Dossier pédagogique

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Dossier pédagogique
OPERA RYTHME
La diva et le percussionniste.
Cie du Chat Pitre.
(Spectacle musical à partir de 3 ans.).
LIEU : LA FERTE MACE
DATE : MARDI 11 JANVIER 2011
Apprentissage
Éducation artistique (musicale et arts visuels).
Ils s’exercent à repérer des éléments musicaux caractéristiques très simples, concernant les
thèmes mélodiques, les rythmes et le tempo, les intensités, les timbres. Ils commencent à
reconnaître
les
grandes
familles
d’instruments.
En arts visuels comme en éducation musicale, au titre de l’histoire des arts, les élèves
bénéficient d’une première rencontre sensible avec des œuvres qu’ils sont en mesure
d’apprécier.
Compétence 5
La culture humaniste
L’élève est capable de :
- découvrir quelques éléments culturels d’un autre pays ;
- s’exprimer par le chant, la danse, le dessin, la peinture.
- distinguer certaines grandes catégories de la création artistique (musique, danse, théâtre,
dessin, peinture) ;
- reconnaître des œuvres visuelles ou musicales préalablement étudiées ;
- fournir une définition très simple de différents métiers artistiques (comédien, musicien,
danseur).
Opéra rythme est une rencontre entre l’art lyrique et la percussion africaine qui dans un
premier temps s’ignorent voire s’affrontent avant de s’accorder sur la fin du spectacle.
Comme dans tous les opéras le spectacle se base sur un livret, c'est-à-dire les paroles des
différents airs dont la trame fonde le récit.
Dans le spectacle une partie des chants est traduite en français afin de les mettre à la portée
de tous, de faciliter l’immersion des élèves et de permettre une compréhension plus facile
de l’histoire
Les chants ont été sélectionnés parmi les airs connus du répertoire puis ils ont été mis dans
un ordre de mouvement comme un concerto.
Exemple : la 2ème partie du spectacle est le mouvement lent, le moment de doute et de
suspens qui précède le trouble d’une réelle rencontre.
1. DESCRIPTION
Opéra Rythme raconte le face-à-face de deux personnages aux profils et à l’histoire très
différents :
- le premier est percussionniste.
- la seconde est chanteuse lyrique.
Le spectacle se déroule en trois temps :
- d’abord les deux êtres sont tellement opposés qu’ils restent chacun dans leur monde. La
chanteuse est très sûre d’elle et méprise le percussionniste qui, en retour, se moque d’elle.
- ensuite la curiosité prend le pas sur la peur et, peu à peu, une rencontre naît.
- enfin, les musiciens deviennent complices et partagent leur univers comme leur culture
dans l’harmonie et le jeu.
Aussi le personnage principal est celui de la chanteuse qui va se transformer alors que le
personnage central est le percussionniste qui aide la hanteuse dans sa transformation.
2. ANALYSE
Le livret de la 1ère partie a été réécrit. En effet mettre le début en français facilite la
compréhension de l’histoire et permet de gagner la confiance de l’auditoire (cela évite aussi
la réputation ennuyeuse de l’opéra en grande partie basé sur l’incompréhension d’une
langue étrangère).
C’est aussi un moyen de définir la Diva qui est tellement tournée sur elle-même qu’elle fait
réécrire les livrets rien que pour elle, pour son Grand Récital.
Dans la deuxième partie la Diva se tait.
Dans la troisième partie, les livrets sont originaux. On trouve donc des airs très connus dans
leur langue d’origine (Français, Allemand, Italien et Lingala une des langues du Congo,
[l’autre langue du pays étant le Kinkongo]).
Afin de ne pas totalement égarer le public seulement le dépayser, cela ne concerne que trois
chants :
- l’air de Papagéno et Papagéna est un jeu amoureux entre la chanteuse et le
percussionniste.
- Libiamo est le final festif avec la danse africaine.
- Ah Mono est un chant doux pour permettre un retour au calme avant de quitter la salle
de spectacle.
