Ferons-nous partie de ceux qui n

Transcription

Ferons-nous partie de ceux qui n
FERONS­NOUS
PARTIE
DE
CEUX
QUI
N’ONT
PAS
PLIÉ
LES
GENOUX
DEVANT
BALL
?
UNE
QUESTION
DE
SALUT
«
Vous
connaîtrez
la
vérité
et
la
vérité
vous
affranchira
»
Jean
8
:
32
«
C’est
pourquoi,
fidèle
chrétien,
cherche
la
vérité,
écoute
la
vérité,
apprends
la
vérité,
aime
la
vérité,
soutiens
la
vérité,
attache­toi
à
la
vérité,
défends
la
vérité
jusqu’à
la
mort
:
car
la
vérité
t’affranchira
du
péché,
du
démon,
de
la
mort
de
l’âme
et
en
dernier
lieu
de
la
mort
qui
est
éternelle
séparation
de
la
grâce
de
Dieu
et
de
toute
joie
bénie,
de
cette
joie
à
laquelle
participe
quiconque
croit
en
Dieu
et
en
Jésus­Christ,
vrai
Dieu
et
vrai
Homme
».
Jean
HUS
Une
question
de
salut
?
…
VRAIMENT
?
Peut‐être…
pour
ceux
qui
ressemblent
aux
prophètes
qu’Élie
a
égorgé
au
pied
du
Mont
Carmel,
mais
assurément
pas
pour
nous,
adventistes
bien
informés
du
21ème
siècle
qui
maîtrisons
les
moyens
de
communication
les
plus
sensationnels
qui
aient
jamais
existé
!
Qui
pourrait
retomber
dans
de
telles
pratiques
païennes
?
Pour
de
nombreux
adventistes,
le
culte
de
Baal
se
rattache
à
celui
du
soleil
ou
de
quelqu’autre
élément
de
la
nature
:
astre,
animal
–
ou
plus
classiquement
encore,
comme
de
nombreux
cultes
païens,
il
vénère
de
quelconques
statues
de
bois,
de
pierre
ou
de
métal
–
de
celles
dont
parle
le
prophète
Ésaïe.
Mais
en
réalité,
le
culte
de
Baal
est
bien
différent,
infiniment
plus
subtil,
présent
sous
tous
les
cieux
et
dans
tous
les
siècles,
et
si
bien
camouflé
qu’il
arrive
à
tromper
les
meilleurs.
Baal
était
un
personnage,
et
son
nom
signifie
«
Seigneur
»,
et
«
époux
»,
deux
termes
également
attribués
au
Dieu
créateur
et
éternel.
On
découvre
là
immédiatement
une
des
caractéristiques
de
ce
dieu
des
descendants
de
Caïn
:
ce
faux
dieu
peut
parfois
ressembler
au
vrai
Dieu.
C’est
un
des
principes
de
base
de
la
stratégie
satanique
dans
tous
les
âges
et
toutes
les
circonstances
:
proposer
une
fausse
adoration
qui
ressemble
à
la
véritable,
une
œuvre
qui
diffère
de
peu
de
celle
de
Dieu.
Mais
cela
n’est
qu’apparence
car
si
on
analyse
les
choses
en
profondeur,
on
constate
que
le
dieu
Baal
est
aussi
éloigné
du
vrai
Dieu
que
l’orient
l’est
de
l’occident,
la
lumière
des
ténèbres,
la
vérité
du
mensonge,
en
un
mot
que
le
bien
l’est
du
mal.
Historique
de
ce
culte
de
Baal
au
temps
d’Israël.
Satan,
dans
son
habileté,
avait
donné
corps
à
son
désir
de
dominer
et
de
pervertir
l’homme
en
instituant
dans
de
nombreux
pays
d’Orient
le
culte
de
Baal
afin
de
supplanter
l’Éternel,
le
Dieu
des
cieux.
Le
mot
de
Baal
équivalait
à
celui
du
Maître,
Propriétaire,
Contrôleur…
Cette
religion
païenne
était
essentiellement
agricole,
personnifiant
les
forces
de
fertilité
et
germination.
Elle
s’accompagnait
de
rites,
très
sensuels
et
très
cruels
comprenant
des
incantations
prophétiques.
Les
Baals
réclamaient
impérieusement
le
sang,
non
seulement
celui
des
animaux,
mais
aussi
celui
des
humains.
Quand
les
Hébreux
pénétrèrent
en
Canaan
après
leur
marche
à
travers
le
désert,
le
culte
de
Baal
y
était
établi
depuis
longtemps.
Ainsi
le
nom
de
Baal
se
retrouvait
dans
celui
des
villes
et
des
personnes.
N’ayant
pas
obéi
aux
ordres
de
Dieu
lors
de
leur
installation
en
Canaan,
les
Israélites
se
trouvèrent
ainsi
facilement
«
contaminés
»
par
ces
pratiques
idolâtres.
