Il faut finir ce qui a été commencé

Transcription

Il faut finir ce qui a été commencé
L’Autoroute
A51
Un enjeu vital pour les régions
Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur
Dossier de presse
18 juillet 2011
Contact presse : Laure Hochereau
06 17 06 32 02
[email protected]
L’A51 présentée par les Chambres de Commerce et d’Industrie Territoriales
de Grenoble et des Hautes-Alpes
Aujourd’hui encore, populations, élus et responsables économiques des régions Rhône-Alpes et
Provence-Alpes-Côte d’Azur attendent l’achèvement de l’autoroute A51 entre Grenoble et Gap.
Une mesure pourtant préconisée par l’article 9 de la loi sur le Grenelle 1 de l’environnement, qui
précise que « les projets permettant d’achever les grands itinéraires autoroutiers largement
engagés seront menés à bonne fin dans les meilleurs délais ».
« IL FAUT FINIR CE QUI A ETE COMMENCE »
Barreau manquant de l’A 51 Grenoble - Gap
L’A51 présentée par les Chambres de Commerce et d’Industrie Territoriales
de Grenoble et des Hautes-Alpes
Le prolongement de l’A51 permettra de relier la mer
à la montagne en moins de trois heures !
Dix arguments
1/
Une liaison d’envergure européenne,
pour des échanges accrus avec les métropoles étrangères comme Turin ou Genève.
2/
Un lien logique et complémentaire
entre les régions Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur.
3/
Le délestage durable de la vallée du Rhône,
avec une réduction des émissions de CO2 dues à l’engorgement du trafic.
4/
De nouvelles perspectives de croissance
au sein des technopoles (Marseille-Provence à Château-Gombert, Inovallée à Grenoble,
Sophia Antipolis à Nice…) et des pôles de compétitivité internationaux (Lyonbiopôle,
Minalogic à Grenoble, Pôle européen d’innovation fruits et légumes d’Avignon…).
5/
Une offre touristique plus accessible,
pour des séjours plus fréquents notamment de courtes durées.
6/
Un tissu d’entreprises renforcé.
7/
Des emplois directs et indirects,
aujourd’hui et demain (plus d’une centaine d’emplois permanents pour l’entretien et
l’exploitation de l’A51).
8/
Une sécurité routière améliorée,
les nationales occasionnant quatre fois plus d’accidents.
9/
Un prototype respectueux de son environnement,
intégrant les dernières normes écologiques et préfigurant les autoroutes de demain.
10/
Un chantier à taille humaine,
sur seulement 80 kilomètres entre Grenoble et Gap.
L’A51 présentée par les Chambres de Commerce et d’Industrie Territoriales
de Grenoble et des Hautes-Alpes
Les raisons d’achever l’A51
• TERMINER les axes autoroutiers européens structurants :
HAMBOURG-NICE, PARIS-LYON-NICE, GENEVE-MARSEILLE en évitant la vallée du Rhône.
• DEVELOPPER la « route de la science » : GENEVE (C.E.R.N.) GRENOBLE (C.E.A.) MANOSQUE (ITER
CADARACHE) ANTIBES (SOPHIA ANTIPOLIS) et insérer GAP dans cette liaison.
• DIVISER par 2 le temps de parcours entre Grenoble et Gap.
• ALLEGER le trafic de la vallée du Rhône - axe le plus saturé de France - par les Alpes comme
« Clermont-Ferrand – Béziers » l’a fait par le Massif Central ; les deux itinéraires ayant été décidés le
même jour : 13 avril 1987… L’un est terminé et l’on y circule gratuitement. L’autre est payant et il
lui manque un barreau central de 80 km.
En outre, l’A 51 constituerait l’axe alternatif en cas de catastrophe dans la Vallée du Rhône.
• DESENCLAVER les Alpes du Sud et le Sud-Isère, les 40 stations de sports d’hiver du Briançonnais,
de l’Embrunais, de l’Ubaye, du Champsaur et du Dévoluy, la Ville de Gap (métropole des Alpes
du Sud), le sud de l’Isère : la Mure, Corps, le plateau du Trièves…
• DOUBLER
•
la RD 1075 (Grenoble – Sisteron par la Croix Haute) qui est de plus en plus encombrée et
qui crée des nuisances dans les villages traversés.
•
la RN 85, qu’il est impossible d’améliorer de façon significative en raison du relief et de
problèmes géotechniques.
