MOVIE PICTURE TEPA PLAQUETTE janvier 2012

MOVIE
PICTURES
janvier 2012
DEVELOPPEMENT ET PRODUCTION DU CINEMA
SOMMAIRE
1.
LE MARCHÉ DU CINÉMA
2.
COMMENT SE FINANCE LE CINÉMA FRANÇAIS
3.
POURQUOI INVESTIR DANS LE CINÉMA
4.
PRINCIPE DES PME AUDIOVISUELLES DÉVELOPPÉES PAR AXONE INVEST
5.
UNE RENTABILITÉ PRÉVISIBLE
6.
UNE OFFRE UNIQUE SUR LE MARCHÉ
7.
DES AVANTAGES QUI FONT LA DIFFÉRENCE
8.
ACTIVITÉ DE LA SOCIÉTÉ MOVIE PICTURES
9.
MANAGEMENT
10.
DIRECTION DES OPÉRATIONS
11.
LABYRINTHE FILMS ET SES PROJETS
12.
BETHSABÉE MUCHO ET SES PROJETS
13.
STRATÉGIE DE GESTION MOVIE PICTURES
14.
ACTUALITÉS (NOVEMBRE 2011)
15.
UN OBJECTIF DE GESTION ACTIONNAIRE
16.
AUGMENTATION DE CAPITAL DE MOVIE PICTURES
17.
VENTE DES ACTIONS AU TERME D’UNE PÉRIODE DE DÉTENTION DE 5 ANS
18.
RÉDUCTION IRPP 2012
19.
PRÉVISIONNEL ACTIONNAIRES
20.
RÉDUCTION ISF 2013
21.
PRÉVISIONNEL ACTIONNAIRES
22.
CONSEIL JURIDIQUE ET FISCAL
23.
POINTS FORTS
24.
CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
25.
MISE EN PLACE DES SOUSCRIPTIONS
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1. LE MARCHÉ DU CINÉMA
Le divertissement est un marché dynamique. Le cinéma français se porte mieux que jamais. Le nombre de
spectateurs et leur appétit de films est en croissance constante, la fréquentation des salles augmente chaque
année (+ 4,3 % par an en moyenne depuis 10 ans), la vidéo des films progresse (+5,4% selon le CNC) alors que
de nouveaux procédés technologiques se révèlent très prometteurs (3D et Blu Ray sont en pleine croissance).
Fréquentation cinéma France
Année
Entrées Salles
2007
178,2 M
2008
190,1 M
2009
200,9 M
2010
206,5 M
La télévision hertzienne et les chaines cinéma du câble et du satellite sont fortement concurrencées par les
nouveaux entrants de la TNT, rendant plus nombreuses et plus attractives les conditions de vente.
Grâce à la montée en puissance de la TNT, le nombre de chaines de télévision accessibles par le plus grand
nombre est ainsi en pleine expansion. Le nombre de films diffusés sur ces chaines explose.
Evolution de le diffusion de films sur la TNT gratuite
Nombre de films diffusés
2005
2006
2007
2008
2009
Total
346
509
683
873
965
Le cinéma est un marché d’offre et un loisir peu onéreux en période de crise. C’est un marché en bonne santé,
stable et en croissance depuis des années.
2. COMMENT SE FINANCE LE CINÉMA FRANÇAIS
Le financement d’un film repose avant tout sur des préventes de droits ou de diffusions futures, à savoir :
- prévente de droits de diffusion nationale par un distributeur français : versement d’un minimas garantis (avance
garantie sur les recettes qui seront générées par le film) au producteur en échange de droits de vente du film en
salles et/ou vidéo et/ou étranger,
- prévente de droits de diffusion étranger (dans le cas de films à gros budget) : un distributeur local achète au
producteur le droit de vente du film sur tous supports sur son territoire. Le prix payé est conservé par le
producteur que le film soit un succès ou non,
- prévente de diffusion TV : une ou plusieurs chaînes de télévisions françaises achètent le droit de diffuser la 1ère
ou 2nde fenêtre de diffusion du film. La législation impose en effet aux chaînes de TV française, en fonction de
leur nature, de consacrer une partie de leur chiffres au préachat de films français,
- divers mécanismes d’aides ou de financement (fonds de soutien, crédit d’impôt, SOFICA, subventions du CNC
ou des régions, etc.).
Le mode de financement du cinéma français doit évoluer car :
- Les distributeurs indépendants ont de plus en plus de mal à disposer des financements nécessaires pour
verser les minimas garantis nécessaires pour acquérir des droits sur des films,
- Le développement du piratage est un véritable problème et la réglementation peine à évoluer pour permettre
aux producteurs de capitaliser sur le développement notamment de la vidéo à la demande (VOD),
- Le développement de la TNT diminue la part de marché des chaînes historiques, de ce fait, leur chiffre
d’affaires peut potentiellement baisser et par voie de conséquence leurs obligations de préachat baisseront
d’autant. Ces nouvelles chaînes ont également besoin de programmes et certaines commencent à faire du
préachat mais pas dans des proportions suffisantes pour compenser la baisse inexorable de la contribution
des chaînes historiques. Ces nouvelles chaînes achètent donc pour l’essentiel des films à postériori,
- La situation économique difficile que nous traversons induit une diminution du dispositif d’aides et de soutiens
qui ont permis jusqu’à présent de maintenir une forte production en volume.
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3. POURQUOI INVESTIR DANS LE CINÉMA
De nombreux investisseurs financiers ont compris l’intérêt d’investir dans le cinéma, notamment aux États-Unis
où le cinéma est un véritable «business», très rentable d’ailleurs.
