syndicat de l`emballage industriel et de la logistique associee

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syndicat de l`emballage industriel et de la logistique associee
SYNDICAT DE L’EMBALLAGE INDUSTRIEL
ET DE LA LOGISTIQUE ASSOCIEE
SEILA
6 2 ,
r u e
d e T u r b i g o – 7 5 0 0 3
Tél. : 01 44 78 00 50 - Fax : 01 44 78 00 55
P A R I S
Site : www.seila.fr - E-Mail : [email protected]
SYNTHESE DE LA REUNION DU BUREAU TECHNIQUE
du Mardi 4 Mai 2010
tenue 62, rue de Turbigo – 75003 PARIS
ETAIENT PRESENTS
NOMS
SOCIETES
FONCTIONS
M. LEMAITRE Dominique
E.C.N.
Président du SEILA
M. DEROUAULT Nicolas
CCS
Vice-Président Technique du SEILA
M. BARRY Omer
ECN
Membre de la Commission « EMBALLAGE INDUSTRIEL ET
SES SPECIFICATIONS TECHNIQUES
Membre de la Commission « AUDIT ET CONTROLE DES
DEUX MARQUES »
M. FAUVILLE Jean-Pierre
SEILA
Conseiller du SEILA
M. GRENIER Patrice
SODELY
Coordinateur du B.T.E.I.
Responsable de la Commission « EMBALLAGE INDUSTRIEL
ET SES SPECIFICATIONS TECHNIQUES »
M. HERVE Michel
HM. FORMATION
Formateur
M. JANES Joseph
SOFLOG
Responsable de la Commission « BOIS ET MATERIAUX »
M. TRICHARD Sébastien
LA LANGUEDOCIENNE
Coordinateur du B.T.L.I.
Responsable de la Commission « LOGISTIQUE
INDUSTRIELLE ET SA CHARTE LOGISTIQUE »
Mme BOUILLANNE
Françoise
SEILA
Secrétaire du SEILA
1/7
SYNDICAT DE L’EMBALLAGE INDUSTRIEL
ET DE LA LOGISTIQUE ASSOCIEE
SEILA
6 2 ,
r u e
d e T u r b i g o – 7 5 0 0 3
Tél. : 01 44 78 00 50 - Fax : 01 44 78 00 55
P A R I S
Site : www.seila.fr - E-Mail : [email protected]
SYNTHESE DE LA REUNION DU BUREAU TECHNIQUE
du Mardi 4 Mai 2010
tenue 62, rue de Turbigo– 75003 PARIS
M. LEMAITRE déclare la réunion ouverte à 14 H 00 et constate avec plaisir que tous les
membres sont présents, ce dont il les remercie.
Il tient à préciser que la réunion du BUREAU TECHNIQUE ne doit pas être confondue avec
celle plus spécifique de la Commission « EMBALLAGE INDUSTRIEL ET SES SPECIFICATIONS
TECHNIQUES » car elle englobe l’ensemble des Commissions Techniques.
M. DEROUAULT annonce qu’il sera dans un premier temps procédé à une présentation des
Commissions « BOIS ET MATERIAUX » et « EMBALLAGE INDUSTRIEL ET SES S.T ». puis, dans
un second temps, au résumé des réunions des Commissions « AUDIT ET CONTROLE DES DEUX
MARQUES » et « LOGISTIQUE INDUSTRIELLE ET SA CHARTE LOGISTIQUE » qui ont eu lieu
conjointement le matin même.
I
COMMISSION « BOIS ET MATERIAUX »
M. JANES fait le point de l’état d’avancement des travaux comme suit :
A/
CONSOMMATION DE BOIS ET DERIVES POUR LA PROFESSION EN 2009
M. JANES indique qu’il réalise lui-même cette enquête et attend encore quelques réponses.
B/
INDICES DES PRIX
M. JANES signale que les derniers indices connus sont ceux du mois de janvier 2010 qui ont
été mis en ligne. Cependant, depuis lors, ces chiffres ne correspondent plus à la réalité du marché
car, contrairement à ce que pensent les donneurs d’ordres, les prix ont augmenté de :
10 % pour le bois
20 à 22 % environ pour les contreplaqués.
De plus, les commentaires ci-après sont apportés :
M. TRICHARD a créé un blog sur Internet qui a permis de constater qu’effectivement les
distributeurs se fournissaient chez KRONOFRANCE et KRONOSPAN, ce qui rendait
pratiquement impossible les achats directs des emballeurs et il en a informé les adhérents
de la région Sud-Est.
2/7
Suite réunion B.T. du 04/05/2010
M. JANES indique que, selon M. DORMEVAL de l’entreprise BARILLET, les scieurs
augmentent leurs prix en objectant qu’il n’y a pas assez de bois disponible mais il s’agit
souvent d’une pénurie artificielle. De ce fait pour une commande à ce jour, le délai de
livraison est fixé mi-juin.
M. TRICHARD estime cependant qu’il existe un manque réel de bois, ce qui est corroboré
par M. LEMAITRE qui explique qu’un problème de repeuplement sérieux existe puisque
depuis 2 ans, ce manque représente environ 35 % de plantations. Ce phénomène est une
conséquence des tempêtes car, ce risque ayant été très mal couvert, les propriétaires
forestiers ne gagnent plus d’argent et ne peuvent réinvestir. M. LEMAITRE précise qu’une
campagne de publicité a été menée sur ce sujet par le Président de la FNB, M Luc
DENORMANDIE.
En raison des fluctuations de prix des bois et dérivés, M. DEROUAULT suggère la possibilité
d’utiliser une formule de révision de prix. (Cf. ce point repris en haut de la p. 4 de la présente Synthèse).
C/
CERTIFICATION PEFC
M. JANES signale que l’article consacré à ce sujet figurant à la rubrique ACTUALITES en
janvier 2009 a été actualisé et remis en ligne en avril 2010.
Cette certification qui tendra à être de plus en plus exigée par les donneurs d’ordre déclenche
un débat sur l’opportunité ou non d’initier une démarche commune afin d’en réduire le coût pour les
adhérents qui seraient intéressés :
M. JANES n’est pas partisan d’une telle initiative car les bois de ce type ne pourront pas
représenter plus de 40 % des volumes dont ont besoin les emballeurs, les scieurs devant
fournir d’autres secteurs de la filière bois, notamment le bois construction.
M. BARRY estime que l’emballeur ne sera plus libre d’acheter ses bois où il le souhaite
car il lui faudra trouver un fournisseur lui-même impliqué dans cette démarche. Il s’agit en
fait d’une chaîne, l’emballeur s’adressant au caissier qui lui-même s’adresse au scieur.
Or, la certification PEFC inclut un certain nombre d’exigences comme l’application de la
norme ISO 9001 par rapport à la gestion des non-conformités que le caissier et le scieur
doivent respecter. Cela implique à la fois un coût financier et la maîtrise de ces exigences.
C’est pourquoi une démarche commune pourrait permettre à la fois de réduire le coût et
de profiter de l’expérience de chacun pour respecter les exigences.
Il est finalement décidé de prendre contact avec un organisme (QUALISUD – VERITAS –
FCBA) pour tenter d’obtenir un prix global pour une démarche commune de certification de plusieurs
adhérents.
D/
BILAN CARBONE
M. JANES indique qu’il s’est partagé la tâche avec M. VAN DEN ABEELE pour obtenir des
informations auprès de l’ADEME mais ils ne parviennent pas à trouver le bon interlocuteur.