Les
chefs
spirituels
dénoncèrent
sans
arrêt
ce
péril,
mais
ils
furent
peu
écoutés.
Dès
la
mort
de
Josué,
au
temps
de
Gédéon,
les
hébreux
furent
attirés
par
le
culte
de
Baal
et
reçurent
de
leurs
guides
religieux
de
sévères
avertissements.
Après
le
schisme,
le
Baalisme
fut
introduit
dans
le
royaume
du
Nord
par
Jézabel
et
combattu
par
Élie.
Néanmoins,
il
subsista
en
Samarie
malgré
les
avertissements
d’Ésaïe.
Dans
le
royaume
de
Juda,
il
est
favorisé
par
Athalie
la
fille
de
Jézabel.
Jéhojadah,
tuteur
de
Joas,
le
supprime,
mais
les
rois
Achaz
et
Manassé
le
favorisent
à
nouveau.
Josias
l’abolit
en
réalisant
la
réforme.
Les
livres
d’Osée
et
de
Jérémie
se
font
l’écho
de
cette
lutte
dramatique
entre
le
spiritualisme
et
le
paganisme.
Si
les
prophètes
ne
réussirent
pas
à
provoquer
un
redressement
collectif,
ils
ont
néanmoins
contribué
à
l’existence
d’une
élite
fidèle.
Après
le
VIIIème
siècle
avant
J.C.,
le
terme
de
Baal
fut
à
ce
point
honni
des
Israélites
pieux
qu’il
fut
éliminé
du
vocabulaire.
«
Aujourd’hui,
un
grand
nombre
d’adventistes
‘traditionalistes’
sont
prêts
à
énumérer
l’apostasie
croissante,
la
corruption
financière
et
théologique
et
les
dénoncent
comme
le
culte
de
Baal.
D’autres
ajoutent
qu’il
faut
y
adjoindre
l’influence
du
monde
et
même
l’influence
païenne
au
sein
de
notre
église.
On
parle
par
exemple,
de
la
tendance
fréquente
à
assurer
des
cultes
le
matin
de
Pâques,
du
nombre
croissant
du
symbole
de
la
croix
dans
l’architecture
de
nos
églises,
que
l’on
évitait
autrefois
comme
étant
le
signe
de
l’église
romaine.
D’autres
encore
citent
la
mode
des
boucles
d’oreilles,
des
alliances
et
autres
bijoux.
D’autres
affirment
que
la
consécration
des
femmes
dans
l’église
adventiste
signifie
accepter
l’héritage
du
culte
de
Baal
et
puise
ses
racines
à
Babylone
et
ne
peut
en
aucun
cas
être
soutenue
par
l’Écriture
».
«
En
un
sens,
ceci
et
d’autres
choses
sont
vraies.
Mais
en
réalité
tous
les
maux
ne
sont
que
des
instruments
dans
le
temple
de
Baal.
Ils
constituent
les
pièges
extérieurs
qui
cachent
une
tromperie
plus
profonde
et
plus
subtile,
une
tromperie
suffisamment
subtile
pour
se
cacher
et
piéger
les
pharisiens
orthodoxes
les
plus
conservateurs
de
notre
église.
Chacun
d’entre
nous
est
en
danger
!
De
tous
les
périls
que
Jésus
a
prédits
depuis
le
Mont
des
Oliviers,
aucun
n’est
aussi
important
que
la
mise
en
garde
contre
le
culte
de
Baal
».
Matthieu
24.
«
Il
s’élèvera
de
faux
Christ
et
de
faux
prophètes
»
Matthieu
24
:
24.
L’affrontement
sur
le
Mont
Carmel
n’était
que
la
faible
représentation
de
la
terrible
bataille
à
laquelle
le
peuple
de
dieu
doit
faire
face
aujourd’hui.
Un
faux
christ
n’est
pas
autre
chose
qu’un
Baal
moderne.
L’épreuve
à
laquelle
est
confrontée
l’église
du
reste
n’est
pas
seulement
l’apostasie
ou
des
critères
de
vie
de
plus
en
plus
faibles,
mais
il
s’agit
plutôt
de
la
mainmise
sur
l’ensemble
du
plan
du
salut
du
grand
ennemi
des
tems
anciens
lui‐même
ou,
comme
on
nous
l’a
dit,
c’est
«
Satan
qui
essaie
de
détourner
l’œuvre
de
Dieu
à
ses
propres
fins
».
Comment
définir
le
culte
de
Baal
?
Il
faut
reconnaître
qu’il
n’est
pas
aisé
de
discerner,
de
démasquer,
de
définir
ce
fameux
culte
de
Baal
dont
Ellen
White
a
parlé
une
centaine
de
fois
dans
ses
écrits.
Enfermer
dans
une
seule
définition
une
pratique
aux
aspects
si
multiples
paraît
réellement
impossible.
Et
pourtant
dans
une
époque
aussi
«
dépravée
»
que
la
nôtre
(le
mot
n’est
pas
trop
fort)
nous
avons
absolument
besoin
de
l’identifier
pour
nous
en
éloigner
résolument.
