Christian Macé est un ufologue apprécié et appréciable

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Christian Macé est un ufologue apprécié et appréciable
Belgique Belgiƒ
P.P.-B.P.
1070 Bruxelles 7
BC1623
A.R.E.P.S
N€2 avril, mai, juin, 2005. Revue de l’Association de Recherche et d’Etude des Ph‚nomƒnes Spatiaux.
Association de Recherche et d’Etudes des Ph•nom‚nes Spatiaux. Association sans
but lucratif.
Cr‚che social : Korenbloestraat 27 1600 Sint Pieters Leeuw  02/377.55.62 Fax
02/377.55.62
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Page :
1 Les extraterrestres qui sont parmi nous
9 D’ •tranges visiteurs „ Expovni 96
11 Autre rencontre insolite
14 Les fabuleux ovnis de Colar‚s
19 Epingl• pour vous…
En couverture : tentative de reproduction d’une
observation pendant Expovni 96
2
3
n€………….
Formulaire d’inscription …
l'A.R.E.P.S.
Pr‚nom..
Adresse.
BP: n€..…….
ville :………………………………
Province : …………………………
Pays : ……………………………..
tel : …………. Fax :…………………. N€ s‚maphone ou GSM : ……………….
Etat-civil :…………………………..
Profession :…………………………
Quelles activit‚s d‚sireriez-vous occuper dans notre groupement ?
Mon choix :
1 Enqu†teur 2 Photographe 3 Conf‚rencier 4 Contacts avec les m‚dias
5 Observateur 6 Analyste 7 R‚dacteur 8 Interprƒte 9 Simple membre
10 membre actif .
Disposez-vous d'un moyen de transport et si oui, lequel ?
Quelles sont les possibilit‚s mat‚rielles qui pourraient nous †tre utiles ?
appareil photo, camera, jumelles, t‚lescope, ou autre ?…………………..
Pouvez-vous travailler sur ordinateur ? si oui, lequel ?
Pouvons-nous vous atteindre … tout moment ? non oui o‡ ?………………
Pour quelles raisons souhaitez-vous faire partie de notre association: ?…………
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Quelle(s) langue(s) pouvez-vous traduire ?……………………………….
Je verse la cotisation de 14 € pour l’ann‚e 2005 entant que sympathisent
Je verse la cotisation de 25 € pour l'ann‚e 2005 entant que membre adh‚rent
Le soussign‚ M…………………….
d‚sire entrer dans l'association entant que………………………………………
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1600 Sint Pieters Leeuw ccp n€ 000-0882339-27
A.R.E..P.S. Association de Recherches et d’Etudes des Ph‚nomƒnes
Spatiaux a.s.b.l. Siƒge social : Korenbloemstraat 27 1600 Sint Pieters
Leeuw  02/377.55.62  02/377.55.62
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Christian Mac• est un ufologue appr•ci• et appr•ciable, un ami de Guy Tarade et de
Bernard Bidault. Il profite maintenant des possibilit•s offertes par internet pour se
documenter aux quatre coins du monde et nous fait g•n•reusement cadeau
d’innombrables pistes et informations qu’il estime int•ressantes. Ses sujets pr•f•r•s :
les pouvoirs paranormaux , les tremblements de ciel, le rapport „ •tablir entre la
pr•sence du sel et le passage des ovnis , les hommes en noir. Il nous a cordialement
autoris•s „ reproduire ici l’essentiel d’un dossier personnel. Nous le remercions
chaleureusement. Sans toutefois ignorer que les plus importants † promoteurs ‡ de ce
sujet mythique sont des personnalit•s peu fiables (Gray Barker, Albert K. Bender, John
Sherwood- qui maintenant † vire sa cuti ‡ au profit des sceptiques- et mˆme le tr‚s
litt•raire John Keel, plus dou• pour le roman fantastique que pour de rigoureuses
enquˆtes…). Il nous semble que mˆme si ces fascinants promoteurs du mythe des
M.I.B. , mal d•gag•s de la science fiction, sont „ prendre avec des pincettes, ils
peuvent avoir exploit• un stock de r•cits contenant des fabulations, conscientes ou
non, et des t•moignages plus valables. Il n’y a pas de fum•e sans feu et, comme aime
„ le dire Pierre Jovanovic, † Ce n’est pas parce qu’on imite l’alouette que l’alouette ne
chante pas ‡ !
Laissons la place au sympathique et talentueux Christian Mac•.
LES EXTRATERRESTRES QUI SONT PARMI NOUS …
† Nous n’avons que trop tendance „ " classer " certains incidents importants ou
simples faits divers, qui finissent ainsi par sombrer dans l’oubli. Nous allons ressortir
pour vous ces " affaires non class•es " „ l’aspect inqui•tant. Les lecteurs pourront
exercer leur sagacit• sur ces faits bizarres „ tous points de vue, qui, jusque l„, faisaient
partie du " domaine r•serv• " des... ufologues avertis ! De quoi s’agit-il ? DES
HOMMES EN NOIR !
Il nous faut •voquer ces angoissants personnages qui sont venus, plus d’une fois,
rendre visite „ certains t•moins d’observations ovni : " les Hommes en noir " ! " Ils "
ne se d•placent pas pour des faits mineurs, mais pour des affaires qui doivent revˆtir,
pour ceux-ci, une extrˆme importance quelque part...Remettons-nous en m•moire
certaines de leurs interventions...
Le 26 mars 1880, „ Galisteo Junction, sud de Santa-F•, Nouveau-Mexique, quatre
hommes virent un OVNI au-dessus de leur village ; un objet en tomba, une esp‚ce de
vase couvert de hi•roglyphes incompr•hensibles." Les t€moins l’avaient port€ dans la
seule boutique du village, qui faisait €galement office de lieu de r€union, afin de
prouver qu’ils avaient bien vu " quelque chose ". L’objet y €tait rest€ deux jours,
jusqu'‚ ce qu’un homme se disant " collectionneur " se pr€sentƒt pour l’acheter. Il en
offrit une somme astronomique, dit-on... " ( " Le Triangle des Bermudes, base secr‚te
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des OVNI ", Jean Prachan, chez Belfond, p 146) Autre citation, page 146 : " On sait,
par exemple, qu’en 1897, au Texas, un " homme en noir " s’empara d’un morceau de
m€tal retrouv€ par les t€moins du passage d’un OVNI apr„s que celui-ci l’e…t laiss€
tomber. "
( ‰ noter que la CIA n’y •tait pour rien, puisque cette Agence fut cr••e en... 1947 !)
Aux USA, 21 juillet 1947, Mr Dohl, „ bord du bateau de patrouille du port de Tacoma,
au large de l’Šle Maury, vit six OVNI, dont un laissa tomber de la mati‚re. Il re‹ut la
visite d’un " homme en noir ", qui avait d•crit l’incident, aussi nettement que s’il avait
•t• assis pr‚s de Mr Dohl sur le bateau ! Le myst•rieux personnage lui intima l’ordre
de se taire ! Enquˆte sur place du c•l‚bre Kenneth Arnold. Voir son livre " The
Coming of the Saucers " •crit avec Ray Palmer, •dition „ compte d’Auteur, Amtierst,
Wisconsin, 1952.
En 1951, USA, au large des cŒtes de la Floride, l’•quipage d’une vedette aper‹oit un
OVNI. L’oc•an alentour •tait couvert de poissons morts, le ventre „ l’air. Soudain, un
avion apparut „ l’horizon et le myst•rieux objet s’•leva dans l’air o• il disparut en
quelques secondes. ‰ peine la vedette avait-elle regagn• son port d’attache „ Key West
(extrˆme sud de la Floride), que les membres de l’•quipage furent accost•s par un
groupe d’hommes d’allure officielle vˆtus de noir. Ils pos‚rent mille questions
concernant leur observation en pleine mer. Selon l’un des t•moins, on aurait dit que "
ces hommes " tendaient „ discr•diter la validit• du t•moignage des marins !
