Diapositive 1 - Hassidout.org

Chabbat Parachat Vaykra
2/3 Nissan 5769
‫בסד‬
16
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C
hnat-Hakel
Machiah’
Si tous les juifs, petits et
grands, s’étaient adresses à H’
en s’exclamant : “Père ! Ca
suffit ! Aie pitié de nous et
envoie nous Machiah’!” Il est
évident que Machiah’ viendrait!
(Rabbi Yossef-Ytsh’ak)
Séfer-Hamitsvot
Mitsva positive N.196
Il s’agit du commandement
qui nous a été enjoint de
faire des présents a l’esclave
Hébreu et de l’aider au
moment de sa libération, de
manière qu’il ne parte pas les
mains vides
Pensée
H’assidique
“Ce qui est interdit
est
interdit, et ce qui est permis
est inutile.”
(Admour-Hazaken)
Lettre du Rabbi
Vous
me dites que vous souhaitez
vous parfaire vous-même, au
préalable. Le monde entier
doit-il rester en attente,
pendant ce temps?
Hayom-Yom 9 Nissan
Ce ne sont pas les maisons et
l’argent qui constituent la
richesse juive. L’éternelle
richesse juive est la qualité
des juifs qui respectent la
Thora et les Mitsvot, mettent
au monde des enfants et des
petits enfants respectant la
Thora et les Mitsvot.
Nous vous demandons de ne
pas lire cette feuille
pendant la Tefila.
Merci de votre
compréhension.
Cette Sidra est dédiée a
L’élévation de l’âme de
RÉSUMÉ
La Paracha de Vaykra nous explique en détail quels sacrifices devaient être offerts, dans quels cas
et toutes les conditions s’y rapportant.
Les espèces permises : le taureau, le mouton, la chèvre, la colombe et la tourterelle.
Les différents sacrifices:
1/Ola : C’est l’offrande volontaire apportée par un homme ou une femme. Sa valeur variera selon
leurs possibilités. Ce sacrifice est entièrement consume sur le Mizbeah’ (l’Autel).
2/Minh’a : Celui qui n’a pas les moyens d’offrir un animal, ni même un oiseau, pourra offrir de la farine
(sous forme de gâteau ou Matsot) ; Dans ce cas, son offrande s’appelle Minh’a. Ce sacrifice est
mange par les Cohanim.
3/Chlamim : Ce sacrifice est une offrande volontaire offerte en remerciement pour les bienfaits dont
H’ l’a comble. Ce sacrifice est partage entre H’ (le Mizbeah’), les Cohanim et le propriétaire.
4/H’atate : Ce sacrifice est apporte par celui qui a transgresse une Mitsva négative sans le savoir.
Riche ou pauvre, il doit offrir une chèvre ou un agneau.
5/Acham : Ce sacrifice est apporte par celui qui a commis certaines fautes comme le vol par
exemple. Dans ce cas, Il doit offrir un bélier.
6/Acham Talouy : Ce sacrifice est apporte par celui qui n’est pas sur d’avoir commis une faute. Dans
ce cas, il doit offrir soit un bélier soit un agneau .
RÉFLEXION SUR LA PARACHA
Au début de notre Paracha, Vaykra est écrit avec un petit Alef. Cela vient nous apprendre l’humilité
de Moche Rabbenou (La Thora témoigne que Moche est le plus humble de tous les hommes ayant
existes). Dans la Paracha de Berechit, parlant du premier homme, Adam est écrit avec un grand
Alef pour nous dire combien Adam était grand et plein de qualités. Quel chemin l’homme doit-il
suivre ? La Thora veut nous indiquer que l’homme doit avoir un peu des deux. D’une part, il doit
avoir conscience de ses qualités (Moche savait pertinemment tout ce qu’il avait accompli pour les
Bne-Israël, les dix plaies, la sortie d’Egypte, le don de la Thora…) ; En effet ce n’est que comme
cela qu’il prendra des initiatives et réalisera ce pourquoi il est venu sur terre. Mais d’autre part il
devra ressentir l’humilité de Moche, c’est-a-dire être conscient que ses qualités ne sont pas le fruit
de son travail, mais qu’elles sont uniquement un cadeau d’H’ pour lui permettre de mener a bien sa
mission. Il en arrivera a la conclusion que si H’ avait donne ses qualités a quelqu’un d’autre, il les
aurait beaucoup mieux exploite que lui. De cette manière, on se préserve de l’orgueil et de ses
conséquences, bien plus, c’est ainsi que l’on peut remplir sa mission, éclairer le monde et
rapprocher la venue du Machiah’.
