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pages 10 - 11 Prospectives JOURNAL DE DÉFENSE DES INTÉRÊTS AGRICOLES ET RURAUX ET D’INFORMATIONS GÉNÉRALES 17, cours Xavier-Arnozan - 33082 Bordeaux cedex - Tél. 05 56 00 73 68 - Fax 05 56 52 47 24 - email : [email protected] PARUTION LES 1ER ET 3E VENDREDIS DE CHAQUE MOIS - 2,10 F N° 928 - 9 JANVIER 2015 Tour d’horizon des productions agricoles qui risquent d’être chahutées cette année Circuits courts Marchés cherchent producteurs page 13 Pour préparer la saison 2015 des Marchés de Producteurs de Pays, la Chambre d’agriculture de la Gironde lance un appel à candidature auprès des agriculteurs. p. 8 Employeurs Les aides au 1er janvier p. 9 Ecophyto Le nouveau plan p. 3 et 17 Éléctions MSA Du 12 au 27 janvier 02 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Agenda Choisir le Label Rouge en Gironde DÉCOUVERTE La Chambre d’agriculture de la Gironde organise le mercredi 21 janvier à Brannens une matinée consacrée aux volailles Label Rouge. L’occasion de faire découvrir cette production à des agriculteurs en revenu principal ou à la recherche d’un complément. Le groupement «Les Volailles d’Albret», qui compte déjà 300 producteurs, est en quête de nouveaux adhérents pour répondre à une demande toujours en hausse et de plus en plus difficile à satisfaire avec le départ à la retraite de nombreux éleveurs. Duffau à Brannens à partir de 11 h 30. Cet éleveur élève aujourd’hui 8 200 animaux, volailles, pintades et chapons. De son installation à la mise aux normes de ses bâtiments, il a bénéficié d’un accompagnement de la part des services de la Chambre d’agriculture. Réunion d’information Un revenu sécurisé Le département - et notamment le Sud Gironde - offre les surfaces nécessaires pour la mise en place de ce type de production. Aussi, la Chambre d’agriculture de la Gironde organise le mercredi 21 janvier, à 10 h 30, à la salle des fêtes de Brannens, une matinée consacrée aux volailles Label Rouge. Au programme : présentation par Luc Berginiat, directeur du groupement Les Volailles d’Albret, du marché de la volaille Les éleveurs adhérents au groupement Les Volailles d’Albret ont leur production de volailles rémunérées à un tarif indexé sur le prix des aliments qu’ils achètent pour nourrir les animaux. Il n’est donc pas impacté par les variations du cours des matières premières ce qui permet la sécurisation de leur revenu. La production sous Label Rouge présente également d’autres avantages. Elle est peu gourmande en temps et les techniques sont facilement assimilables. Plus d’informations auprès du service Elevage de la Chambre d’Agriculture de la Gironde. label. Il détaillera aux côtés de Michel Aimé, conseiller du service Elevage de la Chambre RÉUNIONS PAC : RAPPEL Les négociations concernant la programmation de la PAC 2015 –2020 sont en cours de finalisation. Les nouvelles règles seront appliquées dès la campagne PAC 2015. C’est pourquoi la Chambre d’agriculture, en partenariat avec la DDTM organise des réunions d’information sur ces nouvelles règles. Au programme : - Les principes de la convergence des aides et le remplacement des DPU par les DPB (Droits à Paiement de Base) : quelles références seront prises ? Quid des transferts d’exploitation effectués en 2014 et en 2015 ? - Le verdissement des aides PAC : détail des 3 critères environnementaux à respecter qui permettront d’accéder au paiement vert. - La surprime des 52 premiers hectares de chaque exploitation et les aides pour les nouveaux installés. - Les aides couplées à la production (aide à la vache allaitante, aide ovine, aide aux protéagineux…) : les nouvelles conditions d’éligibilité et les modifications des montants unitaires prévues. - Le devenir des aides du second pilier de la PAC (ICHN, PHAE...). Pour connaître les conséquences de la réforme sur les exploitations, sept réunions sont donc organisées sur le département. En voici la liste. Le 27 janvier 2015, à 10 heures, au centre culturel multimédia, 20 rue Vergeron à Saint-Savin ; Le 27 janvier 2015, à 14 h 30, à l’UCVA, à Coutras ; Le 29 janvier 2015, à 10 heures, à la salle des fêtes de Barie ; Le 29 janvier 2015, à 14 h 30, à la salle des fêtes de Berthez ; Le 3 février, à 10 heures, à la salle des fêtes de la mairie de Saint-Laurent Médoc ; Le 10 février, à 10 heures, à la salle des fêtes de Pellegrue, Le 10 février, à 14 h 30, à l’URABLT, à Grézillac. Comme l’an dernier les éleveurs tiendront leurs assemblées de section du GDS à l’issue des réunions PAC. d’agriculture, les conditions techniques, économiques et financières indispensables pour démarrer un atelier de production de volailles label. La matinée se poursuivra par la visite de l’exploitation de Benjamin Contact Chambre d’agriculture de la Gironde, service Elevage, tél. 05 56 79 64 21 Et aussi Rappel : Concours de Bordeaux Vins d’Aquitaine Les inscriptions au Concours de Bordeaux Vins d’Aquitaine sont ouvertes jusqu’au 30 janvier 2015. Tous les producteurs de vins d’Aquitaine, caves particulières, caves coopératives ou négociants, peuvent concourir. Chaque candidat peut présenter ses vins des trois derniers millésimes, blancs, rouges, rosés, crémants, en vrac ou en bouteille. A noter qu’un vin ayant déjà obtenu une médaille ne peut faire l’objet d’une nouvelle inscription. Le bulletin d’inscription est d’ores et déjà disponible sur www.concours-de-bordeaux.com. Egalement en téléchargement, le règlement du concours 2015. Pour tous renseignements, les producteurs peuvent contacter la Chambre d’agriculture de la Gironde au 05 56 35 51 88 ou [email protected]. Réunion intercantonale de la SDAE dans le Médoc La Section Des Anciens Exploitants (SDAE) de la FDSEA de la Gironde tiendra sa réunion intercantonale pour le Médoc le mardi 20 janvier, à 14 heures, à la Salle des Fêtes de Listrac Médoc (route de Libardac – rue qui longe la cave coopérative). A l’ordre du jour : le mandat de protection future, élections MSA, actualités syndicales, questions diverses. Sorties > LE 17 JANVIER Plus de 50 producteurs, chaperonnés par des viticulteurs-trufficulteurs de Gironde, sauront faire découvrir la Truffe, depuis sa terre d’origine jusqu’au l’assiette. Les chefs cuisiniers et certains producteurs glisseront à l’oreille leurs propres recettes : b e u r r e à l a Tr u f f e , omelette, brouillade, œuf à la coque, purée, pâtes fraîches, déclinaisons avec foie gras, huîtres, caramel, chocolat, etc. Curieux, gourmets, gourmandes, cuisinières et cuisiniers confirmés ou en devenir, sont conviés à la Cour Mably, dégustations, démonstration de récolte au chien truffier sur une truffière reconstituée grandeur nature. > LE 24 JANVIER Le deuxième repas spectacle au Troquet sera aussi théâtral. Le 24 janvier, à 19 heures, au Troquet du Coin, 1 rue Maxime Lafourcade, à Girondesur-Dropt, Frédéric Vern vient jouer Rouge Cœur, u n tex te d e P a t r i c k Gratien-Marin. La scène se déroulera au comptoir et en salle durant l’apéritif et sera suivi d’un repas en compagnie de l’artiste. «Jack, infirmier naïf, pète les plombs. Un coup de foudre étrange pour une belle, pas tout à fait humaine. Héros malgré lui d’une vaste machination d’État, il raconte cette aventure où il a perdu son job, son cœur et sa raison. Mais ce n’est rien, c’est la vie qui passe.» Prix : 25 euros repas compris. 05 56 71 18 71 > LE 29 JANVIER Le 29 janvier, à 20 h 30, la salle du Champ de foire, à Saint-André-de-Cubzac, accueille six musiciens, soit la rencontre entre deux trios : les bretons de Kej et les gascons du Trio d’en bas. Dans leurs bagages respectifs, la musique irlandaise, les cultures du Brésil, du Mali, du Niger, de l’Occitanie… Rien d’étonnant à ce qu’Ainara (hirondelle, en basque) soit synonyme d’un voyage aérien et joyeux. Prix : de 7 à 13 euros. 05 57 43 64 80 03 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Panorama > QUESTIONS À… Bertrand Bouteiller, président de la MSA de la Gironde «Les élus, traits d’union entre la population et sa protection sociale» ELECTIONS Les prochaines élections à la MSA vont se dérouler du 12 au 27 janvier prochains. Rencontre avec le président sortant Bertrand Bouteiller. AAVA : La MSA Gironde a accueilli le mois dernier l’exposition «Campagnes en Mouvement». Pourquoi une telle exposition ? Bertrand Bouteiller : Pour la première fois depuis sa création, la MSA a ouvert l’intégralité de ses archives photographiques, pour les rassembler au sein d’une exposition et passer en revue 65 années d’actions mutualistes. Au travers de ces archives, la MSA a souhaité faire redécouvrir à ses assurés et au grand public, les moments les plus importants de son histoire et les grandes avancées sociales qui ont marqué le monde agricole depuis 60 ans. Cette exposition accompagne le dispositif d’information mis en place autour des élections professionnelles de la MSA qui se tiendront du 12 au 27 janvier 2015. AAVA : La MSA reste un modèle singulier dans le paysage de la protection sociale français. Quelles sont ses particularités ? B. B. : La Mutualité Sociale Agricole (MSA) est le deuxième régime de protection sociale en France. Institution démocratique, elle organise depuis 1949 des élections professionnelles pour choisir ses représentants. La mise en place de ce système électif confirme la place de la MSA dans le paysage mutualiste. Le mutualisme est incarné par l’engagement quotidien des élus assurés - exploitants agricoles et salariés-. Les élus assurent un trait d’union entre la population agricole et son régime de protection sociale. Ils sont à l’écoute de ses attentes, ils mettent en place des projets et essayent autant que faire se peut de faire progresser les droits sociaux des assurés agricoles. Mais attention, et je tiens à le souligner, notre régime de protection sociale est dépendant – pour le calcul des cotisations sociales notamment – de l’Etat. C’est lui qui en fixe leur montant. AAVA : Quel est le rôle des élus et combien sont-ils en Gironde et sur tout le territoire ? B. B. : Notre caisse de mutualité agricole est l’une des plus importantes de France. Au total elle compte en Gironde plus de 600 élus. Des élus tous bénévoles. Au total, en France, la MSA a plus de 25 000 élus répartis sur tout le territoire. Ils incarnent un système fondé sur des valeurs telles que la solidarité, la responsabilité et la démocratie sociale. Ces élus, depuis plus de soixante ans ont apporté leur pierre à l’édifice. Savez vous que sans eux nous n’aurions sans doute pas eu une assurance vieillesse pour les exploitants agricoles en 1952, une assurance maladie pour les agriculteurs en 1962, une retraite complémentaire pour les salariés agricoles en 1964, un régime obligatoire de prévention pour les salariés en 1972, un statut de conjoint collaborateur en 2000, un régime obligatoire de prévention pour tous en 2002 et tout récemment, la création des indemnités journalières pour les agriculteurs et leurs familles ? AAVA : Que dîtes-vous aux électeurs pour les inciter à voter du 12 au 27 janvier prochain ? B. B. : Les ressortissants agricoles sont attachés au système de protection sociale qui repose sur une solidarité redistributive et interprofessionnelle. C’est pour préserver ce système que leur vote est important. Il permet ainsi de protéger les individus et les entreprises dans un contexte de crise actuelle. A titre d’exemple, Zoom Quel que soit le secteur d’activité, tout citoyen ne peut qu’être ému et révolté par l’attentat qui a frappé nos confrères de Charlie Hebdo et les policiers, mercredi 7 janvier. L’équipe de l’Avenir Agricole et Viticole Aquitain, profondément émue, s’est jointe à tous les personnels et aux élus des organisations professionnelles agricoles pour une minute de silence à la mémoire de ces victimes, jeudi 8 janvier, devant la Chambre d’agriculture de la Gironde. L’équipe du journal partage aussi la conviction que le travail de la presse pour la liberté doit se poursuivre coûte que coûte… Et ne rien céder à la peur. Car pour la liberté d’expression, nous sommes tous des «Charlie». «Notre caisse de mutualité agricole est l’une des plus importantes de France. Au total elle compte en Gironde plus de 600 élus. Des élus tous bénévoles.» rappelons qu’après l’épisode de grêle de 2013 la MSA a pris en charge une partie des cotisations sociales de 540 chefs d’exploitation pour un montant de 1 350 000 euros, sans compter les échéanciers de paiement accordés à plus de 750 entreprises pour un montant de 5 200 000 euros. Les élus MSA sont des bénévoles issus du monde agricole: ils représentent au travers de 3 collèges l’ensemble des salariés et des non-salariés agricoles. Enfin, la MSA reste un acteur important du monde agricole qui prend en compte les besoins sociaux, redistribue des prestations à ses ressortissants (732 millions d’euros de prestations versées en 2013), crée des partenariats locaux, des actions, des expérimentations selon les besoins à destination des aidants familiaux, de “ la petite enfance, des jeunes actifs… Pour toutes ces raisons n’hésitez plus et donnez votre voix à votre MSA! AAVA: Président Bouteiller, vous avez décidé de passer le relais de la présidence. Quel message souhaitezvous délivrer à vos successeurs ? B. B. : Permettez-moi de souhaiter à ceux qui seront élus demain, à ceux qui siégeront au sein du conseil d’administration de la MSA de Gironde bonne chance pour cette nouvelle aventure, pour ce nouveau mandat. Qu’a l’image de tous leurs prédécesseurs, ils puissent faire de notre Institution MSA une force de proposition, un levier d’action pour défendre les intérêts de nos adhérents, qu’ils soient salariés, exploitants ou employeurs. À nos lecteurs Vous êtes nombreux à nous demander comment va le journal. L’Avenir Agricole et Viticole Aquitain, conduit par une petite équipe soudée et valeureuse, mène contre vents et marées son chemin. Dans un «petit» journal, le lecteur est «grand». Pour vous, deux fois par mois, nous allons à l’information et nous vous la transmettons. Pour vous, nous ouvrons nos colonnes à toutes les productions du département. Si nous avons de bonnes informations et de bons témoignages, c’est à vous que nous le devons. La force de notre journal vient de sa diversité. Dans nos colonnes, les viticulteurs côtoient les éleveurs, les céréaliers, les maraîchers… bref, tout ce qui fait la force de l’agriculture d’un département. Je suis intimement persuadée que cette cohabitation enrichit et ouvre les esprits. En septembre dernier nous avons lancé notre site Internet et créé un compte facebook. Vous êtes de plus en plus nombreux à nous rejoindre. Nous ne comptons pas en rester là. Toute l’équipe de l’Avenir Agricole et Viticole Aquitain vous remercie de votre fidélité et vous souhaite une belle et heureuse année 2015. > Geneviève Marcusse-Artigue 04 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Politique Le Compte pénibilité et sa difficile application TRAVAIL Alors que la mise en œuvre du compte pénibilité devrait commencer le 1er janvier 2015, les syndicats FNSEA et JA restent mobilisés pour une modification de cette mesure inapplicable, en l’état actuel, au secteur agricole et à ses spécificités. points sur son compte pénibilité. Or les niveaux de fixation de seuils sont impossibles à atteindre sur trois et même six mois. Le «compte personnel de prévention de la pénibilité» entre en application au 1 er janvier 2015 pour quatre des dix critères permettant aux salariés de bénéficier d’un départ en retraite anticipé : travail de nuit, travail en équipes successives alternantes, travail répétitif et travail en milieu hyperbare. Insécurité juridique des employeurs Trop contraignant Si la profession agricole est concernée par ces facteurs, elle l’est encore plus pour les six autres qui doivent entrer en vigueur en 2016 : manutentions manuelles, postures pénibles, vibrations mécaniques, agents chimiques dangereux, températures extrêmes et bruit. Sans nier l’existence d’une pénibilité lors de certains travaux agricoles, la FNSEA et Jeunes Agriculteurs (JA) se sont élevés contre un dispositif jugé trop contraignant et inapplicable au secteur, faisant du retrait de la mesure l’un des huit points de revendications de leur manifestation du 5 novembre. Si le gouvernement s’est montré déterminé à mettre le compte pénibilité en application, il a néanmoins reconnu la nécessité de l’adapter au secteur agricole, notamment dans le cadre des discussions du Comité de suivi de l’emploi dans les secteurs agricole et La FNSEA et JA souhaitent proposer un dispositif simplifié qui permettrait de sécuriser juridiquement l’employeur. agroalimentaire instauré le 14 octobre par le ministre du Travail, François Rebsamen et le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll. Impossibilité concrète Les textes pourront donc être modifiés pour la mise en œuvre des six facteurs de pénibilité qui doivent entrer en vigueur en 2016, si l’impossibilité de les appliquer est démontrée. Le 9 décembre, une réunion avec les deux ministres a permis à Xavier Beulin et Thomas Diemer, respectivement présidents de la FNSEA et de JA, de réaffirmer l’impossibilité concrète d’appliquer le dispositif à l’agriculture. «Les procédures prévues conviennent à de plus grandes entreprises, qui effectuent des travaux normés», a ainsi expliqué le président de la FNSEA à l’issue de la réunion. En effet, les petites et très petites entreprises, fortement majoritaires dans le secteur agricole, n’ont pas les ressources humaines nécessaires pour comptabiliser les seuils d’exposition, pour chaque facteur de risque, de salariés généralement affectés Le temps d’une image à plusieurs tâches. Un travail est donc en cours pour présenter des situations réelles de salariés agricoles pour qui le système actuel serait inapplicable. En attendant, les employeurs ne sont pas pour autant dans l’illégalité, puisque les textes en vigueur sont appréciés par année et ne font pas l’objet d’une proratisation en fonction du temps de travail : ainsi, un salarié engagé pour trois mois devra atteindre le même seuil d’exposition qu’un salarié en CDI sur l’année pour avoir droit au versement de Parallèlement, la FNSEA et JA souhaitent proposer un dispositif simplifié qui permettrait de sécuriser juridiquement l’employeur. Avec le dispositif actuel, celui-ci engage en effet sa responsabilité juridique en déclarant lui-même les facteurs de risque auxquels le salarié est exposé, ce dernier ayant ainsi la possibilité de se retourner juridiquement contre son employeur en cas de désaccord. Une situation qui incite à recourir à des sociétés de prestations de services au détriment de l’emploi direct. Pour y remédier, les deux syndicats réfléchissent à la faisabilité d’une procédure collective, à partir d’une grille d’analyse mutualisée applicable à tous les employeurs et s’imposant aux salariés. Au-delà de l’aspect réglementaire et réalisable de la mesure, la profession s’inquiète aussi de l’image donnée au métier par un focus trop important mis sur la pénibilité, avec le risque de freiner les candidats potentiels à l’emploi dans un secteur qui en reste très pourvoyeur. Et aussi Loi de finances pour 2015 : l’APCA dénonce des prélèvements budgétaires injustes Même si en France, encore une commune sur deux compte moins de 500 habitants, celles-ci sont 2 700 de moins qu’il y a 30 ans, indiquent les chiffres du recensement parus le 29 décembre. La France ne dénombre plus que 19 800 communes de moins de 500 habitants contre 22 500 en 1982. La Gironde en compte 1 300. L’Assemblée permanente des Chambres d’agriculture (APCA) a réagi au vote de la loi de finances le 18 décembre, dénonçant des mesures «injustes et inefficaces». Alors que 45 millions d’euros devaient être prélevés sur les fonds de roulement, ce sont finalement 55 millions d’euros qui en seront amputés. «Le calcul repose sur les Comptes 2013, qui seront impactés par les investissements et les mesures financières réalisées en 2014, notamment pour les stations expérimentales et les mises aux normes des locaux», explique l’APCA qui juge également «injuste» la baisse de la Taxe additionnelle à la taxe sur le foncier non bâti (TATFNB) de 5,35 % à 2 %, d’autant plus que «la Loi d’avenir a confié aux Chambres de nouvelles missions». Pour l’organisation, ces mesures mettent donc en péril «un réseau qui représente en fait un outil mutualisé de l’ensemble des micro-entreprises que sont les exploitations agricoles et qui ne peuvent se doter individuellement des services que collectivement les Chambres leur proposent». 