Cette fin qui marque un retour aux langues d’origine des opéras s’explique aussi par la
progression dramatique. Le spectacle étant un voyage initiatique pour la chanteuse aussi
lest-elle transformée par ce voyage intérieur ; transformée elle revient aux sources de son
apprentissage, devient plus humble et redonne toute leur place aux auteurs des livrets.
De plus le dernier chant met en avant l’Afrique qui s’est dévoilée pendant le spectacle. La
chanteuse s’est ouverte à la culture africaine et à d’autres manières de chanter.
3. PROPOSITIONS
3.1 La chorégraphie
Le costume de la chanteuse-comédienne ne laisse apparaître que les pieds et le haut du
corps. Aussi il peut être intéressant d’inviter les élèves à s’intéresser à la chorégraphie axée
sur la gestuelle de l’Afrique de l’Ouest (Guinée, Mali) :
- le jeu des poignets et des lancés de bras offrent une grande amplitude et par conséquent
une esthétique visuelle très intéressante.
- elle met en valeur la féminité.
Cela à aussi une relation avec le personnage :
- la cantatrice du début (cantatrice –diva) adopte une posture toute en verticalité, ne
retenue, à la limite de la rigidité.
- la cantatrice de l’échange voit son corps
* se délier, utilisation de la tête, poignets, bras, sternum mais aussi des rotations du
bassin et des torsions du buste.
* s’ancrer dans le sol (jeu des pieds et flexions de jambes) tout en oscillant entre ciel et
terre.
Cela participe des évolutions du personnage : costume, gestuelle et chant.
Cela peut déboucher sur des activités autour de l’expression corporelle des sentiments,
idées …
3.2 Le costume
Le costume occupe donc une grande place dans le spectacle car il change en même temps
que la chanteuse évolue. Au début elle porte une robe noire et termine avec une robe aux
couleurs vives. Vous pouvez vous livrer au même travail que la couturière.
1. Laisser les élèves imaginer la robe de la Diva en s’appuyant sur des photographies et
autres dessins de récitals et opéras. La costumière pour le spectacle a créé une robe
en velours noir et aux reflets brillants qu’elle a ensuite raccourcie.
2. Même travail avec la robe africaine basée sur la projection de tissus (Wak et Kita).
3. Comment articuler les deux robes ? Dans un premier temps la costumière envisageait
que la Diva enlèverait au fur et à mesure des éléments de la robe noire pour laisser
apparaître la robe rouge en dessous. Les essayages ont eu raison de cette approche
car cela faisait du bruit et donnait un sentiment un peu violent en tout cas en
contradiction avec l’aspect progressif du voyage initiatique. C’est la solution inverse
qui fut donc adoptée : la chanteuse ajoute des morceaux de tissus rougeoyants sur la
robe noire ; ils tiennent avec des pastilles de velcro.
Quelle que soit l’approche retenue les élèves peuvent confectionner cette robe par
dessin ou même en tissu.
3.3 Le bogolan
C’est l’une des techniques traditionnelles (il remonte à une époque reculée) de teinture de
textile africaine parmi les plus répandues. Ainsi plusieurs ethnies perpétuent encore la
technique du bogolan traditionnel.
La légende veut que ce soit une femme, ayant tâchée son pagne, qui a découvert cette
méthode de teinture avec la boue du fleuve Niger et l’origine du mot Bogolan vient du
bambara bogo (argile, boue) et lan (fait de).
Techniquement le coton est ramassé, filé à l’aide d’un fusain et tisser par les hommes (des
bandes de près de 30 mètres sur une largeur de 10 à 12 centimètres qui sont ensuite
cousues ensemble pour faire un pagne).
Dans un second temps, l’artiste applique, le plus souvent à main levée mais aussi parfois
avec des pochoirs, des dessins variés depuis la vie rurale ou la vie urbaine en passant par
toutes sortes de motifs géométriques, idéogrammes…
Enfin de la boue provenant du Niger et fermentée dans une jarre est appliquée. L’excédent
de boue est lavée et le tissu mis à sécher au soleil pour fixer les couleurs par réaction.
Que voyez-vous sur ce dessin de Bogolan ?
Voici d’autres motifs dont vous pouvez faire des pochoirs en découpant les motifs et en coloriant
ensuite par-dessus sur une autre feuille.
