Vaccin Gardasil. Douze jeunes filles dans les écoles mêmes

Transcription

Vaccin Gardasil. Douze jeunes filles dans les écoles mêmes
Le Dr Russell Blaylock expose la supercherie criminelle du Gardasil :
Natural News, Ethan A. Huff, 20 août 2012
http://www.jeveuxdelinfo.fr/2012/08/21/le-dr-russell-blaylock-expose-la-supercheriecriminelle-du-gardasil/
"Lors d’une nouvelle interview percutante avec le « Ranger de la Santé » Mike Adams, rédacteur en
chef de NaturalNews.com, le Dr Russell Blaylock, neurochirurgien à la retraite et défenseur de la
liberté en matière de santé, explique en détail et sans détour que quantité de vaccins, dont la
piqûre mal famée de Gardasil pour le papillomavirus humain (VPH), n’ont jamais été prouvés agir,
et sont infligés abusivement à des millions de gens sans leur consentement éclairé."
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Vaccin Gardasil. Douze jeunes filles dans les écoles mêmes victimes du
syndrome de Tourette :
http://tuttouno.blogspot.fr/2012/09/vaccino-gardasil-dodici-ragazzedi-una.html
http://comesantommaso.blogspot.gr/2012/01/sindrome-post-gardasil-12ragazze.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed:+ComeSan
Tommaso+%28Come+San+Tommaso%29
"Le syndrome de Gilles de la Tourette causés par le vaccin contre l'hépatite B.
Le vaccin Gardasil en question, un scandale de santé.
Les autorités et les médias jouent la carte de la désinformation.
«J'étais très bien. Il y avait rien d'étrange. Je me suis réveillé et j'ai commencé à bégayer."
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Un vaccin dangereux et interdit est reconditionné et reçoit un nouveau nom !
http://expovaccins.over-blog.com/article-un-vaccin-dangereux-et-interdit-est-reconditionneet-re-oit-un-nouveau-nom-110594085.html
Mercredi 26 septembre 2012
Christina England, 24 septembre 2012 , VacTruth
.../..."En juin 2012, il a été annoncé que le simple vaccin contre les oreillons “MédiMumps” cultivé sur des cellules rénales de chien serait disponible pour certaines
cliniques privées en tant qu’option alternative du ROR
(Rougeole,Rubéole,Oreillons).
Depuis, on a découvert que le “Médi-Mumps” était en fait le vaccin Pavivac qui avait
été interdit et ne possédait pas de licence.
1
Pour camoufler la chose, comme ce fut le cas pour le vaccin Pluserix ROR, le vaccin
a été reconditionné et a reçu un nouveau nom.".../...
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Retraits de lots du vaccin contre la typhoïde Typhim Vi® - 28/09/2012 :
http://www.mesvaccins.net/home/news.php?id_news=3264
"L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé
(Ansm) informe sur son site Internet que le laboratoire Sanofi Pasteur MSD
a décidé de procéder au retrait des deux lots suivants du vaccin Typhim
Vi® :
•
•
G0484-1 (péremption août 2013) ;
H0048-2 (péremption janvier 2014).
Qu'est-ce que le vaccin Typhim Vi® ?
Le vaccin Typhim Vi® confère une protection contre la typhoïde. L'antigène utilisé
est un polyoside capsulaire (antigène Vi) de Salmonella enterica sérotype Typhi.
L'antigène Vi est un facteur de virulence qui permet à la bactérie de survivre à
l'intérieur des macrophages. Ce vaccin n'est pas conjugué à une protéine (les vaccins
conjugués sont plus efficaces) et la protection qu'il confère n'est pas toujours
suffisante pour empêcher la survenue de la maladie.
Pourquoi a-t-on procédé à un retrait de lots ?
Des investigations récentes ont montré une hétérogénéité du contenu antigénique
entre les seringues des lots concernés. Par conséquent, certaines seringues de ces
lots peuvent avoir un contenu antigénique en polyoside Vi insuffisant.
______________________________
http://ansm.sante.fr/S-informer/Informations-de-securite-Retraits-de-lots-et-deproduits/Typhim-Vi-solution-injectable-en-seringue-pre-remplie.-vaccintyphoidique-polyosidique-Sanofi-Pasteur-MSD-Retrait-de-lots
Typhim Vi, solution injectable en seringue pré-remplie. vaccin typhoïdique
polyosidique - Sanofi Pasteur MSD - Retrait de lots
24/09/2012
"Le laboratoire Sanofi Pasteur MSD a décidé de procéder au retrait des lots de vaccin
Typhim Vi® (vaccin typhoïde polysaccharidique Vi, 0,5 ml de solution en seringue préremplie, avec deux aiguilles séparées, boîte de 1, code CIP 3400936993020) suivants :
o
o
G0484-1 (péremption août 2013)
H0048-2 (péremption janvier 2014)
Des résultats d'investigations récentes ont montré une hétérogénéité du contenu
antigénique entre les seringues des lots concernés. Par conséquent, certaines seringues
2
de ces lots peuvent avoir un contenu antigénique (polyoside Vi) inférieur à la
spécification.
Les doses de Typhim Vi® provenant de lots non concernés par le rappel peuvent être
administrées.
Le retrait des lots va entraîner dans les prochaines semaines des difficultés
d'approvisionnement.
Des informations plus détaillées seront communiquées très prochainement auprès des
professionnels de santé concernés."
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Gardasil : retrait demandé en Espagne après un décès. Rappel des critiques
espagnoles et des principaux arguments contre la vaccination HPV :
http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2012/10/01/gardasil-retrait-demande-enespagne-apres-un-deces-rappel-de.html
01.10.2012
"Décès d’une jeune fille de 13 ans. Prises de position officielles
.../...A la mi-septembre, une jeune Espagnole de 13 ans, originaire de Gijón
(Asturies) a fait une crise sévère d’asthme dix heures après l’administration de la
deuxième dose de Gardasil, censé protéger contre deux souches de papillomavirus
humains (HPV 16 et HPV 18) impliquées dans certains cancers du col de l’utérus. La
jeune fille est décédée.