Rabbi Menah’em-Mendel
Schneorson
Coutumes du jour
d’anniversaire
Il est le fils de R.Levi-Ytsh’ak
et de la Rabbanit Hanna
Il est le septième Rabbi
Il est ne le 11 Nissan 1902 a Nikolaïev
Il porte e nom du Tsemah’-Tsedek
Il se maria le 14 Kislev 1928
Il devint Rabbi le 10 Chevat 1950
Il a deux frères : R.Chalom Dov Ber
et R. Israel Arye Leib
Ses plus grands souhaits:
Le retour de tous les juifs a la Thora
et la venue du Machiah’!
1) Monter a la Thora le Chabbat précédent
2) Rajouter dans la Tsedaka
3) S’efforcer de mieux prier
4) Dire le nouveau Tehilim correspondant au
nombre des années
5) Rajouter dans l’étude ce jour au moins
6) Faire un bilan de l’année passée afin de
mieux appréhender la nouvelle.
7) Prendre une bonne résolution
8) Organiser une réunion entre amis
9) Manger un fruit nouveau pour pouvoir
dire Cheeh’iyanou
10) Réciter un discours H’assidique
Kouka bat Chimone
Leilouy Nichmat Rav Gabriel Noah’ et Rivka Holtsberg HYD
COMMENTAIRES
Aujourd’hui qu’il n’y a pas de Beth-Hamikdach, les sacrifices sont remplaces par la Tefila. (Talmud)
Lorsqu’une personne ne peut pas accomplir une Mitsva, il devra étudier les lois concernant cette Mitsva.
La Thora le considère comme s’il l’avait accompli effectivement. (Talmud)
Le sacrifice se dit en Hébreu : « Korban », qui vient de la racine Karov et signifie proche. En effet, le
but du Korban est de rapprocher le juif d’H’. (H’azal)
Il ne faut pas penser qu’une personne ayant commis un pécher apporte un sacrifice, et se trouve ainsi
pardonne ! En fait, le Korban n’apporte pas le pardon pour une faute commise ; La personne concernée
doit d’abord prendre conscience de sa situation, regretter sincèrement et prendre la ferme décision de
ne plus recommencer. Une fois qu’H’ accepte sa Techouva, il apporte un sacrifice pour « faire oublier sa
faute ». (Tanya)
Pourquoi l’Alef de Vaykra est-il plus petit que les autres lettres ?
•« Alef » signifie « étudier » (comme dans le mot Oulpan). Or, pour acquérir la sagesse de la Thora, il
faut au préalable se départir de son ego. Le petit Alef symbolise donc l’humilité. (Sefarim)
•Pour nous signifier qu’il faut commencer a enseigner aux enfants la Paracha de Vaykra. (le Alef signifie
apprendre, et le fait qu’il est petit fait référence aux petits enfants.) (Kli Yakar)
Pourquoi faut-il commencer à apprendre aux enfants la Paracha de Vaykra ?
•Car pour les sacrifices, les bêtes devaient être propres de toute imperfection, semblables a ces enfants
propres de tout pêcher. (Yalkout)
•Car de même que la Paracha de Vaykra traite des sacrifices, de même, les parents doivent comprendre
que le sacrifice de soit est la condition sinequanone d’une bonne éducation. (Avne Ezel)
Un homme demanda un jour au Rabbi de Pchish’a : « Il est écrit que celui qui fuit le Kavod (les
honneurs), le Kavod le poursuit ! mais moi, il ne me poursuit pas ! » Le Tsadik lui répondit : « C’est par
ce que tu te retourne pour voir s’il te suit bien ! ».
