153.86 Ko - pdf - Conseil Départemental de la Haute

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153.86 Ko - pdf - Conseil Départemental de la Haute
CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA HAUTE-GARONNE
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ULTURES INTERMÉDIAIRES : quel avantage
C
agronomique visez-vous ?
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RENTRÉE : le site Agrilocal 31 fait peau neuve
ONSEILLERS AGRICOLES : changement
C
d’adresse à Auterive
GRIPPE AVIAIRE : le Conseil départemental soutient les éleveurs de palmipèdes
Le Conseil départemental a décidé d’une aide
exceptionnelle aux éleveurs de palmipèdes
qui travaillent en circuit court. Cette décision
intervient à la suite de la crise de l’Influenza
aviaire et du classement de la Haute-Garonne en
zone de restriction en janvier 2016, ce qui rendait
obligatoire une période de vide sanitaire pour les
élevages. Après cette période difficile, le Conseil
départemental soutient ceux qui reprennent leur
activité par une aide forfaitaire de 1000 euros par
exploitation, ce qui correspond à une enveloppe
exceptionnelle de 120 000 € pour le Département.
Cette aide est réservée aux exploitations qui
remplissent les conditions suivantes :
• le siège de l’exploitation est situé en HauteGaronne et l’exploitation est assujettie à la
TVA,
• l’exploitation produit et commercialise au moins
300 palmipèdes en circuit court,
• le bénéficiaire est affilié comme chef
d’exploitation à la Mutualité Sociale Agricole
(MSA) pour l’année en cours, ou, dans le cas
d’une société, au moins un des associés est
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GRICULTURE BIOLOGIQUE : Foire Bio Garonne,
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le dimanche 16 octobre
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ASSOLEMENT : un choix multicritères
OURNÉES DU BOULONNAIS : le Conseil
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départemental auprès des éleveurs
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I NFLUENZA AVIAIRE : un plan de biosécurité pour
chaque élevage de volailles ou de palmipèdes
FÊTE DE L’AIL : Ail Love Cadours
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RIPPE AVIAIRE : le Conseil départemental
G
soutient les éleveurs de palmipèdes
Toulouse le 26 septembre2016
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AU SOMMAIRE...
Flash AGRICULTEURS
affilié comme membre de société non salarié
agricole,
• l’activité redémarre dès 2016, en accord avec
la réglementation.
Cette aide est attribuée dans le cadre du
règlement « de minimis » agricole de l’Union
Européenne. Elle est donc accessible aux
exploitations dont le total des aides dites « de
minimis » reçues au cours des trois derniers
exercices fiscaux ne dépasse pas le plafond de
15 000 € par exploitation.
Pour le Conseil départemental, elle est l’occasion
d’encourager une production locale en circuit
court qui a aussi un impact social et sur le revenu
des exploitations polyvalentes.
Délais
â Le dossier complet est à déposer avant le
31/01/2017 au Conseil départemental.
â
Toutes les informations sont disponibles
auprès des conseillers agricoles du Cd31 qui
vous accompagnent dans l’élaboration de cette
demande.
INFLUENZA AVIAIRE : un plan de biosécurité pour chaque élevage
de volailles ou de palmipèdes
Depuis plusieurs années, la France a instauré
un suivi annuel d’élevages sentinelles pour
détecter une circulation éventuelle du virus de
l’Influenza aviaire sur le territoire. L’apparition
d’un foyer d’Influenza aviaire hautement
pathogène (IAHP) dans un élevage de volailles
et de palmipèdes en Dordogne en novembre
2015 a engendré une surveillance renforcée des
élevages avicoles. Aujourd’hui la réglementation
impose aux éleveurs de mettre en place un plan
de biosécurité et les équipements associés avant
le 1er juillet 2018.
CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA HAUTE-GARONNE
Direction de l’Action Agricole et Rurale Territoriale
1, boulevard de la Marquette – 31090 TOULOUSE cedex 9 – Tél. 05 34 33 38 14 – Fax 05 34 33 46 28
www.haute-garonne.fr
L’Influenza aviaire est une maladie réglementée
dont la déclaration est obligatoire. Elle touche
tous les oiseaux : volailles, palmipèdes, oiseaux
sauvages… Les virus identifiés ne sont pas
transmissibles à l’homme et n’affectent pas la
consommation mais leur impact économique peut
être important pour les élevages.
En janvier dernier, à la découverte de nouveaux
foyers dans plusieurs départements du Sudouest, l’État a mis en place un plan d’urgence
pour les élevages de palmipèdes. Il comprenait
les dispositions suivantes :
• mise en place de zonages en fonction de la
localisation des foyers déclarés et restriction
des mouvements d’animaux,
• mesures de dépeuplement et de vide sanitaire
obligatoire,
• nettoyage et désinfection des matériels, des
locaux et des abords,
• repeuplement des élevages à partir du mois
de mai,
• programme de dépistage national pour vérifier
l’absence de circulation du virus et lever la
zone de restriction.
Aujourd’hui l’activité peut redémarrer et des
mesures de biosécurité doivent être mises en
place pour pérenniser une situation assainie.
Ces mesures permettent de prévenir ou de limiter
l’introduction et la persistance du virus dans l’unité
de production et d’éviter si possible sa circulation
d’un élevage à l’autre. Ce sont des mesures aussi
bien physiques (matérielles) que fonctionnelles
(gestion) appliquées à l’exploitation et à tous les
relais de diffusion du virus.
Depuis le 1er juillet, l’élaboration d’un plan
de biosécurité est obligatoire pour tous
les détenteurs de volailles et palmipèdes
ou d’oiseaux captifs. Basé sur une analyse
des risques, le plan est spécifique à chaque
exploitation. Il doit permettre :
• de maîtriser les sources d’introduction du virus
de l’Influenza aviaire dans les élevages : circulation
des personnes, des animaux entrants et
sortants, des véhicules et des caisses de
transport, du matériel agricole commun à
plusieurs productions, mais aussi de l’avifaune
et des nuisibles…
• et de limiter la diffusion de contaminants à
l’extérieur des élevages via les effluents, les
cadavres et les résidus d’élevage, les eaux de
pluies et de lavage…
Une dérogation jusqu’au 1er juillet 2018 est
possible pour la mise en œuvre des installations
adéquates et le fonctionnement en bande unique
prévus par le plan. Elle est soumise à l’autorisation
du directeur départemental de la protection des
populations. La déclaration est à faire avant le 16
novembre 2016.
Le plan de biosécurité est donc basé sur la
gestion des flux des véhicules du virus. Il
définit plusieurs zones dans l’exploitation :
• une zone « publique » comprenant les locaux
d’habitation et l’accueil d’éventuels visiteurs,
• le « site d’exploitation » lui-même constitué
d’une « zone professionnelle » pour la gestion
des produits entrants ou sortants et d’une
« zone d’élevage » comprenant les unités
d’élevage elles-mêmes. Le plan doit contenir
a minima 11 points qui ont été définis par la
réglementation (voir tableau p3).
En résumé, les éleveurs doivent garder à
l’esprit quelques recommandations simples :
• produire en bande unique par bâtiment afin de
pouvoir bénéficier d’un vide sanitaire avant une
nouvelle introduction,
• dépister et éliminer les animaux malades ou
suspects,
• assainir les effluents et sous-produits
contaminés, gérer les lisiers,
• nettoyer et désinfecter les bâtiments, camions,
parcours…
• limiter les flux entre zones contaminées et
saines,
• n’introduire que des animaux sains.
Pour en savoir plus
â
L’ITAVI a édité des fiches de biosécurité
correspondant à chaque type d’élevage :
http://Influenza.itavi.asso.fr/
â Pour la validation du plan de biosécurité,
l’exploitant peut bénéficier de l’appui des
conseillers agricoles du Conseil départemental et
des vétérinaires sanitaires.