3.4 La musique
Vous trouverez à la suite les textes du spectacle dans l’ordre de son déroulement. Les airs
sont disponibles avec les pièces jointes et permettent toutes les possibilités liées au chant et
à la poésie.
Prologue
Sur l’air de « Belle nuit des Contes d’Hoffmann » d’Offenbach.
Bienvenue les enfants
Et bonjour aussi les grands
Le spectacle va commencer
Etes-vous bien installés ?
Il ne faut pas être inquiet
Quand vous s’rez dans le noir
Moi je serai dans la lumière
Vous pourrez bien me voir
Pendant tout le spectacle
Je chant’ rai pour vous plaire
Il faut bien se taire
Et ouvrir les oreilles
Grand les oreilles, bouche fermée
Il faudra attendre la fin si vous voulez me parler
Je répondrai à vos questions
Quand tout sera terminé.
Concernant les plus grands
Vous pouvez demander
A votre téléphone
De se couper
Nous allons faire le…
Jeu du silence
Nous allons
Commencer
Regardez
Ecoutez
BIENVENUE
Sur l’air de « Figaro dans le Barbier de Séville de Rossini » (accompagnement du KRYIN).
Bien…venue bienvenue, bienvenue mes amis !
La la la, la la la la la la.
Laaa !
Je suis ravie d’être ici, aujourd’hui, oui, oui.
De chanter, aujourd’hui, mes amis.
Liii !
J’ai travaillé mon chant, pendant des années, des années durant,
Pour chanter des…airs d’opéra, oui d’opéra !
Ecoutez-moi, c’est très beau, c’est ma voix, oui c’est moi. Moi !
Tra la la, oui c’est moi, c’est si moi
Aaah !
Je vais vous montrer l’étendue de mon talent
De grands airs d’opéra, à pleine voix !
Nous allons passer mes enfants un très bon moment
Car j’ai tant d’histoires, tant d’histoires dans mon répertoire
Mon répertoire, vous allez voir, de chansons et d’histoires, j’en ai plein les tiroirs !
MAIS QUI EST-CE GARCON LA ?
Sur l’air « Notte e Giorno dans Don Giovanni » de Mozart (accompagnement à la calebasse).
Mais qui est ce garçon là ?
Qui eut m’expliquer cela ?
L’avez-vous vu arriver ?
Qui l’a donc laissé entrer ?
Je ne pourrais pas chanter, je ne pourrais pas donner
Donner mon grand récital, no non non non
Au côté d’un tel animal.
Va-t-il rester longtemps ainsi ici ?
Pense-t-il qu’il est ici comme chez lui ?
Comment s’en débarrasser ? Débarrassez-moi le plancher !
Je ne pourrais pas chanter, je ne pourrais pas donner
Donner mon grand récital, no non non non
Au côté d’un tel animal.
Allez ouste, on ne veut pas de vous,
Allez ouste, vous n’êtes pas chez vous
Je veux chanter toute seule, oui je veux chanter toute seule.
Donner mon grand récital, oui oui oui oui
Et chanter comme les étoiles.
Partez Monsieur
Sur l’air de « L’air de la reine de la nuit dans la Flûte enchantée » de Mozart
(accompagnement du N’tama).
Partez monsieur, je ne veux plus vous voi-oir
C’est un vrai cauchemar !
Cesserez-vous cet a-ffreux tintamarre,
Il vous faut vous taire, ou je vais finir par me mettre en colère
Je vais bientôt avoir une crise de nerfs
Dieu ! Quel boucan ! Quel vacarme insolent !
Partez maint’ nant ! Qu’on le sorte immédiatement.
Laissez-moi pousser mon la la la la la la la.
Laissez-moi chantez mon do do do do do do do
Laissez-moi mon si, mon do, mon ré mi fa sol la
Ma gamme et mes notes : mi fa
Mes notes et ma gamme : sol la
Laisser moi chanter-er-er-er !
Laissez moi pousser mon la la la la la la la.
