercredi 10 février 2016 à la Mairie de Libourne
La réunion est introduite par M. Jean-Philippe LE GAL, élu de la Mairie de Libourne, Vice-président de
la CALI et Président de l'Office de Tourisme du Libournais. Il présente la stratégie de la ville de
Libourne, actuellement en travaux, non seulement pour améliorer la qualité de vie des habitants
mais aussi pour mieux accueillir les touristes, notamment les croisiéristes. Libourne se positionne en
complément de Saint Emilion et réaménage ses quais avec l'acquisition d'un deuxième ponton pour
1,5 millions d'euros et un autre ponton qui sera destiné aux day cruises1. La ville travaille également
en lien avec l'Office de Tourisme du Libournais qui met en place des formations en anglais à
destination des commerçants dans le cadre du programme "Thank you for coming", en partenariat
avec la CCI. Il s'agit également de mettre en place des produits en partenariat avec l'Office de
Tourisme du Grand Saint Emilionnais ou Gironde Tourisme. On assiste donc à une nouvelle
dynamique touristique pour la ville de Libourne.
Alain Vivien, directeur d'Arcachon expansion et animateur de l'atelier, précise que le programme des
ateliers initialement prévu a été modifié car les participants se sont beaucoup impliqués. Le troisième
atelier "mise en tourisme, marketing" est donc remplacé par un atelier commun le jeudi 31 mars à
Lormont. Il remercie également le SMIDDEST et VNF pour les études menées qui ont permis d'enrichir
la réflexion.
Muriel DUROURE, chargée de mission au Département en charge de la coordination du schéma du
tourisme fluvial, revient sur les rencontres nationales du tourisme fluvial auxquelles elle a participé
avec Cédric NAFFRICHOUX, adjoint du directeur en charge de l'itinérance à Gironde Tourisme.
Beaucoup de problématiques sont similaires sur les autres bassins de navigation contrairement à ce
que l'on pourrait croire. Ces rencontres organisées par VNF ont permis de prendre des contacts et de
faire le point sur les initiatives locales qui pourrait servir d'exemples dans le cadre du schéma.
Jean-Marie MARCO, directeur de Gironde Tourisme, insiste sur les produits du tourisme fluvial qui
font la richesse de l'offre et sur la nécessité des partenariats publics-privés. Il cite l'exemple d'un
produit actuellement en cours de création qui lie la navigation à la découverte des vignobles en vélo.
Alain Vivien invite les participants à définir les facteurs d'attractivité de la destination.
Guy-Petrus LIGNAC, président de l'Office de Tourisme du Grand Saint Emilionnais, donne l'exemple
du ponton de Branne qui est un bel aménagement mais accueille peu actuellement. Il est nécessaire
d'envisager des solutions.
Philippe DURAND-TEYSSIER, maire de Lalande de Pomerol, souhaite intervenir pour montrer les
incohérences administratives de l'organisation des territoires loin des préoccupations des touristes.
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Day cruise : bateau promenade à la journée.
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L'appellation Lalande de Pomerol est en effet coupée en deux à cheval entre le territoire de la CALI et
celui de la CDC du Grand Saint Emilionnais. Un projet lié au fleuve il y a deux ans s'est trouvé
confronté à cette réalité. Il attire aussi l'attention sur le golf du Grand Saint Emilionnais à GARDEGAN
ET TOURTIRAC, 7ème golf de France qui pourrait être mis en lien avec les croisiéristes.
Il note que les chemins de randonnées, source de diversification, ne sont pas en état.
Catherine MOUMDJIAN du port de Libourne-Saint Emilion présente cet équipement qui accueille
tous types de bateaux. Elle précise cependant que la cohabitation sur un même ponton ne semble
pas possible car la priorité est toujours donnée au paquebots fluviaux. C'est pourquoi un autre
ponton sera dédié aux day cruises à Libourne. Elle fait part des pêcheurs professionnels prêts à
amener des touristes et note que les croisiéristes sont de plus en plus à la recherche de produits
typiques.
Paul MORHAIN , directeur de l'Office de Tourisme de Montesquieu fait part d'un projet de ponton
sur son territoire. Il souhaite partir avant tout des attentes des clients et mettre en avant ce qui
existe : il faut identifier les grands sites accessibles aisément depuis les pontons car le centre
d'intérêt des croisiéristes n'est pas exclusivement centré sur le vin. Il est également important de
faire comprendre aux gens ce qu'ils peuvent voir depuis le fleuve. Enfin, il faut faciliter l'accès aux
opérateurs privilégiant l'offre groupe.
Alain Vivien suscite un tour de table pour que les participants présentent la spécificité de leur
territoire ou définissent les spécificités communes à la destination.
