ALPES MARITIMES - Solidaires Finances publiques

Transcription

ALPES MARITIMES - Solidaires Finances publiques
UNION SNUI SUD TRESOR Solidaires
ALPES MARITIMES
Local syndical
Bureau 455
22 rue Joseph Cadéï
06172 NICE CEDEX
Tel: 04 92 09 45 88
Compte-Rendu
du groupe de travail du 19 novembre 2009
sur les S.I.P. de Cadéï et de Thiers
La réunion a débuté par l’intervention de M. DESSIMOULIE, T.P.G. du Pôle «Pilotage et
Ressources», une intervention qui nous a tous laissés plus que perplexes, tant ses
informations étaient floues.
Cette absence de précisions a engendré beaucoup de colère auprès des O.S., qui venaient
pour enfin recevoir les informations attendues depuis la mi-septembre, date à laquelle le
premier groupe de travail aurait dû se tenir.
Il s’est bien tenu des groupes de travail où étaient présents les chefs de service et
certains agents sélectionnés. (les O.S. ont été écartées : bonjour le dialogue social !)
Aucun compte-rendu ne nous a été transmis, ce qui n’a pas favorisé le dialogue du jour.
De plus, nous avons reçu la veille, en fin d’après-midi, un projet de plan globalement validé
par la Centrale que nous n’avons pas pu, faute de temps, étudier. Ces plans ne
concernaient que l’accueil et le 7ème et le 8ème étage.
Nous avons eu la confirmation que 5 S.I.P. seraient installés à Cadéï, et 1 à Thiers,
contrairement à l’avis de l’Union SNUI-SUD-TRESOR-SOLIDAIRES, qui a exigé depuis
l’origine, que seuls 4 S.I.P. y soient implantés.
De plus, il est ahurissant d’apprendre que l’ergonome n’interviendra qu’après que les plans
soient validés, la logique aurait voulu que celui-ci intervienne avant, pour prendre en
compte les conditions de travail des agents.
UN FLOU PERSISTANT SUR LE NOMBRE D’AGENTS…..
A notre demande précise du nombre d’agents qui allaient arriver de la D.G.C.P, seule la
surface supplémentaire de 300m2 nous a été mentionnée.
Une fois de plus, la Direction met «la charrue avant les bœufs».
Pour M. DESSIMOULIE, le plus important concerne «les murs, l’humain ne venant que
bien après».
A été abordé le problème de l’accueil téléphonique : «devons-nous aller vers une équipe
dédiée, ou des personnes répondant au téléphone réparties dans les services ?».
Nous savons que l’année dernière, 160.000 personnes ont été reçues à Cadéï, dont un tiers
était orienté vers les autres services.
Il serait prévu une équipe de 20 personnes à l’accueil, celle-ci fluctuera en fonction des
pics de réception.
Nous avons fait remarquer que la réception est constante et abondante. Il a été précisé
qu’une des particularités des Alpes Maritimes est que l’accueil est croissant,
contrairement aux autres départements.
On est fin novembre : les travaux nous ont été annoncés comme débutant le 15 janvier ;
or, la validation des plans n’est pas définitive, des modifications sont en cours, et les
appels d’offres auprès des entreprises ne sont toujours pas passés. Et il paraît que fin
mai, les travaux de l’accueil devront être très avancés. (SIC !)
A force d’insistance, on a fini par nous avancer le chiffre de 110 personnes qui devraient
arriver dans nos locaux.
Les O.S. de la Trésorerie ont fait remarquer qu’elles subissaient une suppression de 20
personnes par an, M. DESSIMOULIE n’a pas jugé bon de nous rassurer quand à l’avenir,
bien au contraire, les suppressions continueront au même rythme.
Les C.D.I.F. I et II seraient déménagés avant la fin de l’année, sans encore avoir aucune
précision sur leur destination, car le futur logement du gardien occuperait 2 des 3
secteurs fonciers du C.D.I.F. I et l’accueil occuperait vraisemblablement la place du
C.D.I.F. II, actuellement en travaux de désamiantage.
Le ménage commencerait par les C.H., car ce sont elles qui ont le plus de place pour
l’archivage.
Plusieurs problèmes se posent
- L’espace dévolu aux agents ne pourra que se réduire comme peau de chagrin
- celui de la gestion des armoires
- celui du parking (240 places à Cadéï pour plus de 500 agents, après mise en place des
S.I.P., le surplus serait géré au cas par cas)
- celui de la capacité d’accueil de la restauration collective
- celui de la sécurité
- celui de la formation des agents de l’accueil commun d’une journée et demie est
ridiculement insuffisant !
ARRETONS D’IGNORER L’ERGONOME ! !
Nous avons l’intention de demander au CHS une saisine de l’ergonome avant validation des
plans définitifs et le lancement des appels d’offre.
Si le C.H.S. ne devait pas valider cette demande, cette saisine serait faite directement
par SOLIDAIRES aux FINANCES.
Par ailleurs, nous avons demandé de recevoir tous les comptes-rendus des groupes de
travail antérieurs et à venir.