Le marché français, habitué à un environnement largement subventionné ou aidé, commence à peine à faire appel
à des fonds d’investissement privés car les recettes d’un film ne sont jamais nulles et sont diversifiées sur
plusieurs supports (salles, vidéo, VOD, TV) et plusieurs territoires et avec un peu de méthode, et à l’appui de
professionnels du secteur, il est relativement aisé de définir un objectif de gestion encadré d’autant plus que le
film a une valeur patrimoniale sur 30 ans.
De ce fait, de nouveaux moyens de financements se mettent en place. Le cinéma est moins risqué qu’il n’y paraît
quand on y investit avec discernement. De plus en plus de particuliers et d’investisseurs s’en rendent compte.
En effet, le retour sur investissement moyen des films français sur les cinq dernières années est de 122 % des
sommes engagées ; cette moyenne comprend tous les films français, films à petit budget à potentiel
généralement restreint et films à gros budget difficiles à rentabiliser.
Pour limiter fortement le risque d’échec commercial, le choix du distributeur est essentiel car les investissements
qu’il réalisera pour faire connaître le film (marketing) et lui permettre «d’exister» sont indissociables de son futur
succès. Ce distributeur assurera la duplication des copies, le marketing auprès du grand public, et la
commercialisation du film.
L’expérience du producteur, du réalisateur, des acteurs, permettront notamment d’évaluer le potentiel d’un film et
d’apporter une certaine visibilité sur les recettes futures.
L’investisseur pourra enfin limiter son risque en mutualisant ses apports sur plusieurs films et plusieurs
producteurs. 4. PRINCIPE DES PME AUDIOVISUELLES DÉVELOPPÉES PAR AXONE INVEST
La société AXONE INVEST est une société qui développe et met en œuvre, par le biais de structures ad hoc, des
solutions d’investissement pour le compte d’investisseurs privés. Elle a développé le principe de PME
audiovisuelles pour co-produire une ou plusieurs œuvres de fiction ou d’animation audiovisuelle conçues pour
être diffusées au cinéma et/ou à la télévision avec la conclusion d’un objectif de gestion encadré avec les
producteurs concernés.
La rentabilité d’une oeuvre audiovisuelle est prévisible et repose sur l’estimation des recettes d’exploitation
commerciale pour son exploitation au cinéma, par télédiffusion, sous forme de vidéogramme ou de vidéo à la
demande. Ainsi, en fonction de l’accueil du public, l’oeuvre générera plus ou moins de recettes pour son
producteur et ses partenaires financiers.
La souscription au capital de PME audiovisuelles est éligible à la Loi TEPA et/ou la Loi Dutreil permettant aux
associés de bénéficier de réductions de leur impôt sur la fortune et/ou sur le revenu.
Les associés des PME audiovisuelles n’ont pas vocation à rester au capital pendant la durée d’exploitation des
oeuvres (10 à 15 ans en moyenne), le producteur concerné est intéressé à racheter les actions aux investisseurs
au terme de la période de détention fiscale de 5 années à un prix défini dès la souscription.
Devenir associé d’une PME audiovisuelle, c’est la possibilité de participer directement à une opération
d’investissement originale, avec un retour sur investissement à forte visibilité, aux côtés de professionnels de
l’audiovisuel expérimentés, responsables et engagés.
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5. UNE RENTABILITÉ PRÉVISIBLE
La rentabilité d’un film ou d’une série audiovisuelle repose sur l’estimation des recettes d’exploitation
commerciale. Ainsi, l’oeuvre produite pourra générer des recettes de vente pour son exploitation au cinéma le cas
échéant, par télédiffusion, sous forme de vidéogramme ou de vidéo à la demande. Les sociétés de production en
relation avec AXONE INVEST proposent leurs projets en développement prévoyant chacun, au minimum, des
remontées de recettes prévisionnelles de 140 % (en hypothèse moyenne) de la valeur de l’apport en coproduction
réalisé pour acquérir les droits d’exploitation.
Chaque film ou série en projet est constitué des éléments suivants : l’histoire, le ou les auteurs, le ou les
réalisateur(s), le format et le support, le casting principal, le premier diffuseur national, le ou les producteurs
délégué(s)/exécutif(s), la date de début de tournage et celle de fin de tournage, la version originale, la nationalité,
la date de livraison de la copie standard, le budget prévisionnel de production et le plan de financement
prévisionnel.
6. UNE OFFRE UNIQUE SUR LE MARCHÉ
La société AXONE INVEST, Société Anonyme au capital de 1.920.960 euros, est spécialisée depuis 1994 dans la
conception et l’administration de sociétés d’investissement dans l’économie réelle, axées sur trois principaux
secteurs d’activité porteurs : la production audiovisuelle/cinéma, la production d’énergie renouvelable et le
financement de biens d’équipement dans les Dom-Com.
Ces sociétés d’investissement sont réservées à la souscription à des investisseurs privés souhaitant bénéficier de
divers dispositifs fiscaux avec un objectif de gestion encadré tels que la loi TEPA en faveur de la souscription au
capital des PME.
AXONE INVEST continue à développer son offre TEPA, permettant à des particuliers d’investir dans des PME afin
de bénéficier de réduction sur l’ISF et/ou l’impôt sur le revenu, tout en profitant d’un objectif de retour sur
investissement de 140 % en 5 ans hors avantages fiscaux.