Des investigations sont en cours, notamment par les services de santé des Asturies
(Consejería de Sanidad del Principado de Asturias) et par le ministère fédéral de la
Santé, des Affaires sociales et de l’Egalité (Ministerio de Sanidad, Servicios
Sociales e Igualdad)
Mais, sans attendre les conclusions de l’enquête, des sociétés savantes ont déjà
déclaré que rien ne laissait supposer un lien de causalité entre le Gardasil et cette
crise d’asthme.
Ainsi, le 17 septembre, la Société espagnole de pédiatrie (AEP : Asociación
Española de Pediatría) a repris les conclusions de son comité technique des
vaccinations et a émis un communiqué réaffirmant la sécurité et l’efficacité du
Gardasil et du Cervarix et rappelant qu’ils ont fait l’objet d’une homologation par
les diverses agences du médicament : la FDA (Food and Drug Administration) aux
Etats-Unis, l’EMA (European Medicines Agency) en Europe, l’AEMPS (Agencia
Española de Medicamentos y Productos Sanitarios) en Espagne. Sans oublier
l’OMS.".../...
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Méningite: 50 millions de personnes vont être vaccinées en Afrique :
3
http://www.journalducameroun.com/article.php?aid=12403
Par Journaldekin.com, source Xinhua -­‐ 05/10/2012 "Les efforts pour éliminer la méningite dans les pays à risque vont s'intensifier dans les trois prochains mois
avec la vaccination contre la maladie de plus de 50 millions de personnes dans sept pays d'Afrique, a
annoncé jeudi l'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI).
La campagne d'immunisation couvrira le Bénin, le Cameroun, le Tchad, le Ghana, le Nigéria, le Sénégal et
le Soudan. Ces sept pays sont vulnérables à de graves poussées saisonnières de cette maladie qui peut tuer
en 48 heures, avec un total combiné de près de 430 millions de personnes exposées au risque, selon
l'Alliance.
Le Dr. Seth Berkley, président de l'Alliance GAVI, a précisé dans un communiqué que cette campagne de
vaccination allait viser tout particulièrement les personnes les plus vulnérables, notamment les enfants et les
jeunes adultes et qu'elle serait menée à bien avant la fin du mois de décembre."
« La méningite a un impact terrible sur les populations vivant dans les zones vulnérables d'Afrique chaque
année », a déclaré le Dr. Berkley. « C'est une maladie douloureuse qui peut tuer très vite ou laisser les
victimes avec des handicaps qui vont constituer un fardeau pendant le reste de leur vie, » a-t-il ajouté.
« Personne ne comprend vraiment pourquoi cette région est particulièrement vulnérable mais tous les cinq,
six ou sept ans, il y a des épidémies. Il peut y avoir des centaines de milliers, voire des millions de cas et cela
met les économies de ces pays pratiquement à l'arrêt », a précisé le Dr. Berkley.
"L'Alliance GAVI regroupe des pays en développement et des gouvernements de pays bailleurs de fonds,
l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds des Nations Unies pour l'enfance ( UNICEF), la Banque
mondiale, l'industrie des vaccins, la Fondation Bill et Melinda Gates et d'autres organisations philanthropiques
privées."
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Conséquences du décès d’une jeune Autrichienne.
Inefficacité du Gardasil prouvée par la modélisation autrichienne :
http://violencealhopital.over-blog.com/article-consequences-du-deces-d-une-jeuneautrichienne-inefficacite-du-gardasil-prouvee-par-la-modelisation--110941361.html
Samedi 6 octobre 2012
Prenons un autre pays où un décès a été enregistré à la suite d’une vaccination par
Gardasil : l’Autriche. Le cas, décrit dans ce billet, est exemplaire, au vu des
réactions responsables des autorités politiques.
Suite au décès d’une jeune fille de 17 ans, Jasmin Soriat, la ministre de la Santé
d’alors – le Dr Andrea Kdolsky, d’emblée sceptique quant aux vaccins HPV - a
demandé une étude prospective sur l’efficacité du Gardasil à long terme. Face aux
résultats négatifs d’une telle étude, Andrea Kdolsky a courageusement refusé
d’inclure le Gardasil dans le calendrier vaccinal et de le rembourser. Les
principales raisons sont « les données peu sûres », l’absence de certitudes quant à
l’efficacité du vaccin, à la durée de l’immunisation, à la nécessité ou non de
rappels ultérieurs, etc. Elle a mis en place une campagne d’information sur les
papillomavirus humains, les dysplasies et les cancers du col de l’utérus, insistant
sur les moyens de prévention et sur le dépistage par frottis cervico-vaginal, « de
4
loin plus efficace » dans la prévention des lésions précancéreuses et des cancers du
col de l’utérus. Tous les moyens devaient être mis en œuvre pour le renforcer.
A noter que la ministre Andrea Kdolsky a dénoncé – tous comme d'autres critiques « la communication [par les laboratoires pharmaceutiques et les experts] de
nature à induire en erreur sur l’effet du vaccin anti-HPV » ; ce discours marketing
des firmes a été repris même par des hommes politiques, avec des conséquences
« dangereuses et très préoccupantes », déplorait-t-elle. Les jeunes filles vaccinées
se pensent protégées contre le cancer du col de l’utérus, et même contre des
maladies sexuellement transmissibles, et relâchent leur vigilance en matière de
pratiques sexuelles.
L’étude en question est une modélisation faite à l’Institut Ludwig Boltzmann,
indépendant de l’industrie pharmaceutique, par une équipe dirigée par Ingrid
Zechmeister. Les résultats sont exposés dans cet article de Pharmacritique. Ils sont
sans appel, même dans l'hypothèse du scénario le plus optimiste qui soit :
Même si l’on vaccinait 85% des jeunes filles de 12 ans par Gardasil jusqu’en 2060 et ce en supposant qu’il est efficace à 100% et immunise à vie - on n’atteindrait au
bout de 52 ans qu’une diminution de 10% des cas de cancer du col de l’utérus.
Et la mortalité ne baisserait que de 13%...
Des décès aux Etats-Unis, en Inde, en Grande-Bretagne…
Les décès aux Etats-Unis sont évoqués dans les rapports annuels de l’association
conservatrice Judicial Watch, qui répertorie aussi les effets indésirables signalés
au système de vaccinovigilance VAERS et à l’agence états-unienne du médicament
FDA (Food and Drug Administration). Ces rapports, ainsi que l’enquête en GrandeBretagne, suite au décès d’une collégienne (après vaccination par Cervarix de
GSK), ont été évoqués dans les articles sur les effets indésirables, à lire en
descendant sur cette page. Partout, les autorités sanitaires ont conclu à l’absence
de lien de causalité avec les vaccins.