M. LEMAITRE déclare qu’il est indispensable de mener une démarche collective pour mettre
au point une méthode de calcul du bilan carbone, en sachant qu’il existe deux types de bilans :
entreprise et produit. Par ailleurs, le cas de l’emballage industriel est particulier car il ne se limite pas
au bilan d’une caisse.
C’est pourquoi, il va mener une recherche parallèle dans le cadre :
de la CDAF (Compagnie des Dirigeants et Acheteurs de France) : il assistera le
23/09/2010 à ROUEN à une réunion sur l’environnement qui portera, entre autres, sur le
bilan carbone.
de son entreprise : il recevra prochainement une personne spécialisée dans le calcul des
bilans carbone par produits.
3/7
Suite réunion B.T. du 04/05/2010
M. FAUVILLE souhaitant savoir ce qu’il advient du bilan carbone du transport, M. LEMAITRE
indique que les transporteurs calculent leur propre bilan exprimé en kilomètres parcourus.
Il s’avère que les transporteurs disposent dans le calcul de leur formule de révision de prix
d’une variable évoluant tous les mois en fonction du prix du fuel et ceci pourrait donner des pistes de
réflexion pour les emballeurs.
M. LEMAITRE précise que cette décision ministérielle a pu être prise grâce aux importants
travaux menés sur les conditions de transport et de chargement incluant les responsabilités et les
différents coûts dont celui du pétrole.
M. DEROUAULT ajoute qu’il y a des différences de calcul entre les transporteurs car, si
l’indexation et le multiplicateur du gasoil sont communs, il est tenu compte du nombre variable de
kilomètres parcourus par chaque entreprise.
Il est finalement décidé d’attendre d’avoir mené une réflexion plus poussée sur le bilan
carbone pour s’engager vers la mise au point d’une formule de révision de prix.
E/
NIMP 15 – L’AUSTRALIE
M. HERVE signale qu’il est nécessaire de mettre à jour la Fiche Technique n° 4-3-1-2-2 L –
Programme de conformité phytosanitaire de la façon suivante :;
supprimer les lignes relatives au bromure de méthyle désormais interdit,
supprimer les lignes indiquant que les contreplaqués doivent être fabriqués au plus tard
21 jours avant l’embarquement car cela concernait le traitement par fumigation.
Indiquer que l’on peut employer le traitement du bois vert au « tanalithe »
M. JANES fait part des dernières informations dont il dispose, à savoir qu’il ne serait plus
nécessaire de présenter de certificat de traitement des contreplaqués de moins de 3 mois car les
emballages seraient systématiquement mis en quarantaine. Par contre, si au sortir de celle-ci, des
parasites étaient détectés, cela entraînerait la destruction des emballages.
Par ailleurs, une recherche complémentaire aura lieu concernant le fluorure de sulfuryle qui
est, semble-t-il utilisé par les belges mais interdit en France.
EN CONCLUSION, M. LEMAITRE déclare qu’il est indispensable d’être très vigilants quant à
la qualité des traitements antiparasitaires car ces dispositions ne dispensent pas du traitement des
bois et des contreplaqués mais uniquement de la présentation des documents l’attestant. Il prévoit la
réalisation d’une note à ce sujet.
F/
POINT SUR LES ACTIONS DE COMMUNICATION
M. LEMAITRE présente les actions menées sur deux fronts :
sur le plan national dans le cadre du POLE EMBALLAGE BOIS (SIEL – SYPA – et grâce
au financement accordé par France BOIS FORET avec les fonds collectés par la CVO, Il
tient d’ailleurs à rappeler à cette occasion qu’il est obligatoire de payer la CVO
(Contribution Volontaire Obligatoire) à l’organisme collecteur qu’est FRANCE BOIS
FORET, certains adhérents pensant qu’il s’agit d’une cotisation supplémentaire du SEILA.
sur le plan européen, voire international, dans le cadre de la FEFPEB.
4/7
Suite réunion B.T. du 04/05/2010
1.
POLE EMBALLAGE BOIS / FRANCE BOIS FORET
CARREFOUR DU BOIS à NANTES les 2 – 3 et 4 Juin 2010 : MM. PARROT et VAN
DEN ABEELE seront successivement présents sur le stand et M. DEROUAULT, ainsi que
M. MAINCHAIN de CCS, s’y rendront également. M. LEMAITRE précise qu’il est difficile
au SEILA de se démarquer lors de cette opération car le SIEL et le SYPAL, en tant que
précurseurs, ont déjà travaillé sur les axes de communication. Néanmoins, il eut été
dommage de ne pas participer à cette opération générant si peu de frais.
SALON DE L’EMBALLAGE DU 22 AU 25 NOVEMBRE 2010 A VILLEPINTE : Le SEILA
y partagera un stand commun avec le SIEL et le SYPAL et cette opération prend place
dans une campagne de communication plus vaste du POLE EMBALLAGE BOIS
organisée par une agence spécialisée et dont le détail sera communiqué ultérieurement
2.
FEFPEB
Mme BOUILLANNE explique que la Commission « Public Relations », récemment créée, a
été chargée de recenser les documents multimédia contribuant à la promotion du bois en Europe,
voire dans le monde entier, Ces éléments seront mis à la disposition des membres de la FEFPEB et
de leurs adhérents sur le site www.fefpeb.eu afin qu’ils puissent monter leur propre campagne auprès
de différentes instances et des donneurs d’ordre.
G/
SECTION « CARTON »
M.JANES indique qu’il est toujours prévu de créer une section « CARTON ».Il ajoute que les
personnes qui souhaitaient y apporter leurs compétences n’ont finalement pas pu se rendre
disponibles cette année mais une solution devrait être trouvée à l’automne 2010.
II
COMMISSION « EMBALLAGE INDUSTRIEL ET SESSPECIFICATIONS
TECHNIQUES »
M. GRENIER fait le point de l’état d’avancement des travaux comme suit :
A/
SYNTHESE DES CATEGORIES, PROTECTIONS ET METHODES D’EMBALLAGE
La sous-commission créée pour réaliser cette synthèse s’est réunie le 25/02/2010 et a
principalement travaillé sur les méthodes 4 c et 4b. Depuis, de nombreux échanges par téléphone et
e-mails ont eu lieu. Ces documents auxquels seront incorporés des photos se présenteront sous
forme d’affiches au format A3 à utiliser dans les ateliers, ainsi qu’au format A4 pouvant être emmenés
sur les chantiers extérieurs.
.
M. BARRY, membre de cette sous-commission, présente la maquette de ces deux fiches et
déclare qu’elles ont été conçues à partir du principe de questionnement suivant : « ais-je pensé à … ?
». De ce fait, toute une série de questions, assorties de photos, est déclinée en tournant autour d’un
point central représentant l’emballage terminé.
M. HERVE estime que cette présentation convient parfaitement et apporte quelques
commentaires pour en améliorer le contenu, notamment changer quelques photos qui ne sont pas
suffisamment explicites.
M. LEMAITRE ajoute que l’objectif est de finaliser ces maquettes pour présentation à
l’Assemblée Générale du 11 juin 2010 et remise aux participants sous forme de fiches plastifiés aux
formats A3 et A4 comme indiqué précédemment.
5/7
Suite réunion B.T. du 04/05/2010
B/
FICHE N° 4-7-8-0-1 – QUINCAILLERIE – CLOUTERIE
Cette fiche est terminée mais les croquis doivent être refaits par M. SALVAGNAC.
