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CONSEIL N°210
CONSEIL
LA
FACULTE
DES
DE
SCIENCES
SEANCE DU 19 OCTOBRE 2011
Présidée par M. Gilles HALBOUT, directeur de la Faculté des Sciences.
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CONSEIL N°210
ME M B RES D U C O NS EIL PR ES E N TS O U R EP RES E NTE S :
Enseignants-chercheurs et assimilés : ALART Pierre, AYRAL André, BRUGUIERES Alain, LE
GUENNEC Jean-Yves, MIGNOT Agnès, ROLLAND Valérie, VIGNE Michel, DESCHACHT Denis,
CASTELLON Jérôme (représenté par DELAUNAY Thomas), DELAUNAY Thomas, GUIEU
Laurent, GUILLET Thierry, MUNOZ François, ROYER Pascal (représenté par GUILLET Thierry),
TILLARD Monique
Personnels IATOSS : BOUBY Georges, VINDOLET Thierry.
Etudiants : BOURDON Vanessa (représentée par ALART Quentin),
Personnalités extérieures : TRESSOL Magali, LE DAIN Anne-Yvonne (représentée par AYRAL
André), LIBOUREL Bruno (représenté par Jean-Yves LE GUENNEC), MAUREL Pierre
(représenté par VINDOLET Thierry), PASTOR Gilbert (représenté par VIGNE Michel)
INVITES PERMANENTS :
- Le Vice président du CEVU : IUNG Christophe
- Le Directeur de CASSIOPEE : BARBE ASENSIO Dominique
- Le Directeur des Etudes : DIONIGI Olivier
- Les chefs des Départements : BRUGUIERES Alain (Mathématiques), JOURDAN Franck
(Mécanique), JOAB Michelle (informatique), HOFFMANN Alain (EEA), DEGOLS Geneviève et Bruno
TOURAINE (BP), DE LA BOISSE Henri (DESTEM), SILLY Gilles ( PEIP)
- Directeurs adjoints : THALER Olivier
- Chefs de service : DUPUY de CRESCENZO Lucie,Thierry KAUFFMANN
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M. HALBOUT ouvre la séance à 8h45 et rappelle l’ordre du jour :
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Mot du directeur
Vote des PV du conseil 209
Vote des heures SPS
Discussion sur la campagne BIATOSS
Première discussion sur la campagne enseignant-chercheur
Lettre de cadrage budgétaire
Point sur l’évolution des PPE
Point sur l’évolution des PEIP
Point sur la reconnaissance des projets étudiants
Les demandes pour le congrès UdPPC
Questions diverses
1-
Intervention du directeur
a- Nouveau texte sur les décharges
Gilles HALBOUT informe que le bureau du Conseil Scientifique s’est penché sur ce texte de cadrage
que la Faculté des Sciences avait voté. L’ensemble des propositions ont été bien appréciées. Pour la
prise en compte des décharges qu'il attribue sur projet, le Conseil Scientifique se base sur ce que
le conseil de la Faculté des Sciences avait demandé soit 120€/h au lieu de 40,91€.
Georges BOUBY fait remarquer que le remplacement des enseignants déchargés se fait notamment
par des moniteurs. Il met en garde sur le fait que les moniteurs n’ont pas la qualification pour
remplacer un MCF ou d’un PR et enseigner à tous les niveaux.
b- DU informatique destiné aux professeurs de lycées
Gilles HALBOUT indique que sera mis en place un Diplôme Universitaire informatique pour les
enseignants, principalement de mathématique, de lycées qui se forment à l'Université. Le rectorat
est partenaire. La création de ce DU est une solution pour faire reconnaitre cette formation. Une
discussion à ce sujet aura lieu au bureau.
c- Les problèmes de la rentrée
Gilles HALBOUT indique qu’il y a eu une surchauffe au planning par manque de salles. Un point a été
fait avec Lucie DUPUY de CRESCENZO, responsable du service planning-logistique de la Faculté des
Sciences, qui a constaté que certaines salles réservées étaient inoccupées.
Gilles HALBOUT demande d’anticiper la prochaine rentrée pour réduire ce genre de problèmes.
