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SYSTÈME + DESIGN
Verre titane Buderus
Technologie ALU plus
Design intelligent
Efficience énergétique A+
Optimisation du système
Internet et applis
Confort écran tactile
Une apparition
impressionnante
Image : Ventura/shutterstock.com
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Verre titane
Chères lectrices, chers lecteurs,
Bien avant l’ouverture de la Swissbau 2016, nous sommes
d’ores et déjà persuadés que nous saurons vous étonner. Et
ce, à juste titre. Nous avons en effet créé l’événement dans
notre secteur grâce à notre nouvelle ligne d’appareils de chauffage, leurs spécificités techniques et leur design inédit.
Vous avez aujourd’hui entre les mains le nouveau magazine
Buderus – qui se distingue nettement, lui aussi, de son prédécesseur. Non seulement l’emballage est différent, mais le contenu vous surprendra également. Dans ce magazine, nous ne
nous focalisons pas sur les produits et leurs avantages, mais
souhaitons vous distraire avec des reportages passionnants et
informatifs. Pas de rapports techniques par conséquent, mais
des rubriques étroitement liées à nos générateurs de chaleur.
32 Design intelligent
Plus qu’une simple optique
Ces articles sont directement liés aux caractéristiques spécifiques de notre nouvelle ligne d’appareils de chauffage tel que
le design intelligent, l’optimisation du système, le confort de
l’écran tactile ou le verre titane. Nous établissons un lien entre
les techniques de chauffage et le corps humain, les sciences,
les phénomènes naturels ou l’architecture. Sans compter une
petite excursion dans l’espace.
Je vous souhaite d’agréables moments avec la lecture de cette
édition spéciale du magazine Buderus.
Claudio Balestrero, CEO
Buderus Technique de chauffage SA
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Mentions légales
Editeur :
Bosch Thermotechnik GmbH
Buderus Deutschland
Sophienstraße 30 – 32, D-35576 Wetzlar
www.buderus.de
Edition Buderus Suisse 2016
Buderus Heiztechnik AG
Netzibodenstrasse 36, CH-4133 Pratteln
www.buderus.ch, [email protected]
Rédaction :
Melanie Lauterbach, Jörg Bonkowski, Wolfgang
Diebel, Tilman Faust, Luc Geerinck, Thomas
Pelizaeus, Communication Consultants
(Stuttgart)
Buderus – le magazine
Sommaire
Optimisation du système
Totalement détaché
Image : DenisNata/shutterstock.com
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Confort écran tactile
Touché
Image : aeiddam0853578919/shutterstock.com
Image : Mikhail Bakunovich/shutterstock.com
Image : ullstein bild Rex Features/NASA
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38 Technologie ALU plus
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Internet et
applications
Une interconnexion
optimale
Buderus – le magazine
Image : Heike Lyding
Image : ktsdesign/shutterstock.com
Une affaire de soins
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Efficience
énergétique A+
Des prestations
performantes
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Buderus – le magazine
Totalement
détaché
Image : Naeblys/Shutterstock.com
La station spatiale ISS, l’un des objets
les plus fascinants créés par la main de l’homme,
évolue à 400 kilomètres d’altitude.
Buderus – le magazine
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Il en va de même pour la station spatiale internationale (International
Space Station), construite fin des
années 90. Elle défie l’apesanteur
dans l’espace tout en restant dans
l’orbite terrestre, relativement proche de notre planète bleue. Rares
sont ceux qui ont pu pénétrer dans
l’ISS. Jusqu’ici, 216 personnes sont
montées à bord de ce chef-d’œuvre
technique et ont pu admirer 16 couchers de soleils par jour. Parmi eux,
sept touristes disposant des deniers
nécessaires.
Depuis 1998, des travaux sont en
cours sur le plus grand bâtiment artificiel de l’orbite terrestre. En novembre 2000, le premier équipage permanent y a pris ses quartiers. Le succès de ce projet international commun auquel participent 16 nations,
La station spatiale internationale
ISS est constituée de nombreux
composants standardisés – ce qui
présente un grand avantage.
est basé sur l’expertise d’ingénieurs
et de cosmonautes chevronnés – et
un concept élaboré : la structure modulaire.
Le système parfait
Le fait que l’ISS soit constituée de
Poste de travail avec vue panoramique : intervention extérieure sur l‘ISS.
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plusieurs composants standardisés, présente un grand avantage :
de nouveaux modules peuvent être installés de manière flexible par
des nœuds de raccordement permettant d’agrandir la station. Ces
dernières années, plusieurs mis-
sions individuelles ont contribué à
l’extension de l’ISS qui présente
aujourd’hui une envergure finale de
109 mètres et une largeur d’environ
30 mètres. Cette station spatiale,
actuellement la plus importante, pèse plus de 450 tonnes. Les diffé-
Image : ullstein bild AP
C’
était dans les années
80, alors que la « nouvelle vague » allemande déferlait sur le pays. Avec entre autres le chanteur Peter Schilling
et son tube qui résonne aujourd’hui
encore des haut-parleurs de nos radios : totalement détaché de la terre,
le vaisseau spatial flotte – en apesanteur.
Buderus – le magazine
Chambre avec vue
Cupola est probablement la plus
fascinante des chambres : avec six
fenêtres latérales et une fenêtre médiane de 80 centimètres de diamètre, cette plateforme d’observation
installée en 2010 offre aux cosmonautes un panorama incompara-ble
sur la terre mère et l’espace infini de
l’univers. L’astronaute Chris
Hadfield, entre autres, y a chanté sa
reprise de Space Oddity de
Buderus – le magazine
Image : ullstein bild AP
Image : ullstein bild Rex Features/NASA
Evolution successive : un nouveau module est installé sur l’ISS
Image : ullstein bild Rex Features/NASA Shutterstock
Le module de transport et de propulsion russe Zarya a été chargé des
premières missions. Après plusieurs
voyages par navette spatiale pour
amener le premier nœud de raccordement et l’équipement jusqu’à la
station, le module d’habitation et de
navigation russe Svezda a pris le relais. Ce module d’environ 13 fois
4 mètres abrite plusieurs cabines
d’habitation, des dispositifs de commande, systèmes de support en vie,
équipements sanitaires, cuisines et
appareils d’entraînement. De nombreux autres composants comme
Destiny, le module laboratoire américain de l’ISS, des sas et des nœuds
de raccordement font de la station
spatiale un lieu de vie et de travail
pour l’équipage. Plusieurs voiles solaires orientées en partie par rapport
au soleil par un dispositif de rotation,
assurent une alimentation suffisante
en énergie.