En janvier 1952, Albert K. Bender avait cr•• l’organisme " International Flying
Saucers " (Bureau international pour les soucoupes volantes), qui •ditait " Space
Review " ... moins de deux ans plus tard, bien qu’elle fut en plein essor, l’association
dut brusquement fermer ses portes ! L’ultime num•ro du magazine publiera le
communiqu• suivant : " Il n’y a plus de myst„res des soucoupes volantes : on sait d€j‚
d’o† est venu la solution, mais toute r€v€lation ‚ ce sujet est interdite par ordre d’une
autorit€ sup€rieure. Nous aurions aim€ raconter toute l’histoire dans " le bulletin de
l’espace ", mais en raison de la nature de cette information, il nous a €t€ conseill€ de
n’en rien faire ‚ notre grand regret. " Voir p. 100 de " Extraterrestres et Soucoupes
Volantes ", Hachette, 1979. Bender r•v•lera plus tard avoir dŽ suivre " les
recommandations " de trois " hommes en noir ", aux yeux brillants, capables de se "
mat•rialiser " et " d•mat•rialiser ", dou•s du pouvoir t•l•pathique !
Voici maintenant un autre cas tout aussi •difiant, qui avait •t• transmis „ titre priv•
(moyennant la garantie de l’anonymat) au docteur J. Allen Hyneck, consultant pendant
20 ans „ l’US Air Force en mati‚re d’OVNI. L’incident eut pour t•moins quatre
hommes, dont deux ont un poste relevant de la s•curit• militaire (p. 172, livre de J.
Allen Hyneck " Les OVNI, mythe ou r•alit• ? ", Belfond, 1974). Fin novembre 1961,
Paul Miller et ses trois amis revenaient chez eux, „ Minot (Dakota du Nord), apr‚s une
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partie de chasse. Ils virent un OVNI atterrir, et arriv•s sur les lieux, ils constat‚rent la
pr•sence de quatre humano•des autour de l’engin.
Pris de panique, Miller tira sur l’une des " cr•atures ", avec un fusil Hornet 22, un
Winchester mod‚le 43, •quip• d’une lunette Weaver K-4 ! Apr‚s leur retour, ils se
rendirent compte... qu’une p•riode de temps manquait ! " Les quatre amis d€cid„rent
de ne parler de l’incident ‚ personne. Pourtant, le lendemain matin, trois hommes
v‡tus de noir se pr€sent„rent au domicile de Miller, juste avant qu’il ne parte au
travail. Ils se disent envoy€s par un bureau gouvernemental, sans d’ailleurs pouvoir le
prouver. Ils affirment ‡tre au courant de l’incident par un " rapport ". Apparemment,
ils connaissent tout de Miller : son travail, ses loisirs, ce qui s’est pass€ la veille... "
Tir• de " Hommes en noir : Trois t•n•breuses affaires ", p. 102 de " OVNI, un dossier
brŽlant ", •d. Atlas, 1984.
La relation de ces •v•nements est mentionn•e de fa‹on compl‚te dans le livre de J.
Allen Hyneck et Jacques Vall•e " Aux limites de la r•alit• ", •diteur Albin Michel,
1978, pages 149 „ 161. La voiture utilis•e par ces " hommes en noir ", devait ˆtre une
Plymouth 61, une voiture de s•rie. Comme on vient de le voir, et comme on le verra
encore, ces " inqui•tants Agents " sont tr‚s bien renseign•s. De surcroŠt, ce sont
manifestement des imposteurs qui veulent nous induire en erreur, et qui peuvent op•rer
aussi... en uniforme !
En novembre 1966, deux femmes, dont Mme Ralph Butler, observent des OVNI „
Onatonna (Minnesota). L’amie de Mme Butler servira en quelque sorte de m•dium „
ce moment, car une •trange voix m•tallique posant des questions, surgira de ses
l‚vres ! Par la suite, d•s qu’elles essaient de parler de l’affaire „ d’autres personnes,
elles se mettent toutes les deux „ souffrir de maux de tˆte •pouvantables ! En mai
1967, un myst•rieux personnage rend visite „ Mme Butler. Il dit ˆtre le commandant
Richard French ; il mesurait environ 1,75 m, avait le teint oliv‘tre et une figure
pointue, aux cheveux bruns et longs. Il portait un complet gris, une chemise blanche,
une cravate noire ; tout •tait flambant neuf. Il conduisait une... Mustang blanche, dont
le mari de Mme Butler avait not• le num•ro... On d•couvrit par la suite que c’•tait une
voiture lou•e „ Minneapolis ! Voir pages 107-108 du livre " Extraterrestres et
Soucoupes Volantes ", •ditions Le Livre de Paris-Hachette, 1979. Compl•ment
d’information „ noter avec force. Il s’av•ra ensuite que le bureau de l’US Air Force du
Minnesota employait bel et bien un certain Richard French. Mais une photo de celui-ci
permit „ Mme Butler d’affirmer cat•goriquement que l’homme qu’elle rencontra...
n’•tait pas celui de la photographie ! ! !
En 1965, Rex Heflin prit plusieurs photos d’un OVNI avec son Polaro•d, en Californie.
Il re‹ut la visite d’un homme pr•tendant appartenir au NORAD (Commandement de la
D•fense A•rienne de l’Am•rique du Nord), „ qui il remit les originaux des
photographies. Ils ne lui seront jamais retourn•s, et par la suite le NORAD d•mentira
que ses repr•sentants soient all•s lui rendre visite ! Le 11 octobre 1967, un officier
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d’aviation en uniforme se rend chez Rex Heflin, en soir•e, et pr•sente ses pi‚ces
d’identit•. Mme Heflin les examine attentivement.
Elles •taient au nom du capitaine C.H. Edmonds, du Bureau des Affaires Spatiales de
la Division Organisation... Celui-ci pose un certain nombre de questions, dont :
" Allez-vous essayer de r€cup€rer vos originaux ? " L’officier aurait alors demand• au
t•moin ce qu’il savait... du Triangle des Bermudes ! ! ! L’entretien eut lieu devant
l’entr•e de la maison. Dans la rue, une voiture arrˆt•e, avec sur le si‚ge arri‚re
quelqu’un, et une lumi‚re violette ! Quand les enquˆteurs de la Commission Condon
(universit• du Colorado) vont suivre cette piste, ils d•couvriront que des quatre " C.H.
Edmonds " sur l’annuaire des officiers, aucun n’a le grade correspondant et ne s’•crit
ainsi ! ! ! Voir page 106 du livre " Extraterrestres et Soucoupes Volantes ", •ditions Le
Livre de Paris-Hachette, 1979.
Le " Rand Daily Mail " du 31 janvier 1967 fait •tat de ces " myst•rieux personnages ".
Il cite le colonel George Freeman, porte-parole du Project Blue Book, organisme de
l’Arm•e de l’Air des USA, pour l’•tude des OVNI. " Ces hommes n’ont rien ‚ voir
avec l’US Air Force ", a d•clar• le colonel Freeman, et " Nous n’avons rien pu
d€couvrir ‚ propos de ces hommes. Nous serions heureux d’en arr‡ter un " . Il cita un
cas, parmi d’autres, o• des officiers de police et d’autres t•moins d’une observation, au
New Jersey, avaient d•clar• qu’un homme en uniforme de l’Air Force, leur avait
ordonn• de dire " qu’ils n’avaient rien vu du tout " et qu’ils ne devaient plus d•sormais
discuter ou parler de cet incident ! ! !
