L`association GeorJacléo

Transcription

L`association GeorJacléo
Et
L’Association
Présentent
L’association GeorJacléo
B.P 10156
47005 – AGEN
06.78.55.49.92 / 06.86.89.29.99
Email : [email protected]
Site : georjacleo.com
Le 6 Janvier 1969. Un jeune journaliste dénommé François-René Cristiani
réussit l’exploit de réunir Georges Brassens, Jacques Brel et Léo Ferré pour la revue
Rock et Folk, immortalisée par une photo de Jean-Pierre Leloir.
Au cours de la discussion où on parle chanson, métier, femmes, anarchie, Ferré,
pris d’une subite inspiration, lance aux deux autres protagonistes : « J’ai une idée :
on prend les dix plus grandes salles de France et on fait le spectacle à trois… ».
Quand on sait quelle était la notoriété des trois à cette époque, on imagine sans
peine l’impact d’un tel événement. Mais l’idée ne devait jamais se concrétiser.
Dix ans plus tard, Brel tirait sa révérence, suivi en octobre 1981 par Brassens.
Ferré résista mais partit vers d’autres cieux le 14 juillet 1993, avec un beau clin
d’œil anarchiste quant à la date de son départ.
Tout aurait pu en rester là si quelques inconditionnels de ces trois géants de la
poésie chantée et de l’esprit libertaire n’avaient décidé de reprendre le flambeau afin
que le trio se reforme.
Ainsi naquit, au début de l’an 2000, l’association GeorJacLéo qui n’hésite pas à
assumer une apparente contradiction à savoir, réunir sous la même bannière
associative trois personnalités fondamentalement individualistes.
Mais la qualité, la richesse des répertoires ont su fédérer un enthousiasme bien
réel pour que ce projet aboutisse. Du simple quidam aux personnalités du monde
artistique, culturel ou politique, nombreux sont ceux qui ont apporté un soutien actif à
ce festival, par de là les différences d'âges, de condition sociale ou d'horizon
philosophique ou politique. Et c'est ainsi que la municipalité de VIANNE, en Lot et
Garonne, avec le concours du Conseil Général et de la Communauté de Communes du
Val d'Abret accueille, tous les troisièmes week-end d'octobre, le festival
GeorJacLéo. Merci Georges BRASSENS, merci Jacques BREL, merci Léo FERRE pour
ce que vous apportez encore à l'humanité, à savoir, la poésie, la musique, mais aussi
la liberté de penser par soi-même.
F.F.
Aujourd’hui, une centaine d’adhérents se retrouve pour faire revivre ces trois
grands auteurs, en particulier lors du Festival GeorJacLéo.
LE PROGRAMME
Le Festival GEORJACLEO c’est :
- 6 spectacles thématiques suivis d’un repas avec les artistes
- 6 spectacles en apéros-concerts avec assiette gourmande et boisson
- Une Scène ouverte
- Des Expositions
- Des ventes CD, DVD, livres, etc…
- La présence de J.F-KERLEO, luthier, qui présentera un aperçu des
instruments qu’il fabrique.
LES SPECTACLES ( Espace Jourdain de l’Isle )
Vendredi 16 octobre à 20h30 : SOIREE L.FERRE / J.BREL
Philippe GUILLARD « Léo FERRE revisité »
Philippe Guillard, comédien de métier, auteur d'un livre de
poésies "bathyscaphe de plumes", sortie en 2006,
s'est pris du désir de chanter et d'interpréter Léo Ferré
depuis 2008.
Un choix d'univers, d'énergie. Un Léo Ferré loin des
poncifs et revisité. Selon Marie Ferré, femme du défunt
poète, il serait un de ceux qui rend le mieux aujourd'hui le
poète-chanteur.
En MARS 2013, au Tremplin de la Chanson Francophone
d'Angers « Philippe Guillard chante Léo Ferré » Reçoit Le
1er Prix dans la Catégorie Interprètes.
Avec le temps, Philippe désire tendre vers ses propres
compositions soulevées et épousées par des couleurs
musicales proches des univers de Philippe Léotard,
Allain Leprest, Arno, Bashung...
LE SPECTACLE « Léo FERRE revivité ».
Philippe – et Léo dans ses tripes – revisite le poète anarchiste avec une intensité rare, proche
des tonnerres tziganes. Philippe Guillard, comédien-chanteur inspiré de la belle chanson
française, signe là un spectacle de grande qualité. Présence incontestable, il porte sa voix
bouleversante en écho parfait aux textes du grand chanteur disparu.
Philippe Guillard, comédien de métier, auteur d'un livre de poésies "bathyscaphe de plumes",
se prend du désir d’interpréter des textes soulevés et épousés par la musique, en 2008. Il se
lance alors dans l’interprétation des chansons du poète chanteur Léo ferré. Un Léo Ferré loin
des poncifs qu’il revisite grâce à sa solide formation de comédien. Il se comporte donc en
"acteur", en véritable interprète qui véhicule dans le même élan ses propres émotions, avec
celles du personnage que lui-même met en scène.
Il commence à tourner le spectacle : « Léo Ferré revisité » accompagné par un guitariste, Rudy
Guillard et un accordéoniste, Christophe Barennes. Un trio qui offre un spectacle Ferré qu'on
pourrait nommer "de toutes les couleurs", titre de l'une des chansons de Ferré. Un répertoire de
quelques 80 chansons, que Philippe et ses musiciens ont répétés pendant des mois, afin de se
renouveler, de s'adapter aux lieux et aux publics, mais également afin de tenter de rendre Léo
Ferré sans en occulter un versant, une tonalité, naviguant de la java, de la chanson populaire,
au cri et au murmure prophétique. Un tour de chant soutenu par la voix grave et basse de
Philippe, comparable à celle de Miossec, d'Higelin ou d'Arno…
Depuis 2012, Philippe Guillard avance avec la S° Blanc Musiques. Des musiciens chevronnés
sont venus enrichir les compositions par des arrangements Pop Rock, ouvrant ainsi le
spectacle à un public plus large.