Suite au succès de ses partenariats avec Les Films en Vrac, producteur du film Terre des Ours, 1er film
animalier coproduit avec James Cameron en 3D Relief qui a fait sensation à Cannes en 2011 et Lagardère
Entertainment, producteur de la série internationale Borgia par Tom Fontana (Homicide, Oz,…) dont le
tournage de la saison 2 est en cours.
AXONE INVEST continue sur sa lancée : consolidation de ses partenariats déjà existants et accroissement de son
offre dans le cinéma.
7. DES AVANTAGES QUI FONT LA DIFFÉRENCE
Le bénéfice d’un objectif de gestion encadré en participant au financement d’œuvres audiovisuelles identifiées :
un investissement dans l’économie réelle sans souci de gestion.
L'investisseur bénéficie des avantages fiscaux liés aux opérations souscrites avec un suivi administratif minimum :
généralement un rapport de gestion semestriel et une attestation fiscale par an.
Les frais de mise en place et de suivi des investissements sont pris en charge directement par les PME TEPA et
ainsi les investisseurs n’ont aucun frais à supporter au titre de leur investissement en comparaison aux offres
habituellement proposées sur le marché (Holding ISF, FCPI, FIP, …).
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8. ACTIVITE DE LA SOCIETE MOVIE PICTURES
Les sociétés LABYRINTHE FILMS et BETHSABÉE MUCHO, sociétés de production cinématographiques, se sont
rapprochées de la société AXONE INVEST en vue d’étudier les conditions juridiques, fiscales et financières pour
concevoir une solution d’accompagnement financier permettant à des investisseurs privés de participer au
développement, à la production et à la distribution de leurs films.
L’objectif est de participer au financement d’un catalogue de 10 films actuellement en développement par
ces 2 sociétés de production, participer en numéraire dans leur production en échange d’une quote-part des
recettes producteurs tout au long de la vie des films et ainsi constituer une valeur patrimoniale pouvant être
cédée à un terme défini.
La société MOVIE PICTURES, permet à des investisseurs privés d’apporter une partie du budget nécessaire au
développement de son activité en échange d’une partie des droits sur les recettes et de bénéficier des avantages
de la loi TEPA/Dutreil, à savoir des réductions d’impôt sur le revenu et sur la fortune prévues en faveur des
souscriptions au capital des PME.
9. MANAGEMENT
Julien Madon, avant de passer à la production, a été avocat dans le secteur des médias et du divertissement et
plus particulièrement conseil de producteurs sur les aspects juridiques et financiers en suivant la production au
jour le jour. Il a notamment été le conseiller de la production sur le film « LA FILLE DU PUISATIER » de Daniel
Auteuil (distribuée par Pathé avec une sortie le 20 avril 2011).
Il a produit son premier film « L’ASSAUT » sorti sur les écrans français le 9 mars 2011 par la société de
distribution Mars Films. Julien Madon sera salarié de la société MOVIE PICTURES en charge de la direction de la
production en lien direct avec les sociétés LABYRINTHE FILMS et BETHSABÉE MUCHO dont il est dirigeant
associé.
Lisa Azuelos, associée de la société BETHSABÉE MUCHO, et Julien Leclercq, associé de LABYRINTHE FILMS,
seront en charge, en leur qualité de réalisateurs, de valider artistiquement les projets pour chacune des sociétés
dans lesquels ils sont respectivement associés.
10. DIRECTION DES OPERATIONS
AXONE INVEST est en charge de l’ingénierie, de l’organisation de l’augmentation de capital, du suivi et back
office actionnaires.
AXONE INVEST assure une prestation administrative, juridique et financière en relation directe avec la direction
opérationnelle.
En charge du contrôle des opérations pour le compte des actionnaires, elle adressera notamment les attestations
fiscales, organisera les assemblées générales et rendra compte 2 fois par an de l’évolution de l’activité de la
société aux actionnaires par une lettre d’informations spécifique.
La société QB Partners est une société spécialisée dans la direction opérationnelle de sociétés de co-production
dans l’audiovisuel et le cinéma. En plus de sa qualité de représentant légal de la société, elle a pour mission
d’assurer la mise en oeuvre des contrats de co-production avec les sociétés de production concernées pour les
projets à financer et le suivi de leur exploitation.
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11. LABYRINTHE FILMS ET SES PROJETS
Société détenue par Julien Madon et Julien Leclercq (réalisateur
ayant réalisé deux films de long métrage) ayant produit « L’ASSAUT
» (film relatant le dénouement de la prise d’otages de l’Airbus A320
d’Air France à Marignane) et développant actuellement 5 films dits
de genre:
a. L’ORDRE DES ASSASSINS (en partenariat avec StudioCanal)
Film d’action se déroulant au XIème siècle en Perse lorsque la Perse
était occupée par l’Empire Ottoman. Un groupe de résistants,
surnommés « L’ordre des Assassins », mené par Hassan Sabbah,
commettait alors des attentats suicides contre des dignitaires turcs.
