La convoleuse sur 168 heures Tire fesse jouissif en hululement

Transcription

La convoleuse sur 168 heures Tire fesse jouissif en hululement
La convoleuse
sur 168 heures Tire fesse jouissif en
hululement Avec
alternance
nue
apprêtée surtout non concordante avec le déplacement de la Terre ses besoins
vitaux
assouvis dès lors du désir aux
prémices de l’envie Les heures n’ont aucune
importance le temps qui passe n’a pas de mesure C’est le corps qui la définit sans la
mathématique Elle met en place un système de chair par nuit Célibataire par hasard elle
séduit les hommes déjà pris, pris de pire en pire De la première heure Tire fesse jouissif
en hululement Une escapade pour changer de taille de sexe, sous une petite trace
d’inspiration illégale Meilleurs Devant l’amant de la veille Futur mou verre à la main qui la
regarde partir comme un con Pas mal comme coup Plus Grand Sans poser un pied à
terre, un tour sur elle-même Tire fesse jouissif en hululement L’ex amour enfin en
sentiment avec une autre l’escalade comme une
première conquête, tout un cinéma et
elle
RETOURNE
le
matelas Pas mal comme coup Redite Et ça
tourne, les couleurs Allez encore plus, plus
engagé, plus marié, plus pire Tête
en l’air essaie avec un non désiré non marié avec bébé et pas d’accompagnatrice mauvais
coup sauf le secret socialement son prénom Tire fesse jouissif en hululement la semaine
descend et elle elle la …la la Plus long Un des derniers soirs par inadvertance elle
emballe elle baise un rêve d’ado vieillissant et réunissant toutes les contraintes que son
âge peut offrir
Un secret explosivement ennuyeux
Heureusement elle aime chanter
De plus haut le dernier soir, après la valse avec un
oublié
Elle mâche des feuilles à rouler pour rire plus aigu Elle sent l’élan fantôme qui monte le
long de sa jambe Elle prend la fenêtre Le voisin d’en face a l’air pas mal sous sa lumière
rouge elle donne un bon coup de hanche en haut de la façade pour le voir de plus près
pas mal en plus puis de 8 elle passe à 4
Elle préfère passer de 15,5 à 18,8 Pour s’étendre l’herbe marque plus Le
béton
est plus tonifiant Elle se fait baiser le corps écrasé entre les deux à égalité Ça manque de
métal petite fraîcheur, ou d’un baiser à la rosée Un regard enjôleur chromé je branle à
l’extrême à m’en broyer le poignet 1,234 1,230