LA TUNISIE EST PRETE A ACCUEILLIR LE 14E CONGRES DE L
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LA TUNISIE EST PRETE A ACCUEILLIR LE 14E CONGRES DE L
Vol: 055 Août 2013 LA TUNISIE EST PRETE A ACCUEILLIR LE 14e CONGRES DE L’AFSTA D ans l’histoire de l’AFSTA, la Tunisie est le pays qui accueillit deux fois le Congrès annuel de l’AFSTA. Le Comité National d’organisation du Congrès de l’AFSTA 2014 a travaillé sans relâche pour s’assurer qu’il répondra aux attentes des délégués comme c’était le cas pour les autres Congrès annuels de l’AFSTA précédents. Il se tiendra à l’hôtel Ramada situé au bord de la mer à la périphérie de la belle ville de Tunis. La Tunisie propose aussi des attractions touristiques, donc les délégués seront en mesure de combiner loisirs et affaires lors d’un voyage en Tunisie. Parmi les attractions touristiques de la Tunisie, on peut citer la capitale cosmopolite de Tunis, les ruines de Carthage, les quartiers musulmans et juifs de Djerba et les stations balnéaires à l’extérieur de Monastir. Généralement, la Tunisie est connue pour ses plages de sable dorées, son temps ensoleillé et les luxes abordables. L’inscription au congrès commencera vers le début du mois de novembre 2013. agricole employant 16 % de la population active et contribuant pour 12 % en moyenne au Produit Intérieur Brut (PIB). La position géographique du pays par rapport à l’Europe permet que ses produits arrivent plus facilement au marché européen. En outre, le pays a l’avantage de Secrétaire général de l’AFSTA et l’équipe de se trouver entre l’UTICA à Tunis, Tunisie bassins orientale et occidentale de exportés restent l’huile d’olive/ la Méditerranée. Sa superficie citron (maltais) et les dates. totale est environ 162.000 km2 dont 10.000 km2 sont réservées Légumes frais occupent environ à des fins agricoles et 75 % des 152.000 ha par an répartis sur fermes agricoles ont une superficie 90 000 fermes. La moyenne de inférieure à 10 hectares. la production totale est d’environ 2,9 millions tonnes / an au Le sous-secteur « céréale » reste l’un cours des cinq dernières années des secteurs le plus important de ; ce qui équivaut à 16 % de la la production agricole en Tunisie. Dans les régions pluvieuses, où les conditions sont favorables, CALENDRIER DES ÉVÉNEMENTS Comme le prochain congrès de le blé dur est préférable à tout • La Tunisie est prête a accueillir le l’AFSTA se tiendra à Tunis, il est autre grain. Dans les zones moins 14e congrès de l’AFSTA temps d’apprendre un peu plus sur favorables (zones arides et semi• Réunion des secrétariats des l’agriculture de la Tunisie. Dans ce arides), l’orge est préférée à associations semencières pays, l’agriculture se trouve à la cause de son adaptabilité et sa nationale et régionale base de l’économie avec le secteur capacité à assurer un niveau de • L’Ouganda et le Kenya sont prêts production acceptable malgré pour homologuer des nouvelles des conditions difficiles. Le blé variétés de maïs pour le marché représente seulement 9 % de la • Nouvelles variétés de blé pour superficie. Les rendements varient les zones de bas-fonds irriguées selon la saison et cette variation de l’Ethiopie est surtout due aux fluctuations • Les agriculteurs dans vingt climatiques en particulier les pays africains ont l’opportunité précipitations. d’accroitre leur rendement Connu pour ses vastes vergers d’agrumes, de pommiers et de poiriers, d’amandiers et de dattiers, la Tunisie produit et exporte une large gamme de fruits. Toutefois, les principaux produits • Le mais utilisant l’azote avec efficience prêt a être homologue en Afrique • Visite de Partenariat du Président et du Secrétaire Général de l’AFSTA à Dakar au Sénégal Page 1 cont ... La Tunisie