On
pourrait
dire
qu’observer
le
culte
de
Baal
c’est
ni
plus
ni
moins
que
prêter
attention
à
la
voix
de
l’ennemi
qui
tour
à
tour
murmure
à
la
conscience
humaine
:
«
Dieu
a‐t‐il
réellement
dit
?
»
ou
«
tonne
»
avec
violence
et
contrainte
:
«
Non,
Dieu
n’a
pas
réellement
dit.
C’est
moi
qu’il
faut
écouter
!
».
C’est
un
faut
enseignement
qui
peut
ressembler
au
vrai
par
certains
côtés,
mais
qui
privilégie
toujours
la
volonté
humaine
aux
dépens
de
la
volonté
de
Dieu.
Cet
enseignement
peut‐être
distillé
par
un
faux
Christ
ou
un
faux
prophète.
Il
éloigne
toujours
du
véritable
évangile,
prétendant
le
remplacer.
Combien
il
importe
alors
de
connaître
le
VÉRITABLE
évangile
!
«
Jésus
est
notre
modèle.
S’Il
se
dérobait
à
son
humiliation
et
à
ses
souffrance
st
s’écriait
:
«
Si
un
homme
veut
venir
après
moi
qu’il
se
fasse
plaisir,
qu’il
jouisse
du
monde
et
il
sera
mon
disciple
»,
la
multitude
le
croirait
et
le
suivrait.
Mais
jésus
ne
viendra
sous
aucune
autre
forme
que
celle
de
celui
qui
est
humble
et
crucifié.
Si
nous
voulons
être
avec
Lui
dans
le
ciel,
nous
devons
être
comme
Lui
sur
la
terre.
Le
monde
reconnaît
les
siens
;
et
quiconque
vaincra
doit
abandonner
ce
qui
appartient
à
ce
monde
»
Life
Schetches,
p.
113.
Prenons
comme
exemple
une
déformation
devenant
de
plus
en
plus
courant
dans
nos
milieux
:
Une
subtile
manifestation
du
culte
de
Baal
est
de
considérer
l’amour
de
soi
comme
une
vertu
et
comme
un
devoir.
Le
commandement
qui
dit
d’aimer
notre
prochain
comme
nous‐même
a
été
transformé
en
un
commandement
pour
s’aimer
soi‐
même,
alors
que
le
Seigneur
demande
en
réalité
que
cet
amour
que
nous
avons
pour
nous‐même
dans
notre
nature
irrégénérée
soit
transformée
à
travers
une
véritable
conversion
en
un
amour
pour
notre
prochain
semblable
à
celui
de
Christ.
Le
véritable
respect
de
soi‐même
est
une
toute
autre
affaire.
Il
ne
devient
authentique
qu’en
passant
par
une
appréciation
de
l’amour
de
dieu,
vidé
de
l’égocentrisme
et
qui
s’est
révélé
à
la
croix…
La
véritable
estime
de
soi
est
par
conséquent
enracinée
dans
l’expiation
–
réconciliation
accomplie
par
Christ.
L’amour
du
moi
est
en
fait
une
véritable
antithèse
de
la
consécration
que
nous
portons
à
christ
et
à
son
œuvre
de
salut.
L’ennemi
s’efforce
de
promouvoir
le
culte
du
moi,
de
la
personnalité,
comme
si
c’était
l’à
l’enseignement
du
Christ.
Ceci
est
étranger
à
la
pensée
d’un
peuple
qui
doit
se
préparer
à
la
translation
et
à
l’enlèvement
de
l’église.
Quelle
que
soit
l’intensité
de
notre
profession
de
foi
verbale,
quelqu’importante
que
soit
notre
position
dans
l’église,
chaque
fois
que
le
moi
d’un
officiant
devient
un
but
de
dévotion,
le
culte
de
Baal
est
présent.
Les
formes
multiples
que
prend
ce
culte
sont
presque
effrayantes.
Dans
un
certain
sens,
les
ministres
du
culte
sont
plus
en
danger
que
toute
autre
partie
de
l’église.
La
fonction
ne
détermine
pas
le
caractère.
Là
où
nous
voyons
une
convoitise
de
la
promotion,
une
recherche
d’un
poste,
d’une
place
ou
d’une
fonction
donnant
du
prestige,
ou
d’une
volonté
de
puissance,
motivation
même
inconsciente
du
ministère
pastoral,
nous
avons
des
prophètes
de
Baal.
Souvenons‐nous
de
cette
remarquable
et
terrible
affirmation
d’Ellen
White
:
«
Tout
homme,
qu’il
soit
prédicateur
ou
laïc,
qui
cherche
à
contrôler
la
raison
d’un
autre
homme,
quel
qu’il
soit,
devient
un
agent
de
Satan
pour
faire
son
œuvre
et
à
la
vue
de
l’Univers
céleste,
il
porte
la
marque
de
Caïn
»
S
.D.A.