Les décès et effets indésirables graves enregistrés en Inde ainsi que les réactions
politiques et la réflexion sur les conditions dans lesquelles sont menés les essais
cliniques dans les pays pauvres sont évoqués dans cet article : « Arrêt d’un essai
clinique du Gardasil en Inde: 7 décès, 120 effets indésirables graves, conflits
d’intérêts, désinformation… »
*
D’autres liens, pour en savoir plus
Sur les conflits d’intérêts et les conditions d’autorisation de mise sur le marché
et d’admission au remboursement :
Quant à la collusion entre Merck et Sanofi Pasteur MSD, d'une part, des hommes
politiques, des médecins et associations de patients, d'autre part, qui ont
des conflits d'intérêts du fait des financements reçus des industriels, vous pouvez
lire les billets réunis sous la catégorie "Gardasil, Cervarix : conflits d'intérêts", ainsi
que la note donnant l'exemple de la principale association allemande de patients
(DGVP), payée pour défendre et promouvoir les intérêts de l'industrie
pharmaceutique, y compris le Gardasil.
Il est consternant de voir que dans plusieurs pays européens, ce sont des hommes
politiques voulant capitaliser sur un plan électoral qui ont annoncé que le vaccin
était révolutionnaire et qu'il fallait l'autoriser en urgence. En 2007, Xavier
Bertrand avait annoncé le remboursement du Gardasil par la Sécurité sociale sans
même attendre l’avis des organismes spécialisés : le Comité technique des
vaccinations (CTV) et le Haut Conseil à la Santé publique (HCSP). Sur les 21
membres du CTV, 17 avaient des conflits d’intérêts avec l’industrie
5
pharmaceutique. Même chose en Allemagne. Mais là, contrairement à la France,
les réactions critiques n'ont pas tardé. Et elles sont venues aussi d'un représentant
des caisses publiques d’assurance-maladie, qui a protesté contre une décision
manifestement teintée de conflits d’intérêts et a dénoncé les influences de
l’industrie sur le comité technique des vaccinations allemand (STIKO : Ständige
Impfkommission), allant jusqu’à dire que si tous ceux qui ont des conflits
d’intérêts étaient vraiment écartés des décisions, il ne resterait plus personne…
Sanofi Pasteur MSD, Merck et GSK entretiennent un réseau mondial d'influences et
de conflits d’intérêts, dénoncé maintes fois, par exemple dans cet article. J’ai tenu
à décrire en détail les conflits d’intérêts des experts français, tels que le Pr Didier
Riethmuller et le Dr Jean-Luc Prétet, co-auteurs de l’étude EdiTH, qui sert de
justification scientifique à la supposée nécessité d’une vaccination des jeunes
filles françaises. Ces conflits d’intérêts ne sont déclarés nulle part dans les media
français, ni même dans la presse médicale. Il a fallu les chercher dans la presse
médicale internationale, où une telle déclaration (disclosure) est obligatoire.
A noter aussi les influences multiples qui se sont exercées dans la communication
autour de l’implication des papillomavirus humains dans les cancers du col de
l’utérus, puisque leur inscription sur la liste des agents oncogènes a été faite
par Constella Group. Cette société de recherche sous contrat, chargée
d’actualiser la liste des agents cancérigènes, travaillait en même temps pour les
institutions publiques de santé aux Etats-Unis et pour Merck et GSK. C’est
Constella Group qui est chargé de gérer le système de vaccinovigilance VAERS,
donc de recueillir et analyser les effets indésirables et sélectionner ceux transmis
à l’agence du médicament FDA. Ces aspects sont détaillés dans l’article « Les
conflits d’intérêt: tare de naissance du Gardasil. Constella Group fait de la pub
pour Merck et GSK, établit la liste d'agents oncogènes et recueille les effets
secondaires au VAERS... »
Des influences, biais et conflits d’intérêts se sont exercés aussi au niveau
du comité Nobel, qui a attribué le prix Nobel au chercheur allemand Harald zur
Hausen. L’histoire des travaux de ce chercheur sur les papillomavirus humains est
édifiante pour ce qui est des conséquences des financements par l’industrie
pharmaceutique (MedImmune, puis AstraZeneca, GSK, Merck…). Voir l’article très
détaillé et maintes fois repris « Gardasil et Cervarix : Astra Zeneca et la Fondation
Nobel soupçonnées de corruption et conflits d’intérêts dans l’attribution du prix
Nobel à Harald zur Hausen ».
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La grande peur des vaccins obligatoires :
Créé: 08.10.2012, 07h34
http://www.tdg.ch/suisse/grande-peur-vaccinsobligatoires/story/31930388
"Un référendum est lancé contre la révision de la Loi sur les épidémies.
Au cœur du débat: la possibilité d’imposer des piqûres.
6
Une association alémanique part en guerre dès demain contre le vaccin
rendu obligatoire.
Image: KEYSTONE
Faut-il laisser à la Confédération ou aux cantons la possibilité de déclarer
un vaccin obligatoire? La Loi sur les épidémies, que le Parlement a adoptée
lors de la session d’automne, le prévoit. Dans des conditions
exceptionnelles, soulignent les autorités sanitaires. Mais cela ne convainc
pas l’association alémanique «Netzwerk Impfentscheid», qui lance un
référendum. La récolte de signatures débute demain mardi.
En réalité, les cantons peuvent déjà déclarer certaines vaccinations
obligatoires. Ça a été le cas de la diphtérie, jusqu’en 1997 dans le canton de
Vaud. Une règle que connaît encore Genève. «Cela nous permet de
demander aux parents dont les enfants atteignent vingt-huit  mois de nous
soumettre leur carnet de vaccination, précise Philippe Sudre, médecin
cantonal délégué. Nous faisons alors le point avec eux. Mais nous ne
forçons personne!»