Laurent GUIEU fait remarquer que chaque année les créneaux de soutiens sont mal placés, il
faudrait réfléchir à une meilleure disposition des créneaux.
d- Math C2+
Gilles HALBOUT présente Math C2+. Cette opération, qui est encouragée par l’inspection générale,
consiste à proposer aux élèves de lycée de venir faire un stage de 3 jours en mathématique à
l’université pendant les vacances (notamment les vacances de la Toussaint).
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Gilles HALBOUT invite ses collègues des autres disciplines à créer des opérations identiques en
rappelant que cela valoriserait la Faculté des Sciences.
e- Colloque CRUISEF
Gilles HALBOUT rappelle que la Conférence Internationale des Responsables des Universités et
Institutions à dominante Scientifique et technique d’Expression Française (CIRUISEF), se
déroulera du 21 au 24 novembre 2011.
f- Représentation de la CCIR
Gilles HALBOUT présente Magali TRESSOL qui est la représentante de la Chambre de Commerce et
de l’Industrie du Languedoc-Roussillon.
g- Prochain conseil
Gilles HALBOUT rappelle que le prochain conseil aura lieu le mercredi 16 novembre. L’ordre du jour
sera :
Point sur les UE de « Culture »
Point sur la campagne BIATOS et Enseignant-Chercheur
Conventions de cohabitation
Discussion sur le Budget
2-
Vote du PV du conseil 209
Gilles HALBOUT rappelle l’importance de la présence des membres du conseil ainsi que la nécessité
d’être ponctuel.
Gilles HALBOUT propose au vote le PV du conseil 209 qui est adopté par 19 voix pour et 1
abstention.
3-
Votes des heures de Suivi des Projets et des Stages (SPS)
Olivier THALER mentionne qu'avec la nouvelle habilitation et le retard accumulé dans le suivi des UE
SPS, une remise à plat du dispositif est nécessaire.
Olivier THALER rappelle que la commission SPS s’est réunie une première fois pour décider de
l’examen en urgence des UE des semestres impairs. Il s’agissait de faire, dans la mesure du possible,
l’inventaire des UE inchangées, des UE modifiées et des nouvelles UE. Une prochaine commission est
à prévoir dans quelques semaines pour les semestres pairs.
Olivier THALER informe que les informations concernant les UE de SPS sur RezUfr sont
incomplètes. Il rappelle que chaque département devait transmettre à la commission sa liste d’UE à
SPS en précisant le nombre d’heures par étudiant, le nombre d’ECTS et la nature de l’enseignement.
Seuls les départements de BE, BP DESTEM, Mécanique et le master eau (partiellement) ont
transmis les informations demandées mais Olivier THALER trouve que l’échantillon est
représentatif de l’ensemble.
Olivier THALER constate que les intitulés des UE sont variables, les demandes d’heures SPS et les
ECTS sont variables pour les mêmes types d’UE, certaines UE mélangent SPS/TD/TP/Cours et il
regrette que l’on ne sait pas sur quoi porte le travail des enseignants dans ces UE.
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Olivier THALER classe les UE de SPS en 4 groupes et propose un nombre d’heures par étudiant pour
chaque groupe :
Types UE
UE Biblio-conférence
UE projet Pro, technique de recherche
d’emploi, préparation stage
UE à projets
UE à stage (GLST514)
Nombre ECTS
2.5
5
7.5
10
15
2.5
5
2.5
5
7.5
10
10
Propositions nb
heures/étudiants
1
2
3
4
5
1.5
2.5
1.8
3
4
5
4
Olivier THALER propose que les UE GLBP514 et GLST512 (UE à projets) comportent 1h/étudiant.
Thierry GUILLET fait remarquer que dans les UE à projets, il y a aussi des TP. L’étudiant doit
préparer son projet dans une salle de TP.
Georges BOUBY fait remarquer que le projet ne consiste pas en un TP traditionnel. L’étudiant
élabore son projet entouré d’un enseignant et d’un technicien. En général cela représente des
groupes de 3 à 4 étudiants. C’est une préparation à la recherche.
Gilles HALBOUT est d’accord avec la cote que propose Olivier THALER.
Georges BOUBY rappelle que cela fait près de 5 ans que les SPS sont mis en place et qu’à force de
vouloir faire des économies, plus personne ne voudra s’occuper des projets.
