Selección de artículos de actualidad de la prensa

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Selección de artículos de actualidad de la prensa
Revue de presse :
La Colombie dans les médias français
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131129.AFP3693/colombie-les-farc-admettent-avoir-recu
http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131129.AFP3693/colombie
recu-un-impot-descultivateurs-de-coca.html
http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/colombie-les-farc-admettent-avoir-recu-un-impot-des
http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/colombie
des-cultivateurs-decoca_1303971.html
http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Colombie
croix.com/Actualite/Monde/Colombie-les-Farc-admettent-avoir-recu-un-impot-des
des-cultivateurs-de-coca2013-11-29-1068613
http://www.fait-religieux.com/monde/ameriques/2013/11/29/colombie
religieux.com/monde/ameriques/2013/11/29/colombie-les-farc-encadrent-la-messe
messe
http://www.express.be/joker/fr/platdujour/voici
http://www.express.be/joker/fr/platdujour/voici-les-50-villes-les-plus-dangereuses-du-monde/199169.htm
monde/199169.htm
http://www.midilibre.fr/2013/11/29/football
tp://www.midilibre.fr/2013/11/29/football-l-ex-montpellierain-carlos-valderrama-candidat-au-senat
senat-encolombie,790260.php
http://www.dhnet.be/sports/football/carlos
http://www.dhnet.be/sports/football/carlos-valderrama-candidat-au-senat-en-colombie-5298c0763570386f7f37ab26
5298c0763570386f7f37ab26
http://french.peopledaily.com.cn/International/8470213.html
ACTUALITÉ > MONDE > COLOMBIE: LES FARC ADMETTENT AVOIR REÇU UN "IMPÔT" DES CULTIVATEURS DE COCA
Colombie: les Farc admettent avoir reçu un "impôt" des
cultivateurs de coca
Publié le 29-11-2013 à 17h35 - Mis à jour à 17h40
La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des cultivateurs de coca et rejeté les accusations de "narco-guérilla" ou
de "narco-terrorisme" portées contre elle. (c) Afp
La Havane (AFP) - La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des cultivateurs de coca
et rejeté les accusations de "narco-guérilla" ou de "narco-terrorisme" portées contre elle.
"Nous nous sommes vus obligés d'établir un régime de contribution fiscale et de régulation des transactions auprès des
cultivateurs, en prenant en compte leur droits et en les protégeant des abus des intermédiaires et des trafiquants de
drogue", affirme un communiqué de la guérilla.
Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement colombien discutent depuis jeudi à La
Havane des moyens de mettre un terme au trafic de drogue en Colombie, dans le cadre des négociations menées
depuis un an à Cuba pour conclure un accord de paix.
"Nous désirons un pays sans cocaïne, mais nous sommes conscients que cela dépend surtout des règles imposées au
niveau mondial par tous les pays qui, d'une manière ou d'une autre, sont impliqués", affirme le communiqué de la
guérilla lu à la presse par le chef de la délégation des Farc, Ivan Marquez.
"Au lieu de s'attaquer directement aux causes structurelles de la culture de la coca, le gouvernement colombien s'est
totalement aligné sur la stratégie impérialiste des Etats-Unis de +guerre à la drogue+", a ajouté Ivan Marquez.
La guérilla a rejeté les accusations de "narco-guérilla" et de "narco-terrorisme" portées contre elle en affirmant qu'elles
avaient "pour origine la nécessité de la droite de trouver un nouvel ennemi après la disparition du bloc soviétique" au
début des années 90.
"L'invention du nouvel ennemi s'est accompagnée dans notre pays d'opérations idéologiques de production linguistique
dirigées contre la guérilla révolutionnaire et orchestrées par les grands conglomérats : d'abord on a parlé de +narcoguérilla+, puis quand s'est affirmé le discours terroriste, est apparu le terme de +narco-terrorisme+", selon les Farc.
