Sel ou Potassium - reussirsasante.fr

Transcription

Sel ou Potassium - reussirsasante.fr
CE N'EST PAS LE SEL QUI EST DANGEREUX, C'EST LA CARENCE EN POTASSIUM
Le mythe du sel court depuis longtemps puisque, déjà en 1960, ma mère qui était
une hypertendue notoire avait été mise au régime sans sel par notre médecin de
famille – (pain sans sel, etc., pas très régalant) – ce qui ne l’a pas empêchée d’être
obligée de prendre à vie des médicaments contre la tension, de faire un AVC, et de
terminer sa vie avec un système cardiovasculaire délabré.
Moi qui suis aussi un hypertendu (merci maman), je n’ai jamais adhéré à cette règle,
partant du principe que toutes les civilisations ont depuis toujours salé leur
alimentation, et que le sel considéré comme une denrée précieuse a toujours fait l’objet
d’un commerce important souvent en longs courriers. Par ailleurs, lorsque l’on effectue
un travail dur ou un sport d’endurance par une forte chaleur, il a toujours été
recommandé d’absorber du salé afin de compenser la perte en sel par la sueur, et retenir
l’eau en vous poussant à boire.
La preuve "sans équivoque" d'un lien entre le sel et l'hypertension a été officiellement
apportée dans les années 70, date à laquelle un chercheur américain est parvenu, en
effet, à provoquer de l'hypertension chez des rats en leur faisant manger l'équivalent
humain de 500 g de sodium par jour !!!
Voilà comment un détraqué de laboratoire a réussi à tourner la tête de
l’ensemble du corps médical au sein duquel pas un médecin, pas un ponte n’a
relevé la stupidité d’une telle étude.
Depuis, des millions d’hypertendus ont gâché tous leurs repas pendant des années
croyant que c’était indispensable à leur salut.
Tâchons de rétablir la vérité sur le sel.
1 - C'est vrai le sel raffiné est tout simplement toxique
Il faut savoir que le sel raffiné blanc couramment vendu dans le commerce est
toxique pour l’organisme, comme tous les produits chimiquement purs. Les produits
purs n’existent pas dans la nature, et ce sont les micro-éléments qui annulent
l’agressivité de la molécule de base. De plus, le sel est systématiquement ionisé, c'est-àdire passé à la radioactivité gamma. Du coup il est mort et n’a plus aucune valeur
thérapeutique. Tous les alchimistes savent cela.
Pour votre santé, vous devez acheter uniquement du sel de mer intégral bio qui
contient la totalité des micros éléments de l’eau de mer, le nec plus ultra étant la fleur de
sel qui a été véhiculée et amassée par le vent.
( Pour les hypertendus :
SYMBIOSAL =
http://www.han-asiabiotech.com/FR/SYMBIOSAL.html)
2 - Mais c'est l'équilibre sodium/potassium le vrai problème
Il existe une pompe sodium-potassium au niveau des membranes cellulaires qui joue un
rôle déterminant dans le maintien du potentiel de repos des cellules nerveuses,
musculaires et cardiaques. Cette pompe permet d'échanger les ions sodium (Na+) issus
du milieu intracellulaire avec les ions potassium K+ issus du milieu extracellulaire dans
un rapport précis de 3 Na+ pour 2 K+. Cette pompe est donc responsable du maintien du
volume des cellules, celui-ci dépendant de leur hydratation. Le détail de ce mécanisme
est un casse-tête de scientifique que nous n’aborderons pas.
Selon un article publié en 1985 dans la revue scientifique The New England Journal of
Medicine, et intitulé "Paleolithic Nutrition", nos ancêtres chasseurs-cueilleurs
consommaient 11 g de potassium par jour et 0,7 g de sodium. Cette proportion
s'est aujourd'hui inversée, le régime moderne actuel apportant plutôt 2,5 g de
potassium par jour et 4 g de sodium.
Si nous examinons le cas extraordinaire des Indiens Yanomami de l'Amérique du Sud,
l’on constate que ces gens fascinants ne consomment pratiquement aucun sodium (sel de
table), mais que chaque adulte absorbe environ 8,5g de potassium chaque jour. Ils sont
incroyablement en forme et n'ont pas d'antécédents d'arthrite, d'ostéoporose,
d'hypertension, ou de douleurs cardiaques.
Il faut garder en tête que chez les Indiens Yanomami, la pression sanguine moyenne est
de 95/60 et n'augmente pas avec l'âge. Essayez de comparer avec la pression "normale"
de l'AMA occidentale de 120/80 qui augmente ensuite rapidement alors que vous ingérez
plus de sodium et perdez plus de potassium en vieillissant. La seule différence
significative entre les Yanomami et les Américains ou les Australiens est que les
Yanomami sont bourrés de potassium santé, pendant que nous sommes bourrés
de sodium toxique car raffiné. Les chercheurs ont aussi noté qu'un autre bénéfice
pour les Yanomami était l'absence d'obésité, alors que les adultes des populations
industrialisées ont presque systématiquement un gain de poids avec l'âge.