Gilles HALBOUT répond qu’il n’y a pas d’économie faite sur les SPS et qu'au contraire la Faculté des
Sciences veut mieux reconnaître ces tâches.
Quentin ALART fait remarquer qu’il y a une UE de bibliographie de 15 ECTS (GMBE32C :
Valorisation d’une zone d’étude), ce qui correspond à la moitié des ECTS d’un semestre.
Gilles HALBOUT informe les membres du conseil qu’Olivier THALER a fait un très gros travail. Il
souhaite que la commission continue à cadrer et harmoniser les SPS.
Georges BOUBY rappelle que les moniteurs et les ATER qui interviennent sur les SPS n’ont pas le
niveau d’un enseignant.
Franck JOURDAN demande à Olivier THALER s’il a discuté des heures avec la commission.
Olivier THALER lui répond que la commission ne décide pas car c’est le rôle du conseil. Par contre, la
commission a validé le compte-rendu qui se trouve sur l’ENT.
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Gilles HALBOUT donne le feu vert à Olivier THALER après avoir demandé si le conseil voyait des
oppositions. Il n'y en a pas.
Un point global sur les SPS sera fait par Olivier THALER lors d'un prochain conseil.
4-
Discussion sur la campagne BIATOS
Gilles HALBOUT commente le tableau des BIATOS.
Il fait remarque qu’il y a 4 chapitres :
Régularisation des situations
Maintien du potentiel de la composante
Réduction précarité
Nouvelle demande de postes aux départements de Mathématiques et BE.
Gilles HALBOUT informe qu’un travail sera fait pour que les personnes de la Faculté des Sciences
ayant un concours puissent rester à la Faculté des Sciences.
Georges BOUBY site son cas : il a réussi un concours à Paris VI, il n’a pas demandé de convention
pour rester à l’UM2 car il savait que la réponse serait négative. Il dit savoir que son poste n’aurait
pas été requalifié.
Agnès MIGNOT, concernant la régularisation de postes au département Math, demande si la
recherche a donné un poste 100% à la Faculté des Sciences.
Gilles HALBOUT lui répond positivement. La Faculté des Sciences a fait passer certaines missions à
100% à la Recherche si en échange elle a obtenu que certains autres postes passent à 100% à la
Faculté des Sciences.
Gilles HALBOUT informe par ailleurs qu'une démarche similaire est en cours aux départements BE
et BP pour affecter certains personnels à 100 % à la recherche ou à l'enseignement sans perte
globale de potentiel pour les départements.
Agnès MIGNOT ajoute qu’en Conseil Scientifique a été évoqué la possibilité pour les BIATOS de
faire une demande de mobilité pour être 100% recherche ou enseignement. Elle informe que cette
demande risque d’être croissante et il est possible de voir le personnel BIATOSS fuir vers les
laboratoires.
Barbara STRAUSS pense que les personnels BIATOS peuvent effectivement de se mobiliser mais la
direction peut refuser leur demande de mobilité si un retour d'autres personnels vers les
départements n'est pas assuré.
Georges BOUBY précise que la composante ne peut donner qu’un avis réservé.
D’après Georges BOUBY, la mobilité correspond aussi parfois à un choix politique comme d’attirer
des personnels avec une prime comme par exemple à la Direction des Services Informatique. L’agent
et la composante qui accueille devraient pouvoir décider.
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Pour Gilles HALBOUT, il est important, avant tout, de bien mettre en évidence nos besoins et les
missions correspondantes aux emplois de la composante. Ceci contribue à consolider nos emplois et
nos demandes futures.
Georges BOUBY informe que des commissions se réunissent régulièrement dans les PFR,
composantes et services centraux. Il alerte sur les recrutements de près de 32 postes en catégorie
A à l’administration centrale alors que la masse salariale est bloquée. Il demande où seront pris ces
postes alors que les laboratoires et les composantes se sont restreints dans leur demande.
Gilles HALBOUT affirme qu'il faut effectivement veiller à ce que les missions des composantes
puissent êtres assurées. Il pense aussi que la Faculté des Sciences peut aussi bénéficier d'une
meilleure qualité des services centraux.
