Amicale des Anciens Sapeurs du Génie du Finistère

Transcription

Amicale des Anciens Sapeurs du Génie du Finistère
E DI T O RI A L
Bulletin n°15
A vril 2011
A micale des
A nciens Sapeurs
du G énie
du F inistère
Créée en 1994
Déclarée en Préfecture
Siège social :
30 rue Camille Vallaux
29480
Le Relecq-Kerhuon
Tél. : 02 98 28 46 64
Président
Louis THUILLIER
louis.thuillier@ wanadoo.fr
Sommaire
Editorial
Notre Sainte Barbe
Le souvenir de « Morts
pour la France » dans
les familles
In Memoriam
Le nouveau Corps des
Ingénieurs militaires
Précisions sur le texte des
pages 4 et 5
Séisme et Tsunami du
Japon
Infos diverses
Cotisation : 15 euros
Page 1
Pages
2 et 3
Pages
4 et 5
Ce bulletin présente comme à l’accoutumée les activités de notre amicale et ses deuils. Nous avons
ainsi l’occasion d’apporter aux familles ainsi touchées l’expression de notre sympathie et de rappeler des souvenirs que certains d’entre nous ont partagés avec ceux qui sont partis.
L’actualité apporte chaque jour son lot de sujets de réflexion. Ce bulletin aborde principalement deux
sujets très différents.
De nombreuses familles françaises ont connu la
douleur de compter un ou plusieurs « Morts pour la
France » en leur sein. Plusieurs d’entre nous ont constaté que ces familles sont un peu oubliées lors des
cérémonies patriotiques. Le document que vous
trouverez en pages 4 et 5 met en lumière quelques
aspects de ce que peuvent ressentir ces familles. En
page 6 vous trouverez comment il a été élaboré.
Nous sommes ainsi invités à faire l’effort de se rapprocher de ces familles.
Le deuxième sujet sur le séisme et le tsunami du
JAPON, abordé succinctement en page 7, est hélas
dans la suite des catastrophes évoquées dans les
bulletins précédents. Encore une fois les responsables
n’ont pas voulu connaître les risques qu’ils prenaient.
Page 6
Page 6
Page 7
Page 7
Page 8
Précision : A propos de la catastrophe de
Malpasset, notre camarade M. L’HYVER me signale que le 7ème R.G a participé, dans les premiers, au
secours des populations de Fréjus.
J’avoue un oubli coupable de ma part de n’avoir pas pensé que le Génie était certainement intervenu.
Le Président Louis THUILLIER
Veuves : 7,50 euros.
Page 1
VIE DE NOTRE AMICALE
Notre Sainte-Barbe 2010
C’est encore par un très beau temps que nous avons célébré notre Sainte-Barbe dans le
Sud-Finistère (et dire que de notoriété publique il pleut toujours en Bretagne ! Mais dans le
fond tant mieux, nous restons ainsi entre nous).
La matinée a consisté à visiter le Centre HALIOTIKA qui donne sur le port du Guilvinec
(2ème port de pêche en France après Boulogne). Depuis sa terrasse nous avons pu admirer cet
ensemble portuaire baigné par une mer d’huile (Je n’exagère pas).
Ce grand bâtiment comporte au rez-de-chaussée un ensemble de grandes salles où, matin
et soir, se passe la criée après l’arrivée des bateaux de pêche côtière ou de haute mer. A l’étage a été aménagé un musée dédié bien sûr à la pêche. Le guide qui nous a fait visiter les lieux a
été excellent. J’ai surtout retenu qu’à la limite des eaux territoriales se trouvent en permanence
une flottille de bateaux de pêche chinois qui périodiquement sont ravitaillés qui au retour
amènent en Chine les produits de la pêche pour lesquels il n’y a aucune restriction !
Le repas de midi s’est déroulé dans un restaurant de PLOMEUR . Très bon repas. J’ai tout de même un peu tiqué sur les trois petites langoustines qui se battaient en duel sur une cuisse
de pintade.
Notre président ne nous a rien appris de spécial sur notre amicale. Il a remercié vivement
nos camarades Michel BRAVARD et René FABIEN pour l’organisation de cette journée.
