Nominations au 1er janvier 2011

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Nominations au 1er janvier 2011
Télécom ParisTech
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La lettre d’information semestrielle de Télécom ParisTech
N° 4 - mars 2011
ÉDITO
je classe,
tu classes,
il ou elle
classe…
Les établissements d’enseignement supérieur sont placés dans un
environnement très concurrentiel.
Au plan de la recherche les 2/3 des
crédits de recherche sont aujourd’hui
obtenus sur des contrats industriels
bilatéraux et sur des appels à projets
nationaux ou européens, dont les taux
de sélectivité vont de 1/4 à 1/10. Au
plan de la formation, classement d’entrée dans les grands concours nationaux mais surtout classements dans les
grands médias français sont attendus et
analysés par tous. Je suis donc très heureux de pouvoir relayer dans ces colonnes
nos très bons résultats 2010, avec notre
5e place des écoles d’ingénieurs au dernier classement l’Etudiant-L’Express, ainsi que dans celui de Challenges.
Ces classements nationaux entretiennent
l’émulation dans ce « petit monde » des
Grandes Écoles et sont un puissant stimulant de nos démarches de progrès. C’est
ainsi que nous avons ouvert un chantier
sur la formation à l’international, un point
faible. Mais nous ne devons pas oublier
que la concurrence est mondiale, que les
classements pour attirer les meilleurs
étudiants s’appellent « Shanghai »,
« Times for Higher Education », « QS »…
Sur ce terrain-là, le jeu est collectif et
notre équipe s’appelle ParisTech. Si le
début 2011 voit une nouvelle phase de
la construction de ParisTech, la route est
encore longue pour que notre équipe apparaisse dans ces classements. Amélioration de la qualité de notre recherche
et transferts de compétences des
écoles vers la structure centrale de
ParisTech en sont des conditions sine
qua non.
Yves POILANE (84)
Les faits marquants
et les chiffres de la rentrée
Après le record historique de l’an dernier,
l’effectif global reste quasi stable avec, en
2010, 1404 étudiants Télécom ParisTech.
On observe un léger tassement (-1%) qui
cache deux tendances opposées : l’effectif*
des élèves ingénieurs continue de croître
(+5%) et ce sont les effectifs des doctorants
et des différents masters qui ont légèrement
décru (-7%).
Si l’on se focalise sur l’admission des élèves
ingénieurs (+6%), la diminution des recrutements sur titre et des polytechniciens inscrits
en 4e année est compensée par l’augmentation forte des étrangers qui s’inscrivent en
auditeurs libres et, dans une moindre mesure, par l’augmentation des places offertes
au Concours Commun (+4%). Le taux des
élèves ingénieurs étrangers continue d’augmenter de 39% à 40%, malgré le déficit important d’élèves étrangers issus du concours
commun : l’éruption du volcan islandais a
empêché certains de passer le concours !
Le fait le plus marquant de cette rentrée
2010 a été l’ouverture d’une nouvelle filière
par apprentissage pour obtenir le diplôme
d’ingénieur. Quatre élèves ont passé avec
succès les tests d’aptitude organisés pour la
première fois. Arrivés à l’école, ils suivent
un cursus de première année spécialement
aménagé pour être compatible avec leurs
obligations en entreprise. En deuxième et
en troisième années, la programmation des
cours leur permet de rejoindre leurs camarades dans les mêmes classes, condition indispensable pour justifier de l’obtention du
même diplôme.
La plupart des entreprises avec lesquelles
nous sommes en relation plébiscitent ce type
de formation qui leur permet d’établir une
relation privilégiée avant l’embauche. L’école
prévoit d’augmenter progressivement le
nombre d’apprentis à une trentaine d’élèves
en élargissant la base du recrutement aux
DUT et aux admis sur titre en Licence, tout
ceci sans transiger sur le niveau. Il est aussi
prévu de proposer cette formule aux élèves
issus du concours commun, mais seulement
à partir de la deuxième année.
dont les admissions par :
Effectif* filière
ingénieurs
concours
commun
voie
universitaire
apprentissage
X en doubles
diplômes
2009
700
122
76
0
26
2010
732
127
56
4
15
Directeur de Télécom ParisTech
Retrouvez les actualités de l’École sur : www.telecom-paristech.fr
Télécom ParisTech
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Avancement du dossier Saclay et ParisTech à fin janvier 2011
Nouvelle gouvernance du « Campus Paris Saclay »
Candidature du Campus Paris Saclay au Grand Emprunt
Télécom ParisTech est aujourd’hui, via l’Institut Télécom,
membre d’un collectif de 23 établissements chargé d’organiser et
d’animer l’enseignement, la recherche, l’innovation et la vie de
campus sur le plateau de Saclay.
