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Dossier Artistique
Idée originale :Valérie Ortiz
Mise en scène :Sarah Sandre
Lieu de création :Théâtre du Vésinet
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Fiche synthétique d’information
Grito
Titre et genre du spectacle :
Spectacle chorégraphique flamenco
Idée originale : Valérie Ortiz
Port. : 06 14 41 68 03 - Email : [email protected]
www.valerieortiz.fr - www.grito.fr
Metteur en scène :Sarah Sandre
Port. : 06 11 42 22 74 - Email : [email protected]
www.sarahsandre.fr
Artistes sur scène :Valérie Ortiz, Danseuse-Chorégraphe
Jesús Carceller, Guitariste-Chanteur
Urbano et Felipe Calvarro, Percussionnistes
Romain Calibre, Violoncelliste
Collaboration artistique : Jean-Marc Antoine, Mise en lumière
Manolo Marín et Pascal Gaona, Chorégraphes
Angela Romboni, Vidéaste
Prix du spectacle : 3000 euros hors transport et hébergement
Nom juridique de la compagnie Fé Flamenca
Adresse : 37 chemin du Fond des Vaugirards - 78160 Marly Le Roi
Personne à contacter : Peggy Catania
Port. : 06 80 00 19 02 - Email : [email protected]
N° et date de la licence d’entrepreneur de spectacles :
N°2-1033387 délivrée le 8 mars 2010
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Lieu principal de résidence : Théâtre du Vésinet (78)
Dates de résidence : Début juillet 2010
Le Projet
Présentation
Cette création musicale et chorégraphique intitulée Grito (le cri), s’inscrit dans une volonté
d’ouvrir le Flamenco à d’autres formes d’expression, de déplacer les limites du spectacle traditionnel pour lui donner une dimension plus théâtrale.
Valérie Ortiz souhaite surprendre et offrir à son idée une mise en scène moderne et inattendue.
C’est pour cela qu’elle s’est adjoint le talent de Sarah Sandre, comédienne et metteur en scène
reconnue, qui a une riche expérience du théâtre musical et se lance donc tout naturellement
dans le spectacle chorégraphique.
De la vidéo, de la musique live, des sons enregistrés, des costumes, des jeux d’ombres, du texte parlé et une lumière subtilement travaillée, l’ambition est de faire de Grito,
un spectacle inattendu, entre réel et imaginaire.
Sur scène, Grito sera porté par une danseuse, un guitariste-chanteur,
deux percussionnistes et un violoncelliste et verra se succéder cinq tableaux :
_le cri de joie,
_le cri d’amour,
_le premier cri,
_le cri du monde,
_le cri de douleur.
Le cri est la forme originelle de l’art flamenco. En effet, bien avant le chant, la musique ou la danse, il y a eu un cri... Qu’il se fasse languissant pour exprimer la douleur ou joyeux pour animer une fête, le cri est indissociable de cet art.
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Le Flamenco présente un très large répertoire de styles musicaux et de danses qui leur sont associées, le corps va ainsi pouvoir pousser tous ces cris qui résonnent chaque jour à nos oreilles … Olé !
Note d’intention de l’artiste
Valérie Ortiz
Ma première création, “Por nuestro camino”, a reçu un accueil tellement enthousiaste de la part du public et de la presse que cela m’a encouragée à créer un nouveau spectacle.
Pour m’éloigner du spectacle traditionnel flamenco et relever un défi plus grand, je devais donc trouver un fil conducteur
qui me permettrait de décliner à travers la danse flamenca, une large palette de sentiments.
Quelques mois passent, des idées émergent mais n’aboutissent pas… Le déclic se fait attendre jusqu’à ce mois de novembre : le téléphone sonne et l’on m’apprend le décès d’une amie. Ma souffrance est telle que mon corps ne peut réprimer un long cri de douleur.
Quelques jours plus tard, je donne naissance à mon fils et l’entends pousser son premier cri…
Des sentiments si forts et si contradictoires en peu de temps n’ont pas été faciles à gérer, mais ils m’ont permis de trouver cette idée très personnelle de spectacle : Grito.
Sur scène, je serai accompagnée par Jesús Carceller, mon fidèle guitariste et chanteur, par mon ami Felipe Calvarro, par Urbano Calvarro, tous deux percussionnistes et par Romain Calibre, violoncelliste.
