Rachid BOUCHAREB
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Rachid BOUCHAREB
UNIVERSITE PARIS VIII – VINCENNES – SAINT-DENIS UFR INSTITUT D’ÉTUDES EUROPÉENNES ECOLE DOCTORALE SCIENCES SOCIALES Cotutelle UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES INSTITUT DE SOCIOLOGIE THÈSE POUR LE DOCORAT DE SOCIOLOGIE Rachid BOUCHAREB STATUT AU TRAVAIL INFÉRIORISÉ ET CONFLICTUALITÉ SALARIALE Des employé-e-s de boutiques en France et en Belgique Sous la direction de : Messieurs Mateo Alaluf (Professeur à l’Université Libre de Bruxelles) et Pierre Cours-Salies (Professeur à l’Université Paris VIII) Novembre 2007 JURY Monsieur Pierre Desmarez (Professeur à l’Université Libre de Bruxelles) Monsieur Charles Gadéa (Professeur à l’Université de Versailles Saint-Quentin en Yvelines, Rapporteur) Madame Helena Hirata (Directrice de recherche, CNRS) Monsieur Bruno Péquignot (Professeur à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, Rapporteur) TABLE DES MATIÈRES VOLUME I Remerciements Table des matières INTRODUCTION GÉNÉRALE I - Dimension comparative II - Contexte de l’objet III - Etat des connaissances IV - Approches théoriques de recherche Problématisation, concepts clés V - Démarche méthodologique Une dynamique conflictuelle invisible Une approche par entretien Complexité de l’étude des rapports de travail Le recours aux acteurs syndicaux Opacité de l’encadrement de boutiques, anciens commerçants et nouveaux managers : contexte et difficultés d’enquête Choix de l’enquête de terrain : l’unité de la boutique Variables d’enquête Critères d’échantillon et variables d’analyse du groupe employé 3 4 12 15 21 26 31 34 40 41 44 45 47 48 51 51 55 Annonce de plan 62 Typographie utilisée dans les extraits d’entretiens Répertoire des sigles 64 65 PREMIÈRE PARTIE DU PETIT COMMERCE À LA « BOUTIQUE DE MASSE » : DYNAMIQUE MARCHANDE ET FORMATION PROGRESSIVE D’UN SALARIAT SUBALTERNE DISPERSÉ 66 Introduction de la première partie 67 CHAPITRE I VALORISATION DU CAPITAL ET NOUVELLE FORME DE BOUTIQUE 74 Section 1 : Du petit commerce à la distribution, la montée des réseaux de boutique « autonome » 75 I - Le succursalisme, avant-garde d’un commerce en réseau II - Des boutiques-enseignes avec une main-d’œuvre plus importante III - L’essor des réseaux IV - Un statut professionnel ambigu, le franchisé, vrai ou faux patron indépendant ? 76 82 84 86 Section 2 : Un processus commun de rationalisation en France et en Belgique I - Le commerce en France 1.1. Définitions des différents segments du commerce de détail 1.2. La polarisation du commerce – entre petits indépendants et distribution de masse II - Une situation semblable en Belgique 89 90 90 93 94 CHAPITRE II 99 DU BOULEVERSEMENT DU MONDE COMMERÇANT À LA DÉFENSE DES PME Section 1 : Un petit commerce dépassé 99 Section 2 : Le monde des petits commerçants : Une instabilité devenue « naturelle » fondatrice de leur identité 101 I - La formation inévitable d’une identité patronale II - L’organisation politique d’un groupe 102 104 Section 3 : L’opposition permanente du patronat à la politique sociale, révélatrice d’un déni de la condition « employé » 106 I - Des raisons diverses selon la taille du patronat 1.1. Une intervention légale qui bouleverse une politique sociale d’entreprise : Le cas des grands magasins 1.2. Les résistances à l’ouverture des relations sociales dans les petites boutiques II - Une position commune entre « gros » et « petits commerçants » Section 4 : Retour et valorisation des petites entreprises dans l’espace public I - Un regard sur le discours du petit et moyen patronat : la valorisation de l’entreprise 1.1. L’Union des Classes Moyennes en Belgique 1.2. Le rôle de la CGPME en France II - Fragilité de la « petite entreprise » : de quoi parle-t-on ? 