La ou réside l’homme orgueilleux, H’ ne réside pas! (H’azal)
 H’ n’accepte pas l’offrande du prétentieux. (H’azal)
La plus belle offrande aux yeux d’H’, c’est le sacrifice …de soit. (H’azal)
H’ élève celui qui se rabaisse; et rabaisse celui qui veut s’élever au dessus des autres. (Talmud)
La Thora se trouve chez celui qui se considère comme un rien. (H’azal)
Un grand du monde Lithuanien eut l’occasion de parler de Thora avec l’Admour-Hazaken; a l’issue de
cette discussion, voyant combien son savoir était étendu, il lui proposa de rejoindre les Yechivot
Lithuaniennes et lui promit d’en faire quelqu’un. L’Admour-Hazaken lui répondit: “Cela fait dix ans que
j’étudie a la Hassidout, afin d’apprendre a devenir un “rien” et vous voudriez que je devienne
quelqu’un!”
RECIT H’ASSIDIQUE: Un seul carton
Le Rav d’une certaine communauté avait à charge
de se procurer des Matsot Chmourot pour ses
fideles. Il réunit donc la précieuse marchandise
mais précisa que chaque famille ne pourrait
recevoir qu’un seul et unique carton. Tous les
fideles se précipitèrent pour récupérer leur colis.
Quelle ne fut donc pas sa surprise lorsque le fils de
son grand ami lui demanda deux cartons ! « C’est
impossible, il y a juste le compte ! » Mais l’enfant
sortit de sa poche un papier qu’il tendit au Rav,
sur lequel le père insistait pour qu’il lui donne
deux cartons, en précisant que l’enfant ne devrait
en aucun cas partir avant d’avoir reçu ses deux
cartons !! Le Rav était très embarrasse car il
connaissait très bien le père et que celui-ci
n’aurait jamais fait une telle chose si cela n’était
pas justifie!
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D’un autre cote, s’il lui donnait ce qu’il
demandait, cela signifiait qu’il n’aurait pas assez
de paquets pour tout le monde. Il décida donc de se
sacrifier et de lui donner les deux cartons
demandes. Il se demandait déjà comment il allait
faire le Seder ! Mais juste avant le début de la fête,
l’enfant se présenta chez le Rav avec …. Un carton
de Matsot. Décidément, il n’y comprenait plus rien.
L’enfant lui tendit ensuite un papier de son père ou
on pouvait lire : « A mon cher ami et maitre ! Tout
d’abord H’ag Sameah’. Tu te demande surement
pour quelle raison j’ai agi de la sorte. En fait je te
connais si bien que j’étais sur que tu finirais par
donner ton paquet a quelqu’un et que tu resterais
sans Matsot pour le Seder. C’est pourquoi j’ai
insiste pour prendre deux paquets afin de te garder
le deuxième pour toi. Ton ami.
MARBIM BESSIMH’A
Pendant tout le
mois de Nissan, nous
ne disons pas
Tah’anoun.
Nous disons chaque
jour le Nassi a partir
de Jeudi 26 Mars.
Vous avez tout le
mois de Nissan pour
faire Bircat Hailanot
Si possible sur deux
arbres fruitiers
(sinon un seul
suffira).
4
Un homme jaloux vint un jour trouver un Tsadik qui venait juste d’être nomme
chef de sa communauté. Il lui demanda : « Pourquoi tout le monde vous considère
comme un grand ? » « Je ne sais vraiment pas ! » répondit le Tsadik. « S’il en est
ainsi, je vous demande de dire à tout le monde que vous n’êtes pas un Tsadik ! ».
Le Tsadik accepta et se dépêcha d’annoncer a toute la communauté qu’il n’était
pas le Tsadik qu’ils croyaient. Mais le résultat ne fut pas celui escompte ; Les gens,
voyant la grande humilité de leur maitre se mirent à l’apprécier encore plus.
L’homme, énervé, vint lui demander pourquoi il n’avait pas fait ce qu’il avait
promis de faire. Le Tsadik lui assura qu’il leur avait dit. Comprenant ce qui s’était
passe, l’homme lui demanda cette fois d’aller dire a sa communauté qu’il était un
grand Tsadik (afin qu’ils s’éloignent d’un chef si orgueilleux).Mais la, le Tsadik lui
répondit qu’il n’avait pas l’habitude de mentir !
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