Gilles HALBOUT demande l'avis du conseil sur les propositions faites pour la campagne d'emploi. Il
n'y a pas d'avis négatif. Gilles HALBOUT précise alors qu'il défendra ces propositions dans les
différentes commissions.
5-
Première discussion sur la campagne enseignant-chercheur
Gilles HALBOUT présente les différents profils aux membres du conseil. Il explique qu’ils ont été
disponibles tardivement sur l’ENT mais il souhaitait avoir la validation des chefs de département
avant de les publier.
Gilles HALBOUT rappelle que l’an dernier, le Conseil avait accompagné deux opérations
structurantes en informatique et en chimie et informe que cette année la Faculté des Sciences
accompagnera, par ses demandes de support, la mise en place de grands équipements, en chimie et
biologie santé.
Georges BOUBY demande que les statuts des départements soient mis en place et respectés car
des dérives sont et ont été faites.
Gilles HALBOUT rappelle qu'il est intervenu, justement, auprès des départements pour rappeler que
les bureaux doivent être réunis, notamment pour discuter sur les campagnes d'emplois.
Pierre ALART pointe la demande de poste en 46.3 en physique et signale que le département
physique n'est pas celui où le taux de professeurs sur le nombre d'enseignants-chercheurs est le
plus faible et qu'il faut tenir compte d'un nécessaire rééquilibrage entre disciplines.
Gilles HALBOUT lui répond qu’il y a un effectivement un déséquilibre entre les taux rang A - rang B
entre départements et que la physique n'est effectivement pas le département le moins fourni en
PR. Par contre, il rappelle que la physique est une des discipline où il y a eu très peu de promotions
locales. Il informe que la physique va avoir des postes de PR en 28ème dans quelques temps et qu'il
sera alors demandé qu'elle rende un « chapeau » si le poste en 46.3 est mis au concours.
6-
Lettre de cadrage budgétaire
Gilles HALBOUT informe que la lettre de cadrage budgétaire a été votée au Conseil
d’Administration. Les départements ont fait remonter leurs besoins qui ont été collectés par
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Barbara STRAUSS et Thierry BRETAGNON. Ces besoins se répartissent en besoins récurrents,
demandes exceptionnelles et projets pédagogiques. Un premier point sur le budget sera fait lors du
prochain conseil de novembre pour un vote au conseil suivant.
Gilles HALBOUT fait remarquer que lors de la première notification budgétaire par l'Université
pour la partie « socle », les moniteurs de la Faculté des Sciences avaient été comptés à temps plein
mais que l’erreur a été corrigée.
Concernant la dotation, Gilles HALBOUT informe qu’elle devrait être comparable à celle de l’année
dernière pour la dotation primitive mais que sera aussi intégrée la partie projet et qu’il ne faudra
donc pas attendre avril 2012 pour la connaître.
Gilles HALBOUT explique que le budget devrait être constant voire augmenter légèrement suite à
l’augmentation des consommables. Il pense surtout aux départements tels que BE et DESTEM qui
utilisent les transports, impactés par l'augmentation du prix de l’essence.
Au sujet du Contrat Objectif Moyen (COM), Gilles HALBOUT rappelle qu’il sera compris dans le
budget de la Faculté des Sciences et représentera l'augmentation par rapport au socle nécessaire
au fonctionnement récurrent de la composante, dont la partie « plan licence ». Il informe que, sur
notre budget de 3,7 millions d’euros, et qui sera en augmentation l'an prochain, nous avons 900
milles euros de ressources propres. Nous devrons donc convaincre l'Université pour obtenir le
complément.
Christophe IUNG trouve la présentation de Gilles HALBOUT objective et confirme que le plan
licence ne doit pas être oublié.
Un débat s'instaure avec les élus, notamment sur les indicateurs mis en place.
Gilles HALBOUT rappelle que les indicateurs sont principalement ceux mis en place par le ministère.
Il pense que l'Université les utilisera avec discernement lors du dialogue budgétaire. Il rappelle
aussi que la politique de dotation ministérielle consisterait à attribuer, pour le socle, autant à
Polytech qui a 1000 étudiants qu'à la FdS qui a 7000 étudiants. Il espère donc que grâce au COM et
aux projet, la FdS bénéficiera d'un rééquilibrage, comme c'était le cas grâce au plan licence.