LES MUSICIENS
Christophe Barennes / pianiste et accordéoniste
De formation classique et jazz, a étudié au Conservatoire de Bayonne, à l'Ecole Nationale de
Musique des Landes ainsi qu'à la Bill Evans Piano Academy de Paris.
Il débute à 15 ans dans des Orchestres professionnels du Sud Ouest, d'où il est natif.
Il accompagne et joue avec Austin O'Brien (Festival Off de Marciac 2004), avec Anne
Etchegoyen de 2006 à 2008 (Atrium de Dax, l'Européen, LSDH, en Californie… Joue sur le
disque Patxa Mama, sortie nationale). A accompagné également la comédie musicale "Epouse
moi" pendant 4 mois au Théâtre le Mery à Paris. Il donne également des concerts en duo avec
son frère, guitariste de jazz…
En 2008 et 2009, il fait partie du groupe "Crève la lune" (Grand Prix Yves Montand de la
Chanson à Lille), joue pour et avec Boualem Z (groove oriental), participe à de nombreuses
Jam Session dans les plus grands Clubs de la Capitale.
Il rencontre Philippe Guillard en 2009 lors d'un concert. C'est une véritable rencontre entre ces
deux hommes, depuis il accompagne Philippe (Festivals sur Léo Ferré, compositions avec
Rudy Guillard sur les textes de l'auteur).
Eté 2011, Christophe Barennes est en tête d'affiche de l'accordéon magazine.
2013, il participe aux compositions sur les textes de Philippe Guillard, et devient ainsi le
compositeur de l'auteur Philippe Guillard.
Rudy Guillard / guitariste
Il débute la guitare classique à 6 ans. Ses amours d'adolescent le conduisent vers les sons
électro-rock. Mais la complicité indéfectible qui lie le père et le fils ramène Rudy à l'amour des
beaux textes. Il se lance alors dans l'aventure Ferré avec son père et devient le guitariste
électro acoustique et électrique du Trio.
Depuis cette année, il participe également aux compositions sur les textes de son père, avec
Christophe Barennes et devient ainsi le cocompositeur de l'auteur Philippe Guillard.
REVUE DE PRESSE
Il a le physique de bien trois nuits d’insomnies, de lieux interlopes, de cadavres en pagaille
et la voix de circonstance, de nicotine, de rocailles sans filtre, râpeuse, éraillée, presque égarée
devant ce micro, sous les sunlights. Avec cependant l’insolite grâce d’un corps qui presque
mime le petit rat d’opéra et, toutes griffes dehors, cherche sa souris.
Guillard ne fait pas le Ferré : il le chante. Sans copier, sans cloner, sans chercher sa voix,
sans tromper son monde, sans feuille de pompe, sans académisme suspect, sans lèche-cul ni
lèche-Léo. Guillard chante Ferré comme s’il pissait contre la façade du Quai d’Orsay :
décontracté. Il se secoue pareillement. Ses mains… tiens ses mains, qui pétrissent la matière
chanson, qui palpent Ferré, lui font les poches même ; ses mains et ses doigts dans la glaise, à
sans cesse façonner de nouvelles et élégantes perspectives.
Aux hommages officiels ne le conviez pas : Guillard y ferait trop peuple, sale et pas rasé, pas
vie aïe pie pour deux sous ; il piquerait l’argenterie comme jadis Valjean chez l’évêque
Bienvenu. Le Ferré de Guillard est organique, viscéral : je vous l’ai dit, il chante comme il urine.
En jet continu comme en saccades. C’est paradoxalement le « Ferré institutionnel », celui qui
se montre, qui s’entend. Celui de Jolie môme, de C’est extra (sans l’ombre ni l’odeur d’une
sardine), du Bateau espagnol, d’Avec le temps… Des Anarchistes aussi.
Guillard n’est qu’acteur qui interprète un de ses classiques. Il eut pu faire Molière, il fait
Ferré, l’habite, le rançonne, le fait dégorger. « Je connais gens de toutes sortes qui n’égalent
pas leur destin. » Je ne sais si le destin de Philippe Guillard est de déglutir Ferré, d’ensuite le
régurgiter. Mais il le fait si bien qu’on aimerait.
Michel KEMPER (Nos enchanteurs).
J'ai déjà dit et écrit ici et ailleurs tout le bien que je pense de Philippe Guillard. Et bien
j'avoue qu'hier soir j'ai été littéralement renversée par sa prestation à Ménilmontant dans le
cadre de la soirée de clôture du Festival Les Canotiers. Là nous avons eu droit à du très Grand
Guillard. C'est une véritable représentation magistrale que nous a donnée Philippe.
Le sang de Ferré coule dans ses veines, pas possible autrement.
Philippe Guillard domine parfaitement son sujet, il est d'un naturel désarmant dans son tour de
chant car tour il y eut ! L'artiste arpentant la scène des marches de pierre de l'église N.D. de la
Croix au rythme des mots de Léo Ferré, tel le Mime Marceau se déplaçant avec grâce,
bondissant ça et là, dans une danse sans fin. On connaissait le comédien, le chanteur et on a
découvert le danseur. Cet homme est habité ! L'homme a dû rouler sa bosse pour gouverner
ainsi les mots et les musiques, de Léo Ferré, Caussimon et autres auteurs (sans parler de ses
propres compositions qui sont également magnifiques). Philippe vit chaque moment avec une
telle intensité que l'on se met à penser que chaque instant est éternel. Moment de grâce !