Ce collectif, structuré en Fondation de Coopération Scientifique (FCS), s’est doté fin janvier
d’une assemblée générale et d’un
conseil d’administration. Au sein
de l’assemblée générale, l’Institut
La FCS Campus Paris Saclay a
soumissionné le 7 janvier à l’appel
d’offre « Initiative d’Excellence » du
Grand Emprunt. 1,5 G€ de capital
ont été demandés qui dégageront 30
M€ de crédits annuels (grâce aux revenus des capitaux placés). Au niveau
national, 17 dossiers ont été déposés
pour 6 ou 7 lauréats dans une première vague. Après sélection par un
jury international, la décision du Premier ministre adviendra entre juillet
et septembre 2011.
Télécom a 3 voix sur 124, ParisTech au total en a 28.
La FCS est notamment chargée :
- d’animer la recherche et l’enseignement sur le plateau par la mise
en place de structures transverses
ad-hoc.
- de stimuler le développement du
plateau par des mécanismes d’appels à projet et bourses d’excellence au bénéfice de ses membres,
grâce au financement du Grand
Emprunt. ( 20 à 30 M€ par an).
Une « Graduate School » pour ParisTech
Dans le but de fédérer véritablement les écoles de ParisTech sur leur
futur campus de Palaiseau/Jouy,
les écoles de ParisTech souhaitent
constituer une « Graduate School
». Elle regroupera sous un pilotage
collégial et en un lieu central les
formations masters et doctorales
des écoles de ParisTech implantées
à Palaiseau/Jouy et développera les
interactions et parcours croisés sur
les formations d’ingénieurs/managers.. Elle permettra tout particulièrement :
- le développement de formations
interdisciplinaires répondant aux
enjeux sociétaux du XXIe siècle
- le renforcement de l’attractivité
internationale des établissements
pour les étudiants comme pour
les professeurs
- l’obtention de financements pour
monter de nouveaux masters et
pour des bourses masters et doctorales.
En contrepartie, l’école perdra
une partie de son autonomie dans
l’élaboration de son offre master et
la réalisation de sa formation doctorale, qui seront cadrées par un référentiel qualité, commun à toutes
les écoles. Toutefois, cette autonomie était déjà relative puisque masters et école doctorale étaient déjà
co-habilités.
Dans un schéma où la Graduate School se structurera en
programmes disciplinaires et/ou
thématiques, l’enjeu pour Télécom
ParisTech sera de faire émerger un
programme « STIC » et de l’animer.
L’école participera de plus à des
programmes interdisciplinaires autour d’enjeux de société : « société
numérique », « climat et environnement », « santé et bien-être », « société de la connaissance »…
Des bourses jeunes chercheurs
(12 M€/an*), des bourses master et
doctorat pour attirer de très bons
étudiants étrangers (5 M€/an*) et
des fonds pour le développement des
TICE** (2 M€/an*) ont été demandés à ce titre. Parmi les demandes de
financement du Campus Paris Saclay
sur cet appel d’offre, il y a la mise en
place d’un réseau de Graduate Schools
sur Saclay, dont l’une en « Sciences,
Technologies et Management » à Palaiseau, pour ParisTech (3 M€/an).
Déménagement de Télécom ParisTech à Palaiseau Pour pouvoir contribuer à
la dynamique « Campus Paris
Saclay », encore faut-il déménager à Palaiseau ! On se souviendra
du jalon important qu’a constitué
l’annonce faite par N. Sarkozy le
24 septembre 2010 de notre déménagement, dans un mouvement
embarquant également l’ENS
Cachan (près de Supélec) et Mines
ParisTech. Les déménagements
de Centrale Paris (également près
de Supélec), d’ENSAE ParisTech
et d’AgroParisTech (à Palaiseau)
avaient déjà fait l’objet d’une annonce précédente, réitérée le même
jour.
Le dossier Mines-Telecom prévoit notre déménagement intégral
sur Palaiseau. Pour l’Institut Télécom, les surfaces nécessaires ont été
évaluées à 27 000 m², en croissance
d’environ 20%. Notre besoin de financement*** est de l’ordre de 20
M€, comparable à ce qui a pu être
demandé sur d’autres déménagements. Nous sommes en lice pour
obtenir ce complément de financement sur le « milliard de Saclay »
au titre du Grand Emprunt. Les
contacts se multiplient pour que
notre dossier aboutisse. Réponse à
l’été 2011.