05 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Politique Vin : promotion et plantations Billet d’humeur VIN La promotion du vin français sur le marché intérieur européen pourrait faire l’objet de financements de l’UE. Le conseil spécialisé «vin» de FranceAgriMer a voté un projet d’avis en ce sens. À coté de l’appui à la promotion du vin français dans les pays tiers, un dispositif de soutien à la promotion du vin français sur le marché intérieur européen est à l’étude. Le conseil spécialisé «vin» de FranceAgriMer, qui s’est réuni le 17 décembre, a voté un projet d’avis en ce sens, a annoncé l’établissement le 18 décembre. Il reste maintenant pour les professionnels à négocier les modalités de ce dispositif de financement avec la Commission européenne. Enveloppe française Un dispositif de soutien à la promotion du vin français sur le marché européen est à l’étude à FranceAgriMer. Éligibilité pour les plantations nouvelles Une par tie impor tante du conseil spécialisé «vin» de FranceagriMer qui s’est tenu le 17 décembre a également été occupée à définir une position de la filière sur le futur régime d’autorisations de plantations qui entrera en vigueur le 1er janvier 2016. Ces discussions se poursuivront au conseil de janvier avec des décisions importantes attendues sur les critères d’éligibilité et de priorité pour les plantations nouvelles. «Le consensus La confiance ne se décrète pas, elle se construit et se mérite avance peu à peu», a-t-on noté à FranceagriMer. À l’ordre du jour du conseil de janvier figure déjà un point de discussion : «Comment évaluer le détournement de notoriété» d’une appellation par un opérateur plantant de la vigne sans indication géographique dans ou à proximité d’une zone d’appellation ? Un girondin nommé Gérard César, sénateur-maire de Rauzan, a été nommé par le Sénat pour siéger en qualité de membre titulaire au sein du conseil d’administration de l’établissement national des produits de l’agriculture et de la mer, FranceAgriMer. Pour mémoire, FranceAgrimer qui exerce ses missions pour le compte de l’État, en corrélation avec le Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, a pour mission principale de favoriser la concertation au sein des filières de l’agriculture et de la forêt, d’assurer la connaissance et l’organisation des marchés, ainsi que de gérer des aides publiques nationales et communautaires. Pour le printemps, réservez KA2 COMMUNICATION 05 56 44 14 74 La promotion sur l’Union Européenne ne fera pas grossir l’enveloppe vitivinicole française. Il est en revanche certain que ce financement, s’il est retenu finalement, sera assuré par l’enveloppe française consacrée au secteur vitivinicole de 280 millions d’euros, une enveloppe constante. Le conseil spécialisé a voté également un projet d’avis visant à ce que les viticulteurs qui replantent après un arrachage obligatoire puissent bénéficier de l’aide à la restructuration du vignoble. Cette mesure concerne «la replantation sanitaire», principalement à la suite de la flavescence dorée. Il n’est pas envisagé pour l’instant de faire bénéficier de la mesure les vignerons dont les pieds de vignes sont atteints de la maladie du bois. lité au service La qua Nos produits : de la viticulture le greffé soudé traditionnel, le long plant, le plant en pot et le conteneur… Pépinières Viticoles Daniel et David Amblevert Sarl 21 bis Gamage - 33350 Sainte-Florence - Tél. 05 57 40 07 13 - Fax 05 57 40 34 32 E-Mail : [email protected] N° France AgriMer : 04 33 401 001 www.amblevert.com Un déni de démocratie… Y a-til d’autres mots pour décrire ce qu’il semble se passer avec la proposition d’extension des zones vulnérables à l’issue de la consultation publique qui s’est terminée le 18 décembre 2014 ? Les citoyens ont donné un avis défavorable pour 90 %. Par contre, les avis des chambres consulaires et des collectivités territoriales (Conseils généraux et régionaux) por tent à réflexion. Sur 25 avis des collectivités, 8 sont clairement défavorables. Mais les 17 absences de réponses ont été considérées comme favorables… Pour ne citer qu’un exemple, l’avis «tacitement favorable» de la Chambre régionale d’agriculture est basé sur l’absence de réception d’un courrier qui était, comme par hasard, défavorable à ce zonage. Problème de courrier ? Problème d’administration ? Un hasard dommageable pour l’expression citoyenne qui engage la viabilité de plusieurs zones agricoles. Cela va fortement impacter les principaux secteurs d’élevage du département de la gironde déjà en déprise. Et cela donne l’impression d’un passage en force de la proposition de l’administration. Alors même que Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, avait bien spécifié qu’on «pouvait éliminer les erreurs ponctuelles et jusqu’à 35 % du zonage proposé». Pourquoi punir l’ensemble d’une profession qui est en première ligne pour préserver l’environnement ? Pourquoi ne pas respecter la voix de la démocratie ? La profession agricole, FDSEA en tête, ne comprendrait pas qu’au terme de ce processus de concertation, seul l’avis de l’administration prime au lieu de l’avis des représentants des citoyens… A l’aube d’une nouvelle échéance électorale, est-ce un bon signal à envoyer aux électeurs ? En résumé, qui dirige ce pays ? Sont-ce les zadistes, les intégristes, l’administration sous les ordres du préfet, ou les politiques et les élus du peuple dit souverain… En fonction de cette réponse nous agirons pour la survie de l’élevage dans nos zones. Serge Bergeon, Franck Daubin, responsables Elevage de la FDSEA de la Gironde 06 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Politique Autonomie fourragère PROTÉINES Soucieux de développer les cultures riches en protéines végétales, le ministre de l’Agriculture a présenté en décembre une nouvelle stratégie 2015-2020 pour développer la filière et assurer une plus grande autonomie fourragère à l’élevage français. La demande mondiale de viande augmente, imposant des besoins croissants en protéines végétales qui nourrissent les animaux d’élevage. Présenté par le ministre de l’Agriculture le 16 décembre, le Plan protéines végétales prendra effet dès 2015 avec un objectif : développer et sécuriser la culture de plantes fourragères, au niveau national mais aussi au sein de chaque exploitation d’élevage. L’enjeu est en partie environnemental, puisqu’en fixant naturellement l’azote dans le sol, ces cultures diminuent le besoin en intrants pour la culture suivante. Mais l’intérêt est aussi, et très largement, économique. En effet, la demande mondiale de viande augmente, imposant des besoins croissants en protéines végétales qui nourrissent les animaux d’élevage. Or la France n’assure son autosuffisance qu’à 60 %, ce qui rend les éleveurs vulnérables face aux variations de prix de ces protéines sur un marché mondialisé, où les fournisseurs risquent à moyen terme de favoriser le marché asiatique, porteur et en expansion. Pourtant, avantagée par son climat et ses saisons longues qui augmentent les possibilités d’exploiter la photosynthèse, la France possède un potentiel sous-exploité : «on n’utilise pas assez la couverture du sol», regrette Stéphane Le Foll, qui se mobilise pour relancer l’introduction des protéagineux dans l’assolement. Ce plan s’inscrit dans une dimension nouvelle, puisque les cultures de protéines végétales, qui souffrent de la comparaison avec les autres cultures en matière de marges dégagées, sont aujourd’hui considérées comme une culture additionnelle, «intercalée dans ce qui existe», précise encore le ministre. Un plan incitatif et ambitieux Au-delà de cette vision plus globale, des moyens incitatifs sont mis en œuvre grâce aux opportunités de la nouvelle PAC. 2 % des aides du premier pilier sont destinés aux aides couplées, réparties sur deux types de surfaces, à savoir : 49 millions d’euros par an pour les cultures riches en protéines (35 millions d’euros pour les protéagineux, 6 millions d’euros pour le soja et 8 millions d’euros pour les légumineuses fourragères) avec un montant unitaire d’aide à la production de 100 euros/ha minimum, et 98 millions d’euros pour les éleveurs qui s’attèleront à la production de protéines fourragères. Cette dernière aide pourra être réaffectée aux cultures si le nombre d’éleveurs investis s’avérait insuffisant. L’effet de levier sera également encouragé par le paiement «vert» de la PAC (reconnaissance en tant que surface d’intérêt écologique, diversité des assolements…), et par des Mesures agroenvironnementales et climatiques (MAEC), notamment «grandes cultures». L’avantage de ce nouveau plan, comparativement à ceux qui l’ont précédé, est de s’inscrire dans la durée – six ans – en s’appuyant sur la structuration de la filière. Le choix a été fait d’investir dans un programme de recherche-innovation sur 10 ans d’un montant de 4,5 millions d’euros dédiés aux semences (dont 500 000 euros aux graminées). Le soutien affiché des semenciers permettra par ailleurs de mettre ce progrès génétique à disposition des agriculteurs sans aucun surcoût. Enfin, le renforcement de la gouvernance, troisième et dernier axe du plan, a pour objectif d’inscrire la dynamique sur le long terme. 07 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Technique Vignoble à la loupe TERRAIN Chaque mois, les techniciens des antennes ADAR de la Chambre d’agriculture font un point sur la vie du vignoble. Délaissés sous les hangars avec le retrait de l’arsénite de soude, aujourd’hui tout le monde au vignoble parle des panneaux récupérateurs nouvellement nommés «pulvérisation confinée». Les raisons ? Elles sont diverses : environnementales, techniques, économiques ou encore réglementaires. Mais tous se posent la même question : quels atouts pour quelles contraintes ? A l’occasion de la table ronde qui s’est tenue le mercredi 3 décembre 2014 au salon Vinitech, trois viticulteurs, Lionel Berthomieux chef de culture du Château Grand Baril, Philippe Ducourt responsable technique des Vignobles Ducourt et Christophe Rebérat chef de culture du Château La Tour Blanche, ont taché d’y répondre. Expérimentation en Ferme Dephy Ces trois exploitations appartiennent aux réseaux Ferme Dephy Ouest et Est portés par la Chambre d’agriculture de la Gironde. En quête d’innovation et souhaitant être en avance sur la réglementation, elles ont décidé de tester ces appareils récents, disponibles sur le marché ou encore sous forme de prototype. C’est ainsi qu’en 2013, le Château La Tour Blanche et le Château Grand Baril, avec le soutien de la DRAAF Aquitaine, ont mis en place une expérimentation Christophe Rebérat c’est le 1er avantage de ce type d’appareil. Utilisé sur des vignes conduites en conventionnel et en agriculture biologique, le Koléos a permis de réduire fortement les doses appliquées, tout en maintenant un état sanitaire sain en 2013 et en 2014. Alors que les viticulteurs relèvent la maniabilité et la facilité d’utilisation du Koléos et de l’Ecoprotect, Lionel Berthomieux souligne le confort sonore qu’apporte le Lipco. «Le Lipco fonctionne avec un entraînement par turbines qui a peu d’hydraulique. On tourne avec un régime moteur à 1 300 t/min. L’appareil on n’entend pas, on entend que le tracteur !». ne traitent que 2 rangs entiers par passage. Or les pulvérisateurs classiquement utilisés sur ces exploitations sont des pulvérisateurs face par face qui traitent entre 3 et 4 rangs. Tous les trois soulignent que pour que la pulvérisation confinée soit rentable pour eux, il faut l'adapter sur des châssis d'enjambeur. Le nettoyage des trois appareils demande plus de temps, comme l'explique Philippe Ducourt « Étant donné qu'on récupère l'excédent de bouillie, dans le bas des panneaux on retrouve tous les débris de végétaux, de terre, de poussière... Il faut le nettoyer tous les soirs. Mais il n'y a jamais eu de problème de colmatage. La récupération est très bien filtrée. Le système marche ». Les lycées envisagent en 2015 d'acquérir ce type d'appareil car ils sont directement concernés par l'arrêté préfectoral. Les vignobles Ducourt se laissent encore un temps d'essais et de réflexion. A noter En 2015 le plan de compétitivité Aquitaine attribuera des aides financières pour l'acquisition d'équipements limitant la dérive (rampes face par face, buses antidérive, panneaux récupérateurs, etc …), de pulvérisateurs neufs face par face ou à confinement et l'implantation de haies (hors main d’œuvre pour la plantation). Aurélie VINCENT - Cédric ELIA – Joël ORTIZ – Jean-Baptiste MEYRIGNAC ADAR des Deux Rives - Chambre d’Agriculture de la Gironde [email protected] [email protected] [email protected] En limitant fortement la dérive, la pulvérisation confinée est une des solutions pour préserver le voisinage. pour évaluer la performance technico-économique de deux appareils à jets portés, respectivement le Koleos de Dughes et le Lipco de Clemens. En 2014, Dughes a renouvelé son prêt permettant au lycée du sauternais de l’employer sur une plus grande surface, en condition réelle. Les vignobles Ducourt ont quant à eux utilisé au cours de la campagne 2014 le prototype Ecoprotect de Grégoire, un pulvérisateur pneumatique, sur un îlot de 20 ha. Des points positifs En limitant fortement la dérive, la pulvérisation confinée est une des solutions pour préserver le voisinage des embruns des traitements phytosanitaires. L’arrêté préfectoral du 23 juin 2014 permet aux viticulteurs qui en ont de ne pas tenir compte des mesures obligatoires instaurées à proximité des établissements scolaires. La bouillie épandue varie tout au long de la saison en fonction du développement végétatif de la vigne. Le Lipco et le Koléos permettent de récupérer entre 40 % et 50 % de bouillie sur la saison. L’association du confinement et du face par face permet une meilleure qualité de pulvérisation. Les Vignobles Ducourt ont «mesuré la qualité de pulvérisation à l’aide de papiers hydrosensibles. La répartition est bonne sur l’ensemble du feuillage, faces supérieures, inférieures et grappes». Les Le temps d’une image mesures réalisées par l’IFV sur les deux autres appareils aboutissent au même constat. Par conséquence, la pulvérisation confinée permet une réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires. Pour [email protected] A mettre absolument la phrase + les logos: « Action pilotée par le ministère chargé de l’agriculture, avec l’appui financier de l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au financement du plan Ecophyto » Et aussi La question des coûts et de la durée de traitement Il faut compter au minimum entre 30 000 et 35 000 euros pour acquérir l’un des trois appareils testés en 2014 (deux appareils à jets portés, respectivement le Koleos de Dughes et le Lipco de Clemens et le prototype Ecoprotect de Grégoire). Pour Philippe Ducourt, qui a testé le prototype, «le 1er problème c’est le coût de l’investissement. L’Ecoprotect est environ 30 %». Les trois appareils sont traînés et ne traitent que 2 rangs entiers par passage. Or les pulvérisateurs classiquement utilisés sur ces exploitations sont des pulvérisateurs face par face qui traitent entre 3 et 4 rangs. Les trois chefs d’exploitation des Fermes Dephy qui ont testé les appareils soulignent que pour que la pulvérisation confinée soit rentable pour eux, il faut l’adapter sur des châssis d’enjambeur. Le nettoyage des trois appareils demande plus de temps, comme l’explique Philippe Ducourt «Étant donné qu’on récupère l’excédent de bouillie, dans le bas des panneaux on retrouve tous les débris de végétaux, de terre, de poussière… Il faut le nettoyer tous les soirs. Mais il n’y a jamais eu de problème de colmatage. La récupération est très bien filtrée. Le système marche». Les lycées envisagent en 2015 d’acquérir ce type d’appareil car ils sont directement concernés par l’arrêté préfectoral. Les vignobles Ducourt se laissent encore un temps d’essais et de réflexion. Contact Aurélie Vincent, Cédric Elia, Joël Ortiz, Jean-Baptiste Meyrignac, antenne ADAR des Deux Rives, Chambre d’agriculture de la Gironde, [email protected], [email protected], [email protected], [email protected] En 2015 le plan de compétitivité Aquitaine attribuera des aides financières pour l’acquisition d’équipements limitant la dérive (rampes face par face, buses antidérive, panneaux récupérateurs, etc), de pulvérisateurs neufs face par face ou à confinement et l’implantation de haies (hors main d’œuvre pour la plantation). 