M. FAUVILLE signale qu’il est à l’heure actuelle difficile d’obtenir des fournisseurs des
spécifications techniques sur leurs produits. Il estime que l’idéal aurait été de faire des tests pour
mesurer l’arrachement du bois lors de la pose des vis et clous mais ce serait une opération très
onéreuse.
C/
FICHE N° 4-7-1-1-1 A – PRODUITS DE PROTECTION P18
M. DELALANDE (Sté ACOBAL) et Mme ABADIE (BRANOPAC) ont travaillé à la mise à jour
de cette Fiche qui doit être relue par M. FAUVILLE avant d’être mise en ligne.
M. LEMAITRE ajoute qu’il ne faut pas garantir ces produits au-delà d’1 an et bien vérifier qu’ils
ne comportent pas de cadmium ni de magnésium.
D/
FICHE – CALAGE ET SAISISSAGE
Cette fiche est pratiquement terminée mais nécessite que MM. FAUVILLE et HERVE la
complètent et lui attribuent un numéro.
E/
FICHE N° 4-9-3-2-1 – MATERIEL DE LEVAGE – UTILISATION DES ELINGUES
M. FAUVILLE a réalisé un projet de fiche sur l’utilisation des élingues accompagné d’une
feuille de calcul. Ces documents pouvant entraîner des modifications de la grille d’audit, leur relecture
et finalisation nécessitent la plus grande attention.
F/
ETAT DU STOCK DES SPECIFICATIONS TECHNIQUES
Le stock de SPECIFICATIONS TECHNIQUES en version anglaise est pratiquement épuisé. Il
faut donc prendre contact avec l’éditeur pour obtenir un devis de réédition de 150 exemplaires.
III
COMMISSION « AUDIT ET CONTROLE DES DEUX MARQUES
ET COMMISSION « LOGISTIQUE INDUSTRIELLE ET SA CHARTE
LOGISTIQUE »
MM. GRENIER et TRICHARD font brièvement état des discussions ayant eu lieu dans la
matinée au cours de la réunion conjointe des Commissions « AUDIT ET CONTROLE DES DEUX
MARQUES ». et « LOGISTIQUE INDUSTRIELLE ET SA CHARTE LOGISTIQUE ».
M. TRICHARDl explique qu’à l’heure actuelle deux entreprises ont posé leur candidature à
l’agrément « SEILA » :
PEINETTI EMBALLAGES à MEYZIEU (69).
IDEA LOGISTIQUE à TRIGNAC (44)
6/7
Suite réunion B.T. du 04/05/2010
Par ailleurs, 7 autres devraient déposer des dossiers avant fin 2010 et 5 supplémentaires en
2011. Cependant, le Groupe SOFLOG-TEIS n’a pas encore pris position.
M. DEROUAULT précise que la Marque « SEILA » est, pour l’instant du moins, destinée aux
PME mais que l’impulsion doit être donnée par les grands groupes qui sont à l’origine du projet. Il
ajoute que M. de CHAISEMARTIN souhaite préalablement à cet engagement qu’un groupe de travail
clarifie les règles d’attribution de l’agrément.
M. LEMAITRE estime que cette demande de formalisation ne doit pas freiner pour autant le
lancement de la Marque. La Commission « LOGISTIQUE INDUSTRIELLE » se réunira à l’automne
prochain pour mettre en place sa feuille de route.
M. GRENIER déclare enfin que le cas particulier des entreprises ne présentant aucune
production lors des audits de contrôle a été abordé car, pour 2 d’entre elles, c’est la 4ème année
consécutive. Il est donc prévu de contacter les responsables de ces sociétés afin de comprendre les
raisons de cet état de fait. Cette problématique devra faire l’objet d’une réflexion utérieure.
IV
COMMISSION INTERARMEES DE LA DGA
M. BARRY fait part de la réunion de la Commission interarmées de normalisation - emballage
et conditionnement - de la DGA du 15/03/2010 à BAGNEUX, à laquelle il a assisté en compagnie de
M. GOUJON de la Sté DAHER et de M. COURSIMAUX du Groupe SOFLOG-TELIS, et ce, à la
demande de l’armée. (Cf. le compte rendu de M. BARRY figurant en ANNEXE A et celui de la
DGA en ANNEXE B)
En effet, l’objectif de cette commission est de faire évoluer les normes GAM EMB 1 à 5 vers
un standard OTAN, notamment le « NATO STANAG 4280 (NATO levels of packaging). L’expertise
des emballeurs industriels, dont certains travaillent dans le respect des normes militaires, leur est
indispensable pour réaliser des normes compatibles à la fois dans les domaines civile et militaire.
M. BARRY indique que le SEILA devra répondre aux 4 questions suivantes
Quel est votre retour d’expérience sur les GAM EMB ?
Quel est votre niveau de maîtrise du STANAG 4280 ?
Quel est votre avis par rapport au référencement systématique du STANAG ?
Avez-vous d’autres propositions ?
Il ajoute que quelques militaires expérimentés en emballage ont suggéré de s’inspirer des
SPECIFICATIONS TECHNIQUES S.E.I. car elles sont bien faites et la question a été posée de savoir
si l’armée en avait le droit. On constate en effet que la norme militaire C 2 5 équivaut pratiquement à
la méthode S.E.I. 4c.
M. BARRY précise que l’armée a défini des méthodes d’essai et souhaite que le S.E.I. prouve
par des tests que les méthodes d’emballage décrites dans les Spécifications Techniques sont
opérationnelles. Cependant, M. FAUVILLE posant la question de savoir si la DGA réalisera et
financera ces tests, M.BARRY indique qu’elle ne l’envisage pas.
En conclusion, il est décidé que M. FAUVILLE établisse un tableau de correspondance
indiquant en face de chaque classification de l’armée sa correspondance avec les méthodes S.E.I.
Plus aucun point n’étant à l’ordre du jour, la séance est levée à 17 H 00.
Fait à PARIS, le 27 Juillet 2010
Le Secrétariat
Françoise Bouillanne
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SYNDICAT DE L’EMBALLAGE INDUSTRIEL
ET DE LA LOGISTIQUE ASSOCIEE
SEILA
6 2 ,
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Tél. : 01 44 78 00 50 - Fax : 01 44 78 00 55
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ANNEXE A
A LA SYNTHESE DE LA REUNION DU BUREAU TECHNIQUE
du Mardi 4 Mai 2010
Commission Interarmées de normalisation
Emballage – conditionnement
Compte rendu de M. Omer BARRY
COMPTE RENDU
REUNION Commission interarmées normalisation
Date de réunion : 15/03/2010
Lieu de la réunion : DGA 92 BAGNEUX
Personnes présentes représentant le SEILA : Fabrice GOUJON (DAHER), Olivier
COURSIMEAUX (SOFLOG), Omer BARRY (ECN). Mr LE DANFF + liste des participants en
annexe
Diffusion : Les participants, SEILA
Relevé des décisions :
Mr LE DANFF doit nous diffuser le compte rendu de la réunion
Le Comité interarmées de normalisation envisage 4 réunions par an. (Fréquence non tenue en
2009). La troisième et dernière réunion tenue le 26/11/2009. Mr GOUJON accepte de représenter le
SEILA lors des réunions suivantes.
Principe : 1 emballage (GAM EMB) de base doit pouvoir être mis à disposition de n’importe quelle
force de l’OTAN (STANAG 4280) n’importe où dans le monde.
Il faut donc créer une passerelle entre les GAM EMB et le STANAG.
