Il faut que les jeunes soient fiers d`eux

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Il faut que les jeunes soient fiers d`eux
Sports
Ouest-France
Mercredi 12 octobre 2016
Basket-ball
« Il faut que les jeunes soient fiers d’eux »
Formation. Giampiero Laï, coach des U15 de l’URB et de la N3 du Rennes PA a remporté il y a dix jours le
trophée de meilleur entraîneur français de sa catégorie d’âge. La récompense d’une philosophie de travail.
Entretien
Vous avez remporté le trophée
de meilleur coach jeunes.
Quels sentiments cela vous
procure-t-il ?
C’est gratifiant. Chaque année, la
fédé met en avant des entraîneurs
pour la qualité de leur formation, la
pédagogie, les résultats. Cela récompense une année mais aussi le travail accompli jusque-là. Ça motive
à continuer, ça te prouve que tu es
dans la bonne voie.
Quelle est votre méthode ?
D’abord, j’ai une double culture :
je suis Italien d’origine (né en Sardaigne), mais aussi Français, car j’ai
grandi en région parisienne. Ce sont
deux pays voisins avec des mentalités différentes et j’essaie de puiser
ce qu’il y a de bon des deux côtés.
En Italie, on a une grande culture de
tacticien, notamment dans le foot,
ça m’a toujours plu. Chaque année
je prends des bouquins là-dessus et
je m’en inspire. En France, j’ai grandi dans des quartiers. Ma méthode
est donc axée sur la bienveillance.
J’essaie de donner de la confiance
aux jeunes, de les faire croire en eux.
Mais aussi de leur dire que pour y arriver, il faut travailler dur.
C’est-à-dire ?
Avec les U15, on a fait un stage de
présaison. On y a défini les quatre
valeurs que l’on doit porter cette
saison : le respect, des règles, coéquipiers, encadrants, arbitres ; l’humilité, car l’an passé on a fait une
grosse saison, donc il ne faut pas se
prendre pour ce que l’on n’est pas ;
l’ambition, car on a le droit d’être ambitieux ; le travail. Je rabâche souvent
ces quatre critères aux jeunes. Je
suis dur mais juste avec eux. Et ma
bienveillance fait que les parents apprécient.
« Chaque trimestre,
les parents
m’envoient les
bulletins »
ne pas passer tout son temps sur la
console ou dehors avec les copains.
Vous avez en face de vous
de jeunes adolescents. C’est
une période de construction,
de remise en question.
Comment gérez-vous cela ?
Notre rôle est de former au mieux les
joueurs, pour qu’ils évoluent à leur
plus haut niveau. Mais on fait très attention car le basket à leur âge, c’est
une passion, c’est dévorant. Il ne faut
pas qu’ils perdent pied, car la scolarité est aussi importante. Il faut qu’ils
arrivent à réussir les deux, donc ils
doivent faire des choix : peut-être
Jocelyne Régent
dredi dernier. Elle confirme surtout
qu’à domicile, les joueurs de Pascal
Thibaud seront très difficiles à aller
chercher. Un gage de sûreté dans un
championnat très homogène.
Il faudra tenter de prolonger cette
fièvre qui perdure à domicile, dès samedi soir à Souffelweyrsheim, leader
invaincu cette saison.
N.M.
URB 35 - ANDREZIEUX : 97-53
(27-12, 27-16, 19-19, 24-6).
Arbitres : MM. Blanc et Chajddine.
URB 35 : Negrobar 10, Fontaine 5,
Esneu-Doguet 2, Zivkovic 17, Sclear
3, Pene 17, Ben Driss 18, Rathieuville
3, Hill 13, Davis 9. Entraîneur : Pascal
Thibaud.
ANDREZIEUX : Tardy 4, Bassine,
Brooks III 9, Ben Aissou 4, Neri 6, Kovanusic 9, N’Doye 5, Freycenet, Pesic
3, Jean-François 12. Entraîneur : Jérémy Beaufourt.