08 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Technique Un décret pour l’encadrement des stages SOCIAL Le décret n°2014-1420 du 27 novembre 2014 relatif à l’encadrement des périodes de formation en milieu professionnel et des stages est paru au Journal officiel du 30 novembre 2014. Avec cependant des aménagements spécifiques pour l’agriculture. Les stages en entreprise font partie des formations. Et ils se généralisent. L’Etat a décidé d’encadrer les périodes de formation en entreprise. En voici les points principaux. Désormais l’indemnisation est obligatoire pour un stage de plus de deux mois et la gratification des stages évolue en deux étapes. les informations relatives au stagiaire à faire figurer sur le registre unique du personnel, l’obligation de délivrer une attestation de stage et les exceptions à la durée maximale des stages. Aménagement pour les MFR Un quota stagiaire Pour les conventions conclues à compter du 1 er décembre 2014, le montant horaire de la gratification des stages passe de 12,5 % à 13,75 % du plafond horaire de la Sécurité sociale, et à compter du 1er septembre 2015 à 15 % du même plafond. Ce montant minimum est fixé en l’absence de convention de branche ou d’accord professionnel étendu fixant un taux supérieur. Ainsi le montant de l’indemnité de stage passe de 436 euros à 479,5 euros par mois dès décembre 2014 et 523 euros à partir du 1er septembre 2015. La loi sur les stages oblige les entreprises à ne pas dépasser un quota de stagiaires, qui devrait tourner autour de 10 % de l’effectif (avec une exception pour les petites entreprises). Pour le secteur agricole, les établissements sous contrat à rythme approprié (principalement les MFR) bénéficient d’un aménagement. Tout stage devra désormais se faire dans le cadre d’une formation d’au moins 200 heures par an. La durée maximale d’un stage est maintenant limitée à 6 mois maximum dans une entreprise. Une manière de lutter aussi contre le travail déguisé en stage. Stages de plus de deux mois Pour les stages de plus de deux mois, les étudiants ont désormais les mêmes droits que le reste du personnel : accès à la restauration d’entreprise ou droit à des tickets restaurants, remboursement des frais de transport, dans les mêmes conditions que les salariés. De même, la convention de stage devra préciser l’octroi de congés ou de jours d’absence autorisés. En cas de grossesse ou de paternité, le stagiaire a aussi les mêmes droits que le reste du personnel. Autant de points qui doivent désormais figurer dans la convention de Le temps d’une image Les députés ont réintroduit la suppression d’exonération du «contrat vendange», lors du vote du projet de loi de finances 2015, à l’assemblée nationale le 18 décembre. Une majorité de députés a rétabli l’article 47, qui supprime l’exonération des charges salariales. La veille, le Sénat avait rétabli l’exonération. Ce contrat fonctionnait depuis douze ans pour répondre à deux objectifs : augmenter la rémunération nette des salariés grâce à des exonérations de cotisations sociales, et faciliter le recrutement des vendangeurs. Bernard Farges, président de la Confédération des appellations viticoles (Cnaoc) a déploré la suppression «d’un dispositif qui bénéficiait aux salariés et contribuait à l’emploi». stage. Par ailleurs, ce décret fixe les mentions devant figurer dans les conventions de stage, Concernant spécifiquement le secteur agricole, les établissements sous contrat à rythme approprié (principalement les MFR) bénéficient d’un aménagement (Article 1 IV du décret) : «Les périodes de formation en milieu professionnel donnent lieu à gratification lorsque leur durée est supérieure à trois mois, consécutifs ou non, au cours de la même année d’enseignement». Et aussi Le SMIC à 9,61 euros Le smic est porté à 9,61 euros à compter du 1er janvier 2015. Aucun salarié ne pouvant être payé à un taux inférieur au SMIC, les échelons A et B doivent être payés à 9,61 euros. Les nouvelles aides pour les employeurs aux 1er janvier 2015 Dans le cadre du Pacte de responsabilité, le Gouvernement a annoncé différentes mesures en faveur des entreprises. Voici les mesures qui intéresseront les employeurs. L’amélioration de l’allègement Fillon fait que la réduction -qui s’applique à ce jour uniquement aux cotisations patronales maladie, vieillesse et allocations familiales - s’appliquera aussi à la contribution solidarité autonomie, à la cotisation FNAL, ainsi qu’à une part de la cotisation accident du travail. Par ailleurs, les entreprises d’au moins 20 salariés auront désormais le même taux de réduction que les plus petites. Le taux de la cotisation patronale allocations familiales est réduit de 1,8 point pour les rémunérations qui n’excèdent pas 1,6 Smic (il passera ainsi de 5,25 % à 3 45 %). Ces nouvelles mesures s’ajoutent au Crédit d’Impôt Compétitivité Emploi (CICE) dont les entreprises ont déjà pu bénéficier en 2014 au titre de l’impôt 2013. Ce crédit d’impôt qui vise à réduire l’impôt des entreprises employeuses de salariés, passe cette année de 4 % à 6 % du montant des rémunérations brutes versées aux salariés de l’entreprise. Pour en bénéficier, l’employeur doit compléter la partie dédiée du bordereau MSA du 4e trimestre, ainsi qu’un formulaire fiscal spécifique. Les branches professionnelles sont invitées à définir les contreparties auxquelles les entreprises s’engageront au regard de ces allègements de charges, notamment en termes de développement de l’emploi. Pour la branche agricole, les négociations sont en cours entre la FNSEA et les syndicats de salariés. 09 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Technique La version rénovée du plan Ecophyto est en marche ENVIRONNEMENT L’objectif du plan Ecophyto est de réduire et d’améliorer l’utilisation des produits phytosanitaires, tout en continuant à assurer un niveau de production élevé. Ce plan a fait l’objet d’une évaluation à mi-parcours, dont les conclusions viennent d’être rendues publiques. Deux nouvelles échéances Parmi les axes de développement du nouveau plan Ecophyto : la formation et la sensibilisation des agriculteurs. Le 30 mai dernier, Dominique Potier, agriculteur, député de Meurthe-et-Moselle et président du Comité Consultatif de Gouvernance du plan Ecophyto, s’est vu confier par le Premier ministre une mission visant à établir des recommandations pour une nouvelle version de ce plan. Au cours de sa mission, il a rencontré une centaine d’organismes et le rapport a été remis le 23 décembre 2014 à Manuel Valls. Le champ de ce rapport ne concerne pas uniquement le plan Ecophyto mais a un objectif beaucoup plus large de construire une architecture institutionnelle et socio-économique pour l’agro-écologie, dont la version rénovée du plan serait le fer de lance. Ces propositions seront étudiées et discutées lors du Comité Consultatif de Gouvernance du 14 janvier 2015, et lors du Comité National d’Orientation et de Suivi du plan Ecophyto qui se réunira le 30 janvier 2015 sous la présidence de Stéphane Le Foll. 2020 : objectif - 25 % de réduction des usages en 5 ans par «optimisation». Les recommandations sont basées sur l’augmentation de l’efficience des produits appliqués (modulation de doses, renouvellement agro-équipements, utilisation d’outils d’aide à la décision…), le développement des techniques alternatives (biocontrôle, variétés résistantes…) et sur le recours à des combinaisons de techniques (systèmes de cultures innovants). Les dispositifs structurants mis en place en région lors de la première phase du plan (BSV, réseaux Dephy, Certiphyto, EcophytoPIC) seraient renforcés afin d’atteindre un maximum d’agriculteurs. Le système de conseil actuel évoluerait par la mise en place et la certification d’un «conseil de transition vers l’agro-écologie». 2025 : objectif - 50 % de réduction des usages en 10 ans qui repose sur une rénovation du système de Recherche-FormationInnovation. Cela impliquerait la mise en place d’un cadre propice à des systèmes de production plus autonomes en intrants et notamment une diversification des systèmes de cultures. Les leviers à mobiliser, très larges, concernent la régulation du foncier, la PAC, la réglementation, le fonctionnement des filières, les modes de commercialisation… Stratégie 68 recommandations, 6 axes de travail, 3 000 fermes Dephy et un budget renforcé. La dernière partie du rapport porte sur la mise en œuvre du plan, centré sur un accroissement de la cohérence de la stratégie agroécologique. Cela passerait par la construction en région d’un «front agro-écologique» et par une coordination renforcée du triptyque DRAAF-RégionAgence de l’eau. Les Chambres d’agriculture seraient positionnés dans ce schéma comme coordinatrices et centres de ressources, notamment dans le domaine du conseil de transition. Concernant les ressources financières, la mission propose de créer un «fonds Ecophyto», sous le double pilotage des ministères de l’écologie et de l’agriculture, avec un budget renforcé (100 millions d’euros par an) et une gestion du fonds qui resterait confiée à l’ONEMA et majoritairement affecté sur les actions conduites en région. Ce nouveau plan serait structuré autour de 6 nouveaux axes et bâti sur 68 recommandations faites par la mission : faire évoluer les pratiques (certification, conseil, formation, production de références), recherche et innovation risques et impacts (santé, eau, air, sol, biodiversité), politiques publiques, territoire et filières, jardins et espaces à vocation publique, observatoire et communication. Une des propositions fortes serait de passer de 1 900 à 3 000 fermes engagées dans les réseaux Dephy et, à terme, d’engager 30 000 agriculteurs dans la démarche agro-écologique. Les propositions qui seront retenues devraient rentrer en vigueur à partir de 2016. Le point de vue Trois questions à, Patrick Vasseur en charge du dossier Ecophyto à la Chambre régionale d’agriculture d’Aquitaine «On nous demande de nous engager dans des actions volontaires sans nous proposer une couverture du risque» Les derniers chiffres publiés par le ministère donnent une augmentation du recours aux produits phytos pour 2013. Est un échec du plan Ecophyto ? Patrick Vasseur : Je pourrais douter si je n’étais pas un agriculteur. Mais souvenez-vous du printemps 2013. Une telle pluviométrie nous a obligé à traiter. La récolte était en jeu. De même, les résultats de l’action Ecophyto ne peuvent se mesurer sur une seule année. Il faut laisser du temps au temps. AAVA : Justement la version rénovée du plan annonce de nouvelles échéances à l’horizon 2025. Est-ce faisable ? P. V. : La première phase du plan qui préconisait de réduire de moitié l’utilisation de phytos à l’horizon 2018 était trop ambitieuse. Sur le papier, cela paraît possible mais dans la réalité entre la théorie puis la mise en pratique dans les fermes pilotes (réseaux Dephy) puis enfin le transfert chez les agriculteurs, cela est moins évident. Aujourd’hui l’ensemble du travail réalisé dans le cadre du Bulletin de santé du Végétal - qui est gratuit et envoyé par mail à 7 000 destinataires – par la centaine d’exploitations engagées dans les réseaux Dephy en Aquitaine et les 30 000 professionnels aquitains (dont 20 000 agriculteurs) formés au certiphyto doit être vulgarisé au plus grand nombre. En fait c’est là notre plus grand défi ! AAVA : Chez l’agriculteur quel est le principal frein à ces changements de pratiques ? P. V. : Les agriculteurs dans leur grande majorité sont parfaitement conscients de cette nécessité de s’adapter à cette demande sociétale. Mais il faut bien comprendre que pour eux il y a aussi un risque économique. Or aujourd’hui, on leur demande de s’engager dans des actions volontaires sans leur proposer une couverture du risque. S’il y a échec à cause notamment des conditions météo, c’est l’agriculteur et lui seul qui en assumera les conséquences économiques. Dans les propositions de M. Potier, une réflexion va être menée à ce propos. Et c’est tant mieux ! De même, face à cet engagement des agriculteurs il faudra bien également une revalorisation commerciale de nos productions et surtout qu’elles ne soient pas mises en concurrence avec des produits importés dont on ignore tout sur les pratiques de production. Alors, nous le disons et le redisons : d’accord pour un engagement des agriculteurs, mais pas à n’importe quel prix ! 10 Dossier Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 L’agriculture chahutée ? Régime des plantations et assurance climat VITICULTURE Dans le secteur vitivinicole, deux grands chantiers devront être menés à bien durant l’année qui vient : la mise sur les rails du nouveau régime de plantations de vignes, qui devra être prêt pour le 1er janvier 2016, et la mise au point d’un régime assurantiel permettant de parer aux coups durs climatiques. PROSPECTIVE 2015 pour les activités agricoles sera un millésime d’incertitudes. L’activité laitière sera marquée sans doute par des baisses de prix mais la répercussion sur le revenu n’est pas inéluctable si la filière joue la solidarité. La production de viande ne sera pas forcément en berne si les promesses de l’exportation se confirment. Quant aux grandes cultures, les producteurs font preuve de volontarisme. Chaque secteur, le vin en particulier, espère compter sur les outils nouveaux de l’assurance. Assurément 2015 sera chahutée. Ce qui n’est pas forcément négatif. L’ é c o n o m i e d e s s e c t e u r s de production animale est aujourd’hui dominée par «l’instabilité» alors qu’elle fut «longtemps marquée d’une certaine stabilité». C’est le constat récent que dressent les Chambres d’agriculture. Difficile, voire impossible, estiment-elles, de savoir «si les bons résultats d’un secteur en 2014 dureront dans les années suivantes». Le secteur laitier est un bon exemple de cette incertitude croissante. Fin des quotas laitiers Les éleveurs laitiers voient s’ouvrir devant eux une période d’incertitude avec la sortie des quotas en avril 2015. Les premières secousses sont arrivées dès la fin de l’été. Le prix mondial du lait, qui connaissait une embellie depuis plus d’un an, s’est retourné sous l’effet d’une offre abondante des bassins exportateurs. Les conséquences sur le prix payé aux producteurs, lissé sur trois mois, ne se feront ressentir que début janvier. «On parle d’une baisse de 10 % sur le premier trimestre 2015», s’inquiète Thierry Roquefeuil, président de la Fédération nationale des producteurs de lait (FNPL). La chute des cours mondiaux, proche des plus bas niveaux connus depuis cinq ans, arrive à un moment charnière pour les éleveurs laitiers européens : le passage d’une gestion du marché par les quotas à une gestion par les contrats. La FNPL estime que les éleveurs français Le temps d’une image Selon le ministère de l’Agriculture la production française 2014 de vin s’établit à 46,5 millions d’hectolitres. En hausse de 10 % par rapport aux récoltes historiquement faibles de 2012 et 2013, elle est de 2 % supérieure à la moyenne quinquennale 2009-2013, qui est de 45,6 millions d’hectolitres. L’année a été marquée par la réédition d’orages de grêle. La grêle a touché le Médoc, le vignoble de Beaune, de l’Aude et de l’Hérault. En 2014, les cours des vins se sont situés à des niveaux supérieurs à ceux des années passées en raison de faibles disponibilités. Toutes les productions seront concernées par les nouvelles mesures décidées par le gouvernement et devront composer avec les fluctuations des marchés mondiaux. ont rempli leur part du contrat fin 2014, en ralentissant leur production, «les volumes que nous n’avons pas produits ont bénéficié aux industriels. Nous avons fait un effort, et il doit payer en 2015 quand la situation sera difficile pour nous. Sinon, la contractualisation n’a pas d’intérêt», estime Thierry Roquefeuil. Viande bovine En 2015, la filière va s’atteler à deux chantiers : la qualité de la viande et l’ouverture de nouveaux marchés à l’export. Le chantier de la qualité a connu une première étape, le 13 décembre, avec la mise en place d’une nouvelle dénomination des morceaux de viande dans les rayons libreservice des grandes surfaces. Le chantier se poursuivra durant l’année avec l’objectif partagé par la filière d’améliorer le rapport qualité/prix de la viande fraîche vendue en pièces. Les éleveurs demandent aux industriels de mieux valoriser leurs animaux, au travers de procédés, selon eux, trop peu utilisés, comme la maturation des carcasses. Des propositions qui visent à relancer la consommation de viande bovine sur le marché intérieur. L’autre chantier de la filière bovin viande, c’est l’export. Vers la Chine ou les marchés turc et algérien pour les broutards. Grandes cultures Pour les grandes cultures, 2014 reste marqué par la poursuite du décrochage des cours du grain et un revenu en berne. Un objectif pour les prochains mois est que les producteurs de céréales et d’oléoprotéagineux soient mieux à même de gérer les risques auxquels les exposent la volatilité des marchés et l’ampleur accrue des incidents climatiques. S’y atteler, c’est anticiper la prochaine réforme de la PAC. L’adaptation du régime fiscal de Déduction pour aléas (DPA), dans le cadre du projet de loi de finances pour 2015, est vue d’un bon œil même si elle reste insuffisante. L’Association des producteurs de blé tourne son regard vers le projet de contrat-socle. Le syndicat pose ses conditions : «s’agissant de l’assurance aléas climatiques, le producteur doit être couvert au même prix qu’aujourd’hui qui, pour la rendre «la plus efficiente» et «incitative», rejette l’idée d’un dispositif obligatoire». Outils d’aide à la décision Les céréaliers attendent beaucoup des outils d’aide à la décision (OAD) pour répondre aux normes environnementales. D’autres sujets réglementaires continueront de marquer l’actualité du secteur. L’interprofession céréalière cherche à faire étendre son accord augmentant la CVO (cotisation volontaire obligatoire) producteur et instaurant une CVO collecteur. Des éclaircissements sont par ailleurs attendus de la part du ministère de l’Agriculture sur le verdissement de la PAC. Focus AGRICULTURE BIOLOGIQUE > L’année 2015 sera une année de transition pour les filières bio. La viticulture devra trouver un équilibre entre conquête des marchés et régulation. La filière vitivinicole se donne à peine six mois pour trouver collectivement les règles qui permettront d’encadrer les plantations de vignes sans indications géographiques (SiG). Dès janvier, le conseil spécialisé «vin» de FranceAgrimer aura à son ordre du jour la discussion des critères permettant de réguler les plantations pour qu’elles ne soient pas anarchiques. Un équilibre devra être trouvé entre la nécessaire conquête des nouveaux marchés qui émergent un peu partout dans le monde, et la régulation des plantations : «Nous devons avoir un régime qui permette de conquérir de nouvelles parts de marché et d’éviter une dérégulation qui entraînerait une surproduction que nous ne souhaitons pas», a résumé fin décembre Jérôme Despey, président du conseil «vin» de FranceAgrimer. Eligibilité et priorité En 2015, pour la première fois il reviendra aux conseils régionaux de définir les régimes d’aides à la bio. Plus précisément, ce sont les aides au maintien à l’agriculture biologique (mab) qui préoccupent les professionnels agricoles. En Aquitaine, l’aide au maintien sera ouverte pour tous mais avec une priorité d’affectation aux exploitations 100 % bio et aux nouveaux installés comme demandé unanimement par la profession, et non uniquement ceux qui sortent de conversion comme c’est le cas dans beaucoup de régions. Le conseil régional a fixé un plafond annuel de 7 500 euros d’aide révisable à la hausse en 2016 si l’enveloppe n’est pas consommée. Dans tous les cas, les négociations des plans de développement rural et hexagonal qui sont en cours dans toutes les Régions, seront «cruciales pour l’avenir». Par ailleurs, la fin des quotas laitiers en 2015 pourrait avoir des conséquences sur la filière laitière bio aussi concernée par la libéralisation du marché. Dossier à suivre… Pour la filière bio, 2014 a affiché un bilan positif avec un marché en croissance d’environ 10 %. Autre bilan positif le début du plan Ambition bio 2017. 