Bourgeoisie naturalisation, mariage

Transcription

Bourgeoisie naturalisation, mariage
Extraits des archives de la commune
Bourgeoisie
Naturalisations Mariages
1728 Reçu de David Rochat acompte de sa bourgeoisie 50 florins.
1733 M. Jean Torman (du château) paie l’intérêt de bourgeoisie.
1801
Le 17 février, demande de bourgeoisie de Gasser Jean-Louis habitant à Orbe
1805
La municipalité fait opposition au mariage de Joseph Truan de 75 ans, assisté par la
bourse des pauvres avec une femme de Novalle débauchée et même imbécile
incapable de se faire seulement une paire de bas, âgée pas seulement de 44 années.
1815
Au cours de cette année la Municipalité traite de nombreuses demandes de
bourgeoisie . (Mattis, Henry, Roy, Vallotton, Tissot, Girard, Lecoultre)
1841
Le 18 février le préfet est consulté au sujet d’une pétition contre la commune à
propos du prix de la bourgeoisie. Le Conseil d’Etat autorise la commune à stipuler
l’acquisition de la bourgeoisie aux frères Campiche pour la somme de 7’000-fr.
1842
1er janv le Conseil général autorise la municipalité à stipuler les actes de bourgeoisie
avec les 3 fils de Pierre Isaac Henry Campiche, bourgeois de Ste Croix, domicilié à
Giez, au prix de 2’800-fr pour chacun deux.
1851
A la demande de Isaac, fils de feu Emmanuel Baudraz, veuf depuis 3 ans, dont acte
de décès envoyé par la mairie de Lyon, permission lui est accordée de se remarier
avec Melle Claudine Royer, fille de Claude Marie à Martigny et de Louise Brelot sa
femme.
1854
Demande d’autorisation à l’assemblée de commune au nom de Louis Poget, tailleur
et sa femme qui aimeraient un lot à la compagnie de la colonie suisse en Algérie.
La municipalité demandera à la compagnie des colonies suisses en Algérie la
concession d’un lot dans les nouveaux villages qui se construisent pour 2 ou 3
familles.