«Land`s end Terres d`infini» - Port
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«Land`s end Terres d`infini» - Port
Communiqué de presse Exposition «Land’s end Terres d’infini» 2 Fruit d’une coproduction entre le Museo do Mar de Galicia et le Port-musée de Douarnenez, l’exposition Land’s endTerres d’infini.2. s’aventure aux extrémités nord-occidentales de l’Europe, en ces lieux fascinants et magnétiques, de l’Ouest de l’Irlande à la Côte de la mort en Galice, de l’archipel des Scilly en Cornouailles à la pointe de la Bretagne. Conception graphique : www.foudebassan.fr « Au far-west du monde européen » selon la belle expression du poète Xavier Graal. Un voyage au cœur des arts graphiques et des cultures atlantiques Peintures, modèles sculptés en terre crue, témoignages d’habitants de ces finistères, installations sonores et images animées racontent la vie sur ces caps, ces falaises, ces îles, ces terres d’infini tendues vers l’ouest, confrontées aux déchaînements météorologiques, aux coups de boutoirs de l’Atlantique. Passeuse d’émotions profondes, expression singulière de la force poétique des éléments, empreinte d’une volonté de rendre compte de la substance, de l’essence de ces terres, de ces femmes, de ces hommes, l’exposition Land’s endTerres d’Infini .2., en décollant de la réalité documentaire collectée sur le terrain, invite à un voyage dans l’imaginaire, à un voyage au cœur de la culture atlantique. Peintures de Matthieu Dorval Textes de Chloé Batissou avec la participation de : Hugues Germain, artiste sonore Thomas Dorval, réalisateur infographiste The Edge 2.92x110cm.2010 Contact presse Céline Savina [email protected] tel. 02 98 92 65 20 Matthieu Dorval, peintre Originaire du Finistère, le peintre Matthieu Dorval regarde ce qui l’entoure. Il est l’artiste qui respire la mer, les hommes, la lande, les falaises. Avec l’œil et la main sur le motif, il peint les lignes, le bleu, le gris, le vert de tous les instants de la mer. Le voyage l’inspire et il part, curieux, vers les terres de bout du monde pour capturer avec ses pinceaux des rivages inconnus. Il dessine sa vie avec une poésie qui parle aussi bien d’une clarté entre ombre et lumière, d’une étendue de sable et de rochers… C’est chaque fois une alchimie d’ouverture devant l’infini ou l’homme sait que « nul n’est complètement seul » près de la mer… (E.R) © Franck Betermin Chloé Batissou, auteur Enfant de la rade de Brest, Chloé Batissou a des yeux qui connaissent quotidiennement la mer. Son regard écoute les hommes, les lieux d’ici et d’ailleurs. Elle note, écrit avec cette attention passionnée et exigeante des histoires : celles des gens, de leur pays… Son récit est conduit avec maîtrise et pudeur. Elle sait d’une confidence de pécheur, faire rebondir la lecture. « La mer ne fatigue jamais » écrit- elle et le lecteur découvre l’intensité des échanges, s’empare de ses mots avec cette saveur qui vient de la vague et du vent. (E.R) © Franck Betermin Avec la participation de Hugues Germain, artiste sonore Le son de Hughes Germain, matière enveloppante et volume en mouvement, laisse la place pour d’autres expressions sans perdre sa substance. La finesse des sensations d’espace qu’il nous soumet est possible grâce à l’usage pointu qu’il fait de son outil technique – informatique. Hughes Germain a confirmé son intervention sonore dans le paysage. À Swansea au Pays de Galles, il diffuse des sons autour d’une écluse dans le vieux quartier maritime. Pour le festival « Le vent des forêts » dans la Meuse, sa musique installée dans un petit bois au creux d’un vallon inspire le recueillement et crée des espaces quasi surnaturels, des harmonies étonnantes avec le lieu. © Sylvestre Nonique-Desvergnes Thomas Dorval, réalisateur infographiste Thomas Dorval prend comme point de départ la peinture telle qu’elle se pratique depuis des siècles, la convertit en base de données numérique en lui agrégeant au passage des notions d’espaces virtuels, de simulation de dynamiques physiques (le vent, les vagues, les courants…), sans en dénaturer le sens, la sensibilité, la chaleur, l’inspiration. Du détail précis d’une peinture figurant les infiltrations et les réseaux aqueux figés lors du séchage, il invite le visiteur à plonger dans un voyage à l’intérieur de la peinture et de la matière qui la constitue (l’eau, les pigments, la fibre du papier…) puis, de l’infiniment petit, à se déplacer dans l’immensité des paysages. Land’s end-Terres d’infini .2. [email protected] http://lands-end.fr/blog/ Tel. 0033 (0)6 82 99 56 99 Le port-musée Place de l’enfer - 29100 Douarnenez [email protected] www.port-musee.org Tel. 02 98 92 65 20