une piste patrimoniale plutôt tentante
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une piste patrimoniale plutôt tentante
IMMOBILIER Paru dans le magazine Informations Entreprise N°148- avri-mai-juin Le viager, une piste patrimoniale plutôt tentante ... Évidemment, le principe de spéculer sur la durée de vie d’autrui pour se constituer un patrimoine si possible à moindre prix a de quoi faire frémir notre (bonne?) conscience judéo-chrétienne. Il n’empêche ! Pratiqué depuis des temps immémoriaux, ce que l’on appelle le viager, après une certaine mise au purgatoire précisément en raison de son caractère de contrat aléatoire où l’acquéreur devient parfois le « dindon de la farce », effectue depuis quelques années un sacré retour en force sur le devant de la scène immobilière. L’allongement de l’espérance de vie conjugué à des difficultés économiques dues à la « fonte » comme neige au soleil des retraites contribuent pour beaucoup à la renaissance de ce dispositif certes attrayant sur bien des aspects, mais pas toujours dénué de risques. A Alors que ses partisans brandissent à la manière d’un étendard l’idée que la formule du viager permet à l’un (le vendeur qualifié de crédirentier) de pouvoir vieillir le plus sereinement possible en optimisant et en profitant de son bien immobilier avec la perception d’une rente à vie et à l’autre (l’acquéreur qualifié, lui, de débirentier) de sécuriser son avenir et celui de sa famille en se constituant un patrimoine à l’abri des lois fiscales, celui-ci n’en demeure pas moins un illustre inconnu pour nombre de nos compatriotes. Au vu des statistiques, le petit 1% que représente le viager par rapport au montant total des transactions immobilières n’a franchement pas de quoi inciter à sauter au plafond ou à donner l’envie de grimper aux rideaux. « On estime pourtant à près de 23.000 les biens disponibles sur le marché en raison du vieillissement de la population et de l’allongement de la durée de vie. D’ailleurs, selon les projections de l’INSEE en 2050, 22,3 millions de personnes seront âgées de 60 ans ou plus contre 18,6% millions actuellement » souligne Jacques Daboudet, PDG du réseau de conseillers immobiliers Capifrance (tombé dans le giron du groupe Artemis en juillet 2012) où un accent tout particulier sur le viager est mis depuis quelques mois avec recours à un logiciel marché spécifique pour un calcul au plus juste des niveaux des rentes et au déploiement d’un module de formation juridique afin d’y former des spécialistes du genre (qui, pour l’heure, sont un peu plus d’une centaine). >>Une pratique venue de la nuit des temps Peu à peu devenu en notre mémoire contemporaine «le viager, cet inconnu », cette déclinaison du vieux mot français Le chiffre 9000 Tel est le nombre de ventes viagères annuelles recensées par les dernières statistiques (soit environ 1% du montant total des transactions immobilières. Par Arnaud Bellegarde 182 183 IMMOBILIER « viage » (signifiant littéralement temps de vie) s’avérait pourtant dans les siècles passés, en des époques où la notion même de retraite relevait de la pure fantasmagorie, une forme de contrat extrêmement populaire. Y compris dans l’Antiquité où on relève une pratique viagère chez les Grecs, puis chez les Romains. Une tradition qui se poursuit après la chute de l’Empire romain avec la naissance de nouveaux États dirigés par des rois, lesquels distribuaient les terres qu’ils avaient conquises à leurs proches à titre viager, puis héréditaire, en échange du service militaire, avant de se perdre dans les limbes de l’histoire pendant plusieurs siècles. Il faudra attendre le Moyen-âge pour que le viager renaisse de ses cendres et fasse l’objet d’un cadre juridique avec organisation de sa pratique dans des formes « modernes » en 846 à l’instigation de Charles II dit Le Chauve. Au XVIIe siècle, son usage se retrouve réservé aux particuliers excluant de son champs les communautés religieuses qui avaient pourtant jusqu’alors les principales bénéficiaires. Sa pratique devient si prospère qu’elle conduit le rédacteur du Code Civil, en 1804, à la codifier dans ses articles 1968 à 1983. Ce qui aboutit en corollaire à la création de compagnies d’assurances dans le but de recevoir des capitaux à charge de rente viagère. L’État 184 lui-même se met de la partie en fondant en 1861 « la Caisse Nationale des retraites pour la vieillesse » destinée à permettre aux gens peu fortunés de se constituer une rente pour leurs vieux jours. C’est forte de cette légitimité qu’en 1815 l’impératrice Marie-Louise, épouse de Napoléon 1er, devient ainsi duchesse de Parme à titre viager à la suite du Congrès de Vienne. Et qu’en 1841, le Sultan Andrian Souli de Mayotte vend en viager l’île à la France contre une rente de mille piastres. Ou bien encore qu’en 1934, le Général de Gaulle achète en viager La Boisserie, dans le village de Colombey-les-DeuxEglises. Le