Image : ullstein bild Rex Features/NASA Shutterstock
rents modules ont été transportés
en orbite l’un après l’autre à l’aide de
lanceurs et de navettes spatiales,
puis rattachés à la station. De nouvelles missions avec d’autres composants sont prévues au cours des
prochaines années.
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David Bowie – avec plus de 25 millions de vues, la vidéo connaît jusqu’à
aujourd’hui un immense succès international.
A l’œil nu
La station spatiale internationale
ISS est bien visible depuis la terre :
lorsqu’elle se trouve au zénith, elle
brille 25 fois plus que Sirius, l’étoile
la plus lumineuse. Elle se voit donc
à l’œil nu sous forme d’un point qui
traverse l’espace, faisant une fois le
tour du globe en 93 minutes environ.
Par contre, elle disparaît rapidement
après à peine six minutes en raison
de sa vitesse d’environ 28 000 kilomètres par heure. A l’inverse, il est
possible de voir la terre depuis l’ISS,
via Lifestream sur le site
www.esa.int – grâce au système
HDEV (High Definition Earth Viewing), plusieurs caméras HD étant installées sur la station. Major Tom serait fasciné.
Au départ, le fonctionnement de
l’ISS était fixé à 15 ans – sa durée
aurait déjà pris fin en 2013. Un nouvel échéancier prévoit que la station
spatiale aura fait son temps en 2028.
Elle connaîtra alors probablement
une fin moins glorieuse : l’ISS doit
être immergée dans l’océan.
Optimisation du
système
La nouvelle génération des installations de chauffage Buderus
permet de faire évoluer les équipements existants à n’importe
quel moment en rajoutant des
composants hydrauliques pour
d’autres circuits de chauffage et
énergies régénératives.
La structure modulaire offre une flexibilité maximale.
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Image : ullstein bild Rex Features/NASA
Centrale de chauffage gaz compacte à condensation Logamax
plus GB192iT : peut évoluer facilement vers un système hybride
GBH ; optimisation du système
pour le raccordement de deux
circuits de chauffage sous le carénage ; intégration d’énergies
régénératives via un mélangeur
hybride de série.
Chaudière gaz à condensation
Logamax plus GB192i : évolutive avec un vase d’expansion à
membrane de 15 litres ou un autre module EMS plus ; raccordements chauffage, gaz et fumées
compatibles avec les modèles
précédents à partir de 1995*.
*valable pour Logamax plus GB112-24,
29 ; GB142-15 à 30 ; GB162-15 à 45
www.buderus-zukunft.ch
Buderus – le magazine
Sur les appareils de la ligne titane, le module de commande Logamatic RC300 est intégré dans un tiroir.
Buderus – le magazine
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A environ 2,5 centimètres,
l’embryon commence à sentir
quelque chose. Le sens du toucher est le premier sens et le
plus élémentaire qui se forme
chez l’être humain.
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Image : DenisNata/shutterstock.com
Touché
Buderus – le magazine
C
haud, froid, douloureux,
agréable : 300 à 600 millions de récepteurs sont
placés dans notre peau, enregistrant
en permanence des stimuli qu’ils
transmettent au cerveau sous forme d’impulsions électriques. Ils sont
notre lien avec le monde extérieur et
notre principal « moteur d’évolution ».
Le fœtus explore déjà dans le ventre de sa mère en donnant des
coups, afin d’acquérir le sentiment
d’exister. Les bébés et les petits enfants « comprennent » le monde
par les mains et la bouche. Ils apprennent la bonne coordination des
mains, la force qui leur est nécessaire pour saisir tel ou tel objet, comment avancer et comment s’orienter
dans l’espace.
La base de l’évolution
Le sens du toucher représente la
base de l’évolution motrice, émotionnelle, cognitive et linguistique.
Les quatre autres sens ne se développent que progressivement. La
vue, par exemple, prend peu à peu
de l’importance – mais ne peut pas
remplacer le toucher. Les choses ne
sont réelles pour nous que lorsque
nous les touchons. Nous vérifions
une chose en la touchant. Ce n’est
qu’en la tâtant que nous savons si
une pêche rouge est aussi mûre et
juteuse qu’elle en a l’air. Le grimpeur
vérifie d’abord avec son pied à quel
endroit précis il peut faire le prochain
pas.
Nous caressons ce que nous
aimons
Sentir, c’est la sécurité et la vérité – même dans les relations humaines. Une poignée de main en dit plus
long que mille mots : est-elle forte ou plutôt molle ? L’étreinte est-elle fugace ou puissante ? Les contacts nous fournissent des renseignements sur la personne qui nous
fait face, ils génèrent un sentiment
de proximité et sont essentiels à notre bien-être.
Si nous caressons et sommes caressés souvent, nous sommes plus
heureux, plus détendus et mieux
équilibrés. Car les récepteurs très
actifs du sens tactile stimulent le
cerveau tout en renforçant le système immunitaire. D’ailleurs nous ne
pouvons pas faire autrement. Nous
touchons ce que nous trouvons
beau et ce que nous aimons : le volant ou les sièges de la nouvelle voiture, la matière de notre veste préférée, le nouveau divan, la table en
bois, la photo de notre compagnon
– ou notre Smartphone. C’est parce que nous ne nous contentons pas
uniquement de voir nos semblables et les objets qui nous entourente, mais parce que nous les touchons également, que nous pouvons les « expérimenter ». Ce
n’est pas pour rien que vous trouverez dans beaucoup d’expositions
l’avertissement « Ne pas toucher ».
Car l’être humain veut « saisir » son
environnement de manière intuitive –
avec le sens du toucher en tant que
navigateur.
Confort écran tactile
La commande de la nouvelle ligne d’appareils de chauffage
Buderus est aussi claire que son
design : auto-explicative, intuitive et confortable, via écran tactile avec messages textes.
Les clients peuvent modifier les
réglages de base avec le module
de commande élégamment intégré sur la partie frontale.