est prête a accueillir le 14e congrès de l’AFSTA production agricole et de 28 % de 2000/01 et devenaient 55 000 la production vivrière. tonnes en 2009/10. La plupart des exportations concernaient Pour répondre aux exigences quatre produits (tomate, pastèque, des consommateurs tunisiens pomme de terre et salade). Les et européens, des efforts principales destinations sont la importants ont été déployés pour France (45 %), l’Italie (23 %) et l’amélioration de la qualité et de l’Allemagne (9 %). la productivité pour une meilleure compétitivité pour l’exportation Les besoins annuels en semences vers les marchés internationaux. de la Tunisie sont estimés à 248.000 tonnes dont plus Les exportations des produits de 90% sont satisfaits par la horticoles ont augmenté presque production nationale. Certaines 8 fois au cours des dix dernières variétés de semences hybrides, années c’est-à-dire elles étaient de des légumineuses et des pommes 6.900 tonnes au cours de la saison de terre restent importées. Les défis rencontrés par le secteur semencier fait appel au renforcement du secteur par la mise à niveau de la production semencière des sociétés semencières, l’utilisation des résultats de recherche scientifique par les agriculteurs, l’organisation du secteur et la mise en place de projets de partenariat dans le domaine de la production de semences et plants avec des sociétés étrangères spécialisées. REUNION DES SECRETARIATS DES ASSOCIATIONS SEMENCIERES NATIONALE ET REGIONALE T raditionnellement, les secrétariats des associations semencières nationale et régionale se réunissent deux fois par c’est-àdire une réunion qui s’appelle réunion de « printemps » et une autre pendant le Congrès annuel de l’International Seed Federation (ISF). Cette réunion de « printemps » du 14 mars 2013 à Copenhague a vu la participation de 26 participants. Les résultats d’un sondage sur le matériel de communication et l’éligibilité des membres ont été discutés. Lors d’une précédente réunion, la sensibilisation des employés du gouvernement avait été identifiée comme un sujet qui a été bien maîtrisée pour certaines associations, mais certainement pas pour toutes les associations. Dans le but de fournir aux associations plus de directives pour cette sensibilisation, deux présentations avaient été faites par les associations semencières hollandaises et américaines. L’ISF ne va pas élargir dans le secteur de pomme de terre car une enquête auprès des membres de l’ISF avait montré qu’il y avait très peu d’intérêt pour un tel élargissement. Mme R. Ranganathan, M. P. Sismondo et M. M. Bruins du Secrétariat de l’ISF font le point sur leurs activités pour les différentes parties prenantes et leur ont demandé de poser des éventuelles questions. Il a été unanimement admis que l’interaction entre le Secrétariat de l’ISF et les associations de semences ont été très bonnes. Les associations ont apprécié la participation du Secrétariat de l’ISF à leurs évènements nationaux. Une participation accrue des associations qui normalement ne viennent pas aux réunions de l’ISF est nécessaire. Les participants sont d’accord pour une augmentation du frais de base multiple pour les membres associés de 0,34 à 0,5 pour la catégorie 1 et de 0,84 à 1.0 pour la catégorie 2. Page 2 L’OUGANDA ET LE KENYA SONT PRETS POUR HOMOLOGUER DES NOUVELLES VARIÉTÉS DE MAÏS POUR LE MARCHÉ L es agriculteurs du Kenya et de l’Ouganda pourraient bientôt commencer à cultiver des maïs conventionnels tolérants à la sécheresse une fois qu’ils sont approuvés pour la commercialisation par les autorités de réglementations respectives. KEPHIS,” dit-il. Il a ajouté que, comme les autres pays en Afrique, le Kenya et l’Ouganda sont touchés par la