J’ai toujours porté beaucoup d’intérêt à la scénographie et aux lumières. Pour Grito, je souhaite des images fortes. Je veux que la musique, la danse,
la vidéo ne fassent qu’un. C’est pourquoi j’ai fait appel à Sarah Sandre.
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Ses mises en scène sont rythmées, poétiques, sans évidence.
Son regard neuf sur la danse et sur le Flamenco laisse présager d’un résultat surprenant !
Note d’intention du metteur en scène
Sarah Sandre, Metteur en Scène
Pendant longtemps, pour moi, Flamenco signifiait “taper des pieds”.
Et puis, après avoir vu Sara Baras au théâtre des Champs Elysées, j’ai eu envie d’essayer…
Alors j’ai compris que “taper des pieds” était un propulseur d’émotions et qu’il y avait tout un éventail de mots sous la semelle.
Peu après, j’ai eu la chance de rencontrer une danseuse de flamenco. Pour de vrai !
Valérie Ortiz m’a proposé de mettre en scène son Grito.
Dans un spectacle flamenco traditionnel, il y a des chaises en arc de cercle, des musiciens, un danseur, une danseuse, voire plus.
Il y a des robes à volants, des chignons avec des fleurs, du rouge à lèvres, de la gomina, des pieds sonores, des bras aériens, des mains gracieuses, des jaleos.
Il y aura tout ça… Et aussi de belles surprises qui ont été autant de défis à relever pour moi.
En effet, comment faire danser un pas de deux alors que Valérie est seule sur scène ?
Comment la faire changer de robe sans enlever la précédente ?
Et puis, on ne danse pas le Flamenco qu’en Espagne, il résonne aussi au pays du soleil levant, au Moyen-Orient, en Afrique...
N’entendez-vous pas des enfants rires, une voix poétique s’élever, de l’accordéon, du saxophone, du piano, alors que sur scène, on ne compte qu’un guitariste, deux percussionnistes et un violoncelliste ?
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De l’amour à la douleur, de la douleur à la joie, Grito raconte la vie
dans une respiration sonore et colorée.
Biographies
Valérie Ortiz - Danseuse et Chorégraphe
Née au Pays Basque de père espagnol, elle débute ses études artistiques à l’âge de 6 ans puis part à Madrid suivre les cours de Martín Vargas,
chorégraphe du Ballet National Espagnol.
À 15 ans, elle poursuit sa formation à Séville avec Sarah Lezana, La China, Adrian Galia ou encore Beatriz Martín, tous des grands noms du flamenco.
C’est là-bas qu’elle commence à travailler avec le célèbre danseur et chorégraphe Manolo Marín. Aujourd’hui encore, elle suit rigoureusement les formations du Maestro qui la considère et la présente comme “une grande danseuse”.
En parallèle, elle a toujours suivi des cours de danse classique, indispensables pour acquérir
cette précision et cette grâce qui font d’elle une danseuse de Flamenco à part.
Depuis 1991, elle danse au sein du Ballet Alba et du Ballet Andalucía et participe aux tournées françaises et européennes.
Son parcours professionnel l’amène en 1994 à assurer la première partie d’Aurora Vargas en solo. En 1997, elle est dirigée par Alain Marty (chorégraphe à l’Opéra National de Paris)
pour danser au côté de Julia Migenes lors d’une représentation de Carmen. Il la rappellera un an plus tard pour danser dans l’Opéra “La Traviata”.
En 2003, elle accompagne aux castagnettes, le virtuose de la guitare Vicente Amigo sur l’album de Sting, “Sacred Love”.
En 2004, elle se lance dans la création avec “Por nuestro camino”, spectacle reconnu comme l’une des plus belles productions françaises (www.pornuestrocamino.com).
En 2008, elle crée sa propre compagnie “Alma de la Luz”, avec des danseuses qu’elle a formé elle-même durant des années et des artistes avec qui elle a partagé de nombreuses scènes.
Avec grâce et passion, elle célèbre dans sa danse toute la complexité et la profondeur
du flamenco. Cette artiste à la technique sûre, séduit naturellement son public, par son élégance et sa générosité.
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Biographies
Sarah Sandre, Metteur en Scène
Sarah Sandre a été formée au cours Simon. Elle est comédienne, chanteuse et metteur en scène.