â Pour les autocontrôles définis dans le plan
de biosécurité, l’exploitant peut s’adresser au
LD31 EVA pour la réalisation des analyses sur les
prélèvements d’environnement, fientes…
Tel : 05 62 10 49 00 – Courriel [email protected]
Flash AGRICULTEURS du 26/09/2016 - CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA HAUTE-GARONNE 2
sortants des animaux, du matériel, des intrants,
des produits et des sous-produits animaux,
4. un plan de nettoyages, de désinfections et de
vides sanitaires, par unité de production,
5. un plan de gestion des sous-produits animaux,
6. un plan de lutte contre les rongeurs et les
nuisibles,
7. un plan de protection vis-à-vis de l’avifaune
sauvage,
8. un plan de formation du détenteur des animaux
et du personnel aux bonnes pratiques d’hygiène,
9. la traçabilité des interventions des équipes de
personnels temporaires, par exemple pour les
enlèvements,
10. la traçabilité des bandes par unité de production,
11. la traçabilité des autocontrôles sur la mise en
œuvre du plan de biosécurité.
Les éléments obligatoires du plan de biosécurité
ont été définis par les arrêtés du 8 février et du
15 juillet 2016 relatifs aux mesures de biosécurité
applicables dans les exploitations de volailles et
d’autres oiseaux captifs. Ces éléments doivent être
mis en œuvre avec les moyens adéquats, et donner
lieux à des traces écrites et des enregistrements.
Ce sont :
1. un plan de circulation incluant la délimitation de
la zone publique, le site d’exploitation, les aires
de stationnement et de lavage et les sens de
circulation,
2. une liste des personnes indispensables au
fonctionnement des unités de production en
précisant leurs fonctions,
3. un plan de gestion des flux dans l’espace et
dans le temps définissant les circuits entrants et
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ASSOLEMENT : un choix multicritères
Le choix de l’assolement est un moment décisif
pour l’exploitant qui doit intégrer simultanément
des critères techniques, économiques et
règlementaires qui ont souvent des impacts
multiples. C’est à chaque exploitation de trouver
la combinaison qui lui convient.
Le choix des cultures dépend des
caractéristiques des parcelles. L’historique de la
parcelle -précédent et rotation- est important : une
culture de protéagineux ou de légumineuses peut
avoir un impact positif sur la céréale suivante alors
que le rendement attendu sera moindre après
un maïs ou un sorgho. Il faut également prendre
en compte, pour chaque parcelle, le type de sol,
l’accès à l’irrigation, la présence d’adventices, le
risque de viroses ou autres maladies...
• Un tableau recensant ces caractéristiques et
l’historique des observations îlot par îlot peut
être élaboré pour avoir une vision d’ensemble
de ces éléments.
Les mesures du verdissement doivent être
prises en compte. La mesure « diversité de
l’assolement » impose au moins trois cultures
différentes sur les terres arables pour ce qui est
de la règle générale. Le maintien des surfaces de
prairies par rapport à une référence régionale joue
pour les exploitations d’élevage. Avec le maintien
des surfaces d’intérêt écologique, ces mesures
permettent d’accéder au paiement vert qui
représente environ 85 € par hectare en France.
• La définition de ces critères peut évoluer d’une
année à l’autre. Les conseillers agricoles du
Conseil départemental peuvent vous informer
de l’évolution éventuelle de ces critères.
Le choix s’opère aussi en fonction de la marge
brute espérée et de l’organisation du travail.
Certaines cultures bénéficient des aides
couplées : blé dur, légumineuses fourragères,
soja, protéagineux, semences de légumineuses
fourragères… La prévision de la marge reste
difficile car le rendement et surtout les prix sont
soumis à des variations importantes.