sécheresse. Les nouvelles variétés de maïs vont aider les agriculteurs à lutter contre les effets de la sècheresse qui affectent leur rendement. Ceci fait suite à plusieurs essais au champ faits pour tester les variétés de maïs à Embu, Machakos, Naivasha et Kakamega au Kenya et à Kasese en Ouganda. Le maïs est la culture de base la plus cultivée en Afrique de l’Est. Il est aussi très important pour l’alimentation des bétails. Selon l’Organisation Nationale de Recherche (NARO), la consommation totale de maïs par habitant varie entre 28 kilogrammes par an en Ouganda et 125 kilogrammes par an au Kenya. Dr Sylvester Oikeh, Directeur du Projet Maïs Résistant à la Sécheresse pour l’Afrique (WEMA), a déclaré qu’une variété est à son étape finale d’approbation et plus de 25 autres sont à des différents stades d’essai de rendement national au Kenya et huit variétés en Ouganda. “Les variétés ont fait l’objet d’essais sur le terrain dans diverses régions du Kenya depuis 2009 et seront disponibles pour les agriculteurs au cours de la saison 2013 pour la courte saison des pluies sous réserve de l’approbation finale du E Agricole, a déclaré que le maïs tolérant à la sécheresse en Ouganda sera à la disposition des agriculteurs à la fin de cette année ou début de l’année prochaine. « Jusqu’à présent, nous avons progressé parce que nous avons maintenant un certain nombre de cultures (maïs) qui sont en cours pour l’homologation d’environ huit hybrides. Ils sont dans les dernières étapes de test et nous espérons que le test soit fini cette année et la demande d’homologation aura lieu vers la fin de cette année ou le début de l’année prochaine » a déclaré le Dr Asea. Il a ajouté que la mise à la disposition des agriculteurs de libération de la nouvelle variété de maïs va résoudre les effets de la sécheresse qui affectent les cultures au stade de la floraison. L’Acte des Semences et Plants de l’Ouganda exige que les instituts de recherche fassent une demande au Comité National d’Homologation Dr Godfrey Asea, chef d’équipe des Variétés afin d’obtenir du Programme « céréale » à l’homologation des variétés. l’Institut National de Recherche Toutefois, les rendements restent faibles qui sont en moyenne autour de 1,5 tonnes par hectare en Ouganda et 2,3 tonnes par hectare au Kenya dus à une combinaison de facteurs, y compris la sécheresse, les ravageurs et les maladies. NOUVELLES VARIÉTÉS DE BLÉ POUR LES ZONES DE BAS-FONDS IRRIGUÉES DE L’ÉTHIOPIE n Ethiopie, le blé est produit largement en cultures pluviales avec un rendement national moyen de à 2 tonnes/ ha. En 2006, une recherche plus focalisé sur le blé irrigué a été relancée au Centre de Recherche Agricole de Werer (WARC) sous l’Institut Ethiopien de Recherche Agricole (EIAR). Le blé est l’une des cultures céréalières potentielles pour les zones irriguées qui peut être mieux utilisé comme une culture de rotation après le coton pendant la saison froide aux Etats d’Afar et de Somali, partie orientale de l’Éthiopie. Le WARC avait reçu des lignées prometteuses de l’ICARDA à travers l’essai de rendement de blé tendre du printemps de basse altitude de la 5e zone irriguée du CWANA et les a testés à Werer et à Gewane dans l’Etat régional d’Afar pendant deux saisons de culture 2010/11 à 2012/13. Le Comité National d’Homologation des Variétés (CNHV), au cours de sa délibération annuelle du 23 mai 2013, ont homologué deux variétés de blé tendre, Adel 6 et Nejma-14. Ces variétés ont un potentiel de rendement élevé, une tolérance à la chaleur et une tolérance à la salinité modérée. Elles sont recommandées pour les plaines irriguées d’Afambo, Amibera, Fentale-Awash, Assayta, Page 3 ... cont. NOUVELLES VARIÉTÉS DE BLÉ POUR LES ZONES DE BASFONDS IRRIGUÉES