Sa passion pour le théâtre est sans doute née dans le commerce que tenaient ses parents, un lieu où elle observait le va et vient du monde d’un œil déjà curieux et malicieux.
Son univers en tant que metteur en scène est drôle et décalé. Tournée vers l’avenir, elle aime tenter de nouvelles choses et mêler les genres : projections vidéo, chansons, ombres chinoises, comme elle l’a fait dernièrement pour la mise en scène de la pièce de Luc Tartar : “En voiture Simone”.
Comédienne au sein de la compagnie Star Théâtre d’Isabelle Starkier depuis 10 ans, c’est une habituée du Festival d’Avignon où elle a déjà joué 6 fois. Elle a fait sienne la devise de cette metteur en scène : “si tu ne vas pas au théâtre, le théâtre ira à toi”.
Au-delà du public habitué des Centres Dramatiques, des Scènes Nationales et de tous les lieux de spectacles, cette volonté de faire un théâtre accessible à tous a amené cette compagnie à proposer des représentations “hors les murs”, dans des appartements, des maisons de retraite, des maisons de quartier, des médiathèques, des établissements scolaires, des associations, des prisons, des hôpitaux ou des entreprises.
Passionnée de musique classique ou plus actuelle, Sarah Sandre s’est formée
à l’école de jazz l’ARPEJ pour apprendre à jouer du saxophone.
Que ce soit Brecht, Molière, Racine ou bien des auteurs contemporains, elle se produit souvent dans le théâtre musical et comme une évidence, elle met en scène ce spectacle chorégraphique.
C’est en s’élançant sur ses pointes de pieds et avec quelques coups de talons qu’elle relève le défi de la mise en scène de Grito.
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Biographies
Pascal Gaona, Chorégraphe et danseur (projection vidéo)
Le parcours de Pascal Gaona est exemplaire. Né au Pays Basque, il débute sa formation de danseur en France mais part régulièrement suivre des cours en Espagne. Sa carrière professionnelle est lancée lorsqu’il rejoint la compagnie de Rafael Aguilar, ce dernier l’ayant
demandé. Il danse successivement avec les plus célèbres chorégraphes :
José Antonio, Antonio Márquez ou Aída Gómez.
Le Ballet National Espagnol lui ouvre alors ses portes. Il est le seul artiste étranger à n’avoir
jamais dansé au sein de cette prestigieuse formation.
Avec Antonio Najarro, il créée en 2002 la compagnie Talent Danza. Leur première création,
“Tango Flamenco”, sera présentée près de 300 fois sur des scènes espagnoles, françaises,
suisses, belges, grecques, jordaniennes, canadiennes et américaines. Ensemble, ils chorégraphient le programme original du couple de patineurs artistiques français Marina Anissina et Gwendal Peizerat pour les Jeux Olympiques de 2002. La prestation de ces derniers leur vaudra la médaille d’or. Avec sa propre compagnie, il vient de créer “flamenco.fr”, une fusion entre le flamenco et la chanson française, un passage
dans l’univers de la comédie musicale. Canal Plus a terminé le tournage d’un documentaire
qui est consacré au Flamenco et à ce danseur français qui a réussi l’exploit d’être reconnu en Espagne. Pour Grito, il apporte son talent de chorégraphe dans le tableau intitulé “le Cri du Monde”, et de danseur puisqu’il sera “virtuellement” présent sur scène…
Maestro Manolo MarÍn, Chorégraphe
Manolo Marín est un grand danseur et un grand chorégraphe, un maître pour beaucoup. Né à Séville, Il danse dès sa plus tendre
enfance, dans le célèbre tablao flamenco “Cortijo del Guajiro”. Bien plus tard, après avoir forgé son talent à Barcelone, il monte sa propre compagnie et effectue des tournées mondiales.
Depuis 1974, il a sa propre école de Flamenco à Séville, en plein quartier de Triana, où des professionnels de la danse viennent parfaire leur art. Au cours de sa carrière, il a réalisé des chorégraphies pour de grands ballets, des compagnies de danse et la télévision.
Son nom est associé à celui de Christina Hoyos, Carlos Saura ou encore Antonio Gades…
Ouvert et attentif, il connaît toutes les nouvelles formes que prend la danse Flamenca, s’en inspire tout en respectant les traditions du Flamenco. Mais pour lui, le Flamenco c’est d’abord le chant car, dans les mots du cantaor, réside le sentiment profond.