Bible
Commentary,
Vol.
1,
p.
1087.
Cette
glorification
du
moi
peut
se
trouver
dans
beaucoup
de
nos
pratiques,
devenues
maintenant
habituelles.
Pourquoi
l’église
du
reste
a‐t‐elle
besoin
de
«
plaque,
de
trophées,
d’anniversaires,
de
fêtes,
etc.
?
Cette
pratique
rejoint
celle
du
monde.
»
«
Sommes­nous
des
adorateurs
de
Jehova
ou
de
Baal
?
Du
Dieu
vivant
ou
des
idoles
?
Il
n’y
a
peut­être
pas
de
sanctuaires
visibles
;
Il
n’y
a
peut­être
pas
de
statues
sur
lesquelles
poser
les
regards
;
cependant,
nous
pouvons
pratiquer
l’idolâtrie.
Il
est
tout
aussi
facile
de
se
faire
une
idole
à
partir
d’idées
ou
d’objets
affectionnés
que
de
donner
une
forme
de
dieux
au
bois
ou
à
la
pierre.
Des
milliers
ont
une
fausse
conception
de
Dieu
et
de
ses
attributs.
Ils
servent
aussi
certainement
un
faux
dieu
que
le
firent
les
serviteurs
de
Baal
»
(R.H.
3.12.1908).
«
Dieu
considère
comme
idolâtres
tous
ceux
qui
se
confient
en
luer
propre
sagesse,
en
leurs
propres
inventions,
qui
comptent
sur
leurs
richesses
et
leur
pouvoir
pour
réussir,
qui
tentent
de
s’affermir
par
des
alliances
avec
les
hommes
que
le
monde
appelle
grands,
mais
qui
ne
parviennent
pas
à
discerner
les
exigences
irrévocables
de
a
loi
»
(R.H.
15.3.906).
L’Église
du
reste,
particulièrement
visée.
Inutile
de
dire
que
le
culte
de
Baal
essaie
de
diminuer,
de
restreindre
et
si
possible
d’annuler
l’efficacité
du
sacrifice
du
Christ
pour
notre
salut.
La
décision
de
Caïn
d’offrir
à
Dieu
le
fruit
de
son
travail
n’a
jamais
complètement
disparu
du
cœur
humain,
et
elle
subsiste
aujourd’hui,
même
dans
notre
église.
C’est
une
des
raisons
majeures
pour
lesquelles
nous
apprécions
tant
le
message
donné
en
1888,
c’est
qu’il
fait
prendre
conscience
de
l’ampleur
du
sacrifice
de
Christ,
pleinement
suffisant
pour
sauver
le
pécheur
le
plus
bas
tombé.
Aucune
œuvre,
si
excellente
soit‐elle
aux
regards
humains,
ne
peut
être
ajoutée
à
celle‐là.
Si
l’ont
songe
à
tout
ce
qui
a
été
mis
en
place
par
une
église
apostâtes
pour
obscurcir
et
dénaturer
complètement
pendant
des
siècles
la
valeur
infinie
du
don
de
Dieu
en
Christ,
à
l’interdiction
de
lire
la
Parole
de
Dieu,
à
la
persécution
envers
ceux
qui
y
croyaient,
on
réalise
tant
soit
peu
la
permanence
du
culte
de
Baal
qui
s’est
perpétué
jusqu’à
nos
jours.
Ainsi,
après
quelques
années
d’existence
seulement,
l’église
du
reste
est
retombée
dans
l’ancienne
ornière
et
a
préféré
remplacer
une
foi
basée
sur
l’appréciation
du
sacrifice
de
Christ
par
une
foi
centrée
sur
les
œuvres.
On
a
aimé
l’œuvre
plus
que
le
Maître
de
l’œuvre.
Cet
cette
œuvre,
on
l’a
faite
reposer
sur
des
piliers
humains
bien
fragiles,
incapables
de
la
mener
à
bien.
«
Le
grand
danger
pour
notre
peuple,
c’est
de
dépendre
entièrement
de
l’homme.
Ceux
qui
n’ont
pas
pris
pour
habitude
de
sonder
les
Écritures
par
eux‐mêmes,
évaluant
l’évidence,
mettent
leur
confiance
dans
les
dirigeants
et
en
acceptent
les
décisions.
De
ce
fait,
beaucoup
rejetteront
les
messages
que
Dieu
envoie
à
son
peuple,
si
les
frères
dirigeants
ne
les
acceptent
pas
»
Testimonies
to
Ministers,
pp.
106,
107.