Il faut dire qu'il est aidé par une belle équipe de musiciens. Rudy Guillard aux guitares, et
Christophe Barennes au clavier et à l'accordéon, un véritable orchestre à eux trois.
Bravo et merci, on s'en souviendra ...
Annie-Claire Hilga, journaliste musicale
Ce soir, j'ai entendu Guillard, j'ai vu Ferré ! Philippe – et Léo dans ses tripes – revisite le poète
anarchiste avec une intensité rare, proche des tonnerres tziganes. Philippe Guillard, comédienchanteur inspiré de la belle chanson française, signe là un spectacle de grande qualité.
Présence incontestable, il porte sa voix bouleversante en écho parfait aux textes du grand
chanteur disparu. Deux musiciens exceptionnels l'accompagnent. Le pianiste Christophe
Barennes, dents serrés sur la partition élargit son talent au clavier d'un accordéon tandis que
Rudy Guillard, le propre fils de Philippe déchire sur deux guitares les accents tumultueux des
années 70.
http://www.philippe-guillard.fr Facebook : Philippe Guillard – Brigitte Skiavi-blanc page BLANC MUSIQUES
Le public prend tout dans la « gueule » en communion sacrée avec le trio. L'émotion frise la
peau à chair de poule, je sors de là tout chamboulé. Chapeau l'Artiste, vous êtes un autre coup
de coeur.
PierPatrick (Magazine Reg’Arts)
La femme de Léo Ferré a dit que Philippe Guillard était l'un des meilleurs interprètes des
textes de son époux…/… Son chant est exprimé à chaque mot, à chaque note, liant le gestuel à
son cri de lucidité, subjectif mais juste. C'est sous une ovation émouvante que s'acheva ce
court bonheur.
LE MIDI LIBRE
Guillard n’est qu’acteur qui interprète un de ses classiques. Il eut pu faire Molière, il fait Ferré,
l’habite, le rançonne, le fait dégorger. « Je connais gens de toutes sortes qui n’égalent pas leur
destin. » Je ne sais si le destin de Philippe Guillard est de déglutir Ferré, d’ensuite le
régurgiter. Mais il le fait si bien qu’on aimerait.
LA DEPECHE DU MIDI
Un excellent guitariste, un pianiste et accordéoniste virtuose, et avec Philippe Guillard devant,
cela donne une interprétation magistrale de Ferré.
LE MIDI LIBRE
Philippe Guillard offre une surprenante et touchante personnalité dans sa façon de rendre
Ferré. A voir et à entendre sans modération.
LA DEPECHE DU MIDI
Guillard n'utilise pas le mot "réinventé" mais "revisité" et il se comporte ainsi en "acteur" donc en
véritable interprète qui véhicule dans le même élan ses propres émotions, avec celles du
personnage que lui-même met en scène. En conclusion, je dirai que je suis très touché par
cette façon qu'il a d'interpréter Ferré…/…
ALAIN MEILLAND (Printemps de Bourges.)
Philippe Guillard fait vraiment vivre Léo Ferré. Avec sa voix rocailleuse qui sait se faire parfois
douce, il nous présente son Léo Ferré, sans chercher à imiter qui que ce soit. Il chante avec
son coeur, et sa présence irradie les chansons…/… Un interprète singulier de Ferré…
JEAN-LOUIS ZACCARON (auteur, rédacteur chanson/rock/fado).
Philippe Guillard, oui !
Chaque concert de Philippe GUILLARD nous plonge dans la beauté âpre mais fraternelle des
textes de Ferré, ou des autres poètes que Léo avait mis en musique. Bien sûr il y a la voix, âpre
elle
http://www.philippe-guillard.fr Facebook : Philippe Guillard – Brigitte Skiavi-blanc page BLANC MUSIQUES
aussi, qui vous vrille les mots dans les oreilles et le coeur, mais il faut aussi voir l'acteur qui fait
vibrer les idées, vous les flanque droit dans les yeux et vous met bien ça dans la courbure ! On
ne va pas parler des choses qui fâchent, comme de l'absence totale de tels artistes dans les
circuits
radiophoniques et a fortiori télévisés...
FRANÇOISE GRANGER
Il n’y a pas de raison de penser qu’il ne soit jamais trop tard pour chanter Ferré. A condition que
ce soit bien fait, et c’est rarement satisfaisant. Mais pour Philippe Guillard, il n’y a pas
d’inquiétude à avoir. Il n’interprète pas, il revisite, il ne fait pas du Ferré, mais du Guillard.
Simplement pour que les gens le sachent, il faut qu’ils aient l’occasion de l’entendre. Je suis sûr
qu’il se créerait un public avec des programmations dans des Festivals…
ALAIN FANTAPIE
Il a le physique de lieux interlopes et la voix de circonstance, de rocailles sans filtre, râpeuse,
éraillée, devant ce micro, sous les sunlights. Avec cependant l’insolite grâce d’un corps qui
mime le petit rat d’opéra et, toutes griffes dehors, cherche sa souris. Guillard ne fait pas le
Ferré : il le chante. Sans copier, sans cloner, sans tromper son monde, sans feuille de pompe,
sans académisme suspect, sans lèche-cul, ni lèche-Léo…/… Le Ferré de Guillard est
organique, viscéral. C’est paradoxalement le « Ferré institutionnel », celui qui se montre, qui
s’entend. Celui de Jolie môme, de C’est extra, du Bateau espagnol, d’Avec le temps… Des
Anarchistes aussi. On aurait aimé La mémoire et la mer pour savourer la tempête, pour voir
s’ouvrir la mer et enfanter une nouvelle fois l’onirique folie.