D’ailleurs, pour être un bon danseur, le respect du compas est primordial mais l’esprit, la passion sont encore plus importants ! Il transmet l’art du Flamenco avec une immense
générosité, celle qui caractérise les grands artistes et les grands hommes. Il est le chorégraphe du tableau intitulé “Le Premier Cri” dans Grito.
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Le maître Manolo Marín domine parfaitement la danse espagnole : la danse régionale, l’école bolera, le Flamenco et la danse espagnole classique, comme il l’a démontré pour la clôture des jeux Olympiques, de Barcelone en 1992, dans la création “Azabache”.
Biographies
Jesús Carceller, Chanteur et Guitariste
À 13 ans, il s’initie seul à la guitare et au chant. En 1983, il entre à l’école de musique Gonzalo Ortega où il étudie
pendant 4 ans. En parallèle, il apprend la danse pour appréhender
toutes les dimensions de l’art flamenco. Son choix définitif, il le fait en 1987 en intégrant le groupe Camino en tant que guitariste et chanteur.
En 1989, il part au Japon aux côtés de Manitas de Plata et assure durant un mois la première
partie de ses concerts. En 1990, il participe à la création du Ballet Alba dont il fait encore partie aujourd’hui. En 2000, il sort un album chez Musidisc : “El Tomi - Flamenco & Rumba”, le second est en préparation. Un an plus tard, il écrit et compose la musique du film “Épouse-moi” avec Vincent Perez et Audrey Tautou.
Depuis plus de dix ans, il accompagne l’ensemble des spectacles du Ballet Alba et du Ballet Andalucia d’Antonio Triana. Sollicité par de nombreux groupes, il participe également à des tournées internationales.
Il est aujourd’hui l’un des rares chanteurs de flamenco à s’accompagner à la guitare sur scène.
Sa voix charmeuse et très nuancée, lui permet de chanter tout le répertoire flamenco.
Pour Grito, il a composé de nombreuses mélodies et letras (paroles).
Sur scène, c’est avec chaleur et générosité qu’il livre tout son talent.
Urbano Calvarro, Percussionniste
Après une première approche autodidacte de la batterie, il entre au Conservatoire puis il intègre la plus prestigieuse des écoles françaises de batterie, l’école “Dante Agostini”. Il se spécialise, tout d’abord, dans le Jazz et le blues. Il est très vite sollicité pour exercer son talent au sein de plusieurs groupes.
À vingt ans, il débute sa carrière professionnelle au très célèbre cabaret parisien “Au pied de la butte” où il accompagne chansonniers et humoristes.
Puis quatre années de suite, il enchaîne des tournées au Japon. Il joue dans les clubs “Blue note” en tant que percussionniste de la chanteuse Clémentine dont la renommée n’est plus à faire au pays du soleil levant.
De retour en France, il commence à enseigner la percussion dans quelques écoles de
musique d’Île-de-France. Mais bientôt ses racines espagnoles le rattrapent et il se lance dans
l’apprentissage du cajón. Il intègre alors le Ballet Alba et devient son percussionniste privilégié.
Aujourd’hui, il mène en parallèle une carrière dans le flamenco et le jazz, notamment avec sa collaboration à l’album du guitariste William Chabbey.
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Son parcours atypique et ses goûts hétéroclites en font un percussionniste qui aime mêler les genres et qui apporte ainsi une touche insolite et savoureuse.
Biographies
Romain Calibre, Violoncelliste
C’est à l’âge de 6 ans qu’il découvre le violoncelle. Cette nouvelle passion l’amène à débuter de véritables études musicales.
Ainsi, en 1996, il obtient le prix supérieur de violoncelle et le prix supérieur en solfège du FNUCMU, actuelle Fédération Française de l’Enseignement Musical, chorégraphique et Théâtrale. Il se perfectionne en suivant de nombreux stages avec des artistes talentueux, tel que Raymond Maillard, Philippe Barri ou Henri Marquette.
En 2001, après l’obtention de son DEUG en musicologie à l’Université Paris 8, il intègre différents orchestres comme violoncelle de rang. La formation orchestrale lui plait énormément : il peut jouer les compositeurs qu’il affectionne particulièrement
comme Mozart, Bach, Vivaldi.