plus étonnant dans la longue histoire du viager tient à la stabilité de son cadre législatif puisque, à l’exception de son article 1973 modifié en 2006, celui-ci demeure dans son exacte rédaction de 1804. Une lecture que l’on pourrait qualifier de « vintage », pour sacrifier à une tendance forte de notre ère, mais reflétant la volonté de ses rédacteurs d’offrir la possibilité aux citoyens les moins fortunés de pouvoir acquérir plus facilement un toit pour leur tête et accéder par là-même à un minimum de confort. >>L’aléa pour fondement Popularisé sur grand écran via le film réalisé en 1972 par Pierre Tchernia, avec l’inénarrable Michel Serrault dans le rôle de Louis Martinet, « Le Viager » (tel est le titre de ce long métrage) posait plutôt finement les limites et les écueils pouvant gripper un mécanisme à priori bien huilé. Alors que l’acquéreur du viager, en l’occurrence Léon Galipeau, médecin généraliste parisien incarné par le non moins truculent Michel Galabru, après auscultation de son patient (Martinet) l’avait amené à conclure à une durée de vie de ce dernier n’excédant pas deux ans, ce sera finalement le supposé moribond qui finira par enterrer au fil des ans toute la famille Galipeau. Une fiction qui trouve au demeurant sa réalité avec celle qui fut consacrée la doyenne non seulement des français mais également de l’humanité, autrement dit la célèbre Jeanne Calment. Cette vénérable vieille dame, outre l’exploit d’être décédée en 1997 à l’âge de 122 ans, ajoute à son actif celui d’avoir survécu quarante cinq ans à son notaire qui avait acheté en viager sa maison en 1965 ! Et c’est justement sur ce point que cette forme de vente immobilière présente un sérieux bémol l’ayant amené plusieurs décennies durant à connaître une forte désaffection de la part d’éventuels acquéreurs effrayés à la perspective que le crédirentier affiche la même débordante vitalité que dame Calment. D’autant que dans son principe, la rente viagère se trouve garantie à vie, pouvant être versée de façon mensuelle, trimestrielle ou annuelle. Il faut savoir aussi qu’un capital initial, poétiquement appelé le bouquet, peut être éventuellement versé au départ. « Le montant du prix tiendra compte alors d’un abattement pour l’usufruit et l’occupation. Si ce bouquet et cette rente sont fixés en commun accord entre le vendeur et l’acheteur, il est cependant préférable de procéder à une expertise par rapport à la situation de chaque personne. Pour le vendeur, sont ainsi pris en ligne de compte son âge, sa situation personnelle comme prévoir un éventuel placement en maison de retraite. En fait, il est nécessaire de procéder à une analyse personnalisée parce que chaque cas, chaque vente, s’avèrent différents » précise Jacques Daboudet. >>Un contrat multiformes Loin d’être monolithique, le viager présente une diversité de facettes. Parmi celles-ci, la plus courante est le viager occupé dans le cadre duquel le vendeur continue à habiter son logement et percevra sa vie durant un revenu complémentaire indexé et sécurisé, ce qui lui permettra de ne plus payer ni l’impôt foncier, ni les gros travaux et de se voir rembourser une partie des charges de copropriété. Précisons de surcroît que le crédirentier a la possibilité de quitter à tout moment le bien vendu. Autre type : le viager sans rente où, si le vendeur continue à habiter son logement, il percevra un capital en une seule fois (pas de rente donc) sur la base d’une totale défiscalisation puisque le bien constitue a résidence principale. Évoquons aussi le viager occupé temporairement permettant au vendeur de continuer à habiter son logement mais pendant un temps limité et prévu au contrat. Nettement plus rare (moins de 3% des rentes en viager), le viager libre consiste à vendre un bien libre de toute occupation du crédirentier (en revanche, il peut être occupé par un locataire) moyennant la perception d’une rente indexée et sécurisée. Le vendeur n’aura plus à payer l’impôt foncier, n’entretiendra plus de rapport avec la copropriété et le syndic et ne sera plus contraint à payer aucun travaux ni aucune réparation afférents à la copropriété ou au bien vendu. >>Une résurgence due à l’actuel contexte socio-économique Demeuré longtemps relégué au rang de « parent pauvre » des transactions immobilières, le viager connaît depuis trois à quatre ans un véritable regain d’intérêt. Jacques Daboudet voit dans ce nouvel élan la conjugaison de trois facteurs. « Le premier tient à ce que dans toutes les familles désormais, la durée de vie s’allonge. Ce qui engendre des problématiques qui n’existaient pas il y a une vingtaine d’années encore dans la mesure où les progrès de la médecine n’étaient pas aussi performants qu’aujourd’hui. Le second touche au régime des retraites qui ne cesse de se dégrader amenant un nombre croissant de français à trouver une source de revenu complémentaire. Le