Le SEILA est inclus dans la boucle de validation des décisions de cette commission
Les GAM EMB : sont déclassées mais toujours référencées et reconnu par les maîtres d’œuvre.
Les STANAG 4280 (OTAN) : sont la future alternative. Il faut s’assurer de la maîtrise par les
maitres d’oeuvre.
Le Standart MIL STD 2073 1E : est la nouvelle norme dont les perspectives d’utilisation étendu à
l’OTAN sont à examiner.
Dans les GAM EMB, les emballages les plus courants sont les classifications :
B2
C2
C3 : reste exceptionnel
Des questions nous sont posées :
1/ Quel est notre retour d’expérience sur la mise en œuvre des GAM EMB ?
2/ Quel est notre niveau de maîtrise du STANAG 4280
3/ Quel est notre avis sur le passage au référencement systématique du STANAG 4280 ?
Garantie de 2 à 10 ans
4/ Avez-vous d’autres proposition ?
5/ Le CIN a-t-il le droit de réutiliser un contenu des spécifications techniques ?
6/ Mettre en place un tableau de correspondance GAM EMB / SEILA pour les classes B2 et C2
7/ Quelles méthodes d’essais permettent de valider la catégorie 4C. Sachant que le SEILA ne
procède pas à des essais
Nous devons répondre à ces questions pour la prochaine fois.
___________________________________
Pièces jointes :
Rapprochement entre STANAG 4280 et GAM EMB
Comparaison entre niveaux OTAN et GAM EMB
Compte rendu de la réunion du 26/11/2009
Liste des participants à la réunion
Date prochaine réunion : Juin 2010
Lieu de la prochaine réunion : à définir
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ANNEXE B
A LA SYNTHESE DE LA REUNION DU BUREAU TECHNIQUE
du Mardi 4 Mai 2010
Commission Interarmées de normalisation
Emballage – conditionnement
Compte rendu de la DGA
Commission interarmées de
normalisation
Conditionnement et emballage
Réunion du 15 mars 2010
Situation normative
• GAM EMB 1: déclassée mais toujours
référencée dans les spécifications et référence
toujours reconnue par nos maîtres d’oeuvre
• STANAG 4280 : une alternative dont il s’agit de
s’assurer de la maîtrise par nos maîtres
d’oeuvre
• MIL STD 2073 1E: norme nouvelle dont les
perspectives d’utilisation étendue à l’OTAN sont
à examiner
• Autres normes alternatives possibles : de
vocation internationale et soutenue par un tissu
industriel et professionnel significatif
CIN-CE
• Organisation et déroulement de la CINCE;
• Orientations Min Def quant aux choix
normatifs par rapport au positionnement
vis-à-vis de l’OTAN
• Conclusions de la «3ième réunion de la
CIN-CE
Questions aux professionnels de
l’emballage
• Quel est votre REX sur la mise en œuvre
des GAM EMB?
• Quel est votre niveau de maîtrise du
STANAG 4280?
• Quel est votre avis sur le passage au
référencement systématique du STANAG
4280?
• Avez-vous d’autres propositions?
Boucle de validation pour le
remplacement de la GAM EMB
La démarche nécessite l’implication des
organismes étatiques, des maîtres d’œuvres
industriels et des professionnels de l’emballage.
• validation des nouvelles classes d’emballage ou
conditionnement;
• Vérification des capacités industrielles (maîtres
d’oeuvre étatique et privés) de mise en œuvre
des nouvelles méthodes d’emballage ou
conditionnement et des moyens associés;
• Validation des méthodes et moyens
(performances) par les tests.
STANAG 4280
niveaux OTAN d’emballage
STANAG 4280
comparaison niveaux OTAN
avec niveaux français
GAM EMB 1
- classes d’emballage -
Comparaison
classes GAM et niveaux OTAN
Classes
d’emballage
GAM EMB
O1; A1
Niveaux OTAN
Observations
4
Transport maritime exclu pour
A mais possible pour 4
O2; A2; B2
3
Transport maritime exclu pour
A et B mais possible pour 3
B3
Transport maritime exclu pour
A et B mais possible pour 2
C2
2
à confirmer
2
C3
1
GAM EMB 1
- extrait -
GAM EMB 1
- extrait -
Cartographie des besoins en matière
d’emballage et de conditionnement
du Min def
• Cond-EMB par fournisseurs de matériels
[spécification du besoin étatique]
• Cond-EMB par organismes militaires de soutien
[organismes à identifier]
[spécification du besoin, capacité à mettre en œuvre]
[processus actuel de mise en œuvre]
Pour le stockage;
Pour l’expédition en cas de projection opérationnelle;
Pour ré-expédition vers fournisseurs.
Suite des actions
• Poursuite du processus de passage au
STANAG 4280
• Oui
non
conditions
• Sur avis officiels des organismes/unités du Min def
participantes
• Après consultation des professionnels du secteur
• Après vérification de la cohérence
• Cartographie des unités en charge de
spécifications ou de réalisation des opérations
de conditionnement et emballage
• À réaliser
• Examen des équivalences des méthodes et
moyens
Liberté • Égalité • Fraternité
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE
A Bagneux, le 20 mai 2010
N° 94/SMCO/SDSC/SYNAV
DIRECTION GÉNÉRALE
DE L’ARMEMENT
DIRECTION DES
OPERATIONS
Service du maintien en
condition opérationnelle
Affaire suivie par :
Jean-Claude Le Danff
Tél. : 01.46.19.67.71
Fax : 01.46.19.67.82
Objet
Commission interarmées de normalisation – conditionnement et
emballage, réunion du 15 mars 2010.
P. jointe(s)
Compte rendu.
Vous trouverez en pièce jointe le compte-rendu de la réunion de la
commission interarmées de normalisation sur le conditionnement et
l’emballage qui s'est tenue le 15 mars 2010.
L’ingénieur en chef des études et techniques de l’armement
Jean-Claude Le Danff
Destinataires : tous participants à la commission
Diffusion intérieure : DO/SMCO/SDSC ; DO/SMCO/SDSC/DSLI ; DO/SMCO/SDSC/SYNAV ;
DO/SMCO/SDSC/SYTER ; DO/SMCO/SDSC/SYINF ; DO/SMCO/SDSC/SYAER
DGA/DO/SMCO
00470 ARMEES - 7, rue des Mathurins - 92 221 Bagneux Cedex
Téléphone : 01 46 19 50 00 - Télécopie : 01 46 19 50 01
Commission interarmées de normalisation – Conditionnement Emballage
Compte rendu de la réunion du 15 mars 2010
1- Objet :
La réunion du 15 mars 2010 est la quatrième réunion de la commission de normalisation
dédiée au conditionnement et à l’emballage.
2- Ordre du jour :
• Présentation des participants (annexe 1) ;
• Rappel des objectifs de la CIN-CE (annexe 2) ;
• Organisation de la CIN-CE et bilan sur la participation (annexe 2) ;
• Présentation des orientations et conclusions de la 3ème réunion (annexe 2) ;
• Périmètre des normes sur le conditionnement et l’emballage (annexe 2) ;
• Présentation des premières analyses de comparaison entre classes d’emballages de
la GAM EMB 1 et les niveaux OTAN de la STANAG 4280 (annexe 3) ;
• Présentation des premières analyses concernant les caractérisations et les essais
associés au choix des conditionnements et des emballages (annexe 4) ;
• Cartographie des besoins en matière d’emballage et de conditionnement au sein du
ministère ;
• Liste d’actions.