Christophe IUNG partage ce qui a été dit par Gilles HALBOUT pour les indicateurs.
Christophe IUNG informe qu’il a demandé que des indicateurs soient rajoutés pour la Faculté des
Sciences, notamment sur les formations professionalisantes et les parcours renforcés et qu'il
faudra ensuite surveiller ces indicateurs. Afin qu’il y ait un suivi optimal et une transparence entre
les composantes et la direction des études, il va être créé un tableau de bord par composante ce
qui permettra d’avoir des chiffres fiables validés par les chefs de services.
Christophe IUNG rappelle que l’établissement doit avoir une argumentation pour juger de
l’efficacité de ses formations et que le cadrage budgétaire n’est pas anodin.
Quentin ALART, qui avec un regard extérieur, voit que l’essentiel des indicateurs porte sur des
critères de performance. Il rajoute que depuis 5 ans, le budget est un financement de
contractualisation.
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Pour Gilles HALBOUT, la Faculté des Sciences a tout intérêt à faire des COM et n’a pas d’intérêt à
avoir un budget lié uniquement à des indicateurs. Il préfère répondre et communiquer sur des
projets et des objectifs. Il espère beaucoup du dialogue budgétaire à venir.
7-
Point sur l’évolution des PPE
Gilles HALBOUT informe que Laurent GUIEU a mis en place un système de communication pour les
référents et qu’une réunion sera mise en place avec la Direction des Etudes, CASSIOPEE et la FdS.
Suite à la question « qu’est-ce que les PPE ? », Gilles HALBOUT répond que le Projet Professionnel
de l’Etudiant est un dispositif qui a été mis en place pour les étudiants de L1. Les objectifs du PPE
sont :
- de rendre l'étudiant acteur de son projet professionnel,
- de l’autonomiser dans le cadre d'un projet tuteuré,
- de travailler en groupe pour rechercher de l'information, la synthétiser et communiquer,
- de mieux appréhender un domaine d'activité et/ou métier en rencontrant des
professionnels.
Les enseignants travaillent avec les référents pour voir si le projet est cohérent avec le cursus de
l’étudiant.
Georges BOUBY a l’impression que le PPE a raison d’exister en L3 mais pas en L1.
Gilles HALBOUT propose qu’une discussion soit faite lors de la rédaction de la prochaine
habilitation.
Laurent GUIEU informe qu’il a pu y avoir, par le passé,
des problèmes
avec certains étudiants tardivement inscrits et qui n’avaient pas eu toute latitude pour choisir leur
sujet, ainsi que des problèmes avec quelques tuteurs qui étaient peut-être moins motivés de
d’autres.
Laurent GUIEU rajoute que pour l’instant il y a un cadrage général mais qu’il faut rassurer les
référents et clarifier le cadre.
Quentin ALART suggère que le PPE devrait être présent jusqu’aux Masters car c’est une formation
utile pour tous les étudiants.
Laurent GUIEU rajoute que l'équipe de démarrage du nouveau PPE ainsi que les futurs responsables
sont à l'écoute de toute proposition et invitent le conseil à partager ses idées avec eux.
8-
Point sur l’évolution des PEIP
Gilles SILLY, responsable du département commun PEIP entre Polytech et la Faculté des Sciences
présente les PEIP de Montpellier (annexe).
Gilles SILLY souhaite que Polytech participe plus qu’actuellement aux PEIP. Il rajoute que le climat
dans lequel il travaille n’est pas serein mais conflictuel entre Polytech et la Faculté des Sciences. Il
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souhaite un vrai partenariat entre les 2 composantes qui n'existe pas encore malgré la création d’un
département d’enseignement commun.
Gilles SILLY demande des postes de PRAG en plus pour cette formation.
Gilles HALBOUT remercie Gilles SILLY pour sa présentation. Il confirme que Polytech et la Faculté
des Sciences ont, enfin, commencé le dialogue mais qu'il reste bien des oppositions. Il rappelle qu’il
faut penser en priorité aux étudiants et à l’établissement.