Nationale 1 masculine
Avignon - Caen BC..........................................................62 - 71
Centre Fédéral - Rueil ...................................................62 - 119
Cep Lorient - Vitré .......................................................... 67 - 62
Chartres - Tarbes ............................................................ 91 - 84
Epinal - Quimper..............................................................81 - 71
Oberhoffen - Challans.................................................... 63 - 61
Orchies - Angers BC ...................................................... 58 - 87
St-Vallier - Souffelweyersheim ...................................... 63 - 76
U. Rennes - Andrezieux ................................................. 97 - 53
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Vous êtes en contact permanent
avec parents et école ?
Oui, chaque trimestre, je demande
aux parents de m’envoyer les bulletins des enfants. Je jette un œil, ce
n’est pas du flicage mais c’est pour
adapter notre attitude. Je mets également un point d’honneur sur les
appréciations. Je préfère un enfant
qui donne tout et qui a 10 ou 11 de
moyenne qu’un autre qui a 13 ou 14
et se croit en vacances. En fonction
de ce que je lis, on recadre, car leur
attitude à l’école compte aussi sur le
terrain.
Cep Lorient - Aurore Vitré : 67-62. Menés du début à la fin,
les Vitréens ont concédé leur deuxième défaite de la saison.
Vukan Zivkovic et les Rennais ont livré une vraie démonstration, hier soir.
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Et la relation avec les parents ?
Cette année, tous les enfants qui ont
rejoint la structure ont eu droit à un
entretien individuel avec leurs parents, pour leur expliquer ce qui allait se passer cette année. Pendant
cette réunion, on a défini le cadre
avec l’école. Par exemple, les permanences où il faut bosser, gagner du
temps sur la journée. Cela nous permet de mettre des choses en place
avec les parents : quand on s’aperçoit qu’un enfant a des difficultés
scolaires, on peut supprimer des en-
traînements pour qu’ils révisent.
Vitré tombe dans le piège lorientais
N1M. URB 35 - Andrezieux : 97-53. Avec autorité, les joueurs de
Pascal Thibaud remportent un 3e match consécutif à domicile.
1. Souffelweyersheim
2. Quimper
3. Caen BC
4. Rueil
5. Cep Lorient
6. Vitré
7. St-Vallier
8. U. Rennes
9. Epinal
10. Chartres
11. Angers BC
12. Tarbes
13. Avignon
14. Oberhoffen
15. Orchies
16. Challans
17. Andrezieux
18. Centre Fédéral
« Les aider à
atteindre leur plein
potentiel »
Giampiero Laï, à droite, lors de la remise de son trophée.
La fièvre du mardi soir
John Travolta n’aurait pas renié ce
mardi soir à Colette-Besson. Pour
leur premier match en semaine de la
saison, les Rennais ont livré une prestation proche de la perfection. Du
grand art, même, au sens noble du
terme avec un jeu collectif époustouflant, des actions de grande classe et
une détermination à toute épreuve.
Car de match, il n’y en a pas eu.
Après cinq minutes de jeu, les Rennais avaient déjà fait l’écart (12-4), à
la faveur d’une adresse diabolique
derrière l’arc (5/7 à la fin du premier
quart-temps). D’une remarquable
agressivité en défense, ils se sont
offerts des paniers faciles à foison,
à l’image de Ben Driss, parfait à la
pause (6/6, 14 points). « On voulait
travailler sur la constance, lance
un Ludovic Negrobar tout sourire
à l’issue de la partie. Ça nous avait
fait défaut lors des matches précédents. On est satisfait car tout le
monde a pris du plaisir. »
Les joueurs en ont pris, bien sûr, à
dominer leur sujet de la sorte. Et le
public aussi. Beaucoup. « Avec des
beaux shoots, des beaux dunks »,
ajoute le joueur rennais. Sur cette action à quatre points, notamment, où
Vukan Zivkovic marque le panier à
10 m avec la faute en fin de mi-temps.
Ou sur les (très) nombreux dunks de
Ludovic Negrobar, qui a martyrisé
l’arceau sans vergogne. « On a été
ridicules », dira un brin dépité Jérémy Beaufort, le coach d’Andrezieux
après le match.