Anglais et Am•ricains nomment les " Agents inconnus ", les " Silencers " : ceux qui
essayent de r•duire au silence . Ces † silencers ‡ semblent travailler par •tapes : " la
recommandation ", puis " la menace ", et enfin " les repr•sailles finales " ! ! ! Pour
l’exemple, la m•saventure arriv•e au docteur Reilly H. Crabb, directeur de la "
Borderland Sciences Research Foundation ", Inc., Vista, Californie. D‚s qu’il re‹ut la
lettre d’un ami lui certifiant avoir observ• avec un coll‚gue d•tective le d•collage d’un
OVNI, le docteur Crabb fut constamment harcel• t•l•phoniquement. Sans cesse une
voix masculine lui conseillait de ne pas rendre public ce t•moignage. Puis il •chappa
de justesse „ un accident, sous les roues d’une grosse limousine noire ! Peu apr‚s, un
individu fit feu sur lui, alors qu’il prenait un caf• dans son local habituel …Pour
couronner le tout, une maladie entraŠna la perte de son emploi „ l’universit• . Il connut
les plus grands soucis familiaux et tous ses d•boires entraŠn‚rent en fin de compte le
d•part de son •pouse ! C’est ainsi qu’une fois de plus les " Hommes en noir " avaient
atteint leur but : " domestiquer " les t•moins non disciplin•s ! ! ! ( " Ufologia " 27,
Peter Krass : " Les manipulations t•n•breuses des hommes en noir ‡)
D’apr‚s les t•moignages recueillis, ces sinistres " hommes en noir " portent souvent
un costume sombre, d’une coupe d•mod•e, et des chapeaux noirs ; ils sont tir•s „
quatre •pingles ! Les voitures utilis•es sont quelque peu d•mod•es : cadillac,
limousines, etc. Un ufologue fran‹ais connu a •t• confront• au ph•nom‚ne . Dans le
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mˆme b‘timent qu’il habitait, „ Limeil-Br•vannes, Val de Marne, trois personnages
lugubres „ tˆte de croque-mort habitaient un appartement au-dessus de chez lui.
Il y a quelques ann•es, dans l’Oise, sa propre •pouse vit un •trange personnage, portant un
col roul• en plein •t•, se " d•mat•rialiser " ! (" Le MJ 12 " et " Op•ration Cheval de Troie, la
Terre aux mains des petits gris ", •ditrice Louise Courtaud. )
Autres myst•rieux personnages
Dans la mouvance des " hommes en noir ", il nous faut parler d’autres •tranges
personnages „ l’allure insolite, eux aussi tr‚s bien renseign•s. Le docteur Herbert
Hopkins est un m•decin r•put•. En septembre 1976, il travaille sur un cas OVNI, dans
le Maine, aux USA. Il recevra la visite d’un homme habill• en noir, avec un •trange
maquillage... Cet homme lui dira " Mon €nergie diminue, je dois partir maintenant. Au
revoir " Il gagnera la sortie tr‚s m•caniquement , s’enfoncera dans l’obscurit• et
disparaŠtra dans un brillant •clat de lumi‚re blanche. Quelques jours plus tard,
Maureen, la belle-fille du docteur devait recevoir une visite au moins aussi •trange. Un
couple, cette fois . ’g•s d’une trentaine d’ann•es, ils portaient des vˆtements d•mod•s.
La femme avait un air bizarre, la poitrine tombante, les hanches curieusement faites.
Tous deux marchaient „ petits pas, comme s’ils craignaient de tomber ! ( " OVNI, un
dossier brŽlant ", p103/ •d. Atlas, 1984.)
Le chercheur OVNI Bruce Cathie, ancien commandant de bord de l’aviation civile
n•o-z•landaise, a •t• confront•, lui aussi, „ un couple bizarre . C’•tait un matin de
f•vrier 1969, „ Mangere, l’a•roport d’Auckland. L’homme •tait grand, d•gingand•,
avec des membres longs et filiformes. Le plus •trange •tait sa tˆte presque
parfaitement sph•rique, et aussi nue qu’une boule de billard . Une peau bronz•e et
lisse. Sa compagne •tait plus petite, avec un visage long, presque en lame de couteau !
Avec une chevelure d’un noir de jade, lui tombant sur les •paules, selon une mode
remontant „ plusieurs ann•es . L’homme photographia Bruce Cathie. L’homme et la
femme disparurent subrepticement . P. 80 „ 83 / " Harmonic 695 ", Bruce Cathie, chez
Sylvie Messinger, 1981.
Le 6 juin 1977, Caroline Coombs re‹oit la visite de deux myst•rieux personnages,
presque jumeaux, tr‚s bien renseign•s, eux aussi. L’un d’eux exprima le besoin de se
rendre d’urgence „ une sorte de rendez-vous, „ Croesgock, petit village du Pays de
Galles . •trange co•ncidence : un vacancier vit un •norme vaisseau en vol stationnaire,
„ deux cents m‚tres d’altitude, au d•but d’avril 1977 „... Croesgock ! La voiture
utilis•e par les deux visiteurs •tait une voiture de sport " futuriste ", tr‚s silencieuse. (
p. 159 „ 162 du livre de Peter Paget " Le dossier secret des OVNI gallois ", •d. Du
Rocher, 1983.)
Dans " LDLN " (332), Joƒl Mesnard •voque aussi de bien " •tranges personnages ".
Suzanne habite la r•gion de Chantilly (Oise). En 1959, au printemps, un jour vers 13
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h, Suzanne prit un train direct, qui devait l’amener „ Paris. Dans ce train bond•, deux
jolies jeunes femmes blondes, apparemment des jumelles... Elles disparurent
brutalement ! Le lendemain, un dimanche, Suzanne se rendit „ la messe de 8 h.
Pr•sence des deux femmes blondes „ cet endroit ! Et disparition sur place ! Le 22 mai
1976, Mme Annick Dargaud assiste „ une r•union publique du Groupe OVNI " GEPA
" „ Paris. Pr•sence de deux belles blondes " insolites " accompagn•es de deux hommes
vˆtus peut-ˆtre de costumes sombres. Les quatre personnes, au bout d’une demi-heure
... n’•taient plus l„ .
Mme Marlynda Hollinger, connue sous le nom de Mamouchka, fut confront•e elle
aussi „ une jolie blonde insolite, en septembre 1988, vers 15 h ou 16 h. Pr•sence aussi
d’un personnage masculin, aux vˆtements sombres. Eux aussi tr‚s bien renseign•s !
Ils •taient „ bord d’une somptueuse voiture, gris m•tallis•. Cela se passa dans
l’H•rault.
Autre cas …Un jeune couple, Peter et sa femme Frances, furent confront•s „ une
rencontre rapproch•e OVNI avec effets parapsy, pendant la nuit du 30 au 31 mai 1974.
Ils circulaient „ bord de leur voiture Peugeot 404, sur le trajet de Salisbury (Rhod•sie)
„ Durban (au Natal, Afrique du Sud), lorsqu’ils furent t•moins d’•v•nements
extraordinaires. Par la suite, mis sous hypnose profonde par le docteur Obertik,
membre d’une soci•t• pour la recherche psychiatrique , Peter fera la r•v•lation
suivante :
Docteur O. : Dites-moi, Peter, sont-ils nombreux parmi nous ‚ passer inaperˆus ?
Peter : Des milliers (?)
Dr O. : Sont-ils parmi nous ?
Peter : Ce sont des employ€s de bureau, des dactylos, des hommes d’affaire, des
€tudiants, des charg€s de cours, des €boueurs, des ch‰meurs, etc.
Dr. O. : Si vous voulez entrer en contact avec eux et apprendre leurs connaissances,
nous les donneront-ils ? Entrent-ils en contact si vous le voulez ?
Peter : Ils n’entrent en contact que quand ils le veulent, et en influenˆant les autres. Ils
ne font jamais rien directement sur terre... cela les obligerait ‚ jouer le r‰le
d’importants personnages, faisant d’eux un p‰le d’attraction. Ils ne sont que des
personnes qui influencent, projettent et dirigent celles qui le d€sirent. ", fin de citation.
( " Flying Saucer Review "/ repris dans " Les Apparitions myst•rieuses ", Tchou,
1978, p. 288 „ 303 et dans " Le Myst‚re des Ovni ", J. Perrin, •d. † J’ai Lu ‡, 1978,
p. 168 „ 194.)
