challans (85-56) lille

CHALLANS (85-56) LILLE
Écrit par Serge DUBOISSE
Mardi, 09 Octobre 2007 20:34 -
La sagesse des nations l'enseigne depuis des temps immémoriaux: ce qui ne nous tue pas,
nous rendra plus fort. Quand le bison bisontin CORREA s'effondra dans la peinture pour ne
point se relever, un frisson glacé traversa l'échine du public vendéen. Le colosse fermait les
écluses du C.V.B et retardait l'inéluctable: les intérieurs lillois creusaient les brèches, prélude à
l'effondrement des digues. L'évacuation du pivot par les pompiers étira le temps, à l'image des
montres molles de Dali.
.
-A la reprise, les challandais transformés par ce coup du destin se métamorphosèrent en
Horace. Les curiaces nordistes, navrés par les fautes individuelles, tanguèrent sous la houle
puis coulèrent d'un seul coup éperonnés par les rostres BOUTRY/MENVILLE. La solidarité
s'évanouit, le "chacun pour soi" une philosophie létale. Dans ce "sauve qui peut" général,
CLEANTE cherchait désespérément des troupes motivées afin d'écoper le pont du navire.
Dans cet hallali où chaque ballon brûlait les doigts de son détenteur, CISSE et TOUMSON
combattirent jusqu'au bout, dos au mur mais tête droite.
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CHALLANS (85-56) LILLE
Écrit par Serge DUBOISSE
Mardi, 09 Octobre 2007 20:34 -
-Les seigneurs méditerranéens -FOS,ANTIBES- sont prévenus: s'ils veulent monter sur le
pavois en juin, ils devront arracher le coeur sacré de ces chouans modernes; et ce ne sera pas
une sinécure! REGIS DULAS
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