troisième se rapporte à la problématique de dépendance. En effet, même si l’on vit aujourd’hui plus longtemps et que l’on se porte de mieux en mieux, il n’en arrive pas moins que parvenus à un certain âge, des gens se retrouvent seuls. Or, ils n’ont pas forcément des enfants dans la capacité de les aider à pouvoir financer un placement en maison de retraite coûtant au minimum 1.700 euros par mois alors que la moyenne des retraites oscille entre 800 et 1.200 euros mensuels ». Un triple constat auquel nous ajouterons cette nouvelle tendance sociétale lourde observée depuis trois ans par les spécialistes de l’immobilier qu’est le fait que de plus en plus de parents se résolvent à vendre leur bien en viager pour aider leurs enfants en difficulté. De même pour un grand nombre de personnes qui, bien que propriétaires de leur résidence principale, se retrouvent dans l’impossibilité à pouvoir s’acquitter de la taxe foncière et/ou entretenir leur patrimoine, le viager apparaît dorénavant comme un remède à leurs difficultés. Une situation devenue si commune qu’elle a conduit l’Union mutualiste retraite (principal régime de retraite complémentaire facultatif) a lancé en 2012 le concept de viager mutualisé sous l’appellation Coremimmo afin de permettre à ses sociétaires confrontés à des difficultés financières de continuer à habiter dans leur logement. Plus souple que le viager classique, cette offre propose aux retraités de vendre leur résidence principale ou secondaire qu’ils pourront continuer à occuper à un fonds dédié ayant la forme d’une SCI, moyennant le versement d’un capital ou, s’ils le préfèrent, d’une rente viagère, mais seulement jusqu’à 75 ans. En tout état de cause, sur le plan de l’avantage fiscal, celui-ci diffère selon l’âge du crédirentier. Âgé de moins de 50 ans, la part imposable de la rente s’élèvera à 70% tandis que l’abattement sera de 30%. Entre 50 et 59 ans inclus, l’imposition équivaudra à 50%, l’abattement étant de 50%. De 60 à 69 ans inclus, la proportion sera de 40% pour la part imposable et 60% l’abattement. Pour les plus de 70 ans, celle-ci comprendra une part imposable de 30% pour un abattement de 30%. >>Attention aux chausse-trappes ! Aussi séduisante pusse-t-elle paraître, la formule du viager n’en apparaît pas moins pour certains professionnels comme insuffisamment sécurisée pour le vendeur. En premier lieu si le débirentier venait à décéder. Or, rien ne dit que ses héritiers présenteront une solvabilité adéquate. Dans ce cas de figure, si le débiteur met en œuvre une procédure de surendettement, le crédirentier se retrouvera sur la liste, au même rang qu’un banquier, à moins que les héritiers de l’acheteur ne se décident à revendre le viager. Autre maillon faible du système : le risque pour le vendeur d’être la victime d’un « petit arrangement entre amis », l’acquéreur poussant le propriétaire à signer un viager tout en ayant connaissance de sa santé fragile. Le cas s’est ainsi posé avec un notaire de La Baule qui, convaincu de manœuvres illicites en ce sens, s’est retrouvé radié. Demeure alors aussi la possibilité pour le vendeur (ou ses héritiers) de faire annuler le viager. Laquelle annulation, régie par l’article 1975 du Code civil, peut être prononcée lorsque les trois conditions suivantes sont réunies : 1) Le crédirentier est atteint au jour du contrat d’une maladie; 2) Le décès survient dans les vingt jours de l’acte de vente ou du compromis, le cas échéant; 3) Il est dû à la maladie dont le crédirentier était atteint au jour du contrat. Manière d’adoucir en quelque sorte le caractère aléatoire inhérent au viager, a été mise en orbite la formule du prêt viager hypothécaire qui permet au propriétaire d’un bien immobilier d’en obtenir des ressources sans avoir à le vendre. Celui-ci peut contracter ce prêt auprès d’un établissement de crédit et choisir de percevoir la somme sous forme d’un capital ou d’une rente viagère. Le remboursement s’effectue au décès de l’emprunteur par la vente du bien ou par anticipation si le propriétaire décide de s’en séparer. Si le prix de vente dépasse la dette, les héritiers récupéreront le solde. En revanche, dans le cas contraire, la dette ne tombera pas dans leur escarcelle. Quoi qu’il en soit, nombre d’investisseurs (particuliers ou fonds) regardent le viager avec les mêmes yeux doux qu’avait Rodrigue pour Chimène. En particulier la formule du viager occupé apparaissant à la fois comme un levier financier qui permet d’acheter un bien immobilier à environ 50 à 60% de sa valeur dont l’aléa correspondant à la durée de vie du vendeur peut être parfaitement neutralisé par l’achat de plusieurs viagers et un véritable paradis fiscal. Et oui ! Dans ce cas, celui-ci n’est soumis à aucune loi fiscale pouvant être rétroactive par nature. Par les temps qui courent, une piste plutôt tentante, n’est-il pas ? g 185 IMMOBILIER La construction aux 1000 visages