10
Les myst‚rieux rendez-vous ovnis/voitures
Le vendredi 2 janvier 1953, localit• de Rauch, Province de Buenos-Aires, Argentine,
„ 21 h 35. Plusieurs t•moins observent un OVNI qui atterrit. Quelques minutes apr‚s,
une automobile arrive sur les lieux de l’atterrissage . Quelqu’un avait donc eu
connaissance de cet atterrissage. ( Info de feu Fran‹ois Couten)
10 mai 1957, vers 22 h 30, „ Beaucourt-sur-l’Ancre, dans la Somme, trois petits ˆtres „
proximit• d’un engin. On appris que la veille et l’avant-veille de l’observation, certains
habitants avaient remarqu• les all•es et venues insolites d’une 2 CV grise dans la
campagne environnante. V•hicule pilot• par un homme •l•gant, vˆtu d’un costume
pied de poule, et... inconnu au pays . L’inconnu aurait abandonn• la 2 CV devant une
gare de la r•gion. (Info de feu Fran‹ois Couten)
Le 21 mai 1968, au km 189 de la route allant de Pelotas „ Camaqua, •tat de Rio
Grande do Sul, Br•sil, deux personnes circulant en voiture virent un OVNI atterrir. A
l’endroit de l’atterrissage, une Volkswagen „ l’arrˆt. Les deux t•moins dirent qu’ils
•taient rest•s sur la forte impression que la Volkswagen attendait l’objet sur le cŒt• de
la route, et qu’ils avaient eu le sentiment d’avoir interrompu le rendez-vous . Le 7
juillet 1971, localit• de San Juan de Los Morros, Espagne. Plusieurs t•moins virent
deux personnages vˆtus de noir, arriver „ bord d’une Mustang rouge du dernier
mod‚le, puis monter „ bord d’une soucoupe volante (" Ph•nom‚nes Spatiaux " n“ 29,
1971)
Voici maintenant une information personnelle. C’•tait au d•but de l’•closion des
radios F.M., en 1982-1983. Une animatrice de la radio " Active F.M. ", Patricia
L•hrisson, connaissant ma passion pour l’ufologie, me raconta ceci . Elle connaissait
un inspecteur de Police du Commissariat de Champigny, qui lui r•v•la ceci : La police
•tait inform•e qu’„ cette •poque (1981-1983), une haute personnalit• politique avait
•t• t•moin d’un atterrissage d’ OVNI... pr‚s d’une Volkswagen „ l’arrˆt, de couleur
bleue , dans le secteur de Melun (en Seine et Marne). ‰ rapprocher avec la
Volkswagen du Br•sil ! Melun est tout proche de la myst•rieuse Forˆt de
Fontainebleau, lieu privil•gi• d’apparitions , proche aussi du centre Radio-•lectrique
de Sainte-Assise, autre lieu privil•gi• des OVNI !
Une information m’•tait parvenue : un C.R.S., Mr Renoir, avait fait la connaissance "
d’une myst•rieuse femme en noir ", „ Barbizas, localit• toute proche de la Forˆt de
Fontainebleau . Au bout de quelques mois, ce C.R.S. avait cess• de la rencontrer,
•pouvant• par certines d•couvertes ! Cette " femme en noir ", vˆtue de noir, cheveux
bruns, ne s’alimentait pas et ne buvait pas. En pr•sence d’un t•moin, le C.R.S. l’avait
vue se " d•mat•rialiser " ! Sexuellement parlant, elle •tait d’une constitution
11
† normale ‡ ! Ce C.R.S. est maintenant dans une caserne „ Marseille. Nos amis du
CERPA doivent v•rifier cette info, pour confirmer l’authenticit• de cette affaire.
Le 10 avril 1952, pr‚s de NŠmes (Gard), Rose C. rencontre trois extraterrestres et… un
ancien instituteur qui •tait avec eux ! Il avait lui-mˆme fait une rencontre du 3‚me type,
20 ans plus tŒt ; •tant pour ainsi dire seul au monde, il avait accept• l’invitation . Ils
vivait depuis avec eux ! Il expliqua „ Rose que la Terre avait •t• am•nag•e „
l’intention de ses habitants par ces extraterrestres, qui avaient mˆme install• son
satellite, la lune ! ( " Rencontre avec les Extraterrestres ", par Rose C., •ditions Du
Rocher, 1979).
Le mˆme ufologue •voqu• plus haut m’a r•v•l• qu’il connaissait un cas de rendezvous " OVNI - voiture ", o• un officier militaire avait •t• concern•.
Infrastructure et soutien logistique
Les visiteurs clandestins sont tr‚s bien organis•s et disposent de soutiens dans nos
soci•t•s, pour vaquer „ leurs op•rations. Voir les infos de feu Fran‹ois Couten.
En r•sum• … En r•sum•, les cas d’ " hommes en noir ", " couples bizarres " ou "
personnages insolites ", sont couramment associ•s aux rendez-vous OVNI – voitures.
" Ils " se fondent facilement dans nos soci•t•s, disposent de tr‚s bons renseignements,
et ne laissent aucune trace apr‚s leurs interventions. Comme les voitures qu’ils
utilisent, " ils " disparaissent, au sens litt•ral du terme !... Comme si les "pi‚ces „
conviction" s’•taient •vanouies dans une " faille spatio-temporelle ‡ ???
Et en conclusion …
En conclusion, nous pouvons affirmer qu’une " cinqui‚me colonne " extra-terrestre
s’affaire sur " notre " plan‚te, et que des terriens se sont d•j„ mis „ leur service ... pour
le meilleur ou pour le pire ! Tout cela est pour le moins inqui•tant ! ! !
Maintenant, nous savons que " les envahisseurs " sont l„, qu’ils ont une " apparence
humaine ", et que le cauchemar a d•j„ commenc• ! ! ! Cela ne vous rappelle rien ? La
s•rie culte t•l•vis•e " LES ENVAHISSEURS " ! ! ! Mais apr‚s tout, ne dit-on pas que
la r•alit• d•passe souvent la fiction ?
A la m€moire de celles et de ceux qui sont d€c€d€s victimes des manifestations
dangereuses du ph€nom„ne OVNI. ‡
12
LE TEMOIGNAGE DE DANIEL RECOLET
D’‚tranges visiteurs … Expovni
J’esp‚re que le texte de Christian Mac• vous a int•ress•s. C’est un sujet auquel je suis
tr‚s sensible pour la bonne et bˆte raison, mes amis le savent bien, que j’ai v•cu
personnellement „ plusieurs reprises d’•tranges rencontres… rencontres que je ne
parviens „ expliquer qu’en me r•f•rant au cas des men in black ! Peut-ˆtre m’aiderezvous „ avancer dans les conclusions. Mais commen‹ons par le commencement !
Et• 96… on me contacte pour repr•senter notre association, l’AREPS, dans une
exposition intitul•e EXPOVNI 96. Une possibilit• de nous faire connaŠtre du public,
de recueillir des confidences et peut-ˆtre de recruter des membres de qualit•. Les
responsables nous avaient
mis „ disposition de quoi afficher l’essentiel de nos
recherches : nous disposions personnellement d’un espace de plus de 20m carr•s au
fond du vaste plateau et j’y avais dispos• en cercle 7 panneaux sur pieds
confectionn•s par notre organisation ; chacun de ces panneaux avait environ 1m70 de
haut et 70 cm de large , except• un plus vaste de 2m de large pr•vu pour une carte
du territoire belge signalant des points chauds . Ainsi avions-nous pu exposer des
coupures de presse importantes, et surtout nos rapports d’enquˆtes, parfois avec des
croquis et de
pr•cieuses
photographies confi•es par des t•moins. J’•tais
particuli‚rement fier de pouvoir pr•senter nos informations obtenues „ propos d’un
tr‚s beau cas „ Elezelles. Plusieurs associations ufologiques •trang‚res s’•taient jointes
„ nos deux groupements belges en nous faisant parvenir de la documentation.
H•las, le jour de l’inauguration, seuls quelques rares badauds firent leur apparition.