Conditions plus strictes
En revanche, les deux cantons recourent aux mesures d’éviction. Si une
épidémie de rougeole touche une crèche, par exemple, le médecin cantonal
peut renvoyer à la maison les enfants qui seraient en âge d’être vaccinés
(plus de neuf mois) mais ne le sont pas. Et cela pour une durée
correspondant à la période d’incubation. «Le but est d’éviter qu’ils
infectent leurs camarades trop jeunes pour être vaccinés», précise Eric
Masserey, médecin cantonal adjoint dans le canton de Vaud.
Avec la révision, les cantons conserveront leurs prérogatives. Mais cellesci seront réduites. Contrairement à aujourd’hui, l’obligation ne pourrait
s’appliquer qu’aux groupes à risques, aux personnes particulièrement
exposées et à celles exerçant certaines activités. «Il s’agit surtout d’avoir
une base légale pour agir rapidement si nous devions faire face à une
urgence sanitaire tout à fait exceptionnelle, insiste Philippe Sudre. Une
telle situation ne s’est encore jamais présentée.»
7
Là encore, les cantons envisagent plutôt de mettre en quarantaine les
réfractaires. Virginie Masserey, de l’Office fédéral de la santé publique,
ajoute: «Une infirmière qui refuserait d’être vaccinée pourrait par
exemple travailler dans un secteur où elle ne risquerait pas de mettre en
danger des patients vulnérables.»
Mais la conseillère aux Etats Liliane Maury Pasquier (PS/GE), et avec elle
la Fédération suisse des associations de la santé (regroupant plusieurs
associations de professionnels de la santé qui ne sont pas médecins),
auraient préféré «l’incitation à la vaccination de professionnels conscients
de leurs responsabilités plutôt que l’obligation qui contrevient à la liberté
individuelle». La Genevoise craint que des professionnels de la santé ne se
voient interdire de travailler. Elle ne se prononce pas sur son éventuel
soutien au référendum, mais voit un autre problème dans ce texte: «Il ne
précise pas que les experts qui pourraient décider d’une obligation doivent
être indépendants de l’industrie pharmaceutique.»
Les autorités insistent: la révision restreindra les possibilités d’imposer un
vaccin. «Si elle est refusée, nous conserverons la législation actuelle,
obsolète. Les cantons pourront toujours rendre une vaccination
obligatoire, avec moins de restrictions», plaide Virginie Masserey. Sa
conclusion est sans appel: «Les initiants souhaitent uniquement que nous
reparlions de cette question.»
Le Conseil fédéral aussi
Anodin? Les antivaccins ne partagent pas cet avis. Ils soulignent qu’un
nouvel acteur va entrer en jeu, puisque le Conseil fédéral pourra
également prononcer une obligation. Cette prérogative lui sera accordée
dans des «situations particulières» et après avoir consulté les cantons.
Pour le législateur, l’idée est que les virus ne connaissent pas les frontières.
Mais pour Nathalie Calame, médecin généraliste et homéopathe, «c’est un
instrument de pression supplémentaire».
Selon Nathalie Calame, un seul canton peut difficilement prôner une
obligation. «Mais si la directive vient de la Confédération, les cantons
suivront», prédit-elle. L’Union démocratique fédérale (UDF), seul parti à
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soutenir le référendum, se méfie également d’une telle coordination. Et son
secrétaire général, Christian Waber, de rappeler «le désastre que nous
avons connu avec la grippe A (H1N1) et la grippe aviaire».
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Selon une étude de Cochrane Collaboration, aucun vaccin antigrippal n’a de
valeur :
DIMANCHE 7 OCTOBRE 2012
HTTP://WWW.WIKISTRIKE.COM/ARTICLE-SELON-UNE-ETUDE-DE-COCHRANE-COLLABORATION-AUCUN-VACCINANTIGRIPPAL-N-A-DE-VALEUR-110976309.HTML
.../..."Publiée dans Cochrane Library, une étude remarquable n'a
constaté aucune évidence de l’utilité des vaccins contre la grippe.
Elle éreinte aussi la qualité des études sur ces vaccins, en disant que
la grande majorité des essais sont lacunaires.
D’après les auteurs, les seules études montrant des avantages sont
financées par l'industrie. I
Ils ont aussi fait remarquer que ces études financées par l'industrie
sont plus susceptibles d'être publiées dans les revues les plus
prestigieuses... et une autre chose : Ils ont découvert des cas de
graves dommages dus aux vaccins, malgré les carences en matière de
couverture des effets indésirables.".../...
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Vaccin contre la grippe: l'efficacité questionnée :
http://fr-ca.actualites.yahoo.com/vaccin-contre-la-grippe-lefficacit%C3%A9questionn%C3%A9e-181322314.html
TORONTO - Le vaccin contre la grippe n'est peut-être pas aussi efficace que les
agences de santé publique le laissent croire, et de nouveaux vaccins, plus efficaces,
sont nécessaires, conclut un rapport publié lundi.
Le document des experts de la santé publique indique que la protection offerte d'une année à
l'autre par les vaccins actuels est au mieux «modérée», parfois moins.
Les auteurs soutiennent qu'on se contente d'un vaccin juste «assez efficace», ce qui n'encourage
pas l'industrie à produire des vaccins plus efficaces et plus durables. La situation s'explique
également par le fait que de nouveaux vaccins coûteraient beaucoup plus cher.
9
Le rapport de l'Initiative pour un vaccin complet contre l'influenza a été écrit par des experts de
la santé publique du Centre de recherche sur les maladies infectieuses de l'université du
Minnesota.
Les auteurs recommandent fortement de consacrer des ressources financières à la mise au point
de nouveaux vaccins contre la grippe, mais précisent qu'en attendant, la population devrait
continuer à utiliser les vaccins qui sont offerts actuellement.
Le rapport soulève des questions sur les idées reçues à propos de ce vaccin, notamment
l'importance de vacciner les enfants pour protéger les personnes âgées, dont le système
immunitaire n'est pas toujours assez fort pour supporter le vaccin.
Le document indique également qu'il n'existe aucune preuve à l'effet que le vaccin contre la
grippe est plus efficace pendant les années où les souches du virus contenues dans le vaccin
correspondent à celles en circulation.
Le rapport de 160 pages dévoile les résultats d'une enquête de trois ans à propos des données
scientifiques qui appuient le vaccin, la sûreté, et le processus décisionnel qui a mené les ÉtatsUnis à adopter une politique qui encourage les Américains à être vaccinés contre la grippe à
tous les ans.