MICHEL KEMPER
Eric NICOL « Ay Marieke » hommage à J.BREL
Après des années de théâtre, il est assez logique
pour un acteur comme moi de chercher le grand
frisson. Peut-être la grande gifle… chanter. Depuis
2006, j’ai l’immense joie d’interpréter un spectacle
hommage à Serge Reggiani, qui m’a confirmé ce que
je pressentais : le public est là, en embuscade, prêt à
se laisser emporter par ces oeuvres si nécessaires
que sont les grandes chansons.
« Je ne suis pas un chanteur, disait Reggiani, je suis un acteur qui se permet le luxe de
chanter ». Je prends !
Et puis Brel… dans un coin de la tête, toujours. L’inaccessible étoile. Franchir le pas. Ne
plus attendre surtout. Entreprendre ce projet totalement impudique : chanter Brel ! Sans
compromis, sans réfléchir, sans fausse modestie surtout.
Alors un jour, comme on saute à l’élastique, on compose un spectacle hommage à ce
monument de la chanson francophone qu’est Jacques Brel. Et la grande peur arrive… Ce
spectacle a vu le jour le 27 avril 2013, et depuis il tourne. Le public vient surtout par curiosité…
souvent en se décidant au dernier moment. Il hésite, et je le comprends… Car la question est
d’importance : comment interpréter Brel ???
Et bien entendu, pas question d’imiter, ce qui serait aussi inutile que grotesque. Pas
question non plus de trahir en s’accaparant des oeuvres qui appartiennent à tous.
Mon parti pris est la fidélité. Mot pour mot, note pour note, sentiment pour sentiment.
Chacune des vingt et quelques chansons que j’interprète sont des petits films, avec leurs
personnages, leurs tragédies, leurs travers loufoques, et je les traite comme autant de
personnages de théâtre. Un théâtre musical, un théâtre intime qui réclamerait l’énergie d’un
opéra.
Le titre « Jacques Brel… Ay, Marieke » ne laisse planer aucun doute. Au coeur de ce
spectacle se trouvent les femmes. Cette muraille de Chine devant laquelle s’est brisée la
candeur de « Jackie », entre la silhouette de Fanette qui disparait et les envoutements de
Mathilde. La chanson « Ay, Marieke » me paraissant la plus sincère, tellement qu’elle est en
partie chantée en Flamand.
Pour une telle aventure il me fallait des compagnons de route aussi solides que talentueux,
et parmi eux mon fidèle complice Jean-Sébastien Bressy, pianiste virtuose, auteur-compositeurinterprète également (atout majeur pour aller plus loin dans l’esprit du maître). Sa grande
culture musicale et son rapport charnel à la musique en font le complément indispensable à
cette escapade périlleuse… 1H30 chez Brel ! Comme souvent, pas ou peu d’articles de presse,
et c’est presque mieux parfois. A part le public, rien ne compte. Et le public est là, il est heureux
et ne manque jamais de le dire. Alors seulement je sais que je n’ai pas eu peur pour rien.
Eric NICOL
Comédien qui chante
REVUE de PRESSE :
La salle était comble en cette soirée de dimanche. Les amoureux du festival Brassens ont fait
une ovation aux artistes. Et quels artistes ! (…)
Après l'entracte, elle (Cathy Fernandez) a laissé la place à Éric Nicol, accompagné par le
pianiste aux doigts de fée, Jean-Sébastien Bressy et par l'extraordinaire Jo Labita.
Éric Nicol a un physique à la Nougaro, une énergie digne de Monsieur 100000 volts, alias
Gilbert Bécaud, mais il est surtout un talentueux comédien et immense chanteur.
www.nicol-david.fr
Samedi 17 octobre à 20h30 : SOIREE P.LOUKI / M.BERTET
Cathy FERNANDEZ-Michel VIVOUX « LOUKI d’amour et
d’humour »
Pierre LOUKI, le plus discret des grands
auteurs de la chanson française, le complice
auteur-compositeur le plus estimé de
Georges BRASSENS. Il a écrit plus de 200
chansons "enregistrées" et autant dans les
tiroirs.
C'est justement dans les tiroirs que
Georges Varenne, le fils de Pierre Louki, est
allé dénicher des textes somptueux pour les
"offrir" à Cathy et Michel, afin qu'ils les
"musicalisent" et qu'ils les gravent sur un CD.
De là est né ce spectacle: « Louki, d'humour et d'amour »". Des chansons tendres, des
chansons d'amour ... mais aussi des textes coquins et drôles ! Des textes inédits, mais aussi
des chansons déjà entendues, et bien connues de tous les amateurs de belles chansons.
Pierre Louki, est sans contexte, une des plumes les plus originales de la chanson française.
REVUE de PRESSE :
Ce spectacle est servi par deux belles personnes, sachant glisser dans nos oreilles, des petites
merveilles qu'elles ne sont pas près d'oublier ...
www.musicoscope.fr/cathyf
www.michelvivoux.com
Michel BOUTET
Chanteur, comédien et raconteur, Michel
BOUTET a le mot juste et la plume exercée.
Amoureux de notre belle langue, observateur
et souvent amusé de ce qui nous entoure,
avec "Barbouillot d'pain sec" il nous raconte
des "histoires vraies qui auraient pu exister",
celles d’un village, peut-être celui d’à côté.
En racontant l'histoire de "Toutptipassipti", un
petit garçon né dans la tribu des premiers
humains apparus sur la terre, il emmène tout
le monde en voyage, au pays qui a vu naître
le langage.
Tout en tendresse et poésie, il joue et fait
fait jouer avec les mots. Puis tout à coup, "des oreilles qui n'en croient pas leurs yeux" se
mettent à entendre et tout devient extraordinaire !
On peut le dire : qu'il chante ou qu'il raconte, avec Michel Boutet, la balade est garantie.