Cette victoire, la troisième consécutive à domicile, permet à tout
le groupe rennais de repartir vers
l’avant après l’accroc angevin (défaite
après avoir mené de 18 points) ven-
De mauvaises notes peuvent
donc remettre en cause
la partie basket ?
On espère ne pas en arriver là grâce
à tout ce qu’on met en place. Je
pense que pour être un bon élève,
il faut les mêmes qualités que pour
être un bon joueur : écouter, être
concentré et faire les choses. Généralement, comme les enfants sont
très centrés, ils sont meilleurs au fur
et à mesure de l’année.
DR
Giampiero Laï est arrivé avec femme
et enfants il y a deux ans à Rennes.
Franco-Italien, le coach de 34 ans a
fait un choix de vie en quittant la région parisienne, pour venir s’inscrire
dans le projet de l’URB 35 et du
Rennes PA. Sa méthode, basée sur
le bien être des adolescents, semble
porter ses fruits. Hier matin, il s’est
confié avec sourire et passion pendant plus d’une heure et demie sur
ce métier qu’il aime tant.
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Le Cep Lorient a encore joué à se
faire peur, hier soir, face à Vitré. Les
Lorientais menaient de dix points à
deux minutes du terme avant de voir
l’Aurore revenir leur souffler sur la
nuque lors des dernières secondes.
Heureusement pour l’équipe morbihannaise, alors que le chrono affichait 65-62 pour le Cep et dix secondes à jouer, Damachoua arrachait un ballon ô combien important
des mains de Mérie après deux lancers francs manqués par Faroux et
un autre raté de Craion.
Lorient réalisait un début de match
parfait (11-0, 4’), où le Cep défendait
le plomb tout en enquillant les paniers à trois points.
À l’image d’un Radulovic parfaitement muselé par Craion (six interceptions au total pour le pivot américain !), Vitré avait toutes les peines
du monde à scorer. Mais les joueurs
de Zoran Durdevic profitaient des
trop nombreux ballons perdus par
Lorient pour rester dans le match.
Mieux, grâce à une adresse retrouvée et à un Quincy-Jones efficace,
l’Aurore parvenait à égaliser à la fin
du troisième quart-temps (43-43,
30’). Les Vitréens ne parvenaient toutefois pas à passer devant. Et le Cep
plaçait un nouveau coup d’accélérateur dans la dernière période (54-45,
33’ puis 63-53, 38’).
Zoran Durdevic, le coach vitréen regrettait que son équipe n’ait pas réussi à enchaîner après la superbe victoire face à Orchies (81-63) le weekend dernier. « On n’a pas confirmé.
La barre était trop haute pour nous.
Je regrette qu’on ait laissé trop de
paniers faciles aux Lorientais. Ça
peut paraître paradoxal de dire
ça alors qu’on n’encaisse que 67
points. Ensuite, offensivement, on a
aussi raté des shoots qu’on met habituellement. » Mais le crédit en revient aussi à la défense du Cep.
Stéphane BACRO.
CEP LORIENT - AURORE DE VITRÉ : 67-62
(20-10, 10-13, 15-20, 22-19).
Arbitres : Mmes Voyeau et Manoli.
LORIENT : Damachoua 15, Bigote 6,
Alexander 8, Newson 21, Craion 10 ;
puis Giaimo 2, Faroux 3, Sautier 2.
Entraîneur : Philippe Maucourant.
VITRÉ : Siegwarth 5, Belkessa 7, Mérie 6, Quincy-Jones 10, Radulovic 8 ;
puis Crétaux 6, Knezevic 11, Claveau
9. Entraîneur : Zoran Durdevic.
Texto
Km Paris-Tours : Adrien Baron, le
plus rapide. Le Bazougeais Adrien
Baron a remporté le match de vitesse, disputé à Tours. Sociétaire du
Qu’est-ce qui vous rend heureux,
au final ?