2014 a été la première année de sa mise en œuvre, en Aquitaine, l’animation régionale du plan a été confiée à Arbio. Le Fonds avenir bio pour la structuration des filières a même obtenu une rallonge pour atteindre 4 millions d’euros par an. Enfin, le troisième «évènement» marquant de l’année est la régionalisation des enveloppes du second pilier de la Politique agricole commune. Les régions ont d’ores et déjà engagé les discussions pour la répartition du Feader (Fonds européen agricole pour le développement rural) qui est censé être utilisé en partie pour les aides au développement de L’ a c te d é l é g u é , d é c i d é e n décembre, fixe le cadre de deux critères essentiels pour le futur régime d’autorisations de plantations : le critère d’éligibilité et le critère de priorité pour planter. Le conseil viticole de FranceAgrimer de janvier cherchera à remplir ce cadre. Le critère d’éligibilité aura pour fonction de contenir le risque de détournement de notoriété des appellations et des IGP (indications géographiques protégées) par des vignes sans indication d’origine. Le critère de priorité concernera notamment les jeunes qui s’installent, la profession étant préoccupée par le renouvellement des générations. Des règles simples et lisibles La définition de ces critères doit être prête au printemps prochain, souhaite le président du conseil spécialisé de FranceAgrimer. Maintenant, comment réguler sans ajouter de la règlementation ? Le négoce souhaite un système de règles simple et lisible, les vignerons aussi : «Fixons les critères maintenant. Si l’on constate trop de trous dans la raquette, il sera toujours temps de rajouter des règles», préconise la CNAOC (confédération nationale des appellations viticoles). Tripler la surface de vignes assurées La répétition des orages de grêle ces dernières années donne un coup d’accélérateur aux projets d’une assurance coups durs pour la viticulture. Il faudra qu’en 2015 les assureurs, les professionnels viticoles et l’état à travers le ministère de l’Agriculture mettent en place un contrat socle d’assurance contre les aléas climatiques, selon Jérôme Despey. L’objectif de la filière à moyen terme est de tripler la surface d’hectares de vignes assurés. Pour l’instant, en France, sur les 800 000 hectares de vignes, 100 000 sont assurées contre les aléas climatiques. Relance à l’export Concernant le marché du vin, le prix des vins d’appellation est orienté à la baisse sur les derniers mois selon Agreste, la publication statistique du ministère de l’Agriculture. L’exportation, qui a fléchi pourrait être relancée d’autant plus qu’au niveau mondial, selon l’organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), la production 2014 baisserait de 6 % sur un an. Pour l’instant, en France, sur les 800 000 hectares de vignes, 100 000 sont assurées contre les aléas climatiques. 12 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Technique Coopératives Univitis et de Flaujagues : fusion adoptée REGROUPEMENT Le mariage des caves coopératives d’Univitis et de Flaujagues vient d’être entériné par leurs assemblées générales. L’entité fusionnée, avec effet rétroactif au 1er septembre 2014, conservera le nom «Univitis». C’est avec une majorité écrasante que les adhérents des caves coopératives d’Univitis et de Flaujagues ont validé le traité de fusion scellant le rapprochement des deux structures. L’entité fusionnée, avec effet rétroactif au 1 er septembre 2014, conservera le nom «Univitis» et gardera son siège social sur la commune des Lèves-et-Thoumeyragues. entités en une seule» confie à Proximité, raison et complémentarité Entre–deux- Mers et Bergerac Les travaux de rapprochement menés en amont par les deux conseils d’administration, comme par les salariés viennent de trouver leur point d’accomplissement : la fusion a été entérinée par les assemblées générales de chacune des deux coopératives. Le mariage issu de cette fusion répond à une logique de proximité, de complémentarité, et de raison. «En 2014, nos vendanges se feront sous l’égide d’une grosse cave coopérative voisine» affirmait au printemps dernier Philippe Palezis, le nouveau président de la coopérative de Juillac-Flaujagues. Il s’agit alors de replacer la cave et ses adhérents dans une perspective à long terme. Pour les aider dans cette réflexion, Coop de France Aquitaine a été mandatée pour réaliser un audit des structures. 110 000 hectolitres de produc- son tour Pascal Nerbesson, le président d’Univitis. 230 adhérents Aujourd’hui, la nouvelle entité Univitis compte 230 adhérents et 74 salariés pour 2 050 hectares de vignobles en Appellation Bordeaux, avec un total de plus de tion et un chiffre d’affaires de 24 millions d’euros, réalisé à 48 % sur les marchés export. Les deux coopératives réunies ont également trois magaPascal Nerbesson, président d’Univitis et Philippe Palezis, président de la coopérative de Juillac-Flaujagues. sins de vente aux particuliers, Après ces travaux d’expertise, c’est vers Univitis que la cave de Juillac/Flaujagues a choisi de se rapprocher. «Cet audit a apporté tous les éléments nécessaires pour un choix éclairé, validé sur le terrain par des rencontres et des discussions» souligne Philippe Palezis. quatre sites de vinification, un Unanimes Dès le mois de mai, c’est à l’unanimité que les conseils d’administration de Juillac/ Flaujagues d’abord, et d’Univitis ensuite, ont décidé d’engager les démarches qui les conduiraient à proposer à leurs adhérents d’unir leurs destins. «Ces décisions précoces ont aussi permis à la coopérative de Juillac-Flaujagues de préparer sereinement la récolte 2014. En effet, grâce à sa branche service, les équipes d’Univitis ont pu travailler en collaboration avec celle de Flaujagues pour emboiter les pièces du puzzle. L’objectif était de faciliter la fusion définitive des deux site de réception de vendange. Et aussi Produits laitiers : les cours mondiaux se stabilisent depuis octobre sur le Global Dairy Trade Après avoir connu une chute continue depuis onze mois, les cours des produits laitiers se stabilisent depuis octobre, sur la plateforme d’enchères néo-zélandaise Global Dairy Trade (GBT), qui fixe les tendances du marché mondial. L’indice GBT qui compile les cours des principaux produits laitiers échangés sur la plateforme (poudre de lait, beurre, lactose...) a même augmenté de 3,6 %, entre le 16 décembre 2014 et le 6 janvier 2015. Les cours se situent néanmoins à un niveau très faible par rapport à l’année passée. L’indice a baissé de presque moitié, entre le 4 janvier 2014 et le 6 janvier 2015, de 1 455 à 784 points. Lors de la crise laitière de 2009, il avait atteint son plus bas niveau à 573 points. 2014 s’achève sur une baisse générale des cours des grandes cultures La plupart des cours des grandes cultures s’affichaient en baisse dans ces derniers jours de 2014. A Chicago les prix du blé et du maïs ont baissé le 30 décembre alors que les inquiétudes sur les conditions météorologiques aux Etats-Unis se calmaient quelque peu. Un phénomène qui tempère les facteurs de hausse résultant de la prochaine taxation des exportations de blé russe. Les cours du soja ont eux aussi baissé, de façon plus limitée, selon un analyste américain, par en raison de «l’idée que la Chine pourrait prochainement faire appel à plus de livraisons américaines». Cependant, les bonnes récoltes sud-américaines constituent un facteur de baisse des prix. En Europe, les cours du colza, après avoir sensiblement augmenté, baissaient à nouveau dans les derniers jours en raison de la réduction des prix du pétrole. 13 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Économie Des candidats pour les MPP COMMERCE Cette année, 21 communes girondines accueilleront plus de 50 Marchés des Producteurs de Pays. Pour répondre à la demande des 25 000 visiteurs, un appel est lancé aux producteurs fermiers du département. villages et le plus souvent en nocturne. Pour chacune des éditions dix à quinze producteurs sont aux manettes et proposent leurs produits soit dans des assiettes à consommer sur place- avec l’ambiance et la convivialité qui va avecsoit en produits à emporter. Avec à chaque fois une animation musicale propre à chaque marché. La liste n’est pas close Cela fait maintenant 12 ans que la Chambre d’agriculture avec le soutien du conseil général organise les Marchés de Producteurs de Pays. Ainsi, entre mai et septembre, des municipalités girondines accueillent les Marchés de Producteurs de Pays. L’an passé, plus de 25 000 visiteurs ont répondu présents à ces rendez-vous qui mettent en relation directe des producteurs et des consommateurs en quête d’authenticité et de convivialité. Cette année, plus de quarante cinq Marchés de Producteurs de Pays vont être organisés en partenariat avec 21 municipalités girondines : Audenge, Arès, Biganos, Hourtin, Le Pian-Médoc, Lesparre-Médoc, Ludon-Médoc, Macau, SaintLaurent-Médoc, Parempuyre, Saint-Sauveur-Médoc, SainteFoy-la-Grande, Saint-Emilion, Bouliac, Eysines, Cadillac, SaintMacaire, Gironde-sur-Dropt, Le Tuzan et Salles. Que des producteurs Marque nationale - propriété de l’APCA (Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture) - Marchés des Producteur s de Pays est composée exclusivement de producteurs. Ces marchés sont une vitrine des savoir-faire des terroirs. Trente-sept départements français adhérent à la démarche soit plus de 2 600 marchés organisés tout au long de l’année. La marque Marché des Producteurs de Pays s’appuie sur un logo parfaitement reconnaissable et qui atteste la singularité de ces marchés. Le concept en Gironde En Gironde, les Marchés de Producteurs de Pays sont organisés durant tout l’été en plein air au cœur des villes ou des Pour les agriculteurs, participer aux Marchés de Producteurs de Pays est un excellent moyen de valoriser ses produits, d’obtenir un nouveau débouché commercial et aussi de profiter d’une force de communication et du dynamisme d’un réseau. A ce propos, Dorianne Marière, productrice de lait et de fromages à Taillecavat témoigne : «Les Marchés des Producteurs de Pays permettent de faire déguster nos produits et exposer notre savoir-faire. Les marchés se déroulent toujours dans une ambiance festive qui réunissent toutes les générations et invitent les touristes à nous rencontrer. Marchés des Producteurs de Pays est un réseau dynamique qui, au travers de ses nombreux outils de communication nous permet d’être bien représenté sur le département». Aujourd’hui, 110 producteurs girondins adhérent à la marque. Ils sont ostréiculteurs, pêcheurs, maraichers, producteurs de produits carnés, de produits laitiers, viticulteurs… Afin d’offrir une plus grande variété de produits sur les marchés et pour constituer les nouveaux marchés, les productions telles que les fruits, légumes, les produits carnés, les miels et autres productions agricoles locales- la liste n’est pas limitative - seront les bienvenues. Pour en savoir plus sur la démarche et les modalités de participation contacter le service promotion-agritourisme de la Chambre d’agriculture. Contact Amélie Frias, Chambre d’agriculture de la Gironde, service Promotion-agritourisme, tél. 05 24 44 91 81, [email protected] EXPALLIANCE AU JAPON > EXPORT Depuis 16 mois, les éleveurs adhérents d’Expalliance exportent des veaux sous la mère à Tokyo. Depuis septembre 2013, Expalliance expor te des veaux fermiers élevés sous la mère label vers le pays du soleil levant, à partir de l’abattoir du Bazadais et en collaboration avec la société d’exportation Gericot. Toutes les semaines, 2 veaux sont expédiés vers les restaurants étoilés de Tokyo. L’abattage se déroule le vendredi, découpe le lundi matin, expédition vers Roissy le lundi après-midi et arrivée à Tokyo par le vol du mercredi. Pour conforter ce débouché et ouvrir de nouveaux marchés, François Pallavidino, directeur d’Expalliance s’est rendu au Japon ce mois de novembre. La gastronomie et les produits français bénéficient d’une grande image de marque au Japon. Il s’agissait d’abord de rencontrer les clients actuels pour bien connaitre leurs exigences. Ces clients sont unanimes à reconnaitre la qualité de nos produits. Pour attirer de nouveaux restaurateurs, une journée de promotion a été organisée pour faire connaître ce «veau sous la mère» à de nouveaux cuisiniers et critiques gastronomiques. L’accueil a été enthousiaste et doit permettre d’accroître les exportations. Marché en progression L’autre grand projet pour 2015 est d’exporter de la viande de bœuf (génisses ou bœufs de moins de 30 mois). Les premiers contacts sont déjà avancés et une délégation japonaise est venue fin novembre à Bazas et en Lot-et-Garonne pour faire avancer ce dossier. Au programme : visite des installations, examen approfondi des carcasses de veaux et de bœufs, découverte de l’élevage de la famille Dionis Benoît à Gajac et visite de la boucherie Serge Laurans à Meilhan (filiale du groupe Terres du Sud) suivi d’un repas sur place pour découvrir les qualités des produits. Au menu, tête de veau, ventre de veau et grillades de veaux et de bœufs qui ont été particulièrement appréciés. Des visites prometteuses pour les éleveurs, la coopérative et l’abattoir de Bazas et une belle reconnaissance du savoir faire des éleveurs adhérents à Expalliance, du dynamisme et de la compétence de la coopérative Expalliance et de la qualité du travail réalisé par l’abattoir du bazadais. 14 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Société Un contrat pour la filière bois, secteur d’avenir FORÊT Troisième pays forestier d’Europe, la France importe pourtant de façon massive des produits finis à base de bois, sans bénéficier de la valeur ajoutée de la transformation. Pour développer ce secteur stratégique, un «contrat de filière» a été mis en place le 16 décembre par le Gouvernement. Avec 16 millions d’hectares en métropole et 18 millions Outre-Mer, le potentiel forestier français est élevé, mais mal exploité en raison d’une faible structuration de la filière. aux besoins de la deuxième transformation (standardisation des sciages, développement de la contractualisation). Insuffisant Déficit commercial Entre 2001 et 2008, la valeur ajoutée du secteur forestier et de la transformation du bois est ainsi passée de 20,4 milliards d’euros à 15,2 milliards d’euros. Le nombre d’emplois y a également chuté de 343 400 équivalents temps plein à 254 000 (statistiques Agreste, 2013). Pourtant, la demande en bois est en pleine croissance. «L’enjeu de la filière, c’est de rétablir un système qui permette de réaliser la transformation du bois sur le territoire national», a expliqué Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie lors du lancement du «contrat de filière» pour la filière bois qu’elle a signé le 16 décembre avec le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll, le ministre de l’Economie Emmanuel Macron, L’effort budgétaire n’a pas été jugé suffisant pour la Fédération nationale du bois qui a refusé de signer le contrat. et le président de l’Association des régions de France, Alain Rousset. Aujourd’hui, la France exporte son bois et importe massivement du bois transformé, portant le déficit commercial des échanges extérieurs à plus de 5 milliards d’euros. Consolider une filière d’avenir Face à ce constat, le gouvernement a initié un Plan national d’action pour l’avenir des industries de la filière bois, et un Plan de la nouvelle France industrielle «Industries du bois». Un Comité stratégique de filière Le temps d’une image bois (CSF bois) a également été mis en place en mars 2014, rassemblant les professionnels de la forêt (publique et privée), les transformateurs, et les ministres de l’Agriculture, l’Ecologie et l’Economie. Le contrat de filière est issu de ses réflexions. La filière se dote ainsi d’une stratégie pour mieux valoriser la ressource forestière, en favorisant l’utilisation des bois issus de forêts françaises via la structuration du segment industriel, la promotion des qualités intrinsèques du bois et des emplois de la filière, ou encore l’adaptation de l’offre de la première transformation Grâce au fonds chaleur, au fonds bois et aux aides du FEADER mobilisables par les régions, l’appui à la filière s’élève à près de 70 millions d’euros en 2015, précise Stéphane Le Foll. Si l’ambition est d’atteindre 90 millions d’euros en 2016, cet effort budgétaire n’a pas été jugé suffisant pour la Fédération nationale du bois qui a refusé de signer le contrat. L’enjeu économique et environnemental fort qui entoure le secteur en fait une filière d’avenir, créatrice d’emploi, notamment grâce à la transition énergétique (bâtiment, énergie…). La Loi d’avenir pour l’agriculture avait d’ailleurs intégré la problématique en créant un programme national de la forêt et du bois pour une gestion durable de la forêt. Un travail de valorisation de la biomasse des futées et taillis issues de la déprise agricole reste à faire, note Stéphane Le Foll en soulignant l’importance de «territorialiser», à travers l’implication des régions qui fait partie intégrante du contrat de filière. Ce dernier doit être soumis pour avis au Conseil supérieur de la forêt et du bois. Et aussi Vers un rebond de la consommation française de viande par habitant en 2014 Les ménages de France métropolitaine continuent de réaliser 72 % de leurs achats alimentaires dans les grandes surfaces, contre 15 % dans les commerces de détail spécialisés (boulangeries, boucheries…). Le recours au hard discount, en forte augmentation entre 2001 et 2006, concerne essentiellement les ménages les plus modestes qui y réalisent 18,5 % de leurs dépenses. Les plus aisés achètent davantage que la moyenne dans les commerces de détail spécialisés (23 % de leurs achats en 2011), sur les marchés ou directement auprès des producteurs (8,5 %). Les habitants des grandes villes privilégient les commerces proches de leur domicile, tandis que les ruraux souffrent d’une offre locale réduite : représentant deux tiers des communes de métropole, les communes rurales ne représentent qu’un cinquième des points de vente d’alimentation sur le territoire. Orientée à la baisse depuis plus de 20 ans, la consommation française de viande par habitant rebondirait en 2014, estime le ministère de l’agriculture dans une note de conjoncture parue le 18 décembre. Elle devrait progresser de 0,9% à 88,9 kg/an, après trois années de baisse continue, sous l’effet de la hausse de la consommation de poulet (26,2 kg/hab/an) et de porc (32,7 kg/hab/an). Depuis 1993, elle baisse en moyenne de 0,9% par an. Sont en revanche annoncées à la baisse, les consommations de viande de dinde (4,4kg/hab/an) et de viande bovine (23,9kg/hab/an). La consommation à domicile, évaluée par le panel Kantar, devrait baisser en 2014. 