Dominique ARGANS, directeur de l'Office de Tourisme de Sauternes Graves Landes Girondines - SUD
GIRONDE, décrit un territoire alliant le vignoble, le patrimoine historique. Il associe le Bazadais avec
sa cathédrale et l'image des "Gascons de Bordeaux" en lien avec la tradition. Il est nécessaire de
déterminer qui accueille les croisiéristes lorsqu'ils accostent, mettre en scène l'offre et ne pas
simplement proposer une liste de prestataires.
Rémy DAGES de Spirit of Bassin - BASSIN D'ARCACHON, fait le parallèle avec le fait que les touristes
ne recherchent pas que les châteaux viticoles : sur le Bassin, tous ne sont pas intéressés par
l'ostréiculture. Le Bassin d'Arcachon est actuellement complémentaire de la destination Bordeaux et
de la Gironde. Il faut faire découvrir la façade balnéaire de manière différente.
Céline MAISON, Office de Tourisme du Cadillacais et du Langoirannais - ENTRE DEUX MERS, souhaite
que le positionnement marketing montre que le fleuve a façonné les paysages. CroisiEurope a été
charmé par l'accostage à Cadillac parce que le coteau donne à voir un beau paysage.
Patrick LACAMPAGNE, CDOS 332 (Comité de pêche sportive), précise que le Comité Olympique
représente quatre type de sports nautiques. Il voit des possibilités de lien avec la pêche
complémentaire au tourisme fluvial qui peuvent être rapprochées des réflexions de la CDESI3.
Aurore DALLA SANTA, directrice de l'Office de Tourisme de l'Entre-deux-Mer, évoque l'idée que le
fleuve a permis la commercialisation du vin dans l'histoire. Le principal atout de l'Entre-deux-mers
est d'offrir un important réseau de vélo et de randonnées. Il faut poursuivre la présentation de l'offre
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CDOS 33 : Comité Départemental Olympique et Sportif de la Gironde.
CDESI : Commission Départementale des Espaces, Sites et Itinéraires.
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groupe aux croisiéristes comme le permettra le futur site à vocation professionnelle cruisebordeaux.com : une offre en cercle autour des pontons a été déterminée par les territoires.
Céline MAISON, insiste également sur le fait qu'il faut caler les produits sur le temps d'escale.
Il faut remarquer que les opérateurs s'intéressent de plus en plus à des offres intimistes. Mais il est
nécessaire de faire un travail plus précis avec les day cruises pour cadrer leur contraintes techniques
et attentes.
Christophe TISSINIER, agence Bordeaux Excellence, précise qu'il faut avoir conscience que les
compagnies connaissent bien les territoires par l'intermédiaire de leurs agents locaux. Il faut selon lui
axer les efforts sur les conditions d'accueil au ponton. Il avait l'opportunité par exemple de proposer
des soirées de gala dans les châteaux du Médoc mais les conditions de débarquement à Cussac sont
trop aléatoires notamment hors saison en cas de mauvais temps. Il faut donc sécuriser les conditions
d'accès aux pontons. Il confirme également que la demande des compagnies s'oriente de plus en plus
vers les pistes cyclables (10 à 30 km à partir du ponton). D'ailleurs, de plus en plus d'opérateurs ont
des vélos à bord. Leur intérêt ne réside donc pas exclusivement dans les sortie en autocars qui reste
le tronc commun (30 à 40 personnes). Il ya également de la demande pour des sorties randonnée en
petits groupes. L'art de vivre à la française est aussi un axe fort : cours de cuisine par exemple. En
2017, la compagnie Chrystal a entièrement défini son programme en fonction des jours de marchés.
Les programmes se heurtent cependant au manque d'ouverture le dimanche et le lundi.
François GRAVIÉ-PLANDÉ, association Aqui Naus, fait valoir que le lien au territoire constitue la
spécificité de Patiras ou de l'île Nouvelle. Les bateaux à voiles traditionnels sont également un atout
pour l'image de la destination ainsi que le "marin" lui-même. Il faut jouer sur la taille des groupes
pour mettre en avant le "bateau", rendre le touriste acteur et lui faire vivre une expérience
participative. C'est donc en toute logique que le travail avec les offices de tourisme peut se faire pour
valoriser le territoire. Le bateau traditionnel est un spectacle qui contribue à la bonne image de la
destination recherchée par les gros opérateurs. On peut parler de coopétition. Il signale par ailleurs
une erreur dans le précédent compte-rendu.
Pour Dominique REYNET du bateau Arawak, il faut mettre en avant l'Estuaire qui est le plus grand
d'Europe. L'Arawak permet la navigation en milieu fluvio-marin. A bord, il est possible de déguster les
produits locaux et de participer à de la pèche pédagogique au thon en septembre, comme autrefois.