Michel Boutet est né en 1951 dans le Poitou. Très jeune, il est attiré par l'univers du théâtre.
A l'âge de 18 ans, il intégre les Compagnons du Masque et part en tournée estivale. Il mime,
joue la comédie et écrit... Suivront des rencontres et d'autres tournées. En 1972, il publie son
premier disque Chansons entre parenthèses et présente son premier spectacle. Suivront
d'autres disques et d'autres spectacles...Les textes de ses chansons et de ses poèmes sont
édités. En 1978, il crée sa propre maison de disques les Disques Chaline et y enregistre son
deuxième album Le sable est mouvant. Il produit de nombreux artistes. Artiste aux multiples
casquettes, Michel Boutet chante, écrit, compose, joue la comédie, participe à de nombreuses
manifestations et festivals.
Son blog : http://milboutet.over-blog.com
Extrait vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xe2kyv_michel-boutet_music
Site Internet : http://www.michel-boutet.com
REVUE de PRESSE :
Il y a des moments magnifiques qui naissent d’un pur hasard. À Barjac, l’habitude est de rendre
chaque soir hommage à un artiste en diffusant une de ses chansons avant le début du premier
spectacle. Lundi soir, avant le récital de Michel Boutet, la chanson choisie était « Juste une
femme » extraite du dernier album d’Anne Sylvestre (marraine du festival). À la fin du morceau,
Michel Boutet, comme si cette succession était voulue, enchaîne « Juste une femme… juste
une autre femme, une femme qui n’a jamais demandé à personne de penser à sa place ». Suit
une chanson issue de son album La cordillère des anges : La vieille et les loups – « Penser,
c’est du courage quand les cheveux virent au gris / Elle nous payait d’une page de sa
philosophie ». Cette femme est un des nombreux personnages qui peuplent les chansons de
Michel Boutet. Comme Anne Sylvestre, il aime donner un nom aux personnages de ses
chansons. Le message passe mieux si on peut mettre un visage sur l’idée que l’auteur veut
illustrer, qu’elle s’appelle Benoîte, Xavier, Clémence… Jean-Guy Douceur ou « Leïna« ,
deuxième chanson du récital de ce soir. Michel Boutet y naviguera entre des chansons
récentes et d’autres plus anciennes, issues de ses précédents albums. Elles présentent
pourtant toutes une belle homogénéité, bien servie par les trois artistes sur scène : Jacques
Montembault au piano et Delphine Coutant au violon et à la voix. Que ce soit pour se demander
où sont passés « Les gardes-barrière« , nous présenter son copain imaginaire, nous emmener
visiter les bars qui bordent la Mer d’Iroise, au son de « L’accordéon qui joue dans les rues
d’Amsterdam« .
Il y a des auteurs qui évoquent des voyages, des ailleurs qui font rêver ; d’autres préfèrent
s’indigner, militer, râler, revendiquer ; certains choisissent l’humour pour s’exprimer… Michel
Boutet parle des humains, raconte des histoires quotidiennes avec des mots simples,
compréhensibles par tous. Alors si une de ses chansons s’appelle « Chanson peu
académique« , c’est simplement parce qu’un académicien croisé un jour sur un plateau de
télévision s’indignait qu’on ose appeler « poèmes » les chansons et leur déniait ce nom.
Pourtant s’il est un auteur dont les textes correspondent bien au thème du festival de Barjac
2013 : « Poètes, vos papiers ! », c’est bien ceux de Michel Boutet ! Le seul reproche que je
pourrais faire au récital de ce soir, c’est que les règles qui gouvernent le festival de Barjac sont
trop drastiques : limiter à quarante minutes la durée de la première partie du soir, c’est
beaucoup trop court ! enfin… au moins pour ce soir !
Dimanche 18 octobre à 15h30 : MATINEE PASSION
Marie d’EPIZON « En souvenir de vous » hommage à
G.BRASSENS
BRASSENS et les femmes
Marie d’Épizon revisite l'oeuvre du poète
sétois en mettant l’accent sur les chansons qui
célèbrent les femmes : bergères, princesses,
pucelles ou filles de joie, sans oublier Jeanne,
Bécassine ou Pénélope. Accompagnée par
Thomas Fontvieille à la guitare et Jean-Pierre
Barreda à la contrebasse, elle nous invite avec
humour et tendresse à redécouvrir les succès et
les trésors cachés de cet amoureux singulier de
la langue française.
" La femme est le sujet premier de mon oeuvre et elle est généralement traitée avec grande
estime et vénération. Et je ne me suis pas intéressé uniquement à la jeune et séduisante
nymphette mais à toutes les femmes. De toutes conditions. De toutes origines et de tous âges."
Georges Brassens
REVUE de PRESSE :
" Quand on croise une vocaliste qui transmet avec grâce, couleur, esprit, respect, personnalité,
l'oeuvre du maître, on tombe en arrêt. Ne boudez pas Marie, rafraîchissante comme la fontaine
de la chanson, auprès de laquelle vous irez souvent promener. "
Bruno Pfeiffer. Libération.fr
" Les chansons constituent un ensemble remarquablement homogène : elles rendent toutes
hommage à la femme, de La première fille à Saturne, via quelques figures emblématiques
(Pénélope, Jeanne, Bécassine), avec en point d'orgue, une interprétation aussi inattendue que
remarquable du Blason. La sobriété des accompagnements habille parfaitement la voix de
Marie envers laquelle je ne peux que revenir avec les mots-clés que sont : délicatesse et
charme. A vous, maintenant, de vous laisser séduire. "
Joseph Moalic. Les amis de Georges
" Que dire devant tant de talent ? Les qualificatifs manquent : émotion, délicatesse, charme,
présence sur scène, diction et voix parfaites. La vingtaine de chansons de Brassens que Marie
interpréta furent toutes saluées par des salves d'applaudissements nourris, notamment Le
blason, qu'elle ne chanta pas mais qu'elle dit d'une telle façon, à la fois délicate et coquine, que
les murs de la salle résonnèrent longtemps sous les clameurs enthousiastes. En rappel et en
apothéose, Marie chanta Göttingen, de Barbara, devant la salle debout."
