Presse - Living Joconde
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Presse - Living Joconde
1 Sommaire Living Joconde, le projet................ p 4-5 L’intelligence artificielle ...................p 6-7 Le bijou............................................p 8-9 Partenaires......................................p 10-11 Equipe.............................................p 12 2 Living Joconde Une Joconde interactive et connectée L’esprit de la Renaissance L’excellence de l’industrie française du luxe Vers une living Joaillerie Le numérique offre à la joaillerie l’opportunité de renouveler le territoire de l’expression artistique, en créant des bijoux vivant dans l’intimité quotidienne de ceux qui les portent et y délivrant les enjeux de discours de leurs auteurs. Le prototype de la Living Joconde : Un bijou connecté doté de comportements. Une App pour smartphone. Un tableau vivant. Florent Aziosmanoff, Auteur Spécialiste du living art. www.livingjoconde.fr IIM, dirigé par Jean-Claude Heudin L’intelligence artificielle et créatures virtuelles. Strate, dirigé par Dominique Sciamma Design industriel, les objets connectés. Atelier Mathon, dirigé par Aude Mathon Création Atelier de Haute Joillerie Francaise. Festival Futur en Seine, juin 2015 – organisé par Cap Digital Avec le soutien financier de la Région Ile de France. 3 Living Joconde, le projet Non pas de posséder une Joconde, mais de vivre avec une Joconde. Le numérique investit aujourd’hui l’univers de la bijouterie. Sa mutation vers « l’objet connecté » offre au passage une opportunité inédite pour la diffusion de l’art, sous la forme d’une living joaillerie. Les bijoux permettent en effet de réaliser des œuvres qui viendront exister dans l’intimité quotidienne de ceux qui les portent, vivant au fil de la journée avec eux et avec leurs proches, pour y délivrer les enjeux de discours de leur auteur. Prenant pour thème le personnage de La Joconde de Léonard de Vinci, la Living Joconde est dotée d’une intelligence artificielle qui lui permet d’entretenir une relation sensible avec la personne qui la porte. Elle s’incarne dans un bijou, mais également dans une App pour smartphones, ainsi que dans une version « tableau vivant ». Chacune des différentes représentations, qu’elle soit bijou, App ou tableau, a un fonctionnement indépendant. Elle vit en compagnie de son entourage, se transformant au fil du temps selon la qualité des relations qu’elle entretien avec lui. Elle est également reliée à la personnalité globale située dans le cloud, recevant son influence, et lui transmettant en retour son expérience de vie personnelle. La Living Joconde est un projet qui s’appuie sur les élaborations théoriques du « living art », menées par Florent Aziosmanoff et ses partenaires depuis une vingtaine d’années, et qui vient de faire l’objet de la publication d’un livre (Living art, fondations – Ed. CNRS). De La Joconde à la Living Joconde Le tableau de La Joconde fut une révolution aussi bien par le progrès des techniques de représentation qu’il consacra, que par la manière dont il installe sa relation au public. La Living Joconde poursuit ces mêmes pistes, en investissant les plus actuelles de nos technologies numériques et en réinventant la relation entre une œuvre d’art et son public. La modernité numérique s’incarne spécifiquement dans l’intelligence artificielle, qui permet de doter un dispositif de comportements autonomes et de systèmes relationnels, afin d’entretenir une relation sensible avec le public. A travers l’analyse du tableau et de son histoire depuis un demi millénaire, il est possible de comprendre ce que fut le projet de Léonard de Vinci, et la manière dont il résonne aujourd’hui dans notre culture. Cela permet de reconstituer le profil psychologique de Mona Lisa, de lui donner « vie » sous la forme de la Living Joconde, en conférant unité et cohérence à son comportement. La Joconde, une madone profane Chacun peut voir en Mona Lisa une personne à aimer, comme une sœur, comme une mère ou comme une fille, comme une amie, comme une épouse ou comme une amante. Elle est toutes les femmes à la fois, elle est le fantasme universel. Elle semble douce et accueillante, mais elle est également distante. Elle interpelle clairement le spectateur, auquel elle s’adresse directement par le regard et le sourire, 4 mais elle le maintient à distance par une posture exigeante. C’est une belle jeune femme, comblée par la vie. Elle sait ce