15 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Publicité Bonne Année INNOVATION ACCOMPAGNEMENT CONFIANCE ACCOMPAGNEMENT PROXIMITÉ RESPONSABILITÉ ENVIRONNEMENT SIMPLICITÉ UTILITÉ CONFIANCE INNOVATION RESPONSABILITÉ TERRITOIRE UTILITÉ EXPERTISE ACCOMPAGNEMENT CONFIANCE SIMPLICITÉ PROXIMITÉ ENVIRONNEMENT TERRITOIRE RESPONSABILITÉ UTILITÉ ACCOMPAGNEMENT INNOVATION UTILITÉ ENVIRONNEMENT RESPONSABILITÉ SIMPLICITÉ CONFIANCE TERRITOIRE TERRITOIRE INNOVATION UTILITÉ SIMPLICITÉ EXPERTISE UTILITÉ CONFIANCE UTILITÉ SIMPLICITÉ ENVIRONNEMENT UTILITÉ SIMPLICITÉ CONFIANCE PROXIMITÉ ENVIRONNEMENT INNOVATION PROXIMITÉ ACCOMPAGNEMENT EXPERTISE CONFIANCE PROXIMITÉ CONFIANCE ACCOMPAGNEMENT SIMPLICITÉ CONFIANCE PROXIMITÉ CONFIANCE ENVIRONNEMENT ACCOMPAGNEMENT PROXIMITÉ ENVIRONNEMENT INNOVATION UTILITÉ TERRITOIRE UTILITÉ SIMPLICITÉ CONFIANCE PROXIMITÉ UTILITÉ SIMPLICITÉ RESPONSABILITÉ INNOVATION ACCOMPAGNEMENT TERRITOIRE RESPONSABILITÉ UTILITÉ INNOVATION CONFIANCE PROXIMITÉ ENVIRONNEMENT ACCOMPAGNEMENT SIMPLICITÉ UTILITÉ ENVIRONNEMENT UTILITÉ SIMPLICITÉ TERRITOIRE ENVIRONNEMENT SIMPLICITÉ SIMPLICITÉ TERRITOIRE SIMPLICITÉ CONFIANCE PROXIMITÉ CONFIANCE TERRITOIRE RESPONSABILITÉ ENVIRONNEMENT ACCOMPAGNEMENT EXPERTISE SIMPLICITÉ ENVIRONNEMENT RESPONSABILITÉ INNOVATION RESPONSABILITÉ INNOVATION INNOVATION UTILITÉ ACCOMPAGNEMENT RESPONSABILITÉ CONFIANCE EXPERTISE INNOVATION CONFIANCE UTILITÉ SIMPLICITÉ PROXIMITÉ TERRITOIRE UTILITÉ INNOVATION UTILITÉ EXPERTISE ENVIRONNEMENT UTILITÉ TERRITOIRE ACCOMPAGNEMENT RESPONSABILITÉ UTILITÉ INNOVATION EXPERTISE UTILITÉ SIMPLICITÉ CONFIANCE PROXIMITÉ PROXIMITÉ UTILITÉ ACCOMPAGNEMENT CONFIANCE TERRITOIRE SIMPLICITÉ RESPONSABILITÉ INNOVATION PROXIMITÉ ENVIRONNEMENT ACCOMPAGNEMENT EXPERTISE SIMPLICITÉ ENVIRONNEMENT TERRITOIRE INNOVATION RESPONSABILITÉ ENVIRONNEMENT UTILITÉ CONFIANCE PROXIMITÉ EXPERTISE ACCOMPAGNEMENT RESPONSABILITÉ TERRITOIRE SIMPLICITÉ INNOVATION UTILITÉ EXPERTISE ACCOMPAGNEMENT ENVIRONNEMENT ACCOMPAGNEMENT CONFIANCE EXPERTISE RESPONSABILITÉ INNOVATION UTILITÉ PROXIMITÉ SIMPLICITÉ EXPERTISE UTILITÉ ENVIRONNEMENT ENVIRONNEMENT CONFIANCE ACCOMPAGNEMENT TERRITOIRE SIMPLICITÉ SIMPLICITÉ UTILITÉ SIMPLICITÉ ACCOMPAGNEMENT INNOVATION CONFIANCE PROXIMITÉ RESPONSABILITÉ INNOVATION EXPERTISE SIMPLICITÉ PROXIMITÉ CONFIANCE INNOVATION TERRITOIRE UTILITÉ ENVIRONNEMENT TERRITOIRE ENVIRONNEMENT PROXIMITÉ CONFIANCE RESPONSABILITÉ ACCOMPAGNEMENT ACCOMPAGNEMENT UTILITÉ SIMPLICITÉ TERRITOIRE RESPONSABILITÉ Caisse Régionale de Crédit Agricole Mutuel d’Aquitaine. Société coopérative à capital variable, agréée en tant qu’établissement de crédit. Société de courtage d’assurances immatriculée au registre des intermédiaires en Assurance sous le n° 07 022 491. 304, bd du Président Wilson - CS 41272 - 33076 Bordeaux Cedex. RCS Bordeaux 434 651 246. 16 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Société L’accessibilité : quelles actions et échéances ? LÉGISLATION La loi du 11 février 2005 avait fixé l’échéance du 1er janvier 2015 pour la mise aux normes des Établissements Recevant du Public (ERP). Des mesures adoptées par le Gouvernement fin 2014 sont venues donner de la flexibilité aux propriétaires d’ERP. Des agendas d’accessibilité programmée (Ad’AP) ont vu le jour. les locations de salles, et les fermes équestres. Les chambres d’hôtes et les gîtes ayant une capacité d’accueil jusqu’à 15 personnes maximum ne sont pas concernés par cette loi. 1er janvier 2015, les cas de figure Les entreprises agricoles qui reçoivent du public sont concernées par cette mise en accessibilité. Pour rappel, la loi du 11 février 2005 avait fixé les bases de la mise aux normes des ERP de toutes catégories. Pour cela, elle s’appuie sur une définition large du handicap : elle inclut les handicaps moteur, visuel, auditif et mental. L’esprit de la réglementation est de supprimer le plus grand nombre possible d’obstacles au déplacement et à l’usage des bâtiments pour conserver l’autonomie aux personnes en situation de handicap. Quid des entreprises agricoles ? Les entreprises agricoles qui reçoivent du public relèvent de la 5ème catégorie des ERP. Elles étaient et sont donc toujours concernées par cette mise en accessibilité. Concrètement, les locaux concernés par cette nouvelle loi sont : les salles dévolues à la dégustation, à la vente, les chais ouverts à la visite, les gîtes d’étapes ou de séjour, les fermes auberge, les fermes pédagogiques, Afin de laisser la chance à un maximum de structures de se mettre aux normes, l’ordonnance du 26 septembre 2014 a mis en place des agendas d’accessibilité programmée. L’Ad’AP correspond à un engagement de réaliser des travaux dans un délai de 3 ans, de les financer et de respecter les règles d’accessibilité. Aujourd’hui, plusieurs cas sont possibles au 1er janvier 2015 : - si l’établissement est déjà aux normes, il faut transmettre en préfecture une attestation sur l’honneur garantissant la conformité de l’établissement avant le 1er mars 2015 pour les ERP accessibles au 31 décembre 2014 (y compris par dérogation) ; - si l’établissement n’est pas aux normes, il faut déposer un Ad’AP avant le 27 septembre contenant le dossier de travaux et/ou la demande de dérogation auprès de votre mairie. A la fin des travaux, il faut transmettre une attestation sur l’honneur en préfecture et en mairie ; - si au 1er octobre 2015 rien n’a été fait, les sanctions pénales prévues par la loi de 2005 pouvant aller jusqu’à 45 000 euros et six mois d’emprisonnement en cas de récidive sont applicables. Dérogations possibles Comme existantes avant la mise en place des Ad’AP, des dérogations à la mise en accessibilité sont possibles dans trois cas de figure : - d isproportion du coût des travaux intérieurs pour la mise en place d’une rampe, d’un monte-personne, démolition de murs porteurs, etc ; - préservation d’un patrimoine architectural reconnu ; - disproportion manifeste entre la mise en accessibilité et ses conséquences pour l’activité de l’établissement. Ainsi, la mise en conformité pourra être disproportionnée si elle implique le déménagement ou la fermeture de l’établissement ou bien encore une réduction trop importante de la surface de vente. Ces dérogations sont attribuées après avis de la sous-commission consultative départementale d’accessibilité. A noter que les demandes de dérogations ne sont pas générales et devront nécessairement porter sur un ou plusieurs aspects techniques d’accessibilité. Elles doivent, bien entendu, être argumentées : devis de travaux directs et indirects, plans d’aménagement, budget financier, justifications des difficultés rencontrées, mesures de substitution proposées. La Chambre d’agriculture de la Gironde et le CAUE accompagnent les agriculteurs dans leur mise en conformité avec l’édition d’un guide gratuit disponible sur demande auprès du service PromotionAgritourisme. Toutes les explications sur les normes et les dérogations y sont données. Contact Marie-Hélène Arquey Chambre d’agriculture de la Gironde, service PromotionAgritourisme, tél. 05 24 44 91 80 MAÏS DUO SYSTEM® Une variété DUO System® est naturellement résistante à Stratos® Ultra. Elle permet l’utilisation d’un herbicide anti-graminées particulièrement efficace sur les graminées vivaces : Sorgho d’Alep et Chiendent. STOP GROUPE D AU CHIENDENT ET SORGHO D’ALEP DANS LE MAÏS GROUPE E www.ragt-semences.com RAGT Semences • Rue Emile Singla • 12000 Rodez RCS Rodez 431 899 756 • SAS au capital de 43 475 010 € FUTURIXX DUO BERGXXON DUO DIVIXX DUO CARMIDUO CADIXXIO DUO* ROXXANE DUO * Sous réserve d’inscription DUO : variétés sélectionnées résistantes au Stratos® Ultra, puissant anti-graminées. DUO System® et Stratos® Ultra sont des marques déposées de BASF ©2013 BASF SE. Tous droits réservés. Document :RAGT_DUO-D-E_H115xL240_AVA-33_S2.pdf;Format :(254.82 x 129.82 mm);Date :26. Dec 2014 - 11:06:12;Certifié OneVision par RAVERI 17 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Social Elections MSA : du 12 au 27 janvier, votez ! ELECTIONS Tous les 5 ans, vous avez la possibilité de voter pour celles et ceux qui représenteront vos intérêts au niveau local comme au niveau national. Si vous n’êtes pas encore convaincu, voici quatre bonnes raisons de donner votre vote. Vous devenez un acteur clé de l’organisation démocratique et représentative de la MSA En votant, vous désignez les délégués cantonaux qui se font l’écho des problématiques que vous rencontrez et de vos besoins : ils participent à l’Assemblée générale de votre caisse MSA et désignent les membres du conseil d’administration, qui procèdent ensuite à l’élection du président et du Vice-président de la MSA. Faites entendre votre voix en rejoignant les quelques 3 millions d’électeurs MSA. Vous défendez vos intérêts, et ceux de votre entourage, en votant pour la liste ou le candidat qui vous ressemble Voter pour la liste ou le candidat pour lequel vous avez le plus d’affinité, vous permet de faire entendre votre voix, mais aussi celle de vos proches : famille, amis… Interlocuteur privilégié, Vous devenez acteur de votre protection sociale Par votre vote, vous avez la possibilité d’agir pour votre protection sociale ! La récente création d’indemnités journalières maladie pour les exploitants agricoles et le développement d’actions de prévention santé au plus proche de vos besoins en sont la preuve. Cumul emploi retraite : les changements au 1er janvier 2015 > Le cumul-emploi retraite est un dispositif qui permet de continuer à travailler tout en percevant sa pension. Vous êtes retraité et vous souhaitez reprendre une activité, cumuler votre pension retraite avec les revenus d’une activité professionnelle. A partir du 1er janvier 2015, le dispositif «cumul-emploi-retraite» est toujours adapté à votre situation mais les règles changent et de nouvelles mesures prennent effet. Les nouvelles mesures Pour cumuler votre retraite avec une activité professionnelle à compter du 1er janvier 2015, le cumul emploi-retraite sera toujours possible, mais la nouvelle activité n’ouvrira pas de droits supplémentaires à la retraite, quel que soit le régime d’affiliation et quel que soit l’âge auquel vous avez bénéficié de vos retraites. Comment demander votre cumul emploi-retraite ? En cas de poursuite ou de reprise d’activité, vous devez fournir à votre MSA les éléments suivants : • les noms et adresses du ou des nouveaux employeurs ; • la date de la poursuite ou de la reprise d’activité ; • u ne déclaration sur l’honneur attestant que vous avez liquidé l’ensemble de vos pensions vieillesse et indiquant les régimes de retraite dont vous avez relevé. En savoir plus : www.msa33.fr rubrique Conseils, droits et démarches / Retraite/ Emploi et retraite votre délégué cantonal sera le lien entre vous et votre MSA. Plus qu’un droit, une chance Etant le seul régime de sécurité sociale à disposer d’un réseau d’élus bénévoles qui vous représentent sur tout le territoire, la MSA vous offre l’opportunité d’avoir une prise concrète dans la mise en œuvre de votre protection sociale et de donner de la voix en participant aux décisions qui vous concernent. Comment voter ? Chaque adhérent vote dans son canton pour un candidat ou une liste de candidats. Du 12 au 27 janvier 2015, vous pouvez voter : • par courrier postal en retournant le bulletin adressé par votre MSA • ou par internet via une plateforme de vote dédiée et sécurisée: www.jevoteenligne.com/msa2015 Vous souhaitez de plus amples informations ? Rendez-vous sur : www.electionsmsa2015.fr ou sur www.msa33.fr Grippe : vrai ou faux ? Aujourd’hui, on ne meurt plus de la grippe. FAUX. La grippe est une maladie virale qui peut être grave et parfois entraîner la mort. Au cours de l’hiver 2013-2014, l’Institut de veille sanitaire a recensé 86 décès et 631 cas graves en France entre novembre 2013 et début avril 2014*. * Source : Bulletin Hebdomadaire grippe InVS du 09/04/2014. La vaccination est la protection la plus efficace contre la grippe. VRAI. A ce jour, le moyen le plus sûr dont on dispose pour se protéger contre la grippe est la vaccination. Faites-vous vacciner et protégez-vous dès maintenant. En effet, après l’injection du vaccin, il faut plusieurs jours pour être protégé. Les risques de complications sont les mêmes pour tout le monde. FAUX. Même si la grippe peut toucher tout le monde, elle peut entraîner des complications sévères et plus fréquentes pour les 65 ans et plus, et les personnes fragiles. Il est donc primordial que ces personnes se protègent en se vaccinant. On doit se faire vacciner chaque année. VRAI. Le vaccin contre la grippe saisonnière doit être effectué et renouvelé tous les ans. En effet, les souches virales peuvent être différentes en fonction des années. Pour être efficace la composition du vaccin doit être adaptée à chaque fois. 18 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 MATERIEL > 24 Tract. Fendt312, 125 CV, 1990, 4 RM, avec chargeur Faucheux Prestige 150, B.E., 18 500 € nets. Csecess. Tél. 06.85.71.23.32. > 47 VDS faucheuse Stoll 5 assiettes, déchaumeur Razol Aremix 4,80m, lève sac Bruneau 1200kg, herse rotative Niemeyer, portacourt 4m Liderfarm, 3m Rabewerk gros packer, cover crop autoporteur JDB 24D (12x12) en V, Huard 28D (14x14) X et V Tél 06.82.26.46.72 > 47 VDS chisel Lely roc 5dts BE avec 2roues pour contrôle de profondeur Tél 05.53.41.66.06 > 47 VDS cse ces caméra surveillance agri vidéo system 2005, lot de barrières + 3 pans cornadis 6-8 Jourdain, faucheuse Kuh GMD 602 pend 2002 Tél 05.53.67.65.00 ou 06.87.82.27.49 > 47 VDS 4 pneus thermo-gomme, Michelin Alpin 195.65.15R roulé 300km 250euros + barre de guidage Isagri 360 état neuf 2800euros Tél 06.07.01.77.26 > 47 VDS rotalabour 1,50m BE, vibro 3,40m, cuve à fuel cylindrique 3000L BE, planteuse à betteraves 2rgs Tél 05.53.48.09.04 HR > 47 VDS jumelage attache rapide 4branches système GS, sodijantes, roues avant 440/65/28, roues arrière 540/65/38 Tél 06.37.92.82.75 > 47 VDS semoirs à disques Amazone D 8-30S 3m, à socs Nodet 340 SL 3m, Sulky 3m, Accord solo DL pneum repli 4m, Hassia Duas 400 23descentes 4m avec chariot, Nodet GC Max 33descentes 4m, Nodet GC 33descentes 4m, Roger XR 23descentes 4m, Tecnagri semi-direct 4m, combiné Kuhn, Accord traceurs pré et post levée 4m, Rau MDX 6rgs rétractable, distributeur engrais Sulky DPX (3), Kuhn (2), Amazone, Vicon, gyrobroyeur Unimonimo MK 50 1m60, broyeur Vigolo 2m50, rouleau cambridge Fomodis auto 6m10 Tél 06.82.26.46.72 > 47 VDS citerne à chaux 24T, compresseur diesel pour remplissage épandeur autoguidage électrique ag leader 2012 5000euros, essai possible Tél 06.72.38.80.63 ou 06.88.46.67.48 > 47 VDS compresseur de taille Campagnol 600L, récolteuse prune Semib, atomiseur Nicolas porté 600L trainé 1000L, porte paloxes 3pts Fiat C60 avec vibreur Tél 06.08.98.96.89 > 47 VDS vibroflex Kongskilde 3m, stripel Ebra 4m, vibrashank JD C10 E 5m50 repliable, bennes Brimont 8T (2), Decroix 9T, Leboulch 12T, 2 essieux autres modèle sur demande, camion Mercedes 609 avec sa semi Trouillet (permis E poids lourd déclassé) Tél 06.82.26.46.72 VEHICULES > 47 VDS Mercedes E200 élégance CDI 2002 bleu marine métal ext état CT OK zéro défaut ttes options clim ordi bord eps ABS crochet attelage 5500euros Tél 06.85.18.99.70 ACHAT > 47 RECHERCHE dérouleuse plastique ou paillage état indifférent prix raisonnable Tél 06.74.07.05.64 ou 05.53.23.84.56 > 47 RECHERCHE Nodet 2,55 entre roue mauvais état petit prix Tél 07.71.12.03.83 HR > 47 RECHERCHE MB Claas Consul Mercator Dominator 66 68 76 78 85 86 88 96 John Deere 952 955 965 975 1052 1055 1065 1075 1085 1166 1174 1177 1188 New Holland 1520 1530 1540 1545 8040 8050 8060 8070 MR 307 440 487 506 507 et presses MD et RB Tél 06.24.48.24.53 MARIAGE > 47 Dame 63 ans 1,72m sérieuse dans l’élevage bovins désire rencontrer M58/64ans NF agréable très motivé pour envisager vie à 2 à mon domicile sinon s’abstenir Ecrire La Voix de la Terre 9 bd Sylvain Dumon 47004 Agen Cedex Réf 410 DIVERS > 47 VDS GPS Tom Tom start 2014 80euros Tél 06.33.94.52.74 Petites annonces L’ADEFA Gironde recherche : > LE TAILLAN MEDOC - SECOND D'EXPLOITATION H/F - Ref : OMA206-33 Individuel - 4ha en BIO - Recherche : Second d'exploitation h/f Salaire proposé : A débattre selon profils et compétences Expérience impérative (autonomie) Formation agricole : Indifférent Exploitation maraichère Bio, recherche son second d'exploitation (H/F). Vous veillez à l’application des consignes en lien avec le responsable d’exploitation. Vous participez également à l’ensemble des travaux de l’entreprise. Expérience minimum de 2 ans en gestion d’équipe et en travaux de maraichage. Conditions : CDI temps plein > MONTUSSAN - AGENT TRACTORISTE EN VITICULTURE H/F - Ref : OVI4325-33 EARL/EURL - 40 hect - Recherche : Agent tractoriste en viticulture h/f Salaire proposé : Cat C de la convention collective agricole de la Gironde Expérience souhaitée (savoir-faire) Formation agricole : Indifférent Pour une exploitation viticole 50 hect, vous réaliserez l'ensemble des travaux viticoles et mécanisés tel que la taille et l'entretien du vignoble (en équipe) les travaux mécanisés (interligne, traitements, travaux du sol ...) et en chai. Vous agirez sous les directives quotidiennes de l'exploitant. Formation possible sur certaines compétences. Projet de faire évoluer ce poste en responsabilités et autonomie. Embauche immédiate - Local pour repas du midi. Conditions : CDI temps plein après période d’essai. > ST ANDRE ET APPELLES - CHEF D'EQUIPE H/F - Ref : OVI4299-33 Recherche : Chef d’équipe h/f Salaire : Cat F de la convention collective agricole de la Gironde Formation agricole : BTS, DUT, Bac + 2 Pour une propriété viticole proche de Ste Foy la Grande, 50 hect, vous réalisez le suivi d'une équipe de 2 permanents et de saisonniers, vous réalisez les travaux viticoles manuels et mécanisés : conduite interligne, rognages, traitements, machine à vendanger, entretien courant du matériel en concertation avec le propriétaire. Interventions ponctuelles en chai avec le maitre de chai. Conditions : CDI temps plein > AVENSAN - AGENT VITICOLE H/F - Ref : OVI4369-33 SA/SARL - 18ha - Recherche : Agent viticole h/f Salaire proposé : Rémunération selon profils et compétences Expérience souhaitée (savoir-faire) Formation agricole : BAC Une propriété viticole de 18ha à Avensan en agriculture biologique recherche ses agents viticoles (H/F) vous serez en charge des travaux suivants : toutes façons culturales de la vigne, travaux de chai (écoulages, ouillages et soutirages), travaux d’habillage de bouteilles, conditionnement et préparation commandes. Vous bénéficiez d'une expérience minimum d'un an ou vous possédez le niveau bac. Embauche prévue dès que possible, fermeture de la propriété du 24/12 au 05/01. 