«
Depuis
des
années,
une
tendance
s’est
faite
jour
dans
l’église
et
des
hommes
ayant
quelques
responsabilités
se
conduisent
en
seigneurs
avec
l’héritage
de
Dieu,
ôtant
par
là
même
aux
membres
la
saine
nécessité
de
recevoir
de
Dieu
instruction
et
conseils
quant
à
leurs
devoirs…
Je
le
dis
sans
ambages,
car
il
me
fut
montré
que
prédicateurs
et
membres
sont
de
plus
en
plus
enclins
à
mettre
leur
confiance
dans
la
sagesse
de
la
créature
et
à
faire
de
l’homme
une
panacée…
Ce
message
touche
nos
églises
partout.
Par
cette
fausse
expérience
chrétienne
qui
gagne,
une
influence
décisives
tend
à
exalter
les
moyens
humains
et
amène
certains
à
dépendre
du
jugement
de
l’homme
te
de
son
contrôle.
Cette
influence
écarte
les
âmes
du
Créateur.
Puisse
Dieu
ne
pas
permettre
qu’une
telle
conception
gagne
notre
église
».
Idem.
Pp.
477
–
484.
«
La
Conférence
générale
elle‐même
se
corrompt
par
de
mauvais
sentiments
et
de
faux
principes.
Il
m’a
été
montré
que
la
nation
juive
ne
parvint
pas
soudainement
à
son
système
de
pensée
et
d’action.
Génération
après
génération,
ils
élaborèrent
de
fausses
théories,
mettant
en
valeur
des
principes
opposés
à
la
vérité,
et
peu
à
peu,
ils
mêlèrent
à
leur
religion
des
idées
et
des
modes
d’action
qui
n’étaient
que
le
produit
de
leur
propre
entendement.
Les
additifs
humains
prirent
le
pas
sur
la
révélation.
Les
méthodes
de
Satan
ne
tendent
qu’à
un
but
:
rendre
les
hommes
esclaves
des
hommes…
Cat
esprit
de
domination
gagne
maintenant
nos
présidents
de
Conférences….
Ils
s’engagent
dans
les
voies
du
romanisme.
»
Idem.,
pp.
359
–
362.
Voir
Clair
et
agir
en
conséquence.
Malgré
tant
d’avertissements
mille
fois
répétés,
comment
Dieu
va‐t‐Il
considérer
de
telles
dérives
?
Se
contentera‐t‐Il
d’un
culte
exubérant,
caractérisé
par
des
louanges,
ignorant
la
repentance
véritable
?
Comment
peut‐on
prétendre
couvrir
des
fautes
si
graves
et
si
profondes
en
anticipant
la
fête
qui
doit
couronner
et
achever
l’expérience
terrestre
lorsque
nous
arriverons
dans
la
Sainte
Cité
?
Cette
terre
est‐elle
un
lieu
de
réjouissance
ou
de
douleur
?
Alors
que
Jésus
et
le
ciel
tout
entier
souffrent
de
ne
pouvoir
revenir
parce
que
Son
peuple
n’est
pas
prêt,
on
veut
Le
satisfaire
par
un
ersatz
de
consécration.
Comment
Dieu
peut‐Il
considérer
une
telle
inconséquence
?
Notre
discernement
spirituel
personnel
risque
d’être
influencé
par
le
monde
qui
nous
entoure
et
pénètre
de
plus
en
plus
dans
les
églises.
«
Plus
l’église
s’approche
du
monde,
plus
elle
s’éloigne
de
Christ,
plus
elle
se
rapproche
du
Christ,
plus
elle
s’éloigne
du
monde
»
écrit
Ellen
white.
Nous
«
baignons
»
dans
une
ambiance
d’où
sont
exclus
la
simplicité,
la
sobriété,
le
goût
du
travail,
le
respect
de
la
parole
donnée
etc.
toutes
choses
qui,
nous
dit‐on,
sont
«
passées
de
mode
».
Mais
ce
n’est
pas
ce
qu’affirme
l’évangile.
Et
voyons
les
résultats
!
Ils
sont
visibles
tous
les
jours
au
fil
des
informations
qui
parviennent
de
tous
les
horizons.
Quant
à
la
7ème
église,
la
dernière
qui
doit
achever
l’œuvre,
nous
constatons
avec
inquiétude
qu’elle
recherche
une
nouvelle
organisation,
de
«
nouvelles
structures
»
(voir
B.I.A.
mai
2006)
pour
s’adapter
au
nouveau
mode
de
vie
imposé
par
l’informatique.
Ce
n’était
certes
pas
là
le
plan
de
Dieu
qui
ne
voulait
pas
de
long
délai
rendu
nécessaire
par
le
rejet
de
la
lumière
et
le
refus
de
la
repentance.
Voilà
l’urgence
de
ce
temps
de
perplexité
et
de
déséquilibre.
C’est
un
temps
où
chacun
doit
prendre
sa
décision
face
au
Seigneur,
sans
se
laisser
influencer.
Nous
devons
agir
comme
le
fit
Jean‐Baptiste
qui
ne
se
laissa
pas
intimider
par
les
docteurs
en
Israël
et
apporta
le
message
pour
son
époque
sans
hésitation
ni
recul.
