Nos activités en 2003
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Nos activités en 2003
Le JOURNAL de l’Amicale GCTM N° 41 - Février 2003 Siège : AMICALE GCTM - 4 rue des Renaudes - 75017 PARIS. Courrier : René MENARD 41 rue de la Glacière - 91180 St-GERMAIN LES ARPAJON Pour le courrier accompagné de chèques : Jacques CAILLE - 7 sente des groseilliers verts - 77860 QUINCY VOISINS Nos activités en 2003 Samedi 25 janvier 2003 Nous avons fêté les reines et les rois. C’est à bord de la péniche LE COMPIEGNE que nous avons commencé l’année 2003. 55 personnes étaient au rendezvous et c’est par un très beau soleil que nous avons franchi les écluses de Saint-Maurice, SaintMaur et le tunnel de Joinville. Après être passés devant les célèbres guinguettes de Nogentsur-Marne, nous avons fait demitour à Neuilly-sur-Marne pour nous rendre ensuite à Paris en contournant l’Ile de la Cité et l’Ile Saint-Louis. Nous avons dansé et, miracle, le menu proposé, y compris la galette, a été respecté et servi par la sympathique équipe animée par Dany Salmon qui, rappelons-le, avec toute sa famille est propriétaire de la guinguette LE CANOTIER située à Précy-sur-Marne. Retenez dès maintenant le samedi 24 janvier 2004 pour fêter la prochaine année (nous acceptons vos propositions détaillées) Assemblée Générale à La Grande Motte (Hérault) Soit du mardi 3 juin au vendredi 6 juin 2003 Soit du samedi 31 mai au vendredi 6 juin 2003 Les inscriptions sont closes, mais nous pouvons encore accepter quelques amicalistes, dans la limite des places disponibles à la Résidence A.T.C. Voir le Journal de l’Amicale n°40 de novembre 2002 et l’article de la page 3 Le BRESIL (Salvador de Bahia, les chutes d’Iguaçu et Rio de Janeiro) du mercredi 8 au jeudi 23 octobre 2003 Michel Esnault, qui est allé à Salvador (Bahia) et à Rio en novembre 2002 puis en janvier 2003 vous propose un voyage de rêve à un prix très attractif du fait que les hôtels à Salvador et à Rio seront réservés sans intermédiaire, que les repas ne sont pas programmés à l’avance ; les restaurants sont très bon marché (repas pour 5 à 15 euros selon votre appétit...). Ne vous inquiétez pas à ce sujet, il connaît les bonnes adresses… Seuls les vols, les transferts et le séjour à Iguaçu seront organisés par un Tour Opérator spécialiste de l’Amérique latine ce qui pour nous, sera une sécurité. Voir le programme détaillé en page 6... Page 2 Quelques informations... Ils nous a quittés : - Daniel NAIL est décédé fin 2002. Il repose au Mans. Le bureau de l’Amicale présente ses sincères condoléances à son épouse. Cotisation 2003 Si vous ne l’avez pas encore acquittée : 10 € que vous pouvez verser dès que possible afin que le trésorier puisse préparer son bilan avant l’Assemblée Générale. Ils seront à La Grande Motte : Pour votre information, les amicalistes suivants sont inscrits : du samedi 31 mai au vendredi 6 juin 2003 Mme BAUSSART Mr et Mme DENIS Mr et Mme DUVERNOIS Mr et Mme JOLY Mr et Mme REY Mr et Mme RICHER Mme TAVERNIER Mr et Mme THUAL Mr THURON Mr TINTI Mr et Mme TROLET du mardi 3 au vendredi 6 juin 2003 Mr et Mme Mme Mr et Mme Mr et Mme Mlle Mr et Mme Mr et Mme Mr Mr et Mme Mr et Mme Mr et Mme Mr et Mme Mr et Mme Mr et Mme Mr et Mme Mr et Mme Mlle Mr ARNOLD BAUSSART BAUVE BERRUX BEURRIER DROUART DUFRAISSE ESNAULT FOURDRINIER LARUE LE CLOAREC MENARD PATE PLANTUREUX ROUVIER ROUX SILBERMAN VEZIAN Au cas où vous constateriez une erreur dans ce tableau ou, si vous souhaitez modifier votre séjour, merci de le faire connaître dès que possible à : Michel Esnault : 01 44 09 07 40 ou 06 03 01 09 99 Attention, chambres disponibles seulement à partir du 3 juin ! L’ATC a 70 ans en 2003 Pour cet événement, un train à vapeur sera mis en service entre Paris Saint-Lazare et Rouen le dimanche 8 juin 2003. Départ vers 9 h 30, retour vers 18 heures. Un repas est prévu dans trois restaurants de la Place du Vieux Marché à Rouen. Documentation disponible à