Notre bâtiment sera construit
dans le quartier ouest de l’École Polytechnique, positionnant Télécom
ParisTech au cœur du « quartier des
STIC ». Le planning prévisionnel
amène à un transfert pour la rentrée
scolaire 2016.
* montants annuels et provisoires
** TICE : Technologies de l’Information et de la
Communication pour l’Enseignement
*** investissements nettés des cessions d’actifs ou des
économies de location
Enseignement et recherche sur le campus Paris Saclay, au croisement des
disciplines et des enjeux sociétaux
Vue aérienne du Campus de Palaiseau
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La Chaire Modélisations des Imaginaires,
Innovation et Création
Autour de quel sujet pouvait
bien se forger l’alliance improbable de Dassault Systèmes, Ubisoft,
PSA Peugeot Citroën et Orange ?
Celui des « imaginaires » !
Pour Pierre Musso, porteur et
titulaire de la chaire, l’imaginaire a
une logique et donne un sens aux
objets techniques. Il sera considéré
par la chaire comme une « matière
première » de l’innovation, lieu
d’articulation entre création et innovation technologique.
Inaugurée en octobre dernier,
en présence de Claudie Haigneré
au Palais de la découverte,
l’activité de cette chaire se
déploie maintenant à vive allure.
Les quatre industriels cités en
sont les partenaires fondateurs,
l’université Rennes 2 et notre
école, les partenaires académiques,
et Alcatel Lucent et la Datar vont
apporter leur soutien en tant que
partenaires associés.
L’approche fondamentalement
pluridisciplinaire réunit déjà des
chercheurs de trois départements
de l’école et des chercheurs étrangers, venant de champs aussi variés
que la philosophie, la sémiologie,
les sciences cognitives ou l’informatique. Tout un chacun pourra
venir assister aux conférences ouvertes des « Jeudis de l’Imaginaire »
dont le cycle vient de démarrer.
cf. agenda page 4
Nominations au 1er janvier 2011
Jean-Pascal Jullien (81) devient directeur de la Formation Initiale
de l’école
Né en 1957, des salles. Directeur scientifique
J.-P. Jullien de l’IRCAM de 1991 à 1994, il
est Ingénieur participe à la création du DEA
du Corps des ATIAM. De retour à France TéléMines (issu com pour développer les services
du Corps des de conférence, il crée le premier
Télécommu- prototype de téléprésence. Puis
nications) diplômé de Polytech- il rejoint la branche Entreprise et
nique (1979) et de Télécom Paris- devient responsable marketing des
Tech (1981). De 1981 à 1991, il services de téléphonie privée où
développe au CNET de Lannion il met au point la première offre
la recherche sur le traitement de française de ToIP (téléphonie sur
Internet). En 2005, il prend la
signal appliqué à la prise de son.
Il réalise à l’IRCAM le premier direction du développement des
outil de spatialisation sonore basé offres multimédia d’Orange Busur ses recherches en acoustique siness Services.
Jean-François Naviner (87), est nommé directeur de la toute nouvelle
Direction des Relations Internationales (DRI).
EnseignantPar ailleurs, l’expérience internatiochercheur
nale est devenue une composante
de l’École
indispensable dans le parcours d’un
depuis 18 ans,
élève ingénieur. Par un effort de
ingénieur (87)
communication et d’argumentadocteur (92) de
tion autour des possibilités et des
celle-ci, habilité
modalités de stages ou études à
à diriger les recherches (UPMC,
l’étranger, nous voulons accroître
2008), J.-F. Naviner énonce ses
sensiblement le nombre d’étudiants
priorités pour la DRI :
vivant une expérience internatio« Nous devons améliorer la visibi- nale durant leur scolarité, avant,
lité et la lisibilité à l’international peut-être, de la rendre obligatoire.
de nos offres de formation ainsi Enfin, nous allons associer plus
que notre processus d’admission et systématiquement la promotion de
d’accueil. Il faut améliorer encore le notre recherche aux échanges acaniveau des étudiants étrangers que démiques dans nos relations avec
nous recrutons, sur un « marché » les établissements d’enseignement
supérieur partenaires. »
devenu mondial.
Rénovation de la 1re année d’ingénieurs
Les élèves ingénieurs de la rentrée prochaine feront l’expérience
d’une BCI rénovée (BCI pour
Base de Connaissances Indispensables, nom donné aux enseignements de première année). C’est
l’aboutissement d’un travail de
deux années où élèves, anciens
élèves et enseignants ont été largement consultés et mobilisés pour
identifier les points faibles et imaginer des solutions adaptées.