L'étude a été réalisée grâce à une bourse de la Fondation Alfred P. Sloan.
L'efficacité du vaccin contre la grippe remise en cause :
http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201210/15/01-4583523lefficacite-du-vaccin-contre-la-grippe-remise-en-cause.php
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Des milliers de vaccins Infanrix rappelés :
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1517/You/article/detail/1519245/2012/10/18/Des-milliers-devaccins-Infanrix-rappeles.dhtml
18/10/12 - 06h49 Source: belga.be
"Des milliers de doses de vaccins pour enfants "Infanrix
Hexa" et "Infanrix IPV" ont été rappelés par leur fabricant,
GlaxoSmithKline (GSK), après la découverte d'une bactérie
potentiellement dangereuse dans une usine de production
pharmaceutique à Wavre, peut-on lire jeudi dans les journaux
de Sudpresse.
10
En Belgique, 500 doses avec risque théorique ont été rappelées en
Flandre. L'Infanrix protège les enfants contre plusieurs maladies,
comme l'hépatite B, le tétanos ou la polio. "Le risque est purement
théorique", insiste l'entreprise.
Selon Elisabeth Van Damme, responsable communication externe chez
GSK, la société a remarqué la présence de la bactérie dans
l'environnement de production de l'usine de Wavre. "Des particules
suspectes ont été retrouvées dans l'air à proximité des matières
premières destinées au vaccin. Par mesure de précaution, nous avons
préféré rappeler deux lots de production. Mais certaines doses ont déjà
été utilisées", ajoute-t-elle.
Pour les enfants vaccinés avec ces doses, M. Van Damme affirme que
"pour l'instant, aucun symptôme ne nous permet de dire qu'un risque
existe". "La situation est totalement sous contrôle", rassure-t-elle. Des
doses suspectes ont notamment été rappelées en France, en Allemagne,
au Brésil ou en Australie."
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Plus de 7 millions d’enfants de moins de cinq visés par la campagne antipolio
http://news.abidjan.net/h/443271.html
Publié le vendredi 19 octobre 2012 | AIP
"Bouaké, les journées nationales de vaccination contre la poliomyélite ont débuté
vendredi en Côte d‘Ivoire, avec pour objectif immuniser plus de sept millions d’enfants de
âgés de zéro à cinq ans.
La campagne qui va durer quatre jours, du 19 au 22 octobre, va coûter plus de 700
millions FCFA financés par l’Etat de Côte d’Ivoire et ses partenaires à savoir le Rotary
international, l'OMS et l’UNICEF, précise un communiqué de presse conjoint signé par les
trois organismes.
Cette troisième campagne de l’année, après celles de mars et de mai va mobiliser sur
l’ensemble du territoire national, plus de 13.000 équipes de vaccination qui vont sillonner
de porte-à-porte les ménages, pour administrer deux gouttes de vaccin antipolio oral aux
enfants de moins de cinq ans.
Un an après, sans notification de cas de poliovirus sauvage en territoire ivoirien, les
partenaires de la Côte d’Ivoire, veulent rester toutefois vigilants pour consolider les
acquis et permettre aux enfants de renforcer leur immunité et de se protéger contre le
virus de la poliomyélite.
"L’année 2012 a été déclarée année d’urgence polio par la coalition mondiale pour
11
l’éradication de la poliomyélite. Nous pensons que c’est l’occasion supplémentaire pour la
Côte d’Ivoire d’avancer tranquillement sur la voie de la certification", a déclaré la
représentante de l’OMS en Côte d’Ivoire, Dr Allarangar Yokouidé.
"Il s’agit d’un défi social majeur que nous Africains, devrions pouvoir relever dans la
dignité. Cette initiative contribue à résorber la pauvreté et contribue aux objectifs du
millénaire pour le développement", a fait savoir la présidente de la commission
‘’Polioplus’’ du Rotary international, Mme Marie-Irène Richmond Ahoua.
La représentante adjointe de l’UNICEF en Côte d’Ivoire, Mme Christina de Bruin a lancé,
pour sa part, un appel demandant aux parents de profiter des journées de vaccination
pour faire également vacciner leurs enfants contre toutes autres maladies ciblées, par le
programme élargi de vaccination, avant leur premier anniversaire, pour leur survie et
leur développement harmonieux.
Soixante quinze (75) experts nationaux (médecins, épidémiologistes, communicateurs,
sociologues, logisticiens), 141 moniteurs indépendants (ONG et société civile) et trois
experts internationaux appuient les équipes cadre, dans la planification et la mise en
œuvre des activités de suivi des indicateurs de qualité. Ils apportent leurs expériences en
matière de gestion pour la conduite de cette troisième campagne de vaccination."
(AIP)
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Rome interdit provisoirement des vaccins antigrippe du suisse Novartis :
(©AFP / 24 octobre 2012 13h19)
http://www.romandie.com/news/n/_Rome_interdit_provisoirement_des_vaccins_antigrippe_d
u_suisse_Novartis93241020121320.asp
"ROME - Le ministère italien de la santé a interdit provisoirement mercredi l'utilisation de
plusieurs types de vaccin contre la grippe du suisse Novartis dans l'attente de nouvelles
recherches sur leurs effets collatéraux, selon un communiqué.
Le ministère de la Santé et l'Agence italienne des médicaments (AIFA) ont décidé à titre de
précaution l'interdiction immédiate d'utilisation des vaccins Aggripal, Fluad et Influpozzi, ajoute le
texte.
Sur la base des documents fournis par le groupe Novartis, l'AIFA a décidé qu'il était nécessaire
de procéder à de nouvelles vérifications concernant la qualité et la sûreté de ces vaccins, qui
pourraient produire des effets collatéraux et des réactions non désirées.
Le ministère demande à la population de ne pas acheter et de ne pas utiliser ces vaccins."
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Médicaments : Roche suspecté de négligences majeures :
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2012/10/24/19340-medicaments-roche-suspecte-negligencesmajeures
Par
Delphine Chayet
Damien Mascret - le 24/10/2012
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Le laboratoire pharmaceutique suisse n'aurait pas
analysé plusieurs milliers de rapports concernant les
effets secondaires de ses médicaments. Il s'expose à une
amende record à l'issue de la procédure.
