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PHOTO BENJAMIN SÈZE R INSOLITE LE BOUBOU DANS LES VIGNES Non content de se vêtir d’un pull et d’un pantalon, Claude Landry, propriétaire du château Saint-Agrèves à Landiras, enfile son boubou africain pour cultiver ses vignes ! Non, Claude ne tente pas de lancer une nouvelle mode chez les vignerons, c’est juste qu’il a passé quinze ans au Tchad. Et le boubou, il y a pris goût ! Météo des plages 71004 Soleil ou nuages ? Envoyez le mot Clé SO suivi de votre code postal au 71 004 (ex : pour Biscarrosse, envoyez «SO 40600») A tout instant, recevez les prévisions par SMS (Prévisions Aquitaine Météo) *0,50 ¤ par SMS reçu Job: P040133--0002 Haut: 3920 Date: 04-08-07à 01h 35 Op: SB Base: SOQ Coul: CMYK >Départements concernés : 16 • 17• 24 • 32 • 33 • 40 • 47 • 64 SAMEDI 4 AOUT 2007 www.sudouest.com PHOTO JESSICA AGACHE Bordeaux et Cub R ON EN PARLE Bernard Lauret élu maire La surprise, c’était plutôt dimanche, avec la défaite du député Jean-Paul Garraud qui tentait de s’implanter à Saint-Emilion mais à qui les électeurs ont préféré la liste soutenue par le premier adjoint, Bernard Lauret. Celui-ci a été élu maire hier, succédant à Jacques Goudineau, décédé le 28 juin dernier. Ses cinq adjoints : Daniel Duponteil (premier adjoint), Joëlle Manuel, Renée Mérias, Catherine Fanti et Joël Appollot. Contre la ferraille Ariel Wizman mixait au Ferret pour la troisième fois. C’est l’agence bordelaise Rainbow Music Agency qui organisait la soirée « Wizman l’imprévisible » CAP-FERRET. De Nirvana aux très branchés Justice, l’animateur dandy du PAF, également DJ, a mixé devant 300 clubbeurs enthousiastes, jeudi soir, au Centaure irvana, Ophélie Winter, PoN lice ou le groupe electro du moment, Justice. Aux platines du « Une culture musicale impressionnante ». Sur le coup de 2 heures, le DJ chic enfile enfin son casque. Entre deux bouffées de cigarette, Ariel Wizman ne laisse pas les titres plus d’une minute, passant de Blur à un remix de la comédie musicale de « Grease ». « Je l’appelle Wizman l’imprévisible. Il a une culture musicale impressionnante et il ne se prive de rien », commente Giovanni Canestri. Une fleur rose accrochée dans ses cheveux longs, Stéphanie, 23 ans, ondule sur un podium. « Il enchaîne bien ! Ça permet de s’amuser et c’est tout ce qu’on demande. » Frémissement dans la salle. « Cause we are your friends, you’ll never be alone again. Come ooooooooon ! » hurlent Louis, Guillaume et Morgane, 18 ans, qui connaissent par cœur ce tube remixé par Justice. « On est venus spécialement pour Ariel. » De 3 à 4 heures les titres défilent, donnant l’impression vertigineuse de plonger dans la discothèque cérébrale de l’animateur. Lumières. Fin du show. Les accros en redemandent : « Encore un peu de son. Ariel ! Ariel ! » Le gérant du Centaure doit fermer, à contrecœur. « Y’a pas un after sympa à Bordeaux ? » interroge Ariel Wizman en rangeant son matériel. : Jessica Agache 82542330 LAV Centaure, jeudi, l’animateur télé Ariel Wizman a osé tous les enchaînements et tous les styles. Décoiffé, mal rasé, mais looké, bien sûr, avec jeans slim noir et chaussures blanc et rouge, le dandy déjanté arrive sur place un peu avant 2 heures, fumant une cigarette fine et extralongue, « une 120 », sourit-il. Ce qu’il va jouer ? « Ce sera une improvisation. Je regarde les gens et j’essaie de faire en sorte qu’ils soient heureux. Il faut savoir lire ce qu’on a devant soi. » Devant lui, justement, 300 personnes, essentiellement des jeunes frôlant les 18 ans, se pressent depuis une heure dans la petite salle enfumée balayée par des spots verts et bleus. Ballerines ou talons hauts pour les filles. Chemise ou polo pour les garçons. C’est une soirée « dress code ». « La jeunesse dorée de Bordeaux et de Paris est là », estime Giovanni Canestri, gérant de la discothèque. Une dizaine de personnes se sont rassemblées hier soir dans le centre du Cap-Ferret pour dénoncer l’abandon de ferrailles d’ostréiculteurs autour du banc d’Arguin. « Quand quelqu’un sera sérieusement blessé, ils feront quelque chose ! » s’emportait Christian Dubourdieu, à l’origine de la manifestation. Marc Druart, le président du Syndicat des ostréiculteurs, souligne les efforts que fait la profession pour éviter ces comportements. Chères heures supplémentaires Sur plainte de FO, la société Satelec, de Mérignac, a été condamnée en novembre 2006 à verser 135 000 euros à 14 salariés pour des heures supplémentaires et des repos compensateurs. La direction va se pourvoir en cassation, contestant le mode calcul. Satelec, qui fabrique du matériel dentaire, dépend du groupe Acteon, installé dans la zone industrielle du Phare. « Acteon a économisé 5,6 M de cotisations patronales sur sept ans. Et nous estimons à 2,8 M le total des heures supplémentaires non réglées », explique Stéphane Martegoute, délégué syndical FO. Les ex-pompiers en colère Actualité, reportages, jeux, BD, idées de sorties… Les anciens pompiers professionnels et volontaires de Carcans-Maubuisson viennent de créer une association, Gironde Vigilance, pour stigmatiser la réorganisation des services départementaux du SDIS. Ils réclament le rétablissement du 18, des gardes de pompiers professionnels et du commandement dans les centres locaux.