Laissez moi chantez mon do do do do do do do
Je sens que je vais crier, hurler, taper, tuer
Je vous préviens une dernière fois
Je vais faire abracadabra
Et vous, vous finirez en chair à pâté
BELLE ROSE
Sur l’air de « La complainte de Mackie dans L’opéra de quat’ sous » de Kurt Weill
(accompagnement de la cuica).
Belle rose du printemps, belle rose, fleur des champs
Tu t’éveilles, petit matin, et je te prends dans ma main
Belle rose, petite chose, on se parle, on se cause
Je t’expose mes problèmes, te récite mes poèmes
Belle rose, dans ma main, belle rose, je te tiens
Fleur chérie doux parfum, confidente du matin
Belle rose du printemps, belle rose, fleur des champs
CETTE FOIS C EST FINI
Sur l’air de « Non più andrai farfallone amoroso dans Les noces de Figaro » de Mozart
(accompagné du dum-dum).
Cette foi, c’est fini, je n’en peux plus
Ce monsieur, ce bandit, cet inconnu
A gâché, empêché mon joli chant
Avec ses espèces d’instruments
A voulu, j’ai bien vu, rivaliser
Cher monsieur, si je m’emporte
Je vais vous mettre à la porte !
Une dernière fois, vous êtes prévenu
Mais cesserez-vous ce raffut ?
Epouvantable, insupportable
Ridicule, complètement nul !
Complètement nul, complètement nul !
La musique ce n’est pas un cirque
La musique c’est très artistique
Et ce n’est pas n’importe quoi
Ce n’est pas taper comme une bête
Sur des bouts d’bois comme vous faites
La musique ce n’est pas magique
Il faut pendant bien des années
Enormément travailler
Travailler pendant des années
Travailler pendant des années
Travaillez vous n’savez rien
Ce que c’est, moi je sais très bien
Cette fois, c’est fini, je n’en peux plus
Ce monsieur, ce bandit, cet inconnu
A gâché, empêché ma musique
Avec ses instruments pathétiques
Voudrait bien, aim’rait bien jouer avec moi
Mais mon art, je ne le partage pas
Cher monsieur si je m’emporte
Je vais vous mettre à la porte !
Vous êtes un imposteur et moi je suis bien meilleure
Et moi je suis bien meilleure, et moi je suis bien meilleure !
On entre alors dans la 2ème phase : tous les chants sont dans la langue d’origine des opéras
(le texte original est dans la colonne de gauche, la traduction libre dans celle de droite).
Il semble peu pertinent au primaire de travailler sur les paroles en allemand ou italien mais
des renseignements sur les différents opéras suivent.
4. RESSOURCES DOCUMENTAIRES.
4.1 Les instruments.
LE KRYIN.
C’est un tambour de bois à fentes que l’on
joue avec des baguettes. Il est aussi appelé
tambour d’appel car, autrefois, on l’utilisait
pour communiquer à distance.
C’est un instrument portable qui permet une
grande mobilité et offre au percussionniste
la possibilité, dès le début du spectacle, de
s’approcher de la chanteuse pour nouer le
dialogue.
LA CALEBASSE.
C’est le fruit du calebassier et elle n’est pas comestible aussi elle
sert de récipient et même d’instrument de musique en Afrique (au
Mali et le long du Niger).
En étant attentif, dans la 3ème partie du spectacle (duo PapagenoPapagena), le percussionniste ne se contente pas de la frapper
avec les mains (comme dans la 1ère partie) mais il s’en sert de
récipient pour y prendre des pétales de la robe cachés pour
taquiner la chanteuse.
LE N’TAMA.
Le n'tama ou dumanun ou tamani est un instrument de musique
africain de la famille des percussions. C´est un membranophone.
LA CUICA.
Cet instrument est constitué d'un fût cylindrique
généralement métallique d'environ 30 cm de haut et de 20
cm de diamètre, sur lequel une membrane de peau ou de
plastique est tendue grâce à des fixations métalliques. Une
fine tige de bois est fixée au centre de la peau, dépassant à
l'intérieur du fût.
Le musicien, en frottant cette tige avec un chiffon ou une éponge humide, produit des
vibrations qui se transmettent à la peau. Il peut ensuite moduler la hauteur du son en
appuyant un doigt de son autre main à proximité du point de fixation de la tige sur la peau:
la pression tend la peau qui produit alors un son plus aigu.