Pour ne pas avoir traité des données de pharmacovigilance, le laboratoire suisse Roche risque une
amende gigantesque: jusqu'à 5 % de son chiffre d'affaires européen.
C'est la première fois que l'Agence européenne du médicament (Emea) lance une procédure
d'infraction contre un laboratoire depuis que la disposition légale a été mise en place en 2007. Il
est vrai que la faute, si elle est avérée à l'issue d'une procédure qui devrait durer jusqu'en avril
2014, est sans précédent.
Elle a été découverte par l'Agence du médicament anglaise lors d'une inspection de routine sur le
site du géant suisse à Welwyn (Royaume-Uni). Les inspecteurs ont mis en évidence une défaillance
de la pharmacovigilance (surveillance des médicaments) que le laboratoire est censé exercer sur
ses produits.
19 médicaments concernés
Roche commercialise notamment des médicaments majeurs en cancérologie tels que l'Avastin,
l'Herceptin, le Tarceva et le Xeloda, mais aussi des antiviraux comme le Tamiflu (contre la grippe).
Au total, 19 médicaments du laboratoire seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert
que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le
laboratoire.
Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien
de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences
nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire
suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.
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Vaccins : devrait-on avoir le choix ? :
http://www.terraeco.net/Vaccins-devrait-on-avoir-le-choix,46982.html
16-11-2012
Les scientifiques ne parviennent pas à se mettre d'accord sur la dangerosité ou non des
vaccins avec de l'aluminium. Pourtant, des personnes ont développé une maladie
douloureuse et handicapante après avoir été vaccinées.
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« C’est comme si j’avais été battue, rouée de coups, laissée pour morte. » Suzette FernandesPires, 52 ans, a vécu un enfer qui a « détruit » sa vie. Suzette est atteinte d’une maladie au nom
aussi barbare que les douleurs qu’elle fait endurer à ceux qui la contractent : la myofasciite à
macrophages. Cette inflammation grave des muscles qui se traduit par un épuisement chronique,
des douleurs musculaires et articulaires très fortes et des troubles de la mémoire, serait la
conséquence de l’hydroxyde d’aluminium présent, comme adjuvant, dans un certain nombre de
vaccins (60% de ceux présents sur le marché en contiennent).
Suzette avait 36 ans en 1996 quand elle a répondu à la grande campagne de vaccination
nationale. Rappels de DT Polio, hépatite A et B, elle a tout refait. « Deux mois après, je suis
tombée malade. J’avais de fortes douleurs aux membres et une grande fatigue, jusqu’à une crise
en 1997. » Paralysée par la souffrance, cette infirmière vétérinaire à Maisons-Alfort erre de
médecin en médecin. Jusqu’à ce que, enfin, le diagnostic tombe. C’était en 2000.
Un adjuvant qui se digère mal et peut rendre malade
Son organisme a de grandes difficultés à digérer les particules d’hydroxyde d’aluminium
contenues dans les vaccins qu’on lui a injectés dans les muscles, particules qui sont captées par
les macrophages. Ces grosses cellules qui jouent le rôle d’éboueurs de l’organisme ont pour
propriétés de pouvoir circuler partout dans le corps et d’englober les particules avant de les
détruire. Sauf que, dans le cas précis de l’hydroxyde d’aluminium, le macrophage est rendu
immortel tant qu’il n’a pas réussi à éliminer la particule.
Ainsi squattés, les macrophages se baladent dans l’organisme pendant des mois après
l’injection, voire pendant des années. « Quand ils finissent par pénétrer dans le cerveau, où ils
s’accumulent progressivement, ils provoquent des perturbations suffisantes pour induire un
syndrome de fatigue chronique », expose le professeur Romain Gherardi, de l’hôpital Henri
Mondor de Créteil.
Avec son équipe de l’Inserm (l’Institut national de la santé et de la recherche médicale), ce
spécialiste des maladies neuromusculaires est celui qui a identifié, dans les années 1990, cette
nouvelle pathologie qui affecte une personne sur 10 000. « Il n’y a plus aucun doute sur la
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relation directe entre l’hydroxyde et les lésions musculaires et cérébrales », avance Romain
Gherardi qui fait l’hypothèse que la myofasciite à macrophages touche des personnes
génétiquement prédisposées pour mal digérer les sels d’aluminium.
Des conflits d’intérêts bloquent-ils les financements ?
C’est notamment cette hypothèse qu’il devait vérifier à travers des recherches cliniques et
expérimentales. Mais il a appris le mois dernier que l’Agence nationale de sécurité du
médicament refuse de les financer. Alors que tout semblait très bien parti... Selon lui, « le corps
d’experts qui a statué sur le financement des recherches est composé de personnes qui ont ou
ont eu des responsabilités dans des agences de santé et qui ont mené des partenariats avec des
laboratoires afin de développer des vaccins ». Bref, il se trouverait confronté à des pontes en
plein conflits d’intérêts.
Mais pour d’autres chercheurs, la raison est tout autre : ils estiment que la toxicité des sels
d’aluminium comme adjuvants n’a pas été suffisamment démontrée. Dans le doute, un groupe
d’études sur la vaccination, composé de parlementaires, a réclamé, en mars dernier,
un« moratoire sur l’alumine, utilisé comme adjuvant dans un certain nombre de vaccins, […] en
attendant de recueillir davantage de données scientifiques sur ses conséquences éventuelles, en
particulier dans les cas de vaccinations d’enfants en bas âge et de vaccinations répétées ». Une
position à rebours de celle de l’Académie de médecine qui, en 2010, a même dénoncé le
fait« que certains chercheurs cèdent à la tentation de faire passer la vulgarisation avant toute
publication dans des revues scientifiques [provoquant] la peur injustifiée des vaccins », qui aurait
un retentissement rapide sur la couverture vaccinale d’une population.
On se fait vacciner sans se poser de questions. On a tort ?