Avec COULEUR INDIGO, une entreprise générale du second œuvre de bâtiment, c’est un seul interlocuteur pour tous vos travaux, rénovation, neuf, aménagement, décoration. D epuis plus de dix ans, Nathalie Macé met son équipe de professionnels du bâtiment au service des particuliers, des entreprises et des collectivités. Avec ces spécialistes tous corps d’état, elle garantit la prise en charge globale des chantiers jusqu’à l'aménagement et la décoration du bâtiment : « COULEUR INDIGO est l’une des rares entreprises dans son domaine à proposer une offre de produits et services aussi complète : maçonnerie, ravalement, plomberie, menuiserie, charpente, carrelage, terrasse, électricité, peinture, enduit, couverture …Nous associons aux services d'une entreprise générale ceux d’un spécialiste de la décoration et de l’aménagement de la maison. A chaque étape, nous traitons l'ensemble des demandes en veillant à la justesse et à la pertinence de la réponse et le respect des critères financiers et esthétiques du client. » Avec COULEUR INDIGO, vous l’aurez compris le client ne se soucie de rien. Il est assuré d’un accompagnement personnalisé sur la durée totale de ses travaux avec l'avantage d'avoir un interlocuteur unique et disponible du début à la fin. Dès le premier rendez-vous, il est écouté, guidé, conseillé. Conception du projet (réaménagement ou réorganisation) agencement des pièces, choix des matériaux…tout est pris en compte. A aucun moment il n’est laissé seul et en prise directe avec une multitude d’artisans. Un chef de chantier spécialisé tout corps d’état organise les travaux et coordonne l'intervention des différents ouvriers. « L’avantage de notre société est de travailler avec nos propres ouvriers et non avec des sous-traitants. Le chantier n’est jamais arrêté, nous n’avons aucun temps mort contrairement aux clients qui emploient plusieurs artisans et doivent attendre leur disponibilité entre chaque intervention» souligne Nathalie Macé. Très appréciée de ses clients pour son engagement dans une démarche de qualité et de service, cette chef d’entreprise n’hésite pas à s’impliquer personnellement tant dans la gestion des chantiers que dans le conseil et les relations personnelles avec les clients. « J’aime prendre du temps pour mes clients. Il est très important que je comprenne leur façon de vivre afin de réaliser une maison qui leur ressemble. Déterminer leur mode de vie : si la pièce à vivre est importante pour leur famille, si nous faisons le choix d’une cuisine indépendante ou d’un îlot central, où implanter les salles de bain, etc.…. Parfois ils ne savent pas comment agencer leur maison ni vers quelle décoration aller. Je suis là pour les aider, et leur apporter des solutions en fonction de leur besoin et de leur envie. Le fait que je sois une femme rassure souvent la clientèle féminine dont je comprends les préoccupations. Ainsi, je veille, surtout lorsqu’il y a des enfants qui vivent sur place, à ce que tous les éléments et les points d’eau en particulier ne soient pas déposés en même temps et à conserver des pièces à vivre bien protégées des travaux. » Toujours attentive et soucieuse de répondre à l’attente de ses clients Nathalie Macé n’hésite pas, pour ceux qui sont loin, à leur envoyer des photos par mail à chaque avancée des travaux. Forte de toutes ces bonnes relations et de la qualité de l’ensemble des prestations de son entreprise c’est sans véritable inquiétude qu’elle appréhende l’avenir malgré un marché fortement concurrencé par des entreprises européennes et également touché par la crise économique. « Notre clientèle est attentive aux garanties que nous leur offrons : la décennale, la qualité des matériaux et une finition impeccable. Que ce soit une clientèle de particuliers, de collectivités ou d’entreprises les attentes sont les mêmes. Nous avons rénové plus de 2000m² de magasin IKEA, travaillé pour le Conseil Général des Yvelines, réalisé la décoration de l'Accueil des familles de la maison d’arrêt de Bois d’Arcy, un relais logement à Dreux etc.. Tous ont été satisfaits. J’en suis convaincue : les entreprises de qualité ont leur place. » g L’immobilier remis à neuf avec le réseau 1CLIC – 1TOIT Jusqu’alors, la vente de biens immobiliers neufs étant bien souvent réservée aux promoteurs eux-mêmes, conseiller en gestion de patrimoine ou bien aux banques, l’accès des informations pour les particuliers était bien canalisé. Positionné comme le lien entre les acheteurs, les agences adhérentes et les promoteurs, 1CLIC – 1TOIT permet désormais aux particuliers d’accéder à une offre plus que complète de programmes neufs sur l’ensemble du territoire ainsi qu’un vrai conseil professionnel, local et personnalisé pour investir ou se loger. A ujourd'hui, avec les nouvelles législations concernant la consommation énergétique des bâtiments résidentiels, et si la vente de résidences anciennes reste