l’ATC dont le siège est désormais à l’adresse suivante : ATC - 6 place du 8 mai 1945—92300 LEVALLOIS PERRET. Standard : 01 46 88 80 16 Responsable de cette sortie : Marie-Pierre Haddad au 01 46 88 80 42. (Michel Esnault pour la restauration) Page 3 LA CITE DES PYRAMIDES VOUS ACCUEILLE « On peut aimer ou ne pas aimer la Grande Motte, mais on est obligé de reconnaître qu’il y a dans cette réalisation un effort de créativité certain » Georges THURON Au début des années 1960, le général de Gaulle avait lancé une horde d’architectes sur le littoral méditerranéen avec pour mission de bloquer sur le sol français les classes moyennes en route vers les plages. La mission Racine était née. La Grande Motte, une des cinq stations touristiques proposées pour l ‘aménagement de la côte languedocienne et roussillonnaise, a jailli en 1965 sur une vaste bande de sable, entre mer et étangs. Jean BALLADUR, architecte désigné, hérite d’un marécage, livré aux vents et aux moustiques. Féru d’histoires précolombiennes, il a eu l’idée de construire des pyramides avec comme outil le béton, dont il utilise la flexibilité pour inventer un style et des formes. Unique, décriée puis reconnue, son œuvre fera le tour du monde. « En 1966 - écrit Jean Balladur - le paysage du site de La Grande Motte était un paysage d’où émanait la poésie un peu triste et nostalgique des grandes étendues plates et marécageuses, où le seul chant des roseaux dans le vent répondait au ciel infini que reflètent les eaux ». Ville neuve aux symboles anciens, ville futuriste inscrite dans le présent, ville humaniste avec une âme, La Grande Motte est surtout une ville ouverte sur la mer, offerte au soleil. Une ville pleine de symboles que le visiteur peut découvrir au gré de ses promenades : Les pyramides - qui associent monts et plaines, les Cévennes, au paysage des étangs et de la mer - semblables aux pyramides de Téotihuacan offrant aux dieux des montagnes entourant la plaine marécageuse de Mexico, le palais des congrès comparé à des galets ou à un tonneau, la Capitainerie du port avec la mâchoire et l’œil d’une baleine et les côtes d’une baleine échouée, le quai des Fages aux 20 sculptures rappelant l’arrivée des Vikings avec ses figures de proue de drakkar…, le centre nautique semblable à une nef, le profil des lampadaires rappelant la Fée de l’électricité, les trois paraboles de l’église St-Augustin qui s’élèvent pour s’enlacer, dessinant le clocher, le point zéro, point de départ où tout a jailli, structure plissée s’ouvrant sur l’infini, la passerelle des guetteurs, porte de la ville en venant de Carnon, la passerelle des escargots au double symbole, ralentir les véhicules et inciter les piétons à musarder, la passerelle astronomique, symbole visible un seul jour de l’année, le 21 juin à 11 h 30, fête de la St Jean, solstice d’été, et pour terminer ce rapide tour d’horizon, la place centrale avec sa plaque au sol « 1er octobre 1974, date de création de la commune ». « La véritable tradition - écrit Paul Valéry - n’est point de refaire ce que les autres ont fait mais de retrouver l’esprit qui a fait ces grandes choses et qui en ferait faire d’autres en d’autres temps ». La Grande Motte est en quelque sorte un lieu saint où les hommes et les femmes viennent adorer le soleil. Une religion vieille comme le monde et qui connaît de nos jours un regain de ferveur. Le choix des pyramides, pour l’architecte Jean BALLADUR, permet d’organiser à chaque niveau d’étage, des retraits de terrasse. Des terrasses qui prolongent l’intérieur vers l’extérieur, comme un jardin pour une villa, prolongement d’autant plus sérieux que l’immeuble se dresse sous un climat qui appelle à vivre au dehors plus souvent qu’ailleurs. Les travaux de construction de cette ville nouvelle ont duré presque 5 années. Le Général de Gaulle a visité le chantier le 24 octobre 1967 en compagnie de Raymond MARCELLIN, ministre de l ‘Aménagement du territoire. Les