«
Jean
n’avait
pas
sollicité
l’autorisation
du
Sanhédrin
pour
accomplir
Son
œuvre
».
Jésus­Christ,
p.
114.
Malgré
nous,
nous
pouvons
dévier
dans
nos
conceptions
en
ce
qui
concerne
l’attente
de
Dieu
à
notre
égard.
Aussi
avons‐nous
besoin
de
«
guides
»
et
le
Seigneur
ne
nous
en
a
pas
privés.
«
Règle
sur
règle,
précepte
sur
précepte,
Il
a
tout
fait
pour
que
nous
n’errions
pas
dans
l’obscurité
favorable
aux
tentations
de
l’ennemi.
Nous
sommes
mis
en
garde
contre
les
séductions
finales,
bien
que
nous
n’ayons
pas
pu
prévoir,
humainement,
jusqu’à
quel
point
elles
iraient.
Posons‐nous
la
question
:
Est‐ce
le
Dieu
des
cieux
que
nous
servons
ou
un
dieu
que
nous
avons
fait
à
notre
mesure
?
Pour
savoir
comment
Dieu
veut
être
servi,
nos
propres
impressions
ne
suffisent
pas.
Il
nous
faut
un
guide
extérieur
à
notre
conscience
affaiblie.
À
la
place
de
la
véritable
adoration,
Satan
en
propose
une
autre
dont
les
défauts
sont
tellement
indécelables
au
premier
coup
d’œil
que
beaucoup
de
chrétiens
l’adoptent.
En
marchant
dans
cette
voie,
on
ne
recherche
plus
la
volonté
expresse
de
Dieu,
mais
on
suit
des
plans
humains,
dans
le
but,
évidemment,
d’obéir
aux
ordres
de
l’Évangile.
Mais
on
veut
obéir
selon
des
vues
personnelles,
en
ne
mettant
plus
les
plans
de
Dieu
et
Sa
cause
au
premier
rang.
On
en
arrive
très
vite
à
faire
partie
de
ceux
qui
ne
peuvent
plus
juger
d’un
problème
spirituel
par
eux‐mêmes,
mais
se
sentent
obligés
de
partager
l’opinion
d’un
pasteur,
d’un
enseignant,
d’un
comité
pour
être
dans
la
bonne
voie.
La
ligne
de
démarcation
entre
les
deux
positions
peut
sembler
floue,
imprécise,
mais
si
elle
l’est
dans
les
faits
extérieurs,
elle
ne
l’est
pas
dans
les
motivations
profondes
et
secrètes.
D’un
côté,
c’est
Dieu
que
l’on
sert,
en
dépit
de
tout,
des
critiques,
des
incompréhensions,
des
faits
déformés,
etc.
On
cherche
à
rester
fidèle
à
la
vérité
comme
l’aiguille
de
la
boussole
au
pôle.
De
l’autre
côté,
le
compromis
ne
fait
pas
reculer
s’il
peut
assurer
plus
de
tranquillité,
de
succès
immédiat,
d’approbation
de
l’entourage,
etc.
Faites­vous
plaisir
!
Tel
est
le
mot
d’ordre
dans
le
monde,
et
il
pénètre
de
plus
en
plus
dans
l’église.
Sans
doute
pour
essayer
de
compenser
tout
ce
qui
va
si
mal,
le
remède
proposé
n’est
pas
de
faire
marche
arrière,
mais
au
contraire
de
s’enfoncer
davantage
encore
dans
cette
recherche
du
plaisir.
Il
n’y
a
qu’à
voir
ce
qu’est
devenu
le
sport
de
compétition,
la
façon
dont
il
draine
l’attention
des
foules
;
voir
aussi
les
files
d’attente
es
voitures
sur
les
autoroutes
pendant
les
week‐ends,
la
recherche
continuelle
d’un
«
plu
»
dans
la
manière
d’occuper
les
heures
de
loisirs.
Là
on
accepte
volontiers
les
fatigues,
les
stress,
les
risques
d’accident,
les
crédit
pénalisants,
etc.
Une
vie
privée
de
tous
ces
«
avantages
»
paraît
terne
et
invivable.
L’être
humain
n’a
plus
le
courage
de
rester
seul
face
à
lui‐même,
de
réfléchir,
de
méditer
sur
le
sens
de
sa
vie,
sur
le
compte
qu’il
devra
en
rendre
un
jour.
Il
a
besoin
de
s’étourdir,
de
penser
par
l’intermédiaire
des
autres.
Sur
le
plan
spirituel,
cela
peut
mener
très
loin
et
mettre
justement
en
cause
le
salut.
Voyager
d’un
endroit
à
l’autre,
seul
ou
en
groupe,
«
s’éclater
»
suivant
le
terme
à
la
mode,
tout
cela
rassure
beaucoup
de
gens
incapables
de
discerner
la
profonde
inquiétude
qui
ronge
leur
vie.
Celle‐ci
finit
par
devenir
indécelable
à
force
de
la
méconnaître.