Quant aux chauffagistes, le module de commande Logamatic
RC300, complété de fonctions
confort, peut leur être installé
dans l’appareil avec une grande
facilité d’accès.
www.buderus-zukunft.ch
Buderus – le magazine
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Séduits par Buderus
« Ces appareils sont trop
beaux pour la chaufferie »
Le design est très réussi, trop beau en fait pour installer les appareils dans une chaufferie. Nous avons déjà constaté par le
passé que l’esthétique peut également motiver l’achat. En voyant
les nouveaux appareils la première fois, j’ai tout de suite remarqué la partie frontale en verre, c’est vraiment quelque chose de
particulier. J’étais d’abord un peu sceptique en ce qui concerne
la robustesse. Mais lorsque j’ai lancé un ballon de foot dessus et
que rien ne s’est passé, j’étais convaincu.
Roland Hartmann
« Le verre titane m’a étonné »
Le nouveau design au verre titane m’a surpris. Je trouve le
verre très robuste et attrayant. Les réactions de nos clients
à qui nous avons montré la documentation correspondante,
étaient très positives. La commande par écran tactile est la
même que celle des téléphones portables et autres appareils
électroniques, cette solution aussi me plaît bien. Et le tableau
de commande s’harmonise bien avec l’aspect moderne de
l’ensemble de l’installation. Pour moi, en tant que directeur du
service après-vente, l’accessibilité représente un critère essentiel. Buderus a tenu compte des exigences de la pratique
pour développer ses produits.
Siegfried Eigl
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Buderus – le magazine
« Je vends des installations de
chauffage surtout par l’émotionnel »
Avec un bon design, je peux susciter plus d’émotions
chez le client qu’avec la technique. Les décisions sont
prises avec les tripes. Un design intelligent signifie pour
moi, en tant que chauffagiste, une esthétique attrayante,
une installation facile à monter et facile à utiliser par le client. Ce qui est le cas ici avec la livraison de la chaudière,
du ballon et du carénage dans des cartons différents, le
nettoyage pratique par l’avant de l’échangeur thermique
ou la conversion confortable de la catégorie de gaz.
Konrad Raith
« Ce nouveau design est un très
bon argument de vente »
La première impression est super ! Ce design moderne attire l’attention en
particulier des clients plus jeunes également. J’imagine que c’est un très
bon argument de vente. J’évalue positivement la structure modulaire des
appareils, ici Buderus a su anticiper. Sans grandes dépenses, des composants supplémentaires peuvent être intégrés et le système développé
ultérieurement. Sous le carénage, tout a l’air très bien rangé. Les détails
comme le collecteur d’eau de l’échangeur thermique montrent que
Buderus a développé les produits en étroite collaboration avec les chauffagistes.
Michael Gut
Buderus – le magazine
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Buderus – le magazine
Image : Ventura/shutterstock.com
L’étoffe dont sont
faits les rêves
Transparent, robuste et intelligent : le verre façonne
l’architecture moderne et se diversifie toujours
davantage.
L
e verre est plus qu’un matériau de construction. C’est un
symbole de notre mode de
vie contemporain. Nous préférons
habiter dans des pièces claires, dotées de grandes surfaces vitrées.
Nous travaillons derrière des façades en verre et faisons nos achats
sous des coupoles en verre. Nous
visitons des musées aux constructions vitrées spectaculaires et des
villes dont les paysages urbains sont
façonnés par des tours en verre.
Peut-être est-ce l’aspect contradictoire du verre qui nous fascine tant.
Le verre est dur et cassant, mais
c’est en réalité un liquide figé, un
produit de fusion qui refroidit sans
cristallisation, adoptant un état solide. Il est fragile et pourtant si robuste qu’il peut supporter de grandes
charges. En tant que matériau transparent, il nous relie visuellement au
monde extérieur tout en nous en
protégeant. Le verre joue avec la lumière et les couleurs. Il peut laisser
passer la lumière ou la refléter, la di-
Buderus – le magazine
riger ou la briser, la scinder en différentes couleurs spectrales.
Un effet attrayant
Bien que le verre fasse partie des
plus anciens matériaux de l’humanité, son potentiel est encore loin
d’être entièrement exploité. Les
architectes aiment le façonner et le
solliciter au maximum de ses possibilités – entre autres pour attirer les
visiteurs.
A Berlin, la coupole en verre du
Reichstag est l’une des principales
attractions de la ville. Cette construction, conçue par Sir Norman
Foster, a été inaugurée peu de
temps avant la fin du millénaire
lorsque le Bundestag emménageait
à Berlin. Haute de 23 mètres et
large de 40 mètres, la coupole sert
d’une part à l’éclairage. D’autre part,
elle est ouverte au public. Depuis
la terrasse du toit, les visiteurs accèdent par deux rampes en forme
de spirale à une plateforme panoramique d’où ils bénéficient d’une vue
splendide sur Berlin, tout en regardant les députés travailler. Grâce
à sa légèreté et sa transparence,
cette coupole en verre devient ainsi
le symbole de la démocratie.
Un rôle central
Dans la Zeil, la célèbre rue commerçante de Francfort, la façade
du centre commercial MyZeil de
l’architecte Massimiliano Fuksas,
saute aux yeux. Elle se cambre vers
l’intérieur sous forme d’entonnoir
et n’est identifiable, en tant qu’ouverture traversante par laquelle on
aperçoit le ciel, qu’en la regardant
de face. A l’intérieur, un deuxième
entonnoir en verre traverse le bâtiment de haut en bas. Non seulement il alimente l’immeuble avec la
lumière du jour mais il fait également
partie intégrante de la structure porteuse. Les eaux de pluie qui coulent
dans l’entonnoir sont collectées,
nettoyées puis utilisées. Les visiteurs peuvent se rendre jusque sous
le toit en empruntant l’un des plus
grands escalators d’Allemagne –
15
ment l’enveloppe du bâtiment mais
également la structure porteuse,
sont entièrement en verre. Dans
l’espace intérieur, les visiteurs utilisent un escalier totalement vitré
pour passer du rez-de-chaussée au
niveau inférieur.
Un matériau à records
Le verre assure une fonction porteuse au vrai sens du terme. Le Skywalk, plateforme d’observation pa-
Skywalk au-dessus du Grand Canyon aux Etats-Unis.
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noramique surplombant le Grand
Canyon, en est un exemple célèbre.
Les visiteurs qui se risquent à marcher sur les plaques en verre en se
tenant à la rampe vitrée, choisissent
de faire confiance à la capacité de
charge du matériau. Même la Chine
bat des records dans ce domaine avec, entre autres, le pont suspendu en verre le plus long du monde, ou les plus hautes plateformes
d’observation en verre.