dynamique en France, la demande concernant le renouvellement du parc immobilier ne cesse de croître. De plus, face aux actuelles difficultés de commercialisation, les promoteurs sont tenus de faire des efforts, de mieux maîtriser les coûts de construction et par là de proposer des prix plus justes. Cependant, il était jusqu'à il y a peu, très compliqué pour les particuliers d'avoir une vue d’ensemble du marché des programmes immobiliers neufs. Avec un réseau de constructeurs, de promoteurs et d'agents immobiliers partenaires étendu sur l’ensemble du territoire, le concept simple et efficace d’1CLIC – 1TOIT s'est rapidement positionné comme fédérateur pour garantir un meilleur accès au parc immobilier neuf aux même prix et conditions que les promoteurs. Fondé sur le principe du partenariat, l'enseigne propose alors différentes formules d'adhésion permettant aux agences de profiter des biens disponibles via le réseau de promoteurs (Nexity, Vinci, Bouygues immobilier, Kaufman and Broad etc.) >>Un partenariat, des avantages. Le concept, simple, s'en trouve être également profitable à tous. Les promoteurs trouvent une nouvelle vitrine pour leurs programmes, et les agences, des biens neufs qui leur manquaient jusqu'à présent. Ces dernières, en adhérant au réseau bénéficient de formations à la vente d’immobilier neuf. Lire un plan, comprendre les caractéristiques du neuf ou encore les méthodes de vente particulières qui font alors l'objet de sessions de formation. Assurant, durant le partenariat, un soutien logistique, informatique et juridique, 1CLIC – 1TOIT offre également aux membres du réseau la formation nécessaire à l'utilisation des ressources du site, mais également apprendre à présenter de façon objective et sans parti pris dans le choix des produits immobiliers. La passion de l'immobilier étant toujours présente pour son dirigeant, il continue son développement en apportant au site de nouvelles fonctionnalités et un service pour les particuliers qui se veut proche du client. g Bio express C'est en 2003, avec la commercialisation de terrains à des promoteurs immobiliers, qu’Arnaud Le Trionnaire prend goût pour le monde de l'immobilier. Possédant déjà à l'époque un bon carnet d'adresses, il devient rapidement apporteur d'affaires pour les promoteurs. Passionné par cet univers, et après avoir créé en 2005 l'agence ACCES IMO, il décide en 2008, de fonder le réseau 1CLIC – 1TOIT. Fort du constat simple de la difficulté pour les agents immobiliers de vendre de l'immobilier neuf par manque de produits, le réseau leur propose de commercialiser les programmes des constructeurs via un site Internet www.1clic-1toit.com qui permet aux particuliers et aux agences immobilières adhérentes d’avoir toutes les informations pour pouvoir faire un choix et une analyse des besoins du client. En 2009, la création du site est lancée et les signatures d'accords avec les promoteurs suivent. Dès 2011, dix premières agences adhèrent au réseau et l'année suivante, l'enseigne compte déjà plus de 97 agences immobilières partenaires. Logistique : comment conjuguer performance, réactivité et maîtrise de son budget ? Numéro un français de la location de bâtiments modulaires démontables, Locabri est un partenaire privilégié des logisticiens et industriels pour construire avec eux des solutions sur-mesure. Concepteur, fabricant et loueur de bâtiments et structures modulaires démontables, Locabri maîtrise toute la chaîne. A vec le développement du e-commerce, la logistique est un domaine d’activité en plein essor. La concurrence est forte et aiguisée. La créativité est la clef du succès : pour capter de nouveaux marchés ou fidéliser leurs clients, les logisticiens et industriels doivent faire preuve de réactivité et de souplesse. Aujourd’hui, ils expriment trois besoins majeurs : l’augmentation de la surface de stockage, la réactivité d’intervention, et la maîtrise des coûts. Numéro un français de la location de structures modulaires, Locabri répond à ces besoins avec des solutions simples. « Les structures modulaires démontables apportent, rapidité, flexibilité et économie pour la gestion des stocks », souligne son président Eric Dewinter. Entré dans l’entreprise en 1999 comme commercial, il a gravi tous les échelons : chargé de développement commercial, directeur commercial puis président. >>La grande distribution lance le mouvement Locabri a été fondée en 1975 pour répondre à un besoin de la grande distribution. Il fallait fournir des structures provisoires pour les soldes, les opérations spéciales, les braderies. De là, est né le concept de charpente en aluminium et toile. 