dossier presse LE FRABYLE 2008

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dossier presse LE FRABYLE 2008
LE FRABYLE
« Celles et ceux qui représentent la majorité –trop- silencieuse et qui aspirent à vivre
ensemble dans le respect mutuel seront en parfaite osmose avec cet artiste-citoyen
libre qui refuse le fatalisme ambiant et l’enfermement identitaire. »
Etre Frabyle, c’est quoi ?
« Etre Frabyle, c’est un France/Algérie quotidien ! »
Le Frabyle, c’est le spectacle de tous les mélanges, des mélanges
réussis ou ratés, des traditions différentes avec leur lot de
richesses, d’ouverture et de tolérance mais également de douleurs,
de déséquilibres, de questions et de doutes…
Le Frabyle, c’est le spectacle de celles et ceux qui aiment la terre
de leur naissance et celle de leurs ancêtres et qui les partagent sur
une même terre…
Le Frabyle, c’est le spectacle de tous les français, de celles ceux
qui ont envie de découvrir ou de partager, sans imposer mais sans
oublier pour autant leurs convictions ni leurs traditions. C’est le
langage de celles ceux qui n’ont pas peur de leurs différences…
Le Frabyle, c’est le spectacle de tous ces immigrés, dont les
enfants, français, ne supportent plus d’être appelés des « beurs »,
rejettent la notion d’intégration, les amalgames cités/ délinquants,
musulmans/terroristes et attendent qu’on leur parle « avenir »
avec des mots comme possible, égalité, équilibre…
Etre Frabyle c’est…
Avoir un père kabyle, pire qu’une mère juive
Une mère Ch’ti qui ne supporte plus les « arabes »
Un prénom à coucher dehors,
Une tête à coucher dedans,
Et assez d’humour et d’amour,
Pour croire encore qu’à la fin de l’histoire
Tout finit toujours par s’arranger…
Le Frabyle a été créé en septembre 2001
Texte écrit lors de l’Année de l’Algérie en France
Si….
Si tu peux déclamer sans être censuré
Si tu peux critiquer sans être menacé
Si tu peux t’opposer sans être emprisonné
Si tu peux dénoncer sans être exécuté
Si tu peux être femme sans être bafouée
Si tu peux sans trembler dire ta berbérité
Si tu peux être jeune sans être désespéré
Si tu peux dire « je t’aime » sans être décrié
Si tu peux t’incliner sans que ta barbe pousse
pour faire cesser enfin le sang qui éclabousse,
Si l’on accueille enfin comme un hôte de marque
celui qui, hier encor, subissait la matraque,
Si ta peau basanée et tes cheveux frisés
ne sont plus un prétexte à mieux te contrôler,
Si implorent pardon ceux qui ont torturé
Si la mémoire revient à ceux qui ont tué
Si le nom de ton père est enfin honoré
pour avoir, de son sang, servi la Liberté,
Si les pouvoirs abdiquent de leurs desseins obscurs
Si les peuples décident enfin de leurs futurs
Si les mères patries rapprochent leurs rivages
pour qu’enfin leurs enfants ne fassent plus naufrage,
Si, Si, Si…
Alors et alors seulement, en « Hommes Libres* » nous fêterons
ensemble
« l’Année de l’Algérie en France »
Alors et alors seulement en « Hommes Libres » nous ferons
exister ensemble
« l’Année de la France en Algérie » !
* « Homme libre » se dit Amazigh (Imazighen au pluriel) en langue berbère
Réaction au poème « SI... » sur l’année de l’Algérie en France « It was such a pleasure to know people like you are in life and
have courage to talk, to show, to scream « I’m Amazigh ». We will
support you and we willl have such pleasure to see you going
forward for it. We love people like you, doing it and having a faith
in such difficult cause... » Sean
Entendu ça et là…
«J'ai eu le privilège d'assister au spectacle "le frabyle" il y a quelques
jours à Avignon. Mon identité n'a que peu d'importance... "Il y a
tant de mots pour emprisonner"... Et si peu de vrai talent pour
s'émouvoir que lorsqu'on en trouve un vrai, un pur, un juste : on se doit
d'en parler. C'est pour cela que je parle de privilège ! Pour ma part, la
moindre de mes satisfactions aura été de pouvoir faire évoluer son
spectacle non seulement en l'encourageant de mes rires et de mes
applaudissements mais en lui apportant, sur une terrasse de la Place de
l'Horloge, après son show, les réflexions à fleur de peau d'un petit
français de confession juive. Merci d'avoir eu le courage de m'aborder
et merci surtout d'en avoir tenu compte. C'est là aussi toute la grandeur
d'un artiste. Aller voir Tayeb n'est pas un devoir civique, c'est un
devoir tout court. Mazeltov! »
«Moi, je suis juive… et j’ai tout ressenti… parce que j’ai vécu les
mêmes choses…alors arabes, kabyles, chtimis ou moi, je me dis que
tout ça c’est pareil… La phrase qui m’a marquée c’est «La stupidité et
l’ignorance sont un indéfectible trait d’union entre les cons…».