qu’aimer veut dire, par son mari, par ses enfants. Elle jouit de l’existence aisée de la grande bourgeoisie, dans un des hauts foyers de la vie culturelle et spirituelle de son époque. Malgré cela, quelque chose en elle semble chercher encore. Ce personnage auquel rien ne manque, questionne pourtant son visiteur : « Qu’as-tu à m’offrir, à moi qui ne te demande rien ? » Elle anime alors en lui le fantasme d’une relation. Celle-ci ne sera possible que sur le plan d’une intimité spirituelle, elle se déploiera dans son imaginaire. Pour que cette relation puisse vivre, il devra chercher ce qu’il a de meilleur en lui. Elle s’offre telle qu’en elle-même, dans la simplicité de son être et sans artifice, elle en attend de même de la part de son spectateur. C’est ainsi que les attitudes et réactions de la Living Joconde manifestent en toutes circonstances une présence engagée, qui s’offre et attend un même engagement autant que de retenue. Son attitude est intense, exigeante et douce à la fois. La living Mona Lisa Le tableau de La Joconde fonctionne sur la base d’une combinaison de nombreux paradoxes et ambiguïtés. Tout ce qu’il énonce est placé dans une position d’équilibre instable, qui donne au personnage une forte dynamique. Il représente principalement Mona Lisa, le paysage de fond jouant un rôle de résonnance symbolique et psychologique, pour contribuer à l’impression de vie conférée à la jeune femme. L’enjeu principal du projet de Léonard de Vinci était de représenter au mieux possible une personne « vivante », présente donc « ici et maintenant » dans la même réalité que son spectateur. La Living Joconde peut utiliser certains des artifices formels employés par Léonard de Vinci dans sa peinture, mais elle peut également utiliser, en parallèle ou à la place, les systèmes sémiologiques offerts par les techniques numériques, au rang desquelles nous avons : la capacité de la Living Joconde à prendre des initiatives, grâce à son système de comportement autonome ; les communications du spectateur avec ces différentes formes (camée, App, tableau), ainsi que les communication de ces formes entre elles ; l’animation de l’image ; les différentes tailles de cette image selon les formes adoptées ; la dimension tangible des formes bijou et smartphone, avec leur poids, leur taille et leur capacité à agir sur le plan kinesthésique au travers des vibrations. 5 Le comportement de la Living Joconde Lorsque le spectateur n’est pas en relation directe avec la Living Joconde, celle-ci a l’esprit occupé ailleurs, se présentant de profil, perdue dans ses pensées. Lorsque le spectateur se présente à elle, elle vient l’accueillir, de manière posée, lui offrant son sourire légèrement interrogatif. Une présence prolongée du spectateur, manifestant une qualité d’engagement, lui fait accéder à un état plus intense et de félicitée. Si elle est confrontée en revanche à une situation qui ne lui plait pas, elle peut s’assombrir et se détourner. Ce qui lui déplait peut être une grande agitation de celui qui porte le bijou ou des personnes alentours. Cela peut être également une sur-sollicitation de la part de son spectateur, notamment via les écrans tactiles du camée ou du smart-phone. L’App sur smartphone permet d’avoir une relation avec la Living Joconde qui y réside, mais également avec les autres présentes alentours, bijou ou tableau. La relation se fait par une caresse délicate de l’image, ainsi que par l’envoi de sms. Chacune des Living Joconde, bijou, App, tableau, vit une relation personnelle avec son entourage. Mais elles sont toutes reliées à une « méta living Joconde », une intelligence artificielle située dans le Cloud, échangeant des éléments de leurs expériences respectives. Ainsi, toutes les Living Joconde se trouvent-elles pour partie partageant leur système existentiel. 