Malgr• de nombreuses tentatives de m•diatisation, la presse avait fait la sourde
oreille ! Au bout de quelques jours cependant, la t•l•vision n•erlandophone nous
r•chauffa le moral par une visite impromptue et un film fut tourn• sur l’ensemble de
l’exposition. Ceci ne nous amena gu‚re plus de visiteurs ! Nous n’avions plus d’espoir
de voir arriver grand monde. Un beau soir cependant, alors que, d•sabus•, j’assurais
une permanence en compagnie de membres de l’AREPS, du CCRU et d’Espace Terre
Paix, nous •tions en grande conversation non loin de nos panneaux , „ environ 50
m‚tres de l’unique escalator qui d•bouchait sur notre hall d’exposition. Subitement,
Andr• H., notre tr•sorier, surgit du fond de la salle o• se trouvait notre stand et nous
d•crit le comportement d’•tranges visiteurs… des visiteurs venus de nulle part car
nous n’avions vu absolument personne passer devant nous ! Bizarrement immobiles,
debout pour la plupart, ils semblaient s’obstiner „ recouvrir de leur corps tous nos
panneaux install•s en cercle. Plus •tonnant encore, de leurs mains presque pos•es sur
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les panneaux, ils achevaient tous de masquer les documents ! Nous nous sommes
•videmment approch•s des lieux. Nous les voyions de dos.
En outre, quatre petits personnages „ la physionomie •trangement identique •taient
assis dos „ dos sur une petite table ronde install•e au milieu de notre stand. Leurs
allure •tait nettement de type m•diterran•en : cheveux noir jais, teint basan•. Ils
portaient des jeans bleus et des vestes noires, en cuir ou simili. A notre approche, ils
ont baiss• la tˆte. Ces 4 personnages assez particuliers recouvraient de leur fessier la
documentation install•e sur cette table.
Nous •tions 6 marchant de front „ la rencontre de
cet •trange ensemble de 15 personnes environ ; ils
se sont tous retourn•s l’un apr‚s l’autre, cherchant
du regard une personne d’allure f•minine, de plus
grande taille, qui se trouvait devant le panneau
central en compagnie de deux personnages plus
petits, apparemment f•minins aussi, cheveux noir
corbeau, pantalon sombre, veste noire comme
toute la troupe. Je me souviens que les deux plus
petits personnages avaient entrepris de d•placer
les œillets rouges auto-collants qui signalaient des
lieux d’observations. Une fa‹on comme une autre
de saboter l’information !
Y a-t-il eu une concertation muette ? Apr‚s cela, avec ordre, ils ont commenc• „
•vacuer les lieux, presque en file indienne, presque comme dans une chor•graphie.
Nous avons pu encore mieux constater „ quel point tous avaient cette allure
typiquement m•diterran•enne. Les 4 visiteurs ind•licatement assis se sont lev•s en
silence et ont rejoint la file, longeant d’abord le cercle de nos panneaux puis les murs
de l’exposition. Tout cela sans un mot. Impossible de me souvenir si l’ˆtre f•minin de
plus grande taille clŒturait, il se trouvait en tout cas dans la fin du cort‚ge et m’a fix•
nettement, avec duret•. Je n’ai aucun souvenir d’un maquillage ni de la forme de la
bouche. J’avoue avoir baiss• les yeux pour •viter l’intensit• agressive de son regard
noir. Nous nous sommes tous retourn•s pour voir ce cort‚ge s’•loigner vers la sortie
puis nous nous sommes regard•s, •bahis. Aucun de nous n’a pu r•pondre „ cette
question essentielle : par o• •taient-ils entr•s ?! Comment pouvaient-ils avoir p•n•tr•
ces lieux sans attirer notre attention ?! Je vous garantis qu’aucun autre acc‚s n’•tait
possible, ni par le fond de la salle, ni par une issue de secours. Notre lieu d’exposition
•tait un v•ritable cul-de-sac dont nous gardions involontairement le seul acc‚s.
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Quelque jour apr‚s, un visiteur ‘g• me confia une observation r•cente sur la
capitale : il avait vu, durant cette p•riode correspondant „ notre exposition, selon ses
propres mots, au-dessus des buildings du quartier, une sorte † d’assiette avec un
dessus bomb• transparent ‡ dans lequel il avait clairement observ• plusieurs formes
humano•des debout …( voir couverture)
Autre rencontre insolite
Un samedi matin, plus d’une ann•e apr‚s cette aventure, je me rendais dans une
grande surface d’Anderlecht pour des achats personnels lorsque je fus contact• par
GSM. C’•tait une certaine Mme T., une charmante qui se pr•senta en se r•f•rant „
un ami commun avec qui j’avais •t• en contact t•l•phonique la veille „ propos d’une
observation ufologique. Elle souhaitait discuter avec moi „ propos de ce cas qui lui
avait •t• d•taill•.
Comme je disposais d’un peu de temps, comme Mme T. s’•tait en outre pr•sent•e
avec beaucoup de gentillesse, un lieu de contact fut convenu dans l’heure mˆme et
cette personne n’a pas tard• „ me retrouver devant une vitrine convenue. Nous nous
sommes alors dirig•s vers un endroit o• bavarder confortablement. Nous voil„ attabl•s
dans un lieu de grand passage, relativement d•sert cependant ; les pr•sentations faites,
nous nous mettons bien vite „ deviser de notre sujet pr•f•r•. Elle se montre bien
document•e sur le sujet et se d•clare curieuse de d•couvrir mes informations.
Quelques minutes passent et l’on voit s’installer „ la table voisine, alors que de
nombreux si‚ges •taient disponibles ailleurs, une personne d’environ 1M60, en
gabardine sombre, avec un feutre sombre •galement qui lui masquait le haut du visage.
Manifestement inclin•e vers nous, cette personne semblait s’int•resser vivement „
notre conversation. Mme T, en anglais, me souffla, en pointant discr‚tement vers
l’intrus un index masqu• par la paume de l’autre main : † Do you know the men in
black ? ‡
Je lui r•pondis tr‚s bas que j’avais mˆme v•cu en 96 une bien •trange situation „ ce
sujet !
Notre gaillard ressemblait maintenant „ la Tour de Pise tant son inclinaison devenait
critique ! La serveuse lui demanda ce qu’il souhaitait consommer. La r•ponse fut,
seulement avec la tˆte, un refus cat•gorique, bientŒt suivi d’un d•part sans un regard
vers nous.
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† Vous voyez ! Ils sont l„ ! ‡, souffla Mme T. Je restai prudent sur la conclusion.
Apr‚s avoir encore amplement bavard•, - je pus ainsi constater que cette personne
avait un pass• peu commun et d’une grande spiritualit•- nous nous sommes s•par•s
sans que je sois autrement •mu de cette situation un peu insolite.
J’ai racont• l’incident „ mes membres , sans y attacher d’importance exag•r•e.
Un mois apr‚s environ, c•dant aux suggestions des plus imaginatifs, je mis au point un
stratag‚me qui consistait „ nous r•unir, quelques amis, Mme T et moi. J’avais pouss•
la prudence jusqu’„ convenir de cette rencontre par l’interm•diaire d’un ami qui s’•tait
rendu chez la dame : l’intention •tait bien •videmment d’•viter toute possibilit•
d’•coute t•l•phonique. Dans l’heure qui pr•c•dait, chez moi, nous avions aussi
discut• entre membres de la fa‹on dont nous allions proc•der pour occuper les lieux.
J’avais pr•cis• „ toute l’•quipe la physionomie classique de ces men in black, leur
vˆtements sombres, la peau oliv‘tre, typiquement m•diterran•enne et surtout les
cheveux noir corbeau. Facile „ rep•rer ! Et permettez-moi d’insister sur ce d•tail !
Cet apr‚s-midi l„, quand Mme T me rejoignit, elle ne se doutait pas que plusieurs
consommateurs d•j„ attabl•s non loin de nous •taient en fait des observateurs
attentifs : mes membres les plus actifs ! J’avais remarqu• d‚s mon entr•e, dans le fond
de l’•tablissement, un groupe de 4 personnes d’environ la quarantaine, costumes
sombres… chevelure nettement grisonnante ! Trois d’entre eux me suivirent
nettement du regard, avec, si mes souvenirs sont bons, un l•ger sourire. Peut-ˆtre
quelque chose comme de l’ironie…
Apr‚s les politesses d’usage, nous commen‹ons „ •changer gravement dossiers et
documents dans l’espoir que notre simulation allait porter ses fruits.