Quand les gamins prennent du plaisir et qu’ils atteignent leurs propres
objectifs. Il faut que les jeunes soient
fiers d’eux. C’est pour eux que l’on
fait ça. Je me considère comme un
outil pour les aider à se développer.
Mon rôle, c’est de reconnaître les
compétences, voir le potentiel et de
les aider à atteindre leur plein potentiel sur et en dehors du terrain.
Recueilli par
Nicolas MANGEARD.
Tennis
Une grande agitation à l’intersaison
R1 masculine (1re journée). Les choses ont évolué entre la fin de
la saison dernière et le début de celle-ci avec le retrait du Garden.
Habituellement, les huit mois qui séparent la fin d’une saison du début
de la suivante, sont calmes. 2016 déroge à la règle, comme le confirme
Pierrick Bauché, de la Ligue de Bretagne : « Nous avions mis les poules
en ligne dès le début de cet été,
avant d’être obligés de modifier les
choses il y a un mois, en raison de
défections d’équipes. Nous avons
dû rétrograder certaines et monter
d’autres. Toute la pyramide, nationale, régionale et départementale,
a été impactée. »
En Ille-et-Vilaine, le retrait du Garden, club emblématique, fait l’effet
d’une petite bombe. « Dylan Guichard et Thomas Lelarge, nos deux
jeunes sont partis pour Chartres.
En conséquence, nous avons décidé de ne pas aligner d’équipe
en régionale, de laisser de côté la
compétition, pour nous orienter
vers la formation des jeunes à travers l’école de tennis », confie Nicolas Huchet. Si l’on ajoute que la formation féminine, qui montait en N4, a
également fait forfait pour 2017, une
page importante du tennis départemental se tourne, après la fermeture
du Patton il y a 6 ans, et l’arrêt de l’ac-
tivité tennis du Bois-de-Soeuvre, trois
ans plus tard, deux autres structures
privées.
Dinard, rebaptisé Emeraude TC,
Bruz, et Brocéliande, seront donc les
trois représentants bretilliens, tous
dans la poule A, d’un épisode qui débute dimanche. Avec, pour chacun
d’entre eux, un seul leitmotiv, « maintien ». « C’est un peu comme tous
les ans, on pense d’abord à rester à ce niveau, avant de faire un
peu mieux si on peut », note François-Xavier Peltre du côté d’Emeraude. « Loïc Bourlieux, 5/6, qui
arrive de Locminé, et Dominique
Gandonou, le frère de Camisir Agboton, qui vient du Bénin, nous rejoignent. Mais nous ne disposons
pas de marge de manœuvre dans
un groupe relevé », reconnaît Cédric
Thétiot, à Bruz. « On monte de R2,
on ne connaît pas les effectifs des
autres formations. On va avoir les
premières réponses, à l’issue de
cette 1re journée », avance Grégoire
Martel, pour le TC Brocéliande.
Dimanche, à partir de 9 h. Émeraude - Le Relecq-Kerhuon (2), Bruz
- TC Brocéliande.
Stade Rennais express
Le HBA premier club français en courses
Cyclisme
Pourquoi avez-vous choisi
cette voie, ce métier ?
J’ai voulu permettre à ceux qui
étaient derrière moi d’avoir ce que
je n’ai pas eu. Mon meilleur ami est
devenu professionnel (Raphaël Desroses), il a eu cette chance en sortant de chez nous, à Dammaries-lesLys. Je me suis dit : mince, on va aider les jeunes. J’ai fait les formations
de coach pour dépanner au départ,
pendant les vacances. J’ai vu que
ça se passait bien et c’est vite devenu une évidence. Ce travail, c’est le
développement de la personne. J’ai
cette fibre-là.
Et un coach dans le basket ?
Je suis italien alors j’ai beaucoup
aimé Carlo Recalcati (ancien sélectionneur de l’équipe d’Italie), Ettore
Messina (assistant aux Lakers puis
aux Spurs en NBA, ancien coach
du CSKA Moscou). J’apprécie aussi beaucoup Pat Riley, qui a su développer un jeu flamboyant aux Los
Angeles Lakers, puis un jeu rugueux
à New-York. Pour moi la clé de notre
métier : l’adaptation aux hommes
que l’on a en face de nous. Il faut être
ouvert sur nos joueurs, être capable
de les mettre dans les meilleures
conditions.