6 Intelligence Artificielle Un moteur émotionnel bio-inspiré Comme la structure générale du living art le montre, le cœur du développement de la Living Joconde réside dans son moteur de comportement. S’agissant d’un personnage devant fonctionner avec des personnes, la crédibilité de ce comportement sur le plan sensible et sa capacité à pouvoir montrer des évolutions subtiles, relève de la première importance. Notamment dans la mesure où il s’incarnera dans un bijou ayant vocation à traverser les décennies. C’est pourquoi la réalisation de ce moteur de comportement fait l’objet d’une attention particulière. Il sera le siège d’une part importante des innovations logicielles de la Living Joconde. Moteur émotionnel Le moteur de comportement de la Living Joconde est basé sur un système à trois couches : l’Emotion, le Mood, la Personnalité. Ce mécanisme permet de gérer un comportement cohérent dans le temps, mais pouvant s’adapter aux situations qui surviennent et avoir y compris des réactions très spécifiques pour des situations exceptionnelles. Ce qui est attendu, pour pouvoir donner de la finesse autant que de la crédibilité au fonctionnement de la Living Joconde. Emotion Les émotions sont ce qui provoque les réactions immédiates du personnage. Elles sont des manifestations d’affects à intensité moyenne et forte, en général provoquées par quelque chose qui surgit dans l’environnement immédiat. Dans notre cas, ce surgissement peut également venir de « l’intérieur », à savoir un événement majeur remontant par le réseau des multiples Living Joconde vers le noyau, et redescendant vers ses différentes formes. Une fois exprimées, ces émotions ont vocation à diminuer, pour rejoindre une position « attracteur », considérée comme un état de repos, la personalité profonde de la Mona Lisa. Mood Le Mood est l’humeur générale du personnage, pour une période donnée (de quelques dizaines de minutes à quelques jours). Cette humeur colorera le fonctionnement de ses émotions, et donc de ses réactions aux événements qui surgissent. Comme la structure générale du living art le montre, le cœur du développement de la Living Joconde réside dans son moteur de comportement. S’agissant d’un personnage devant fonctionner avec des personnes, la crédibilité de ce comportement sur le plan sensible et sa capacité à pouvoir montrer des évolutions subtiles, relève de la première importance. Notamment dans la mesure où il s’incarnera dans un bijou ayant vocation à traverser les décennies. C’est pourquoi la réalisation de ce moteur de comportement fait l’objet d’une attention particulière. Il sera le siège d’une part importante des innovations logicielles de la Living Joconde. 7 Personnalité La personnalité de la Living Joconde est quant à elle définie par des paramètres déter-minés sur la structure classique des « Big 5 ». Ces cinq aspects de la personnalité sont : Openness, qui caractérise l’ouverture d’esprit, la capacité à s’ouvrir à l’imprévu et au changement ; Conscientiousness, qui défini le sens de l’autodiscipline et donne de la stabilité ; Extraversion, qui tend à communiquer spontanément ; Agreeableness, qui caractérise l’empathie et la générosité ; Neuroticism, qui définit l’instabilité et la tendance névrotique. Ces variables ont un état initial, qui évolua lentement tout au long de la vie de la Living Joconde. Le noyau situé dans le Cloud pourra être soumis à ces variations, mais tendra à revenir vers la position initiale, alors que les bijoux verront leur personnalité conserver les effets produits sur leur personnalité. Pour plus d’inforations: Jean Claude Heudin, A bio inspired Emotion Engine in the Living Mona Lisa, ACM VRIC 2015 Technologies biomimétiques Ces développements sont réalisés notamment avec une programmation de type biomimétique, incluant les réseaux de neurones, implantant un métabolisme basé sur des neurotransmetteurs virtuels: La Dopamine, qui est liée à la fonction de plaisir ; La Norépinephrine, qui est un contrôleur du stress ; La sérotonine, qui est associée à la mémoire. Ce mode de fonctionnement se trouve être très éloigné de ce que l’on observe en général dans les objectés connectés, qui fonctionnent plutôt dans des systèmes d’action-réaction direct. Ce qui répond à leur fonction actuelle, qui est globalement d’offrir des services à la commande, ou de fournir des informations de flux (heure, données physio-logiques…). L’innovation réalisée dans la structure comportementale de la Living Joconde lui permet de définir principalement par elle même ce qu’elle exprime, tout en montrant qu’elle a une perception de ce qui l’entoure et qu’elle « vit » bien ici et maintenant avec les personnes qu’elle côtoie. La mise au point d’une telle programmation demande cependant une assez longue période d’élaboration et de réglage. Elle donnera probablement l’occasion de réinterroger les modèles théoriques envisagés, afin de les spécifier pour ce projet. 