Pierre Schuller. Auprès de son arbre
www.mariedepizon.com
Récital Gilbert LAFFAILLE
Gilbert Laffaille est né à Paris en 1948. Il fait des
études de Lettres, devient professeur de français et
découvre le monde en tant qu'accompagnateur
touristique: Afghanistan, Pakistan, Iran, Népal, Birmanie,
Thaïlande, Indonésie.
Il enregistre son premier album de chansons en
1977: remarqué par Claude Nougaro, il tourne en
compagnie de Gilles Vigneault, est programmé plusieurs
fois au Théâtre de la Ville, au Printemps de Bourges,
aux Francofolies de La Rochelle et se produit sur toutes
les scènes de France et de Navarre jusqu’à l’Olympia en
1995. Ses tournées nombreuses et variées l’ont
conduit à chanter dans une vingtaine de pays, ses chansons ont été traduites au
Danemark, en Suède, en Allemagne, aux Etats-Unis, au Vietnam, en Italie, en Espagne et au
Japon.
Auteur-compositeur-interprète, sa carrière est jalonnée de rencontres avec de grands
musiciens: Christian Chevallier, François Rauber, Richard Galliano, Jean-Jacques Milteau,
Michel Haumont, Stéphane Grapelli, Romain Didier, Daniel Mille, Aldo Romano, Patrice
Caratini, Umberto Pagnini, Olivier Hutman, Paul Mindy et aujourd’hui la pianiste francoquébecoise Nathalie Fortin.
Gilbert Laffaille a écrit plus de cent cinquante chansons: Neuilly blues, Le Président et
l'éléphant, Trucs et fcelles, La Foire du Trône, Interrogations écrites, Tout m’étonne, La tête
ailleurs, Le gros chat du marché, Dents d'ivoire et peau d'ébène, La java sans modération, Les
raisins dorés… Il a enregistré une douzaine d’albums au style très personnel, immédiatement
reconnaissable.
Invité des grandes émissions de radio et de télévision, on l’entend régulièrement sur les
ondes jusqu'au début des années 2000. Puis, le paysage audiovisuel se modifant, ses
apparitions se font plus rares. Il n’a pourtant jamais cessé de se produire sur scène et a
multiplié les aventures artistiques: il publie des recueils de textes, des albums illustrés pour la
jeunesse, écrit du théâtre, donne des lectures en public et anime des ateliers d’écriture.
mlanclos @traficom-musik.com www.traficom-musik.com
LE SPECTACLE :
« LE JOUR ET LA NUIT »
Paroles et musique : Gilbert Laffaille
Piano et arrangements : Nathalie Fortin
Composé pour moitié des chansons du nouvel album, sortie prévue septembre 2013, et pour
moitié des succès égrénés depuis 1977 : «Le président et l’éléphant», «Chocolat et cerises » ,
« Le gros chat du marché », «La tête ailleurs», «Les raisins dorés», «La java sans modération»,
Neuilly blues», «Trucs et fcelles», «Tout m’étonne», ce spectacle devrait marquer le grand
retour de Gilbert Laffaille sur le devant de la scène et rappeler opportunément la place qu’il
occupe dans la chanson française.
On a souvent souligné la qualité des textes des chansons de Gilbert Laffaille… ce nouveau
récital en compagnie de trois musiciens met aussi particulièrement en valeur les musiques qui
portent ses mots. Après plusieurs années de tournées en formule piano-voix, quel plaisir de
réentendre la contrebasse et la guitare, indispensables dans les morceaux bluesy, jazzy, ou les
bossa-nova! Ici ni attitude ni mise en scène particulière, l’artiste fait le pari de l’évidence et de la
simplicité: un espace scénique volontairement dépouillé, des chansons graves ou drôles,
tendres ou loufoques qui peuvent respirer, s’épanouir et aller à la rencontre du spectateur sans
foritures. Que l’on rêve, que l’on s’émeuve ou qu’on éclate de rire, pas de temps mort, pas de
pesanteur, mais un feu d’artifce de mots et de musique!
«Je ne vais jamais par 4 chemins là où le plus court chemin s’impose. Je dirai donc que Gilbert
Laffaille m’est apparu dès la première vision-audition comme un des preux chevaliers les plus
patents au royaume de la chanson française.»
Claude Nougaro
www.gilbertlaffaille.fr
LES APEROS-CONCERTS
( sous chapiteau chauffé )
Vendredi 16 octobre de 17h45 à 19h
Jean-Paul GOINY
« LA CHANSON QUI VOUS PARLE »
Amoureux de la chanson française poétique, Jean-Paul GOINY nous
propose une promenade à travers les rues de Paris, teintée d’amour et
illustrée par de belles chansons que nous avons encore tous en
mémoire.
Accompagné à l’accordéon Par Jean-Pierre RENAUD, il interprètera
les succès de Bourvil, S.Lama, E.Piaf, S.Gainsbourg, L.ferré, S.Reggiani,
J.Brel, J.Higelin, G.Brassens, C.Vaucaire, Frehel, C.Nougaro, etc… ainsi
qu’une composition personnelle.
Samedi 17 octobre de 11h à 13h
Jean-Michel ZINSKY
Découvert lors d’un concert de soutien à CHARLIE à
Montgiscard (31), Jean-Michel ZINSKY vous propose de
partager un moment entre guitares, « émotions et mots
sillons ».
