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Bêtisier de la police • • • • • • • • • • • L’homme a refusé de reconnaître qu’il avait menti en affirmant qu’il était mort. L’homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l’inspecteur à la bouche. Le suspect nous a alors menacés en fronçant les sourcils. Les 9 coups de couteau relevés sur le cou de la défunte laissaient croire à une mort qui n’était pas naturelle. Seule l’autopsie pourra dire si l’homme est encore vivant. Il est probable que le suicidé a été lâchement assassiné. L’homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s’y introduire. L’homme accepta volontiers de nous suivre contre son gré. Arrêté par les gendarmes, le voleur les a menacés d’appeler la police. L’homme, qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s’entendre très bien avec elle. L’homme nous déclara qu’il avait effectivement frappé son adversaire avec la manivelle mais en faisant bien attention à ne pas lui faire mal. • • • • • • • • Le cadavre de l’homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins. L’homme nous raconta toute la vérité qui n’était qu’un tissu de mensonges. Face à face avec son adversaire, l’homme le prit en traître par derrière. Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligés de constater que le suspect ne pouvait être présent à l’heure dite sur les lieux du vol qu’il avait commis. Un violent coup sur la tête semblait indiquer une mort naturelle. Le défunt a formellement reconnu son agresseur. Le défunt confirma que son meurtrier avait bien agi seul. Ses explications étaient si embrouillées que nous avons du le relâcher faute d’avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications. • L’homme ne semblait pas avoir prévu son meurtre avec préméditation. • La femme ayant été décapitée, il nous a été impossible jusqu’à présent de mettre un nom sur son visage. 40