186 Ensuite Locabri s’est diversifiée en travaillant pour l’industrie. « Là encore, nous avons développé notre offre en travaillant avec des matériaux adaptés, précise Eric Dewinter. Nous nous sommes positionnés dès le départ comme des innovateurs. Aujourd’hui nous conservons cette dimension et l’avons enrichie avec la dimension services, qui fait partie de l’ADN de l’entreprise. Pour l’essentiel, notre métier est la location en réponse à l’extension de surface de stockage, la création d’ateliers ou des périodes de travaux ». Locabri installe près de 250 000 m² de bâtiments démontables par an. 80 % du chiffre d’affaires sont réalisés par l’industrie et la logistique, les plus gros consommateurs. La grande distribution représente les 20 % restants du chiffre d’affaires dont la moitié pour des surfaces de vente additionnelles. « Par exemple, nous intervenons dans une entreprise qui veut réorganiser sa ligne de fabrication et donc agrandir ses locaux. Durant la durée des travaux, les machines sont installées dans nos structures modulaires et la production ne s’arrête pas. Autre exemple : suite à un appel d’offres gagné, un logisticien doit rapidement disposer de 2 000 m2 supplémentaires. Et nous avons la capacité de le faire en 48 heures ». Aujourd’hui, les deux tiers des contrats concernent des locations de longue durée : de 12 à 36 mois et parfois plus. En période de crise, les entreprises préfèrent concentrer leurs investissements sur leur outil de production plutôt que sur des projets immobiliers. Les solutions proposées par Locabri, en plus d’être économiques et réactives, facilitent l’arbitrage entre CAPEX et OPEX, sujet essentiel pour les grands groupes mais aussi pour les PME. Concepteur, fabricant et loueur de bâtiments et structures modulaires démontables, Locabri a fait le choix de l’indépendance. La société dispose d'un bureau d'études intégré : il conçoit de nouveaux produits tout en étant force de proposition face aux attentes des clients en termes de bâtiments modulaires démontables sur mesure. De la fabrication à l’installation, la qualité et la sécurité sont le leitmotiv. Depuis 2008, Locabri est certifiée ISO9001. g 187 IMMOBILIER La conception rapide et sécuritaire d’espaces industriels Les centres d’affaires : une tendance lourde Legoupil Industrie conçoit des bâtiments industriels réalisés en un temps record pour répondre à tous types d’enjeux, notamment dans les secteurs de l’industrie, du tertiaire et des collectivités. Son offre globale est basée sur la flexibilité mais aussi la fiabilité des réalisations qu’elles louent à ses clients. Elle lance un nouveau concept, Intégral +, qui allie le niveau technique de la construction traditionnelle aux avantages du modulaire. F ondée à Vire dans le Calvados en 1970, Legoupil Industrie a connu son véritable essor il y a une vingtaine d’années, lorsque la société s’est lancée dans la conception et la réalisation de constructions temporaires standard et sur mesure afin de répondre à des besoins d’espaces liés, en particulier, aux enjeux industriels de surplus de marchandises ou d’activité. Depuis cette date, l’entreprise affiche une croissance régulière : le chiffre d’affaires 2012 est de 26 millions d’euros, alors même que les effectifs liés à cette activité sont passés de quatre personnes en 1995 à 140 professionnels répartis sur trois sites de production. Legoupil Industrie est aujourd’hui en mesure de répondre aux besoins correspondants à de multiples usages (stockage, production, espace bureaux, locaux sociaux), pour l’ensemble des secteurs industriels du marché : aéronautique, traitement de déchets, automobile et équipementiers, agroalimentaire… >>Les aléas climatiques Cette activité répond à des besoins temporaires liés à des augmentations provisoires d’activité industrielle ou de stockage de marchandises. Or, les seules solutions disponibles sur le marché étaient, à cette époque, des constructions avec couvertures bâchées ou des tentes de stockage. Autrement dit des produits qui n’étaient absolument pas capables de garantir la sécurité des personnes abritées et des biens stockés. D’où l’idée de créer des bâtiments Implantés dans des villes de référence, les 140 centres d’affaires de Servcorp forment un réseau mondial qui couvre plus de 20 pays en Europe, aux Etats-Unis, au Moyen Orient, en Asie et bien sûr en Australie et Nouvelle-Zélande. Ils proposent la domiciliation (bureaux virtuels) mais aussi des bureaux équipés et la location de salles de réunion. Venu d’Australie, ce concept propose un service haut de gamme avec des adresses prestigieuses et un équipement technologique à la pointe. sûrs avec charpente métallique et rapidement installables. « Aujourd’hui, notre force est double : la rapidité de nos interventions et la qualité de nos installations reconnues comme très sécuritaires. Toutes nos constructions, même celles en location, sont certifiées neige et vent », précise Christophe Koeppel, Président. Le territoire national subit en effet, chaque année, deux épisodes de vents très violents en moyenne, sans parler des chutes de neige importantes et aléatoires. >Anne Guinebault, Directrice