La place des matières scientifiques a tout d’abord été légèrement augmentée, en reconnaissance de leur vertu formatrice,
pérenne et transdisciplinaire.
Mais l’élément nouveau le plus
innovant est la création d’un projet d’une centaine d’heures placé
tout au début du cursus. La pédagogie choisie est volontairement
en rupture avec l’expérience des
élèves. Le but est de leur apprendre
à travailler en groupe, à être plus
actifs dans leur apprentissage et
à appréhender la complexité des
problèmes réels.
La parole sera en outre donnée
dès la 1re année à des intervenants
extérieurs, du monde de l’entreprise, pour illustrer les mécanismes de l’innovation sur des systèmes techniques concrets et pour
exprimer la cohérence et mettre en
perspective de leur utilité les enseignements techniques programmés
dans la BCI.
Après le premier exercice, on
pourra faire un bilan et mesurer
les progrès accomplis. En attendant on serre les derniers boulons
avant d’accueillir la prochaine promotion.
Nouveau laboratoire commun de Télécom
ParisTech avec Morpho
Morpho, entreprise du groupe
SAFRAN, est le leader mondial
incontesté de la sécurité biométrique. Les coopérations en recherche avec l’école sont régulières
depuis plusieurs années, concrétisées en particulier par la présence
dans nos murs d’un chercheur de
cette entreprise. Morpho et notre
école ont décidé d’inscrire ces coopérations dans le cadre d’un laboratoire commun. Les thématiques
qui y seront traitées relèvent de
divers domaines liés à la sécurité et
l’identité : sécurité informatique et
cryptographie, sécurité des composants, systèmes de gestion de
l’identité, etc.
Les départements techniques de
l’école sont déjà impliqués dans
des actions de ce laboratoire commun ; le département de Sciences
Économiques et Sociales ne saurait
tarder à les rejoindre. Un comité
de pilotage se réunira tous les ans
pour en valider l’activité et lancer
les nouvelles actions de recherche.
cf. agenda page 4
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Les télécoms mènent à tout...
Notre deuxième invité de cette rubrique est Yves Tyrode (91), récemment nommé à la tête de voyages-sncf.com.
Avec son arrivée dans le groupe SNCF, ce sont trois diplômés de l’école qui s’y retrouvent désormais à des postes clés : Barbara Dalibard (82) à la tête de la Branche
Voyageurs, Gilles Albertus (78) à la tête de la DSI et Yves Tyrode.
pire souvenir. Avec le recul, j’ai
également trouvé que l’école n’avait
pas assez anticipé le passage des
télécoms à l’IP.
Yves TYRODE (91), 44 ans,
Directeur Général de Voyages-sncf.com
Quels sont les souvenirs les plus
marquants de ton passage à
Télécom ParisTech ?
Mon meilleur souvenir c’est
probablement la création de
Formacom, association étudiante
dont l’objet était de fournir une
offre de formation
continue. Les cours
d’informatique
également
étaient
intéressants, l’école
avait bien pris ce
virage. Par contre, il fallait faire
la queue pour accéder aux VAX
(NDLR : ressources du centre de calcul)
et cela, c’est probablement mon
Parle-nous de tes 20 années de
carrière...
Après un rapide passage chez Alcatel, je me fais embaucher à France
Télécom par J. Champeaux (71)
avec le message suivant « Tu veux
faire du business c’est bien, mais
apprends d’abord ton métier d’ingénieur ».
Et je commence comme ingénieur
et fais développer les 1ers outils de
propagation radio pour l’ingénierie
cellulaire d’Alphapage et Tatoo.
Je bascule dans le marketing au
bout de cinq ans et je monte, avec
d’autres, l’offre entreprise mobile
de France Télécom. J’apprends à
« fermer un produit » (Radiocom
2000, l’ancêtre du
GSM). Un bon
marketeur
doit
avoir fermé une
offre au moins une
fois dans sa vie ! Je
lance le WAP pour entreprise, les
premiers pas de l’internet mobile.
Mais l’explosion de la bulle internet
a mis fin à cette aventure. En 2002,
je deviens patron du marketing
entreprises d’Orange France, puis
chef du projet de déploiement du
Wi-Fi d’Orange, le « pire ennemi »
des mobiles ! Mes anciens collègues
du mobile m’en ont voulu à mort.
En 2004, tu te lances dans
une nouvelle aventure ?
