The Professional Institute of the Public Service of Canada L`Institut
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The Professional Institute of the Public Service of Canada L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada COMPUTER SYSTEMS GROUP NEWS BULLETIN DU GROUPE GESTION DES SYSTÈMES D’ORDINATEURS www.csgroup.ca/www.groupecs.ca The Professional Institute of the Public Service of Canada, 53 Auriga Drive, Nepean, Ontario, K2E 8C3. Telephone (613) 228-6310 or 1-800-267-0446. Fax # (613) 228-9048 or 1-800-465-7477. Web site: www.pipsc.ca L’Institut professionnel de la fonction publique du Canada, 53, promenade Auriga, Nepean (Ontario) K2E 8C3 Téléphone (613) 228-6310 ou 1-800-267-0446. Télécopieur (613) 228-9048 ou 1-800-465-7477. Site Web : www.pipsc.ca CS Group Bargaining Team / Équipe de négociation du groupe CS Greg Hamilton Guy Abel Leith Chu Brian Clarke Ron Hebdon Ron Hugh Denis McCarthy Blair Stannard Bargaining Officer / Agent de négociation (506) 851-3193 Members / Membres (418) 844-4000 (902) 368-0413 (416) 739-4900 (416) 973-6771 (613) 979-3717 (613) 821-1008 (613) 952-2568 [email protected] [email protected] [email protected] Brian [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] Critical Bargaining Update!! / La négociation est rendue à un point critique!! Treasury Board has reached new lows in its unconscionable foot dragging with our contract talks over the last few months. And just when we thought it couldn't get any worse, it has. home, please reply to this email and let us know - it's vitally important that we be able to stay in contact over the next while until we are able to settle on a fair and equitable contract. The latest word from their negotiator is that he has been given no mandate whatsoever to bargain with us. This is extremely hard to credit considering that we, at every opportunity at the table and away, made it abundantly clear that we could not leave our members hanging with no contract in place. This is especially galling in light of the bleed to private sector and South of the border of our brightest and best talent. Furthermore, all of our hard and dedicated work on the Y2K issue seems to be repaid to us with the back of a hand, as if the UCS work description insult were not punishment enough........ Stand strong, my brothers and sisters - for the old adage was never truer - united we stand, divided we fall. They seem to expect us to obediently roll over like whipped dogs and beg for the meager scraps of salary that they deign to dribble out to us. We cannot let this happen - we deserve better treatment and we deserve respect - something that is far too often missing from our workplaces. For all of our days, nights and weekends of upgrades, migrations, code writing and help desk hand holding, bearing the brunt of stressed out users and managers alike, we get to be treated like photocopier repairmen. In light of this horribly abusive situation, we need now more than ever before to band together in solidarity. We need to strengthen the lin es of communication to our members - whether it is resurrecting old sub-groups, starting new ones or other less formal workplace organizations and local strike planning committees. We cannot bury our heads in the sand any longer - action is going to be needed and there is no way to sugar coat it. We have asked for conciliation services as of Friday, June 23, 2000 after hearing from the TB negotiator on Thursday, June 22 that no meetings would soon be forthcoming. We're also conducting a phone campaign to the subgroups, stewards and info-stewards to raise awarene ss and support - if you haven't been contacted already, you soon will be. If you have recently had a change of phone number, either office or Nous pensions que le Conseil du Trésor ne pouvait pas se traîner les pieds plus qu’il ne l’avait fait dans la négociation au cours des derniers mois. Nous pensions que ce ne pouvait être pire, et pourtant... Nous venons d’apprendre de son négociateur qu’il n’a reçu aucun mandat de négocier avec nous. C’est extrêmement difficile à croire, d’autant plus que de notre côté nous n’avons c e s s é d e dire clairement, tant à la table qu’ailleurs, que nous ne pouvions laisser nos membres sans contrat. C’est d’autant plus exaspérant compte tenu de l’exode de nos meilleurs cerveaux vers le secteur privé et le Sud de la frontière. De plus, tout le dévouement dont nous avons fait preuve pour combattre le bogue de l’An 2000 est rejeté du revers de la main, comme si l’insulte des descriptions de travail de la NGC ne suffisait pas. Il semble s’attendre à ce que nous nous jetions à genoux pour le supplier de nous donner les miettes de salaire qu’il nous offre. Les choses ne peuvent en rester là. Nous méritons un meilleur traitement et le respect, ce qui manque trop souvent dans le milieu de travail. Pour toutes ces journées, ces nuits et ces fins de semaine de mises à niveau, de migrations, de codification et de téléassistance, à supporter des utilisateurs et des gestionnaires à bout de nerfs, nous sommes traités comme des réparateurs de photocopieuses. Compte tenu de cette situation des plus abusive, il nous faut faire front commun plus que jamais auparavant. Nous devons renforcer les lignes de communications avec nos membres, par exemple ressusciter les anciens sous-groupes, en établir de nouveaux ou encore constituer en milieu de travail des organisations moins formelles et des comités locaux de planification de grève. Nous ne pouvons plus jouer à l’autruche. Il nous faut passer véritablement à l’action. Nous avons demandé les services d’un conciliateur le vendredi 23 juin après avoir entendu dire par le négociateur du Conseil du Trésor le jeudi 22 juin qu’aucune rencontre n’était prévue. Nous effectuons également une campagne téléphonique auprès des sous-groupes, des délégués syndicaux ordinaires et ceux responsables de l’information afin de les sensibiliser et obtenir leur appui; ne vous en faites pas, si l’on a pas encore communiqué avec vous, ce sera bientôt fait. Si vous avez changé de numéro de téléphone dernièrement au bureau ou à la maison, répondez à ce courriel pour nous en informer. Il est d’une importance cruciale que nous restions en contact tant que nous n’aurons pas obtenu un contrat juste et équitable. Donnons-nous la main, confrères et consoeurs; l’union fait la force!