Franchement, on ne peut pas dire mieux !» Anna
« Chapeau bas le Frabyle ! Si j’étais allé au Stade de France (voir le
match France/Algérie !), il est sûr que j’aurais manqué un grand
moment d’humour » Aurélien
On a tellement ri qu’on a pleuré ! De plaisir… Ce spectacle, on s’y est
reconnus tout le temps. Le père, c’est le nôtre, la mère, on l’a déjà
rencontrée, le garagiste, c’est affreux, mais c’est VRAI !!! Les kabyles,
les hôtesses d’Air Algérie ou Radio Beur, c’est tellement bien vu !!!
Merci surtout pour le passage sur l’Islam… Ça fait du bien par les
temps qui courent ! Merci aussi pour les femmes, merci de dire tout
haut ce que souvent on ne peut même pas dire tout bas ! Et en plus, il
est très beau !... » Nedjma
ROMAIN BOUTEILLE
Créateur du café de la gare – Découvreur de Coluche
« Il faut avoir suivi Tayeb Belmihoub dans sa promenade sereine entre les vagues
de la violence publique. J’allais dire sa promenade « digestive » à cause de la
cocasserie mais, sous les cendres couve une lucidité plus chirurgicale qu’intestinale.
La haine n’est pas quelque chose de familier sur les trottoirs où l’on parle en
« frabyle », dans ce ramassis d’argots kabyle, chtimi, parisien on trouve une
profondeur serbo-croate et cette clarté imparable des coups de pieds au cul mais
aucune hargne. On trouve une espèce d’universalité soignante. Je ne sais pas par
quel tour de magie chacun retrouve là ses petits, ses proches, son lait maternel. A
croire que sous la vanité glissante des langues officielles existe un Esperanto
fondamental qui pourrait bien finir (les Dieux nous entendent !) par désamorcer cette
planète. Une foule n’est pas une somme de tendances individuelles mais une
combinaison chimique où les composants deviennent méconnaissables. Ainsi
Tayeb en public, ne se réduit à son seul discours, ça me donne le droit (oh universalité
des évidences !) de dire tout ce que je veux du spectacle sans qu’il puisse dire qu’il n’a
jamais voulu dire ça ! Voila ce que je trouve moi, devant ma porte : La trouille étant
une manifestation de base de l’animal et l’altruisme, par contre, une opération
sophistiquée, on perd son temps et sa moralité à vouloir qu’un citoyen obéisse à la fois
« DE FORCE » et par « PAR SOLIDARITE ». Cela s’exclut. L’éventualité d’une
punition déshonore la loi et rejette l’homme dans les crétinismes de l’esclavage. Une
tête bien faite est incapable d’éprouver du respect pour ce qui n’en mérite pas. En bref,
toute violence est institutionnelle.
Diverses lois dont celle du profit m’autorisent à maintenir des gens dans une misère
mortelle. Pour peu qu’ils soient d’une race différente de la mienne, à leur légitime
colère, on trouvera un motif clair, excitant, admis d’avance, facile à vendre et qui est
une haine aveugle, sans fondement rationnel : LE RACISME. Comme je ne les
laisserai pas s’expliquer médiatiquement, aussitôt me voilà avec les mains propres ! Il
est donc important pour le profit que le racisme, comme colère des autres, occupe cette
place de choix dans l’information. Plus « objectivement » on en parle, plus réelle
devient la foi en son existence, mieux il innocente l’homme d’affaires et le justicier de
bistrot. Et l’institution monétaire, avec sa vocation absurde de « maintien de l’ordre »
n’est pas seulement équivoque, elle est l’usine à faire de l’homme, un client et du
client, une brute. Les non pensants ont la sublimation facile. Dans cette universalité
du Frabyle de Tayeb, un autre que moi entendra peut-être les coches de Lourdes,
les mille et une nuits, la voix de sa mère ou le hurlement des damnés, mais pour
moi, la question posée est celle-ci : le Fond Monétaire International sautera t’il avant
la planète ou en même temps qu’elle ? »
Avignon 2004
«La rencontre avec le FRABYLE fait partie de ces moments magiques où vous vous
dites que véritablement le destin existe et fait magnifiquement bien les choses. En
langage courant, certains appellent cela le coup de foudre ; cet instant de bonheur que
l’on ressent lorsque la joie du moment est si intense que vous cherchez qui remercier
tellement le plaisir est grand. Ce soir là, le bonheur, c’est un artiste qui me l’a
transmis, par son talent et son charisme.