Pour y mettre fin, le sultan Maliksha charge un mercenaire, Aram, de
retrouver le lieu ou les Assassins se cachent pour les infiltrer et tuer
Hassan Sabbah.
b. LA TRAQUE (en partenariat avec StudioCanal)
Adapté du livre éponyme de Patricia Tourancheau, la Traque relate les
sept années de l’enquête policière ayant mené à l’arrestation de Guy
George, le « tueur de l’est parisien ».
c. GABI
Depuis son adolescence, Gabi travaille pour un clan criminel qui l’a
recueilli, protégé, nourri, et auquel il doit tout. C’est pour eux que
Gabi entre dans l’obscurité d’une maison, celle de Simon, son ami,
son frère de clan. Simon a trahi. Gabi doit le tuer. Quand Simon
aperçoit Gabi arme à la main, il comprend qu’il est condamné. Il ne
cherche pas à s’enfuir. Il sait que Gabi ne peut ni l’épargner, ni le
laisser partir. Gabi le paierait de sa vie. Simon reste digne. Il a une
demande à faire à son ami, une seule : qu’il s’occupe de sa fille
Margot, trois ans. Elle n’a pas d’autre famille que lui, et s’il meurt,
c’est l’assistance publique pour l’enfant. Gabi promet. Puis donne la
mort à Simon. Bouleversé, il sort de la maison avec la fillette dans les
bras. Vingt ans plus tard, Gabi a maintenant 45 ans. Il est devenu
Monsieur Gabriel Ayat, un entrepreneur qui a fait fortune dans la
promotion immobilière. Mais il va devoir redevenir Gabi pour
récupérer sa fille dont les mauvaises fréquentations l’ont fait
approcher le milieu du crime parisien.
d. MONSIEUR DE PARIS (en partenariat avec StudioCanal)
Monsieur de Paris était le nom donné par la presse à Anatole Deibler,
dernier bourreau français du temps des exécutions publiques.
Anatole Deibler qui, enfant rêvait d’aventures en lisant Jules Vernes, a
été obligé de reprendre la suite de son père. A la fin de sa vie, après
plus de 300 exécutions publiques, il se demande quel rôle il a joué
dans la machine judiciaire et ce faisant, quelle est sa responsabilité.
e. BANDE D’ARRÊT D’URGENCE
Un frère se retrouve en prison suite à l’enquête qu’il mène sur la
disparition dans des circonstances inconnues de son jumeau.
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En 2004, Julien Leclercq scénarise et
réalise un court-métrage, Transit, une
fiction d’anticipation autoproduite avec
Pierre Richard. Le film est remarqué par
Gaumont, qui embauche Julien
Leclercq pour réaliser un long métrage :
Chrysalis, un film policier se déroulant
dans le Paris de 2025. Le décor très
travaillé de ce film futuriste, un genre
plutôt négligé en France, est
impressionnant.
En 2011, Julien Leclercq réalise son
deuxième long-métrage, « L'ASSAUT »
qui est actuellement sur les écrans
français avec 500.000 spectateurs
après 3 semaines d’exploitation. Le film
est en sélection officielle au festival de
Tribeca à New-York.
12. BETHSABÉE MUCHO ET SES PROJETS
Société détenue par Julien Madon et Lisa Azuelos (réalisatrice et
membre du conseil d’administration de Pathé) ayant produit « LOL » et «
TOUT CE QUI BRILLE » et développant actuellement 5 films dits de
comédie :
a. LAISSE TOMBER LES FILLES (en partenariat avec Warner)
Joséphine aime Vincent. Vincent aime Joséphine.
Ils se marient dans quelques jours à la neige.
Sauf que si Vincent est bien l’homme de sa vie, il n’est pas son grand
amour.
Jo aime une femme… et pas n’importe laquelle : une de ses 3 meilleures
amies. Apprenant cela, celles-ci sont d’abord offusquées et se sentent
trahies par Joséphine…puis entrent en compétition pour être l’élue.
Lisa Azuelos a écrit et / ou réalisé de
nombreux films en France et aux ÉtatsUnis. Elle a écrit et réalisé « LOL
(Laughing Out Loud) » et « Comme t'y
es Belle! » « LOL » est une des plus
grosses recettes de 2008 en France
avec 3.6 millions de spectateurs.
« Comme t'y es Belle! » a également
été un succès avec 1.8 millions de
spectateurs.
b. RENCONTRE SOUS X (en partenariat avec Warner)
Adapté du best seller de Didier Van Cauwelart, Rencontre sous X
raconte l’histoire d’amour d’un footballeur d’une grande équipe payé des
fortunes pour rester sur le banc de touche avec une actrice du X, ou
l’amour de deux personnes perdues qui gagnent leur vie avec leur corps.
c. COMPOSTELLE
Compostelle est une comédie sentimentale qui raconte comment un
homme va reconquérir sa femme partie juste après leur divorce faire le
chemin de Compostelle en l’accompagnant sur ce chemin.
d. CALL ME (en partenariat avec Warner)
Annabelle est une call-girl de classe internationale. Elle gère le business
de son corps depuis son assistante basée à Genève ou elle a d’ailleurs
installé sa société.
Mais un jour, au hasard d’un rendez-vous, la voilà projetée à Paris au
début des années 70 en pleine révolution féminine et sexuelle ou la
condition de prostituée n’est pas franchement la même. Annabelle,
après des déconvenues, en profitera pour rencontrer sa mère qu’elle n’a
pas connue et lui bouleverser le cours de sa vie, et par l’occasion le
cours de sa propre vie.
e. SKYPE ME
Alice, Chargée de mission dans une compagnie d’assurance, la petite
quarantaine, est mariée, à Victor, 47 ans, Ingénieur. Parisiens d’origine,
ils viennent à peine de s’installer en Asie où Victor, doit suivre pendant 2
ans, un projet de construction d’usine.
Un remake en langue anglaise de
« LOL » a été tourné par Lisa Azuelos
en 2010 avec Miley Cyrus et Demi
Moore et sera distribué en 2012 par
Lionsgate.
