POL 3721 - Département de science politique
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POL 3721 - Département de science politique
Faculté des arts et des sciences Département de science politique POL 3721 – Relations extérieures : Canada, Québec Automne 2016 Local B-4250 (Pav. 3200 Jean-Brillant) Horaire: jeudi 13h – 16h Examen final: jeudi le 22 décembre 2016 **NB: par erreur, la date du 15 décembre avait été donnée dans une version antérieure. Le 22 décembre est la bonne date de l’examen final!** Professeur : Bureau : Disponibilité : Téléphone : Courriel : Theodore McLauchlin Local C-4033, Pav. 3150 Jean-Brillant les vendredis, 13h à 17h. Une liste de disponibilités pendant chaque permanence sera fixée à ma porte une semaine en avant. 514-343-6111, poste 47668 [email protected] Approche et objectifs : Ce cours vise à faire un survol des thèmes primordiaux dans la politique étrangère canadienne et québécoise, et mettra l’accent sur les enjeux de sécurité. Dès la fin de la Guerre Froide, on a souvent posé, dans les médias et milieux intellectuels, cette question : le Canada a-t-il abandonné un consensus internationaliste qui existait pendant plusieurs décennies? Ce changement – si l’on peut justement constater qu’il est arrivé ou qu’il se passe toujours – peut avoir des origines à deux niveaux : l’international et le domestique. Ainsi, nous considérerons le Canada d’abord dans son contexte international. Le Canada est-il attiré par plusieurs tendances – américaine, transatlantique, mondiale? Comment définit-on la puissance et les menaces qu’on affronte, et avec quelles conséquences? Nous traiterons ensuite de l’influence des caractéristiques distinctives de la politique domestique du Canada : son système de gouvernement à la fois centralisé à Ottawa et fédéral, voire plurinational. Dans le contexte d’Ottawa, nous analyserons les différents acteurs et institutions centrales et leurs intérêts et cultures. Par la suite, nous considérerons les provinces et peuples autochtones, à la fois comme influence sur la politique d’Ottawa et comme acteurs internationaux en tant que tels. Nous mettrons aussi l’accent sur le Québec comme acteur international et influent sur la politique d’Ottawa. À cet effet, nous allons mettre en lumière l’attention que le Canada porte à l’unité du pays quand il élabore sa politique étrangère, ainsi que l’histoire de l’action québécoise sur la scène internationale depuis les années 60. Ce cours vise également à former les étudiants par rapport à plusieurs capacités importantes : d’analyser un phénomène selon une approche théorique; de formuler des recommandations de politiques à adopter; et d’améliorer la rédaction de travaux pratiques. 2 Pédagogie : Chaque séance sera composée d’un cours magistral et de discussions dirigées. Chaque cours, les télévoteurs TurningPoint seront utilisés afin de solliciter les opinions des étudiants quant aux enjeux couverts par le cours et d’ensuite provoquer des discussions, ainsi que d’évaluer les connaissances des étudiants. Il est nécessaire que l’étudiant apporte une carte d’identification à chaque séance afin d’obtenir un télévoteur. La carte sera retournée à la fin de la séance. Il y aura également plusieurs exercices en petites groupes pendant les séances. Évaluation : Rapport de lecture : 5%. Les étudiants doivent lire une article de journal (Aliénor Carrière, « Le stylo serait plus efficace que l’ordinateur pour prendre des notes en cours, » Le Figaro, 28 avril 2014. http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/le-stylo-serait-plusefficace-que-l-ordinateur-pour-prendre-des-notes-en-cours-5164/) et répondre aux questions suivantes dans une ou deux phrases pour chaque question : Selon la recherche présentée dans l’article… 1. Quel serait l’avantage de prendre des notes sur ordinateur? 