Ce soir là, c’est aussi un homme qui m’a permis de partager avec d’autres, un
moment délicieux car la paix et la cohésion humaine –et non sociale pour une foisétaient au menu. Ce soir là enfin, c’est aussi un citoyen qui s’est exprimé avec
sincérité, intelligence et authenticité sur des sujets de société ô combien sensibles
puisque nous les traînons comme des boulets depuis plus de 20 ans.
Tayeb Belmihoub est cet artiste cultivé, intelligent et drôle. Ce n’est pas un comique
comme on a l’habitude d’en voir. C’est un humaniste fin et authentique qui exerce sa
passion avec conviction parce qu’il croit avec force en un monde meilleur au sein
duquel les hommes, d’où qu’ils viennent, trouveraient cette capacité à partager en
communs des valeurs universelles, capables de transcender tous les clivages. Le
FRABYLE, je l’ai découvert un soir d’été au festival d’Avignon. Dès la fin du
spectacle, je me suis promis, en tant qu’acteur de terrain, de transmettre le message
comme on le faisait à d’autres époques, afin que le plus grand nombre de femmes et
d’hommes, de jeunes et d’anciens, de riches et de pauvres puissent profiter de ce
moment de bonheur auquel j’ai eu droit.
Celles et ceux qui représentent la majorité –trop- silencieuse et qui aspirent à vivre
ensemble dans le respect mutuel seront en parfaite osmose avec cet artiste- citoyen
libre qui refuse le fatalisme ambiant et l’enfermement identitaire. Le FRABYLE
c’est l’amour face à la haine, c’est la confiance retrouvée face au préjugé, c’est la
citoyenneté universelle face aux replis identitaires.
Tayeb Belmihoub nous rappelle avec humilité que la bêtise n’a pas d’origine, de
confession religieuse ou de couleur de peau. Il nous dit aussi avec simplicité et à
partir de son histoire que le lien entre les hommes est possible. Ce message de paix
et d’union fait tellement de bien dans un contexte national, européen et mondial truffé
d’incertitude, de tension et de crainte. Merci au FRABYLE d’avoir accepté
spontanément d’aller dans les écoles et les maisons d’arrêt pour faire passer ce
message d’espoir dans le seul souci de défendre la dignité humaine et préserver
l’intérêt général.»
www.lefrabyle.fr
ARTICLES
« Tayeb a une particularité, sa mère est chtmi (originaire du nord de la France)
et son père Kabyle (berbères représentant la première population du nord de
l’Algérie)
« J’ai eu beaucoup de chance de n’être de nulle part » confie l’homme à la
peau et aux yeux clairs. Il a travaillé pour étudier, s’est intéressé aux livres avec
un grand L et n’a trouvé aucune différence essentielle dans leurs contenus. Son
spectacle dénonce avec humour l’ignorance, les religions, les guerres, le
racisme…Tout en rire et en finesse.
Tayeb propose des mots justes. Il nous emmène dans son voyage semé
d’embûches et de joies. Pour lui « le monde est un livre (….) Il est temps que
l’on donne aux individus la possibilité de lire leur livre sans distinction
idéologique ou religieuse »
Il se dégage un tel espoir des paroles de Tayeb, une lumière, un
regard, un sourire qui vous font réfléchir. Il respire une sorte de
plénitude, la même qui anime Paolo Coelho, écrivain chilien auteur de
l’Alchimiste.