De J.Brel à A.Bashung, en passant par J.Dutronc ou
encore S.Gainsbourg il nous emmenera également dans
son univers personnel en nous interprétant quelquesunes de ses compositions.
MAAX
« ARTISAN DE LA CHANSON », c’est ainsi que MAAX aime
à se définir. Amoureux ou révolté, rêveur ou passionné, il écrit
ses chansons avec une grosse dose d’optimisme et sans le
moindre sentiment de fatalisme.
Porté sur les sujets forts mais aussi sur les anecdotes plus
légères, il nous débite ses chansons sur le ton de la franchise et
de la camaraderie, sans se positionner comme un quelconque
prêcheur un peu visionnaire mais bel et bien comme le
troubadour qu’il est.
Les chansons s’écoutent comme l’on écouterait un frangin qui te parlerait à l’oreille devant
une cheminée rougeoyante, avec une clope au bec et un verre de rouge à la main.
Maax a la poésie bucolique chevillée au coeur et au corps, avec une certaine rage pour
gueuler contre la médiocrité, les injustices sociales et l’intolérance.
Il y a plein d'images et de métaphores dans les textes, pour mieux nous faire partager ses
émotions, ses colères et son humanité.
Salut !
Alors, je suis né un dimanche 27 novembre 1966 à 00h30, ce qui nous fait, à l’heure du
soleil, un samedi 26 novembre 1966 à 23h30. Mais le soleil, lui, il s’en fout. Et moi aussi…Lieu
de naissance : Arles, (Bouches du Rhône), pauvre fleuve, même lui, il s’y baignerait pas
dedans, (je parle du Rhône). Mon père était boulanger et ma mère vendait le pain.
A l’école primaire, en tant que gamin normalement constitué, je préférais la récré à la classe,
et dans la cour, moi j’étais Rahan, (le fils de Craô), je grimpais aux arbres et j’avais un couteau
en bois. C’était super ! Certains camarades d’école voulaient jouer à la guerre, moi, je n’aimais
pas ça. Puis on ne tue pas ceux qui marchent debout !
A l’âge de 11ans, nous sommes venus habités dans l’Hérault, au bord de la mer. Bof ! La
mer c’est pas mon truc, c’est trop vaste, et en plus ça me donne le mal de mer. Puis moi, je
voulais être berger, dans la montagne, tout seul avec un chien et des moutons bien sûr, mais
bon… je me suis retrouvé dans une école de viticulture à Pézenas, et là, c’était pas mal.
Ensuite, après avoir obtenu mon brevet de technicien agricole (option viticulture, œnologie),
z’avez vu un peu ? ben, j’ai pas voulu continuer car il fallait apprendre toutes les marques et les
produits de désherbants, pesticides, enfin tous ces machins à la con qui n’ont pas fini de nous
pourrir la vie. Entre temps j’ai découvert Léo Ferré, et mon cœur s’est mis à battre pour la
chanson. Et à l’âge de 20ans, je suis parti vivre dans les hauts cantons de l’Hérault.
En 1988, avec mon frangin, Fred, qui joue du piano, nous avons formé un duo à 2, des fois à
3, « Ces gens-là » chanson française avec Brel, Brassens, Ferré.
Puis j’ai voyagé en Inde, cette formidable fourmilière humaine, « entre les vaches et les vélos,
et les marmots qui me font « hello ! » j’évitais les bouses et les trous, les cochons, les poules,
les cailloux » et rencontré les réfugiés tibétains. Merci à vous Frères tibétains, thank you India,
Namasté !!!
Bon, et maintenant, j’ai 43 berges, toujours dans la vallée des hauts cantons, j’aime bien fumer
ma clope en buvant un café, les non-fumeurs, qui n’aiment pas la fumée, ils me gonflent un
peu, mais bon, voilà, quoi !Le boulanger de mon village fait du bon pain et moi je fais pousser
des chansons.
Ah oui, puis y a ça aussi : 14 juillet 1993 – Jour Ferré : Adieu Léo ! A bientôt ! Sans Amour
l’Anarchie n’existe pas. Sans toi, ben… on va se débrouiller comme on peut !
3 octobre 2005, 12h 45, Du rêve : L’éclipse solaire se termine, elle nous a fait coucou ! C’est un
beau moment et un joli cadeau de sa part. Merci la terre, merci le soleil… Et aujourd’hui ? La
planète se réchauffe, effet de serre… c’est parce que, il paraît, que c’est qu’on roule trop vite
avec nos voitures…Ah ! Vraiment, ça alors, excusez-nous messieurs les industriels, on est
désolé !
Brève conclusion : on nous prend toujours pour des cons !
www.maax.fr
Samedi 17 octobre de 17h45 à 18h45
Alain ROSSI
Accompagné au piano par François MACE, Alain ROSSI
nous fait découvrir, ou redécouvrir, toute la poésie qui se
dégage de l'oeuvre de Georges CHELON, un artiste qui n'a
jamais cessé d'écrire et de composer.
A travers ses chansons d'amour, d'espérance ou son
engagement pour la paix, toutes les facettes de son
répertoire vous seront proposées. Un pur moment de
bonheur et d'émotion vous attend.
Georges Chelon fait partie des grands de la chanson
française. On se souvient de ce chanteur qui a commencé sa
carrière dans les années 60 avec « Père prodigue » et son
Fameux :- « Ah te voilà toi ! », puis vinrent « Morte saison », « Sampa » et bien d’autres.
Depuis il n’a eu de cesse de dénoncer l’injustice, l’intolérance, la violence. Ses chansons
d’amour et d’espérance sont magnifiques.