106 106 107 108 110 113 113 117 121 CHAPITRE III SITUATION ACTUELLE, MISE EN CAUSE DE L’INDÉPENDANCE PROFESSIONNELLE ET NOUVELLES TRAJECTOIRES COMMERÇANTES 127 Section 1 : Diversité de rapport à l’économie : culture marchande et culture de l’indépendance 128 I - Distinguer l’indépendance professionnelle par une absence de culture marchande II - Pluralité des logiques sociales patronales III - L’imprécision du terme « petit patronat » Section 2 : Transformations des trajectoires de métier I - Echantillon d’étude et hypothèses II - Des parcours plus différenciés III - Des logiques diverses de restructuration d’un « groupe » éclaté 2.1. Une place remise en cause : Enseignes et indépendants, deux logiques opposées 2.2. Concurrence des chaînes et dévalorisation du métier 2.3. Changer de statut pour se maintenir 130 133 135 136 137 142 147 147 148 149 CHAPITRE IV UNE RECOMPOSITION MARCHANDE ET UN RENOUVELLEMENT DES RAPPORTS DE TRAVAIL ET D’EMPLOI 152 Section 1 : Une réorganisation marchande des entreprises I - Nouvelles relations productives et reconfiguration du petit patronat 1.1. De nouvelles frontières de l’entreprise : des « PME » de moins en moins autonomes 1.2. Rapports sociaux de production et champ de la PME II - PME flexibles ou rationalisation d’un espace spécifique de travail III - Nouvelles conditions de production et hiérarchie interentreprises 153 153 154 160 162 164 Section 2 : Définition et analyse des configurations d’« entreprises », un enjeu pour la connaissance des cadres sociaux de hiérarchisation salariale 170 I - Le monde des petites entreprises : se distancier des évidences 170 1.1. Consensus autour des « PME » malgré une définition impossible 170 1.2. Une affaire de famille avant l’entreprise 171 II - Petite taille et ‘‘petite entreprise’’ : des relations non univoques, simple question d’échelle ou changement des modes de valorisation du capital 174 2.1. Où commence et où s’arrête la petite entreprise ? 174 2.2. Distinction établissement/entreprise 175 CHAPITRE V LA FORMATION SOCIALE D’UN SALARIAT SUBALTERNE : LES « EMPLOYÉ-E-S DE COMMERCE » 177 Section 1 : Modes de qualification professionnelle et dynamique sexuée d’emploi 178 I - Rationalisation de l’emploi et intensification du travail 178 1.1. Une prolétarisation des employé-e-s de commerce 179 1.2. Ajuster l’emploi à la clientèle, un dilemme permanent 180 1.3. Une féminisation du salariat du commerce 183 II - Une catégorie sociale « naturellement » féminine 186 2.1. Les difficultés de catégorisation professionnelle : une dénomination par défaut et des conventions sociales instables 186 2.2. Un travail employé dit non qualifié 189 2.3. Les modes de différenciation dans la qualification entre la France et la Belgique 191 2.4. Employé-e, un statut pensé comme subalterne 193 III - Une perspective historique des employé-e-s du commerce 196 3.1. L’homogénéisation contradictoire d’une catégorie d’emploi 197 3.2. Le tournant de la grande distribution 199 IV - Une mobilité restreinte pour les employés de commerce – toujours des femmes 201 4.1. Difficultés à quitter une position « employé » 203 4.2. Des employé-e-s plus diplômé-e-s et la disqualification des sans diplômes 204 Section 2 : Continuité d’un statut d’emploi subalterne, l’enjeu d’étudier aujourd’hui le salariat dispersé des boutiques 205 I - Quelques questionnements préalables II - Une flexibilité aujourd’hui imposée par le modèle de distribution de masse 2.1. Une précarité de l’emploi qui a plus de cent ans 2.2. Homme « titulaire » et femme « auxiliaire » 205 206 207 208 2.3. Le modèle de la « boutique de masse » : un monde du travail précarisant et fermé 210 III - Statuts des emplois et régulation publique : des évolutions significatives d’une précarisation salariale instituée 211 IV - Une division sexuelle du travail dans le commerce, les femmes, main-d’œuvre d’appoint ou durablement temporaire 213 CHAPITRE VI CONFIGURATION SALARIALE ET HIÉRARCHISATION AU TRAVAIL Section 1 : Effets du contexte de précarisation salariale sur les employé-e-s de commerce I - Contrainte de la précarité salariale II - Féminisation de l’emploi précaire III - Un sous-emploi massif IV - La précarisation de l’emploi, ressort de nouvelles hiérarchies sociales V - Une autonomie sociale plus restreinte face à la précarité de masse VI - Réévaluer les approches de la précarité 221 222 222 223 225 227 230 233 Section 2 : Une insertion par la précarité depuis les années 1980 : les jeunes et les femmes 235 I - L’expérience sociale de la précarité, l’absence de statut d’emploi et une dévalorisation individuelle II - Une plus forte insatisfaction de sa trajectoire d’emploi III - Une aspiration à la stabilité déçue 236 237 239 Section 3 : Parcours de jeunes employé-e-s et intégration au travail subalterne, un destin social comparable entre la France et la Belgique 242 I - Contrainte à la précarité pendant et en fin de scolarité 243 1.1. Les premiers débuts, une méconnaissance de la réalité salariale 243 1.2. Contingence ou projet d’emploi : vendeur/se, un emploi contraint 249 1.3. Un regard sur le