Monde
LA HAVANE
Colombie: les Farc admettent avoir reçu un "impôt" des
cultivateurs de coca
Par AFP, publié le 29/11/2013 à 17:30, mis à jour à 17:30
La Havane - La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des
cultivateurs de coca et rejeté les accusations de "narco-guérilla" ou de "narco-terrorisme"
portées contre elle.
Le gouvernement colombien et les Farc ont conclu mercredi un accord sur la participation politique de la guérilla après un éventuel
accord de paix général, a annoncé un diplomate cubain à La Havane où se déroulent les négociations de paix entre les deux parties.
afp.com/Luis Robayo
"Nous nous sommes vus obligés d'établir un régime de contribution fiscale et de régulation des transactions auprès des
cultivateurs, en prenant en compte leur droits et en les protégeant des abus des intermédiaires et des trafiquants de
drogue", affirme un communiqué de la guérilla.
Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement colombien discutent depuis jeudi à La
Havane des moyens de mettre un terme au trafic de drogue en Colombie, dans le cadre des négociations menées
depuis un an à Cuba pour conclure un accord de paix.
"Nous désirons un pays sans cocaïne, mais nous sommes conscients que cela dépend surtout des règles imposées au
niveau mondial par tous les pays qui, d'une manière ou d'une autre, sont impliqués", affirme le communiqué de la
guérilla lu à la presse par le chef de la délégation des Farc, Ivan Marquez.
"Au lieu de s'attaquer directement aux causes structurelles de la culture de la coca, le gouvernement colombien s'est
totalement aligné sur la stratégie impérialiste des Etats-Unis de +guerre à la drogue+", a ajouté Ivan Marquez.
La guérilla a rejeté les accusations de "narco-guérilla" et de "narco-terrorisme" portées contre elle en affirmant qu'elles
avaient "pour origine la nécessité de la droite de trouver un nouvel ennemi après la disparition du bloc soviétique" au
début des années 90.
"L'invention du nouvel ennemi s'est accompagnée dans notre pays d'opérations idéologiques de production linguistique
dirigées contre la guérilla révolutionnaire et orchestrées par les grands conglomérats : d'abord on a parlé de +narcoguérilla+, puis quand s'est affirmé le discours terroriste, est apparu le terme de +narco-terrorisme+", selon les Farc.
Par
Colombie: les Farc admettent avoir reçu un "impôt" des
cultivateurs de coca
29/11/13 - Mis à jour le 29/11/13 - 18 H 00
La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des cultivateurs de coca et rejeté les
accusations de "narco-guérilla" ou de "narco-terrorisme" portées contre elle.
"Nous nous sommes vus obligés d'établir un régime de contribution fiscale et de régulation des transactions auprès des
cultivateurs, en prenant en compte leur droits et en les protégeant des abus des intermédiaires et des trafiquants de
drogue", affirme un communiqué de la guérilla.
Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement colombien discutent depuis jeudi à La
Havane des moyens de mettre un terme au trafic de drogue en Colombie, dans le cadre des négociations menées
depuis un an à Cuba pour conclure un accord de paix.
"Nous désirons un pays sans cocaïne, mais nous sommes conscients que cela dépend surtout des règles imposées au
niveau mondial par tous les pays qui, d'une manière ou d'une autre, sont impliqués", affirme le communiqué de la
guérilla lu à la presse par le chef de la délégation des Farc, Ivan Marquez.
"Au lieu de s'attaquer directement aux causes structurelles de la culture de la coca, le gouvernement colombien s'est
totalement aligné sur la stratégie impérialiste des Etats-Unis de +guerre à la drogue+", a ajouté Ivan Marquez.
La guérilla a rejeté les accusations de "narco-guérilla" et de "narco-terrorisme" portées contre elle en affirmant qu'elles
avaient "pour origine la nécessité de la droite de trouver un nouvel ennemi après la disparition du bloc soviétique" au
début des années 90.
"L'invention du nouvel ennemi s'est accompagnée dans notre pays d'opérations idéologiques de production linguistique
dirigées contre la guérilla révolutionnaire et orchestrées par les grands conglomérats : d'abord on a parlé de +narcoguérilla+, puis quand s'est affirmé le discours terroriste, est apparu le terme de +narco-terrorisme+", selon les Farc.