Alice et Victor ont une fille, Suzanne, 17 ans, restée à Paris chez sa
grand mère pour terminer son année au lycée. Alice qui ne parle pas la
langue, ne peut travailler. Cependant, enthousiaste, elle a tout planifié de
Paris, avant de partir : « prendre des cours accélérés, en 3 mois elle
parle couramment, et réalise finalement le rêve de sa vie : ouvrir sa
propre petite boutique : un petit cabanon de maillots/ paréos sur une
plage.
Seulement, elle qui était au départ enchantée de partir se retrouve
coupée du monde (en tout cas de SON monde). Alice qui s’ennuie
sévère et a la nostalgie du pays, a trouvé l’unique lien qui la relie à sa
vraie vie : Skype, sur lequel elle passe toutes ses journées…
7
13. STRATEGIE DE GESTION MOVIE PICTURES
Le développement du catalogue de films, et de sa valorisation, interviendra à 3 niveaux.
NIVEAU 1. Le développement des projets qui consiste en l’écriture du scénario, son chiffrage et l’étude de
la production du film (plan de travail, casting et repérages).
Sur les fonds levés par la SAS MOVIE PICTURES, 50% seront attribués aux projets développés par
LABYRINTHE FILMS et 50% seront attribués aux projets portés par BETHSABÉE MUCHO. Ces fonds seront
investis à 50-50 entre les deux sociétés par le biais d’un contrat global de co-développement.
Pour chaque société, les fonds investis par la SAS MOVIE PICTURE en développement sur le slate de 5 projets
par société seront remboursés comme suit :
- Au 1er jour de tournage du 1er film mis en production : remboursement de 1/3 de l’investissement total majoré
de 10%.
- Au 1er jour de tournage du 2ème film mis en production : remboursement de 1/3ème de l’investissement total
majoré de 10%.
- Au 1er jour de tournage du 3ème film mis en production : remboursement de 1/3 de l’investissement total
majoré de 10%.
En 6 films, les fonds seront remboursés (or comme l’investissement porte sur un catalogue de 10 films, cela
diminue le risque d’un projet qui n’aboutirait pas) et auront déjà rapporté un bonus de 10% à la SAS MOVIE
PICTURES. Les fonds ainsi récupérés seront réinvestis dans les projets qui rentreront effectivement en
production (toujours selon le principe d’affectation 50-50 entre la société LABYRINTHE FILMS et la société
BETHSABÉE MUCHO) soit en coproduction (Niveau 2) soit en distribution (Niveau 3).
NIVEAU 2. La production des projets
La SAS MOVIE PICTURES pourrait, à la demande de LABYRINTHE FILMS ou de BETHSABÉE MUCHO et en
fonction de sa trésorerie disponible, intervenir en numéraire, dans la production des films et ainsi récupérer une
quote part des recettes revenant au producteur concerné. Cette quote part génère des recettes tout au long de la
vie du film (après que les distributeurs salle, vidéo et étranger aient récupéré leurs avances). Elle a en outre une
valeur patrimoniale constitutive d’un catalogue pouvant être cédé au producteur ou au distributeur salle.
Exemple de budget pour un film :
Dans l’hypothèse d’un film ayant un budget de 6.200.000 € (comprenant 5% de salaire producteur, 7% de frais
généraux => donc le réel coût de fabrication du film est de 5.500.000 euros) et dont le financement est le suivant :
MG salle/vidéo/étranger **
Pré-achat 1ère diffusion cryptée
Pré-achat 2ème diffusion cryptée
Pré-achat 1ère diffusion claire
Crédit d’impôt
Mise en participation Producteur (des salaires et frais généraux)
1.500.000 €
1.500.000 €
300.000 €
900.000 €
500.000 €
700.000 €
Participation MOVIE PICTURES
TOTAL (= le coût du film)
100.000 €
5.500.000 €
** : Très souvent
c’est le même
distributeur qui prend
les 3 mandats salle/
v i d é o / é t r a n g e r. I l
verse alors un MG
unique et toutes les
recettes sont
« crossées » pour
que son avance soit
remboursée.
Dans cet exemple, MOVIE PICTURES apporte 1/8ème de l’investissement total des producteurs (l’investissement
total étant de 700.000€ + 100.000€ = 800.000€) et donc peut prétendre à obtenir une part de coproduction de
12,5% de la part du Producteur (autrement dit dès que le film générera 1€ de recette pour le Producteur, MOVIE
PICTURES aura droit à 0,125€ sans aucune limite de montant ou de durée).
A noter que dans cet exemple la 2nde diffusion TV en clair n’a pas été cédée en pré-achat donc une fois la vente
faite MOVIE PICTURES pourra en percevoir directement 12,5% de la quote part du prix revenant au Producteur
(celui-ci est en général équivalent à 50% de la 1ère diffusion hertzienne soit en l’occurrence 450.000 € soit
405.000 € net de commission ainsi MOVIE PICTURES aurait droit à 50.625 € sur cette seule recette…).
8
NIVEAU 3. La distribution des projets
Lorsqu’un distributeur salle prend le mandat de distribution d’un film au cinéma, il verse au producteur un
minimum garanti (MG = avance sur les recettes) et en échange perçoit l’intégralité des recettes de la salle
jusqu’au remboursement de son avance (une fois ce remboursement effectué, le(s) producteur(s) perçoi(ven)t
l’intégralité des produits de la salle).
Le distributeur prend en outre une commission de distribution : lorsqu’il met effectivement un minimum garanti,
cette commission est de 30% (car outre son travail, cette commission rémunère son risque) mais lorsqu’il ne met
pas de minimum garanti, cette commission peut être réduite à 15%.