DE L’ÉTHIOPIE Dubti et Gewane dans la région d’Afar et des zones similaires. L’EIAR s’appuie sur son expérience de multiplication rapide des semences pour rendre ces variétés disponibles aux agriculteurs dans les plaines irriguées dans les plus brefs délais par le biais de son programme de vulgarisation. Essais de vérification des deux variétés de blé au Centre de Recherche Agricole de Werer en 2012/2013 L LES AGRICULTEURS DANS VINGT PAYS AFRICAINS ONT L’OPPORTUNITE D’ACCOITRE LEUR RENDEMENT es efforts pour transformer l’agriculture en Afrique ont reçu un coup de pouce comme plus de 60 chercheurs et partenaires se sont réunis dans le cadre de l’événement du soutien pour la recherche agricole et le développement de cultures stratégiques (ADRDSC) « Partenaires, Possibilités et Perspectives » du 15 juillet 2013 à la 6e semaine de sciences agricoles africaines à Accra. Le projet ADRD-SC augmentera la productivité du maïs, du manioc, du blé et du riz, de 20 % dans les vingt pays sélectionnés en Afrique. Le but est de réduire l’importation de denrées alimentaires venant des autres continents et d’offrir aux agriculteurs un meilleur accès aux marchés, d’améliorer les moyens de subsistance et de s’attaquer à la pauvreté grâce à une capacité accrue des bénéficiaires pour le développement durable dans la région. Environ 1 million d’agriculteurs bénéficieront directement du projet grâce à ses innovations alors qu’un autre million et demi sera atteint par les effets indirects du projet. « Réduire l’écart de rendement est la clé pour les agriculteurs africains, et les aidera à prendre part à la concurrence au niveau mondiale et à se nourrir euxmêmes» dit le coordinateur du projet SARD-SC, Chrysantus Astier de l’Institut International de l’Agriculture Tropicale (IITA). Financé par la Banque Africaine de Développement à concurrence de 63,24 millions de US$, le SARDSC vise également à créer des connaissances sur les innovations testées avec les agriculteurs au Bénin, de la Côte d’Ivoire, de la RD Congo, de l’Érythrée, de l’Éthiopie, du Ghana, du Kenya, du Lesotho, de Madagascar, du Mali, de la Mauritanie, du Niger, du Nigeria, du Sénégal, du Sierra Leone, du Soudan, de la Tanzanie, de l’Ouganda, de la Zambie et du Zimbabwe. L’IITA est l’un des principaux partenaires de recherche mondiaux pour trouver des solutions pour la faim, la malnutrition et la pauvreté. Sa recherche qui reçoit des prix pour l’approche de développement (R4D) s’occupe des besoins de développement des pays tropicaux. L’IITA collabore avec des partenaires pour améliorer la qualité des récoltes et de la productivité, réduire les risques des producteurs et des consommateurs et générer de la richesse à partir de l’agriculture. L’IITA est une organisation à but non lucratif fondée en 1967 et régie par un Conseil d’Administration. L’IITA travaille sur les cultures suivantes : le niébé, le soja, les bananiers et les bananiers plantains, l’igname, le manioc et le maïs. L’IITA est membre du CGIAR, un partenariat mondial de recherche en agriculture pour un avenir avec sécurité alimentaire. Le projet ADRD-SC est actuellement mis en œuvre conjointement par trois centres de CGIAR basés en Afrique et exécuté par l’IITA. Page 4 L LE MAIS UTILISANT L’AZOTE AVEC EFFICIENCE PRET A ETRE HOMOLOGUE EN AFRIQUE es sélectionneurs de mais publics et privés et les fournisseurs des semences en Afrique peuvent maintenant tester leurs lignées et leurs hybrides dans des conditions de stress contrôlé qui leur permettent de vérifier leur performance lorsqu’ils sont cultivés par les agriculteurs. Les résultats récents des essais régionaux d’identification du stress des maïs et d’autres sujets importants forment l’ordre du jour de