2. Quel serait l’avantage de prendre les notes avec un stylo? 3. Quelle méthode aboutirait à une meilleure compréhension? La date limite pour ce rapport est le 22 septembre en classe. 8 mini-quiz : 10%. À partir de la troisième séance, le 15 septembre, il y aura un quiz rapide à la fin de chaque séance. Il s’agit d’une évaluation de l’état des connaissances et un incitatif à porter attention aux cours et aux lectures; aucune révision n’est exigée. 1,25 des 10 points seront accordés à chacune des 8 meilleures notes que l’étudiant reçoit. Analyse des priorités de la défense : 15%. Il s’agit d’un texte à double interligne de 4 à 5 pages, prenant forme d’une contribution au processus de consultation (actuellement en cours) visant l’élaboration d’une nouvelle politique de défense du Canada. Ainsi, le texte présentera un argument sur les priorités que doit avoir le Canada en matière de la défense et les rôles appropriés aux Forces armées canadiennes. À remettre le 20 octobre en classe. Travail final : 30%. Il s’agit d’un texte à double interligne de 8 à 10 pages, sur un sujet relatif à la politique étrangère canadienne ou québécoise. Le choix de sujets, ainsi que les détails sur la rédaction de ce texte, seront mis à la disposition des étudiants pendant le cours. Le texte sera à remettre le 1 décembre en classe. Examen final : 40%. La première partie de l’examen final sera composée de questions à choix multiples. Dans la deuxième partie, l’étudiant aura à rédiger un texte analytique sur un thème important en lien avec les relations internationales du Canada ou du Québec. L’examen final aura lieu jeudi le 22 décembre. 3 Rappel de règlements pédagogiques Veuillez prendre note que le trimestre se termine le 22 décembre 2016 (incluant la période des examens). Aucune demande d’examen différé ne sera acceptée sans motif valable. Nous entendons par motif valable, un motif indépendant de la volonté de l’étudiant, tel que la force majeure, le cas fortuit ou une maladie attestée par un certificat de médecin. (Règlement pédagogique 8.5). En cas d’absence à un examen ou de retard dans la remise d’un travail, l’étudiant doit remplir le formulaire approprié et le remettre à la technicienne à la gestion des dossiers étudiants (TGDE) responsable de son dossier dans les 5 jours ouvrables suivant l’absence à un examen ou dans les 15 jours ouvrables suivant la date de remise d’un travail. Les formulaires sont disponibles sur le site web du SAFIRE ou auprès de la TGDE ou en cliquant sur les liens suivants : Demande de délai pour la remise d’un travail, Avis d’absence à un examen. La pénalité imposée pour les retards dans la remise des travaux est de 10 point de pourcentage par jour. Cette pénalité est calculée en déduisant 10 points de pourcentage à la note obtenue pour le travail en question. À noter, il s’agit de la politique « par défaut » du Département; les enseignants sont libres d’imposer une pénalité plus élevée s’ils le désirent. L’étudiant qui remet son travail après 12h00 (midi) est réputé avoir remis ce travail le matin du jour ouvrable qui suit, à l’ouverture des bureaux, et les jours non ouvrables sont comptés comme des jours de retard. La boîte de dépôt des travaux à l’entrée du département (à côté du C-4006) est dépouillée à 12h00 (midi) précises tous les jours ouvrables. La prévention du plagiat Le Département porte une attention toute particulière à la lutte contre le plagiat, le copiage ou la fraude lors des examens. Le plagiat consiste à utiliser de façon totale ou partielle, littérale ou déguisée le texte d’autrui en le faisant passer pour sien ou sans indication de référence à l’occasion d’un travail, d’un examen ou d’une activité faisant l’objet d’une évaluation. Cette fraude