3- Relevé succinct des échanges :
Participation à la commission :
La commission accueille les nouveaux participants étatiques et industriels professionnels de
l’emballage et constate avec satisfaction le niveau de participation à cette réunion. La
présence de représentants du syndicat de l’emballage industriel et de la logistique associée,
SEILA, constitue un pas important pour la poursuite des travaux.
Référentiel pour l’industrie :
La mise en œuvre des normes est évoquée avec les représentants professionnels. La GAM
EMB demeure la norme de référence pour les marchés « Défense ». Les expériences
d’utilisation du standard STANAG 4280 sont rares, mais ne révèlent pas de caractère plus
contraignant.
Utilisation de la GAM EMB 1 :
Du coté des organismes du ministère, en application de la GAM EMB, la classe C est
majoritairement utilisée, et éventuellement la classe B.
Il est fait remarqué que la définition des classes de la GAM EMB ainsi que les paramètres
physiques associés doivent nécessairement être mis à jour pour prendre en compte notamment
les nouvelles technologies (par exemple, inhibiteurs de corrosion phase volatile…),
l’évolution de la législation sur le développement durable et l’évolution des normes de
transport.
D’autre part les normes GAM EMB et STANAG 4280 semblent avoir été construites en
réponse à deux différentes logiques, respectivement industrielle et opérationnelle de terrain.
Ceci peut expliquer le nombre limité de niveaux OTAN d’emballage.
Comparaison entre les classes d’emballage GAM-EMB 1 et les niveaux OTAN (annexe 3) :
Dans le cadre de l’examen de la faisabilité du remplacement des classes d’emballage telles
que définies par la norme GAM-EMB1 par la classification OTAN, une première analyse des
classifications et de leurs correspondances est proposée à la commission. Le document
correspondant est joint en annexe 3. Les principaux éléments sont les suivants :
Les niveaux OTAN 3 et 4 couvrent chacun plus d’une classe d’emballage au sens de la
GAM EMB ;
Les groupes climatiques B et C de la GAM EMB ne sont pas compatibles du niveau 4
OTAN ;
Le degré de protection mécanique 1 de la GAM EMB correspond au niveau 4 OTAN ;
Le groupe climatique C de la GAM EMB n’est pas compatible du niveau 3 OTAN ;
Le degré de protection mécanique 2 de la GAM EMB est compatible du niveau 3 OTAN ;
Les groupes climatiques O, A et B de la GAM EMB ne sont pas compatibles du niveau 2
OTAN ;
Le degré de protection mécanique 2 de la GAM EMB est compatible du niveau 2 OTAN ;
Le groupe climatique C de la GAM EMB est compatible des niveaux 2 et 1 OTAN ;
Le degré de protection mécanique 3 de la GAM EMB correspond au niveau 1 OTAN ;
Les configurations d’emballage utilisées par les unités en charge de l’activité peuvent se
limiter à B2 et C2 ;
Le degré de protection mécanique 3 est réservé aux protections réutilisables.
Le bilan de la comparaison est résumé dans le tableau ci-après :
Classes d’emballage
GAM EMB
O1
A1
O2
A2
B2
B3
C2
C3
Niveaux
OTAN
4
3
2
À confirmer
2
1
Observations
Transport maritime exclu pour A
et B mais possible pour 4
Transport maritime exclu pour A
et B mais possible pour 3
Transport maritime exclu pour A
et B mais possible pour 2
La durée maximale de stockage dans le cadre de la classification OTAN est fonction du
niveau : niveau 1 – 1 an ; niveau 2 – 3 ans ; niveau 3 – 5 ans ; niveau 4 – 1 an. Pour la GAM
EMB, il s’agit d’un paramètre de classification complémentaire pour une classe donnée.
Pour les approvisionnements de matériels de ravitaillement dans le cadre des opérations
d’armement dont les destinations de stockage sont limitées à la métropole, les classes utilisées
sont B2 et C2, avec des durées de stockage de 5 ans en majorité, ou de 10 ans pour les articles
de grande prévoyance.
L’analyse est à poursuivre en ciblant les catégories B2 et C2/3 pour la GAM EMB et les
niveaux 2 et 3 OTAN correspondants.
Analyse portant sur les paramètres climatiques et essais (annexe 4) :
Une seconde analyse (résultat préliminaire) est présentée à la commission, portant sur les
paramètres climatiques et les essais. Le document correspondant est joint en annexe 4. Les
éléments d’appréciation sont les suivants :
Les catégories climatiques des deux normes sont fondées sur des valeurs de paramètres
différentes ;
Pour la GAM EMB, des niveaux de sévérité pour les essais climatiques créent des sous
catégories qui ne trouvent pas de correspondances avec l’AEPP3 (NATO Standard
packaging test procedures) ;
Pour la GAM EMB, les besoins de spécification et/ou de réalisation des divers essais
climatiques ou mécaniques ainsi que les correspondances avec les classifications
demandent à être précisés ;
Le degré climatique C de la GAM EMB est le seul compatible du climat hors métropole,
lorsque le matériel destiné à être stocké nécessite d’être protégé.
Le degré climatique B de la GAM EMB répond préférentiellement à l’usage en climat
métropolitain, lorsque le matériel destiné à être stocké nécessite d’être protégé. Les
catégories climatiques au sens du STANAG 2895 correspondantes sont A3 et C0.
Cette analyse est au stade préliminaire et doit être poursuivie, en ciblant, en un premier stade,
les catégories B2 et C2/3 de la GAM EMB.
Autres points :
Il est souhaité pour les conditionneurs étatiques la mise à disposition d’un mémento ou visuel.
Cet outil serait à réaliser à l’issue des travaux de la commission. Il préciserait les éléments
techniques associés à la classification simplifiée retenue in fine par la commission et
identifierait les nouvelles méthodes à disposition.
Il est précisé que les essais climatiques et mécaniques tels que décrits dans les normes sont
essentiellement dédiés aux emballages réutilisables.
Il est évoqué la correspondance entre les classifications GAM EMB et la codification des
méthodes d’emballage utilisée par le syndicat de l’emballage industriel et de la logistique
associée, SEILA.
Les éléments présentés en réunion sont joints en annexe.
4- Relevé des conclusions et actions
La faisabilité d’une passerelle entre la GAM-EMB1 et le STANAG 4280 ayant été vérifiée, il
est décidé de cibler les travaux d’analyse sur une définition détaillée du périmètre couvert par
les classes B2 et C2 (GAM EMB1), soit 3 et 2 (STANAG 4280). Ce travail doit permettre une
première mise à jour et simplification de la GAM EMB1, tout en prenant en compte le besoin
de correspondance avec le STANAG 4280.
Il est demandé aux participants de contribuer au recensement des unités ou organismes en
charge des activités d’emballage et de conditionnement pour les armées.
Il est souhaité la présence de représentants du syndicat national de l’emballage industriel pour
la poursuite des travaux de la commission.
5- Prochaine réunion : septembre 2010, site DGA à Bagneux.