8 Le bijoux Une expression de la perfection Le bijou constitue la forme « précieuse » de l’ensemble des formes constituant la Living Joconde. Il incarne la dimension la plus « spirituelle » de La Joconde. Madone profane, dotée de son sourire elle vient à la rencontre de son spectateur, l’invitant à faire le chemin vers elle pour lui offrir ce qu’il a de meilleur en lui. Le bijou n’est donc pas tant un objet d’ostentation, qu’une manifestation de l’excellence et de la grâce. L’expression de la perfection que Léonard de Vinci voulu mettre dans son œuvre. La sobriété et la discrétion y côtoient donc ce que la joaillerie peut offrir de meilleur et de plus exigeant dans sa recherche d’absolu. Un camée Le bijou reprend le code conventionnel du camée, qui remonte à l’antiquité. Il se présente sous la forme d’un pendentif, ou d’une broche, montrant Mona Lisa en portrait resserré. Le motif est représenté en bas-relief, animé par une image sous-jacente, permet-tant au personnage de changer d’expression ou de posture. La face du bijou est réalisée en cristal de roche dont la surface est traitée avec un jeu de subtils dépolis. Elle est sertie dans un cadre en or, gravé en «effet soleil», animé d’un pavage de spahirs dont les couleurs sont coordonnées au paysage de fond du tableau. Un objet connecté Sous la face du bijou se trouve un petit écran TFT, qui diffuse l’image animée de comportements de la Living Joconde. Disposé sous celui-ci, un nano contrôleur permet de faire jouer l’intelligence artificielle. Un module Bluetooth permet au bijou d’établir la rela-tion avec les autres Living Joconde, qu’elles soient bijoux, Apps, ou autres formes. Un capteur de distance permet d’identifier la présence et l’attitude d’une personne en face de celle qui le porte. Un capteur tactile permet à celle-ci de caresser délicatement son bijou. Le bijou intègre également un micromoteur asservi, qui lui permet de « ronronner » d’aise dans une douce vibration, ou d’avoir de petites saccades manifestant son déplaisir. 9 Un objet relationnel Le bijou établit des modalités de relation distinctes avec ses différents interlocuteurs. Mettant à profit le toucher du motif sur la face en bas-relief du camée, la relation avec la personne qui le porte est haptique et kinesthésique. Celle-ci peut en effet caresser son bijou, pour lui témoigner sa présence et son attention, dans un geste d’intimité ordinaire ou dans le soucis de l’apaiser. Le bijou se manifestant quant à lui par une délicate vibra-tion, plus ou moins harmonieuse selon l’état de son « âme ». Cette relation est discrète, s’installant dans un corps-à-corps intime. Avec les personnes en vis-à-vis, interlocutrices de celle qui porte le bijou, celui-ci installe une relation sur le plan visuel. Lui-même « voit » ces personnes par le biais de son capteur, et il s’exprime par les variations des expressions de La Joconde. Avec tous les autres, enfin, il utilise le réseau Internet et le maillage des autres bijoux ou Apps. Son comportement est en effet affecté par ce que vivent toutes les autres Living Joconde et donc, de fait, avec ce que manifestent les personnes qui sont en prise avec elles. 10 Bijou or 11 Microélectronique et micro-mécatronique Bijou casual 12 Bijou casual 13 Living Art Base théorique Le terme de living art s’applique à des œuvres numériques dotées de comportements autonomes animés par l’intelligence artificielle, capables d’entretenir une relation sensible avec leur spectateur. Le comportement de l’œuvre de living art active le comportement du spectateur au travers de la relation qu’elle établit avec lui. C’est ainsi que le comportement du spectateur, dans le contexte proposé par l’œuvre, manifeste alors les enjeux de discours de l’auteur. Nous pouvons considérer que toute œuvre d’art a le potentiel d’agir, pour une partie, sur le comportement de son spectateur. Mais dans le cas d’une œuvre de living art, il s’agit de son principal vecteur de communication. Dans la mesure où le comportement d’une telle œuvre peut évoluer en permanence et en temps réel, en connaissance des évolutions du comportement du spectateur, il lui est possible de faire évoluer son énonciation pour que les enjeux de discours se manifestent pour lui de la manière la plus opportune à chaque instant. Trois Moteurs L’œuvre de living art est concrètement et fonctionnellement structurée dans un ensemble de trois « moteurs » : les moteurs d’expression, de comportement, de perception. Ces trois moteurs agissent à la fois indépendamment et en relation les uns avec les autres, de façon à produire une expression intégrée de l’œuvre. Le moteur de perception