premiers propriétaires ont séjourné en 1968 dans le « Provence », bien qu’inachevé, pendant la saison d’été. C’est là que tout a commencé. La suite, si vous le voulez bien, le jeudi 5 juin au soir, avec l’Assemblée Générale de l’Amicale. Georges THURON Page 4 LES BOUCLES SAHARIENNES en octobre 2002 Tout commence, ce jeudi 26 septembre, lorsque 12 amicalistes embarqués dans « Les Boucles Sahariennes » - ce grand triangle de 200 kms de côté allant de OUARZAZATE à ERFOUD, d’ERFOUD à ZAGORA et de ZAGORA à OUARZAZATE avec un tronc commun MARRAKECH : OUARZAZATE - se retrouvent à Roissy. Embarquement ; décollage ; vol à 10 000 m : vitesse 950 Km/h… Soudain une voie annonce : « Nous survolons le détroit de Gibraltar ». Alors, nous prenons vraiment conscience combien l’Afrique est proche de l’Europe : 35 km seulement. Et le rapprochement (prouvé scientifiquement) des 2 continents s’opérant à la vitesse de 4 cms/an, c’est dans 875 000 ans (après demain) que les deux continents seront soudés. Prodigieux, non ? Marseille / Alger en 30’ en RER, quelles perspectives pour l’agence Rouvier ! Mais MARRAKECH s’approche au milieu d’un patchwork de champs d’oliviers verts, de terres ocres, de champs d’orangers, de constructions basses et de clôtures en pierres sêches ; un tableau de Braque ou de Tapiès. MARRAKECH, on connaissait pour l’avoir visitée il y a deux ans. Mais c’est une métropole qui nous accueille : avenues et carrefours spacieux abondamment éclairés et fleuris, édifices modernes récents (hôtels, palais des Congrès, théâtre) anciens immeubles restaurés (Musée, Medersa Ben Youssef), circulation toujours chargée mais fluide, et aux carrefours des femmes-agents avec calot et pantalon ! Une révolution. Depuis son accession au trône, nous explique le guide, le roi Mohammed VI a promulgué 42 lois pour faire avancer le statut de la femme marocaine et le mettre à égalité avec celui des hommes dans les domaines de l’éligibilité, du mariage, de l’héritage, des emplois… Nous ne quitterons pas MARRAKECH, la berbère, sans nous être imprégnés de sérénité au Jardin MAJORELLE où « tout est luxe, calme et volupté », et d’odeurs sur la bruyante place JEMMAÂ EL FNA, au milieu des exhibitions folkloriques, alors que le muezzin lance, de l’incontournable minaret de la Koutoubia l’appel à la prière, relayé par des dizaines de voix venues de toutes les directions. Par le col de TIZI-N-TICHKA (2 260 m), la route vers OUARZAZATE franchit le Haut-Atlas (point culminant 4 167 m), véritable château d’eau alimentant les oueds OUARZAZATE, DADES, DRAA, TODRA, ZIZ et RHERIS. De nombreux lacs mettent une note bleu azur sur l’ocre et le café au lait des montagnes. Quelle végétation exubérante dans les vallées du DADES, du DRAA et du ZIZ ! Les oasis succèdent aux oasis, parfois c’est une seule oasis sur 200 km (vallée du DRAA), où se mèlent palmiers dattiers, figuiers, grenadiers, citronniers, orangers, sous leur ombre fraîche et humide, - et avec l’aide de l’oued ou d’une irrigation ancienne de 9 siècles (les RHETTARAS) ou plus moderne par pompage, parfois avec panneaux solaires, - une agriculture méridionale croît : maïs, carottes, tomates, poivrons, choux, piments, salade, vigne… Chaque oasis cache un village, et chaque vil- Page 5 lage s’agglutine autour de la kasbah, demeure seigneuriale, plus ou moins décorée, plus ou moins occupée : c’est la route des Kasbahs. A OUARZAZATE, « La ville où l’on est bien », 40 000 habitants (60 000 avec les banlieues) est la capitale de la région. Fondée en 1928, au temps de la colonisation française, cette ville comporte aujourd’hui un aéroport international, un complexe hôtelier ultra moderne, un golf et « cette porte du désert » accueille de nombreux rallyes (trophée des gazelles, marathon des sables… ) et des producteurs de cinéma prestigieux, tels Bertoluci, Scorcèse ou Pasolini qui y ont tourné des films mythiques (Laurence d’Arabie, La dernière Tentation du