ANNEXE 1
Commission interarmées de normalisation
Conditionnement emballage
Réunion du 15 mars 2010
Liste des participants :
Nom
CC
Frédéric EMA/SLI
Tizzoni
entité
Sergent
Chef CSFA Châteaudun
Mikael Roue
Adj
Jean- CSFA Châteaudun
Jacques
Michelin
ICT
Nicole CND
Nahon
E_mail
[email protected]
[email protected]
[email protected]
[email protected]
IDEF
Gilles SLM central
Bianchini
[email protected]
Maj Jean-Claude CFT/EM/Div Soutien/BMMT/1Laforest
reglementation/1-tmd
M Benoit Robert DGA/DT
de Massy
[email protected]
defense.gouv.fr
[email protected]
M Gérard
Roy
[email protected]
Le DGA/DT
AAC
Dufaur- EMAT/BSOUT
Godenzi
[email protected]
e.gouv.fr
[email protected]
Armée de terre, bureau matériel 9ème de
Poitiers
Société ECN
Olivier
Coursimaux
[email protected]
Société SOFLOG-TELIS
Fabrice Goujon
[email protected]
Société DAHER Aerospace
Gael Busson
Omer Barry
ICETA
Jean- responsable CIN-CE
Claude Le Danff
[email protected]
ANNEXE 2
Présentation des travaux
ANNEXE 3
Commission interarmées de normalisation
Conditionnement et emballage
Réunion du 15 mars 2010-03-12
Exemples de comparaison entre niveaux OTAN et classe d’emballage GAM EMB
GAM
EMB1
O1--
A1--
Transport en vrac ou
sans aucune
précaution
particulière
Transport en vrac
mais avec protection
contre les eaux de
pluie, ruissellement
et la corrosion;
transport maritime
exclu
Aucune étanchéité ni
imperméabilité ;
Objet inaltérable ou à
utilisation quasi-immédiate
(transport et manutention
sous abri) ;
Aucune exigence de
protection mécanique
Imperméabilité sans
étanchéité ;
Protection climatique en vue
d’une utilisation immédiate ;
Aucune exigence de
protection mécanique
Niveau
OTAN
4
Mécanique et
climatique
peu sévère
SEILA
Conditions de
transport normales
uniquement ;
manipulations
minimales par engin
de manutention
mécanique
1an en
plein air,
tous pays
de
l’OTAN
----a
4
Mécanique et
climatique
peu sévère
Attribution du niveau OTAN 4 des classes d’emballage EMB1 liée :
 en premier lieu au degré du groupe mécanique 1 (aucune exigence particulière)
 en second lieu aux degrés du groupe climatique O (aucune étanchéité ni imperméabilité) et A (imperméabilité sans étanchéité).
Les groupes climatiques B et C ne sont pas compatibles du niveau OTAN 4.
Protection
de contact
O2--
Transport en colis ou
en caisse avec calage
approprié et sans
protection contre les
risques climatiques
Aucune étanchéité ni
imperméabilité ;
Objet inaltérable ou à
utilisation quasi-immédiate
(transport et manutention
sous abri) ;
protection mécanique seule à
considérer contre les risques
courants
3
Mécanique et
climatique
courant
A2--
Transport en colis ou
en caisse avec calage
approprié et
protection contre les
eaux de
ruissellement;
transport maritime
exclu
Transport en colis ou
en caisse avec calage
ou protection antichoc de l’enveloppe
– cas très courant –
étanchéité à l’eau ;
transport maritime
exclu
Imperméabilité sans
étanchéité ;
Protection climatique en vue
d’une utilisation immédiate
protection mécanique seule à
considérer contre les risques
courants
3
Mécanique et
climatique
courant
Étanchéité à l’eau ;
protection mécanique seule à
considérer contre les risques
courants
3
Mécanique et
climatique
courant
B2P-
Transport routier,
ferroviaire, maritime
et aérien, à l’air libre
ou en espace clos,
dans les zones
géographiques
précitées ;
Manipulations
multiples par engins
de manutention
mécanique
5 ans dans
un
bâtiment
en dur aéré
Attribution du niveau OTAN 3 des classes d’emballage EMB1 liée :
 en premier lieu au degré du groupe mécanique 2 (protection contre les risques courants)
 en second lieu aux degrés du groupe climatique O (aucune étanchéité ni imperméabilité), A (imperméabilité sans étanchéité), et B (étanchéité à
l’eau).
Le groupe climatique C n’est pas compatible du niveau OTAN 3.
La classe d’emballage B2 est une classe courante pour les approvisionnements de matériels de ravitaillement dans le cadre des opérations d’armement dont
les destinations de stockage sont limitées à la métropole.
B3--
Protection mécanique Étanchéité à l’eau ;
spécifique à l’objet
ou autres conditions
particulières,
étanchéité à l’eau ;
transport maritime
exclu
2
Mécanique
courant ;
climatique
sévère
C2R-
Barrière étanche à l’eau
et à la vapeur d’eau,
emballage réutilisable,
protection mécanique
courante
Étanchéité à l’eau et à la
vapeur d’eau ;
2
Mécanique
courant ;
climatique
sévère
Étanchéité à l’eau et à la vapeur
d’eau ;
protection mécanique seule à
considérer contre les risques
courants
2
Mécanique
courant ;
climatique
sévère
Étanchéité à l’eau et à la
vapeur d’eau ;
2
Mécanique
courant ;
climatique
sévère
Étanchéité à l’eau et à la
vapeur d’eau ;
2
Mécanique
courant ;
climatique
sévère
C2P2
C2-5
C2-5
(0,45)
Barrière étanche à l’eau
et à la vapeur d’eau
(emploi éventuel de
déshydratant),
protection mécanique
courante, emballage
perdu, Ds 5ans en
métropole
Identique à C25 mais
durée de stockage de
5ans qui sera réduite à
2,25 années sous le
climat de PAPEETE ou
équivalent
Transport routier,
ferroviaire, maritime et
aérien, en espace clos,
dans les zones
géographiques
précitées, s’effectuant
dans des conditions
opérationnelles ;
Manipulations multiples
3 ans en
plein air
-a-c-
SEI 4C exemple
sté
CONVERTEAM
pour BPC
Attribution du niveau OTAN 2 des classes d’emballage EMB1 liée :
 au degré du groupe climatique C (étanchéité à l’eau et à la vapeur d’eau).
 au groupe mécanique 2 (protection contre les risques courants).
Les groupes climatiques O, A et B ne sont pas compatibles du niveau OTAN 2.
L’attribution du niveau OTAN 2 à la classe d’emballage B3 à confirmer.
La classe d’emballage C2 est une classe courante pour les approvisionnements de matériels de ravitaillement dans le cadre des opérations d’armement dont
les destinations de stockage sont limitées à la métropole.
C3R1
Barrière étanche à
Étanchéité à l’eau et à la
1
-d-cl’eau et à la vapeur
vapeur d’eau ;
Mécanique
d’eau (emploi
climatique
éventuel de
extrêmement
déshydratant),
sévères
protection mécanique
spécifique,
emballage
réutilisable, Ds 1an
en métropole
Attribution du niveau OTAN 1 des classes d’emballage EMB1 liée :
 au degré du groupe climatique C (étanchéité à l’eau et à la vapeur d’eau).
 Et au groupe mécanique 3 (protection spécifique).
Les groupes climatiques O, A et B ne sont pas compatibles du niveau OTAN 1.
L’utilisation de la classe d’emballage C3 est à confirmer pour les approvisionnements de matériels de ravitaillement dans le cadre des opérations d’armement
dont les destinations de stockage sont limitées à la métropole.
Bilan à examiner
Classes d’emballage
GAM EMB
O1
A1
O2
A2
B2
B3
Niveaux OTAN
C2
C3
4
Observations
Transport maritime exclu pour A et B mais possible pour 4
Transport maritime exclu pour A et B mais possible pour 3
3
2
À confirmer
2
1
Transport maritime exclu pour A et B mais possible pour 2
Le mode de prise en compte des durées de stockage dans le cadre de la classification OTAN reste à préciser.