• L’estimation d’un prix de revient et d’un
seuil de prix pour la commercialisation de la
récolte peut permettre d’affiner une stratégie
de commercialisation. On peut par exemple
sécuriser le prix de vente en contractualisant
ou en prenant position sur les marchés à terme.
Pour conclure
â Les règles du verdissement -par exemple
celle du taux de surfaces d’intérêt écologiquesont susceptibles d’évoluer.
â Compte tenu de la multiplicité des critères, le
partage d’expérience avec d’autres agriculteurs et
la discussion avec les conseillers agricoles peut
être utile pour affiner les choix.
â
La prise en compte des facteurs
agroenvironnementaux, économiques et
d’organisation du travail est un exemple concret
de ce que signifie l’agro-écologie.
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CULTURES INTERMÉDIAIRES : quel avantage agronomique visez-vous ?
Obligatoire en zones vulnérables lors des
intercultures, la couverture végétale des
sols peut permettre d’améliorer les résultats
agronomiques. Elle présente plusieurs avantages :
• l’azote piégé est ensuite restitué pour la culture
suivante,
• la structure du sol est préservée,
• le salissement de la parcelle lors de l’interculture
est réduit.
Ainsi, les avantages agronomiques peuvent
coïncider avec le bénéfice collectif qui consiste
à limiter les fuites d’azote au cours des périodes
pluvieuses, et à lutter contre les pollutions par les
nitrates agricoles.
Lorsque l’agriculteur cherche à améliorer
ses résultats grâce à cette pratique, il doit
déterminer ses objectifs pour chaque parcelle.
Un diagnostic lui permettra de choisir un objectif
prioritaire. Dans tous les cas, le couvert doit être
implanté comme une culture. Pour une bonne
efficacité, la levée doit être rapide et homogène.
Attention : si l’objectif se limite à répondre aux
exigences de la réglementation sur les zones
vulnérables et si l’agriculteur porte peu d’attention
à la qualité de semis, il ne retirera aucun bénéfice
de la culture intermédiaire.
Avec un objectif « sol » : un couvert bien
implanté, bien enraciné, permettra de préserver la
structure du sol et de limiter l’érosion. Cependant,
un couvert ne permet pas de fissurer le sol : pour
cela il faut utiliser les outils de fissuration.
Avec un objectif « fertilité » : les couverts
restituent les éléments minéraux absorbés.
• La quantité et la vitesse de restitution de
l’azote dépendent de l’espèce. Les couverts
de légumineuses restituent une plus grande
quantité d’azote et plus rapidement que les
autres espèces.
• Les autres espèces restituent aussi des
éléments minéraux. Par exemple, une avoine
qui produit 2 tonnes de matière sèche restitue
30 unités d’azote (sur 60 unités piégées),
5 unités de phosphore et 60 unités de potasse.
Les couverts stimulent également la vie biologique
des sols, ce qui améliore la minéralisation de
l’humus.
Avec l’objectif de « limiter le salissement » :
le couvert pourrait être implanté dès la récolte de
la culture d’hiver mais la réussite du semis sera
aléatoire à cause du risque de manque d’eau
durant l’été. Il est préférable de semer le couvert à
partir de la fin août sur un lit de semence frais. Un
semis de fin d’été laisse aussi le temps de réaliser
un ou deux passages avec un déchaumeur après
la récolte, ce qui permet de faire un déstockage des
mauvaises herbes. Pour une meilleure réussite de
l’interculture, on choisira des espèces qui lèvent
vite et on sèmera un mélange d’espèces car, selon
les conditions pédoclimatiques, au moins une des
espèces parviendra à se développer.
Choix du couvert : il faut trouver « ses propres
espèces ». Il est recommandé de faire des essais
pour connaître les espèces les mieux adaptées
aux différentes parcelles.