Christ, Kundun, etc… ). Pays du GLAOUI, pacha de Marrakech de 1908 à 1956, ce chef des Territoires du Sud (600 000 fidèles) à la politique ambiguë, qui a fait construire de très nombreuses kasbahs, notamment à TELOUET, TIFOULTOUTE, TAOURIRT, témoins d’un art berbère sobre et austère, d’où se dégage cependant une grande impression de force et de puissance. On peut encore y admirer quelques intérieurs, richement décorés où le confort et le luxe n’étaient pas absents de la vie quotidienne. Un grand moment, fut l’arrivée au bivouac de MERZOUGA, à quelques kilomètres de l’Algérie en plein TAFILALET, pays origine de la famille royale régnante : des interrogations angoissées s’étaient posées sur un hypothétique confort. Mais bientôt les craintes furent levées : grands marabouts à 6 lits… individuels, sanitaires très complets, tente caïdale, grande comme un chapiteau de cirque, pour abriter nos repas accompagnés de danses folkloriques, tout témoignait d’un hôtel de plein air de grande classe. Et le lendemain matin, installés sur les dunes de l’ERG CHEBBI, dont certaines mesurent 170 m de haut, le soleil nous est apparu dans un ciel qui aurait pu virer entièrement au pourpre, si des nuages blancs ne l’avaient sali. A ZAGORA, ce soir-là une légère ondée rafraîchissait la température et mouillait un sol qui n’avait pas vu de pluie depuis 3 ans ! Puis, c’est le retour vers MARRAKECH, après un arrêt au col de TIZI-N-TICHKA, où un âne, bien situé dans le paysage devint l’objectif n°1 de tous les photographes et caméramen du convoi et, bientôt, la fin du voyage. - L’organisation de la chaîne touristique (accueil, capacité des guides en tenue berbère, choix des sites, moyens de locomotion, infrastructure hôtelière et restauration), - la modernité des villes traversés, - la conservation de la mémoire collective (restauration d’édifices historiques), - l’urbanisation poussée, tout nous a permis de constater que le Maroc (même dans le Sud le plus profond) avançait à grand pas sur la voie d’un état moderne. Si la population de cette région reste encore très pauvre, il nous a semblé voir dans cette société composée essentiellement de berbères, une grande solidarité et beaucoup de tolérance. Et j’ai bien aimé l’au revoir du guide de MARRAKECH, qui après les remerciements d’usage eut ces paroles pleines d’humanité, d’œcuménisme et aussi de crainte : Je vous remercie d’être venu visiter mon pays, Bon retour dans vos régions. « Que Dieu tout puissant nous apporte la Fraternité et que la Paix règne entre tous les hommes sur cette terre » (1) Inch Allah (1) Ceci se passait le 2 octobre, quand une tension extrème existait entre les EtatsUnis et l’Irak Henri VEZIAN Page 6 LE BRESIL, deux semaines en octobre 2003 Ce projet pourra être modifié en fonction des horaires aériens, mais déjà, si celui-ci vous séduit, merci de bien vouloir me contacter dès que possible afin de réserver rapidement les places dans les avions (06 03 01 09 99) Le prix total se situera autour de 1 850 € par personne : transports aériens, taxes d’aéroport, transferts, hôtels avec copieux petits déjeuners, excursions, match, spectacles, et estimation pour les repas (15/18 € par jour) * * supplément 450 € pour une chambre seule 450 € à l’inscription, 150 € en avril, 900 € fin septembre et 350 € sur place (repas, excursions, taxis). Des informations complémentaires vous seront données en temps utile, mais sachez déjà : - que votre passeport devra être valable 6 mois après le retour, donc au moins jusqu’à fin avril 2004 (pas de visa), - que les euros sont acceptés sur place ainsi que les cartes de crédit avec lesquelles vous pourrez retirer des reals brésiliens dans certaines banques - que les téléphones portables fonctionnent très bien avec l’option « monde » (renseignez-vous malgré tout auprès de votre fournisseur en fonction de votre modèle) - qu’aucune vaccination n’est exigée - que la température sera comprise entre 22° et 39 ° - que les transports (autobus et métro à Rio) sont gratuits pour les « plus de 65 ans » (il suffit de pouvoir le justifier avec une photocopie de pièce d’identité) - que le décalage horaire est de 5 heures, il pourra être ramené à 4 h si l’heure d’hiver est mise en service en France et à 3 h si les brésiliens passent à l’heure d’été - enfin, que ce voyage n’est pas conseillé aux personnes qui supportent difficilement les longs trajets en avion ou qui ont des difficultés à se déplacer. Mercredi 8 octobre 2003 Rendez-vous à Roissy-Charles de Gaulle à 20 h, au comptoir de la Compagnie brésilienne VARIG. Décollage à 22 h 30, à destination de SALVADOR DE BAHIA (escale technique à SAO PAULO) Nuit dans l’avion Jeudi 9 octobre Arrivée à Salvador de Bahia vers 11 h 30 (heure locale). Installation à l’hôtel MARAZUL, près de la mer, dans le quartier de Barra. Les excursions indiquées pour Salvador pourront être modifiées en fonction de la météo. S’il fait généralement très beau et chaud, il se rait ridicule d’aller en mer quand le ciel est couvert. Par ailleurs, des soirées samba et bossa nova pourront être organisées selon les programmes du moment et les goûts de chacun. En fin d’après midi, 1ère découverte de la ville : les rues étroites du cœur historique, la cathédrale, le couvent San Francisco, la place du Pelourhino, le marché… que nous visiterons à nouveau le samedi 11 octobre 1ère nuit à Salvador (Hôtel Marazul) Vendredi 10 octobre Transfert au port le matin pour embarquement à bord d’un saveiro, voilier typique pour une croisière dans la baie de Tous les Saints jusqu’à l’île d’Itaparica. 2ème nuit à Salvador (Hôtel Marazul) Samedi 11 octobre Journée libre pour parfaire vos visites de la ville. 3ème nuit à Salvador (Hôtel Marazul) Dimanche 12 octobre Promenade par autobus au bord de la mer jusqu’à la magnifique « Pria de Piatà » (nous longerons au moins 20 km de plages de beau sable blanc où les Brésiliens sont très nombreux le dimanche) 4ème nuit à Salvador (Hôtel Marazul) Lundi 13 octobre Départ de Salvador pour Iguaçu. Installation à l’hôtel Das Cataratas situé à proximité des magnifiques chutes qui sont à l’angle du Brésil, de l’Argentine et du Paraguay. 1ère nuit à Iguaçu (Hôtel Das Cataratas ***** ) Mardi 14 octobre Matinée libre pour la détente au bord de la piscine et pour visiter les chutes du versant brésilien situées à proximité de l’hôtel. L’après-midi, excursion au parc Macuco, tantôt en 4x4 pour un safari-photo, tantôt en bateau pour traverser le Rio Iguaçu en s’approchant des chutes. 2ème nuit à Iguaçu (Hôtel Das Cataratas ***** ) Mercredi 15 octobre Excursion pour visiter les chutes du côté argentin et si possible côté paraguayen 3ème nuit à Iguaçu (Hôtel Das Cataratas ***** ) Jeudi 16 octobre Transfert à Rio de Janeiro et transfert à l’Hôtel VILAMAR situé à Copacabana, à 150 m de la célèbre plage. 1ère nuit à Rio (5 au total) Nous déciderons lors d’un breifing quotidien ce que nous ferons au cours de la journée du lendemain. Du vendredi 17 au mercredi 22 octobre (5 jours) Nous découvrirons cette ville fascinante : le centre ville (la cathédrale, le port, le théâtre…), le pont reliant Rio à Niteroi (14 km), la Pain de Sucre (396 m) et le Corcovado (710 m) soit par autocar en traversant la forêt de Tijuca, soit par le train à crémaillère, le jardin botanique, match au stade Maracana où évoluent 4 équipes (Flamengo, Botafogo, Fluminense et Vasco de Gama), les plages (Ipanéma, Copacabana, Botafogo, Flamengo, Tijuca), soirées samba et bossa-nova… Du temps libre sera nécessaire et bien entendu, l’avenue Atlantica qui borde la célèbre plage vous offrira mille possibilités de détente. Autre hypothèse : une journée sur une île paradisiaque située à enriron 80 km au sud de Rio. Mercredi 22 octobre Journée libre à Rio avant le transfert à l’aéroport. Départ le soir pour Paris par un vol direct. Nuit dans l’avion. Jeudi 23 octobre Arrivée à Roissy CDG vers 13 h 45