Anatole

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Anatole
Anatole
Apparitions Festivoix ​(juillet 2016) Festival d’Été de Québec​ ​(juillet 2016) Nuits FEQ ​(23 septembre 2016) Zénob​ ​(9 décembre 2016) D’abord, il y eut le garçon, nommément Alexandre Martel, qui chante toujours la pomme dans les rangs de Mauves. Mais, au détour du printemps 2014, il y eut scission, divorce entre le garçon et le squelette. Le paquet d’os, nommément Anatole, loua une chambre à L.A. où il écrivit frénétiquement un paquet de chansons qui transpirent l’expérience urbaine américaine, la déclinant dans ses formes paranoïaques et fugitives, athlétiques et lysergiques. De retour à Québec, il coucha sur bandes une série de vignettes électropop où les rythmiques et les timbres des machines vintage se marient à une écriture en Eastmancolor par laquelle il nous confie des histoires de cœur et de mots, de mots surtout. «On a eu droit à un spectacle tout à fait théâtral. Il est monté sur scène avec une cape noir avant de s’exclamer: « Je suis venu vous dire qu’Anatole, c’est MOI! » La capuche tombée, il a entonné les chansons de son album, accompagné de son band en blanc. Son synth­pop résonnait à fond dans L’Anti, et l’artiste comme la foule étaient enveloppés
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dans la musique.» ­ Critique de Camille P. Parent, FEQ ­ Jour 7 / Puggy, DUB FX et Anatole : déhanchement garanti, 15 juillet 2016 (sorstu.ca) «C'est un mélange théâtral et genre... érotique. Toute qu’une fascination que de le voir aller. Aussi, beware ceux qui vivent mal le weirdness, Anatole interagit énormément avec son public, ce qui cause des situations... uniques. Ça ne sert à rien non plus d'essayer de se cacher à l’arrière de​ ​ la​ salle ; le micro se rend!.» ­ Critique de Roxane Trudel, Le Festif! : retour sur un week­end de bonne musique, d’alcool et de bleus, 27 juillet 2016 (Nightlife) «Anatole has to be the most unique acts in Quebec right now. His music is good yes, but it’s his show that will blow your mind. Any artist who wishes to break through, to release their alter­ego need to take tips from this guy, who faces taboos straight on. Dressed as a beautiful woman, or in a barely fitting tight black leotard, Anatole walks around his crowd, drinks their beer, kisses their cheeks and brings the right amount of discomfort all around. A must see once in your life.
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.» ­ ​Critique Fannie Crépin​, ​Le Festif! ­ Let’s do it again and again and again, 27 juillet 2016 (Naked Underground Mtl) Lorsqu’il sort du placard pour monter sur scène, Anatole se tient loin de la formule indie, typique par son jeans/t­shirt, pour convier le public à une relecture théâtrale où l’expérimentation côtoie l’explosif, où les craintes que peuvent susciter l’apparition d’un squelette articulé croisent le fer avec la poésie d’une vie sans cesse recherchée, sans cesse dénichée en creux dans le mouvement, puisque, sous les feux de la rampe, il faut bien se shaker l’ossature avant toute chose. Anatole est accompagné de Cédric Martel à la basse, de Jean­Michel Letendre Veilleux et Simon Paradis aux synthétiseurs et de Jean­Étienne Collin­Marcoux à la batterie.. 

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