Et
on
va
trouver
un
remède
dans
une
forme
de
culte
de
Baal
;
ce
ne
sera
pas
forcément
quelque
chose
de
réellement
condamnable,
mais
quelque
chose
qui
aveugle,
qui
séduit,
qui
entraine
finalement
sur
un
chemin
dangereux.
Nous
visons
au
temps
de
l’expiation
finale.
N’oublions
pas
que
nous
vivons
le
temps
anti
typique
du
Yom
Kippour
d’Israël.
Ce
n’était
pas
le
moment
de
l’exaltation
personnelle,
des
danses,
des
chants,
de
la
glorification
des
talents
personnels
;
mais
un
temps
de
réflexion,
de
silence,
de
recueillement,
d’examen
intérieur,
de
repentance.
L’enjeu
était
grave
et
il
l’est
d’autant
plus
aujourd’hui
que
nous
sommes
au
temps
de
la
fin,
après
lequel
aucune
autre
possibilité
ne
sera
offerte.
Comparons
l’attitude
d’Élie
au
Mont
Carmel
à
celle
des
prophètes
de
Baal
et
nous
aurons
une
idée
de
ce
qui
sépare
les
adorateurs
du
vrai
Dieu
de
ceux
de
Baal.
Il
était
obéissant,
recueilli,
confiant
en
la
puissance
de
Dieu
et
non
dans
la
sienne.
Quel
contraste
avec
l’agitation
bruyante
et
désordonnée
des
prêtres
de
Baal.
Finalement
devant
la
puissance
de
Dieu,
l’ennemi
doit
reculer.
Ainsi,
nous
dirons,
sur
le
plan
pratique,
immédiat,
journalier
que
celui
qui
ne
veut
pas
être
adorateur
de
Baal
doit
apprendre
à
se
maîtriser,
à
dominer
par
la
prière
les
tendances
de
sa
nature
qu’il
sent
contraires
à
la
volonté
de
Dieu,
mettre
au
premier
rang
de
ses
préoccupations
la
cause
de
Dieu,
à
la
place
de
ses
intérêts
personnels,
ne
pas
rechercher
l’approbation
humaine
avant
celle
de
sa
conscience.
Les
gloires
et
les
avantages
de
ce
monde
n’ont
plus
d’attraits
pour
lui.
Par
amour,
il
se
fait
esclave
de
Celui
qui
est
Tout
pour
lui.
Une
prise
de
conscience
nécessaire.
Oui,
notre
salut
en
dépend
vraiment
car
si
l’Esprit
de
dieu
parle
encore
aujourd’hui,
Il
se
retire
de
plus
en
plus,
à
force
d’avoir
été
ignoré
et
rejeté.
La
patience
de
Dieu,
admirable
et
persistante,
cessera
un
jour
qui
n’est
peut‐être
plus
très
lointain.
Une
possibilité
nous
est
encore
offerte
de
connaître
une
véritable
conversion
sous
son
influence,
une
conversion
qui
mette
Christ
à
la
place
du
«
moi
»
dans
notre
cœur
et
dans
notre
emploi
du
temps.
La
révélation
intérieure
de
notre
état
de
péché
ne
peut
venir
qu’en
contemplant
la
personne
de
Jésus
et
ses
«
charmes
incomparables
».
Alors,
nous
ne
nous
complairons
plus
en
nous‐mêmes.
Nous
ne
chercherons
plus
à
éviter
les
souffrances
pour
Christ
;
au
contraire,
nous
en
serons
honorés.
«
Ceux
qui
sont
fidèles
à
leur
vocation
en
tant
que
messagers
de
Dieu
ne
chercheront
pas
leur
propre
honneur
;
l’amour
de
soi
disparaîtra
par
amour
pour
le
Christ
».
Les
élus
des
derniers
jours
ne
s’apitoieront
pas
sur
eux‐mêmes
parce
que
leur
message
n’est
pas
apprécié
par
la
majorité.
Ils
ne
se
lamenteront
pas
quand
leurs
paroles
feront
froncer
les
sourcilles
ou
quand
on
menacera
leur
vie.
Ils
ne
s’en
prendront
pas
à
leurs
opposants
par
dépit.
Intrépides
mais
pleins
de
tact,
ils
annonceront
le
message
que
Dieu
leur
a
confié,
quelles
que
soient
les
conséquences.
Ils
ne
déploreront
pas
leur
impopularité.
Cette
considération
est
importante.
«
Ce
n’est
pas
le
moment
pour
le
peuple
de
Dieu
de
se
montrer
faible
».
J’ai
souvent
entendu
des
adventistes
raisonner
ainsi
«
Moi,
je
préfère
mourir
avant
tous
ces
évènements
qui
seront
trop
difficiles
à
vivre
».
Qu’ils
prennent
garde
alors,
de
ne
pas
tomber
sous
le
coup
de
cette
condamnation
:
«
Le
Seigneur
a
de
l’aversion
pour
l’indifférence
et
l’infidélité
manifestées
au
cours
des
crises
que
traverse
son
œuvre.