la réunion annuelle du Maïs Amélioré pour les Sols africains (IMAS), qui ont eu lieu du 10 au 12 juillet 2013 à Nairobi et à laquelle plus de 70 personnes dont les représentants du CIMMYT, qui met en œuvre le projet, les partenaires clés comme DuPont Pioneer, l’Institut de Recherche Agricole du Kenya (KARI) et du Conseil pour la Recherche Agricole Sud-Africain (ARC), les sociétés semencières africaine et les organisations comme One Acre Funds et de la Fondation Bill & Melinda ont participé. « Les sociétés semencières privées s’intéressent beaucoup au test de leur matériel génétique dans nos essais régionaux » a déclaré le Chef de projet intérimaire et sélectionneur de maïs du CIMMYT, Biswanath Das, qui a considéré le test d’identification du stress des maïs comme une réalisation sans précédente dans la région. “Les essais de 2012/13 ont eu 114 lignées de maïs et des hybrides appartenant 13 partenaires dont 6 sociétés, qui ont été testés à 40 endroits de toute la région. Les conditions de test des sols très pauvres en azote et des stress de sécheresse contrôlés qui aont proches des conditions réelles de la ferme. » Dans les plus récents résultats, les rendements des hybrides Un essai sur l’utilisation de l’azote élites du projet correspondent ou marginalement dépassent celles des meilleurs hybrides commerciaux largement cultivés dans des circonstances favorables tandis qu’ils dépassent significativement dans des conditions de sécheresse et faibles en azote, selon le coordonnateur des essais et sélectionneur du CIMMYT Amsal Tarekegne. « Nous espérons qu’à travers ce réseau, toutes les semences disponibles pour les agriculteurs sont à haut rendement finalement dans toutes les conditions des agriculteurs. » Lancé en février 2010, l’IMAS produit des variétés de maïs qui utilisent mieux la petite quantité d’engrais dont disposent les agriculteurs africains pour produire des grains. Le projet utilise des approches transgéniques aves des marqueurs pour augmenter la sélection conventionnelle. Les variétés sont adaptées en Afrique et mettra en relief des caractères tels que la tolérance à la sécheresse, la résistance aux maladies et une meilleure qualité de grains. Les variétés de maïs de l’IMAS créées par la sélection conventionnelle sont prêtes pour les essais nationaux, la certification et l’homologation. On est au stade d’identifier la meilleure façon de vulgariser et de commercialiser ces variétés auprès des fournisseurs des semences et des agriculteurs. Les participants à la réunion ont visité plusieurs sites au Kenya, y compris le KARI à Kiboko, station de recherche, où, en partenariat avec le KARI, le projet de la Fondation Bill & Melinda Gates et le CIMMYT financent la construction d’une infrastructure pour la production de maïs haploïde qui serait opérationnel vers fin 2013. Le généticien moléculaire du CIMMYT, Michael Olsen, récemment recruté et qui prend la coordination de l’IMAS, a remercié tous les participants pour l’accueil chaleureux qu’il avait reçu. « Je suis vraiment motivé pour travailler pour ce projet », dit-il. « Il y a beaucoup d’énergie provenant de la réunion. » Les membres du comité de supervision du projet, le chercheur zimbabwéen Idah Sithole-Niang et le physiologiste de maïs retraité, Greg Edmeades, ainsi que le chargé de programme de la Fondation Bill & Melinda Gates, Gary Atlin, ont exprimé leur satisfecit pour le progrès réalisé jusqu’à maintenant. “La faible productivité due l’infertilité du sol est le plus grand défi pour l’agriculture africaine » a déclaré Atlin. « L’amélioration des plantes est une façon d’y remédier. Merci pour vos efforts superbes ». Page 5 Visite de Partenariat du Président et du Secrétaire Général de l’AFSTA