Le moteur de perception gère tous les organes de captation du dispositif, pour en collecter, analyser et interpréter les données. Les capteurs mis en œuvres délivrent ainsi leurs données brutes, qui peuvent être utilisées directement, mais qui font principalement l’objet d’une interprétation symbolique. Le moteur de comportement Le moteur de comportement est le siège principal du comportement de l’œuvre. Il intègre toutes les règles de décision qui vont prescrire qu’une énonciation ou une autre soit réalisée par le moteur d’expression. L’œuvre de living art agit ainsi non pas principalement ou littéralement en fonction des actions de ses spectateurs, mais selon ses propres déterminants, tels que l’auteur les aura diligentés. Ce sont ces mécanismes de décision qui confèrent à l’œuvre de living art une capacité de prise d’initiative. 14 Le moteur d’expression Le moteur d’expression réunit toutes les expressions concrètes de l’œuvre, qu’il s’agisse d’images fixes ou animées, de sons, de machinerie, de texte, etc. Il réalise l’énonciation, associant des éléments qui peuvent être préparés à l’avance ou générés en temps réel, ou encore mixant les deux modes. Le moteur d’expression gère la mise en œuvre de ces formes d’expression, ainsi que les règles d’énonciation qui leur sont attachées. Un fonctionnement en coopération Les trois moteurs ont une capacité de fonctionnement indépendant les uns des autres. Ils peuvent ainsi conjoncturellement déterminer seuls l’énonciation de l’œuvre. Mais ils sont principalement engagés dans un dialogue arbitré par le moteur de comportement. L’essentiel de l’énonciation de l’œuvre se fait par ses décisions spontanées. Et elle tient compte « à sa manière » de ce qu’elle perçoit du spectateur ou de l’environnement. La cohérence globale de l’œuvre est donc la résultante d’une harmonisation de l’ensemble de ces mécanismes et de leurs résonnances les uns dans les autres. La complexité du fonctionnement de ce type de dispositif lui apporte une grande plasticité comportementale. Il peut ainsi atteindre un niveau de subtilité qui lui permet d’être un interlocuteur crédible pour une relation sensible avec le spectateur. 15 Les partenaires Florent Aziosmanoff – Auteur Florent Aziosmanoff est auteur, producteur et théoricien dans le champ de l’art numérique utilisant l’intelligence artificielle, qu’il nomme living art. Cofondateur d’ART3000 (1988) et du Cube (2001), il est aujourd’hui Président fondateur du Living Art Lab, qui poursuite une activité d’élaboration théorique dans le champ du living art. Commissaire spécialisé dans l’art numérique, il a créé et dirigé de nombreuses exposi-tions et conférences internationales sur le thème de l’art numérique. Il expérimente l’application du principe du living art dans différents domaines, que sont l’espace urbain, la fiction, et plus récemment la joaillerie. Il est auteur de fictions dans le champ du living art : «Le Petit Chaperon Rouge» (2002), «Le jardin des amours» (2011), systèmes utilisant des robots autonomes ; «Le temps de l’amour», living fiction. Il est auteur des livres : « Living art, l’art numérique » – Editions du CNRS, Paris, 2010 « Living art, fondations » - Editions du CNRS, Paris, mai 2015. Il portera le développement commercial de la Living Joconde. L’IIM est la première école française de l’Internet et du Multimédia créée en 1995. Elle compte 850 anciens et regroupe près de 1000 étudiants répartis dans les axes : Web & eBusiness, Communication Digitale, Communication Visuelle, Design Interactif, Jeu Vidéo, Cinéma d’Animation. Elle possède 3 titres enregistrés au RNCP : « Chef de projet Multimédia – Niveau 2 », « Manager de la communication numérique – Niveau 1 » et « Réalisateur Numérique – Niveau 1 ». Ces formations sont accessibles par voie classique, en alternance ou en formation continue par VAE (Valorisation des Acquis de l’Expérience). www.iim.fr 16 Strate Ecole de design est née en 1993 de la vision de son fondateur, Jean-René Talopp : le design sera le levier stratégique du développement durable des sociétés humaines, les réussites seront collectives, et les modes de fonctionnement collégiaux. Strate s’est imposée comme une des 60 meilleures écoles de design au monde classement Business Week et la première école privée française. Elle est passée de 18 étudiants à 560, a mis en place 3 cursus, et s’est installée en 2010 à Sèvres, dans un tout nouveau campus de 3000 m2, conçu pour elle, et