Press review 1-11-2013
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Press review 1-11-2013
Press review 1-11-2013 The Daily Star Committee follows up on rent-to-own draft law http://bit.ly/1f7LMni BEIRUT: A parliamentary committee followed up Thursday on the rent-toown draft law. The subcommittee held its meeting in Parliament under MP Samir al-Jisr, with the attendance of several legal and economic experts. The committee discussed whether rent-to-own properties could be passed on by inheritance. The rent-to-own draft law would allow a property to be rented in exchange for yearly or monthly payments with the option for the renter to eventually own it. L’Orient Le Jour Ils ont dit http://bit.ly/HiJnKA - Ahmad Fatfat, député de Denniyé et membre du bloc du Futur, dans une déclaration à l’agence al-Markaziya : « Nous n’allons pas entrer dans le jeu des nombres au sujet du processus gouvernemental. Tant que le Hezbollah est déterminé à rester en Syrie, tant qu’il ne reconnaîtra pas la déclaration de Baabda, il n’y aura de solution qu’avec un gouvernement neutre. Si le Hezbollah se considère vainqueur et estime que les rapports de force dans la région sont en sa faveur, pourquoi nous veut-il à ses côtés au sein du gouvernement ? Serait-ce de la bienfaisance ? Il n’y a pas de Caritas en politique. » - Ali Fayad, député de Marjeyoun (bloc du Hezbollah), lors d’une cérémonie estudiantine : « Il est à présent parfaitement clair que le 14 Mars, et en particulier le courant du Futur, qui lie la formation du gouvernement à des conditions rédhibitoires en rapport avec la situation au Liban et en Syrie, ne veut pas du tout qu’il y ait un gouvernement. » - Simon Abiramia, député de Jbeil et membre du bloc du Changement et de la Réforme, à la radio La Voix du Liban-93,3 : « Il n’y a pas de gouvernement qui puisse rassurer le peuple libanais s’il n’est pas rassembleur et efficace. Tout ce qui se fait hors de ce cadre est une perte de temps à l’ombre de compromis attendus dans la région. Le courant du Futur devrait réduire un peu ses conditions rédhibitoires qu’il sait par avance qu’il ne pourra pas les obtenir. » - Antoine Zahra, député FL de Batroun, à La Voix du Liban-93,3 : « Dès le début, lorsque le 14 Mars a proposé un gouvernement ne comprenant pas de partisans, son but n’était pas d’exclure quiconque. Nous avions simplement dit que nous ne voulions pas contribuer à la mise sur pied par avance d’un gouvernement de sabotage. Nous n’allons pas capituler devant les conditions du Hezbollah. Ce dernier exploite le rapprochement américano-iranien, c’est-à-dire entre la révolution islamique et le grand Satan, pour nous dire que le nouveau rapport de force lui permet de nous imposer ses conditions. Cela, nous ne l’accepterons pas. » - Kassem Hachem, député baassiste de Marjeyoun-Hasbaya, à l’issue d’un entretien avec le Premier ministre sortant, Nagib Mikati : « S’il s’avère impossible de former un gouvernement rassembleur et efficace, regroupant l’ensemble des composantes et capable de dégager le Liban de toutes ses crises, il nous faudra tous assumer nos responsabilités et réactiver ce gouvernement (sortant). Il s’agit d’une responsabilité nationale qui incombe à tous sans tergiversation. Ou bien nous avons un nouveau cabinet le plus vite possible et sans conditions préalables, ou bien on réhabilite ce gouvernement quoi qu’il arrive. L’intérêt national est au-dessus de toutes les considérations et que personne ne vienne surenchérir sur la loi et la Constitution. L’intérêt national est au-dessus des Constitutions. » - Jean Oghassabian, député de Beyrouth I (bloc du Futur), dans une déclaration à la presse : « La proposition faite par la direction du Hezbollah sur la formule des “9/9/6” a définitivement fermé la porte devant toutes les solutions possibles, cette proposition contenant de l’arrogance et du mépris à l’égard du camp adverse dans la mesure où elle est fondée sur des victoires fictives de l’axe dit de la “moumanaa” (le “non”) dans la région. Le Hezbollah utilise cette méthode parce qu’il ne veut pas d’un gouvernement. Il cherche au contraire à consacrer le vide au niveau de toutes les institutions afin de pousser tout le monde à accepter la Constituante par laquelle il souhaite abroger le pacte national dans toutes ses dimensions, y compris le principe de la parité islamo-chrétienne. » - Chakib Cortbaoui, ministre de la Justice, proche du bloc du Changement et de la Réforme, à la radio La Voix du peuple : « Tous les protagonistes devraient être réalistes. Et le réalisme impose que les Libanais soient représentés (au gouvernement) comme ils le sont aujourd’hui à la Chambre. Il est important de mettre sur pied un gouvernement rassembleur qui puisse mettre le Liban à l’écart des conflits dans la région. »