Tayeb cherche à aider les hommes à s’aimer « nous sommes tous liés par un
phénomène de création. La séparation est illusoire. Nous avons la même chair,
le même cœur, les mêmes larmes » Le combat contre l’ignorance et
l’indifférence débute par la parole, un outil d’union indispensable.
Il envisage une tournée nationale des prisons en 2005, Tayeb veut donner de la
force, du courage pour que les gens se lèvent et disent non à l’humiliation
« pour qu’ils laissent parler leur cœur ». La leçon de vie de cet homme
est à voir absolument. »
« Le Frabyle », pièce autobiographique de Tayeb Belmihoub, propose une
description sans fard du métissage. Une pièce qui résonne de ses accents
authentiques et rocambolesques. Portrait plein d’humour et d’humeur…
S’appeler Tayeb et être surnommé « Momo » expose toujours à des quolibets.
Surtout si l’on porte le cheveu blond, l’œil bleu et la peau blanche et que l’on
s’exprime avec aisance dans la langue de Molière (…) Loin des stéréotypes, le
comédien se catapulte dans les sphères de l’universalité.
Tayeb joue de « ces mots qui emprisonnent » et de la peur de l’altérité.
« Frabyle » est un néologisme, une contraction (Français/Kabyle) qui
appartient au langage du cœur.
Le comédien et l’homme refusent d’être étouffés dans les rets de la
victimisation ou enrôlés dans un quelconque personnage. La liberté avant
toute chose.
Les autres mots sont les fantômes des imaginations malades au dessus
desquels, il y a la vie. Et puis il y a l’humour, cocasse qui résonne comme une
sempiternelle jeunesse.
L’humour est un appel à l’empathie réciproque, une renaissance à
l’espérance « c’est un rêve, soit mais après tout un rêve n’est rien d’autre
qu’une réalité en attente. » renchérit Tayeb dans son livre/prolongement de la
pièce.
Le spectacle est une « proposition authentique et sans triche » (…) Le 16
Juillet, Tayeb Belmihoub a interprété « Le Frabyle » à la prison du Pontet
avant de s’engager dans une tournée nationale des prisons.
2001 - Tayeb Belmihoub décide de changer de « terrain de jeu », il va monter sur scène.
2001/2002 - Avril/Mai : il écrit son premier seul en scène « Le Frabyle » Juin : Il répète, apprend,
répète devant ses 5 enfants et sa femme. Juillet : Nous sommes le 5 juillet 2001, jour de
l’indépendance de l’Algérie (ça ne s’invente pas !), il va passer une audition, au Théâtre de la
Providence (ça ne s’invente pas, non plus !) à Paris dans le XIXème.
2002 - Un soir pas comme les autres, une représentation inoubliable, Romain Bouteille est dans la
salle avec sa compagne Saïda Churchill. Tayeb n’en sait rien et le choc est grand lorsque quelques
jours plus tard, Romain Bouteille écrit sur son seul en scène, pour la première fois depuis 20 ans,
depuis Coluche, une critique… Quelques mots du maître, pour sceller ce qui sera pour Tayeb son
« autorisation à continuer à faire du théâtre, la certitude qu’il n’est pas un imposteur »…
2003 - Représentations à Argenteuil, Bagnolet, Bobigny, Choisy le Roi… Une sélection au festival
Performance d’Acteur à Cannes et une première participation au Festival off d’Avignon sur la
péniche « Dolphin Blues », grâce aux recommandations de Romain Bouteille…
Tayeb commence l’écriture d’une étude symbolique sur le football, intitulée « Football, sport
sacré ? »
2004
Mars :
Soirée exceptionnelle au Théâtre du Gymnase
Mai/Juin
- Deux mois au Café de la gare à Paris, sur les traces de Romain Bouteille…
- Sortie du livre « Le Frabyle…Quand j’étais petit, on m’appelait Momo… », réservé au public lors
des représentations, il sortira cependant en même temps que le DVD(fin 2006)
Juillet :
Festival Off d’Avignon 2004 au Théâtre Monte-Charge (Cinévox) – Année exceptionnelle, des
articles de presse élogieux et un public de plus en plus fidèle.
Octobre :
Mise en place d’une tournée nationale des prisons avec « Le Frabyle » : Centre de détention
d’Argentan et Maison d’Arrêt d’Alençon
Novembre/Décembre
- Fin de l’écriture de « Football, sport sacré ? » qui devient « Une balle pour la paix » …suite à la
naissance du projet du même nom : faire tourner une balle à travers le monde en signe de Paix entre
les hommes.
