C`est très BIO - BEKAR et les Imposteurs

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C`est très BIO - BEKAR et les Imposteurs
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C’est très BIO
BEKAR et les imposteurs
"chanson pop aux accents Yiddish"
Bekar et les imposteurs
Chant, violon, batterie, basse, claviers et piano créent une musique à la croisée des chemins rock, pop-folk et
cabaret radicalement trans-moderne. Les rythmes ska-rock succèdent aux tangos-funky et aux mélodies festives
ou langoureuses dont certaines nous conduisent par quelques détours dans le Yiddishland.
Très riches dans leurs styles, les compositions évoquent la lignée rock de groupes tels que les Rita Mitsouko, les
Négresses Vertes, Gotan Project, Jacques Higelin… ainsi que les insondables sonorités du Klezmer.
Sur scène, l’esprit est à la fête, à l’humour et à l’énergie partagée avec le public. Les chansons s'écoutent, se
vivent, se chantent et se dansent.
Depuis 2008, BEKAR parcourt les lieux à chanter passant par Montpellier, Sète (Théâtre de la Mer), Paris,
Martigues, Toulouse, Carpentras... et partout en France. Avec ses musiciens Les Imposteurs, il a eu le plaisir de
partager des scènes avec Benabar, Debout sur le Zinc, HK et les Saltimbanques.
… et « les imposteurs »…
Mathias Caquet (Basse – chœurs)
Issu d'une famille de musiciens classiques, Mathias, respectant les principes de l’adolescence qui visent à rompre
avec les règles familiales, commence la basse électrique à 14 ans. Fort de ces premières audaces de bassiste il va
encore plus loin et quitte la France pour l’Angleterre où il plongera dans le jazz et la soul. Enfin, son retour en
France le conduit à une nouvelle rébellion en intégrant la fine équipe des Imposteurs avec BEKAR.
Santiago Courty (Batterie)
Batteur atypique, il manie les baguettes depuis l’âge de quatorze ans. Il a connu sa période punk-rock (Rushing
speed sheeps), chanson Française (Le printemps desséché), musique africaine et salsa. Rien ne l’arrête dans sa
polyvalence de jeu. Santiago Courty brille par la finesse et la précision d’orfèvre de son jeu.
Mathis Dervaux- (violon-chœurs)
Le groupe Louise Attaque lui donne envie de saisir un archet. A partir de 1991, le plaisir du violon ne le quitte plus.
L’apprentissage classique est suivi quelques années plus tard d’un jeu plus rock. Mathis Dervaux rejoint alors la
Guerilla brindezingue, fonde Skankylâ et Daisy Town.
Touche à tout, Mathis Dervaux développe son goût pour la batterie, l’ukulélé et la trompette qu’il saisit au gré de
ses compositions et de son inspiration.
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Quentin Treuer (piano)
Pianiste absolument génial ! Il parvient à jouer sur toutes les notes en même temps avec ses dix doigts. Sa
maitrise des gammes le conduit à mettre des bécarres sur les dièses et autres bémols de chacune des mélodies
jouées.
Benjamin Bousquet (ingénieux du son)
Musicien à part entière dans le groupe, il pianote sur ses consoles et alimente les circuits musicaux d’un savoirfaire d’orfèvre. Aucun lieu ne lui résiste, il transforme même le son des salles de fêtes ou de certaines caves à
musique en palais à musique créant une acoustique digne des plus grandes salles de concerts.
… Bekar avant « les imposteurs »…
Avant « les Imposteurs », Bekar s’appelait Benjamin Karchen. Il a passé plus de dix ans au conservatoire de
Charenton-le Pont (94) pour étudier la flûte traversière et le solfège.
C’est sur le piano de sa grand-mère qu’il improvise et écrit les morceaux qui lui passent par la tête et les mains.
Il monte ses premiers groupes de rock Français dans la région parisienne et connaît alors ses premières scènes
avec les groupes « Couleur nomade » et « Dune ».
Plus tard il est recruté pour participer à la composition musicale pour une pièce de théâtre jouée à Paris: « l’an
prochain à Jérusalem » de Olivia Marcowicz.
Arrivé dans le sud de la France en 1998, il intègre un temps le groupe Montpelliérain « Notek » avec qui il donne
quelques concerts, puis il rejoint la chorale classique d’Agde.
Dans la foulée il monte le groupe, « Mazl » autour du répertoire de la musique Yiddish qu’il revisite avec ses
musiciens. Il participe alors à des concerts dont le festival de Rencontres Interculturelles de Bréau : « Le
Yiddishland à la rencontre des Cévennes ».
Enfin, c’est en 2008 qu’il crée « Bekar et les imposteurs ». Ce groupe s’inscrit comme une combinaison explosive
(une synthèse ?) de ces années de musiques.
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