Soudain, un des 4 personnages se l‚ve, franchit les quelques dix m‚tres qui nous
s•parent et s’arrˆte un court instant derri‚re moi, tandis que j’•changeais des
documents. Mme T, impressionn•e, a pu constater comme moi que cette insolite et
indiscr‚te pr•sence se prolongeait un instant. Puis le curieux s’•loigne et je le vois
gagner la sortie. Il avait une taille normale et semblait un peu corpulent. Les trois
autres sont rest•s en place. Lass•s, nous avons fini par sortir discr‚tement , l’un apr‚s
l’autre, comme il en avait •t• convenu, et nous retrouver finalement tous au parking,
sur le toit.
Que penser de tout cela ? Le sujet est tellement myst•rieux et insaisissable ! Une chose
„ ajouter : l’un de nos membres, comme pr•vu, s’•tait muni d’un appareil
photographique ; au parking, il me confirma avoir pris plusieurs clich•s… H•las, je les
attends toujours ! C’est assez banal me direz-vous… j’ajoute cependant que l’ami
travaillait dans des services militaires et qu’il me confia plusieurs fois avoir subi
d’•tranges tentatives d’intimidation, qui sont peut-ˆtre pour quelque chose dans son
d•part du club !
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Que dire encore… ce n’est pas facile, sans lasser, d’•voquer de nombreuses situations
o• j’ai eu l’impression de faire l’objet d’une surveillance. Alors, bri‚vement, je vous
confierai aussi ces quelques •l•ments :
lors de r•unions de l’AREPS, organis•es chez moi „ l’•poque, j’ai vu plus d’une fois
des v•hicules stationner anormalement, surtout une camionnette blanche sans aucun
sigle, d’o• sortaient des personnes •trangement jumelles, au faci‚s allong• et tr‚s
sym•trique ; des personnages d•barqu•s de telles camionnettes se sont plus d’une fois
int•ress•s aux installations des •gouts face „ ma demeure, au point mˆme de revenir et
de descendre „ nouveau dans ces •gouts alors que je venais de signaler la chose, par
t•l•phone, „ des amis ufologues… de l„ „ supposer qu’ils ont en urgence retir• une
pi‚ce servant „ des •coutes indiscr‚tes…le soir mˆme de cette bizarre exp•rience, j’ai
en plus
crois•
ces personnages,
„ l’arrˆt, install•s
dans la mˆme
camionnette,
„
peu de distance
de l’habitation du
tr•sorier du club
chez qui je me
rendais (ceci „
une trentaine de
km
de
mon
domicile) croyez
–moi ou non… je
suis en tout cas,
personnellement,
si convaincu de la
gravit• de ces
situations que j’ai
pouss•
la
prudence jusqu’„
d•vier la conduite d’eau de mon habitation vers l’ext•rieur. Je suis convaincu que
nous, mordus de l’ufologie, avons offert, avant l’‘ge d’or du terrorisme, un
confortable terrain d’entraŠnement pour les services de s•curit• et d’espionnage…
mais il me semble que les d•tails de des situations •voqu•es ici ont quelque chose
de † pas normal ‡ … pour ne pas dire… paranormal !
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Les fabuleux ovnis de Colarƒs… un feuilleton mieux que Dallas !
( Suite mais- esp•rons-le- pas la fin !... gr‘ce au site † Le journal de l’ufologie ‡)
Dans un † Flash ‡ de l’ann•e 2003, nous avions longuement d•taill• le cas
extraordinaire des ovnis attaquant des riverains de Mosqueiro, B•lem, Colar‚s, Bahia
do Sol...
Un cas trop beau, trop gros pour ˆtre vrai, pouvait-on penser dans les ann•e 80, mˆme
si Jacques Vall•e s’•tait d•plac• deux fois dans ces r•gions de Br•sil. Car apr‚s tout…
il fait du fric, ce sympathique personnage auquel Spielberg rend discr‚tement
hommage dans † Rencontre du 3‚me type ‡ … l’•l•gant savant fran‹ais interprˆt• par
Fran‹ois Trufaut c’est lui, quand il avait encore un physique „ s•duire toutes les
ufologues de France, de Navarre et des U.S.A. Mais le temps qui passe, s’il a jou•
contre l’allure du play-boy de l’ufologie, a aussi jou• en faveur de tr‚s fortes
r•v•lations. Les faits incroyables qu’il relatait dans ses ouvrages se confirment
incontestablement et abondamment !
Souvenez-vous des t•moignages du colonel Hollanda da Lima, retrait•, promettant de
fameuses r•v•lations… Et opportun•ment suicid•, tr‚s peu de temps apr‚s cette
promesse faite „ Bob Pratt d’assister „ un important colloque am•ricain et d’y venir
avec un fameux bataclan d’informations (Hollanda da Lima avait continu• ses
investigations „ titre personnel et ce pendant deux d•cennies. ) Gr‘ces soient rendues
au pr•sident Lulla : en d•cr•tant la libert• d’information sur les ovnis, le pr•sident
br•silien a lib•r• une importante quantit• de rapports militaires. On retrouve enfin sur
internet ces •tonnantes descriptions recueillies „ l’•poque dans la r•gion concern•e
(elles avaient •t• affich•es partiellement voici 5 ans mais avaient ensuite disparu sans
commentaires) Un exemple parmi des centaines, directement copi• des dossiers mis en
ligne : T•moin : MIGUEL DA SILVA MOREIRE, ans. Date : 28 Nov 77, „ 19:30
heures.Depuis la ville de Mosqueiro, a observ• un corps lumineux, stationnant dans la
direction de Maia do Sol/Colares, au-dessus du bord de la mer/ il a •t• calcul• qu'il se
trouvait au Pont de Machadinho, „ un distance estim•e „ 15.000 m., taille apparente de
l’objet : 20 cm- altitude entre 1.800 et 2.000 pieds, •mettant un rayon bleut• qui
surgissait de sa partie inf•rieure ; „ peu pr‚s „ ce moment l„, deux (2) autres de taille
plus petit sont venus de la direction oppos•e, en •tant absorb•s par celui de plus grand
volume. A peu pr‚s trois (3) minutes plus tard, sont sortis du grand objet: cinq (5)
corps lumineux de plus. A ce moment l'OVNI le plus grand s'est dirig• tout seul tr‚s
rapidement et •tait suivi par un •clair de couleur bleut•e tr‚s intense (comme un
flash) ; l’objet s'est d•plac• bientŒt „ grande vitesse en prenant le cap NE. OVNI (?).
Le t•moignage suivant est particuli‚rement int•ressant. Il •mane d’une jeune
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doctoresse dont nous vous parlions en 2003… plus toute jeune maintenant mais qui
persiste et signe ! En effet, dans UFO Magazine Br•sil , Carlos Mendes rapporte :
Un M•decin Forc• „ Mentir „ propos des OVNIS … et il met en cause l'arm•e de l'air
br•silienne. Voici le r•sum• des faits. Cecim Wellaide, m•decin sanitaire dans les
ann•es 70, attach•e „ une unit• de sant• au village de Colares, dans l’•tat de Para,
Br•sil, d•clare avoir •t• forc•e par des militaires de mentir au sujet de la gravit• des
ph•nom‚nes † Chupa-chupa ‡. Elle a trait• environ 80 victimes des lumi‚res
myst•rieuses ! (Distribu• par UFO Magazine Br•sil:
www.ufo.com.br / Plus d'informations „:
www.ufo.com.br/materiaespecial/brazilianairforce.htm )
"J'ai •t• somm•e par l'Arm•e de l'Air Br•silienne de convaincre les gens que les
lumi‚res qui les attaquaient •taient des hallucinations de masse et que ce qu'ils ont vu
ne s'est jamais produit ! J'•tais la premi‚re „ ˆtre en contact avec les victimes des
ph•nom‚nes Chupa-chupa. Malgr• mes 22 ans „ ce moment-l„ et le fait d'avoit •t•
compl‚tement sceptique, j'ai commenc• „ noter des changements que la m•decine
n'arrivait pas „ expliquer. Les brŽlures sur la peau des victimes •taient presque
toujours sur le cou et le sein, avec deux trous petits et contigus, comme si c'•tait une
petite morsure, mais ce n'en •tait pas une." Apr‚s 60 jours „ enregistrer
quotidiennement des cas, au total plus de 120, cette doctoresse a commenc• „ faire
rapport „ ses sup•rieurs. Mais „ sa stup•faction, on lui a interdit d'admettre que
quelque chose d’anormal se passait. " Fid‚le „ ce que je vois de mes yeux, et non pas „
ce qu’on me raconte, j'ai continu• „ parler, malgr• le risque de perdre mon emploi. ‡
Sur www.ufo.com.br/secrecy.php : Son t•moignage. En voici quelques extraits
Wellaide — Ils ne m'ont pas mˆme rendu une visite. J'ai dŽ d•couvrir par moi-mˆme,
avec mon mat•riel de fortune, que les victimes avaient perdu du sang ; j’ai commenc•
cette recherche pour d•couvrir pourquoi ces personnes avaient des faiblesses,
•voluaient avec trop de lenteur et pouvaient „ peine marcher. J'ai envoy• plusieurs
rapports au ministre de la sant•, le docteur Manoel Ayres. Mon sup•rieur imm•diat
•tait le docteur Luiz Flavio Figueiredo. Il m'a interdit de parler, de faire des
suggestions ou mˆme d'ˆtre d'accord avec les gens su coin. Mais vous n'avez pas
besoin de connaissance m•dicale pour comprendre. La n•crose se produit seulement
96 heures apr‚s une brŽlure. Or, les victimes brŽl•es dans ces cas avaient une n•crose
imm•diatement, juste cinq minutes apr‚s l'attaque.