:-« Alain, merci de prolonger ainsi ma présence dans cette tâche qui, je sais, est
délicate. Merci de défendre mes textes avec tout ton talent »,
Georges CHELON
www.alainrossi.com
Dimanche 18 octobre de 11h à 13h
Jean-Marc DUCHEMIN
Accompagné de sa guitare, Jean-Marc DUCHEMIN
nous promène dans l’univers d’Henri TACHAN.
Adolescent, Henri trouvait que « la musique et le
poésie étaient de bien jolies filles ». Jean-Marc revisite
pour nous ce répertoire d’amour, d’humour mais aussi
de colère et de révolte.
www.jeanmarcduchemin.com
CAROLINE TRIO
Accompagnée de son accordéon et de ses
musiciens, Caroline revisite de façon originale et punchy
les textes et musiques de la chanson française.
Caroline Trio vous propose un répertoire riche et varié :
de Boby LAPOINTE à BRASSENS, en passant par
Renaud, Aznavour, Trenet, Les Ogres de Barback, et
bien d’autres.
Humour, tendresse, poésie et émotion sont au
rendez-vous, pour un moment de convivialité et de
partage avec le public.
"Caroline, C’est un accordéon accroché à une flamme, c’est une chanson, légère,
délicatement impertinente, c’est un regard pétillant de tendresse pour un public, pourtant,
toujours conquis.
Ecoutez-là, simplement pour le voyage, sur les ailes de ses chansons. Avec Caroline, la vie est
subtilement plus légère."
Jean-Paul Sermonte, Rédacteur en chef des « Amis de Georges ».
De l’émotion, du talent, une vraie capacité à faire participer
et vibrer le public, les artistes ont véritablement
conquis leur auditoire. »
La Dépêche
« La magie d’un mélange subtil, un je-ne-sais-quoi qui
fait que son public est sous le charme quand elle apparait
sur scène. »
Version Fémina
« Caroline Trio : une présence, une relation rare avec
un public conquis dès les premiers mots. »
Le Dauphiné Libéré
www.carolinetrio.com
LA SCENE OUVERTE ( sous chapiteau chauffé )
Samedi 18 octobre de 14h30 à 17h15
Le festival ouvre sa scène aux artistes, amateurs ou non, présentant des chansons
françaises et désireux de se faire connaître. Afin de leur offrir la possibilité de vraiment
s’exprimer nous limitons le nombre de places, seuls les premiers inscrits seront retenus pour
participer à cette scène ouverte.
PRESENTATION
Fred POJUROWSKI
Agenais pur porc, élevé sous la mère, Fred
POJUROWSKI multiplie les casquettes : prof de maths
au Lycée de VILLENEUVE-S/LOT en 59/6O ; il
abandonne, car il y avait trop de vacances. Ensuite, un
peu de tourisme militaire en ALGERIE, puis il relance
l'entreprise de son père qui était moribonde et lui donne
une dimension nationale et internationale.
En 1992, il cesse son activité car il n’y avait pas
assez de vacances et redonne vie à une deuxième
ruine, "le château de CLERMONT-DESSOUS" où
depuis 2OO4 se produisent de nombreux artistes de
toute nature et dans toutes les disciplines.
Trois fois roi des menteurs à MONCRABEAU,
ROI des ROIS en 1992.
Il a été élu CONSEILLER GENERAL en 1994
avec pour tout slogan " Je ne vous promets rien, mais je
le tiendrai "
Et, comme il monte aussi parfois sur scène, c'est à lui que nous avons confié la présentation
de l'édition de GEORJACLEO 2O12. Nous nous attendons au pire !!!
REPAS d’APRES SPECTACLES ( Espace Jourdain de l’Isle )
Vendredi 16 et samedi 17 octobre vers 23h30
Dimanche 18 vers 20h
Dans l'esprit des soirées (et des nuits !) qui ont fait la réputation de notre festival, nous
vous invitons à partager ce moment de convivialité épicurienne, en compagnie des artistes qui
vous ont fait rêver durant ces trois jours de fête, Vous chanterez avec eux, leurs chansons ou
celles de vos auteurs favoris.
Il est prudent de réserver les repas à l’avance ( PLACES LIMITEES ).
TARIFS
2 Spectacles :
Vendredi 16 :
Ph.GUILLARD - Eric NICOL
Ou Samedi 17 :
C.FERNANDEZ/M.VIVOUX - Michel BOUTET
Plein tarif : 18€
Adhérent GeorJacLéo 2014 : 14€
2 Spectacles :
Dimanche 18 :
Marie d’EPIZON – Gilbert LAFFAILLE
Tarif unique : 25€
1 Apéro-concert : 8€
1 Repas d’après spectacle : 15€
Passeport spectacles espace Jourdain de l’Isle :
Plein tarif : 57€
Adhérent GeorJacLéo 2014 : 49€
Passeport Festival complet (spectacles, apéros-concerts, 3 repas ) :
Plein tarif : 132€
Adhérent GeorJacLéo 2014 : 118€
RESERVATIONS
Le bon de réservation est à découper sur le programme ou à télécharger sur le site
www.GeorJacleo.com , il doit être envoyé complété et accompagné d’un chèque ou
d’une copie de virement à l’ordre de : Association GeorJacLéo – BP 10156 – 47005 AGEN
Réservations par téléphone : 06.86.89.29.99 ou 06.78.55.49.92
Pour éviter les pertes ou les oublis, nous conservons vos places et vous pourrez
les récupérer à l’accueil du festival. Si vous désirez qu’on vous les envoie ( jusqu’au 8
octobre ) merci de joindre une enveloppe timbrée avec votre adresse.
Les chèques étrangers ne peuvent être acceptés. Aussi merci de faire un virement
international sur le compte de : Association GeorJacLéo/Crédit Agricole d’Aquitaine
IBAN : FR76 1330 6003 1450 0644 1901 170
BIC : AGRIFRPP835