AFP
Monde / Amériques
Colombie : les FARC encadrent la messe
La rédaction | le 29.11.2013 à 14:18
Après avoir interdit la célébration de la messe dans les zones de Puerto Guzman et Puerto Asis, tout près de
la frontière avec l'Equateur, les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) sont finalement
revenues sur leurs décisions. Suite aux protestations de l'archevêque de Mocoa, le chef-lieu du département
de Putumayo, au su-ouest du pays, les rebelles ont finalement accepté d'autoriser les eucharisties le
dimanche uniquement.
L'interdiction valait au départ pour toute la semaine, et seules les paroisses des chefs-lieux de district en
étaient exemptées.« Nous en sommes à présent à l'étape du dialogue avec les groupes armés, a déclaré le
prélat sur la radio Noticia Caracol, ce qui nous a permis de recommencer à célébrer l'eucharistie dans les
zones urbaines, mais nous ne pouvons pas nous rendre dans les campagnes et les églises restent fermées
tout au long de la semaine ».
« Manuel du vivre-ensemble » sous les FARC
Fin octobre, le journal El Colombiano, basé à Medellin, publiait dans ses colonnes un document que le Front
32, affilié aux FARC, a fait circuler parmi la population civile du département de Putumayo. Présenté
comme un « manuel de vivre-ensemble pour le bon fonctionnement de la communauté », dont la nonobservance peut attirer quelques problèmes aux habitants, il compile quelque 46 points, dont deux - les
points numéro 40 et 41 - sont spécifiquement dirigés contre la pratique religieuse : les seuls lieux de culte
admis sont ceux qui se trouvent. Les autres règles varient dans leur contenu, de la plus étrange - quiconque
souhaite acquérir une moto, une voiture ou un animal de compagnie doit en faire la demande aux FARC - à
celles clairement menaçantes - quiconque a un enfant dans la police doit faire ses valises et s'en aller.
aller
En février dernier, Rafael Salazar, cardinal et président de la Conférence des évêques de Colombie,
Colo
a rejeté
une « invitation » des FARC à participer aux négociations de paix en cours depuis l'an dernier à la Havane
avec le gouvernement du président colombien Juan Manuel Santos. Dans une lettre ouverte, le chef des
rebelles, Ivan Marquez avait déclaré
aré apprécier
apprécie « le prêche continu des prêtres colombiens depuis leur
chaire » pour mettre fin à un conflit vieux de presque cinquante ans. Il en profitait pour demander à la
hiérarchie catholique de se joindre aux pourparlers de paix.
paix
Mais dès le lendemain, le chef des évêques colombiens déclarait n'avoir appris l'existence d'une invitation de
la part des FARC qu'en lisant la presse. « En tant qu'église, et je le répéterai encore et encore, nous sommes
toujours disposés à faire tout ce qui est à notre portée pour aider la paix à s'implanter », a-t-il déclaré.
Cependant, a-t-il ajouté, « j'ai dit clairement que nous n'avions aucun rôle à jouer à la table des
négociations à La Havane, il est donc parfaitement clair que nous n'avons rien à aller y faire ».
Un mois plus tôt, les rebelles des FARC avaient annoncé mettre fin à leur cessez-le-feu
cessez
feu unilatéral qu'ils
avaient décrété pour deux mois en novembre afin de faciliter les pourparlers de paix. En cause, selon eux, le
refus des autorités colombiennes
lombiennes de respecter elles aussi la trêve.
trêve
Colombie: les Farc nient tout projet d'attentat contre
Uribe
Les commandants des Farc Jésus Santrich (g), Ivan Marquez (c) et Pablo Catatumbo lors d'une conférence de presse à La Havane, le 6
novembre 2013
A la veille de la reprise des négociations de paix avec le gouvernement colombien, la guérilla des Farc a de nouveau
rejeté les accusations de projet d'attentat contre l'ex-président Uribe, qui visent, selon elle, à faire échouer les
pourparlers de la Havane.