Image : jorik/iStock.com
une construction en verre-acier avec
vue sur les gratte-ciel de Francfort
– et passer devant les boutiques en
redescendant.
Les entreprises comme Apple utilisent le verre pour afficher leur esprit d’innovation : dans la 5e avenue
de New York, le « Flagship Store »
d’Apple se présente sous forme de
dé minimaliste en verre, montrant
ce qu’il est possible de faire de nos
jours avec ce matériau. Non seule-
Image : Jchambers/shutterstock.com
La construction en verre du centre commercial MyZeil à Francfort sur le Main allie esthétique et fonctionnalité.
Buderus – le magazine
Ce matériau n’évolue pas seulement
du point de vue statique. Il nous
protège aussi de mieux en mieux
entre autres de la chaleur, du soleil
et du son. Le triple vitrage actuel isole aussi bien que la maçonnerie. Le
principe du sandwich – plusieurs vitres, films et couches – font du verre
un matériau high-tech. Le verre assume la fonction de stores, de centrales électriques, de moniteurs ou
de systèmes d’alarme. Il existe déjà des verres capables de modifier
leur transparence et de devenir laiteux par simple pression sur un bouton. Les teintes aussi sont de plus
en plus utilisées. Des LED peuvent
ainsi éclairer des façades entières
en verre à double paroi. La lumière
de chaque paroi est réglable individuellement. Les valeurs des teintes
et de la luminosité peuvent être modifiées à la vitesse de l’éclair. Les
bâtiments se transforment ainsi la
nuit en sculptures lumineuses transparentes dont certaines dépassent
l’imagination.
« Walk of Faith » sur la montagne de Tianmen en Chine.
Buderus – le magazine
Bild: vichie81/shutterstock.com
Un verre intelligent
Image : cozyta/shutterstock.com
Le verre façonne le panorama urbain des villes modernes
comme Hongkong.
Verre titane
L’habillage frontal des nouveaux
systèmes de chauffage est en
verre titane Buderus est disponible en noir ou blanc. La surface
haute qualité se fait discrète tout
en attirant le regard. Elle est robuste et facile à nettoyer, son
élégance ignore les outrages du
temps. Le verre titane Buderus
ne laisse pratiquement aucune
trace d’usure et conserve une
esthétique attrayante.
www.buderus-zukunft.ch
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Grâce à son design moderne, la Logamax plus GB192i peut aussi être installée dans les pièces de séjour.
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Buderus – le magazine
Buderus – le magazine
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Excellentes
performance
Depuis 2005, Urs Siegenthaler observe les
équipes adverses pour le compte de la fédération
allemande de football. Ses capacités analytiques et
la vaste banque de données disponible contribuent
à la réussite de l’équipe nationale.
20
Buderus – le magazine
P
ar le passé, le football fonctionnait de la manière suivante :
deux équipes, 22 joueurs – et à la fin du match, le meilleur
gagnait. De nos jours, le « grand » foot fonctionne différemment. Le match est déterminé par une stratégie sophistiquée,
une planification détaillée, une tactique élaborée. Ainsi que par
d’importantes enquêtes analytiques concernant l’adversaire. Rien
n’est laissé au hasard, chaque match est scrupuleusement préparé. Pour obtenir à la fin, comme ce fut le cas en été 2014, le titre de
« Champion du monde ».
« Le succès peut être planifié », déclare celui qui contribue en
très grande partie au succès de l’équipe nationale de foot allemande. Non pas à lui seul, mais avec son scouting-team DFB. Urs
Siegenthaler, le battant. Un Suisse disposant de capacités analytiques exceptionnelles pour le foot. Le don d’anticipation. Pour
reconnaître ce dont l’avenir sera fait. « Ma mission est de dire à
l’entraîneur de l’équipe nationale ce qui se passera dans trois ou
cinq ans », déclare-t-il.
Depuis 2005, observateur sur le terrain auprès
du DFB
es
Image : Heike Lyding
Urs Siegenthaler, stratège en chef de la fédération allemande de
football, fait partie intégrante de l’équipe de Joachim Löw. Il en fait
partie au même titre que le directeur sportif, le coach ou le psychologue. En 2005, Löw a fait venir cet ancien entraîneur et joueur
de foot suisse en tant qu’observateur parce qu’il était convaincu
de ses capacités. Ainsi que de l’importance de la tâche. Au fil des
années, Urs Siegenthaler a créé une importante banque de données destinée au DFB, avec toutes les informations essentielles
sur les autres équipes nationales. Leurs forces et leurs faiblesses.
Leur tactique. Aujourd’hui, le staff peut avoir accès aux renseignements de presque toutes les équipes du monde. Et améliorer ainsi
ses propres performances.
Buderus – le magazine
L’analyste en chef avait-il pensé que, lors du dernier Mondial,
l’Allemagne déferlerait ainsi sur l’équipe brésilienne ? « Le Brésil
a les joueurs les plus doués et les meilleurs du point de vue technique entre autres. Mais le foot a changé, d’autres valeurs jouent
un rôle de plus en plus important comme l’esprit d’équipe, la fiabilité, le sérieux. Nous avons cru à nos forces et à nos qualités,
21
nous étions persuadés de pouvoir également gagner la
demi-finale contre le Brésil en exploitant au maximum
tout no-tre potentiel », déclare le chef scout du DFB.
Aujourd’hui âgé de 67 ans, Urs Siegenthaler se plaît à
comparer ses activités auprès du DFB à celles d’un analyste du secteur de la libre entreprise. « Un bon analyste reconnaît à temps où se situent les besoins et les
souhaits du client. Quelles sont les ressources disponibles pour satisfaire ces exigences avant les autres ».