Ces observations sont confirmées par le principe de l’équilibre Yin/Yang (qui a 5
000 ans d’âge)
Rappelons-nous : tout ce qui est YIN est mou, hydraté, sucré, doux, vaporeux, dilaté,
antidote de la chaleur. Tout ce qui est YANG est dur, sec, salé, amer, compact, antidote
du froid.
Ainsi, par exemple, il est ainsi facile de comprendre que c’est une ineptie de se
charger en sucreries en hiver si l’on ne veut pas se fragiliser aux maladies.
Dans le principe Yin-Yang de la macrobiotique, il est établi que le rapport harmonieux
sodium/potassium est de 1 volume de sodium pour 5 volumes de potassium.C'est
ce rapport que l'on retrouve dans le riz (complet), qui est la référence absolue de
l'équilibre alimentaire.
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Qu'est-ce que l'hypokaliémie ?
Ce sont les problèmes dus aux carences en potassium, qui est essentiel dans de multiples
régulations :
Fonctions cardiovasculaires et nerveuses,
contrôle des surrénales,
transfert des nutriments dans les cellules,
libération de l'énergie musculaire,
l'équilibre en eau,
récupération d'énergie,
soulagement des rhumatismes en forçant les acides à quitter les articulations,
élimination des déchets,
désensibilisation naturelle à la douleur,
contrôle des convulsions,
soulagement des migraines,
activation de guérison des contusions et blessures,
contrôle de la masse osseuse,
contractions musculaires (y compris le cœur),
métabolisme des glucides,
nombreuses réactions enzymatiques,
synthèse des protéines.
Une complémentation en chlorure de potassium est donc indiquée dans les
possibles problèmes suivants :
acidose de sang,
angine de poitrine,
arthrite rhumatoïde,
arthrite,
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
arythmie cardiaque,
calculs rénaux,
cataracte,
constipation,
crampes,
douleurs cardiaques,
faiblesse musculaire,
hypertension artérielle,
impuissance sexuelle,
infarctus et AVC,
ostéoporose,
problèmes de mémoire,
rétention d'eau,
soif continuelle,
ulcères et cancer de l'estomac.
Mais les lobbies pharmaceutiques n'aiment pas les gens en bonne santé
A cause des pressions soutenues des lobbies des multinationales pharmaceutiques, et en
dépit de l'accès total et sans restriction à de réelles données scientifiques procurant de
solides preuves de la carence étendue en potassium, la FDA a délibérément ignoré de
spécifier l’ADR (l’apport Diététique Recommandé) en passant une loi restreignant le
contenu en potassium de tous les médicaments alternatifs à la dose quotidienne ridicule
de 100mg. (Ils ont fait la même chose avec la vitamine C).
Afin de garder les médecins sous le coude, la FDA ainsi que la AMA ont fait circuler
de nombreuses histoires terrifiantes au sujet du potassium, dont la rumeur
effrayante que "trop" de potassium va vous tuer en arrêtant votre cœur de
battre, comme dans les cas d'exécution par injection mortelle (à part que l’on injecte
carrément 50 ml de chlorure de potassium concentré dans les veines du condamné).
La voie d'entrée normale du potassium dans le corps est par la bouche, soit sous forme
de nourriture, ou quelquefois sous forme de solution faite de chlorure de potassium
hydrosoluble à 100% dissout dans du jus de fruit. Quand le potassium passe par le
transit digestif, les cellules extraient ce dont elles ont besoin et l'excédent est
ensuite rejeté hors du corps, partiellement comme déchet solide, mais surtout
par les reins sous forme d'urine.
Les scientifiques dignes de ce nom conviennent que les besoins quotidiens en
potassium pour un adulte se situent entre 3,2 et 4,7 g, mais l'apport moyen par
la chaîne alimentaire est maintenant de seulement 1,5 à 2 grammes par jour,
représentant globalement un manque journalier de 1,7 g, ceci en raison des engrais
chimiques qui carencent les récoltes.
Le rapport pondéral potassium / chlorure étant de 1,6, cela nous donne un apport
nécessaire en chlorure de potassium allant de 5 à 7,5 g par jour.
Des études ont été faites en double aveugle au long court avec des vétérans militaires qui
ont été partagés en 2 groupes : le premier a été nourri avec du sel enrichi en
potassium et l’autre avec du sel ordinaire. Dans le premier groupe, le niveau de
potassium sanguin a augmenté de 76% ; dans le deuxième groupe, il a diminué de 17%.
De plus, ils ont constaté que dans le 1er groupe, la mortalité par maladie cardiovasculaire avait diminuée de 40% par rapport au 2ème groupe témoin.