Dans un communiqué publié mercredi soir sur leur site internet, le bloc Sud des Forces armées révolutionnaires de
Colombie (Farc, marxistes) a répondu à "la soudaine cascade de calomnies dont l'objectif est de provoquer la rupture
des négociations à La Havane".
Le texte fait référence aux déclarations de Bogota qui a annoncé le 12 novembre avoir découvert un projet d'attentat de
la guérilla contre l'ancien président Alvaro Uribe et le procureur général de Colombie, Eduardo Montealagre.
L'annonce de ces projet d'attentats avait suscité une vive émotion dans le pays, et l'ancien vice-président Humberto de
la Calle, chef de la délégation gouvernementale pour les pourparlers de Cuba, avait même averti qu'un attentat de cette
nature pourrait "détruire" le processus de paix.
L'ex-président colombien Alvaro Uribe, le 22 octobre 2013 à Guadalajara, au Mexique
Hôpitaux de Paris: Mireille Faugère déplore son éviction "politique""Il n'est pas vrai que la colonne Teófilo Forero est en
train de préparer un attentat contre l'ex-président Uribe. Le soit-disant attentat, par la même colonne, contre M. le
procureur, est encore moins vrai", a affirmé le communiqué.
Ce texte a été publié la veille de la reprise des négociations de paix entre le gouvernement colombien et la guérilla des
Farc à La Havane.
Dans leur communiqué, les Farc ont également appelé "tous ceux qui veulent la paix" à "resserrer les rangs" contre
"ceux qui, chaque fois que le pays s'approche d'un réglement politique du conflit social et armé, font feu" sur "la
possibilité d'une solution pacifique".
Ouvertes depuis un an à Cuba, pays garant du processus, les négociations entre représentants du gouvernement
colombien et de la rébellion marxiste ont abouti à des accords sur la nécessité d'une réforme rurale puis, tout
récemment, sur la participation de la guérilla à la vie politique, une fois la paix restaurée.
le chef de la délégation du gouvernement aux négociations de paix avec les Farc, l'ex-vice-président colombien Humberto de la Calle (c), le 6
novembre 2013 à La Havane
A partir de jeudi, les négociateurs aborderont le thème sensible des drogues.
Il y a dix jours, le chef de la délégation des Farc à Cuba, Ivan Marquez, avait déjà démenti les accusations de
projet d'attentat, et assuré avoir reçu ces informations "avec surprise".
Le président colombien Juan Manuel Santos lui même avait déclaré qu'il s'agissait d'un projet "ancien".
Avec environ 8.000 combattants selon les autorités, les Farc sont la plus ancienne guérilla du continent, en
activité depuis plus d'un demi-siècle.
Voici les 50 villes les plus dangereuses du monde
28
ov. 2013 par Mylène Vandecasteele
1 des 50 villes les plus dangereuses du monde se situent en Amérique du Sud. C’est ce qui ressort duclassement annuel de
l'organisation indépendante mexicaine Consejo para la Seguridad Pública Ciudadano y la Justicia pénal.
Le classement présente le nombre de meurtres pour 100.000 habitants.
Pour la deuxième année consécutive, San Pedro Sula (Honduras) est la ville la plus dangereuse du monde avec 169 meurtres
pour 100.000 habitants.
La station balnéaire mexicaine d'Acapulco se classe seconde (143 meurtres pour 100.000 habitants en 2012), devant la
capitale vénézuélienne Caracas (119 meurtres par 100 000).
Les villes suivantes ont disparu du top 50 en 2012: Durango, Mazatlán, Tepic et Veracruz (toutes les quatre au Mexique),
Mossoul (Irak), Panama (Panama) et Johannesburg (Afrique du Sud).
Les nouveaux entrants dans le classement pour 2012 sont Valencia et Maracaibo (Venezuela), Santa Marta (Colombie), Portau-Prince (Haïti), Victoria (Mexique), Oakland (États-Unis) et Brasilia (Brésil).