Elle rappelle qu'il s'agit d'un voilier classé au patrimoine maritime. Ils font intervenir d'anciens
pécheurs qui témoignent et organisent des ateliers de matelotage avec l'association des amis du
vieux Lormont.
François GRAVIÉ-PLANDÉ rappelle aussi qu'il existe des chantiers de charpentage, gardiens des
savoir-faire, tels que les chantiers ARPEJE à Bordeaux ou TRAMASSET, même s'ils ne sont pas faciles
d'accès.
Céline MAISON, Office de Tourisme du Cadillacais et du Langoirannais, fait part d'un projet de
parcours sécurisé sur les chantiers de TRAMASSET sous forme de sentier d'interprétation avec un
système audio qui reprendra la mémoire des anciens.
M. Guy-Petrus LIGNAC, président de l'Office de Tourisme du Grand Saint Emilionnais, souligne
également la difficulté pour la cité de ne pas être exclusivement associée au vin et de faire connaitre
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son exceptionnel patrimoine souterrain. Ainsi, dans le plan marketing, quelle image de Saint Emilion
doit être mise en avant : vignoble ou patrimoine ? Il rejoint l'idée que le développement du vélo et
de la randonnée est primordial. Il souligne aussi le besoin du partenariat avec Libourne qui est une
porte d'entrée.
Pour Paul MORHAIN , directeur de l'Office de Tourisme de Montesquieu, les destinations locomotives
doivent rester le premier temps de la communication. Puis dans un second temps, il s'agit de mettre
en avant la diversité de l'offre.
Catherine MOUMDJIAN du port de Libourne-Saint Emilion, précise que des aménagements urbains
sont nécessaires pour bien accueillir les passagers avec des circulations douces. Ces aménagements
doivent se faire en concertation avec les grandes compagnies pour bien connaitre leurs attentes.
Une proximité immédiate avec le centre-ville est nécessaire.
Céline PAULY, chargée de mission tourisme pour la CALI - LIBOURNAIS, fait part d'aménagements
également en cours avec la Véloroute V90 et les itinéraires de randonnées qui seront à disposition
des croisiéristes. Il faut que les offices de tourisme continuent à faire connaitre l'offre disponible aux
opérateurs. Il faut communiquer sur les blockbusters puis mettre en avant la "french touch".
Philippe DURAND-TEYSSIER, maire de Lalande de Pomerol - LIBOURNAIS : grande richesse du
patrimoine girondin portée par Bordeaux. Cependant, Saint Emilion est une sorte de miroir aux
alouettes qui détourne les touristes des petites communes et appellations. Pourtant, il existe des
petits viticulteurs prêts à accueillir. Il faut aussi prendre en considération la LGV.
Sylvie DUPUY-MOREL, mairie d'Arveyres - LIBOURNAIS fait part du projet de nouveau ponton sur sa
commune. Leur préoccupation est principalement de garantir un bon accueil en rénovant le
patrimoine bâti en face du lieu d'accostage. Elle souligne l'importance de l'image véhiculée par le
Mascaret qui fait la spécificité de nos fleuves. Il faut selon elle donner envie aux locaux de
"consommer la rivière" qu'ils ont perdu de vue.
Johana FAGET, SEM Maison du Tourisme et du vin de Pauillac - MEDOC. La principale difficulté est de
faire connaitre l'offre aux compagnies. Il serait nécessaire d'avoir des liens plus étroits avec les
commissaires de bord pour faire connaitre l'offre aux clients qui ne partent pas en excursion. Elle
confirme la tendance à traiter des groupes de plus en plus petits. Il faut également un accueil au plus
prêt (l'Office de tourisme est éloigné de l'accostage) : ainsi, un accueil à la capitainerie est prévu
cette année. Elle dote aussi la nécessité de renforcer les partenariats avec les day cruises. Ils
travaillent également sur un document incitant les plaisanciers à aller découvrir la ville.
Pour Elsa RIVAIN de Luxury Wine Experience, il est nécessaire de créer des circuits fluides pour mieux
faire connaitre les différents produits et de diversifier pour s'orienter vers une offre plus
expérientielle en s'appuyant sur l'aspect historique. Leur agence a de plus en plus d'intérêt pour le
tourisme fluvestre car leur positionnement est haut de gamme.
Véronique SECABA de la mairie de Ludon Médoc, fait part du potentiel de sa commune située en
bordure de la Garonne qui était nommée autrefois "Port Ludon". Il existe un potentiel diversifié avec
l'oenotourisme (château d'Agassac), des visites possibles d'une tonnellerie, des randonnées, et un
marais, espace naturel géré par la Fédération Départementale de chasse. Les chasseurs font
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découvrir les tonnes à canards. Elle rappelle la proximité du golf du Pian Médoc. Cependant il n'existe
pas de structuration de l'offre sur la commune.