Nous avons été heureux de partager ces moments avec l’adjudant-chef L’HIVER ancien ème
du 7 Régiment du Génie d’Avignon qui a participé à la construction de la nouvelle Ecole de Saint-Cyr à COËTQUIDAN et qui nous a rejoints en 2009.
Nous avons aussi accueilli le général TROHEL et son épouse, également ancien de
l’Arrondissement des travaux de COËTQUIDAN qui a terminé sa carrière sous l’uniforme bleu des Pompiers de Paris.
F. Coutras
Etaient présents : Michel BRAVARD et Mme, Mme CAPITAINE et son fils, Francis
COUTRAS et sa belle-fille, René FABIEN et Mme, Anne GRALL, André HASCOËT et
Mme, René HASCOUET, Marcel LE BRUN et Mme, Claude LE MAT et Mme, Marius
L’HYVER, Yves OLLIVIER et Mme, Pierre POSTEC, Jean-René QUEGUINER et Mme,
Louis THUILLIER et Mme, Jacques TROHEL et Mme.
Page 2
L e Port du G uilvinec
L e Port du G uilvinec
Vers H A L I O T I K A
Un guide fort intéressant
L a salle du restaurant
Q uelques invités
Page 3
L e souvenir des « Morts pour la F rance » dans leurs familles
La France a choisi la date du 11 novembre pour honorer ceux de ses enfants qui ont
donné leur vie pour que leurs concitoyens vivent en paix. Elle leur a attribué le titre de
« Morts pour la France » pour souligner la valeur de leur sacrifice.
Ces cérémonies célébrées à une date symbolique, l’anniversaire de la fin de la Grande guerre, honorent tous les Morts pour la France tombés lors de tous les conflits qui ont
marqués le XXème siècle : les guerres de 14-18, de 39-45, l’Indochine, l’Algérie pour ne citer que les principaux.
Elles sont organisées avec la participation des associations d’anciens combattants. C’est l’occasion pour ces derniers de se souvenir de leurs camarades tombés à leurs côtés dans les
combats qu’ils ont menés ensemble.
Souvent depuis plusieurs années lors de ces célébrations, des lettres de « poilus » sont
lues pour rappeler la dureté des combats et les souffrances de ces soldats. On ne peut que se
féliciter de ces gestes qui entretiennent le souvenir de ces périodes terribles dans la mémoire
de nos concitoyens.
L e silence et la pudeur des familles
Paradoxalement, lors de ces cérémonies, les autorités associent rarement ou de manière
très discrète les familles de ces Morts pour la France. Pourtant elles ont évidemment
beaucoup souffert de la disparition de leurs proches et continuent, souvent avec beaucoup de
nostalgie, à évoquer leur mémoire.
Exerçant des responsabilités dans plusieurs associations d’anciens combattants, j’ai été impressionné au cours de ces dernières années par la vigueur, dans ces familles, du souvenir
de leurs proches.
Pour mesurer la force et la profondeur de ces souvenirs, il faut lever le voile de pudeur
sous lequel elles les gardent.
Ainsi lors d’une réunion de camarades, nous avions invité les principaux membres de la famille d’un camarade à venir se recueillir sur sa tombe. Notre surprise fut grande de voir l’importance que ce geste revêtait pour cette famille. Plus d’une vingtaine de membres de sa
famille se sont associés à notre cérémonie. A l’issue, les sœurs, les neveux et petits neveux nous ont longuement interrogés sur la vie et les combats de ce parent dont ils avaient conservé
un souvenir très fort. Certains se sont même étonnés que nous ayons fait ce geste de mémoire,
avouant qu’ils pensaient que nous pouvions l’avoir oublié. Les sœurs de ce camarade nous ont décrit le désarroi dans lequel elles ont appris la dure nouvelle du décès de leur frère et
combien il restait présent dans la mémoire de la famille.