En comparaison, dans la période 2007-2009 3,09 homicides pour 100 000 habitants ont été commis à Bruxelles chaque année,
selon les chiffres d'Eurostat. Bruxelles se classe cinquième en Europe, après la capitale lituanienne Vilnius (7,90), la capitale
estonienne Tallinn (6,03), la ville de Luxembourg (4,24) et Amsterdam (3,65).
Dans le reste de la Belgique, la moyenne est de 1,87 homicide pour 100 000 habitants par an.
Nombre de
Nombre
meurtres (2012) d'habitants
Nombre
de
meutres
pour
100.000
habitants
Ville
Pays
1
San Pedro Sula
Honduras
1,218
719,447
169.30
2
Acapulco
Mexique
1,170
818,853
142.88
3
Caracas
Venezuela
3,862
3,247,971
118.89
4
Distrito Central
Honduras
1,149
1,126,534
101.99
5
Torreón
Mexique
1,087
1,147,647
94.72
6
Maceió
Brésil
7
Cali
Colombie
8
Nuevo Laredo
9
801
932,748
85.88
1,819
2,294,653
79.27
Mexique
288
395,315
72.85
Barquisimeto
Venezuela
804
1,120,718
71.74
10
João Pessoa
Brésil
518
723,515
71.59
11
Manaus
Brésil
945
1,342,846
70.37
12
Guatemala
Guatemala
2,063
3,062,519
67.36
13
Fortaleza
Brésil
1,628
2,452,185
66.39
14
Salvador (y RMS)
Brésil
2,391
3,642,682
65.64
15
Culiacán
Mexique
549
884,601
62.06
16
Vitoria
Brésil
1,018
1,685,384
60.40
17
New Orleans
Etats-Unis
193
343,829
56.13
18
Cuernavaca
Mexique
359
640,188
56.08
19
Juárez
Mexique
749
1,339,648
55.91
20
Ciudad Guayana
Venezuela
578
1,050,283
55.03
21
Detroit
Etats-Unis
386
706,585
54.63
22
Cúcuta
Colombie
346
637,302
54.29
23
São Luís
Brésil
509
1,014,837
50.16
24
Medellín
Colombie
1,175
2,393,011
49.10
25
Kingston
Jamaïque
568
1,171,686
48.48
26
Belém
Brésil
1,033
2,141,618
48.23
27
Kaapstad
Afrique du Sud
1,722
3,740,026
46.04
28
Cuiabá
Brésil
380
839,130
45.28
29
Santa Marta
Colombie
209
461,810
45.26
30
Recife
Brésil
1,656
3,717,640
44.54
31
Valencia
Venezuela
977
2,227,165
43.87
32
Chihuahua
Mexique
367
843,844
43.49
33
San Juan
Puerto Rico
185
427,789
43.25
34
Goiânia
Brésil
547
1,302,001
42.01
35
Port au Prince
Haití
495
1,234,414
40.10
36
Victoria
Mexique
126
333,517
37.78
37
Pereira
Colombie
167
462,230
36.13
38
Nelson Mandela Bay
Afrique du Sud
415
1,152,115
36.02
39
Maracaibo
Venezuela
784
2,212,040
35.44
40
ST. Louis
Etats-Unis
113
319,294
35.39
41
Baltimore
Etats-Unis
217
619,493
35.03
42
Curitiba
Brésil
597
1,751,907
34.08
43
Oakland
Etats-Unis
131
395,817
33.10
44
San Salvador
Salvador
744
2,290,790
32.48
45
Macapá
Brésil
160
499,116
32.06
46
Durban
Afrique du Sud
1,065
3,442,361
30.94
47
Monterrey
Mexique
1,305
4,230,716
30.85
48
Belo Horizonte
Brésil
1,452
4,882,977
29.74
49
Brasilia
Brésil
764
2,570,160
29.73
50
Barranquilla
Colombie
349
1,186,640
29.41
Football : l'ex Montpelliérain Carlos Valderrama candidat au
Sénat en Colombie
Midilibre.fr
29/11/2013, 17 h 00 | Mis à jour le 29/11/2013, 17 h 19
Carlos Valderrama est engagé dans de nombreuses campagnes caritatives dans son pays. (AFP/LUIS ACOSTA)
Du terrain à l'hémicycle ? L'ancienne légende du football colombien, Carlos Valderrama, qui a fait les beaux
jours de Montpellier entre 1988 et 1991, a annoncé jeudi qu'il serait candidat au Sénat aux élections de mars
prochain pour le parti présidentiel.