Faux !, dit Virginie Belle, journaliste et auteure de Faut-il faire vacciner son enfant ? (Editions Max
Milo). « Les taux de couverture vaccinale en France sont excellents, expose-t-elle. On fait
vacciner son enfant car c’est devenu naturel, sans vraiment avoir d’informations sur les bénéfices
et les risques de ces vaccins. » De l’enquête qu’elle a menée, elle retient « le vrai besoin de
transparence » qui pourrait aider des parents à se décider en toute conscience avant de faire
vacciner leur enfant. Et ce d’autant que « seuls 1% à 10% des effets indésirables graves sont
notifiés aux agences de santé, une sous notification connue mais jamais corrigée », explique-telle. Comme si « on préférait taire un problème pour sauver la couverture vaccinale ! »
Pour le cardiologue et député Gérard Bapt, membre du groupe d’études parlementaire, « il y a
des vaccinations nécessaires et utiles ». « A mon sens, cependant, il faudrait donner le choix
pour les vaccins dits obligatoires de se faire vacciner ou pas. Il faut aussi bien sûr poursuivre les
études de manière indépendante et, concernant les vaccins de libre choix - grippe,
papillomavirus -, il faudrait interdire aux laboratoires pharmaceutiques de faire eux-mêmes la
publicité pour leurs produits. »
D’autres adjuvants inoffensifs existent
Suzette, qui est vice-présidente de l’association Entraide aux malades de myofasciite à
macrophages, a combattu la douleur à coups de doses intensives de cortisone. « Aujourd’hui je
ne souffre plus – ce qui n’est pas le cas de la majorité des 300 adhérents de notre association –
mais je reste très fatiguée », explique-t-elle. Elle a dû arrêter de travailler quelques années, mais
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a repris ponctuellement une activité professionnelle. « Pour des raisons financières et aussi
parce que c’est une maladie qui isole beaucoup. Elle ne se voit pas mais elle nous éloigne de
nos amis, de notre famille », poursuit-elle.
Elle a refait un vaccin en 2004, un rappel de la DT Polio. « Mais à la place de l’hydroxyde
d’aluminium, l’adjuvant était du phosphate de calcium », précise-t-elle. Cet adjuvant
est« totalement physiologique car c’est de ça que sont constitués nos os », explique Romain
Gherardi. Il plaide pour que les scientifiques mettent au point une nouvelle génération
d’adjuvants, permettant une réponse immunitaire plus forte aux vaccins, et qui disparaîtraient
totalement de l’organisme en quelques semaines seulement. D’après le nombre de publications
sur le sujet, la recherche en ce sens est très active. Les laboratoires se réveillent.
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Des empreintes génétiques du Gardasil sont retrouvées dans les cadavres de
jeunes filles victimes du vaccin :
http://www.sylviesimonrevelations.com/article-des-empreintes-genetiques-du-gardasil-sontretrouvees-dans-les-cadavres-de-jeunes-filles-victimes-du-112615137.html
Lundi 19 novembre 2012
Pour la première fois dans l’histoire de la vaccination, on a découvert un
mécanisme biologique qui explique un grave effet secondaire du Gardasil.
Une étude récente, publiée en novembre 2012 dans le journal
Pharmaceutical Regulatory Affairs, révèle l’évidence que les composants viraux
du vaccin Gardasil contre les papillomavirus (HPV) peuvent pénétrer la barrière
du cerveau et déclencher une vascularite cérébrale, forme rare et sévère
d’inflammation du cerveau qui peut mener à de graves désordres auto-immuns
et même à la mort.
D’après l’autopsie de deux jeunes filles, l’une âgée de 19 ans, l’autre de 14
ans, toutes deux vivant à des endroits opposés du globe et décédées tout de suite
après avoir reçu le vaccin, une étude a été menée par le Dr Chris Shaw de
l’Université de British Columbia (UBC) au Canada et le Dr Lucija Tomljenovic
du Neural Dynamics Research Group de Vancouver.
Leurs travaux ont révélé que des fragments d’antigènes HPV-16L1 utilisés
dans les deux vaccins Gardasil et Cervarix se retrouvaient dans le système
nerveux central des victimes. D’après les auteurs de l’étude, ces particules
représentent l’empreinte génétique du vaccin Gardasil et prouvent clairement
qu’il est responsable d’effets graves sur certaines jeunes femmes qui le
reçoivent.
Théoriquement, ces antigènes ne peuvent traverser la barrière cervicale,
mais ces travaux prouvent le contraire, sinon on ne les aurait pas retrouvés dans
le tissu cérébral des deux victimes, ce qui a grandement surpris les chercheurs
qui ont également découvert une augmentation des lymphocytes T.
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« Notre étude suggère que les vaccins HPV qui contiennent l’antigène
HPV-16L1 présentent un risque potentiel de déclencher des vasculopathies
auto-immunes. »
D’après le groupe Sanevax, ces travaux révolutionnaires expliquent pour la
première fois les accidents constatés mais non expliqués causés par les vaccins,
d’autant que le Gardasil est relié à 27 485 effets adverses graves et au moins à
121 décès.
N’oublions pas, de toute manière, que les vascularites sont depuis très
longtemps considérées comme responsables de sévères réactions aux vaccins ;
que le mimétisme moléculaire est considéré comme un mécanisme des vaccins
capable de générer des maladies auto-immunes ; que les recherches de
Tomljenovic et Shaw sur les bases de données du VAERS révèlent de nombreux
rapports d’accidents liés à la vascularite et causés par le Gardasil ; que ces
vascularites se déclarent dans les trois ou quatre mois qui suivent cette
vaccination, même si elles ne sont pas reconnues comme telles et appelées
migraines persistantes, syncopes, crises d'épilepsie, tremblements, myalgies,
anomalies locomotrices, symptômes psychotiques ou déficits cognitifs.
En outre l’autopsie des deux cas n’a pas révélé d’anomalies ni
anatomiques, ni microbiologiques ni toxicologiques ; qui auraient pu être
considérées comme cause potentielle des décès.
Nous sommes donc très loin des études menées en France pour savoir si
l’aluminium utilisé dans les vaccins est dangereux ou pas ou s’il se contente de
rester présent seulement dans la partie injectée. Cet aluminium s’infiltre dans le
système cérébral, donc affecte notre personnalité profonde, même lorsqu’il ne
tue pas.