Agnès MIGNOT qui a participé à la mise en place des premiers PEIP avoue que les relations entre
les deux composantes l’ont beaucoup préoccupée. De plus, la création d'UE spécifique la gène.
Agnès MIGNOT rajoute que le rapprochement Faculté des Sciences-Polytech permet la mixité des
groupes avec des étudiants qui sont plus motivés. Ce qui est un plus pour les étudiants de la FdS.
Pour Gilles SILLY, si cela peut servir de locomotive, c’est une bonne chose. Cependant,
matériellement, la mixité lui semble difficile.
Laurent GUIEU pense lui aussi que cette mixité est positive et donne l’exemple du L3 parcours
renforcé Math-Physique où il y a une ambiance de groupe.
Thierry GUILLET demande à y voir plus clair entre les différents parcours : PEIP, parcours
renforcés, préparations aux concours, cursus master d'ingénierie, ….
Gilles HALBOUT pense que le L1 deviendra une année d’orientation et les masters d'ingénierie
doivent être vus en une formation en 1+4 (une première année généraliste et un cursus spécialisé de
quatre ans entre licence et master, comprenant des cursus en parcours renforcés). La faculté des
Sciences et Polytech prennent ainsi des chemins différents, Polytech préférant deux années de
formation généraliste avant spécialisation. Il suppose que Polytech voudra un seul portail mais cela
ne conviendra pas à la Faculté des Sciences qui 'achemine vers deux portails à moyen terme.
Gilles HALBOUT aimerait que les UE spécifiques restent généralistes pour une discipline donnée
comme c'est le cas en mathématiques.
Thierry GUILLET informe que les enseignants de la Faculté des Sciences qui travaillent au sein du
PEIP ont l’impression de partir à zéro car le dialogue n'avait pas été entamé. Il rapporte aussi qu'il
y a un débat au sein de Polytech qui a demandé le passage à une « école en 5 ans » qui n'a pas été
validé par le CA.
Agnès MIGNOT demande si le PEIP Biologie de Montpellier disparaitra.
Gilles SILLY lui répond que Montpellier se pose la question. L’investissement est important pour
seulement 20 étudiants alors qu'il n'y a que quatre écoles en France qui ont des PEIP Biologie.
Christophe IUNG pense que le malaise est profond mais qu’il y a des avancées et que la création du
département PEIP est ne bonne piste. Il rajoute qu’il y a 120 étudiants inscrits au PEIP et que les
deux composantes doivent continuer leurs efforts. Vu l’intérêt des PEIP, le débat est très positif.
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Gilles SILLY reconnaît que sur les contenus, il y a une réelle avancée mais pense qu’il faut une
reconnaissance de la double tutelle qui n’est pas effective actuellement.
9-
Point sur la reconnaissance des projets étudiants
Jean-Yves LE GUENNEC informe que l’idée est de lancer un appel d’offre auprès des étudiants et
de remettre un prix sous forme pécuniaire (correspondant, par exemple, à la prise en charge de
certains frais) et de manière très solennelle.
Gilles HALBOUT explique que le projet est venu suite aux retours des étudiants qui avaient
participé à différents salons ou projets et qu’il est important de mettre en valeurs les projets
présentés par les étudiants de la faculté des Sciences.
Gilles HALBOUT informe que la Faculté des Sciences aide les associations d’étudiants mais que
cette reconnaissance pourra permettre de mettre en valeur les initiatives individuelles.
Gilles HALBOUT fait remarquer que l’UM2 était absente lors de la remise des prix au salon de
l’étudiant.
Olivier THALER fait remarquer qu’il y a une ligne dépenses mais qu’il faudrait penser à une ligne
recette. Il n’existe pas de taxes pour financer ce projet.
Gilles HALBOUT répond que depuis 2011 il y a une ligne budgétaire sur les subventions
d’associations pour les étudiants mais qu’il faudra trouver effectivement des partenaires.
Christophe IUNG informe que le CEVU soutient les composantes lorsqu’elles participent à ce genre
de projets.
10-
Les demandes pour le congrès UdPPC
Gilles HALBOUT propose aux membres du conseil le vote pour la subvention de deux milles euros
pour le congrès UdPPC qui est acceptée à l’unanimité (23)
L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 12h25.
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