est lourdement sanctionnée. Tous les étudiants sont invités à consulter le site web http://www.integrite.umontreal.ca/ et à prendre connaissance du Règlement disciplinaire sur le plagiat ou la fraude concernant les étudiants. Plagier peut entrainer un échec, la suspension ou le renvoi de l’Université. Bibliothécaire N’hésitez pas à profiter des services de Mathieu Thomas, bibliothécaire disciplinaire spécialisé en science politique. Vous pouvez le rejoindre à son bureau (local 3095 de la Bibliothèque des lettres et sciences humaines, Pavillon Samuel-Bronfman) ou lui envoyer un courriel ([email protected]). Vous êtes invités aussi à visiter sa page internet, Ressources en Science politique (http://www.bib.umontreal.ca/SS/pol/). 4 Lectures Langue. Certaines lectures sont en anglais. Disponibilité des textes. Tous les textes marqués d’un astérisque (*) seront disponibles à travers le Studium du cours. Les autres peuvent être trouvés facilement en ligne à partir du campus de l’Université de Montréal, par le biais d’Atrium ou même de http://scholar.google.com/ Calendrier des cours et indications bibliographiques : I. Introduction 1. Introduction: questions et thèmes; début survol historique (1 septembre) Aliénor Carrière, « Le stylo serait plus efficace que l’ordinateur pour prendre des notes en cours, » Le Figaro, 28 avril 2014. http://etudiant.lefigaro.fr/lesnews/actu/detail/article/le-stylo-serait-plus-efficace-que-l-ordinateur-pour-prendredes-notes-en-cours-5164/ *Justin Massie et Stéphane Roussel, « La politique étrangère du Canada : Intérêts, institutions et identités », dans Alain-G. Gagnon (dir.), La politique québécoise et canadienne : une approche pluraliste, Québec, Presses de l'Université du Québec, 2014, 669-700. 2. Survol historique (suite) (8 septembre) *Kim Richard Nossal, Stéphane Roussel, et Stéphane Paquin, Politique internationale et de défense du Canada et du Québec. Montréal : Presses de l’Université de Montréal, 2007, 227-280. II. Débats et perspectives sur la politique étrangère canadienne 3. L’internationalisme d’une puissance moyenne : regards croisés (15 septembre) L’on affirme souvent que la politique étrangère canadienne—du moins dans la période 194557—était « internationaliste ». Est-ce que c’était un résultat de sa position dans le monde? Un mythe socialement construit? Un mensonge? Charles-Philippe David et Stéphane Roussel, « Une espèce en voie de disparition? La politique de puissance moyenne du Canada après la guerre froide, » International Journal 52, no. 1 (hiver 1996/1997), pp. 39-68. Charles Létourneau et Justin Massie, « Un symbole à bout de souffle? Le maintien de la paix dans la culture stratégique canadienne. » Études internationales 37, no. 4 (décembre 2006), pp. 547-573. *Heather A. Smith, « Disrupting Internationalism and Finding the Others, » dans Claire Turenne Sjolander, Heather A. Smith, et Deborah Stienstra (dirs.), Feminist Perspectives on Canadian Foreign Policy. Toronto: Oxford University Press, 2003, 24-39. 5 SVP apportez à cette séance une copie des articles de journal suivants. Il n’est pas nécessaire de les lire au préalable. Mélanie Marquis, « Casques bleus: un ex-commandant critique la stratégie “coûteuse” du gouvernement, » La Presse, 10 août 2016. http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-canadienne/201608/10/015009304-casques-bleus-un-ex-commandant-critique-la-strategie-couteuse-dugouvernement.php Murray Brewster, « L’armée serait mal préparée pour des opérations de maintien de la paix, » La Presse, 2 février 2016. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201602/02/01-4946350-larmee-serait-malpreparee-pour-des-operations-de-maintien-de-la-paix.php Guillaume Bourgault-Côté, « Casques bleus : L’option Mali séduit les experts canadiens, » Le Devoir, 17 mars 2016. http://www.ledevoir.com/politique/canada/465737/casques-bleus-l-option-mali-seduitles-experts-canadiens 4. Menaces (22 septembre) – À remettre : réponses sur Carrière Comment doit-on analyser les menaces dans la politique étrangère canadienne? Comme contrainte objective et matérielle sur ses politiques? Comme construction sociale? Le Canada fait-il face à des menaces importantes actuellement? *Philippe Lagassé et Paul Robinson, « Reviving Realism in the Canadian Defence Debate, » série Martello Papers. Kingston: Center for International Relations, Université Queen’s, 2008, 13-39. Adam MacDonald, « La militarisation de l’Arctique : nouvelle réalité, exagération et distraction, » Revue militaire canadienne 15, no. 3 (été 2015) : 18-28. http://www.journal.forces.gc.ca/vol15/no3/page18-fra.asp Philippe Genest et Frédéric Lasserre, « Souveraineté, sécurité, identité: éléments-clés du discours du gouvernement canadien sur l’Arctique, » Canadian Foreign Policy Journal 21, no 1 (2015) : 64-84. Lecture suggérée *Kim Richard Nossal, « La défense du 'royaume': la culture stratégique du Canada revue et corrigée, » dans Stéphane Roussel (dir.), Culture stratégique et politique de défense : l’expérience canadienne (Outremont : Athéna, 2007), 97-112. 6 5. Les États-Unis et l’Europe en équilibre (29 septembre) Le Canada a-t-il une marge de manœuvre face aux États-Unis? L’Europe offre-t-il cette marge? Dwayne Lovegrove, « Sutherland au 21e siècle : les invariants dans le programme d’élaboration des politiques du Canada depuis les événements du 11 septembre, » Revue militaire canadienne 10, no. 3 (été 2010) : 13-19. http://www.journal.forces.gc.ca/vol10/no3/04-lovegrove-fra.asp *Joel J. Sokolsky, « Le Canada, les États-Unis et l’OTAN : l’histoire de deux piliers, » dans Paul Létourneau (dir.), Le Canada et l’OTAN après 40 ans. 1949-1989 (Québec : Centre québécois de relations internationales, Université Laval, 1992), pp. 83-95. Stéphane Paquin et Annie Chaloux, « Comment vit-on aux marges de l’Empire? Les relations Canada–États-Unis et la nature de la relation transatlantique. » Études internationales 40, no. 2 (2009) : 201-221. Justin Massie, « Identités ethnoculturelles et politique étrangère : le cas de la politique française du Canada, » Revue canadienne de science politique 45, no. 1 (mars, 2012) : 119-140. 6. Le Canada dans l’économie mondiale (6 octobre) Comment le statut économique du Canada – pays riche mais avec une économie de taille moyenne – influence-t-il ses politiques économiques extérieures? *Christian Deblock, « La politique commerciale canadienne à l’heure des 3 ‘D’ », Cahier de recherche – CEIM (septembre 2012). Jean-Philippe Thérien, « Le Canada et le régime international de l’aide, » Études internationales 20, no. 2 (1989) : seulement les pages 311 à 316. *François Audet et Marie-Ève Desrosiers, « Aide canadienne au développement : état présent et tendances récentes », dans François Audet, Marie-Eve Desrosiers et Stéphane Roussel (dir.), L’aide canadienne au développement (Montréal: Presses de l’Université de Montréal, 2008): 11-42. Agnès Gruda et Isabelle Hachey, « Mines canadiennes à l’étranger : or, sang et feuille d’érable. » La Presse, 20 octobre 2012. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201210/19/01-4585242-mines-canadiennesa-letranger-or-sang-et-feuille-derable.php III. Politique étrangère et gouvernement du Canada 7. Identités et cultures stratégiques (13 octobre) En quoi les débats sur la politique étrangère s’agissent-ils d’extensions de débats sur la politique interne du Canada? Justin Massie et Stéphane Roussel, « Au service de l'unité : Le rôle des mythes en politique étrangère canadienne. » Canadian Foreign Policy Journal 14, no. 2 (2008) : 67-93. *Philippe Lagassé, Justin Massie et Stéphane Roussel, « Le néoconservatisme en politiques étrangère et de défense canadiennes », dans Julian Castro-Rea et Frédéric Boily (dir.), Le fédéralisme selon Harper. La place du Québec dans le Canada conservateur, Québec : Presses de l’Université Laval, 2014, 49-83. 