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N° appart. ou boîte à lettre - étage - escalier ou service - identité destinataire ..................................................................................................................................................................................................................................................... ..................................................................................................................................................................................................................................................... N° de voie ou hameau (ex. Avenue des fleurs) Forfait 4 lignes 10€ EN AQUITAINE Forfait 4 lignes 15€ ..................................................................................................................................................................................................................................................... Mention spéciale de distribution et n° (ex. BP-TSA-poste restante) ou lieu dit ..................................................................................................................................................................................................................................................... Code postal Ville ........................................................................................................................................................................................................................................... Tél. : .................................................................................................................... Port. : .......................................................................................................... Email : ..................................................................................................................................................................................................................................... VOTRE RÉGLEMENT : chèque à l’ordre de l’Avenir Agricole et Viticole Aquitain. 17, cours Xavier Arnozan 33082 Bordeaux Cedex Tél. 05 56 00 73 68 - Fax 05 56 52 47 24 E-mail: [email protected] Pour votre comptabilité, facture acquittée par retour de courrier. 19 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 Petites annonces FONCIER SAFER AQUITAINE ATLANTIQUE Publication effectuée en application des articles L. 141-1, L. 141-3 et R. 142-3 du Code rural > Ingénieur agronome œnologue cherche exploitation viticole avec ou sans maison d’habitation pour première installation ou association. Contact Frédéric Redon au 06.49.29.02.83. La SAFER AQUITAINE-ATLANTIQUE se propose, sans engagement de sa part, d’attribuer par rétrocession, échange ou substitution tout ou partie des biens désignés ci-après qu'elle possède ou qu’elle envisage d'acquérir à BEGADAN «La caussade» 70 a 75 ca ST CHRISTOPHE DES BARDES «Fombrauge» 9 a98 ca DOULEZON «A la gregoire» «Descot» 1 ha 15 a 10 ca ORDONNAC «La cabanette» «Le plantey» «Le plantey barrat» «Peymartinoel est» 3 ha 52 a 44 ca ST ETIENNE DE LISSE «Maurrens», «Niord» 7 ha 28 a 99 ca ST HIPPOLYTE «La Clote, Maurens» 8 ha 71 a 99 ca PRIGNAC EN MEDOC «Pres de laborde» 1 ha 79 a 55 ca LES ARTIGUES DE LUSSAC «Au grand trot» 1 ha 05 a 75 ca RIOCAUD «Bois de monrave» «La potence» 2 ha 39 a 17 ca BRAUD ET ST LOUIS «La maitarie des pauvres» «La métairie des pauvres» 1 ha 44 a 80 ca SAINT CHRISTOLY MEDOC «Les turcs» 68 a 35 ca SAINT PEY DE CASTETS «Au rondeau» «Belair» «Champ de micaire nord» «Cote de belair» «Moulin de belair nord» «Le gat» 8 ha 91 a 38 ca CAMPUGNAN «Bel air» «La comteau» «La maisonnette» «Les rivauderies» 1 ha 41 a 20 ca «La comteau» 39 a 35 ca «Comteau de bel air» 25 a 06 ca CARTELEGUE «Le jard de peyre» 28 a 16 ca «Le terrier binaud» 43 a 27 ca «Le terrier binaud» 17 a 05 ca «Le terrier binaud» 12 a 09 ca ANGLADE «Gombillon Est» 32 a 60 ca LUSSAC «Bellevue», «Bonnet», «Chambeau», «Gimbertrau», «Girard», «Tiffray ouest», «Près de Bonnet» 7 ha 16 a 30 ca «Le terrier binaud» 12 a 17 ca «Le terrier binaud» 18 a 03 ca «Le jard de peyre» 35 a 10 ca «Le jard de peyre» 13 a 23 ca «Le jard de peyre» 74 a 97 ca «Le jard de peyre» 19 a 12 ca «Le jard de peyre» 84 a 18 ca «Le terrier binaud» 70 a 21 ca «Pres de la font est» 12 a 82 ca «Les baissees de la comteau» 9 a 21 ca > A louer apt 3 à 4 personnes au cœur du Périgord Noir. Semaine ou week-end. Tarif basse saison : (15/09 au 15/07) 250 e€ Contact : 06.70.11.20.05 ou danisouq@ gmail.com EMPLOI CUBNEZAIS «La nauve sud» 6 a 02 ca > Ingénieur Agronome œnologue cherche poste de régisseur sur la région bordelaise. Contact : 06.49.29.02.83. ETAULIERS «La comteau sud ouest» 40 a 23 ca MONTAGNE «Le Champ de Ferrand» 43 a 89 ca VEHICULES ST GENES DE BLAYE «Au pey» «Caillet» «La salle est» «Segonzac» 1 ha 63 a 45 ca > VDS Auto électrique Tazzari Lithium 220V pour 180 km 1ère main 20 000 km double emploi 12500 e. Tél.05.57.51.44.54. ST SULPICE DE FALEYRENS «Coureau» 36 a 69 ca SAINT AIGNAN «Les tonnelles» 25 a 76 ca Les personnes intéressées devront manifester leurs candidatures par écrit AU PLUS TARD le 24 JANVIER 2015 au Bureau de la SAFER AQUITAINE ATLANTIQUE, LES BUREAUX DU LAC, 16 avenue de Chavailles - 33525 BRUGES Cédex, où tous compléments d’information peuvent être obtenus : Téléphone : 05 56 69 29 99 - Télécopie : 05 56 39 59 84. Cet avis ne saurait en aucun cas être considéré comme un engagement de la SAFER à l’égard des candidats. Ma voiture, je l’ai vendue grâce aux petites annonces de l’Avenir Aquitain Notre journal est également disponible dans nos locaux au 17 cours Xavier Arnozan 33082 Bordeaux. Recette BOEUF BOURGUIGNON À LA BORDELAISE Egouttez la viande. • Epluchez les oignons et réservez. • Dans une cocotte, en fonte de préférence, faites fondre le saindoux, faites-y dorer la viande puis les lardons et les AAPrA - Brunet oignons. • Lorsque le tout est bien doré, saupoudrez de farine et mélangez bien sans faire roussir. • Passez la marinade au chinois et versez-la sur la viande. • Salez, poivrez et ajoutez le bouquet garni. • Couvrir la cocotte et laissez mijoter pendant 1 h 30 sur feu doux. • Coupez le pied terreux des champignons et les faire étuver dans le beurre. • 150 g de poitrine fumée • 1 cuillère à soupe de saindoux ou graisse de canard • 1 cuillère à soupe de farine • 250 g de champignons de Paris • 20 g de beurre • 1 bouquet garni Nbre de personnes : 4 Préparation : 30 minutes (48h avant pour la marinade) Cuisson : 2 h INGRÉDIENTS Marinade : • 1,5 l de vin rouge (Bordeaux) • 2 oignons • 4 carottes • 2 branches de céleri • 3 gousses d’ail • 1 branche de thym • 2 clous de girofle • 10 grains de poivre concassés • Persil plat • 3 cuillères à soupe d’huile Daube : • 1,5 kg de paleron de boeuf blond d’Aquitaine • 12 pruneaux d’Agen avec noyau • 2 oignons • 1 verre d’armagnac PRÉPARATION 48 HEURES AVANT • Epluchez et émincez finement les légumes de la marinade. • Les faire rissoler dans l’huile à feu doux. Mouillez avec le vin et le vinaigre. • Ajoutez les aromates puis laissez frémir 30 minutes. Laissez refroidir • Coupez la viande en petits cubes et la mettre dans la marinade dans une grande terrine. Laissez reposer au frais 48 heures. La période de marinade améliore la recette mais reste facultative Le jour même : • Faites gonfler les pruneaux dans l’armagnac. UN AUTRE REGARD SUR L’ACTUALITÉ S’ABONNER POURQUOI ? Choisissez la formule qui vous convient Nom, Prénom ou raison sociale ......................................................................................................................................................................................... Journal l’Avenir Aquitain Tout simplement pour recevoir la bonne information au bon moment. Pour rester connecté avec ce qui se passe en Gironde. Parce que l’Avenir Aquitain est le journal agricole et viticole, il est pour vous un véritable outil de travail pratique et efficace. Avec détermination et conviction nous vous apportons, tous les 15 jours, toutes les informations qui vous sont utiles pour la bonne marche de vos exploitations. S’abonner c’est recevoir régulièrement des informations techniques, sociales, juridiques et fiscales, des dossiers des reportages et des témoignages, les annonces Safer et nos petites annonces matériel, foncier… ......................................................................................................................................................................................... N° appart. ou boîte à lettre - étage - escalier ou service - identité destinataire 1 AN ......................................................................................................................................................................................... 2 ANS ......................................................................................................................................................................................... N° de voie ou hameau (ex. Avenue des fleurs) ......................................................................................................................................................................................... 49€ Mention spéciale de distribution et n° (ex. BP-TSA-poste restante) ou lieu dit 84€ ......................................................................................................................................................................................... Code postal Ville ............................................................................................................................................................................... Tél. : ......................................................................... Port. : ....................................................................................... Email : ........................................................................................................................................................................ Chèque à l’ordre de l’Avenir Agricole et Viticole Aquitain. Attention, nouvelles normes postales à respecter. Indiquez impérativement le numéro, le type et le nom de la voie de votre adresse postale. De nombreux dossiers tout au long de l’année économie, technique et bien d’autres encore page 6 ls Matérieanges et vend 08 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 18 Avril 2014 Salaires au 4 avril 2014 MAIN D’ŒUVRE La FDSEA et les partenaires sociaux LES GÉNÉRA om MATIONSavenir-aquitain.c D’INFOR tion@ AUX ET 24 - email : redac BRE 2014 ET RUR 47 - 17 OCTO ICOLES - Fax 05 56 52 N° 923 S AGR 68 F INTÉRÊT Tél. 05 56 00 73 S - 2,10 ENSE DES aux cedex QUE MOI L DE DÉFan - 33082 Borde DE CHA JOURNA DREDIS Xavier-Arnoz ER 3E VEN 17, cours 1 ET N LES UTIO PAR le artementaté les tion dép tes La Fédéra de Gironde a des CUMA s. nouveauté sont parvenus à un accord. ATTENTION ! Évaluation des fournitures en nature au 4 avril 2014 tous les salaires et Le SMIC a été réévalué au 01/01/2014, donc au 01/01/2014. prestations indexés sur celui-ci sont applicables sont applicables De même les salaires non indexés sur le SMIC au 04/04/2014. Rémunération minimale la Gironde à compter 07 06 Avenir Agricol Avenir Agricol V ur la diversit in à la loupe é Plaidoyer po e et Viticole e et Viticole Aquitain, Vendre di 9 Mai 2014 Politique é ensées La persation récomp l’innov viennent, sauf de deux heures Le prix de la nourriture est fixé par jour à la valeur x 2,5 = 23,58 e et demie de salaire horaire à la catégorie A : 9,43 la boisson. Le prix ci-dessus s’entend pour trois repas et comprend du salaire horaire Le repas de midi est évalué à une fois la valeur mois-ci ne trait d’u aux. Por à Borde p. 13 e et Viticole e 2014 di 17 Octobr Société Aquitain, Vendre nouvelle PPNU : unne novembre collecte e Avenir Agricol Et aussi Et aussi ne image n graphique ernés ce Technique 20 SO2 Les dose EUROPE Com men diminuer. Actus maximales autorisée atout pour l’éco t faire de la diversité des exploita nomie, la créa polyvalent avecellement, la limite est s de SO2 total dans les tions et de la réunion info de 150 vins ses production de rmelle des min tion d’emplois et l’env R et précaution pouactions principalement mg/L dans les vins ont toujours tendance ironnement l’Unavecun istres de l’agr Athènes par été AVIDALO roug à antiseptique r que chaque ? Tel est le thèm Laion iculture des la présidence Gironde, la socicte de Produits s et antioxyd es. Ce produit, très apport soit effic e depremiè Vingt-huit orga grecque du à mettre en laest redechose antes, doit être riculture de la colle ace. Conseil. Diversifié, le nisée du 4 au leœuvre récolte modèle agricol utilisé MENT La Chambre d’Ag ment organisent une plus sain possibl r un raisin e. 6 lamai europ éen que e e. En effet, fourni t à la t de 15€ (quelle laccasà e présente ENVIRONNE distributeurs du départe(PPNU) les 5 et 6 novembr fois d’un montan «des produi A titre dans les ts compé titifs raisins pourris é apportée). large échelle soit la quantit à est une enzyme emble des Utilisables la plusl’ens , faire appel et de nombr d’oxydation Non naturelle : le es eux tiqu redoutable produ its de de comparaison spécialisée vinaigre aceu autant niche à haute armou pour la couleu devenant totalem rise le Comité des valeur ajouté Phytoph à une entrep ent détruit organisation r que pour les e», fait valoir arômes 5 à 10 euros/ sur profes Le temps d’u été déc rism ont wine touArgentine. di 17 Octobr e 2014 Applicable dans toutes les communes de du 4 avril 2014. professionnelles n Salaires horaires correspondant aux catégories * Best of Aquitain, Vendre s le plan aromat présid ence la sionne lles . En présen urs profescoûte environ utilisate ique grecqu e de agrico les ce de pourest refusé le lesretraités (Copa) et la riture, la Réservée aux parou Brettanomyce l’UE dans un docum Conféd dose de sulfitage sur kg. Si un produit l’agriculteur s. Seactifs ent priver du , générale des vendangeératio sionne ls, peut n SO2 est comme destiné à alimen de 6 pages passer de 4 coopératives jour de la collecte une entreagricoles, profesrester g/ ter un échang tants sur coles (Cogec hL à plus à de 8agriun fil s verts, de vues entre e g/hL. Un au-dessus(exploi a) de l’UE détailespace peut faire appel du vide, les ministres bien des ls la laient les priorité conduit pendan inertage moindre rises… ), sionne de l’agriculture lisée dans l’élimierreur se payera t toute la s du secteu entrep des prise spécia période ivités, pour les années r de vinifica très s dangereux. collect de leur réunion Vingt-huit lors cher. Tout tue le tion àl’éleva venir, puis doit lors à informelle du de être nation des déchet rd o n n é e s nation de la collec te consti irrépro gedesticettechable au 6 mai à Athène perme 4 future assem ique de s coo pour y parvenir. Il existe ment de limiter blée ttra égaleTo u te s l e r s. issue du scrutin minimum de croissance : 9,53 e. le plus économ moyen Le thème de ibles su aussi Aucun salaire ne peut être inférieur au salaire consin s les o qui p différen s apport i se d produit cette discuss s du 22 au 25 d’oxygènetiendra produits présen sont e.fr défaire de ces ts Salaires ion «Faire de la setant mai. Celle-cet donc les pertes Catégories ets-girond des actions Salaires diversité agricol dangereux pour i tiendra sa sessionen SO2. Catégories w w w. d e c h complémentaidérés comme europé e e et . 9,81 constit nt,x enne res D ivalor.fr e. au SO2 Acide nneme un atout» – Au niveauutive 9,43 e* à la catégorie A, soit 9,43 1 er au 3 juillet du A ou sur www.ad microb sorbique, lysozym est proposé dans la santé et :l’enviro la boisson 9,97 e à Strasb E . La loi impole contexte d’une ourg. iologique, une hygièn La nourriture sera saine, variée et en quantité suffisante, Parmi les priorité e,toute 9,43 e* légalité DMDC e parfait A2 … en concur r Leur te ouverts ce e est rence de utilisation est 9,94 e élimine indispe énoncées sables pour par les organis loyale et marchande. F (horti. champ.) Sites de collec bre très spéci- de les 9,52 e* B limiter à la fois n- Pur sous forme vive avec des plus en plus ations profesfique et présen sant aux usagers 9,81 e de gaz, en solution s condit ions les leurs besoin sionnelles agricol pays comm et 6 novem G (horti.) 5 tedans bonne s des les en 9,52 e* de limites. SO2 conditio le e B2 ou Brésil, en cachets efferves Ils forte amende. ns d’emploi doivent être les États-Unis 2. Logement trouveet les risques. 