Sont à vérifier les équivalences des méthodes et produits d’emballage attachées à chacun des niveaux ou classes.
Les deux classes les plus utilisées sont B2 et C2 pour les approvisionnements de matériels de ravitaillement dans le cadre des opérations d’armement dont
les destinations de stockage sont limitées à la métropole.
ANNEXE 4
Commission interarmées de normalisation
Conditionnement et emballage
Réunion du 15 mars 2010-03-12
Rapprochement entre STANAG 4280 et GAM EMB
GAM EMB 1
STANAG 4280
Annexes
A- Caractéristiques de l’environnement
B- Codes de catégories extraits du
STANAG 2895 et de l’AECP-1
(tableaux 4 et 5)
Documents connexes
STANAG 2828 palettes, colis et conteneurs
militaires
STANAG 2830 aides à la manutention des
matériels
STANAG 2895 extrêmes climatiques et
conditions dérivées à utiliser dans la définition
des critères de conception et d’essai pour les
matériels destinés aux forces de l’OTAN
AEPP-3 méthodes d’essais normalisées pour
les emballages
AECP-1 environnements mécaniques
AAP-23 glossaire OTAN
Pour définir les niveaux d’emballage il
convient de tenir compte :
Des quatre niveaux d’emballage défins
au tableau 1 et intitulés niveaux OTAN
1, 2, 3 et 4
De la nécessité de dresser un
inventaire des essais d’emballage
adaptés à chaque niveau Ces essaius
font l’objet de l’AEPP-3
De la comparaison des quatre niveaux
OTAN avec les niveaux nationaux les
plus proches
Des caractéristiques d’environnement
et des contraintes imposées par
l’environnement (voir annexe A)
Emballage conforme au niveau OTAN 1
Entreposage
Entreposage en plein air dans les zones
géographiques définies dans le STANAG
2895, catégories A1 A2 A3 B1 B2 C0 C1
C2 et C3 (voir le tableau 4 à l’annexe B)
o Gammes de températures diurnes
de -51°C à +71°C
o Gamme d’humidité relative diurne
de 10% à 100%
Chutes de pluies définies conformément
au STANAG 2895-ensemble du globe
Hauteur de gerbage 4m maximum
Durée d’entreposage 1 an
Distribution
Transport routier, ferroviaire, maritime et
aérien, à l’air libre ou en espace clos, dans
les zones géographiques précitées
Température diurne, humidité relative et
chutes de pluie pendant le transport dans
les conditions définies ci-dessus à la
rubrique « entreposage »
Toutes méthodes de manutention
Chocs et vibrations en cours de transport,
selon les catégories ci-après définies dans
l’AECP-1 : SC1 SC2 SC3 SC4 SC5 VE1
VE2 VE3 VG1 VH1 VH2 VH3 VJ1 et
VJ2 (voir le tableau 5 à l’annexe B)
o Hauteur de chute verticale liée à la
masse et aux dimensions du colis,
jusqu’à un maximum de 1m
o Vitesse d’impact horizontal de
2,5m/s
o Gammes de fréquences de
vibrations allant de 5HZ à 350HZ
(jusqu’à un maximum de 2g), en
fonction de la masse du colis.
L’amplitude des vibrations et
l’accélération maximales
dépendent des gammes de
fréquences spécifiées
Immersion partielle dans l’eau ou la boue
jusqu’à 6jours
Emballage conforme au niveau OTAN 2
Entreposage
Entreposage en plein air dans les zones
géographiques définies dans le STANAG
2895, catégories A2 A3 B1 C0 C1 et C2
(voir le tableau 4 à l’annexe B)
o Gammes de températures diurnes
de -46°C à +63°C
o Gamme d’humidité relative diurne
de 10% à 100%
Chutes de pluies définies conformément au
STANAG 2895-europe
Hauteur de gerbage 4m maximum
Durée d’entreposage 3 ans
Distribution
Transport routier, ferroviaire, maritime et
aérien, à l’air libre ou en espace clos, dans
les zones géographiques précitées
Température diurne, humidité relative et
chutes de pluie pendant le transport dans
les conditions définies ci-dessus à la
rubrique « entreposage »
Toutes méthodes de manutention
Chocs et vibrations en cours de transport,
selon les catégories ci-après définies dans
l’AECP-1 : SC1 SC2 SC3 SC4 SC5 VE1
VE2 VE3 VF1 VF2 VF3 VG1 VH1 VH2
VH3 VJ1 et VJ2 (voir le tableau 5 à
l’annexe B)
o Hauteur de chute verticale liée à la
masse et aux dimensions du colis,
jusqu’à un maximum de 1m
o Vitesse d’impact horizontal de
2,5m/s
o Gammes de fréquences de
vibrations allant de 5HZ à 350HZ
(jusqu’à un maximum de 2g), en
fonction de la masse du colis.
L’amplitude des vibrations et
l’accélération maximales
dépendent des gammes de
fréquences spécifiées
Immersion partielle dans l’eau ou la boue
jusqu’à 6jours
Emballage conforme au niveau OTAN 3
Entreposage
Entreposage en dur aérés dans les zones
géographiques définies dans le STANAG
2895, catégories A2 A3 B1 C0 et C1
modifié en fonction du « stockage dans
des bâtiments » (voir le tableau 4 à
l’annexe B)
o Gammes de températures diurnes
de -33°C à +63°C
o Gamme d’humidité relative diurne
de 30% à 100%
Hauteur de gerbage de 2m à 4m en
fonction de la masse et de la forme du
colis
Durée d’entreposage 5 ans
Distribution
Transport routier, ferroviaire, maritime et
aérien, en espace clos, dans les zones
géographiques précitées
Température diurne et humidité relative
pendant le transport dans les conditions
définies ci-dessus à la rubrique
« entreposage »
Toutes méthodes de manutention, mais
préférence accordée à l’utilisation de
matériel de manutention mécanique
Chocs et vibrations en cours de transport,
selon les catégories ci-après définies dans
l’AECP-1 : SC1 SC2 SC3 SC4 SC5 VE1
VE3 VF1 VF2 VF3 VG1 VH1 VH2 VH3
VJ1 et VJ2 (voir le tableau 5 à l’annexe B)
o Hauteur de chute verticale liée à la
masse et aux dimensions du colis,
jusqu’à un maximum de 0,75m
o Vitesse d’impact horizontal de
2,5m/s
o Gammes de fréquences de
vibrations allant de 5HZ à 350HZ
(jusqu’à un maximum de 2g), en
fonction de la masse du colis.
L’amplitude des vibrations et
l’accélération maximales
dépendent des gammes de
fréquences spécifiées
Emballage conforme au niveau OTAN 4
Entreposage
Entreposage dans des bâtiments aérés dans
les zones géographiques définies dans le
STANAG 2895, catégories A2 A3 C0 et
C1 modifié en fonction du « stockage dans
des bâtiments » (voir le tableau 4 à
l’annexe B)
o Gammes de températures diurnes
de -33°C à +63°C
o Gamme d’humidité relative diurne
de 30% à 100%
Hauteur de gerbage de 2m à 4m en
fonction de la masse et de la forme du
colis
Durée d’entreposage 1 an
Distribution
Transport routier, ferroviaire et maritime
dans des conteneurs clos et transport
aérien en espace clos, dans les zones
géographiques spécifiées à la rubrique
entreposage, sans transbordement
Température diurne et humidité relative
pendant le transport dans les conditions
définies ci-dessus à la rubrique
« entreposage »
Manutention minimale effectuée
uniquement à l’engin de manutention
mécanique
Chocs et vibrations en cours de transport,
selon les catégories ci-après définies dans
l’AECP-1 : SC1 SC3 SC4 SC5 VE1 VG1
VH1 VH2 VH3 VJ1 et VJ2 (voir le
tableau 5 à l’annexe B)
o Hauteur de chute verticale liée à la
masse et aux dimensions du colis,
jusqu’à un maximum de 0,3m
o Vitesse d’impact horizontal de
2,5m/s
o Gammes de fréquences de
vibrations allant de 5HZ à 350HZ
(jusqu’à un maximum de 2g), en
fonction de la masse du colis.