Voici l’impact des deux situations :
Une place de cinéma rapporte en moyenne 2,3€ au distributeur (on parle de Recette Brute Distributeur)
Une commission de 30% = 0,69€
Une commission de 15% = 0,345€
Dans le 1er cas, la Recette Nette Distributeur est de 1,61€ (2,3-0,69)
dans le 2nd cas elle est de 1,955€ (2,3-0,345).
MOVIE PICTURES pourrait donc investir à la place du distributeur pour avoir une commission réduite et que les
recettes remontent plus vite à MOVIE PICTURES et au producteur
Exemple : dans l’hypothèse d’un film nécessitant un Minimum Garanti non crossé pour les 3 mandats de
1.500.000 € - il peut être divisé comme suit :
-­‐
-­‐
-­‐
International : 400.000 €
Vidéo : 400.000 €
Salle France : 700.000 €
Ce qui signifie que pour « remonter le MG Salle France » il faut compter sur :
-
Pour un MG distributeur avec une commission à 30% 700.000 / 1,61 € = 435.000 entrées environ
Pour un MG mis par MOVIE PICTURES (donc commission à 15%) 700.000 / 1,955€ = 358.000 entrées environ
CONCLUSION : dans cette hypothèse le film a besoin de faire 22% d’entrées en plus pour être rentable si le
distributeur met un MG par rapport à une solution de financement par MOVIE PICTURES.
Dans cet exemple, le gain pour MOVIE PICTURES = récupération de son MG jusqu’à 120% de l’investissement
(soit jusqu’à 840.000 euros) + une part de coproduction (que le distributeur aurait demandé s’il avait mis un MG)
si s’ajoute à cet investissement un investissement en coproduction (Niveau 2).
Le retour sur investissement par film devrait commencer au bout d’1 an d’exploitation et est estimé sur 5 ans. La
prime de 10% versée au stade du développement (Niveau 1) ainsi que la « première vie » (exploitation salle) des
films mis en production devrait permettre de verser un dividende aux actionnaires dès 2013.
Dès lors que la société SAS MOVIE PICTURES reste propriétaire d’une quote part de copropriété sur les films,
des recettes complémentaires de vente (diffusions TV mais aussi remontées de l’exploitation DVD, VOD) viendront
compléter le bénéfice d’exploitation à distribuer aux actionnaires jusqu’à fin 2017.
L’objectif de valorisation de la société MOVIE PICTURES est à terme de 140% des fonds propres initiaux, de ce
fait, l’option de rachat consentie par les investisseurs aux producteurs est une incitation forte pour acquérir les
actions des investisseurs.
Cette rentabilité est à mettre au regard des réductions d’impôts dont peuvent bénéficier les investisseurs
concernés. L'investissement au capital de MOVIE PICTURES est donc très attractif.
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14. ACTUALITÉS (2012)
MOVIE PICTURES a réalisé un apport en coproduction dans le film «MAX» de Stephanie Murat produit par
BETHSABÉE MUCHO et ARDIMAGES avec Mathilde Seigner, Joey Starr et Jean-Pierre Marielle. Le tournage a eu
lieu entre janvier et mars 2012 (livraison pour une sortie en décembre 2012).
Note d’intention des producteurs :
MAX commence comme un conte de Noël (d’ailleurs l’intrigue se joue quelques jours avant Noël). C’est l’histoire
d’une petite fille, MAX, dont la maman est « montée au ciel » qui décide d’offrir en cadeau à son père, TONI, une
femme pour qu’elle s’occupe de lui « car il en a bien besoin »…mais ce faisant cette petite fille s’offre aussi la
présence féminine de ROSE qui fait tant défaut à son environnement. ROSE aussi a besoin de cette petite fille et
de son amour. Elle dit très bien « c’est la première fois que l’on me regarde ainsi, que je suis quelqu’un. » Et
finalement TONI, qui voit l’arrivée de ROSE dans leur vie comme une intrusion se rendra compte que non
seulement cela apaise sa fille mais aussi son coeur.
MAX, c'est surtout et avant tout une COMEDIE drôle ....et romantique. L’histoire de deux pieds nickelés qui
élèvent seuls une petite fille et une belle histoire d'amour entre TONI et ROSE ; aussi le regard posé sur nos héros
restera toujours tendre et drôle.
Par ailleurs, la société MOVIE PICTURES investit dans le développement des films suivants dont les tournages
sont programmés entre 2012 et 2013 :
-
«Bande d'arrêt d'urgence» de Stephan Guerin-Tillie ;
«Monsieur de Paris» de Julien Leclercq écrit par Abdel Raouf Dafri (produit avec Studiocanal) ;
«L'Ordre des Assassins» de Simon Moutairou (produit avec Studiocanal) ;
«La Traque» écrit par David Oelhoffen et réalisé par Frederic Tellier (produit avec Studiocanal) ;
«Gabi», film écrit et réalisé par David Oelhoffen.
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15. UN OBJECTIF DE GESTION ACTIONNAIRE
L’objectif de gestion de la SAS MOVIE PICTURES a été clairement défini avec les sociétés de production
LABYRINTHE FILMS et BETHSABEE MUCHO : constituer un catalogue permettant de valoriser la société MOVIE
PICTURES à un minimum de 140 % de la valeur de ses fonds propres à la souscription.
Le développement du catalogue, et de sa valorisation, interviendra à 3 niveaux :
- Le Développement,
- La Production,
- La Distribution.