Ainsi alerté par la force de ces souvenirs, lors d’autres cérémonies, je n’ai eu aucune difficulté à recueillir les souvenirs de membres de familles sur des proches ayant donné leur
vie pour la France
L es réactions des familles
Mais c’est sans doute lorsque les cérémonies ne paraissent pas à la hauteur de leurs souhaits que ces familles réagissent.
Traditionnellement dans la plupart de nos régions les cérémonies du 11 novembre étaient
précédées d’un office religieux qui rassemblait les familles de ces combattants Morts pour la
France et leurs camarades de combat. L a ferveur des participants était souvent renforcée
par le souvenir des lettres de ces soldats qui avaient trouvé dans leur foi la force de se
préparer au sacrifice suprême. De nombreux témoignages l’ont confirmé.
Page 4
Dans plusieurs régions la suppression de ces offices religieux dans certaines paroisses a
provoqué des réactions très fortes. Les familles concernées ne comprennent pas que l’on ne maintienne pas ce qu’elles considéraient comme une tradition indiscutable. Sans doute des
raisons, comme la diminution du nombre de prêtres, pouvaient à leurs yeux imposer le
regroupement de certains offices dans un lieu de culte unique. La suppression complète leur
est apparue comme inacceptable.
L es recherches des familles sur la vie et la mort de leurs Morts pour la F rance
Dans notre amicale, nous avons pu constater combien ce besoin de connaître l’histoire des combattants du 136ème RIF de 1940 est vif. C’est ainsi, qu’avec acharnement, plusieurs
familles continuent leurs recherches pour retrouver la trace des combats de leurs proches et
même les lieux où ils sont tombés. Les jeunes générations ne sont pas les moins motivées
pour connaître ces évènements de la vie de leurs anciens.
Les recherches sur la vie et la mort de ces héros, je les ai aussi rencontrées dans d’autres lieux, notamment dans les services d’archives ou les centres généalogiques où les familles tentent de retrouver la trace de leurs proches.
Certaines dérives actuelles
Il est regrettable enfin que trop souvent, pour des raisons difficilement compréhensibles
certains responsables se refusent à nommer ces combattants avec le titre qu’ils ont mérité :
celui de « Morts pour la France ». On ne veut plus parler que des victimes des guerres.
Ce n’est pas admissible. Ceux qui ont donné leur vie ne peuvent être considérés comme des victimes : lorsque l’on accepte le risque de donner sa vie pour aller au bout de son engagement, c’est-à-dire le don suprême pour un homme ou une femme, on ne peut être
une victime.
L es sujets de satisfaction
Heureusement dans de nombreuses communes, des cérémonies rappellent le sacrifice de
ces hommes qui avaient conscience de donner leur vie pour leurs compatriotes et les honorent
comme il se doit.
Un évènement est venu apporter au cours des derniers mois, dans ce domaine, un élément
notable : la sortie du film remarquable « Des Hommes et des Dieux ».
L’audience a dépassé dans des proportions très surprenantes le domaine religieux où il aurait pu rester. La critique et le public ont apprécié la profondeur et les qualités des
sentiments et des développements présentés. L’aspect essentiellement humain des actes et des pensées de ces moines se préparant à donner leur vie et les angoisses qu’ils ressentaient en
sont certainement la raison.
Lors de la projection du film, ceux qui ont connu ces angoisses avant de s’engager dans des actions de combat au cours desquelles ils allaient risquer leur vie, ont
certainement revécu ces moments difficiles.
C es réflexions et ces angoisses ont été aussi évidemment celles de tous ceux qui
sont Morts pour la F rance, notamment ceux du 136.
Enfin, nous n’oublierons pas les paroles de monseigneur Daniel LABILLE prononcées le 2 mai 2010 à Carignan. Il venait de donner la confirmation à des jeunes de la paroisse et de
célébrer la messe au cours de laquelle nous honorions les morts de notre 136. Au moment de
l’envoi, il a fermement invité les jeunes qu’il venait de confirmer à suivre l’exemple de ces hommes qui avaient donné leur vie pour respecter leur engagement.