- Tournage Télé
P.J. – Gérard Vergès (France 2) – Rôle : Commissaire Bardon (passage en septembre 2005)
2005
Janvier :
Maison d’Arrêt de Fontenay le Comte
Théâtre « l’Azile » La Rochelle
Tournage « Nuit Noire » Alain Tasma – Canal + (Chef FLN)- Tournage important pour Tayeb. On
lui propose le rôle, court mais dense, d’un des chefs du FLN autour de la table du petit déjeuner à
Francfort, quelques jours avant la manifestation du 17 Octobre 61
Février :
Maison d’Arrêt de Metz
Théâtre « Le Plein d’Essence » Strasbourg
Mars/Avril/Mai
- Maison d’Arrêt de Privas/Strasbourg/St Etienne
- Rencontre avec le député Pierre Morange (Yvelines) Tayeb lui propose de l’aider à faire aboutir un
projet de Loi qui va faire parler : interdire l’utilisation du mot « beur » par les médias, les politiques
et les administrations. Ce projet s’intitule « Not Beur »
Juin :
Tournage 1er Long Métrage de Stommy Bugsy
Centre de détention d’Osny
Bar des Clandestins – Bruxelles
Juillet :
- Festival d’Avignon – création, nouveau seul en scène. Le thème : la prison qui a inspiré à Tayeb un
texte fort, bouleversant, magnifique et violent sur l’univers carcéral tel qu’il l’a ressenti lors de la
tournée du « Frabyle ».
- Ecriture du livre sur cette tournée « J’ai raconté mon histoire… et puis je suis parti »
Août
Ecriture du synopsis du film « Qui a tué Amar malek ? »
Septembre :
- « Le Frabyle » - Centre Universitaire de Charleroi – Dans le cadre des « Jeudis de la
communication » Théâtre/Conférence (Belgique)
- Enregistrement d’un clip «intitulé « Djellaba pour tous » - textes : Tayeb Belmihoub,
Octobre :
- Sortie du livre « Une balle pour la Paix » aux Editions Traditionnelles
A noter, dans le livre, la préface de : Zinédine Zidane et l’avis de Hakim Chalabi (Médecin PSG),
Karl Olive (Directeur des sports de Canal Plus)…
- Début de l’opération « Une balle pour la Paix », première balle tirée « pour ne jamais tuer » par
une personnalité qui fait une passe à quelqu’un dans le monde. Tayeb se charge alors de l’apporter
au destinataire qui, à son tour, la passera à un autre…
2006
Janvier :
-« Le Frabyle »Théâtre du Parc – Andrézieux Bouthéon
-Première lecture « Un (faux) air de famille » avec la troupe et Gérard Moulévrier à la mise en scène.
Février :
-Conférence/Signature « Une balle pour la paix » dans la salle multimédia de la Mairie de St
Germain en Laye
-Festival "D'ici, de là - Ces origines qui coulent dans nos Veynes" (Hautes Alpes)
Mars :
« Le Frabyle » Théâtre Monte-Charge à Pau
2007
- Mise en place nationale des Terrains de la Paix (www.uneballepourlapaix.fr)
- La Rochelle « Les nuits d’Amnesty International – Soirée avec 2 spectacles « Même si on est
innocent » sur l’univers carcéral suivi d’un débat et ensuite « le Frabyle »
- Il Piccolo Théâtre –Aix en Provence – Soirée Thématique Prison/Frabyle « Différences &
indifférences »
- Sortie du livre « le Frabyle – Entre Kabylie & France, le grand pardon ? »
- Séjour à Moscou pour interview documentaire sur le sacré dans le football
2008
-
21 fev - Prison de Toul – Le Frabyle
22 fev - Prison d’Ecrouves – Le Frabyle
7 mars - Prison de Melun – Le Frabyle
17 mars – Salon du Livre de paris – Signature livre « le Frabyle – Entre Kabylie & France, le
grand pardon ? » aux Editions manuscrit.com
21 mars – En collaboration avec le GENEPI – Spectacle « Même quand on est innocent »
dans le cadre du « Printemps des prisons »
11 avril – Inauguration du 1er Terrain de la Paix en prison au CD de Melun
25 sept – Le Frabyle à Vierzon dans le cadre du Festival de la méditerranée
REACTIONS
Direction : Pauline Sulak
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