Sandra CHARRIE, Office de Tourisme du Libournais, rappelle que le positionnement de Libourne est
"Bastide portuaire". Celle-ci est accessible à pied et le marché en fait la spécificité en lien avec le
commerce local. Un tourisme expérientiel peut donc se développer pas uniquement fondé sur la
découverte du patrimoine qu'il faut associer au vélo ou à la dégustation. Il faut donc être innovant
sur les produits et faire connaitre l'offre d'animation sur les bateaux. Jusqu'à présent les outils se
mettaient en place avant la stratégie pour faire face à l'accroissement de l'activité. Maintenant une
ligne directrice se dessine.
Catherine MOUMDJIAN précise que Libourne se révèle et se tourne à nouveau vers son fleuve grâce
à l'arrivée des croisiéristes.
Paul MORHAIN , directeur de l'Office de Tourisme de Montesquieu, s'interroge : le tourisme fluvial
est-il systématiquement une opportunité ? La seule opportunité ? Quelle hiérarchie faut-il sur les
investissements touristiques du département par rapport aux pistes cyclables et aux chemins de
randonnées ?
Aurélie PANCAUT, Office de Tourisme du Pays Foyen - LIBOURNAIS dresse les points forts de leur
territoire : la bastide, le port à Port Sainte Foy, l'itinérance et les vélos à assistance électrique ainsi
que bateau promenade de 20 à 25 places. Le positionnement est "portes de la Dordogne",
destination familiale et nature. Depuis l'année dernière c'est mise en place une fête de la rivière.
Justine QUETIER, Contrat de destination rivière Dordogne : souhaite étudier les complémentarité
avec le contrat de destination Bordeaux. Elle rappelle que la Dordogne a été classée réserve de la
biosphère par l'UNESCO.
Jean-Claude SELLIER, canoë RABASKA rappelle qu'il propose des balades au fil de l'eau pour des
groupes de 15 personnes. L'idée est de se positionner sur une navigation "comme au temps des
gabarres" en lien avec le musée de la batellerie à Port-Sainte-Foy. Il faut donc refaire vivre le
patrimoine et utiliser les cales à bateaux.
Magali PAUTIS du SMIDDEST rappelle que leur étude a surtout porté sur les questions logistiques et
les infrastructures, moins sur la mise en tourisme. Pour elle, cette dimension est plutôt à traiter par
le Département et Gironde Tourisme. Il faut raisonner à l'échelle de l'ensemble du bassin en faisant
le lien avec la Charente Maritime. Le positionnement du SMIDDEST tourne autour de la diversité de
l'estuaire et de son coté "extraordinaire" (dimension hors normes). Il faut également vendre
l'estuaire comme un "espace naturel". Elle rappelle que le site Internet du SMIDDEST embarque un
module qui reprend l'ensemble des croisières des days cruises en lien avec chaque site.
Elle rappelle cependant que les prix peuvent rapidement devenir un obstacle.
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SYTHESE DE L'ATELIER
Des diversifications possibles de l'activité fluviale
 l'intérêt des croisiéristes n'est pas uniquement focalisé sur le vin
 cyclotourisme et randonnées sont de plus en plus demandés par la clientèle des bateaux
 l'art de vivre à la française constitue un socle important pour la clientèle étrangère : les marchés
locaux notamment
 lien possible avec le golf
 découverte possible de la vie du fleuve actuelle et passée par les touristes
Une image du fleuve unique :
 plus grand estuaire d'Europe
 le mascaret est un phénomène unique qui se produit dans peu de sites dans le monde
 un fleuve et des rivières qui ont façonné les paysages et permis le développement du vignoble et
du commerce du vin
 la vie du fleuve et la navigation traditionnelle sont vecteurs d'imagerie forte (voiliers, gabarres)
 on peut parler de coopétition entre grands opérateurs et acteurs qui valorisent l'activité
traditionnelle du fleuve : chacun à besoin de l'autre
 la rivière Dordogne a été classée réserve de la biosphère par l'UNESCO
Les orientations
 nécessité de "mettre en scène" l'offre
 le Bassin d'Arcachon est complémentaire de la destination Bordeaux
 il faut un développement de produits qui s'adaptent aux contraintes des opérateurs et non
l'inverse (distance, temps d'escale).
 nécessité d'améliorer les conditions d'accueil sur les lieux d'accostage
 mettre en avant les locomotives incontournables du département pour faire connaitre ensuite
une offre plus diverse
 il faut faire redécouvrir la rivière aux populations locales
 Gironde Tourisme pourrait favoriser la mise en tourisme et le lien entre les acteurs
A noter une interrogation : l'aide à l'investissement sur les équipements fluviaux ne risque-t-elle pas
de se faire au détriment d'autres investissements touristiques ?

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