Des bons pourvoyeurs de potassium
Comment vous assurer d'avoir ces deux nutriments dans une meilleure
proportion ?
Abandonnez les plats préparés et la nourriture transformée industriellement, au profit
d'aliments frais, entiers, et si possible cultivés biologiquement pour assurer une bonne
densité en minéraux. Ce type de régime vous apporte naturellement de plus fortes doses
de potassium que de sodium.
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Hélas, environ 80 % des apports de sel (sodium) de la population française
viennent aujourd'hui de la nourriture industrielle : pain, lasagnes, pizzas surgelées,
plats préparés, conserves mais aussi biscuits et céréales du petit-déjeuner. Et cela vaut
aussi pour la restauration rapide (snacks, sandwicheries, pizzerias, kebabs, fast-foods
américains...)
Tous les fruits et légumes sont de bonnes sources de potassium, mais certains sont
évidemment meilleurs que les autres :
Haricots blancs cuits : 1189mg pour une tasse de 250 ml.
Haricots de soja, cuits : 970mg toujours pour une tasse
Pommes de terre avec la peau :1081mg pour environ 175 g
Pommes de terre épluchées : 610mg pour environ 175 g
Lentilles et pois cassés : Autour de 700mg pour une tasse.
Tomates en purée : 580mg pour une 1/2 tasse..
Courges : 900mgr pour une 1 tasse
Epinards : 886mg pour une 1 tasse
Artichaut : 425mg pour un artichaut moyen (pauvre)
Banane : 422 mg pour une banane (pauvre)
Mais il y a aussi en outsiders :les fruits secs comme les figues, papaye, brocolis, choux de
Bruxelles, patates douces, avocats, asperges, potiron.
Que faire dans l’urgence de pathologies sévères dues à la carence en potassium
?
Procurez-vous en pharmacie, dans votre boutique bio ou sur Internet (chez Solgar par
exemple) du Chlorure de potassium pur en poudre. Peser avec une balance ménagère
électronique de précision 3 g de chlorure de potassium à dissoudre dans de
l’eau (c’est salé et un peu amer) ou dans un jus de fruit – recommencer toutes
les 8 h, ce qui donne 3 fois par 24 h. Les soulagements doivent apparaitre au moment
où vos carences en potassium sont normalisées. Ensuite passez en mode d’entretien.
Parallèlement, il vous faudra saler le moins possible en sel ordinaire. Attention,
si vous êtes insuffisant rénal, réduire prudemment les doses afin qu’il ne se produise
pas de phénomène d’accumulation pouvant nuire au cœur.
Puis en mode d’entretien
- Solution "complément alimentaire" : passer les 3 g de chlorure de potassium à 1
seule fois par jour
- Solution naturelle : Revenir à une alimentation raisonnée, basée sur des produits
identifiables, frais, et si possible bio, est le moyen le plus efficace de retrouver la santé,
pour consommer moins de sodium, et plus de potassium. Heureusement qu'il y a
aujourd'hui un fort courant d'agriculteurs Biologiques pour redonner aux fruits et légumes
les vitamines et les minéraux qu'ils devraient toujours avoir.
Deux dernières choses
1 - Penser que si vous êtes sous diurétiques, laxatifs permanents, sous certains
médicaments, ou bien soit anorexique ou boulimique, vous êtes automatiquement en
carence potassium.
2 – Savoir que plus on sale les aliments (sel de cuisine), plus il faut compenser en sel de
potassium pour respecter la proportion 5 pour 1.
--------------------------------------------------------------------Un témoignage étonnant : angine de poitrine et carence en potassium
Je vous livre, en complément de l'article ci-dessus, cet étonnant témoignage d'un
Australien.
"Depuis plus de 25 ans je souffre "d'hypertension essentielle", en d'autres mots une
pression sanguine élevée que la fraternité médicale ne peut expliquer. Durant cette
période environ 8 médecins différents m'ont donné une variété impressionnante de
"médicaments brevetés", aucun ne produisant une réduction stable de la pression
sanguine, même si en deux occasions notables les médicaments causèrent de "mauvaises
réactions" qui diminuèrent ma pression sanguine si basse et si soudainement, que ma
femme pouvait à peine la prendre.
Jamais durant cette période de 25 ans un médecin n'a suggéré qu'il pourrait
être une bonne idée de mesurer mon niveau d'électrolytes séreux, afin de
détecter une carence en potassium. Comme vous pouvez l'imaginer, toute cette
période m'a grandement désillusionné de la profession médicale.