Le temps est donc venu d’arrêter ces sacrifices humains pour le bien-être
des autres, d’admettre la dangerosité et l’inutilité des vaccins, sinon nous
resterons totalement irresponsables et sans morale.
http://sanevax.org
http://www.naturalnews.com/Gardasil.html
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Aluminium dans les vaccins :
http://www.quechoisir.org/sante-bien-etre/maladie-medecine/maladie/actualite-aluminiumdans-les-vaccins-lien-de-cause-a-effet-etabli
30 novembre 2012
Lien de cause à effet établi
Le conseil d’État vient de reconnaître un lien de cause à effet entre l’aluminium utilisé comme
adjuvant dans un vaccin contre l’hépatite B et la survenue d’une myofasciite à macrophages
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chez un agent de la ville de Paris. Actuellement, il n’y sur le marché aucun vaccin sans
aluminium.
La justice est lente ? Sans doute. Mais en l’occurrence, les juges ont été plus rapides, et, peut-être, moins
timorés que les autorités sanitaires et politiques. Le 21 novembre dernier, le conseil d’État a décidé que
la myofasciite à macrophages dont souffre depuis 1996 un fonctionnaire de la ville de Paris avait très
probablement été déclenchée par le vaccin contre l’hépatite B administré préalablement à son embauche. Par
conséquent, cet agent, atteint par la maladie au point qu’il ne peut plus travailler, doit être considéré comme
victime d’un accident lié à ses fonctions, et peut bénéficier de son salaire dans son intégralité jusqu’à ce qu’il soit
capable de reprendre son poste.
En cause, précisément : l’aluminium utilisé comme adjuvant dans le vaccin qui lui a été injecté à deux
reprises. Le conseil d’État a considéré que l’état des connaissances scientifiques sur les sels d’aluminium, ainsi
que les circonstances de l’apparition des symptômes, suffisaient pour que le lien de causalité soit « regardé
comme établi ». Chez certaines personnes vraisemblablement prédisposées, l’aluminium contenu dans les
vaccins n’est pas éliminé en totalité et provoque cette maladie terriblement invalidante qu’est la myofasciite à
macrophages.
C’est pourquoi les autorités sanitaires seraient bien inspirées d’agir rapidement, afin que soient remis sur le
marché des vaccins ne comportant pas de sels d’aluminium. Depuis 2008, date du retrait du DTPolio sans
adjuvant, il n’existe plus aucune formule sans aluminium ! Lors de la campagne présidentielle, Marisol Touraine,
aujourd’hui ministre de la Santé, s’était engagée en faveur du choix pour les familles de faire vacciner leurs
enfants avec des produits sans sels d’aluminium. Elle a, en juillet dernier, saisi l’Agence nationale de sécurité du
médicament (ANSM). On attend toujours la réponse. Plusieurs membres de l’association E3M (Entraide aux
malades de myofasciite à macrophages), qui se bat pour que des vaccins sans aluminium soient remis à
disposition, ont entamé une grève de la faim le 26 novembre.
Anne-Sophie Stamane
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En Allemagne 2 vaccins font 1 scandale :
vendredi 13 novembre 2009
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/en-allemagne-2-vaccins-font-1-64915
Le scandale qui secoue l’Allemagne ces jours-ci, c’est la découverte que l’élite et les citoyens, ne
seront pas vaccinés avec le même vaccin. Ceci largement entretenu, par la campagne de suspicion
sur internet. Ainsi que par des scandales sanitaires passés, ayant défrayé la chronique (sang
contaminé, vaccin contre l’hépatite B, etc...). (1)
Le premier vaccin, réservé à l’élite et à l’armée, a été produit par la société Baxter. Il a été produit a
raison de 200.000 doses, son p’tit nom est le CEVALPAN. Le second vaccin, réservé aux citoyens, a
été produit par la société GSK. Il a été produit a raison de 50.000.000 de doses, son p’tit nom est le
PANDEMRIX. Contrairement au vaccin précédent, celui-ci a pour particularité de contenir du
Squalène.
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Le Squalène, c’est l’adjuvant que l’on ajoute au vaccin, pour en améliorer l’efficacité, permettant de
diminuer la présence de virus morts ou atténués qu’il contient. L’effet secondaire le plus redouté du
Squalène, est le syndrome de Guillain Barré, qui se produit dans 1 cas sur 10.000. (2)
Dans quelques cas, le vaccin sans adjuvant pourra être proposé, aux enfants de moins de 6 ans, aux
femmes enceintes et pour certains malades chroniques. Sachez donc, que le vaccin contenant le
squalène, se distingue par sa couleur laiteuse, alors que son homologue reste transparent. (3)
Je pense avoir retrouvé la source du scandale, qui parle aussi des conditions de mise sur le marché,
de quatre marques de vaccin. Ne comprenant pas l’allemand, je fais confiance aux lecteurs
d’AgoraVox, pour en donner plus de précision. (4)
Vidéo : http://www.dailymotion.com/video/xb4qnx_possible-premier-cas-de-guillainba_news
Aluminium dans les vaccins : l’ANSM va lancer
une nouvelle étude avec le Pr Gherardi
lequotidiendumedecin.fr 17/12/2012
L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) va soutenir une étude portant sur
l’impact sanitaire des adjuvants aluminiques dans les vaccins. La prise en charge de cette
étude se fera « hors appel à projet », a fait savoir le Pr Dominique Maraninchi, directeur
général de l’ANSM.
L’agence a récemment été saisie par la ministre de la Santé, Marisol Touraine pour se pencher
sur les liens éventuels entre les adjuvants aluminiques dans les vaccins et la myofasciite à
macrophage. Cette pathologie avait été décrite en 1993 par le Pr Romain Gherardi de l’hôpital
Henri-Mondor, à Créteil. En 2010, l’équipe du Pr Gherardi avait mis en évidence la migration
de l’aluminium vaccinal vers le cerveau. Néanmoins, son projet de recherche déposé dans le
cadre d’un appel à projet n’avait pas été retenu en septembre dernier par l’ANSM. Dominique
Maraninchi a précisé que le cahier des charges de l’étude financée par son agence serait établi
avec le Pr Gherardi qui y participerait.
L’annonce de l’ANSM intervient tandis que deux femmes atteintes de myofasciite à
macrophages, membres de l’association Entraide aux Malades de Myofasciite à
Macrophages (E3M) observent une grève de la faim depuis fin novembre pour réclamer un
renforcement de la recherche sur les sels d’aluminium dans les vaccins.
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