niveau scolaire des employé-e-s de commerce : un niveau qui monte 252 1.4. Une carrière impossible ? Un destin professionnel commun mais des trajectoires salariales différenciées 255 er 1 groupe de jeunes filles, les « étudiantes » : « Un petit job qui les rattrape » 256 2ème groupe de jeunes filles, les « peu diplômées » : « La précarité faute de mieux » 258 II - Une expérience de travail marquante 263 La contrainte de l’autorité patronale et l’isolement dans l’expérience de précarité 263 Conclusion de la première partie 267 SECONDE PARTIE NOUVELLES CONDITIONS D’ENCADREMENT DES RELATIONS DE TRAVAIL ET HIÉRARCHISATION 269 Introduction de la deuxième partie CHAPITRE VII LA PRODUCTION DES RELATIONS SOCIALES DANS ENTREPRISE’’ : ENTRE PATERNALISME ET MANAGEMENT 270 LA Section 1 : Proximité et dépendance au travail Section 2 : « Patron » ou « manager », figures opposées ? Section 3 : Spécificité de la relation salariale plus que celle de l’« entreprise » Paternalisme et évolutions des modes de mobilisation au travail : Les formes de consentement en jeu Une autre configuration dans les boutiques de réseaux ‘‘PETITE 272 272 276 281 283 286 CHAPITRE VIII L’ÉMERGENCE D’UNE FIGURE DE CADRE DIT MANAGER DE BOUTIQUE : UNE NOUVELLE FIGURE PATRONALE ET DE NOUVEAUX PRINCIPES DE MOBILISATION SALARIALE 288 Section 1 : Les transformations de la structure sociale en France : les nouveaux statuts salariés d’encadrement en boutique 289 I - Dénombrement des indépendants en France : une baisse massive II - L’évolution des catégories sociales : Salarisation de l’encadrement de boutique et normalisation des contraintes marchandes Section 2 : Une nouvelle discipline de travail en boutique I - Du patron au manager II - Vendre une image de marque III - Le rôle clef du manager : « Ne pas donner d’ordres » et tenir la bonne distance, une mission délicate IV - Deux visions particulières de mobilisation et de contrôle du collectif salarial V - Rôle central des différences de statut dans une boutique d’enseigne 5.1. Le poste de vendeur/se, survalorisation apparente et déqualification réelle 5.2. Normes de recrutement et pratiques de flexibilité 5.3. Les diplômes requis par les offres d’emploi en boutique 5.4. Rapport au travail : « Être passionné de mode » 289 291 296 296 298 300 303 307 308 310 313 313 Section 3 : Etude d’une boutique d’enseigne à Paris : Le travail du manager, une nouvelle relation patronale sans hiérarchie visible 315 I - Rapport aux employés : Tenir la bonne distance, l’attachement au discours managérial de l’enseigne II - Un cadre manager dans la peau d’un « patron de PME » 317 323 CHAPITRE IX 329 DEUX SITUATIONS DIFFÉRENCIÉES DU TRAVAIL D’ENCADREMENT EN BOUTIQUE : ENTRE CONSCIENCE PATRONALE ET CONSCIENCE SALARIALE Section 1 : Un travail d’encadrement pris entre pression managériale et logiques de réciprocité 331 I - Une boutique de mode membre d’un réseau - Région parisienne 331 Thématiques générales d’enquête 331 Approches d’enquête 334 II - L’interdépendance entre statuts hiérarchisés d’emploi et formes d’engagement variable au travail 335 2.1. Une responsable de boutique face aux contradictions de la figure du manager : « Aujourd’hui, mon travail ne permet pas de m’épanouir » 335 2.2. Une jeune vendeuse infériorisée : « Le plus pénible c’est que les primes ne sont pas pour tous (…) A mi-temps, on ne peut rien faire ! » 349 2.3. Une responsable adjointe satisfaite qui souhaite progresser : « On est bien payés par rapport aux autres boîtes » 355 Section 2 : Mobilisation syndicale pour la reconnaissance de droits sociaux au salariat d’exécution : l’expérience d’une cadre-salariée en conflit avec sa direction (Wallonie, Belgique) 362 I - Les enjeux d’un conflit social inédit II - Le refus d’une hiérarchie salariale cadre/employé Du management à l’engagement syndical Normes d’embauche et dispositions sociales Une lutte pour la reconnaissance de droits aux employées : un engagement syndical Les débuts d’une répression antisyndicale Négociation de départ et tournant de « carrière » 363 365 366 372 373 376 382 Section 3 : Un travail de hiérarchisation faiblement assuré selon l’intégration sociale d’un statut de manager distinct du groupe employé 384 I - Une problématique des interdépendances sociales : la gestion incertaine des contradictions entre rapports d’autorité et relations d’échanges au travail II - La position du groupe employé : les conditions d’un engagement