Vers la fin de 2003 j'ai commencé à ressentir les symptômes classiques de l'angine de
poitrine, ce qui, les six semaines suivantes, progressa rapidement en "angine instable",
une condition documentée qui implique un modèle de douleur à la poitrine et au dos
accéléré ou "crescendo" qui dure plus longtemps que l'angine de poitrine ordinaire. Elle
était accompagnée d'un manque de souffle aigu, surtout après un effort même modéré
ou un petit repas d'hydrates de carbone. Le fait que la profession médicale ignorait la
cause de « l'angine de poitrine » me rendait furieux, parce que tout sur cette planète est
causé par autre chose.
Mes connaissances de base de la chimie m'indiquaient que je pouvais souffrir d'une
surdose de sodium, alors bien qu'en extrême douleur et quelquefois à peine conscient,
j'ai réussi à me brancher à Internet et à faire quelques recherches dans Google. Les
seules surdoses de sodium que je pus trouver étaient celles causées par différents
médicaments synthétiques, alors j'ai inversé mon modèle de recherche et essayé
"carence en potassium" à la place.
C'est à ce moment que j'ai découvert que mes symptômes médicaux « d'angine de
poitrine » concordaient précisément avec ceux présentés par une personne souffrant
d'une carence en potassium aigue. Cette information vint sans grande surprise. En plus,
j'avais découvert les causes fondamentales de l'angine médicale, cette dernière
responsable de la vente de plus d'un milliard en chiffre d’affaire de "médicaments
brevetés" synthétiques chaque année.
Le problème était de savoir quoi faire par la suite. En Australie j'étais limité à des
comprimés de potassium de 100 mg chez le marchand d'aliments naturels, ou à un
produit appelé "Slow K" disponible dans certaines pharmacies. En fait Slow K est un amas
de chlorure de potassium à libération lente, qui permet à une dose de potassium soi
disant "non mortelle" d'être administrée sous le contrôle direct du comprimé, plutôt que
sous le contrôle du destinataire. Le problème ici est que tous les morceaux de sel sont
biochimiquement "chauds", ceci signifiant que quand l'enrobage de sucre disparaît de la
surface du comprimé, le morceau de sel non dissous est exposé, et peut ensuite venir en
contact direct avec les délicats tissus internes. À mon avis, ceci pourrait facilement
causer certains types de perforations ou un ulcère.
Clairement ce dont j'avais besoin était une quantité industrielle de potassium
pour circulation libre en forme 100% hydrosoluble, ce qui devait me permettre de
dissoudre d'abord le potassium dans de l'eau et du jus de fruits. Je me suis finalement
décidé pour un kilogramme de sel de chlorure de potassium de grade AR (Analytical
Reagent) provenant d'un entrepôt de produits chimiques, heureusement pas encore sous
le contrôle direct de la FDA américaine, ou l'AMA australienne.
Ceci était également un bon choix économique puisque le kilogramme entier ne m'a coûté
qu'un petit 30$ US incluant les taxes, ce qui est peu coûteux quand vous réalisez que
mon achat de chlorure de potassium contenait approximativement 620 grammes du
même potassium que celui que la FDA avait restreint à 100 mg par dose dans les
magasins d'aliments naturels.
À ce moment j’avais tellement de douleur et tellement souvent que je pris une
décision personnelle d’accumuler lentement un minimum de 50 grammes de
potassium, ce qui représente environ un cinquième des 250 grammes qu'un
homme adulte devrait contenir au total dans son corps.
Bien franchement, j'étais prêt à tout pour arrêter la douleur envahissante avant qu'elle
n'ait une chance de se précipiter en attaque cardiaque fatale.
Avec ceci en tête, j'ai dissous 4 grammes de chlorure de potassium dans de
l'eau et du jus de fruits, lentement avalé le tout, et ensuite je me suis mis à
répéter ce processus toutes les 8 heures. Après environ 5 jours, la plus grande
partie de la douleur avait disparu, mais j'étais encore incapable de pensées
vraiment cohérentes. Ce n'est pas avant d'avoir atteint la recharge de 110g que mes
facultés revinrent véritablement. Exprimé dans les mêmes termes que ceux utilisés par la
FDA, en 10 jours j'ai lentement ingéré 68 grammes de potassium dissous, soit
78 fois la quantité maximum permise par la législation américaine.
À la fin de la période de 10 jours, toutes mes douleurs « d'angine instable » et mon
manque de souffle s'étaient complètement évaporés, et en même temps la plupart de «
l'hypertension essentielle » qui me tourmentait depuis plus de 25 ans.
Aujourd'hui je prends une dose de maintenance quotidienne de 2 g de potassium par jour
(3,2 g de chlorure de potassium de grade AR), plus 200 mg d'orotate de magnésium pour
minimiser les pertes.
J’espère que ce partage d’expérience pourra aider, voire sauver, de nombreuses
personnes."
Michel Dogna
A voir :
http://www.dailymotion.com/video/x8608z_l-exces-de-sel-pierremeneton_news#.UXQRVCuAuVd
et les bonnes propriétés du vinaigre de cidre

Documents pareils