Mobilier de burea des outils de flexib

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Immobilier
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Aménagement &
Office Design
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Facility Management
40
Gestion technique &
Maintenance
54
Sécurité & Sûreté
64
Nettoyage & Entretien
68
Restauration
76
Office
Management
Mobility Management
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actualisées en permanence sur
www.profacility.be
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Profacility Guide 2008
Alors que dans l’aménagement de l’habitation entre
une grande part d’affectif, d’esthétisme, de confort
et de décoration, le mobilier et l’équipement de
bureau, plus que tout autre, se justifient presque
uniquement par les services qu’ils rendent:
fonctionnalité, prestige, ergonomie mais aussi,
et de plus en plus, capacité à évoluer.
N
ous nous positionnons
comme vendeurs de projets
plutôt que de produits»,
déclarent la plupart des fournisseurs
de meubles de bureau, qui se définissent plutôt comme des ensem-
«
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Mobilier de burea
des outils de flexib
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Relocalisation/
Déménagement
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bliers. Et en effet, rares sont ces fournisseurs à ne pas proposer « le service qui va avec le produit », une tendance qui s’est généralisée dans tous
les secteurs d’activités, pression de
la concurrence aidant.
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au :
xibilité
De son côté, l’entreprise doit envisager ses équipements et mobiliers de
bureaux selon des aspects divers et
parfois contradictoires : l’image de
marque (sans oublier le budget),
le rendement en fonction des surfaces
disponibles et des postes de travail
à prévoir, le confort, l’ergonomie
et enfin l’évolution. Il est important
de ne pas avoir à tout remettre en
cause dès que l’entreprise se développe. Mais il est sage de ne pas voir
trop grand tout de suite vu le prix du
mètre carré…
Le bureau nomade entraîne l’emploi de nouveaux types de mobilier
(rangements nomades Happening de Steelcase).
Ergonomie
Quant on sait que le mal de dos est la
première cause d’incapacité de travail
de longue durée (27,58%), quand on
« Clean desk policy »
et bureau nomade
vont de pair.
(doc. Fantoni)
Georges Vroonen (Prospective Design) :
« Le bureau idéal est un plateau le
plus simple possible, pouvant être
réorganisé par des cloisons mobiles
en fonction des besoins.»
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Office management
Le siège d’un opérateur doit
répondre à des critères plus
exigeants que celui d’un
cadre supérieur.
Un meilleur siège que celui du directeur
«1.500 euros pour le siège d’un opérateur de pupitre de contrôle, c’est trop!»
Cette réflexion a été faite à l’un des concepteurs que nous avons rencontrés.
«Pas du tout, a-t-il rétorqué: ce siège est occupé par 3 personnes, 24h/24,
qui, par définition, ne peuvent pratiquement pas quitter leur poste. Ce siège
est donc soumis à des sollicitations et à des usures nettement plus fortes et
doit fournir confort et soutien aux opérateurs pendant de longues heures.
Il justifie donc un investissement supérieur à celui occupé occasionnellement
par le directeur commercial, toute considération de prestige mise à part.»
Pour le choix d’un équipement ou d’un mobilier, le marché offre toutes les
réponses en termes de produits. Le problème est de répondre à la question
de la définition des besoins réels. La réponse ne doit être ni impulsive ni
affective («C’est un beau bois!»), mais réfléchie et analysée.
(doc. Ahrend)
Bureau nomade
Le « retour dactylo » a perdu
sa raison d’être : aujourd’hui,
le poste de travail principal est le clavier.
(doc. SD Worx)
voit le soin apporté dans l’industrie
manufacturière à la rationalité apportée
aux déplacements des personnes et des
produits et aux gestes des opérateurs, on
considère comme évident d’appliquer
les mêmes règles à l’ergonomie du
bureau. Surtout quand le « bien-être au
travail » et ses obligations légales s’en
mêlent. «Et pourtant, les bureaux
actuels, ainsi que leur mobilier sont
encore trop souvent inadaptés à l’informatique», déplore Georges Vroonen,
designer, qui a été chargé, notamment,
de concevoir la salle de contrôle du
tunnel de Cointe. «Trop de lumière
naturelle nuit à la visibilité des écrans,
et la conception des meubles de bureau
avec le «retour» dactylo (cette tablette
latérale surbaissée destinée à supporter
la machine à écrire) ne se justifie plus.
Aujourd’hui l’essentiel du travail se fait
sur l’ordinateur. C’est donc l’écran et le
clavier qui doivent être installés en
position principale, et sans cet abaissement du niveau de la tablette qui ne se
justifie plus. L’ex-«retour dactylo» doit
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Profacility Guide 2008
être désormais consacré à l’écriture
manuscrite, et éventuellement se prolonger d’une table-satellite de réunion
ou de réception de personnes, selon les
fonctions et missions de la personne
occupant le bureau.».
L’entreprise de réassurance Sirius, à
Liège, a fait appel à G. Vroonen pour
réorganiser un plateau de bureaux
datant de 1975, époque où l’informatique n’était que timidement présente.
A cette occasion, le mobilier, devenu
inadapté, a été remplacé selon les critères exposés ci-dessus. Des cloisons
insonorisantes ont également apporté
à ce «paysager» un meilleur confort
pour le personnel appelé à téléphoner
souvent en de nombreuses langues
étrangères. Ces conversations croisées
ne se mêlent plus, avec un gain en
concentration important.
«Le bureau idéal, poursuit Georges
Vroonen, est un plateau le plus simple
possible, pouvant être réorganisé par
des cloisons mobiles en fonction des
besoins. Celles-ci doivent intégrer un
maximum de fonctions, dont les rangements, un classement in/out clair
pour l’utilisateur mais aussi les collègues, l’insonorisation et le câblage.
Ce dernier doit pouvoir être très simplement accessible car il est susceptible d’être régulièrement modifié. Enfin
l’ensemble de l’implantation tient
compte des flux de circulation dans la
pièce, vers l’imprimante, la photocopieuse, les rangements communs,
le classement, les entrées/sorties, etc.»
Ceci est d’autant plus vrai avec l’apparition de nouveaux modes de travail
tels le recours aux intérimaires, aux
free-lance, au télétravail, aux bureaux
nomades.
Même le PC (se souvient-on que
ces lettres signifient « personal computer » ?) cesse d’être personnel, malgré
son nom. Avec la généralisation de
la mise en réseau des applications
informatiques, on en vient à une situation où non seulement le bureau n’est
plus personnalisé, mais où le matériel
informatique n’est plus personnel
lui non plus.
La personnalisation de l’espace de
travail devient virtuelle, avec l’avantage de se retrouver dans son «chez-soi»
de travail, où que l’on se trouve
physiquement.
Patrick BARTHOLOMÉ !
Corporate Business Pages
Carnet d’adresses en page 90