taillé pour ses ambitions. Celles-ci sont à la fois grandes et simples : contribuer à la formation d’humanistes professionnels passionnés par l’humain, attentifs aux besoins, aux désirs et aux rêves de leurs contemporains et de leur descendance. Chercher, innover, concevoir, donner forme aux idées : autant d’enjeux liés à ce siècle, autant de métiers pour les relever, autant de cursus à Strate pour s’y préparer. L’esprit Mathon c’est avant tout un attachement sincère à la création. Cette veine artistique est indissociable de la vision de la joaillerie. Au quotidien, l’histoire qui s’écrit est celle d’une créativité nourrie d’inspirations colorées et de valeurs authentiques. Tandis que les maîtres joailliers façonnent les pièces et affinent les formes, les sertisseurs exercent leur œil et enchâssent les pierres dans le métal précieux. Plus loin, les polisseuses travaillent à lui rendre son lustre originel. Hommes et femmes cultivent un savoir-faire ancestral qu’ils exercent avec une dextérité hors norme. La transmission de ces valeurs est portée par chacun ; un engagement collectif reconnu par l’Etat français au travers du Label « Entreprise du Patrimoine Vivant », attribué à MATHON PARIS. Sincèrement impliqué dans le maintien d’une fabrication française de haute qualité, MATHON PARIS appose sur ses bijoux le poinçon « Joaillerie de France », par lequel l’Etat garan-tit l’origine du produit et l’excellence de son exécution. MATHON PARIS témoigne de ses valeurs éthiques et de son engagement pour le respect de l’individu avec son adhésion au « Responsible Jewellery Council ». La maison promeut ainsi des pratiques sociales et environnementales responsables, tout au long du processus de fabrication. C’est l’histoire d’une entreprise à taille humaine, dont les créations sont aujourd’hui appréciées à travers le monde. 17 La 6ème édition du festival Futur en Seine se déroulera du 11 au 21 juin 2015. Elle présentera au cœur de Paris et dans toute l’Île-de-France les dernières innovations numériques françaises et internationales aux professionnels ainsi qu’au grand public. Futur en Seine est organisé par Cap Digital, pôle de compétitivité de la transformation numérique. http://www.futur-en-seine.fr/fens2014/ Créé en 2006, Cap Digital est le pôle de compétitivité et de transformation numérique. Il regroupe 800 adhérents : 670 PME, 50 ETI/GE/EPIC, 70 écoles, laboratoires de recherche et universités en relation directe avec les entreprises notamment au travers de plusieurs centaines de projets collaboratifs. http://www.capdigital.com/ Le prototype de la Living Joconde est financé par la Région Ile de France http://www.iledefrance.fr/ 18 L’équipe SAS Florent Aziosmanoff Auteur : Florent Aziosmanoff, [email protected] / tel : 06 62 77 11 19 Chargée de de production, de communication et relation de presse : Marie Thibord [email protected] / tel : 06 15 09 06 49 Stagiaires Communication : Emmanuelle de Fonds, Jeanne Aziosmanoff IIM Directeur de projet : Jean-Claude Heudin Directeur de production de et conseiller artistique : Florent Aziosmanoff Responsable administratif : Marie Bernard Développement de l’intelligence artificielle : Jean-Claude Heudin Direction artistique Infographie 3D : Marc Bellan Encadrement de la communication visuelle : Emmanuel Perotti Stagiaires Communication : Emmanuelle de Fonds, Jeanne Aziosmanoff Infographie 3D lead artiste : Fabrice Houlné Développement App : Arnaud Palin de Saint Agathe Algoriste : Xavier Gouchet Développement et intégration d’Unity : Frederic Rolland Porché / Equilibre Games Etudiants pour le site Internet : Guillaume Beuzelin et Charles Barbier Etudiants en intégration 3D : Lisa Berthet et Valérian Telli Etudiants pour l’App : Victor Boileau et Antoine de Foucaud et d’Aure Etudiants en charge de l’événementiel : Delphine Idiart, Paul Lechevin, Victor Rouanet et Jonas Lévy Etudiants en développement d’Unity: Théo Maudet et Antoine Poujaud Relation de presse : Solenn Morgon, [email protected] / tel 01 41 16 71 36 Strate Directeur Strate : Dominique Sciamma Design : Damien Legois Sculpture : Alice Elsner Prototypiste : Richard Soares Microélectronique : Claire Eliot / Electronic Lover Programmeur : Manu Deneu Relation de presse : Sébastien Kuntz [email protected] / tel 06 52 33 84 15 Equipe Mathon / Directrice : Aude Mathon Directeur de production : Jean Baptiste Donnet Designer joaillerie, responsable création : Fréderic Mané Relation presse : Solène 19