Mais sa curiosité le pousse vers de nouveaux sentiers : musique baroque ou romantique… En 2001, il entre en résidence au théâtre des déchargeurs à Paris au côté de Nicolas Buffet avec lequel il enregistre également un album. Plus tard, il signe les arrangements pour d’autres artistes : Camille (chanson française), Synd Matters (pop rock), Gabriel Sivak (tango moderne). Il composera également la musique d’un moyen métrage,
présenté au Festival de Cannes.
Il ne veut pas se limiter à un style de musique, il aime avant tout multiplier les rencontres et les expériences. Le Flamenco est un univers qu’il découvre avec Grito mais dans lequel il s’immerge avec talent. Avec son violoncelle, il habille la scène d’une présence sonore et envoûtante.
Felipe Calvarro, Percussionniste
Né en 1969, il débute la danse espagnole et le flamenco à l’âge de 11 ans
avec Vicente Lerin Losilla. Le Ballet “Los Muchachos” le réclame
4 ans plus tard et le nomme très vite Premier Danseur.
En 1990, il s’associe à son frère Felix Calvarro pour créer le Ballet Alba et rejoint peu après le Ballet Andalucía d’Antonio Triana. Parallèlement à la danse, il nourrit un véritable intérêt pour la musicalité flamenca, un intérêt qui va devenir une véritable passion.
Il s’initie seul à la guitare à l’âge de 20 ans puis étudie la musique avec Jesús Carceller.
Depuis 1995, il se produit essentiellement en tant que guitariste, percussionniste et chanteur.
Son expérience de la danse fait de lui un musicien très apprécié pour sa compréhension
chorégraphique : son accompagnement est toujours parfaitement adapté.
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Compositeur de talent, il est l’auteur de mélodies magnifiques qui enchantent par leur douceur.
Avec son cajón (percussion), il mène avec cœur et brio la partie rythmique du spectacle.
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En images…
La Presse
À propos de son NOUVEAU spectacle “Grito”…
…un extraordinaire duo entre Valérie ORTIZ bien présente sur scène
et le danseur virtuel Pascal Gaona ; une merveille de créativité et d’esthétique.
Le second est d’un modernisme audacieux mêlant pas de flamenco
à des danses très exotiques.
/// www.flamenco-culture.com
Un couple de danseur virtuel pour mieux évoquer le souvenir, le rêve, l’amour.
/// Sud Ouest
À propos de son précédent spectacle “Por Nuestro Camino”…
Valérie ORTIZ, et tous les artistes qui l’entourent nous ont offert une grande soirée Flamenca
hier soir au théâtre du Vésinet. (…) Valérie ORTIZ et son partenaire étaient au sommet
de leur art. (…) La mise en scène et le décor classe Por nuestro camino parmi les meilleures
productions actuelles du flamenco français.
/// www.sevillanas.net
En prêtresse de cette danse andalouse qu’est le flamenco, pour avoir joué des castagnettes
sur un album de Sting et dansé dans “Carmen” au côté de Julia Migenes, Valérie ORTIZ
se produira sur la scène de la Maline (…) À la question de savoir si n’étant pas tout à fait
espagnole, il est possible de briller dans le monde du Flamenco, la réponse est oui.
/// Sud Ouest
La qualité de ses spectacles, Valérie ORTIZ, la doit à un travail acharné et
à un perfectionnisme sans faille. (…) Ce week-end, on aurait dit que le froid et
la grisaille de novembre avaient laissé place au chaud soleil de l’Andalousie.
/// Le courrier des Yvelines
C’est en France qu’elle a commencé à se faire un nom dans le mode très select
des pointures du flamenco. Elle aurait pu choisir de s’installer à Madrid ou à Séville
mais c’est à Paris, où il existe un véritable public croissant pour le flamenco,
qu’elle est devenue une danseuse de renom.
/// La république de Seine et Marne
Valérie ORTIZ est une danseuse élégante avec une technique pleine de finesse
qui s’exprime pleinement dans des palos festifs…
/// Flamenco Magazine
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Le spectacle de flamenco (…) restera l’un des spectacles phares de la saison culturelle.
Conçu par la danseuse vedette Valérie ORTIZ, cette création a su allier les plus authentiques
racines de la danse à une conception musicale moderne et novatrice.
/// Ozoir Magazine
Grito
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