Générale Servcorp France. >>Les industriels concentrent leurs investissements Pour expliquer l’essor de ces solutions, Legoupil Industrie fait un triple constat simple : tout d’abord, la plupart des industriels peinent à se projeter dans le long terme et ils préfèrent concentrer leurs investissement sur leur outil de production plutôt que dans l’immobilier : donc ils réclament des bâtiments pour supporter un besoin sur la durée de leur visibilité ; enfin, on part très souvent sur une projection à deux ou trois ans pour constater, dix ans plus tard, que les besoins initiaux sont toujours présents ! Attentif aux besoins du marché, Legoupil Industrie a conçu un nouveau concept Intégral + en conception et réalisation, qui allie le niveau technique de la construction traditionnelle (durabilité/confort/esthétique) aux avantages du modulaire (modularité/flexibilité/démontabilité) : délais optimisés, coûts performants. Cette solution est aussi plus spécifiquement développée pour le tertiaire. « Nous sommes ainsi intervenus à plusieurs reprises dans l’enceinte de l’aéroport Roissy/ Charles-de-Gaulle, afin de construire, pour le compte d’ADP, des bâtiments démontables de 5000, 12000 et 3000 m2 ». g FINARENA Gestion Privée. L'orfèvre de la gestion patrimoniale Une arrivée qui bouleverse l’univers de la gestion patrimoniale dédiée aux dirigeants d’entreprise. L’alliance d’un cabinet indépendant à un institutionnel qui lui apporte l’ingénierie d’une grande banque privée et l’accès à une multiplicité de solutions diversifiées en architecture ouverte : un montage inédit à l'efficacité redoutable. 188 Ce qu’ils en pensent… « FINARENA, c’est d’abord un homme compétent et investi. Il recherche avec l’appui sélectif de son partenaire la bonne solution d’investissement dans ce monde fluctuant. Volubile et précis, c’est selon moi un prestataire financier très respecté.» Dominique Guerin, ex-PDG d’Adelya. « Les organismes financiers ont oublié l'importance de la qualité des rapports humains. Yvan Boutier, c’est une ouverture d'esprit, une connaissance pointue des problèmes financiers de l’entreprise et du dirigeant. J'encourage tous ceux qui voudront être entendus, compris et accompagnés de le rencontrer. » Alain Bounon, dirigeant de ICAM-SODIPRA « Si un jour, vous vous dîtes, il est temps que j’optimise mes affaires personnelles, affaires dont vous n’avez pu jusqu’à ce jour vous occuper, soit par manque de temps ou d’intérêt, soit par manque de compétence, FINARENA sera alors la réponse claire, posée, et réfléchie à toutes vos préoccupations ». Frédéric Lucy, Président de In Extenso. l'expert à une offre diversifiée. « Le meilleur des deux mondes » mis au service d'un accompagnement d'exception. g Communiqué S elon Yvan Boutier, dirigeant de FINARENA Gestion Privée, «l’offre des établissements bancaires en matière de gestion privée est relativement fermée, le turn over des gérants important et leur expérience du dirigeant d’entreprise souvent limitée à la sphère patrimoniale». C'est fort de ce constat et de sa double expertise de l’entreprise et du patrimoine, acquise au sein d’une grande banque de réseau durant 15 ans, qu'il crée en 2011 son cabinet de gestion privée. Yvan Boutier se positionne clairement comme l’interlocuteur patrimonial privilégié des dirigeants. Sa mission est « d'accompagner les chefs d'entreprises, cadres dirigeants, entreprises et institutionnels sur des sujets d'optimisation patrimoniale, de cession d'entreprise et de gestion de trésorerie.». Il s'engage donc dans une démarche de proximité et d'écoute, fondée sur un diagnostic complet, aboutissant à des préconisations et la mise en place de solutions sur mesure. Atout majeur que cette présence, dans un marché où le doute et l'insécurité se sont installés. C'est pourquoi les quatre agréments professionnels de FINARENA Gestion Privée rassurent et en font le partenaire idéal, alliant sécurisation, expertise et accompagnement dans la durée. Il était essentiel qu’Yvan Boutier mette en œuvre sa vision novatrice de l'approche patrimoniale des dirigeants pour leur apporter « une alternative originale et concrète à l’offre des banques privées traditionnelles ». C’est dans cette optique qu'il associe son expertise au savoir-faire et à la puissance d'un institutionnel. Ce partenaire, ce sera VENDYSSÉE FINANCE, cabinet de gestion privée autonome, créé à l’initiative d’AXA, qui lui apporte l'ingénierie dont il a besoin, l’offre des plus grandes signatures, un back office efficace ainsi qu'un accès privilégié à des services réservés : l' accueil « Client VIP », le pôle de compétences, la vision globale des actifs via un outil Web spécifique et le Cercle Vendôme dans lequel interviennent des gestionnaires de fonds prestigieux. Démarche audacieuse et remarquable qui permet d'allier l'objectivité de L e coworking est une tendance qui monte dans l’économie. Certains