• AMELIORER la sécurité sur un axe très dangereux (103 victimes en 5 accidents au pied de la
côte de Laffrey à Vizille) et plus forte densité de points noirs de France au recensement
commandé par Monsieur Bussereau.
• RELIER les Alpes du Nord aux Alpes du Sud et offrir aux Alpes du Nord un nouveau champ
d’expansion vers le Sud.
• ACCROITRE le rayonnement de Grenoble qui est bien reliée à Lyon, à la Suisse, à la vallée du
Rhône, mais pas à la Méditerranée.
• FACILITER l’accès au TGV en gare de Grenoble pour les populations du Sud-Isère et des Alpes
du Sud.
L’A51 présentée par les Chambres de Commerce et d’Industrie Territoriales
de Grenoble et des Hautes-Alpes
• REEQUILIBRER le développement économique de la région Provence Alpes Côte d’Azur en lui
permettant de renforcer l’économie de son «haut-pays».
• POURSUIVRE dans les Alpes du Sud, le « sillon alpin des villes » : Annecy, Chambéry, Grenoble en
direction de Gap, Sisteron, Manosque.
• ECONOMISER du carburant : d’après les professionnels, la consommation d’un poids lourd semiremorque sur autoroute est 30 % inférieure à celle d’une route de montagne telle que la route
Napoléon.
• CREER 2.400 emplois par an pendant six ans sur le chantier, 250 emplois définitifs de
maintenance et de fonctionnement de l’autoroute.
• GENERER de nouveaux emplois induits par la seule présence de cet axe, en quantité et en
qualité et permettre une diversification de l’économie des Alpes du Sud qui repose aujourd’hui à
80 % sur le seul tourisme.
• FAVORISER la « route des pèlerinages » de Notre Dame de la Salette à Notre Dame du Laus qui
génère de nombreuses fréquentations sur cet axe.
• OFFRIR aux touristes la possibilité de découvrir les paysages grandioses du Dauphiné comme ont
su le faire les Suisses et les Autrichiens (93 % des touristes des Hautes-Alpes viennent par la route).
• DONNER de la France l’image d’un pays qui tout en respectant l’environnement, n’a pas
renoncé à de grands projets d’infrastructures (Le viaduc de Millau critiqué avant sa réalisation
attire aujourd’hui 1 million de visiteurs par an !).
• FAIRE progresser la technologie française de construction d’ouvrages d’art (viaduc de l’Ebron)
qui est un bon produit d’exportation (2 entreprises chinoises de travaux publics viennent de
prendre la tête du palmarès mondial au détriment d’entreprises françaises).
• INSERER les Alpes dans le réseau européen de communications.
•
Axe Nord-Sud : l’A.51 et l’A.48 (Ambérieu – Bourgoin) sont les deux derniers chaînons
manquants sur l’axe Mer du Nord – Méditerranée (HAMBOURG – NICE) en évitant le bassin
Parisien et la vallée du Rhône.
•
Axe Ouest-Est : l’A.51 et l’A.48 permettent de relier la péninsule ibérique à l’Est de l’Europe
en évitant la vallée du Rhône.
• FINIR ce qui a été commencé : Marseille-Aix en Provence-Manosque-Sisteron-La Saulce d’un
côté, Lyon ou Genève - Grenoble Col du Fau de l’autre – et au milieu ??? Une route de
montagne, la route Napoléon qui est dans l’état où l’a laissée l’Empereur !
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de Grenoble et des Hautes-Alpes
• PERMETTRE à l’Etat de respecter sa parole : promesse de réaliser l’A.51 faite il y a 24 ans,
régulièrement renouvelée depuis par 10 ministres successifs à l’exception de Messieurs Gayssot et
Borloo… !
• ETABLIR l’équité entre les régions et donner aux Alpes du Sud qui ne veulent pas vivre
d’assistance et qui ne souhaitent pas devenir une réserve d’Indiens, les moyens de participer
pleinement au développement durable de la France et de l’Europe.
L’A51
Finissons ce qui est commencé !
Seulement 80 kilomètres manquent à ce jour à l’A51 pour permettre aux régions RhôneAlpes et Provence-Alpes-Côte d’Azur de renforcer leur développement et leurs
collaborations dans des technologies d’avenir créatrices d’emplois.
Plus de 9 000 internautes ont déjà manifesté leur volonté
de prolonger l’A51 entre Grenoble et Gap.
Vous aussi, signez la pétition en ligne et soutenez le manifeste sur
http://www.a51maintenant.com
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