Cette manière de penser n’est pas due au hasard. Urs
Siegenthaler n’est pas « seulement » performant en tant
que stratège en chef du DFB mais également en tant
qu’entrepreneur. Cet ingénieur en électronique avait
créé sa propre société suisse de techniques de mesure,
de commande et de régulation alors qu’il était encore un
jeune joueur du FC Bâle. Auparavant, il avait également
réussi des études d’architecture. « Il me faut la liberté de
penser, de prendre des initiatives. Le pouvoir de discernement. Mes études d’architecture y contribuent probablement », souligne-t-il. Selon lui, c’est précisément ce
mélange de créativité et de sens de l’organisation qui représente la base de ses activités auprès de l’équipe nationale.
comme prévu. Et qui exige une grande disponibilité pour
effectuer d’importants déplacements – cet été,
Siegenthaler a assisté à de nombreux matchs dans le
cadre du tournoi international Copa América d’Amérique
du Sud et du Gold Cup de la Ligue Amérique du Nord et
Centrale ainsi que des Caraïbes. Il a pris l’avion presque
chaque jour pour aller d’un match à l’autre. « Peut-être
faut-il être un peu parano, un peu fou » (rires). « Mais le
monde tourne de plus en plus vite, le foot change. Pour
pouvoir être parmi les premiers, il faut anticiper les évolutions futures. Savoir ce que font les autres. Chercher
la raison d’un échec et comprendre ce qui a été mal
fait ». Si l’Allemagne est numéro 1, et si elle le reste pendant un certain temps, « alors vous pourrez dire que le
département Siegenthaler a bien travaillé, lui aussi. Ils
ont toujours une longueur d’avance ». Sans une planification solide, pas de performances exceptionnelles. « Si
vous pensez être irrattrapables, c’est que vous êtes déjà hors jeu ».
En mission comme « agent secret »
Ses activités auprès du DFB ont conféré à Urs
Siegenthaler le surnom d’agent secret. Un titre qui le fait
sourire – il assiste parfois, effectivement, à des matchs
de foot en tant qu’enquêteur « undercover ». Dans ces
cas, sa nationalité et sa licence d’entraîneur suisses lui
rendent bien service. « Si je me présente en tant que citoyen suisse, cela m’ouvre parfois l’une ou l’autre porte ». Mais il y a aussi les « tout grands entraîneurs » au
niveau international, qui le connaissent, évidemment.
« Ils me disent : Urs, tu peux tout avoir de moi. Si tu connais un peu le foot, tu vois de toute façon ce que je fais.
Et sinon, mes documents ne te servent de toute manière à rien ! ».
Pourquoi Urs Siegenthaler fait-il toutes ces recherches
et ces analyses ? Une tâche fastidieuse. Qui attire toujours les critiques quand les choses ne tournent pas
22
Buderus – le magazine
Une bonne longueur d’onde
Le « département Siegenthaler » contribue ainsi au succès de l’équipe nationale. A quelle proportion pour le titre de champion 2014 ? « Demandez à Joachim Löw »,
dit-il. « Je ne veux pas être mis en avant ». Pour
Siegenthaler, sa fonction est d’accompagner l’entraîneur
national. Pour cela, une bonne longueur d’onde est nécessaire. « Il faut toujours un émetteur et un récepteur
qui se comprennent. Je pense que Joachim Löw apprécie mon travail et prend mes déclarations au sérieux.
Dans le cas contraire, je serais ne servirais à rien ».
Et l’observateur de continuer à alimenter la banque de
données du DFB avec des informations enregistrées
sur son Smartphone dans les différents stades. Crayon
et papier sont obsolètes. Parfois, l’ancien professionnel
se rend aussi dans un stade de foot en tant que particulier, ce qu’il apprécie également. « J’y vais sans rien attendre, sans aucune préparation. Vous allez rire, mais ça
m’amuse ».
Efficience énergétique A+
Bild: Gajus/shutterstock.com
Technique de condensation moderne, composants
optimisés économes en énergie, commande en
fonction des besoins, économie d’électricité en
stand-by – voici les principales spécificités de la
nouvelle génération des appareils de chauffage
Buderus. Ces appareils peuvent évoluer en un système hybride sans grandes dépenses.
Buderus – le magazine
Combinée avec quatre capteurs solaires Buderus
Logasol SKT 1.0, la solution hybride Logamax plus
GBH192iT avec ballon tampon intégré Logalux
PNR400, atteint une classe d’efficience très élevée
selon la directive européenne sur l’efficience énergétique, pour l’eau chaude sanitaire le niveau A++ et
pour le chauffage le niveau A+ (conformément à la
directive européenne sur l’efficience énergétique).
www.buderus-zukunft.ch
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La centrale de chauffage gaz compacte à condensation Logamax plus GB192iT est modulaire et donc évolutive.
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Buderus – le magazine
Buderus – le magazine
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Une interconnexion
optimale
Image : ktsdesign/shutterstock.com
Le cerveau est la centrale de commande du corps. En l’espace de
quelques fractions de secondes, il
peut enregistrer et traiter des informations, puis donner l’ordre d’agir.
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Buderus – le magazine
L
e cerveau humain est un phénomène. Il peut enregistrer, traiter et transmettre des données en
quelques fractions de seconde. D’un point de vue
neurologique, le cerveau est un réseau dont les détails
n’ont toujours pas été entièrement explorés. Les scientifiques cherchent intensivement à lever le voile sur
les autres mystères que recèle la centrale de commande humaine, afin de mieux comprendre les tenants et les
aboutissants de l’ensemble du corps.
La communication à l’intérieur du cerveau humain est en
effet extraordinairement complexe. Environ 86 milliards
de cellules nerveuses (neurones) sont reliées entre elles
dans un enchevêtrement complexe par quelque 100 billions de synapses. En moyenne, un neurone est donc relié à 1 000 autres cellules nerveuses.
Comme dans les réseaux sociaux
Les scientifiques ont constaté que la communication à
l’intérieur du cerveau est comparable à celle des réseaux sociaux. Les neurones ayant des comportements
similaires sont très étroitement liés les uns aux autres et
influencent fortement les activités de leurs partenaires.
Par contre, les cellules nerveuses qui se comportent
différemment n’entretiennent que des relations faibles
voire pas de relation du tout. Ce comportement est connu par exemple sur Facebook où les gens sont aussi en
contact avec beaucoup de connaissances alors que le
cercle des amis proches est nettement plus petit. Mais
leur avis influe bien davantage sur les décisions prises.
Buderus – le magazine
Chez un homme adule, le cerveau pèse en moyenne
environ 1400 grammes. Les chercheurs ont encore
d’autres chiffres et faits passionnants à disposition :
bien que la centrale de commande humaine ne représente que deux pour cent du poids total du corps, elle en
commande toutes les fonctions. En l’espace d’une journée, cet appareil à penser consomme environ 17 pour
cent des besoins en énergie. Chaque minute, environ 13
pour cent du volume sanguin du corps sont pompés par
le cerveau. De plus, cet organe fonctionne à la vitesse
de l’éclair : il transmet les informations à 432 kilomètres/
heure, ce qui permet à l’être humain de saisir par réflexe
un verre qui bascule. La dimension des voies nerveuses
est particulièrement impressionnante aussi. Ensemble, elles représentent une longueur de 5,8 millions de
kilomètres, ce qui correspond à peu près à 145 fois le
tour de la terre.