Question - En tant que psychiatre, croyez-vous que ces personnes pourraient ˆtre des
victimes d'une hyst•rie de masse? Wellaide - C'est ce que l'Arm•e de l'Air m'a toujours
demand• de dire. Il ne s'est pas produit la moindre hyst•rie de masse ou hallucinations
visuelles. Tant de personnes ne peuvent avoir le mˆme delirium, la mˆme hallucination
visuelle, sonique et synesth•tique au mˆme moment et en des lieux diff•rents !!
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Question - Qui a demand• „ l'Arm•e de l'Air d'•tudier le cas? Wellaide - D'abord
personne n'aidait, bien au contraire, ils m'ont dit de me taire, le maire de Colares „ ce
moment-l„, M. Alfredo Ribeiro Bastos, a appel• l'Arm•e de l'Air br•silienne. Et est
venu, de Parana, le pr•sident de la soci•t• d'Ufologie de cet •tat, le philosophe,
ufologue et sp•cialiste du biom•dical Daniel Rebisso Giese. Nous avons •crit le
premier livre „ ce sujet: "Vampires et extraterrestres en Amazonie." Le prˆtre de
Colares et •galement un docteur, Alfredo de la O, maintenant d•c•d•, avaient
•galement r•clam• de l'aide. Question -Et qu'est-ce qui vous a choqu• le plus?
Wellaide - Le fait que, avec mes 22 ans, responsable d'une unit• de sant•, j'ai eu un
bon nombre de gens devant moi ayant besoin de recherches pour d•couvrir pourquoi
ils avaient •t• immobilis•s. Pourquoi ils ne pouvaient ni marcher ni parler. Et quand
j'ai regard• l'h•mogramme pour comparer les derniers dossiers, j'ai appris qu'ils
avaient des taux tr‚s bas d'•rythrocytes et d'h•moglobine. Le fait est, aucun objet
n'am‚ne une n•crose de la peau tellement rapidement apr‚s une brŽlure. Un troisi‚me
facteur est l'alop•cie, la chute des poils de la peau, de telle mani‚re qu'ils n'ont plus
jamais repouss•. Les victimes n'ont jamais eu de nouveau de poils sur la peau brŽl•e.
Question - Et quand l'Arm•e de l'Air est-elle apparue?
Wellaide - 90 jours apr‚s nos demandes ! Quand Colares •tait presque vide et terrifi•e,
ils sont venus. En raison de la dictature „ laquelle nous •tions soumis, ils avaient
l'habitude de m'appeler chaque jour pour me demander de parler au gens, d'essayer de
les convaincre qu'ils avaient une hallucination de masse, mais j'ai toujours refus•.
Question - Sous toute cette pression des militaires, qu'avez-vous fait?
Wellaide - J'ai refus• de le faire. Je leur ai toujours dit que je n'ob•irais pas. J'ai donn•
des interviews „ plusieurs TV du Br•sil, aux USA et en Europe, mˆme avec le risque
d'ˆtre d•mise de mon emploi. Bien que je sois une sceptique, je suis totalement sŽre de
ce que j'ai vu. Je ne sais pas ce que c'est, mais sais que c'est r•el.
Question - Est-ce que vous aussi, comme le capitaine Uyrange Hollanda, commandant
les recherches, avez vu des ˆtres de l'espace?
Wellaide - Oui je les ai vus. Il •tait 17 heures de l'apr‚s-midi „ Colares. Il y avait un
vaisseau „ 50 m‚tres d'altitude, au-dessus de la rue principale de la ville. ‰ l'int•rieur
de ce vaisseau, il y avait un ˆtre, de 1 m 20 ou 1 m 30 de haut. Ceci s'est produit quand
je conduisais un enfant ayant la clavicule cass•e. Ils volaient tellement bas que je ne
pouvais pas du tout r•agir. Je pouvais voir que le m•tal brillant de l'OVNI qui n'•tait
pas un objet plat comme un disque, mais beaucoup plus comme un cŒne ou un
cylindre. Son trajet •tait elliptique. A 5 heures de l'apr‚s-midi vos yeux ne peuvent pas
vous jouer des tours.
20
Question - Quelqu'un est-il mort apr‚s avoir •t• † suc• ‡ par les lumi‚res?
Wellaide - Deux personnes que j'ai emmen•es „ l'hŒpital dans la capitale, Bel•m, sont
d•c•d•es. Je les ai prises dans ma voiture. Et quand on m'a donn• le certificat de
d•c‚s, j'ai pu lire "raison inconnue." Les victimes avaient eu les brŽlures, les petits
trous…
Plus de 230 pages du rapport principal de l'Op•ration Soucoupe ont •t• enti‚rement
scann•es et sont publi•es sur le site web de UFO Magazine Br•sil. Elles peuvent ˆtre
t•l•charg•es librement „ : www.ufo.com.br/documentop.php
Des documents sur des proc•dures secr‚tes de l'Arm•e de l'Air br•silienne dans ses
recherches OVNIS peuvent •galement ˆtre t•l•charg•s „ :
www.ufo.com.br/docPrincipal2.php
Quelques cas… en quelques lignes, directement tir•s de ces rapports
— Adela•de Pereira Da Silva, 37 ans, illettr•e. Colares, 16 octobre 1977, 21:00. Elle a
remarqu• une lumi‚re rouge‘tre •clairant sa pi‚ce et tout l'int•rieur de sa maison,
portes et fenˆtres ferm•es ; elle a ouvert une fenˆtre pour voir un objet lumineux
avec lumi‚re bleu‘tre se d•placer au-dessus des arbres „ environ 30 m‚tres. Elle a
senti une forte douleur dans les yeux et son corps s’est engourdi ; ces symptŒmes ont
dur• plusieurs jours.
— Maria Celeste Pereira Da Silva, 20 ans,
instruite- le 18 octobre 1977 „ 22:00. Au mˆme
moment que sa m‚re Adela•de, elle a remarqu•
une lumi‚re •trange „ l'int•rieur de sa maison,
elle a senti une grande douleur partout son
corps, comme si elle •tait fortement
comprim•e. Une sensation d'engourdissement a
commenc• „ monter dans son corps „ partir des
pieds plus une chaleur vive s'•talant de l'•paule
droite jusqu'„ la tˆte. Elle pense avoir •t•
frapp•e au cŒt• droit par un faisceau de
lumi‚re rouge‘tre.