E xtrait du bulletin de l ‘Amicale du 136e RIF 12-2010– C arignan (08) L . T H U I L L I E R
Page 5
IN M E M ORI A M
L e colonel E mile C O R R E
Les obsèques du Colonel Corre ont été célébrées à Plouguerneau le 24 novembre 2010.
L‘inhumation a eu lieu à Lilia. L’annonce de son décès est restée très discrète. Elle ne nous a pas permis d’assister à la cérémonie.
Le colonel Emile Corre, Officier de la L.H., 80 ans, avait notamment servi, en Grande Kabylie,
au sein du 72ème Bataillon du Génie, alors unité de combat d'Infanterie.
L e colonel A ndré L E G A L L
Lors de la dernière Sainte-Barbe, nous avions évoqué la grave maladie de notre camarade
André LE GALL. Sa fin a été rapide et il est décédé dans la nuit du 11 au 12 décembre. ses
obsèques ont eu lieu au Centre funéraire du Vern à Brest. Notre amicale était représentée par son
président le général Louis THUILLIER, les généraux BRAVARD et AUJOULET et moi-même.
La cérémonie religieuse a été dirigée par le lieutenant-colonel CARN de sa promotion. et
ancien enfant de troupe avec l’autorisation de l’Evêque de Quimper. L’éloge funèbre a été prononcé par le colonel DION, sapeur et ancien AET.
Le colonel LE GALL faisait partie de ceux qui ont beaucoup œuvré hors de France : Algérie,
Sahara, Les Antilles, les Îles Gambier en Polynésie. Il a fini comme adjoint au directeur des
Travaux du Génie de Lille. Il s’est retiré en Bretagne, patrie de ses ancêtres.
Les Enfants de troupe étaient représentés par le général de division LEMEE, Président de
l’Association du Finistère, et par les colonels MARTINIEN, TREGUER et RIOU.
Je profite de ce triste évènement pour évoquer un moment de la vie civile de nos sapeurs. Dans
les années 80, nous eûmes trois experts judiciaires spécialistes en « construction » auprès du
Tribunal de grande Instance de Brest : les colonels ELEGOËT, ITIER et LE GALL. De par leurs
expériences et leur impartialité ils ont fait honneur aux sapeurs que nous sommes.
Pour la petite histoire, j’ajouterai qu’à cette époque et pendant quelques temps, le Président du
TGI était un ancien AET. Son frère le colonel Jean RIOU était aussi un sapeur ancien AET, en
retraite du côté de Lampaul-Plouarzel. Il faut donc convenir qu’il y a quelques interférences entre les deux associations des sapeurs et des AET du Finistère.
Création du corps des ingénieurs militaires d’infrastructure
La création du nouveau corps des Ingénieurs Militaires d’Infrastructure rassemble dorénavant dans un corps unique, onze statuts différents d’officiers. Le Service d'infrastructure de la Défense
(SGA/SID) offrira des parcours de carrière homogènes et plus attractifs.
Ces officiers exerceront des fonctions d’inspection, de contrôle, d’expertise, de coordination et de direction en métropole, outre-mer ou sur les théâtres d’opérations extérieures.
Page 6
Précisions sur le document
« L e souvenir des Morts pour la F rance dans leurs familles »
Engagé dans plusieurs associations d’anciens combattants, j’ai eu la possibilité de rencontrer, souvent à l’occasion de cérémonies patriotiques mais aussi lors de contacts plus informels, des
familles de ces combattants qui ont donné leur vie lors des multiples conflits que la France a connus
depuis plusieurs décennies. Plusieurs fois j’ai ressenti cette sorte de frustration dans lesquelles elles
se trouvent devant la modestie des gestes faits en l’honneur de leurs « Morts pour la France ».