11,22 e le maintien Poures,leoncas aussi ! les exploit ants utilisés avec cents, les formes F (agent de maîtrise) et la peine d’une Chine, dont d’un juste «équipartic ulier En Girond e, permettant de d’apport du les secteurs drement d’un sous l’encalibre» dans Brettan de L’oxydation A) Pour un logement remplissant les conditions 9,52 e* ter leurs PPNU SO2 sont nombre omyces, un agriV (vendangeur) œnologue. les négoci coles sont sera 9,61 e peuvent rappor suivi micro- nal entraîn de l’alcool en éthauses… C page 15 très commerciales biologiqueations bénéficier de l’allocation logement, la valeur mensuelle (goutte suivantes : e une combin Les produits celui de l’Union différents de avec les régulie de 70 % de aux entreprises à aison doseus à goutte ou pompe pays r, piloté par totale du tiers, la «prude la méthod fixée de gré à gré entre les parties dans la limite s phytopharmaure (Isidore), SO2. Il n’est sans apport e Brett’less, e) car elle se présentes les où sont très nce» vis-à-v loyer modéré n Salaires des cadres à compter du 4 avril 2014 Tous les produit pratiquede SO2. Il faut Chatelier Viticult est une ment pas tél. Contact mélange de la dernièr méthod is petites exploila valeur locative des logements d’habitation à très mal concernés, qu’ils bien e-Faleyrens, très efficac possible de reconnaître e proposeition tation s famili ceutiques sont e. que leur Jean-Christophe trouver d’hom lors des remontages Salaires mensuels Saint-Sulpice-d la Comm ission de du SO2 libre ales. À cela de la zone considérée. rvés dans Coefficients cas, la qualité dans certains ogénéisation s’ajoutent les dans 66, de Bruxel les Crachereau, soient conse des vins est sur l’énerg Limite du logement est . Sur vin, 05 57 24 66 2 018,58 e négociations nant de l’éthan un vin conte- il vaut 05 r e, entamés service Vigne bien ie et le climat B) Dans les autres cas, l’évaluation mensuelle réelle. Dans III A de libre-échange mieux l’appo age d’origin c-et-Caillau, tél. al (à l’odeur embalet vin, Chambr leurs emball Beycha de salaire être le à les l’«exam et d’après dans nombre rter e en travail CIC, de e, de comb pomme plus 560,35 2 t cours d’heures lors aussi, en» minuti d’agriculture e ne pouvan d’un transfe ux cas stockag inaisons déterminée en valeur verte caracté avec Un modèle agricole les États-Unis, III eux de de le vin peut rt, plutôt en leur local de ou non, ristique). de diversifi charge admin le e. Leurs , Tant que cet être imbu56 72 55 72, Vinopôle bordeaula Gironde début vable, de côté dans Iciistrativ 3 084,71 e encore , lala horaire afférent à la catégorie B, soit 9,522 e pompage pour encore le Japon, Mercosur ou les maladies ou le changemé est certainement moins vieux bidons ou les mélanger. éthanal ne car hors d’usag es ou II atteignant son ), à Saint-Trojan, x Aquitain e leurs récolt de un utilisés PAC la (Isidore facilite lant comprenant mettre ent vulnéra e et e m sera tél. à 9 à réform ser d’un climatique pas entièrement 05 56 35 00 r son évolution ble et plus résistan mélange. Le éeraisin 3 514,85 e sain - Première pièce (égale ou supérieure sont invités les transva lors de en les manipu t Bayard d’avoir un impact qui risquent la création d’empl 00 caractéristiques physiqu sa perme SO2 liquide combiné par I révi- t de limiter du t aux chocs sion à mi-parcles combin transparent : 47,60 e ées Les agriculteursen prenant garde à ne pas 57 64 36 17, ois, pour les libéré externes tels SO2 apport sous forme ours. compteur électrique individuel)..............5 h de travail 2 sont dégrad tion et en utilisan - tél. 05 agricole europé sur le modèle jeunes notamm aisons que les attente que é, le SO2 libre de gaz lages d’origine ution, à Cussac lé avec précau techni ques ent, mais aussi à9m ) en. s des gluconique produitliées à l’acide disparaîtra et de protec aux réajus temen est adapté Euralis Distrib s, gelés, mouil- Par pièce supplémentaire (égale ou supérieure pour la durabil sage Le dérou à Fronsac la chaîne alimen acteurs de donc un apport par Botrytis. supplé les équipe ments ité (produits périmé fait de l’évo- à l’opération. Le ramas ts en cuve. travail : 38,08 e t alors (tél. 05 56 58 90 64), teurs sont invités du SMIC, les échelons A, A2, B, B2, et V Durabilité La réalisation taire. Si le diffuse c .................................................................... 4 h de mentaire car «un modèle à long terme, Selon s du de tion adaptés. Ils peuven Un salarié ne pouvant être rémunéré en-deça ible Les agricul d’une fermen à long terme la présidence 41 21), Grézilla bidet) avec lés…), interdit dans agricole divervieux bidons n ou de 9,53 e. En revanche, pour le calcul de la étant imposs tion alcooliq ta- saire. La prévent sera néces- samment ur est placé suffigrecque, - Salle d’eau complète (lavabo, douche ou baignoire, (tél. 05 57 25 les produits sifié est certain «Préserver la seront rémunérés au minimum au taux horaire à la «ferme» mettre leurs réglementatio ue franche et l’Unio n Europ bas (sans touche ion de la formaLe SO2 total le taux horaire à prendre en considération lution de la 99 88), Langon diversité aide local de stoc- transporter ement moins l’éten due sans tion de se munir stress pour éenne pourles lies), la une installation de production d’eau chaude prime d’intempéries, de l’indemnité de panier, ce composé accroître l’effica e tenu de au changement (tél. 05 57 74 à vulnér able et côté dans leur emballages un véhicule aéré et les levures rait améliorer Portrépartition pourrar par une être travail : 95,20 e inutiles suite plus limite protection de compt cité, l’adap 63 36 59), Le SO2 total égalem ent leurs le transfe le règlement t. Une préest celui de l’échelon B à 9,52 e. ..................................................................10 h de L’APCA et les tabilit é et aux chocs externe résista nt connais suffisante. ou de culture (tél. 05 56 la produc tion kage, dans sans faille est limité dans à ne d’un chèque pour la résilie nce du dépar temen sances des cherchrt de Les cachet une installation de stratégie Entreprises contre efferve 05 53 63 79 l’ensemble , site. Une de l’oxydation composés combin s» tels que prenant garde (tél. les sur en nsable e s vins. -Foy - Salle d’eau incomplète (lavabo et douche) avec de l’agricu protég des dépôt les de scents eurs Il indispe d’origin maladi sera ainsi nécesapports réalisé est le résulta l’entreprise. aux agricul l’eau veulen lture», assure er les capta ants par la saire sont adaptés les mélan- le jour de : 76,16 e sera Sainte e-Guyenne tion par les contrat d’apprentissage teurs, levure.tParmi inscription est t de s auxquels aussi la climati es ou le changement aux ges d’eau petits conten de pas les transvaser ou de production d’eau chaude ..................8 h de travail pour ne pas levures de dépôt leur présid ence Sauveterre-d n Salaires des jeunes travailleurs liés par un «Le renforcement les activateurs lier via le nouvea en particuque. ants, barriqu risquer de grecqu e, voyant aires de deman est à 60), levures en produis (même si aucun sulfitags’ajoute la productravail : 57,12 e t sur-embal- attestation indispe 99), formul dépass 57 Celle-ci doiven de er u J. es ou les ils 61 Parten nsable notre - WC intérieur avec effet d’eau .................6 h de là pe garde56 jour er les doses de l’eau (FP2E) et ger. Puis Les ministres «la base pour partenariat ariat s sur cet aspect e le au 1 janvier 2014 vins. Ils ne europé en (tél. 05 Le princi maximales le vin sans SO2 ent elles-mêmes pendan e n’est réalisé, les travail : 19,04 e sont d’ores à Saintaveclales seront appelé en mauva is délivré permettra doiven mesure où thiamin entrep pas tomber - WC intérieur sans effet d’eau ................ 2 h de de captages tion d’une gamme la produc - évaluer les e rises SA (Isidore), s à et mieux pour l’innovation, t la fermentation s phytopharma- d’élim ination est sans doute , légales. les produi ts ver dans la dans des lies t vins à la dose n’existe pas !). C’est lui d’eau priorita d’accompagnerprodui 74, de la Salellas bénéfices et travail : 19,04 e promouvoir auprès des ler Tous le Le SO2 ne diversifiée : les produit nés doivent s dans un sac conser à 1 000 d’ici t le plus réserver aux qui est limité (à une preuve ires qui doiven le double de : - WC extérieur avec effet d’eau ............... 2 h de 05 56 59 33 incon- tion d’alim ents». ment l’utilisadisponibles vénien ts de s’apporte pas Salaire horaire état ou souillé vins propres dans les - 150 mg/L elle constitue Estèphe, tél. durable des tlimiter 05 Le docum ent passerlade 500efficace pour porte cette divers ceutiques concer utilisateurs déjà ni poste l’APCA (Assemà 2015», a déclaré Guy ) mais pour les vins des PPNU. ressources soulign e par à Loupiac, tél. comment, surtout n’im- leur homogénéisa produc tion ité, génétiq les mesures C) Les logements ne comportant ni installation électrique Vasseur, préside par les teurs. blée perman ans rouges, - 200 mg/L prise en charge de ces souhai SRA Cadillac, ailleur s le tion est très ues. qui peuvent lors d’une confére être déposés Un état A. Apprentis âgés de moins de 18 si l’on bonne. ente des Chamb molécu ant distribu pour nt de les indésir rôle prises que la diversit te en limiter être La semain d’eau intérieur ne donneront lieu à aucune retenue. ère ables. : 2,86 e 18 sites particip 5 g/L de sucres les vins blancs et rosés pour la préserv d’agriculture), é peut jouer l’usage. La 56 62 65 77, identifiés comme nce à Paris, le 30 avril. res tél. alors e précédente, lors de la prise 1 année : 30 % du SMIC présentant moins sur l’un des parler du combiIl faut solution sulfure , pour cadre er dans le à La Réole, Les captag ème des lieux doit être établi (avec sous-seing privé) Le coût prioritaires dans - 250 mg/L % du SMIC : 3,81 e un «Manifeste de la Pac réformé use est adap- Un menacés par de es d’eau si le Terres du Sud, nant tée pour dont l’un est 2ème année : 40 du SO2 en vue des élecproduit dont les pollutions Grenelle sontn°1 est gratuite à l’appor e, ainsi tions libre : l’éthan en charge. Cet état, rédigé en deux exemplaires 30, du SMIC : 5,24 e g/L de sucres les vins blancs et rosés et les produit diffuses, notamm«parmi les plus La collecte on ne européennes al. plus progres t sur vendange, le peut se Le 3 année : 55 % le picto- 05 56 71 05 , contenant plus s phytosanitaire (tél. 05 57 ent les nitrate de 2014», compo rte remis au salarié, est signé par ce dernier et l’employeur. passe it 300 logie. de siveme Berson ou s», la 5 à produ r ans En 400 a 18 ? selon de s nt possible France mg/L pour les le Vitivist l’employeur, à B. Apprentis âgés de plus LOR dans 05 56 Certains vinifica Mis à part pour nitrates et 20 , 10 % des eaux sont ministère de l’Écologement sera remis en état de propreté, par vins gramm e ADIVA PPNU appor- 33 09 48), Pauillac (tél. teurs travaille traitées à cause % à cause des respecter cette liquoreux selon les AOC. à l’installa- 1ère année : 45 % du SMIC : 4,29 e -dekg de est total nt 100 phytosa de chaque changement d’occupant et préalablement -Magne contrai de des n’est diminu e ème 5,24 2 : limite Sainte r nte nitaires. «Notre pas utile sur 2 année : 55 % du SMIC 59 46 91), le plan techniq réglementaire, le SO2 il faut compte Les moyens er encore ces chiffres», 12), objectif lorsque la fermen tion du nouveau salarié. d’actions sont tés. Au delà, assure 05 57 40 30 t ne ue 3ème année : 65 % du SMIC : 6,19 e agricoles : Si le produi Castillon (tél. les changements Guy Vasseur. combinée peut tation malolactique est en vinification sauf c HT/kg. agricul euros à Martilla (tél. désirée car la ture biologi de pratiqu agriculture de le pictogramme vendange trop inhiber les bactéries lactiqu fraction Soufflet Vigne C. Apprentis âgés de plus de 21 ans 3. Autres fournitures en nature ne (tél. précision, etc. que, agriculture raison es comporte pas important (supéri de 2 es. 04), Montag FP2E, a rappelé Philippe Maillar née, sont convenues 1ère année : 55 % du SMIC (1) : 5,24 e nettement le le tarif est eur à 8 g/hL) Un sulfitage sur 05 56 30 71 (tél. Dans le cas où d’autres fournitures en nature d, préside déclencheme ADIVA LOR, r kilo. sûre d’un point que l’eau potable est 87), Pauillac année : 65 % du SMIC (1) : 6,19 e Le SO2 total nt de la fermen peut ainsi retarder dès le premie la l’ouvrier, celles-ci sont décomptées sur la base de leur prix 2ème une ressou nt de 05 57 74 57 de vue sanitai nt avec ne diminue tation malola euros HT/kg sont réalisé ème rce très ava coût fixe : 80 % du SMIC (1) : 7,62 e re : «dix million 04). année un que 3 te l’exploitation forme de 11 s ctique. cela lors tous proviennent à 59 elles si en des 56 production les sulfate. oxydations où 05 s d’analyses ans». réel et actuel à la Il faut ajouter gagnan il se transLe SO2 libre à l’extérieur par (1) ou du salaire minimum conventionnel ion d’éco-service Thomas Monta et de leur valeur d’achat si elles ont été acquises pour la prestat pour les jeunes occupé Le l’emploi à SO2 gne, correspondant ouvrier. dit libre est la nouveau présid l’employeur et rétrocédées au Vignerons Indép forme qui oxydations. Il ent des de 21 ans et plus. endants de représente généra permet de protéger p. 20 Thomas Montag Franc le total. vin e lement des Pour entretien et les vins blancs moins d’un tiers 4. Blanchissage âgé de 48 ans, ne, vigneron dans le en nature s’étaet rosés aromat à 30 mg/L en du SO2 Vauclu des vêtements La déduction des avantages iques, conservation Indépendants vient d’être élu à la préside se en Luberon, Le prix mensuel du blanchissage et de l’entretien bouteilles, une est souhaitable. une dose de 25 nce des Vignero correspondant blit à : des Vignero de France, a indiqué le est évalué à six fois le montant du salaire horaire ns en bouteilles teneur supérieure doit être Lors de la mise en ns Indépendants 5 mai la conféd - nourriture journalière : 75 % x 2,5 x M.G. Issa bien ap ér 3 x 6 = 56,58 e Les fournitures en nature dont bénéficie le salarié clause contraire, en déduction des salaires. 1. Nourriture risme et Œnotou vérance Technique U Le temps d’u 20 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 9 Janvier 2015 @ Publicité Rejoignez l’Avenir Agricole et Viticole Aquitain sur Retrouvez votre journal sur Internet www.facebook.com/ aveniraquitain www.avenir-aquitain.com évolue NOUVEAUTÉ Vos petites annonces diffusées sur les 5 journaux agricoles d’Aquitaine partenaires de l’Avenir Agricole et Viticole Aquitain à partir de JANVIER 2015 page 6 ls Matérieanges et vend 08 Avenir Agricole et Viticole Aquitain, Vendredi 18 Avril 2014 Salaires au 4 avril 2014 MAIN D’ŒUVRE La FDSEA et les partenaires sociaux LES GÉNÉRA om MATIONSavenir-aquitain.c D’INFOR tion@ AUX ET 24 - email : redac BRE 2014 ET RUR 47 - 17 OCTO ICOLES - Fax 05 56 52 N° 923 S AGR 68 F INTÉRÊT Tél. 05 56 00 73 S - 2,10 ENSE DES aux cedex QUE MOI L DE DÉFan - 33082 Borde DE CHA JOURNA DREDIS Xavier-Arnoz ER 3E VEN 17, cours 1 ET LES N PARUTIO le artementaté les tion dép tes La Fédéra de Gironde a des CUMA s. nouveauté Évaluation des fournitures en nature au 4 avril 2014 sont parvenus à un accord. ATTENTION ! tous les salaires et Le SMIC a été réévalué au 01/01/2014, donc au 01/01/2014. prestations indexés sur celui-ci sont applicables sont applicables De même les salaires non indexés sur le SMIC au 04/04/2014. 07 06 Avenir Agricol Avenir Agricol V ur la diversit in à la loupe é Plaidoyer po e et Viticole e et Viticole Aquitain, Vendre di 9 Mai 2014 Politique Aquitain, Vendre di 17 Octobr e 2014 Technique 20 e et Viticole e 2014 di 17 Octobr Société Aquitain, Vendre nouvelle PPNU : unne novembre e collecte Avenir Agricol SO2 Les dose EUROPE Com men diminuer. Actus maximales autorisée atout pour l’éco t faire de la diversité des exploita nomie, la créa polyvalent avecellement, la limite est s de SO2 total dans les tions et de la réunion info de vins ses actions production de rmelle des min tion d’emplois et l’env principalem 150 mg/L dans les vins ont toujours tendance préc ironnement l’Unavec AVIDALOR et istres de l’agr Athènes par ion ent antisept un aution pour que chaque ? Tel iculture des la présidence nde, la sociétéde Produits iques et anti rouges. Ce produit, très à La première apport soit effic Vingt-huit orga est le thème de oxydantes, doit grecque du à mettre en ture de la Giro cte laest dechose ace. Conseil. Diversifié, le nisée du 4 au leœuvre récolte mbre d’Agricul t organisent une colle être utilisé modèle agricol plus sain possibl r un raisin e. 6 lamai men europ éen que MENT La Cha e e. En effet, fourni t à la t de 15€ (quelle laccasà e présente ENVIRONNE distributeurs du départe(PPNU) les 5 et 6 novembr fois d’un montan «des produi A titre dans les ts compé titifs raisins pourris é apportée). des es le large échelle sabl soit la quantit à est emb une Utili enzyme la , faire appel et de nombr plusl’ens d’oxydation naturelle : le eux redout produ its de de comparaison spécialisée vinaigre aceutiques Non niche à haute armou pour la couleu able autant devenant totalem rise le Comité des valeur ajouté Phytoph r que à une entrep ent pour les organisation détruit e», fait valoir arômes 5 à 10 euros/ sur le plan aromat profes sionne . En s présid ence la urs profescoûte environ lles agricoprésence de pourutilisate ique grecqu e de est refusé le lesretraités les (Copa) et la riture, la Réservée aux parou Brettanomyc l’UE dans un docum Conféd dose de sulfitage sur kg. Si un produit l’agriculteur es. Seactifs ent priver du , générale des vendangeératio sionne ls, peut n SO2 est comme destiné à alimen de 6 pages passer de 4 coopératives jour de la collecte une entreagricoles, profesrester g/ ter un échang tants sur coles (Cogec hL à plus à de 8agriun fil s verts, de vues entre e g/hL. Un au-dessus(exploi a) de l’UE détailespace peut faire appel du vide, les ministres bien des ls la laient les priorité conduit pendan inertage moindre rises… ), sionne de l’agriculture lisée dans l’élimierreur se payera t toute la s du secteu entrep des Vingt-huit prise spécia période ivités, pour r de très les s dangereux. collect le lors vinifica années de cher. Tout leur réunion de deux heures à venir, à desti- tion puis lors doit être irrépro collec te consti tue informelle du Le prix de la nourriture est fixé par jour à la valeur nation des déchet rd o n n é e s nation de la de l’éleva ge permettra cettechable pour au 6 mai à Athène o 4 x 2,5 = 23,58 e future assem ique de égaley économ te s l e s c o : 9,53 e. parven u ment et demie de salaire horaire à la catégorie A : 9,43 croissance blée de plus To s. issue minimum le ir. sur salaire de au Il inférieur du existe scrutin qui se limiter les apport moyen Le thème de la boisson. Aucun salaire ne peut être aussi différen produits consiponibles cette discuss Le prix ci-dessus s’entend pour trois repas et comprend s du 22 au 25 d’oxygè produits présen sont dis netiendra de.fr défaire de ces ts Salaires et donc les ion «Faire de la setant mai. Celle-c salaire horaire Catégories eux pour des actions hets-giron pertes c Salaires diversité agricol e danger i d en tienLe repas de midi est évalué à une fois la valeur du dra w. Catégories SO2. w w sa complémentaidérés comme session constit européenne e 9,81 e res au SO2 :l’enviro D ivalor.fr. nnement,x et un