Caractéristiques des espèces les plus utilisées
Famille
Crucifères
Graminées
Polygonacées
Hydrophyllacées
Légumineuses
Espèce
Enracinement
Colza
Moutarde
Avoine rude
Blé ou orge
Sarrasin
Phacélie
Féverole de
printemps
Trèfle
d’Alexandrie
Vesce pourpre
Pivotant
Pivotant
Fasciculé
Fasciculé
Pivotant
Pivotant
Potentiel
piégeage
d’azote
Fort à très fort
Fort à très fort
Assez fort
Assez fort
Assez fort
Fort
Pivotant
Facilité
d’implantation
Pouvoir
couvrant
Bonne
Bonne
Moyenne
Moyenne
Moyenne
Moyenne
Élevé
Élevé
Moyen
Moyen
Moyen
Élevé
Moyen
Faible
Faible
Pivotant
Moyen
Faible
Faible
Pivotant
Moyen
Faible
Faible
Source ARVALIS Institut du végétal
Flash AGRICULTEURS du 26/09/2016 - CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA HAUTE-GARONNE 4
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RENTRÉE : le site Agrilocal31 fait peau neuve
Les collectivités territoriales ont un rôle
essentiel à jouer pour favoriser l’alimentation
locale et les circuits courts. Au début du
printemps, le Conseil départemental de la HauteGaronne a lancé la plateforme internet Agrilocal31,
dans le cadre de son action Miam31 visant à
l’introduction de produits locaux dans les services
de restauration des collèges.
Cet outil permet la mise en relation directe
entre acheteurs publics et producteurs locaux,
dans le respect de la commande publique. Sur
le site Agrilocal31, chaque agriculteur dispose
d’une page personnelle pour mettre en valeur
ses produits et son exploitation. Il lui appartient
de mettre à jour les informations concernant ses
produits. Il peut les proposer directement aux
acheteurs sur la plateforme et profiter ainsi de la
simplicité et de la réactivité du système de mise
en marché. Il peut avoir accès à l’ensemble des
consultations passées par les acheteurs quelle
que soit la distance d’approvisionnement.
• plus d’une trentaine de commandes effectives
réalisées aussi bien sur des produits carnés
que sur des légumes.
Les inscriptions sont possibles au fil de l’eau.
À la rentrée, le site Agrilocal31 a été actualisé. Il
propose une meilleure ergonomie et de nouvelles
fonctionnalités qui se mettent peu à peu en place.
Les conseillers agricoles du département sont à
votre disposition pour vous aider à vous inscrire
si vous le souhaitez. Des guides d’utilisation sont
également à votre disposition sur le site suivant :
https://www.agrilocal31.com/
â En novembre, de nouvelles rencontres
seront organisées entre les cuisiniers et les
producteurs. Pour dynamiser la connaissance
de la demande par les producteurs et celle de
l’offre par les cuisiniers, le Conseil départemental
organisera ces rencontres auxquelles
participeront également les gestionnaires des
collèges. L’information sur ces rencontres paraîtra
sur le site Agrilocal31.
Après 4 mois de fonctionnement, le bilan
provisoire est encourageant. Il fait état de :
• 43 producteurs inscrits,
• 93 consultations lancées par les collèges,
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FÊTE DE L’AIL : Ail Love Cadours
Les 27 et 28 août, l’Ail Violet de Cadours a fêté
ses 40 ans, moins d’un an après l’obtention de
l’AOC. C’est une reconnaissance pour le produit,
pour la profession, pour les trois départements de
production, le Gers, le Tarn-et-Garonne et la HauteGaronne et pour les 106 communes de l’aire d’AOC.
La récolte de cette année a donc une saveur
particulière que les producteurs ont voulu célébrer.
Le Conseil départemental de la Haute-Garonne a
participé à cet évènement festif en associant les
trois produits du département sous signe officiel
de qualité : les vins AOC de Fronton, l’Agneau
Label Rouge et l’Ail Violet de Cadours.