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— Maria Francisca Furtado, 30 ans, •ducation d'•cole primaire / nuit du 18 octobre
1977, 21:30/ entr•e du village Vila Nova do Ubintuba. Comme les attaques
devenaient plus courantes, elle et son mari avaient l'habitude de venir chaque nuit „ la
maison de M. Miguel Arc‘ngelo Soares afin de dormir ensemble „ plusieurs familles.
Ce jour, elle a •t• frapp•e par le faisceau lumineux et s'est retrouv•e „ demi paralys•e.
Elle a senti une sorte de d•charge •lectrique. D'abord, ses pieds sont devenus chauds et
un frisson a envahi son corps, des pieds jusqu'„ la tˆte. Elle a senti la partie droite de
son corps s’ engourdir et cette sensation a perdur•e pendant une heure. Ensuite : mal
de tˆte et fi‚vre. Elle n'est pas sortie de la maison, elle n'a donc pas pu voir de
"vaisseau." Abel Soares Trindade, 28 ans, fermier, „ l'int•rieur de sa maison, •coutant
la radio quand quelque chose s'est produit. 21h 30, 14 septembre 1977. Il a remarqu•
une lumi‚re bleu‘tre venant du toit. Il a •t• a demi paralys• et a eu la sensation que sa
tˆte enflait. Il a lutt• pour crier, il pouvait „ peine parler. Pendant plusieurs jours :
migraine et voix rauque. Idem pour son •pouse, Am•rique Silva Soares, 23 ans.
___ Raimundo Nonato Barbosa, 48 ans, revenait „ sa maison par les bois ( …) il
s'est soudainement senti comme s’ il avait perdu ses forces. Les chaussures qu'il
portait „ la main sont tomb•es „ terre. Il les a prises et a continu• la marche. Les
chaussures sont encore tomb•es. Quand il s'est abaiss• „ nouveau, il a pu voir un objet
lumineux, avec une forme ronde comme une raie [le poisson], juste au-dessus de son
•paule. Elle avait environ 1,50 m‚tre et s'est d•plac•e „ tr‚s basse altitude, „ environ
cinq ou dix m‚tres au-dessus de la terre. L'objet •mettait un faisceau lumineux vers lui
, comme une lampe flash, tr‚s fortement color•e en bleu‘tre. Raimundo a rassembl•
ses forces et couru „ la maison de son ami, criant pour appeler „ l'aide. Au milieu de
son chemin, en regardant en arri‚re, il a remarqu• que l'objet montait dans le ciel,
entre les arbres, laissant des •tincelles lumineuses et multicolores derri‚re lui. Il s'est
plaint de tremblements, du mal de tˆte et d'engourdissement sur la r•gion du corps
frapp• par le faisceau lumineux. On n'a pas not• de symptŒmes de brŽlures. Il a
montr• comment •tait l'objet en dessinant sur le sol. Il a repr•sent• les •tincelles
lumineuses en utilisant trois lignes verticales avec environ 20 degr•s entre elles. Il a
trac• de petits cercles reli•s „ ces lignes et parl• de lumi‚res multicolores. Il n'a pas pu
refaire le dessin sur du papier.
Quatre pˆcheurs de Colares ont dit aux militaires qu'ils avaient pu voir deux ˆtres „
l'int•rieur d'un vaisseau, le 12 octobre, 1977, „ 23:30. Le fermier Manoel Esp—rito
Santo, 20 ans, •ducation d'•cole primaire, a dit qu'il •tait devant sa maison avec ses
amis, Julio, Paulo, Deca et Carlito, quand il a remarqu• une lumi‚re jaune se d•pla‹ant
dans la direction du lever du soleil. Cela a ralenti, s'arrˆtant presque sur eux, „ environ
20 m‚tres de distance. Manoel a pu voir que la lumi‚re avait deux "pilotes." Ils ont
sembl• ˆtre humains. "L'homme" •tait sur le cŒt• gauche et la "femme" sur le cŒt•
droit. Tous les deux portaient quelque chose de semblable „ des lunettes sur leurs yeux
et avaient du mat•riel de transmission. L'homme du cŒt• gauche a lev• ses lunettes,
comme pour les ragarder, et „ ce moment mˆme l'autre pilote, „ l'aide d'un tube lat•ral,
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leur a envoy• un faisceau de lumi‚re rouge. Au moment o• il a •t• frapp• par la
lumi‚re, Manoel a senti un choc fort, comme une d•charge •lectrique. La sensation a
commenc• sur les pieds et est mont•e „ la tˆte. Alors il s'est retrouv• avec ses jambes
et bras paralys•s et a presque perdu conscience. Le vaisseau est parti lentement,
acc•l•rant. Manoel a pu se d•placer „ nouveau, mais il a continu• „ se sentir engourdi
pendant plusieurs minutes. Vu de loin, le vaisseau a ressembl• „ une •toile color•e en
rouge-jaune. Il a chang• sa couleur du jaune lumineux au rouge et, quand il •tait plus
•troit, on a pu voir une lumi‚re bleu‘tre sur la partie sup•rieure frontale. Il •tait en
forme de cylindre, comme un baril, avec un petit tuyau frontal rouge‘tre, et un tuyau
plus mince sur son flanc, 45 degr•s d'•cartement, d'o• venait la lumi‚re bleu‘tre. Il
avait environ 1,20 „ 1,40 m‚tres, a sembl• transparent sur la partie bleu‘tre et il y avait
une s•paration entre les † pilotes ‡.
Tir• des dossiers de l’arm•e br•silienne ( † Op•ration Prato ‡)
ICI ET MAINTENANT/ LA RADIO DES OVNIS !
Epingl‚ pour vous :
Un moment int•ressant sur † Ici et maintenant ‡, •coutable sur internet (rediffusion du
6 mars –14h ) :
Le commandant Gresl•, interview• dans l’•mission hebdomadaire consacr•e aux
ovnis, a •voqu• notre fameuse vague belge, cette invasion de notre territoire a•rien
par des triangles volants † silencieux et lents, capables de stationnement en vol et de
d•marrages fulgurants ‡ . Il a profit• des premiers mois de sa retraite pour enquˆter
dans la r•gion d’Eupen, lieu des premi‚res principales observations. Re‹u par le
colonel Debrouwer, Gresl• a eu droit „ quelques confidences. Le colonel lui aurait
confi• qu’ † on ‡ (sic) l’a invit•- et mˆme pouss•- „ •tudier en d•tails les •l•ments li•s
„ cette vague. Sans toutefois lui accorder la moindre aide suppl•mentaire pour faire
face „ ces •tranges d•marches auxquelles il n’•tait gu‚re pr•par•. Il ajouta avoir
obtenu facilement la d•classification des rapports de gendarmeries „ propos de tels
t•moignages, et ce au profit de la SOBEPS, avec laquelle il avait imagin• de
collaborer, faute de disposer de moyens plus † classiques ‡.
Selon Gildas Bourdais, qui dialoguait avec le commandant Gresl• au cours de cette
mˆme •mission, ces •v•nements au-dessus de notre pays feraient bel et bien partie
d’un programme de † monstration ‡ ( hypoth‚se tr‚s compatible avec le choix d’une
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zone fortement illumin•e), une attitude donc totalement d•lib•r•e . Pour Gildas
Bourdais, que le commandant Gresl• n’a pas contredit, diff•rentes situations
semblables seraient „ rapprocher. Il a cit• : les observations innombrables au-dessus de
la vall•e de l’Hudson- minutieusement enquˆt•es par Allan Hynek (ajoutons que Bruce
Cornet et Linda Crystal, d•c•d•e, ont consacr• beaucoup de leurs temps „ des soir•es
d’observations dans ces endroits) ; des r•gions de GB en 92/93 ; la vague du 5
novembre 90. ‡ Ah ! la vague du 5 novembre ! Le dossier n’est pas clos… et ceci
nous offre l’occasion de vous rappeler notre tentative d’appel „ t•moins dans la r•gion
de Bernissart, tentative qui pourrait apporter de l’eau au moulin de notre conf•rence :
28 mai, o• notre ami Bruno t•moignera de son extraordinaire observation au cours de
cette soir•e.
N’h•sitez pas „ me contacter pour les d•tails concernant l’organisation de cette journ•e.
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