atout» – Au niveauutive 9,43 e* à la catégorie A, soit 9,43 e. 1 er au 3 juillet du A ou sur www.ad microb sorbique, lysozym est proposé dans la santé et Acide . La loi impola boisson iologique, une 9,97 e à Strasb E le ourg. hygièn context La nourriture sera saine, variée et en quantité suffisante, Parmi e, e* 9,43 légalité DMDC e d’une A2 les priorités e parfaite est … concurrence r Leur utilisat ce en toute te ouverts 9,94 e indispe énoncées de ion est trèsusagers de les élimine sable pour par les organis loyale et marchande. F (horti. champ.) Sites de collec bre 9,52 e* B limiter à la fois n- Pur sous forme vive avec des plus en plus sant aux spéciations fique ions e et profes9,81 novem condit de présen 6 s les besoins en SO2 gaz, en solution sionnelles agricol pays comm G (horti.) tedans leurs conditio des limites. les 5 et 9,52 e* de bonne le Brésil, les e B2 ou en cachets Ils forte amende. ns d’emploi doivent être 2. Logement trouveet les risques. États-Unis et 11,22 e effervescents, le maintien Poures,leoncas aussi ! les exploi tants utilisés avec F (agent de maîtrise) peine d’une Chine, dont les formes d’appor d’un juste «équila partic ulier En Girond e, permettant de les secteurs drement d’un sous l’encalibre» dans Brettan de L’oxydation t du SO2 sont A) Pour un logement remplissant les conditions 9,52 e* ter leurs PPNU omyces, un agriV (vendangeur) œnologue. les négoci coles sont nombreuses… sera 9,61 e peuvent rappor suivi micro- nal entraîn de l’alcool en éthaC page 15 très commerciales biologiqueations bénéficier de l’allocation logement, la valeur mensuelle (goutte suivantes : e une combin Les produits celui de l’Union différents de avec les régulie de 70 % de aux entreprises à aison doseus à goutte ou pompe pays r, piloté par totale du tiers, la «prude la méthod fixée de gré à gré entre les parties dans la limite s phytopharmaure (Isidore), SO2. Il n’est sans apport e Brett’less, e) car elle se présentes les où sont très nce» vis-à-v loyer modéré n Salaires des cadres à compter du 4 avril 2014 Tous les produit pratiquede SO2. Il faut Chatelier Viticult est une ment pas tél. Contact mélange de la dernièr méthod is petites exploila valeur locative des logements d’habitation à très mal concernés, qu’ils bien e-Faleyrens, très efficac possible de reconnaître e proposeition tation s famili ceutiques sont e. que leur Jean-Christophe trouver d’hom lors des remontages Salaires mensuels Saint-Sulpice-d la Comm ission de du SO2 libre ales. À cela de la zone considérée. rvés dans Coefficients cas, la qualité dans certains ogénéisation s’ajoutent les dans 66, de Bruxel les Crachereau, soient conse des vins est sur l’énerg Limite du logement est . Sur vin, 05 57 24 66 2 018,58 e négociations nant de l’éthan un vin conte- il vaut 05 r e, entamés service bien ie B) Dans les autres cas, l’évaluation mensuelle d’origin réelle. III A et de libre-é mieux age le Vigne c-et-Caillau, tél. al (à l’odeur embalclimat et change en et vin, Chambr emball le salaire l’«exam en» les comb CIC, à Beycha de d’un transfe l’appo rter lors aussi, Dans de nombreux cas e, dans leurs pomme verte 2 560,35 e cours avec Un modèle d’agriculture e ne pouvant plus être déterminée en valeur d’heures de travail d’après minuti eux inaisons les États-Unis, III local de stockag caractéristique agricole diversifi de la Gironde le vin peut rt, plutôt en de la ou non, charge admin Leurs 72 55 72, le Mercosur côté dans leur e. , les maladies Tant être 56 Vinopôl ). début é de Ici est 3 084,71 e de que encore imbud’usag rojan, certaine e horaire afférent à la catégorie B, soit 9,522 e pompa bidons vable, bordeau istrativ cet hors ou encore le Japon, er. ou le changem vieux , lalarécolt e ment moins éthanal ne car II atteignant son x Aquitain utilisés ou PAC réforméeraisin e de (Isidore), à Saint-T ou les mélang lant comprenant un ent climatiq vulnérable et e sera mélang ge pour faciliter son tél. 05 56 35 à mettre leurs d’un pas entière évolution 3 514,85 e s physiques ue sain - Première pièce (égale ou supérieure à 9 m et sont invités les transvaser plus résistan lors de en les manipu t Bayard 00 00 d’avoir un impact qui risquent la création d’empl ment combin e. Le SO2 liquide sa perme I révi- t de limiter du t aux chocs sion à mi-parcles combin caractéristique transparent garde à ne pas : 47,60 e ées Les agriculteurs 57 64 36 17, é par sous ois, pour les libéré externes tels SO2 apport e en prenant ours. compteur électrique individuel)..............5 h de travail 2 sont dégrad tion et en utilisan - tél. 05 forme de gaz agricole europé sur le modèle jeunes notamm aisons que les attente que é, le SO2 libre lages d’origin ution, à Cussac lé avec précau techni ques ent, mais aussi à9m ) en. s des gluconique produitliées à l’acide disparaîtra et de protec aux réajus temen est adapté Euralis Distrib s, gelés, mouil- Par pièce supplémentaire (égale ou supérieure pour la durabil sage Le dérou à Fronsac la chaîne alimen acteurs de donc un apport par Botrytis. supplé les équipe ments ité (produits périmé fait de l’évo- à l’opération. Le ramas ts en cuve. travail : 38,08 e t alors (tél. 05 56 58 90 64), teurs sont invités du SMIC, les échelons A, A2, B, B2, et V Durabilité La réalisation taire. Si le diffuse c .................................................................... 4 h de mentaire car «un modèle à long terme, Selon s du de tion adaptés. Ils peuven Un salarié ne pouvant être rémunéré en-deça ible Les agricul d’une fermen à long terme la présidence 41 21), Grézilla bidet) avec lés…), interdit dans agricole divervieux bidons n ou de 9,53 e. En revanche, pour le calcul de la étant imposs tion alcooliq ta- saire. La préven sera néces- samment ur est placé suffigrecque, - Salle d’eau complète (lavabo, douche ou baignoire, (tél. 05 57 25 les produits sifié est certain «Préserver la seront rémunérés au minimum au taux horaire à la «ferme» mettre leurs réglementatio ue franche et l’Unio n Europ bas (sans touche tion de la forma88), Langon Le SO2 total le taux horaire à prendre en considération lution de la diversité aide local de stoc- transporter ement moins l’éten due sans tion de se munir stress pour éenne pourles lies), la 05 57 74 99 une installation de production d’eau chaude prime d’intempéries, de l’indemnité de panier, ce composé accroître l’effica e tenu de au changement à vulnér able et côté dans leur emballages un véhicule aéré et les levures rait améliorer Portrépartition pourrar ent (tél. par une être travail : 95,20 e inutiles suite préplus limite protection de compt cité, l’adap 63 36 59), Le SO2 total égalem ent leurs est celui de l’échelon B à 9,52 e. ..................................................................10 h de pour le règlem L’APCA et les tabilit é et suffisante. - aux chocs externe résista nt connaissance le transfert de ou de culture temen t. Une (tél. 05 56 la produc tion kage, dans sans ne est ie à chèque 63 79 limité dépar faille d’un stratég garde la installation Une du Les t une de résilie nce dans les vins. contre efferve l’ensemble , cachets de l’oxyda composés combin s des cherch s» tels que prenan (tél. 05 53 sur site. - Salle d’eau incomplète (lavabo et douche) avec de les maladi l’agriculture», protéger les Entreprises de l’eau veulen des apports scents sont adapté eurs indispensable d’origine en Sainte-Foy aux agricul nne rise. ants par la saire tion sera ainsi néceses ou le change les mélan- le jour de dépôt : 76,16 e réalisés auxque Il est le résultatl’entrep assure aussi tion par les captages d’eau teurs, en particu levure.tParmi inscription est de s aux terre-de-Guye petits conten dépôt leur sera travailleurs liés par un contrat d’apprentissage de pas les transvaser ou ment lier de production d’eau chaude ..................8 h de travail jeunes pour ne pas levures (même de présid ence des la climatique. Sauve ls Salaires n s’ajout deman «Le tion les 60), balde renforc activat à via ants, e e attesta risquer de grecqu e, voyant la producle nouveau levures en produis travail : 57,12 si aucun sulfitag ement eurs dépass barriques indispensable J. Celle-ci est ou garde-vins. les formulaires ils doivent sur-em is 61 57 99), - WC intérieur avec effet d’eau .................6 h de là «la base er les doses de l’eau (FP2E) de notre partenariat Les ministres s sur cet aspect au 1er janvier 2014 europé en pour Partenariat d’ores et ger. Puis Le principe délivrée le jour la mesure où (tél. 05 56 Ils ne doiven pour la produc maximales le vin sans SO2 ent elles-mêmes pendan e n’est réalisé, les travail : 19,04 e aveclales seront appelé ), à Saintpermettra d’acco ts en mauva , légales. thiamin harma- d’élim ination sont l’innovation, entrep pas (Isidore t - WC intérieur sans effet d’eau ................ 2 h de de produi tion dans e SA phytop n’existe s tombe captag t s est s évalue à les rises la ver d’une fermen sans ler et mieux promo mpagn le r dans des es d’eau priorita r les bénéfic pas !). C’est gamme diversi vins à la dose doute le Le 74, de la Salella travail : 19,04 e auprès des : les produit nés doivent s dans un sac conser double lies (à es et inconlui qui est limité tationTous à 1 000 d’ici uvoir l’utilisa t le plus réserver aux SO2 ne s’appo une preuve fiée vénien ires qui doivenerprodui de : - WC extérieur avec effet d’eau ............... 2 h de 05 56 59 33 d’alim ents». ment disponibles Salaire horaire état ou souillé tion durabl vins propres ts de cette - 150 mg/L dans les elle constitue Estèphe, tél. rte pas tlimiter 05 Le docum ent passerlade 500efficace pour porte ceutiques concer utilisateurs déjà ni poste e des ressou l’APCA (Assemà 2015», a déclaré Guy ) mais pour les vins des PPNU. divers ité, soulign e par à Loupiac, tél. comment, surtout n’im- leur homogénéisa produc tion les mesures C) Les logements ne comportant ni installation électrique Vasseur, préside rces par les teurs. blée perman ans rouges, génétiques. - 200 mg/L prise en charge de ces souhai SRA Cadillac, ailleur s le tion est très qui peuvent lors d’une confére être déposés Un état A. Apprentis âgés de moins de 18 si l’on bonne. ente des Chamb molécu ant distribu pour nt de les indésir rôle prises que la diversit te en limiter être La semain d’eau intérieur ne donneront lieu à aucune retenue. ère ables. : 2,86 e 18 sites particip 5 g/L de sucres les vins blancs et rosés pour la préserv d’agriculture), é peut jouer l’usage. La 56 62 65 77, identifiés comme nce à Paris, le 30 avril. res tél. alors e précédente, lors de la prise 1 année : 30 % du SMIC présentant moins sur l’un des parler du combiIl faut solution sulfure , pour cadre er dans le à La Réole, Les captag des lieux doit être établi (avec sous-seing privé) ème Le coût prioritaires dans - 250 mg/L % du SMIC : 3,81 e un «Manifeste de la Pac réformé use est adap- Un menacés par de es d’eau si le Terres du Sud, nant tée pour dont l’un est 2ème année : 40 du SO2 en vue des élecproduit dont les pollutions Grenelle sontn°1 est gratuite à l’appor e, ainsi tions libre : l’éthan en charge. Cet état, rédigé en deux exemplaires du SMIC : 5,24 e g/L de sucres les vins blancs et rosés 05 30, et les produit diffuses, notamm«parmi les plus La collecte on ne européennes al. plus progres t sur vendange, le peut se Le 3 année : 55 % , contenant plus rte le picto- 05 56 71 s 05 57 ent les nitrate de 2014», - 300 ou 400 remis au salarié, est signé par ce dernier et l’employeur. passer ? logie. En Francephytosanitaires», selon de 5 sivement possibl produ it compo LOR dans la Vitivista à Berson (tél. s mg/L pour les le l’employeur, à B. Apprentis âgés de plus de 18 ans e Certains Mis à part pour e ADIVA nitrates et 20 , 10 % des eaux sont ministère de l’Écoc (tél. 05 56 logement sera remis en état de propreté, par vins liquoreux vinificateurs Pauilla e gramm ère 4,29 : SMIC du appor48), % 45 : traitées % respec année 09 selon l’installa1 à à PPNU cause 33 travaillent ter cette contrai les AOC. à cause des kg de des phytosanitaire est de diminu total n’est pas chaque changement d’occupant et préalablement -Magne-delimite de 100 nte réglem utile sur le plan 2ème année : 55 % du SMIC : 5,24 e s. «Notre objecti compter 2 59 46 91), Sainte Les moyens er encore ces chiffres», lorsque la fermen tion du nouveau salarié. technique en entaire, le SO2 40 30 12), f Au delà, il faut 57 d’actions sont tés. ne assure 05 t 3ème année : 65 % du SMIC : 6,19 e (tél. tation n vinifica agricoles : malolactique Si le produi Castillo les changements Guy Vasseur. combinée peut agriculture est désirée car tion sauf euros HT/kg. à Martillac (tél. de pratiqu biologi agriculture de la fraction le pictogramme vendange trop inhiber les bactéries lactiqu Soufflet Vigne C. Apprentis âgés de plus de 21 ans 3. Autres fournitures en nature ne (tél. précision, etc. que, agriculture raison es comporte pas important (supéri de 2 es. 04), Montag FP2E, a rappelé Philippe Maillar née, sont convenues 1ère année : 55 % du SMIC (1) : 5,24 e nettement le le tarif est eur à 8 g/hL) Un sulfitage sur 05 56 30 71 Dans le cas où d’autres fournitures en nature d, préside déclencheme ADIVA LOR, Pauillac (tél. r kilo. sûre d’un point que l’eau potable est année : 65 % du SMIC (1) : 6,19 e Le SO2 total nt de la fermen peut ainsi retarder dès le premie 57 74 57 87), la l’ouvrier, celles-ci sont décomptées sur la base de leur prix 2ème une ressou nt de de vue sanitai ne tation malola euros HT/kg sont réalisé fixe 05 rce très re : «dix million 04). te avant avec forme en sulfatediminue que lors des oxydati de l’exploitation 3ème année : 80 % du SMIC (1) : 7,62 e s tous les ans». ctique. à cela un coût 05 56 59 11 s d’analyses réel et actuel à la production si elles proviennent . Il faut ajouter gagnan ons où il se Le SO2 libre à l’extérieur par (1) ou du salaire minimum conventionnel transion d’éco-service Thomas Monta et de leur valeur d’achat si elles ont été acquises pour la prestat Le SO2 libre correspondant à l’emploi occupé pour les jeunes est la forme l’employeur et rétrocédées au dit ouvrier. Vignerons Indépgne, nouveau président oxydations. Il qui permet de 21 ans et plus. des endan 20 de représe protéger le ts de France p. Thomas Montag nte généralement total. Pour les moins d’un tiers vin des 4. Blanchissage et entretien vins blancs et âgé de 48 ans, ne, vigneron dans le en nature s’étaà 30 mg/L en rosés aromat du SO2 Vauclu des vêtements La déduction des avantages iques, conservation Indépendants vient d’être élu à la préside se en Luberon, Le prix mensuel du blanchissage et de l’entretien bouteilles, une est souhaitable. une dose de 25 nce des Vignero correspondant blit à : des Vignero de France, a indiqué le est évalué à six fois le montant du salaire horaire ns en bouteilles teneur supérieure doit être Lors de la mise en ns 5 - nourriture journalière : 75 % x 2,5 x M.G. Issaly, qui n’a Indépendants françai mai la confédération bien à la catégorie A : 9,43 x 6 = 56,58 e s. Il qui vont diminu faite apporte en généraapportée. Une mise pas souhaité - logement mensuel : 75 % x 8,0 x M.G. années de préside renouveler sonsuccède à Michel er le SO2 total l 2 mg/L d’oxygè peut aussi atteind mandat après de nce. Thoma ne sans pouvoir de plus être supérieure à 75 % taire généra s Montagne six re 6 à 7 mg/L. 8 mg/L. Cependant, l’appor Réglementation d’ordre général l depuis six Pour les vins en était le des salaires susvisés. ans, t président de rouges, la dose er la fédération après avoir été succes secréévaluation mensuelle de la chambre meublée polyphénols en M.G. = 3,51 e au 1 janvier 2014. élevage régiona siveme du du Vaucluse est plus faible nt le PACA. mise à la disposition d’un salarié Le SO2 actif vin ont aussi une action car les l’amélioration «Nous allons continu et de la fédération antioxydante. x 8 = 28,08 e er un contrat d’apprentissage Le SO2 actif 3,51 e (salaire minimum garanti au 01/01/2014) touNos entrep de l’écosystème réglem à nous battre pour n Salaires des jeunes travailleurs non liés par dans la branche d’activité : est la seule rises ont avant entaire, fiscal é à une journée forme du SO2 levures et les développer et social. temps particip sée dans les fruits à A. Ayant moins de 6 mois de pratique professionnelle bactéries. Les qui est active dans un environtout besoin qu’on un premier Les différen noiles laisse l’ouvrier adulte de même catégorie de tes formes en Ils ont, dans salaire contra teneurs du sur % 80 fonctio Unicoque, spéciali : nemen ans française de 17 les de intes moins se de du en n des - âgés sont actifs. t clair, consta Repères SO2 sont un 3 formes différen SO2 actif souhai inutiles la coopérativetotalité de la production un repas dans de la SDAE adulte de même catégorie. préalable indispen nt et sans entraves fiscales », a-t-il souligné, - 1,2 mg/L pour cas sont les suivantes tes. , pour visiter tables quasi exploitants partagé - âgés de 17 à 18 ans : 90 % du salaire de l’ouvrier : sable à connaît garanti : 3,51 euros muter un blanc à la vente directe visant entre autres Les anciens le Lot-et-Garonne, à Canconstructure qui traite la participants a ensuite guide haut en couleur. SMIC horaire : 9,53 euros bruts - Minimum l’UE. re. 0,8 Le : âge les la à SO2 moelle son soit 1 er que d’un mg/L pour conser quel apporté va se : trentaine de ux ou ville avec un ristique dans découvrir les locaux d’une pays à l’autre générale de B. Après 6 mois de pratique professionnelle Plafond de la sécurité sociale au 1 janvier 2014 répartir entre de France. La s, à Monflanquin, et la - 0,6 à 0,8 mg/L ver un vin liquore liquoreux, dans à l’assemblée coque. De quoi e 250 producteurs des Bastide à Saint-Bonnet-de-Salers, pour inhiber ux, 3 129 e mensuel - 37 548 e annuel - le salaire alloué à l’ouvrier adulte de même catégorie. bre, les Brettanomyces settes et regroup puis visité le musée ans. 10 le 26 septem depuis plus de uberge . une ferme-a ent participé, jumelés viennent, sauf Les fournitures en nature dont bénéficie le salarié clause contraire, en déduction des salaires. 1. Nourriture risme et Œnotou vérance Technique Rémunération minimale la Gironde à compter Applicable dans toutes les communes de du 4 avril 2014. professionnelles n Salaires horaires correspondant aux catégories é ensées La persation récomp l’innov * Et aussi Et aussi ne image Le temps d’u n graphique Le temps d’u Tél. 05 56 00 73 68 - [email protected] ernés ce déc ont été tourism ine. of wine ent Les Best ndiale en Arg finale mo p. 5 e Fermag Prix es des terr mois-ci p. 13 CIVB ne trait d’u aux. Por à Borde NU PP cte e Colle vembre en no mpagn Une ca euse audaci ont égalem les Girondins sont Les anciens à laquelle SDAE du Cantal