Cette année-là, je suis notamment
nommé chef de projet Business
Everywhere, qui a fait d’Orange
le leader mondial des offres de
nomadisme entreprises.
Et en 2007, je pilote la création du
technocentre qui devient l’usine à
produits du groupe Orange. Sortir
tous les six mois un produit pour
chacun des 30 pays dans lesquels
est Orange...un sacré challenge !
Pourquoi quitter Orange pour la
SNCF ?
En choisissant l’école des télécoms, j’avais pris le parti de faire
une école qui avait une spécialité
dans un domaine porteur. Ce qui
est aujourd’hui « chaud », c’est le
e-business. Alors, prendre la direction d’un des tout premiers sites de
e-business en France...
Trois ingénieurs télécoms à des
postes de responsabilité à la SNCF,
est-ce un hasard selon toi ?
Les télécoms sont devenues une
formation généraliste. Pour toutes
les entreprises d’industrie et de
service, les technologies de l’information sont un enjeu majeur. Les
employeurs potentiels sont beaucoup plus diversifiés que lorsque je
suis sorti. Les entreprises de service
en réseau, comme la SNCF, sont
particulièrement concernées par la
révolution numérique. Les jeunes
qui font ce choix-là aujourd’hui
font un bon choix, comme moi il
y a 20 ans.
Que sais-tu de la stratégie de
l’école ? Qu’en penses-tu ? Auraistu des conseils à lui donner ?
Je suis un très mauvais ancien élève
et sais assez peu de choses sur l’école
d’aujourd’hui. J’ai vu l’évolution du
nom (l’ajout du « Tech ») il y a deux
ans et je n’ai pas compris. Mais je
comprends aujourd’hui qu’il s’agit
d’atteindre une taille critique, avec
un effet campus à Palaiseau.
Et là, je dis bravo ! C’est ce qu’il
faut faire pour pouvoir exister face
aux chinois et aux américains.
Quant au conseil, que l’école se
dépêche de développer une application iPhone et Android !
Le soutien des diplômés pour Télécom
ParisTech prend de l’ampleur…
AGENDA 2011
8 mars :
Remise de la médaille d’argent du CNRS à Éric Moulines (86),
professeur et ancien élève de l’école
10 mars
17 mars :
« Comment trouver de nouveaux clients » et « Transmission
optique longue distance : applications terrestres et sous-marines»
21 mars :
AfterSchool « spécial Promo 2005 », l’afterwork des diplômés,
organisé par les élèves-ingénieurs au foyer de l’école.
Tables rondes de groupes thématiques Télécom ParisTech alumni
23 et 25 mars : Remise des diplômes de la promo 2010 de Télécom ParisTech
24 mars :
«Qu’est-ce qu’un modèle ?», Henri Atlan
31 mars :
Inauguration du laboratoire commun Télécom ParisTech et Morpho
28 avril :
Prix des Technologies Numériques (Hôtel de Lassay)
2e conférence du cycle mensuel des « Jeudis de l’Imaginaire »
Avec des dons allant de
50 euros à 100 000 euros, la
collecte auprès des diplômés
ne cesse de croître depuis 2008
pour dépasser les 250 000 ­euros
collectés avec 320 diplômés
donateurs en France, aux ÉtatsUnis et au Royaume-Uni. De
nouvelles ressources qui permettent à l’école de financer
des bourses sociales, des bourses
d’excellence
internationales
pour attirer les meilleurs élèves
étrangers, ainsi que des équipements pour les laboratoires de
recherche.
Avec le soutien des entreprises, la Fondation a dépassé
les 11 millions d’euros collectés
pour l’Institut Télécom et ses
écoles.
L’équipe de la Fondation Télécom
Merci à tous ceux qui se mobilisent !
Si vous souhaitez apporter votre soutien à titre personnel ou
via votre entreprise, rendez-vous sur le site de la Fondation :
www.fondation-telecom.org
ou contactez Pauline Compagnon au 06.12.65.42.05
Télécom ParisTech Infos : www.telecom-paristech.fr
Directeur de la publication : Yves Poilane - Rédacteur en chef : Dominique Célier
Rédaction : Dominique Célier - Pauline Compagnon - Jean-Pascal Jullien - Armand
Lévy - Pierre Musso - Jean-François Naviner - Yves Poilane
Réalisation : Télécom ParisTech/Direction de la Communication
46, rue Barrault 75634 Paris Cedex 13
Impression : CLOITRE Imprimeurs à Saint Thonan
Dépôt légal : mars 2011 - Semestriel - ISSN : 2105-1380
avec filet blanc
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