7 David Morin, « Le côté obscur de la force : L’unité nationale, victime collatérale de la ‘nation guerrière’ de Stephen Harper? » Études Internationales 44, no. 3 (2013) : 427452. 8. Leadership et institutions centrales (20 octobre) À remettre : analyse des priorités de la défense Pourquoi le premier ministre est-il aussi puissant dans l’élaboration d’une politique étrangère? *Kim Richard Nossal, Stéphane Roussel, et Stéphane Paquin, Politique internationale et de défense du Canada et du Québec. Montréal : Presses de l’Université de Montréal, 2007, pp. 287-318 et 435-476. 9. Politiques et cultures bureaucratiques (3 novembre) Comment les agences cherchent-elles à avoir une influence sur la politique étrangère? Brendan Alexander, « Approche pangouvernementale: les failles dans la collaboration entre les divers ministères lors de la mission du Canada en Afghanistan. » Revue militaire canadienne 14, no. 4 (automne 2014) : 28-39. http://www.journal.forces.gc.ca/vol14/no4/page28-fra.asp Philippe Lagassé et Joel J. Sokolsky, “A Larger ‘Footprint’ in Ottawa: General Hillier and Canada’s Shifting Civil-Military Relationship, 2005-2008.” Canadian Foreign Policy Journal 15, no. 2 (2009): 16-40. 10. Opinion publique (10 novembre) Quelles sont les clivages majeurs chez le grand public canadien face aux enjeux internationaux? Le grand public québécois a-t-il des opinions distinctives sur les enjeux internationaux? Timothy B. Gravelle, Thomas J. Scotto, Jason Reifler et Harold D. Clarke, “Foreign policy beliefs and support for Stephen Harper and the Conservative Party,” Canadian Foreign Policy Journal 20, no. 2 (2014): 111-130. *Alain Noël, Jean-Philippe Thérien et Sébastien Dallaire, « Les Canadiens et l’aide au développement : un internationalisme à deux vitesses, » dans François Audet, MarieÈve Desrosiers, et Stéphane Roussel (dirs.), L’aide canadienne au développement (Montréal : Presses de l’Université de Montréal, 2008), 141-168. Justin Massie et Jean-Christophe Boucher, « Militaristes et anti-impérialistes : Les Québécois face à la sécurité internationale, » Études internationales 44, no. 3 (2013): 359-385. 8 IV. Fédéralisme et plurinationalisme 11. Provinces et peuples autochtones (17 novembre) Peut-on réellement parler d’une politique étrangère canadienne unifiée, compte tenu de son caractère fédéral et plurinational? *Kim Richard Nossal, Stéphane Roussel, et Stéphane Paquin, Politique internationale et de défense du Canada et du Québec (Montréal : Presses de l’Université de Montréal, 2007), 479-508. Pierre-Gerlier Forest et Thierry Rodon, « Les activités internationales des autochtones du Canada, » Études internationales 26, no. 1 (1995) : 35-57. Stéphane Paquin, « Le fédéralisme d’ouverture et la place du Québec (et des autres provinces) dans les négociations internationales : rupture dans la continuité? » Canadian Foreign Policy Journal 20, no. 1 (2014) : 29-38. 12. La politique internationale du Québec (24 novembre) Le Québec a-t-il une politique étrangère à proprement parler? Stéphane Paquin et Annie Chaloux, « Le Québec sur la scène internationale. Les raisons de son dynamisme, » Globe : revue internationale d’études québécoises 13, no. 1 (2010) : 25-45. Nelson Michaud et Isabelle Ramet, « Québec et politique étrangère : contradiction ou réalité? » International Journal 59, no. 2 (2004) : 303-324. 13. La politique internationale du Québec (suite et fin) (1 décembre) - deuxième travail à remettre Examen final : le 22 décembre