à Dakar au Sénégal L e Président et le Secrétaire Général de l’AFSTA, M. Jitendra Shah et M. Justin Rakotoarisaona respectivement, a récemment visité la Direction du Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles (CORAF) et a profité de cette occasion pour voir de plus près la mise en place du Bureau régional pour Afrique de l’Ouest l’AFSTA à Dakar, Sénégal. Le Président du Comité « Afrique de l’Ouest », M. Amadou Djigo et Monsieur Amadou Sarr, Directeur Général de Tropicasem et également membre du Comité susmentionné, les ont accompagnés au cours de la séance de travail avec l’équipe du CORAF composé du son Directeur Exécutif, Dr Harold Roy-Macauley, le Directeur de programmes par intérim, Dr Ousmane Ndoye et le Chef du projet Programme Semencier Ouest Africain(WASP), Dr. Ernest Asiedu et d’autres personnel du CORAF. L’objectif principal de la visite était de renforcer la coopération entre les deux organisations, en particulier dans le cadre de la mise en œuvre du Programme Semencier Ouest Africain financé par l’USAID (WASP) et de peaufiner la mise en place du Bureau régional de l’AFSTA pour l’Afrique de l’Ouest (AFSTAWARO) à Dakar, Sénégal. L’AFSTA et le CORAF ont fait ensemble une visite de courtoisie au Ministre sénégalais de l’Agriculture et de l’équipement Rural, Son Excellence Abdoulaye Balde. Lors de la réunion, le Ministre a été informé du rôle et des fonctions du WASP dans l’amélioration de l’approvisionnement en semences de qualité en Afrique de l’Ouest, par le biais de (i) la mise en place de l’alliance semencière pour coordonner efficacement le L-R: Mr. Amadou Djigo, Senegal Minister of Agriculture and système de semences, Rural Equipment, Hon. Abdoulaye Balde, Mr. Jitu Shah, Dr. (ii) la mise en œuvre Ernest Asiedu & Mr. Justin Rakotoarisaona des règlementations sur les semences de la CALENDRIER DES ÉVÉNEMENTS CEDEAO, (iii) l’accroissement de l’approvisionnement en 1. Congrès annuel de l’APSA 2013:1822 novembre 2013 Kobe, Japon semences de qualité de souche et annuelle de l’Association (iv) l’appui à l’approvisionnement 2. Réunion européenne de semences : 13 au 15 en semences de base et certifiées. octobre. 2013 - Varsovie, Pologne Au Sénégal, le WASP s’associe ai 3. World Food Day 2013:16 octobre, 2013 Programme de Développement Agricole pour l’Afrique de 4. Africa Rice Congrès 2013 : 21-24 octobre - Yaoundé, Cameroun l’Ouest (PDAAO), l’institut 5. 2ème Congrès annuel de STAK, Sénégalais pour la Recherche Nairobi, Kenya: 6-8 novembre 2013 Agricole (ISRA), le secteur privé et des autres parties prenantes, y compris le Hub Rural, USAIDbilatérales, etc. Il a également été unication et informé sur le rôle EDITEUR : é de Comm rg ha C e, ng tu de l’AFSTA-WARO • Daniel O gie aidoirie de Technolo Pl dans le renforcement ae, Chargé ch ya N K. • Charles et Logistique de la capacité d’Information FSTA) Semences (A nt: o rg a n i s a t i o n n e l l e DésistemeAfricaine du Commerce des n des informations io L’Association écaution pour la précis n’accepte aucune des Associations pr elle a pris toute s exister ariat, mais r son Secrét urs qui pourraient toutefoi uvent nationales de données pa pe re er ne s s s auteur é pour de responsabilit l. Les articles écrits par le vue du Secrétariat semences et la na de dans ce jour r les points rement refléte . capacité du secteur pas nécessai ses membres ou A TA, de son C FS l’A de privé semencier pour Contact: l’agrobusiness ainsi l’AFSTA Secrétariat de / 272 7853 – 272 7860 que les modalités 20 – 54 +2 Tel: 61 78 20 – 272 pour la mise en place Fax: +254 – afsta.org @ sta af l: ai E-m du bureau pour la .afsta.org w Site web: ww mise en œuvre des activités du WASP liées à la capacité du secteur privé. Page 6