Un modèle pour l’ordinateur
Pour expliquer l’efficacité du cerveau, on le compare souvent à un ordinateur. Le cerveau dispose en effet d’une structure et d’une architecture qui rendent de
précieux services aux développeurs de logiciels. Pendant longtemps, la centrale de commande humaine était
supérieure aux ordinateurs avec environ 1013 opérations de calcul analogiques par seconde – entre temps,
le super ordinateur Tianhe-2 a atteint 30,65 billiards
d’opérations par seconde. Mais : le cerveau a besoin de
15 à 20 Watt à peine pour ses performances de pointe,
autrement dit une fraction des besoins d’un ordinateur
high-tech.
27
Le Gyrus cinguli
Image : CLIPAREA l Custom media/shutterstock.com
Ses domaines spécifiques et non
spécifiques sont très largement
interconnectés et commandent la
motricité, la sensibilité et le psychisme. Le thalamus est considéré comme la « porte de la conscience » et est responsable de nos
décisions conscientes.
L’hippocampe
L’hippocampe est déterminant pour
l’enregistrement des nouveaux contenus de
la mémoire – s’il manque, nous ne pouvons
pas retenir les nouveaux événements.
Le nucleus accumbens
Siège du système de la récompense. Il sécrète
les hormones du bonheur après avoir pris certaines décisions et, par exemple, en mangeant
une tablette de chocolat.
L’amygdale
Sans elle, nous ne ressentirions aucune peur.
Mais avec elle, nous reconnaissons aussi quand
d’autres ont peur. Elle fait partie du système limbique et, à ce titre, elle joue un rôle important
dans le traitement des émotions comme l’avidité
et la fierté.
28
Le mésencéphale
Dans le cerveau moyen se trouve le producteur
des principaux neurotransmetteurs comme la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline qui influencent la plupart de nos décisions inconscientes.
Le lobus flocculonodularis
La partie la plus ancienne du cervelet – chez
les petits vertébrés, il est le cervelet. Il régule l’équilibre et coordonne le mouvement de vos
yeux quand vous lisez.
Buderus – le magazine
Et il atteint sa grande puissance de calcul avant tout par
de nombreuses liaisons parallèles, c’est-à-dire par la
connectivité, et non pas par une vitesse élevée dans les
différents processus de calcul.
De la création à la disparition
Le cerveau évolue tout au long de la vie. Les connexions utilisées rarement se dégradent, les synapses très
fréquentées se renforcent. A partir de la 16e semaine de
grossesse, les différentes parties du cerveau se connectent déjà entre elles, au début de la 26e semaine
des informations peuvent être recueillies et traitées. Au
moment de la naissance, cet organe pèse environ 300
grammes, les cinq premières années son poids se multiplie. A partir de deux ans, le nombre de connexions
des deux moitiés du cerveau augmente très rapidement,
l’enfant a autant de synapses qu’un adulte. Ce chiffre
double à partir de trois ans – jusqu’à ce que le cerveau
commence, à partir de dix ans, à s’optimiser lui-même :
il réduit les connexions rarement ou jamais utilisées et
renforce les synapses utilisées fréquemment.
Internet et applis
Les nouveaux systèmes de chauffage Buderus
peuvent être reliés à Internet, réglés et contrôlés de
n’importe où avec les applications Buderus, les systèmes adaptés Smart Home ou le Control Center
Connect de Buderus.
Buderus – le magazine
com
Image : max-sattana/shutterstock.
Dès l’âge de 20 ans, le processus de vieillissement naturel commence dans le cerveau – dont les dimensions se
réduisent parce que le corps réduit le nombre des cellules nerveuses dans la substance grise. Mais : les cerveaux plus âgés fonctionnent de manière plus globale, incluent les moitiés gauche et droite du cerveau de la
même manière et peuvent être bien formés. En augmentant les connaissances, ils sont quand même souvent
supérieurs aux centrales de commande plus jeunes.
L’interface Internet de série des Logamax plus
GB192i et Logamax plus GB192iT (jusqu’à 25 kW)
permet aux chauffagistes de commander et de contrôler confortablement à distance la totalité du système de chauffage via le transfert fiable des données. L’appli EasyControlPRO de Buderus et le
Control Center ConnectPRO de Buderus facilitent
le service après-vente.
Grâce à l’appli EasyControl , le client final peut régler son système de chauffage, rechercher les données et modifier les réglages confortablement à
distance. Le Control Center Connect offre par
exemple la possibilité d’adapter le chauffage aux besoins du moment de manière particulièrement confortable. De plus, de précieux conseils sont fournis
au client pour lui permettre d’économiser l’énergie
avec son installation de chauffage.
www.buderus-zukunft.ch
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L’appli EasyControl permet aux utilisateurs de régler leur système de chauffage même à distance.
30
Buderus – le magazine
Le Control Center ConnectPRO de Buderus offre aux chauffagistes de toutes nouvelles possibilités dans le domaine
du service après-vente.
Buderus – le magazine
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Plus qu’une simp
Par le passé, l’une des principales devises des designers
était : « la fonction crée la forme ». Mais ça, c’était avant.
Aujourd’hui, les créateurs innovants combinent esthétique et
fonctionnalité.
L
es marchés sont saturés et les concurrents nombreux. C’est pourquoi les entreprises à succès
démarquent leurs produits en leur conférant des
caractéristiques spécifiques dans le but d’augmenter
les motivations d’achat de leurs clients. Pour cela il existe de nombreux outils marketing, entre autres une meilleure qualité, un service excellent ou précisément, une
physionomie idéale. Un bon design n’est pas une affaire de goût : nous reconnaissons par exemple au premier coup d’œil si une voiture est dans l’air du temps ou elle se place loin derrière la concurrence.
Si on aime son produit et qu’on s’occupe intensivement
de son apparence, ses formes et ses lignes, il sera particulièrement performant également du point de vue
fonctionnalité et technique. Le design représente donc
un critère de qualité fiable pour tout ce qui se cache
sous un bel emballage.