Le retour sur investissement de chaque film est généralement estimé sur 12 mois.
16. AUGMENTATION DE CAPITAL DE MOVIE PICTURES
MOVIE PICTURES, Société par Actions Simplifiée au capital de 961.560 €, dont le siège social est au Vésinet
(78110), 16 rue Albert Joly, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Versailles sous le n° 532
539 426, va émettre jusqu’à 14.316 actions nouvelles pour le 3ème trimestre 2012.
Les actions sont émises au prix de 100 € chacune incluant une prime d’émission de 10 €. Ces nouvelles actions
sont réservées à un cercle restreint d’investisseurs de moins de cent personnes agissant pour compte propre.
Ces actions de préférence de catégorie C sont émises sans droit de vote hors du cadre de l’offre au public et
ouverte à tous type d’investisseurs et disposent d'un dividende préciputaire égal à 90 % du résultat distribuable
cumulé des exercices qui seront clos du 31 décembre 2012 au 31 décembre 2017 inclus. Ce dividende sera
réparti entre toutes les actions de préférence émises, y compris les actions de préférence émises à ce jour ou
d'éventuelles autres actions de préférence de même catégorie qui seraient émises ultérieurement.
17. VENTE DES ACTIONS AU TERME D’UNE PÉRIODE DE DÉTENTION DE 5 ANS
Les associés de la société MOVIE PICTURES n’ont pas vocation à rester au capital pendant la durée
d’exploitation des films. Ainsi, dans le cadre d’un rapport gagnant/gagnant avec les investisseurs qui auront
permis par leurs apports financiers d’assurer le développement et l’acquisition des droits d’exploitation sur un
catalogue de films, La société QB PARTNERS est intéressée à racheter les actions aux investisseurs à un terme
défini (5 ans).
Les investisseurs s'engageront, à la souscription, à céder à QB PARTNERS entre le 1er janvier 2018 et le 30 juin
2018 la totalité des actions qu'ils détiennent à cette date pour un prix de 140 € par action déduction faite du
cumul des dividendes déjà perçus à la date de réalisation de la cession sans pour autant que ce prix soit inférieur
à la valeur nominale des actions.
Exemples :
- Si le cumul de dividendes reçu par action est de 30 € , le prix de cession sera de 110 € , soit un retour sur
investissement cumulé de 140 € par action (objectif de gestion).
- Si le cumul de dividendes reçu par action est de 100 €, le prix de cession sera de 90 € (valeur nominale), soit un
retour sur investissement cumulé de 190 € par action.
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18. RÉDUCTION IRPP 2012
La société remplit les conditions prévues au II bis de l'article 199 terdecies O-A du code général des impôts, elle
est donc éligible à la réduction d'impôts pour souscription au capital de PME (régime renforcé). Cette réduction
de l’ Impôt sur le revenu est de 18% du montant des souscriptions effectuées dans la limite annuelle globale de
100.000 euros pour un couple marié et de 50.000 euros pour un célibataire, divorcé ou veuf, soit une réduction de
l'impôt sur le revenu 2012 jusqu'à 18.000 euros pour un couple marié et 9.000 euros pour un célibataire, veuf,
divorcé.
19. PREVISIONNELS ACTIONNAIRES
Exemple de prévisionnel financier pour une souscription de 50.000 € en vue de bénéficier d’une
réduction de l’impôt sur le revenu 2012 à hauteur de 18 % du montant de sa souscription.
Option IRPP
Souscription actions
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
-50 000 €
9 000 €
Réduction IRPP
Vente actions
70 000 €
Impôt sur la plus-value
-6 900 €
Flux annuels
-50 000 €
9 000 €
0€
0€
0€
0 € 63 100 €
* : Les dividendes qui seront versés aux actionnaires avant le 31/12/2017 viendront en diminution de la valeur de
vente des actions à terme, sans pour autant qu’il soit inférieur à leur valeur nominale, et augmenteront
sensiblement le taux de rentabilité de leur investissement par un retour sur investissement plus rapide.
Taux interne de rentabilité prévisionnel pour l’actionnaire :
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7,19 % nets de tout impôt
20. RÉDUCTIONS ISF 2013
En souscrivant au capital de la société, la loi TEPA du 21 août 2007 permet aux investisseurs de réduire leur ISF
2013, dans la limite annuelle globale de 45.000 euros, 50% des sommes versées au titre de la souscription au
capital d'une PME.
Vous pourrez donc répartir votre souscription sur vos déclarations au titre de l’impôt sur le revenu 2012 et/ou de
votre impôt sur la fortune 2013 en faisant le plein d’avantages fiscaux. Par ailleurs, quelle que soit l’option
retenue, les titres souscrits seront exonérés d'ISF pendant toute la durée de détention.
Pour bénéficier des avantages fiscaux sur le revenu et/ou sur la fortune, le souscripteur doit conserver les actions
souscrites au moins jusqu'au 31 décembre de la cinquième année suivant celle de la souscription.
21. PREVISIONNELS ACTIONNAIRES
Exemple de prévisionnel financier pour une souscription de 50.000 € en vue de bénéficier d’une
réduction de l’impôt sur la fortune 2013 à hauteur de 50 % du montant de sa souscription.
Souscription ISF
Souscription actions
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
-50 000
25 000
Réduction ISF
Vente actions
70 000
Impôt sur la plus-value
-6 900
Flux annuels
-50 000
25 000
0
0
0
0
63 100
* : Les dividendes qui seront versés aux actionnaires avant le 31/12/2017 viendront en diminution de la valeur de
vente des actions à terme, sans pour autant qu’il soit inférieur à leur valeur nominale, et augmenteront
sensiblement le taux de rentabilité de leur investissement par un retour sur investissement plus rapide.