En particulier en réaction à cet état de fait, l’Amicale du 136 e Régiment d’Infanterie de Forteresse poursuit ses recherches pour retrouver la trace des combattants de ce régiment disparus
lors des combats de 1940. Chaque année lors des cérémonies organisées à Carignan, dans les
Ardennes, les membres de cette amicale font état des recherches qu’ils ont menées au cours de l’année. Le 136 a combattu en effet les Allemands du 13 mai, date de la Percée de Sedan, jusqu’à l’Armistice. Ils n’ont été, pour la plupart, faits prisonniers que le lendemain de cet armistice. Conscients de n’avoir rien à se reprocher tout au long de ces cinquante jours de combats, ils
sont regroupés au sein de cette amicale depuis 1946. Leurs enfants et, maintenant, leurs petitsenfants assurent la relève pour conserver la mémoire de ce qu’ont fait ces combattants. Ils ont souhaité à ce titre publier dans le bulletin de cette amicale en décembre 2010, le document cidessus.
Notre Conseil d’administration, sur la proposition que je lui ai faite et souhaitant s’associer à ce geste de mémoire, a accepté de le publier en l’état.
Louis Thuillier
L e séisme et le tsunami du Japon
Evoquant dans les derniers bulletins de notre amicale quelques catastrophes naturelles, j’avais insisté sur l’aveuglement de responsables ou l’insuffisance d’études préliminaires de la part de
ceux qui « ne voulaient pas connaître les risques encourus ».
La catastrophe qui vient de frapper le Japon ne fait, hélas, que confirmer l’aveuglement de décideurs qui disposent tout de même de données irréfutables.
La probabilité d’un séisme de magnitude 9 au JAPON ne pouvait être écartée, compte tenu
des séismes constatés depuis plusieurs années dans cette région de l’Asie. Le tsunami qui pouvait suivre un tel séisme de manière quasi automatique pouvait être aussi violent que celui de
magnitude 9 qui a frappé l’Indonésie le 24 décembre 2004, provoquant la mort de 220 000
personnes.
On ne peut que rester sans voix lorsque l’on apprend que le risque pour lequel étaient calculées les centrales nucléaires en cause n’était que de 7 sur l’échelle des magnitudes, soit un séisme 60 fois moins puissant que celui qui s’est produit au large de SENDAI.
En outre ces centrales se trouvaient incontestablement dans la zone probable d’un tel tsunami. Le fait que les constructeurs aient pensé être à l’abri d’une vague de 5 mètres tient de l’inconscience.
Je rappelle d’autre part que, selon les avis des spécialistes en sismologie, le risque d’un séisme de magnitude identique à celui d’Haïti est très probable en G uadeloupe.
Il suffit donc de croire qu’il ne se produira pas et pourtant..... ! L . T huillier
Page 7
C har démineur
Plus efficace que la baïonnette pour déminer mais aussi plus encombrant !!!!!
Campagne double pour les anciens d’Afrique du Nord
Le décret n° 2010-890 du 29 juillet 2010 portant attribution du bénéfice de la campagne double
aux anciens combattants d’AFN est paru au J.O. du 30-07-2010. Il concerne ceux qui perçoivent
une retraite liquidée a/c du 19-10-1999 et qui ont été exposés à « des actions de feu ou de combat »
du 1-01-1952 au 2-07-1962. Les services de l’O.N.A.C. donnent toutes informations sur ce décret.
Un peu d’humour
On ne peut que conseiller à nos jeunes camarades qui prennent part à « des actions de feu ou
de combat » de bien penser à se faire remettre une attestation chaque fois qu’elles se produiront pour pouvoir, lorsqu’ils prendront leur retraite, 37 ans après la fin des combats, bénéficier de ladite campagne double.
V auban
Les membres des amicales ont été fermement invités à s’abonner à la revue Vauban. Les coûts
de l’abonnement sont de 20 € pour un an et 40 € pour deux ans, les abonnements de soutien étant
respectivement de 32 € et 64 € pour un et deux ans.
Les imprimés pour prendre un abonnement peuvent être demandés au président Louis Thuillier.
L e site du G énie
Vous êtes invités à consulter le site de la Fédération à l’adresse : www.fng.asso.fr/
Votre cotisation
Si vous n’avez pas payé votre cotisation lors de notre assemblée générale (15 € et 7,5 € pour les veuves), n’oubliez pas de l’adresser au Trésorier :
M. René FABIEN : 25 rue de la Palue, 29370 LE GUILVINEC, 02 98 58 28 55.
Page 8