Un exemple éclairant
On le remarque tous les jours sur nos routes : chaque
véhicule a son propre « visage ». Et comme chez l’être
humain, ce sont les yeux – les phares – qui prédominent. Ils sont donc conçus en conséquence, avec un
soin tout particulier. Certains « yeux » ont plutôt l’air
bienveillants ou curieux, alors que d’autres semblent
nous en vouloir. Un capot étiré vers l’avant renforce encore cet effet – la limousine ressemble alors à un requin
32
prêt à attaquer. Ce style spécifique
à la marque abrite une importante configuration technique : en
partie visible, et en partie à
expérimenter dans la pratique.
Or l’histoire des phares
de voitures a débuté selon le principe
« form follows function ». La forme du
premier phare avait été
prescrite par la physique : une ampoule en verre plus un réflecteur irradiait la lumière d’un filament
vers l’avant. Plus l’ampoule
était grande, plus la visibilité
était bonne. C’est pourquoi les
premières lampes électriques des
voitures sont de véritables monstres.
Une lumière s’allume
La taille des lampes a diminué avec l’augmentation du
rendement lumineux – jusqu’à ce qu’elles soient assez
petites pour pouvoir être intégrées à la carrosserie. Parallèlement, au fil des années, la source lumineuse
Buderus – le magazine
Image : Mikhail Bakunovich/shutterstock.com
ple optique
Buderus – le magazine
33
Pourquoi se concentrer sur l’évolution des phares ?
Parce que l’être humain est à la merci d’une bonne
vue – toutes nos réactions dépendent de notre œil.
L’introduction des LED dans les lumières de freins peut
sauver des vies car les LED déploient la totalité de leur
intensité lumineuse plus vite que les ampoules et, par
conséquent, avertissent plus tôt.
La lumière du jour 24 heures sur 24
Les verres des phares recèleront bientôt de nouvelles
innovations. Aujourd’hui déjà, des systèmes d’avantgarde associent l’éclairage à une caméra infrarouge.
L’image s’affiche alors sur un écran ou directement sur
la face intérieure du pare-brise en tant qu’écran tête haute. Le conducteur reconnaît ainsi le piéton la nuit sur le
bord de la route bien qu’il ne soit pas encore capable de
le voir.
Dans la classe de véhicule supérieure, des systèmes
de feux de croisement automatiques font déjà partie
de l’équipement standard. Les modèles des prochaines séries fonctionneront avec des espaces lumineux
tridimensionnels. Un grand nombre de LED extrêmement lumineuses remplaceront alors l’ampoule halogène ou xénon. Elles seront commandées individuellement et produiront la lumière optimale pour tous les
cas de conduites. Or ce système fonctionne non seulement à l’avant mais aussi sur le côté de la voiture : la navigation du véhicule détecte le prochain tournant avant
de tourner le volant et l’éclaire entièrement. Avant un
croisement, des éclairages latéraux supplémentaires
Image : Jaggat Rashidi/shutterstock.com
Image : Mercedes Benz
toute simple à l’origine est devenue un système
d’éclairage modulaire très complexe. Les phares de
voiture actuels remplissent un grand nombre de conditions invisibles de prime abord. Ils doivent par exemple supporter et dériver la chaleur d’une lampe halogène
jusqu’à 3 000 degrés, présenter une résistance minimale au vent, être aussi légers que possible et, en cas
d’accident, ne pas laisser des débris de verre ou éléments de châssis coupants sur la route. Même après
une longue durée de vie de la voiture, le bras de la justice sévit encore : depuis cette année, le phare – de même que la totalité du véhicule – doit être recyclé à au
moins 95 pour cent.
34
Buderus – le magazine
s’allument pour permettre une visibilité dégagée dans
toutes les directions.
A l’avenir, les élégantes carrosseries des véhicules
abriteront probablement de la lumière laser. En effet, les
systèmes basés sur le laser sont plus lumineux que les
LED, pourtant bien étincelantes. Ils sont plus légers et
consomment 30 pour cent d’énergie en moins. Les
constructeurs de phares de voitures se trouvent
ainsi confrontés à un nouveau problème : le système
d’éclairage est plus lumineux que nécessaire, le rendement doit être en principe diminué. Un laser de voiture peut aller jusqu’à 600 mètres – deux fois plus que les
feux de croisement traditionnels. Il ne peut donc être utilisé que si aucun autre véhicule ne se présente à cent
lieux à la ronde.
Design intelligent
Design en vue
Ce système n’est pas plus grand qu’un paquet de cigarettes – source laser et réflecteurs inclus. La lumière elle-même peut être dirigée depuis une source laser centrale via un conducteur optique vers n’importe quel point
du véhicule d’où elle peut être dégagée par un réflecteur
minuscule. Ce système permet de toutes nouvelles formes – par exemple une voiture sans phares visibles. Une
fois de plus, le design moderne remet ainsi nos points
de vue en question. Le banal devient beau, le beau devient fonctionnel, et beaucoup reste caché. Mais une chose est visible au premier coup d’œil : le design est un
critère de qualité.
Le design intelligent de la nouvelle génération
d’appareils de chauffage Buderus séduit aussi bien
à l’intérieur qu’à l’extérieur. A l’intérieur des appareils, tous les composants sont faciles d’accès
– pour un montage confortable et un entretien à
coûts optimisés. Le système hybride Logamax plus
GBH192iT PNR400 a été récompensé par le Plus X
Award, le célèbre prix de l’innovation pour la technologie, le sport et le mode de vie.
Avantages pour le chauffagiste :
 facilite
le service après-vente et l’entretien
 raccords
électriques bien visibles
Image : Nikivor Todorov/shutterstock.com
 conversion
Buderus – le magazine
rapide à une autre catégorie de gaz
 compatibilité
de raccordement (Logamax plus
GB192i) avec ses prédécesseurs depuis 1995*
*valable pour Logamax plus GB112-24, 29, GB142-15 à 30,
GB162-15 à 45
www.buderus-zukunft.ch
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Produits titane : haute q
Montage de la pile thermique
Montage de la pile thermique dans le caisson d’air
Contrôle de fonctionnement du générateur de chaleur
Pose du faisceau de câbles interne
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Buderus – le magazine
qualité dès le départ
Fixation du couvercle du caisson d’air
Montage du couvercle en verre titane
Emballage de tous les composants pour l’expédition
Buderus – le magazine
Image : Markus Hintzen
Montage de l’hydraulique sur le ballon
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Buderus – le magazine
Une
affaire
de soins
La nature a souvent les meilleures idées.
Et l’être humain sait les exploiter.