L’amplitude des vibrations et
l’accélération maximales
dépendent des gammes de
fréquences spécifiées
Tableau comparaison OTAN France
1 : mécanique et climatique extrêmement
sévères durée 1 an
2 : mécanique courant et climatique
sévère durée 3 an
Chaleur sèche : humidité relative <50%, durée
16h
Sévérités 1 à 8
Sévérité 3 courante : température +70°,
Chaleur sèche : humidité relative <50%, durée
16h
Sévérités 1 à 8
Sévérité 3 courante : température +70°,
Chaleur humide : température 20 à 40°,
humidité relative 90%, °
Sévérités 1 à 2
Sévérité 1 courante :48h
3 : mécanique et climatique courants
durée 5 an
4 : mécanique et climatique peu sévères
durée 1 an
Annexe A1
Caractéristiques environnement
Température
Pluie
Vent, mer sable
Rayonnement solaire
Electricité statique
Manutention
Transport
entreposage
Annexe B1
Catégories climatiques du STANAG 2895
A1 très chaude et sec ; températures de
stockage extrêmes +71°C ; pourcentage
d’humidité relative 3-8 ; zones OTAN sud
ouest des USA
A2 chaud et sec ; températures de stockage
extrêmes +63°C ; pourcentage d’humidité
relative 14-44 ; zones OTAN pays
méditerranéens et sud des USA
A3 intermédiaire ; températures de stockage
extrêmes +58°C ; pourcentage d’humidité
relative 43-78 ; zones Amérique du nord et
Europe
B1 humide et chaud ; températures de
stockage extrêmes +32°C ; pourcentage
d’humidité relative 66-88 ; zones OTAN sud
des USA
Chaleur humide : température 20 à 40°,
humidité relative 90%, °
Sévérités 1 à 2
Sévérité 1 courante :48h
Froid
Sévérités 1 à 6
Sévérité 4 courante :-40°
Froid
Sévérités 1 à 6
Sévérité 4 courante :-40°
B2 humide et très chaud ; températures de
stockage extrêmes +63°C ; pourcentage
d’humidité relative 74-100 ; zones côtes sud
est des USA
B3 désertique côtier humide et très chaud ;
températures de stockage extrêmes +71°C ;
pourcentage d’humidité relative 59-88 ; en
dehors de la zone OTAN
C0 tempéré froid ; températures de stockage
extrêmes -21°C ; pourcentage d’humidité
relative tendance à la saturation ; zone OTAN
royaume uni et sud de l’europe
C1 intermédiaire froid ; températures de
stockage extrêmes -33°C ; pourcentage
d’humidité relative tendance à la saturation ;
zone OTAN centre des USA et europe
centrale
C2 froid ; températures de stockage extrêmes 46°C ; pourcentage d’humidité relative
tendance à la saturation ; zone OTAN centre
des USA au nord du canada
C3 très froid ; températures de stockage
extrêmes -51°C ; pourcentage d’humidité
relative tendance à la saturation ; zone OTAN
alaska et nord ouest du canada
Annexe B2
Catégories de transport, chocs et vibrations
cde l’AECP1
SC1 véhicules à roues
SC2 véhicules à chenilles
SC3 rail
SC4 mer
SC5 air
VE1 véhicules à roues, route revêtue
VE2 véhicules à roues, route pavée
VE3 véhicules à roues, tout terrain
VF1 véhicules à chenilles, route revêtue
VF2 véhicules à chenilles, route pavée
VF3 véhicules à chenilles, tout terrain
VG1 rail, plancher du wagon
VH1 air, turbopropulseur
VH2 air, turboréacteur
VH3 air, hélicoptère
VJ1 mer, coque et pont
VJ2 mer, soutes à marchandises
Comparaison des essais
GAM EMB 1 – AEPP3 (NATO standard packaging test procedures)
Essais climatiques
Immersion 48h à qualification, 2h à réception
Sévérité 1 courante : profondeur 0,20m
Sévérité 2 : profondeur 1,20m
Etanchéité à la pluie artificielle
Sévérité 1 temps exposition 10mn
Sévérité 2 courante : temps exposition 30mn
Perméabilité à la vapeur d’eau
Sévérités 1 à 8
Sévérité 4 courante : 1 gramme/m2 pour
24h
Chaleur sèche : humidité relative <50%, durée
16h
Sévérités 1 à 8
Sévérité 3 courante : température +70°,
Chaleur humide : température 20 à 40°,
humidité relative 90%, °
Sévérités 1 à 2
Sévérité 1 courante :48h
Froid
Sévérités 1 à 6
Sévérité 4 courante :-40°
Brouillard salin NFX41-002
Sévérités 1 à 5
Sévérité 2 courante :96h
Procedure S water immersion test
Temps d’exposition 2h00; profondeur 1,30m
Applicable to Nato levels 1 and 2
Procedure Q water spray test
Température 5 à 35°C
Temps d’exposition 6h00
Procedure U Dry heat test
Température 55°C ; humidité relative<75%
Applicable to Nato levels 1 and 2
Procedure T Damp heat test
Température 25°C
Cycle complet de 24h00 incluant une période
d’1h00 avec humidité relative >95%
Applicable to Nato levels 1 and 2 with 4
cycles de 24h00
Procedure W Low temperature test durée
16h00
-20°C pour nato levels 1 and 2
-10°C pour Nato levels 3 and 4
Essais mécaniques
Tambour culbuteur NFH00-057
Sévérités 1 à 5
Sévérité 2 courante :24 chutes
Chutes sur arêtes par basculement (en
remplacement essai avec tambour culbuteur)
NFH00-042
Choc vertical par chute libre NFH00-042
Sévérités 1 à 4
Compression statique NFH00-041
Hauteur de gerbage 4m
Ou N tonnes de surcharge
Chocs
Sévérité 1 : 30g, 11ms
Sévérité 2 : 50g, 11ms
Sévérité 3 : 100g, 11ms
Sévérité 4 : 200g, 6ms
Vibrations
Gamme de fréquence 0,5 à 500HZ
Niveaux d’excitation
Rebondissements
Trépidations sous charge
Chocs latéraux
Autres essais
Résistance aux micro organismes
Aptitude au transport aérien
Etanchéité à la pression
Poussières et vent de sable
Compression par effet de pied
Procedure G Topple test
Procedure E Edgewise drop (rotational) test
Procedure D Cornerwise drop (rotational) test
Procedure C Drop test (free fall)
Applicable to Nato levels 1 and 2
Applicable to Nato levels 3
Applicable to Nato levels 4
Procedure A Stacking test
2m if weight <15kg
4m if weight >15kg
Procedure P vibration Test
Gamme de fréquence 5 à 350HZ
Aptitude au parachutage
Procedure M bounce (wheeled vehicle
transportation) test
Nato levels 1,2 et 3 durée 15 mn
Nato levels 4 durée 5mn

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