Tout
l’univers
s’intéresse
d’une
manière
inexprimable
aux
dernières
scènes
de
la
grande
lutte
entre
le
bien
et
le
mal.
Le
peuple
de
dieu
approche
des
rivages
du
monde
éternel
;
que
peut‐il
y
avoir
de
plus
important
pour
lui
que
de
rester
fidèle
au
Très‐Haut
?
»
Prophètes
et
Rois,
p.
107.
Satan
n’a
pas
pu
s’opposer
au
plan
du
salut,
mais
il
concentre
tous
ses
efforts
pour
en
empêcher
la
compréhension
et
la
réalisation.
Il
trouve
dans
le
cœur
humain
un
appui
remarquable.
Que
de
fois,
l’homme
se
fait
l’allier
de
Satan
pour
repousser
l’action
de
l’Esprit
de
Dieu.
Qui
d’entre
nous
pourrait
se
vanter
de
ne
l’avoir
jamais
fait
?
Bien
que
ce
soit
folie
de
sa
part,
Satan
n’a
pas
perdu
l’espoir
de
supplanter
son
rival,
Jésus‐Christ.
Oubliant
qu’il
n’est
qu’une
créature
face
au
Créateur
et
comprenant
mal
la
patience
manifestée
par
Dieu,
il
espère
encore
dominer
l’univers.
Tout
ce
qu’il
fait
sur
cette
terre
ne
peut
que
faire
prendre
en
horreur
ses
méthodes
et
son
esprit.
Face
à
ceux
qui
discernent
son
jeu,
il
adopte
la
séduction
mensongère.
C’est
pourquoi
jésus
a
lancé
ce
terrible
avertissement
lors
de
son
ministère
terrestre
:
«
Il
s’élèvera
de
faux
Christs
et
de
faux
prophètes
;
ils
feront
de
grands
prodiges
et
des
miracles
au
point
de
séduire,
s’il
était
possible
MÊME
LES
ÉLUS.
»
Qui
sont
ces
élus
et
en
faisons‐nous
partie
?
Apparemment,
ce
sont
ceux
qui
résisteront
jusqu’à
l’extrême
limite
aux
tentations
subtiles
et
insidieuses
de
l’ennemi.
Mais
bien
sûr,
ils
ne
possèdent
aucune
force
en
eux
pour
le
faire.
Celle‐ci
ne
peut
leur
venir
que
d’en‐Haut.
Ils
sont
décrits
dans
le
livre
de
l’Apocalypse
comme
ceux
qui
vont
acclamer
Jésus
venant
sur
les
nuées
du
ciel.
Auparavant,
ils
auront
reçu
une
force
spéciale
pour
traverser
ce
temps
par
la
pluie
de
l’arrière‐saison.
Le
point
culminant
et
final
du
Culte
de
Baal
sera
l’apparition
de
Satan
voulant
imiter
le
retour
du
Christ.
Il
parlera
d’une
voix
mélodieuse.
Seuls
ceux
qui
auront
étudié
les
Écritures
pourront
lui
résister.
Plus
le
temps
passe,
plus
on
constate
que
l’engagement
inconditionnel
avec
Dieu
devient
rare.
Remettre
la
direction
de
sa
vie,
de
ses
pensées,
de
son
service
à
Celui
qui
est
toute
Sagesse
et
nous
aime
plus
que
personne
d’autre
paraît
être
une
véritable
prouesse
qu’on
s’y
refuse.
Chaque
individu
veut
garder
«
les
choses
en
mains
»
en
ce
qui
le
concerne.
Les
limites
de
la
confiance
en
Celui
qui
dispose
toutes
choses
pour
notre
bien
présent
et
éternel
sont
vîtes
atteintes.
La
perplexité
puis
le
doute
s’installent.
Tout
ceux
qui
n’ont
pas
opté
pour
une
consécration
totale
à
Dieu,
qui
ménagent
encore
des
«
aires
»
d’indépendance
vis‐à‐vis
de
Lui
sont
en
danger.
Si
Dieu
nous
demande
notre
cœur,
tout
notre
cœur,
ce
n’est
pas
pour
nous
réduire
en
esclavage
comme
le
fait
Satan
mais
au
contraire
pour
nous
protéger
et
nous
rendre
heureux.
Car
Il
sait
que
sans
LUI,
sans
Sa
protection
de
chaque
instant,
il
y
a
pour
nous
un
péril
constant.
Que
le
Saint
Esprit
nous
soutienne
comme
Il
l’a
fait
pour
tous
les
vrais
témoins
au
cours
des
âges.
Madeleine
VAYSSE.
NOTE
:
Ces
pages
contiennent
des
extraits
d’un
article
de
Fr.
D.
Short
intitulé
«
le
culte
de
Baal
»
ainsi
que
du
livre
«
Prophète
de
feu
»
de
Brian
Jones.