â
Pour plus d’informations : www.ail-violetcadours.fr
JOURNÉES DU BOULONNAIS : le Conseil départemental auprès des éleveurs
Les 17 et 18 septembre derniers se tenait la
5e édition des Journées du Boulonnais avec
concours de bovins de race (dont un régional
charolais), dégustation de viandes, et animations
agricoles et rurales (présentation d’animaux,
pôle végétal, matériel agricole, volailles, marché
fermier…).
Les éleveurs et les habitants du canton s’étaient
donné rendez-vous pour un week-end festif,
même dans un contexte de conjoncture agricole
défavorable, en particulier pour l’élevage.
Comme chaque année, le Conseil
départemental était partie prenante de cette
manifestation qu’il finance. Il était également la
cheville ouvrière des animations du pôle ovin avec
une dégustation appréciée de viande d’agneau
des Pyrénées.
Flash AGRICULTEURS du 26/09/2016 - CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE LA HAUTE-GARONNE 5
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AGRICULTURE BIOLOGIQUE : Foire Bio Garonne, le dimanche 16 octobre
ÉRABLES 31, association « du producteur bio
au consommateur », organise la 11e édition de
la Foire Bio Garonne sur le site des Argoulets
à Toulouse. Cette année une conférence sera
proposée sur « l’autonomie du territoire ».
Un jeu de piste et un quizz sur les produits bio et
locaux permettront au public d’échanger avec les
conseillers agricoles du Conseil départemental
sur la filière.
Le Conseil départemental a inscrit le soutien aux
démarches de qualité et à l’agriculture biologique
dans les priorités de sa politique. Cette volonté
se traduit par l’accompagnement technique des
agriculteurs en production biologique et par son
soutien financier à l’association Érables 31.
â
Plus d’infos sur https://foirebiogaronne.org/
CONSEILLERS AGRICOLES : changement d’adresse à Auterive
Désormais, la permanence du conseiller
agricole d’Auterive se tiendra dans les locaux
du secteur routier : 1 rue Lafayette, 31190
Auterive. Le fonctionnement de l’accueil reste
identique : la permanence a lieu le jeudi matin,
de 9h00 à 12h, et les autres jours sur rendez-vous.
â tel : 05 61 50 87 53 (inchangé)
Fax : 05 61 50 67 49 (nouveau)
Pour en savoir plus contactez les secteurs ou retrouvez les coordonnées des conseillers agricoles
sur le site internet du Conseil départemental à l’adresse suivante : http://www.haute-garonne.fr/fr/
nos-missions/agriculture/conseillers-agricoles.html. Et pour recevoir des informations directement par
mail, transmettez votre courriel à l’adresse suivante : [email protected]
Secteur
Nord Toulousain
Lauragais
Volvestre - Vallées
Comminges
Adresse
21, route de Villemur
31620 VILLAUDRIC
Animateur
Joseph CONQUET
Téléphone/ Fax
 05 61 82 60 60
 05 61 82 59 59
40 rue Carnot
31460 CARAMAN
Christophe BRUNO
 05 61 83 26 98
 05 61 83 53 22
Pôle routier,
4 avenue Simon de la Loubère
31310 MONTESQUIEU
Claire PRATS
 05 61 90 43 91
 05 61 90 46 41
1, espace Pégot
31800 SAINT-GAUDENS
Cécile RUAU
 05 62 00 25 80
 05 62 00 25 71
Conformément aux articles 39 et suivants de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, toute
personne peut obtenir communication et, le cas échéant, rectification ou suppression des informations la concernant, en s’adressant
par courrier à l’adresse suivante : Conseil départemental de la Haute-Garonne, Direction de l’Action Agricole et Rurale Territoriale,
1, boulevard de la Marquette, 31090 Toulouse cedex 9.
Le Conseil départemental de la Haute-Garonne est agréé par l’État pour son activité de conseil sur l’utilisation des produits phytosanitaires sous
la référence MP01858 (et avec le Siret n°22310001700423).
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