mesuré au travail 385 387 CHAPITRE X VARIATIONS DANS LA HIÉRARCHISATION : DES EMPLOYÉ-E-S ENTRE ISOLEMENT ET DIVISION DU COLLECTIF SALARIAL 391 Section 1 : Des pratiques de répression selon les configurations patronales 393 Section 2 : Les pratiques patronales : traitement différencié de la main-d’œuvre et forte dépendance salariale 394 I - Travailler pour un franchisé : favoritisme et arrangements sous contraintes II - Le monde fermé des petits patrons : Solitude et absence de relations collectives de travail III - L’autre visage du petit commerce, le cas spécifique des indépendants 395 398 409 Section 3 : Être employé-e dans une boutique de chaîne : gestion rationalisée du travail et division du collectif 412 I - Modes d’emploi : se rendre disponible pour mériter un temps complet II - Le vécu d’une position subalterne : une initiative refusée, ressort probable d’un jugement de « non qualification » 414 419 Section 4 : Refus d’une dépendance patronale et rapport différencié aux boutiques de chaînes : La fonction des échanges au travail pour un enjeu de résistance salariale 426 I - Consentement et dépendance au travail en boutique : Les principes d’une opposition latente II - Un statut d’emploi plus « formel » dans les boutiques de réseau III - Au-delà du statut d’emploi, l’enjeu des relations sociales dans l’appartenance à un collectif latent de résistance Conclusion de la deuxième partie 426 429 431 434 VOLUME II TROISIÈME PARTIE UNE CONFLICTUALITÉ SALARIALE EN FORMATION 436 Introduction de la troisième partie 437 CHAPITRE XI RELATIONS PROFESSIONNELLES DÉSÉQUILIBRÉES ET INVISIBILITÉ DES STATUTS DE TRAVAIL EN PETITES STRUCTURES 444 Section 1 : Une main-d’œuvre instable : démissions et licenciements, des révélateurs de tensions sur les relations de travail 445 Section 2 : Une négociation professionnelle étrangère au fonctionnement du petit commerce 451 I - Définition d’un « dialogue social » impossible II - La négociation collective : faible place et rôle de l’incitation publique III - Un salariat précaire et une difficile présence syndicale : les conditions de l’isolement au travail CHAPITRE XII RELATIONS SOCIALES ET ÉMERGENCE DE CONFLITS Section 1 : Des arrangements inégaux Section 2 : Résistances par le recours à des acteurs externes Demander ses droits et répression patronale Le recours au syndicat : Un long processus complexe et variable selon l’expérience salariale Section 3 : Une lutte pour la reconnaissance d’un statut au travail Un droit dénié mais exigé 451 453 460 467 467 469 470 471 473 476 CHAPITRE XIII COMPLEXITÉ D’UNE RÉSISTANCE COLLECTIVE ENTRE RÉSIGNATION ET VOLONTÉ DE LUTTE 481 Section 1 : Les spécificités d’une mobilisation variable I - Une pluralité de rapports au travail et à l’emploi selon les trajectoires salariales II - Attitudes de retrait et précarité du collectif Empêcher le développement d’un collectif salarial 482 483 486 490 Section 2 : Les modes variés de contestation dans des configurations différenciées de 494 « relation patronale » I - Variation des possibilités de contestation selon les types d’encadrement II - Une capacité de contestation variable selon l’expérience salariale 495 496 Section 3 : Faire des grèves, mission (im)possible ? I - Des employé-e-s à la fois proches et dispersé-e-s en boutiques II - Le problème du militantisme syndical chez les jeunes employé-e-s précaires : Une question de génération ou de précarisation III - Désengagement au travail et attitude de résistance : un lien interdépendant IV - L’enjeu des échanges entre employé-e-s : entre changements de valeurs et conscience collective de lutte CHAPITRE XIV LES LUTTES SOCIALES CONTRE LA PRÉCARITÉ 502 502 508 515 520 526 Section 1 : « Stop Précarité » : un mouvement associatif autonome pour la reconnaissance d’un statut 527 Section 2 : Une lutte historique pour la dignité humaine : le refus du travail dominical 536 Conclusion de la troisième partie 545 CONCLUSION GÉNÉRALE 547 BIBLIOGRAPHIE 566 ANNEXES 591 I - Données comparatives sur l’emploi – France/Belgique 592 II - Situation de l’emploi en Belgique 593 III - Situation de l’emploi en France 599 IV - Le système de relations professionnelles en Belgique 605 V - Système d’enseignement en Belgique 615 VI - Le salariat des PME en Belgique 617 VII - Le salariat des PME en France 619 VIII - Tableau synoptique des entretiens 625 IX - Guide d’entretien semi-directif : « Employé de commerce » 627