Image : aeiddam0853578919/shutterstock.com
D
Buderus – le magazine
es surfaces qui laissent
perler l’eau comme par
magie, des pneus qui collent sur la route même quand les
tournants sont pris à grande vitesse, ou la célèbre fermeture velcro –
dans tous ces acquis techniques, la
nature occupe une part non négligeable. En effet, la flore et la faune servent souvent d’exemple à
l’être humain pour lui faciliter un tant
soit peu la vie. Dans ce cas, copier est une approche intelligente, de nombreux principes ayant été
créés au cours des millions d’années
d’évolution ont assuré la survie de
beaucoup d’espèces.
A l’époque déjà, Léonard de Vinci,
bricoleur et artiste génial des 15e et
16e siècles, avait observé les oiseaux afin d’en retirer les connaissances nécessaires à la construction de ses appareils volants. Il est
considéré aujourd’hui comme un pionnier de la bionique, même si ce
terme n’a été introduit qu’en 1960. Il
existe aujourd’hui des études de bionique visant à savoir comment convertir les modèles de la biologie en
solutions techniques.
Comme par magie
L’un des résultats les plus connus
découlant de cette méthode est
l’effet lotus, dû à Wilhelm
39
tension superficielle et s’écoulent
presque entièrement dès que la
plante s’incline légèrement – en effet, grâce à la double structure de la
plante de lotus, une seule goutte ne
dispose que d’une surface de pose
d’environ 0,6 pour cent. Effet secondaire pratique : une goutte d’eau qui
coule n’entraîne pas seulement des
impuretés avec elle mais également
Les feuilles de lotus offrent une très faible adhérence à l’eau
et aux impuretés.
40
des bactéries, des spores fongiques
et des algues. Celles-ci ne peuvent
donc plus altérer la plante, ce qui représente un énorme avantage de
survie pour le végétal.
Wilhelm Barthlott a transposé l’effet
lotus au domaine technique – sa
méthode brevetée est devenue une
formule à succès.
Image : siriwat-wongchana/shutterstock.com
Barthlott. Ce botaniste allemand a
utilisé la microscopie électronique à
balayage pour analyser les surfaces
végétales. Début des années 70, il
a examiné la capucine et les feuilles de lotus pour essayer de comprendre leur capacité autonettoyante – les liquides formaient tout simplement des perles sur les feuilles.
Dans le cadre de ses analyses scientifiques, il finit par percer le mystère de ces plantes : de petites protubérances microscopiques font que
l’eau et les particules d’impuretés
disposent d’une surface adhérente minimale, plusieurs couches de cires renforçant encore cet effet. Les
liquides se transforment en gouttes quasi sphériques en raison de la
Wilhelm Barthlott a finalement réussi à transposer le principe du lotus
dans le domaine technique. Sa méthode brevetée est devenue un modèle à succès, apportant un change-
Le secret : les protubérances en surface.
Buderus – le magazine
ment de paradigme dans la technologie des traitements de surface.
Le processus est valable pour les
surfaces exposées à l’eau ou à la
pluie, n’étant pas trop sollicitées
d’un point de vue mécanique pour ne
pas endommager la nanostructure.
De nos jours, d’innombrables bâtiments sont recouverts de peintures
de façades anti-salissures. Les lavabos et les stores restent propres.
Il existe même des vêtements à effet lotus.
péage Toll-Collect sont en effet
dotées de cette surface high-tech
garantissant une vue dégagée
pendant bien plus longtemps que
sur des vitres sans nanotechnologie. De nombreux autres secrets
qui valent la peine d’être explorés
se dissimulent encore très probablement dans la nature – dans
l’herbe ou sous l’eau – raison de
plus pour traiter la création avec
encore plus d’attention.
Buderus – le magazine
Technologie ALU plus
L’échangeur thermique fontealu a été éprouvé des millions
de fois. Le traitement de surface
avec la technologie ALU plus,
spécialement mis au point, diminue la fixation des impuretés
et des résidus de combustion
sur l’échangeur thermique. Le
nettoyage en est facilité – d’où
un entretien rapide, un service
à coûts optimisés et une plus
longue durée de vie. En plus de
la garantie habituelle,
Buderus offre également une
garantie de 10 ans sur l’échangeur thermique.*
La fleur de lotus : pas seulement belle à regarder.
Image : tonanakan/shutterstock.com
Image : Sebastian-Kaulitzki/shutterstock.com
Ce principe est également exploité
sur les autoroutes allemandes. Les
vitres de protection des caméras de
*Informations complémentaires et conditions de garantie sur notre site
www.buderus.ch
www.buderus-zukunft.ch
41
Lancement commercial : l
sont disponibles
Logamax plus GB192i
La chaudière murale gaz à
condensation est une solution technique de chauffage
flexible pour maisons individuelles et immeubles collectifs. Tous les raccords sont
compatibles avec les produits précédents vendus par
centaines de milliers depuis
1995 : Logamax plus GB112,
GB142 et GB162.
Logamax plus GB192iT
La centrale de chauffage au
gaz compacte à condensation avec ballon ECS intégré
allie dans un espace minimum
la technique de système modulaire et la compatibilité de
raccordement pour tous types
de locaux. Solution facilement
évolutive.
Logamax plus GBH192iT
La solution hybride efficiente en énergie combine dans un
nouveau design la Logamax
plus GB192iT et le ballon tampon PNR. Un générateur de chaleur régénératif, par exemple un
poêle aquifère, peut être facilement intégré ultérieurement.
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Buderus – le magazine
les premiers appareils
Logatherm GWPS192i
La pompe à chaleur au gaz eau
glycolée/eau Logatherm
GWPS192i séduit par son efficience énergétique de chauffage
A++ (conformément à la directive
européenne). Elle est facile à installer et se règle confortablement
grâce au système de régulation
Logamatic EMS plus.
Logapower BZH192iT
La Logapower BZH192iT est une
centrale d’énergie efficiente avec
pile à combustible pour la chaleur et l’électricité. La technique innovante de la pile à combustible
SOFC permet d’atteindre un rendement électrique de pointe jusqu’à
45 pour cent ainsi qu’une grande
autonomie grâce à l’autoproduction
de courant. C’est la centrale de
chauffage du futur à partir de 2018.
Buderus – le magazine
43
11/15 (8737802610) – Sous réserves de modifications techniques.
Centre régional Crissier
Route du Bois-Genoud 8
1023 Crissier
Tél. : 021 631 42 00
Fax : 021 631 42 50
[email protected]
www.buderus.ch
Édition spéciale Buderus – le magazine