LE DUM DUM.
Un dum-dum est constitué d'un fût cylindrique en bois sur lequel
sont tendues deux peaux de vache ou de veau (non rasées), une à
chaque extrémité (une peau de frappe et une peau de résonance),
et d'un système de tension (cordages avec cerclages
métalliques).
L’UDU.
Il est façonné en terre cuite au tour ou par coulage, mais
traditionnellement en colombin avec une ouverture classique en
haut du goulot resserré, mais aussi une petite ouverture sur le
côté. Il a en moyenne 40 cm de long pour 20 cm de diamètre.
On le fait résonner en le frappant du plat de la main (la basse est obtenue sur la bouche
principale), des phalanges ou du bout des doigts. Son bruit évoque le bruit de l'eau.
LE BERIMBAU
Le musicien tient l'instrument en équilibre sur le petit doigt d'une main à l'aide du
médium et de l'auriculaire de la même main, dont le pouce et l'index tiennent la pièce.
L'autre main tient la baguette.
LE DJEMBE.
Le djembé est un instrument de percussion africain composé d'un
fût de bois en forme de calice sur lequel est montée une peau de
chèvre ou d'antilope à l'aide d'un système de tension
(originellement des chevilles en bois ou des cordes en peaux,
maintenant le plus souvent des cordes synthétiques et des
anneaux en fer à béton), que l'on joue à mains nues et dont le
spectre sonore très large génère une grande richesse de timbre.
La forme évasée du fût viendrait de celle du mortier à piler le grain.
Les maîtres africains enseignent trois sons principaux : ils dépendent à la fois de l'endroit où
l'on frappe la peau et de la manière dont la main est positionnée..
LE BENDIR
D'un diamètre moyen de plus au moins 40cm, le Bendir a une
profondeur (largeur du cadre) remarquable de 15 cm. Le cadre est
formé d'un cerclage de bois de micocoulier. Un trou y est aménagé
afin de faciliter la préhension. Il est muni d'une peau de chèvre
collée recouvrant tout le cadre. Un timbre de cordes en boyau est
fixé le long de cette peau, qui lui donnera un son bourdonnant et
augmentera les basses généreuses. Les Bendirs sont souvent très
colorés.
On le joue assis ou debout lors des festivités, avec des frappes énergiques des mains et des
doigts, avec parfois des mouvements de tournoiement autour du pouce. Les joueurs ont le
même rôle; frapper horizontalement le Bendir en frappant la peau par dessous.
4.1 Les grands airs d’opéra qui servent de base au spectacle.
Les Contes d’Hoffmann d’Offenbach.
L’air de Figaro dans Le barbier de Séville de Rossini.
Notte e giorno faticar dans Don Giovanni de Mozart.
L’air de la Reine de la nuit dans La flûte enchantée de Mozart.
Complainte de Mackie de L’opéra de quat’sous de Weill.
Non piu andrai dans Les noces de Figaro de Mozart.
Duo des Chats de Rossini.
Duo Papageno, Papagena dans La Flûte enchantée de Mozart.
Libiamo dans La Traviata de Verdi.
5. LE CONTINENT AFRICAIN.
Voici quelques indications géographiques qui permettent de s’approprier l’espace
cartographique africain.
a) Le BENDIR est un instrument du nord de l’Afrique.
b) Le UDU vient du Nigéria.
c) Le N’TAMA est joué au Niger, Bénin, Togo et Ghana.
d) Le KRYN est joué dans le sud de l’Afrique.
e) Le BERIMBAU est joué en Angola.
f) La CUICA est jouée dans le centre de l’Afrique.
6. INFORMATIONS DIVERSES.
Sur la musique africaine :
http://www.musique.ac-rouen.fr/spip.php ?article341
http://www.mamalisa.com/fr/afrique.html
http://www.hugolescargot.com/chansons/chanson-enfant-melimba-chant-africain.htm
African playground
(CD album). Paru le 14 mars 2003
Musique pour enfants du continent africain

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