14,40 % nets de tout impôt
Taux interne de rentabilité prévisionnel pour
22. CONSEIL JURIDIQUE ET FISCAL
Société d’avocats PDGB
Depuis sa création en 1985, PDGB, Société d’Avocats, a connu un développement constant grâce à la
mobilisation de tous ses associés et collaborateurs, leur grande disponibilité et réactivité au service de
ses clients, l’apport de nouvelles compétences et à l’interactivité de toutes les spécialités, ce qui le
place parmi les cabinets d’affaires reconnus sur la place de Paris.
Essentiellement tourné vers le monde des affaires, des entreprises et leurs dirigeants, PDGB intervient
tant en conseil, négociation qu’en contentieux, auprès de sa clientèle française et internationale
appartenant à des secteurs d’activité variés comme : la finance et la banque, l’industrie, le commerce,
les activités tertiaires et les médias.
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23. POINTS FORTS
1. Deux structures de production et un minimum de 10 films = diversification de l’investissement répartition
du risque ;
2. Deux structures de production ayant à chaque fois comme associés un réalisateur (à même de juger
artistiquement les projets) et un producteur ayant une expérience juridique et financière ;
3. Deux types de films : films de genre et comédies = deux fois plus de chance sur le marché de capter des
spectateurs ;
4. Deux structures ayant des liens très forts avec les plus gros distributeurs du marché (Pathé, Warner et
StudioCanal) intéressés dès 2018 à racheter l’intégralité des actions émises à un prix convenu ;
5. Un objectif de gestion réaliste et performant avec un engagement fort de la direction opérationnelle,
conforté par le fort engouement pour la production cinématographique et la qualité des diverses
personnalités impliquées.
24. CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES
-
Forme juridique de la société : SAS
Valeur d’émission d’une action : 100 euros
Souscription minimale : 100 actions, soit 10.000 €
Durée de l’investissement : jusqu’au 1er semestre 2018
Ingénierie financière et back office : AXONE INVEST
Prestataire en charge du placement : AXONE INVEST ou AM FRANCE
L’augmentation de capital en cours sera close dès que la totalité des actions émises pour 2012 sera souscrite.
Frais et charges de la société :
a) Droits d’entrée et de sortie investisseurs : néant
b) Frais de mise en place et ingénierie : 4 % HT des capitaux levés à la charge de la société
c) Frais de placement : 6 % HT des capitaux levés à la charge de la société
d) Frais de fonctionnement et de gestion de la société : Salaires de 2 personnes, frais de mission et présence sur
marchés, honoraires juridiques et comptables, CAC.
25. MISE EN PLACE DES SOUSCRIPTIONS
soit directement par un conseil agréé AXONE INVEST :
L’investisseur fait parvenir à AXONE INVEST directement, ou via son conseil, les documents de souscription
complétés et signés accompagnés du chèque de souscription à l’ordre de la SAS MOVIE PICTURES et des
pièces justificatives.
soit par internet avec AM FRANCE* :
L’investisseur s’inscrira directement, ou à l’aide de son conseil, sur le marché régulé ALTERNATIVA
(www.alternativa.fr) pour obtenir la qualité de membre. Il pourra ensuite effectuer un passage d’ordre simple et
rapide pour souscrire à l’augmentation de capital de la SAS MOVIE PICTURES. AM FRANCE fera ensuite parvenir
les fonds correspondants à MOVIE PICTURES au fur et à mesure de leur réception.
Quel que soit le mode de souscription retenu, les conditions financières sont identiques et le volume disponible
étant limité, le principe du premier arrivé, premier servi s’appliquera.
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AVERTISSEMENT INVESTISSEURS
L’information contenue dans ce document ne constitue pas la fourniture
de conseil en investissement ou le service connexe de recherche en
investissements et d’analyse financière au sens des Articles L321-1 et L
321-2 du code monétaire et financier. Ni cette information, ni ce
document ne constituent en aucune façon un conseil personnalisé ou
une sollicitation pour acheter, vendre ou conserver des produits
financiers.
Malgré toutes les dispositions prévues pour encadrer les
investissements, présenter le prévisionnel d’activité de la société sur des
supports durables et préserver les droits des actionnaires en leur
permettant de réaliser un investissement dans le cadre d’un rapport
gagnant/gagnant avec la direction opérationnelle. La société attire
l’attention des investisseurs sur le fait que les risques inhérents à ce type
d’investissements sont notamment un risque de perte en capital pouvant
aller jusqu’à sa totalité et un risque de liquidité qui permettra pas
toujours de céder ces instruments financiers au moment souhaité.
Le traitement fiscal dépend de la situation individuelle de chaque client
et il est susceptible d’être modifié ultérieurement.
Il est ainsi possible que des erreurs ou omissions puissent figurer dans
ce document sans que la société, ALTERNATIVA - AM FRANCE ou
AXONE INVEST puissent en être tenues responsables.
La société MOVIE PICTURES est éligible à la réduction IRPP et ISF et
recommande aux investisseurs de s’informer soigneusement avant toute
décision d’investissement, auprès de toute personne qu’ils jugeront
utile, notamment sur le plan financier, patrimonial, juridique et fiscal.
20, rue Jacques Daguerre
92500 RUEIL-MALMAISON
Tél. : 01 41 29 04 35
www.axone-invest.com
[email protected]
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