Football
Athlétisme
Coupe de France des relais et des
spécialités à Niort. Les « noirs et
blancs » de HBA terminent en première position des quarante équipes
ayant disputé l’épreuve.
Au niveau des spécialités, il faut signaler la troisième place des discoboles du CJF Saint-Malo (Catala, Helleu, Reux 56,63 m, Lallican 49,40 m)
et le deuxième rang des triples sauteuses de HBA (Eyoum, 12,15 m, Poirier, Rochefort, Roupie Briand).
Les résultats des relais. Filles. 4 x
100 m : 2. HBA (Narcisse, Tournellec,
Votre méthode est-elle singulière
dans le milieu ?
C’est une question de passion et personnalité. Ici, tout se prête à cette manière de faire. Mais c’est vrai que l’on
fait particulièrement attention à ça ici.
Avez-vous un modèle
d’entraîneur ?
Carlo Ancelotti ! Il est compétent
dans sa discipline, tacticien mais
aussi grand manager. La richesse,
elle est là. À un moment donné, tactiquement, techniquement on est
tous en mesure d’apprendre à nos
joueurs. La différence se fait dans
la manière d’aborder les gens, dans
la façon de les mettre en condition
d’épanouissement.
Meriel, Kelbert) 47’’92. 4 x 200 m : 2.
HBA. (Grebo, Kelbert, Tournellec,
Meriel) 1’ 41»79. Marche : 4. HBA.
Medley (1 200 m, 400 m, 800 m,
1 600 m) : 7. CJF Saint-Malo. Garçons. 4 x 1 000 m cadets : 1. HBA
(Samson, Riou du Cosquer, Legendre, Granger) 10’ 19»72. Haies :
1. HBA (Viot, Montfort, Lefeuvre,
Guilloux) 58’’73. 4 x 100 m : 2. HBA
(Rouxel, Coroller, Lefeuvre, Lucenay)
42’’28’’. Marche : 3. HBA (Lebreton, Ouarnier, Durand, Teraoui). 4 x
400 m : 5. HBA 3’ 24’’.
Toujours privés de ses internationaux, Christian Gourcuff et son staff
poursuivent les séances en attendant
de faire le point à leur retour, ce mercredi pour la plupart. Une incertitude
plane toujours sur Yoann Gourcuff
(ischios) même s’il est en phase de
réathlétisation. Idem pour Rami Bensebaini (mollet), toujours en soins.
Séance aujourd’hui à 10 h.
Lenjani opéré. Titulaire contre l’Espagne dimanche dans le cadre des
qualifications pour la Coupe du
Monde 2018, Ermir Lenjani n’a pu fi-
Tirages
nir le match. L’international albanais,
victime d’une frappe de Thiago Alcantara, a dû se faire opérer à l’oreille
droite. Cela a nécessité une suture
sous anesthésie. Il devrait rejoindre
Rennes aujourd’hui.
Coup d’envoi. Il sera donné par
Kaba Diawara, buteur providentiel
du Stade Rennais le 9 mai 1998, à
la 75e minute contre Toulouse, qui
avait offert le maintien aux siens lors
de l’ultime journée de championnat.
Il était alors prêté par… les Girondins
de Bordeaux.
Les tirages au sort du 6e tour de la Coupe
de France et du 1er tour régional de la
Coupe Gambardella se dérouleront deVC Plélan, il s’est imposé face aux main, à 19 h, au siège de Ouest-France, en présence de Jean
Ligériens Baptiste Bouvier, 2e et SaDjorkaeff, ambassadeur de la Coupe, Denis Will Poha et Jérémy
muel Thibaud, 3e, champions de
Gélin, les deux champions d’Europe du Stade Rennais.
France de l’américaine.

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