sociologues prévoient même que, d’ici 20 ans, la majorité des salariés travailleront à distance ou ponctuellement dans des bureaux mis à leur disposition dans des villes centres. Depuis plusieurs années, le développement des centres d’affaires dans les grandes métropoles vient en écho de cette prévision. Et, contrairement aux idées reçues, cette offre de services n’est pas limitée aux entreprises qui se créent, aux TPE ou aux consultants. De plus en plus de grands groupes y ont recours pour externaliser leurs antennes et réduire leurs coûts. Servcorp a été un des pionniers dans le monde de cette activité à la fin des années 1970. Tout part du fondateur. En 1976, Alf Moufarrige, entrepreneur par excellence, est sur le point de lancer une nouvelle entreprise. Il lui faut en premier lieu un bureau, une réceptionniste et une secrétaire, comme pour toute nouvelle entreprise arrivant sur le marché. Il se rend rapidement compte que ces frais vont grignoter ses bénéfices et qu'il ne sera pas en mesure de garder cette équipe occupée à 100% du temps. Il cherche alors à partager un bureau, une réceptionniste, une secrétaire, les coûts engendrés et à réduire les frais généraux. C'est alors que naît l'idée de Servcorp ! Quatre ans plus tard, Alf Moufarrige impose le concept de bureau virtuel. Trente-sept années ont passé et 140 centres d'affaires sont implantés dans plus de 20 pays en Europe, aux Etats-Unis, au Moyen Orient, en Asie et bien sûr en Australie et Nouvelle-Zélande. Ils proposent la domiciliation d’entreprise (bureaux virtuels) mais aussi de bureaux équipés et de la location de salles de réunion. >>Le Bureau Virtuel, la meilleure façon de démarrer une entreprise Grâce au concept de bureau virtuel, Alf Moufarrige donne ainsi sa chance à un nombre croissant de petites entreprises à la recherche d'une présence rentable en ville. Un bureau virtuel Servcorp permet aux entreprises de bénéficier de la présence et des installations d'un bureau équipé, sans le coût d'un bureau occupé à plein temps. « Nous accompagnons les starts-up en leur permettant de réduire les risques que suscite la création d’une nouvelle entreprise » indique Anne Guinebault, directrice générale France de Servcorp. « Le bureau virtuel permet aux sociétés de pouvoir bénéficier des éléments essentiels à leur installation : une adresse prestigieuse, une numéro de téléphone local répondu au nom de leur société par une réceptionniste bilingue et une accès ponctuel aux centres d’affaires pour venir travailler ou recevoir des rendez-vous ». >>Trois sites sur Paris Depuis 1998, Servcorp est présent à Paris et dispose aujourd’hui de trois sites : Square Edouard VII, Boulevard Haussmann et Champs Elysées. La marque Servcorp s’appuie sur quatre éléments forts. Tout d’abord, une adresse prestigieuse et des locaux haut de gamme : « Tous nos bureaux sont équipés avec des matériaux nobles. Nous voulons renforcer la crédibilité de nos clients quand ils rencontrent leurs prospects », souligne Anne Guinebault. Ensuite, chaque site dispose de deux équipes l’une pour le bureau virtuel, l’autre pour les bureaux équipés : chacun comporte au minimum une réceptionniste, une assistante et un responsable pour répondre aux besoins de ses clients et les accompagner dans la création et/ou le développement de leur entreprise. Troisième point fort de Servcorp, la flexibilité avec des contrats possibles pour une durée d’un mois. Quatrième point : la technologie. « C’est un de nos chevaux de bataille, affirme avec force Elodie Groult, responsable marketing France. Nous avons développé une gamme d’outils informatiques pour nos clients afin de développer leur compétitivité et réduire leurs coûts. C’est ainsi qu’ils peuvent avec notre plateforme internet Servcorp Online gérer à distance et en temps réel leur location de salles et les consignes données à la réceptionniste de leur centre d’affaires». De ses origines australiennes, Servcorp tire un fonctionnement très pragmatique, très anglo-saxon. Et les équipes sont multilingues sur chacun des sites. Quant aux liens avec le siège dans cette entreprise restée familiale malgré sa dimension mondiale, ils sont fréquents. « Nous avons quotidiennement des contacts avec le siège et cela entretient la culture de services qui a fait la force de Servcorp », indique Anne Guinebault. « La structure française s'appuie sur les forces et l'infrastructure de notre multinationale ; le modèle Servcorp est exporté partout dans le monde à l'identique, les standards premium sont respectés sur tous nos centres ». Un concept bien rôdé donc, avec un personnel compétent et agréable et des clients qui y trouvent leur compte ! g Contact : FINARENA Gestion Privée 2, avenue des Améthystes - Technoparc de l’Aubinière - 44338 Nantes Cedex 03 Salons au 18/20, place de la Madeleine Paris 8ème Tél : 02 72 24 19 77 [email protected] - www.finarena.fr 189