Son investiture a été célébrée jeudi soir lors d'une réunion politique en présence du chef de l'État Juan
Manuel Santos, dirigeant de centre droit de 52 ans, qui briguera lui-même
lui même un nouveau mandat de quatre ans
lors de la présidentielle en mai.
"Je vais jouer
jouer la meilleure partie de ma vie
"Après avoir joué tant de matches pour la sélection colombienne, je vais jouer la meilleure partie de ma vie",
a lancé Carlos Valderrama, célèbre dans le monde entier pour ses passes au millimètre comme pour son
abondante crinière blonde.
Vainqueur de la Coupe de France avec Montpellier en 1990
L'ancien milieu de terrain, capitaine de sa sélection lors des Coupes du monde en 1990, 1994 et 1998, a
disputé 77 matches (pour quatre buts) avec Montpellier entre 1988 et 1991 et remporté avec le MHSC la
Coupe de France en 1990.
Jeudi, il a rendu un hommage vibrant au président Santos, dont le gouvernement a ouvert il y a un an des
négociations de paix avec la guérilla des Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie). "Que tous
to les
Colombiens nous soutiennent : le parti et le président, pour la paix. (...) La Colombie a besoin de lui", a clamé
Valderrama, affectueusement surnommé "El Pibe" (le gamin).
Adulé en Colombie
Adulé en Colombie, où il a créé des écoles de football pour
pour la jeunesse, Valderrama, souvent sollicité pour
des publicités, participe aussi régulièrement à des campagnes caritatives. En septembre dernier, il n'avait pas
hésité à se teindre les cheveux en rose pour une campagne contre le cancer du sein.
Carlos Valderrama candidat au Sénat en Colombie
AFP Publié le vendredi 29 novembre 2013 à 17h27 - Mis à jour le vendredi 29 novembre 2013 à 17h29
FOOTBALL
L'ancienne vedette de football s'est reconvertie dans la politique.
L'ancienne légende du football colombien, Carlos Valderrama (52 ans), a annoncé qu'il serait candidat au Sénat aux élections
de mars prochain pour le parti présidentiel, "la U".
Son investiture a été célébrée jeudi soir lors d'une réunion politique en présence du chef de l'État Juan Manuel Santos (52 ans),
dirigeant de centre droit, qui briguera un nouveau mandat de quatre ans lors de la présidentielle en mai.
"Après avoir joué tant de matches pour la sélection colombienne, je vais jouer la meilleure partie de ma vie", a lancé
Valderrama, célèbre dans le monde entier pour ses passes au millimètre comme pour son abondante crinière blonde.
L'ancien milieu de terrain, qui fut le capitaine de la sélection nationale aux Mondiaux de foot d'Italie en 1990, des États-Unis en
1994 et de France en 1998, a rendu un hommage vibrant au président Santos, dont le gouvernement a ouvert il y a un an des
négociations de paix avec la guérilla des Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie).
"Que tous les Colombiens nous soutiennent: le parti et le président, pour la paix. (...) La Colombie a besoin de lui", a clamé
Valderrama, affectueusement surnommé El Pibe (le gamin).
Adulé en Colombie, où il a créé des écoles de football, l'ex-joueur de Montpellier, souvent sollicité pour des publicités, participe
aussi régulièrement à des campagnes caritatives. En septembre dernier, il n'a pas hésité à se teindre les cheveux en rose pour
une campagne contre le cancer du sein.
Le Pérou et la Colombie partageront leurs représentations
diplomatiques à l'étranger
( Xinhua )
29.11.2013 à 10h18
Le Pérou et la Colombie ont convenu de partager les installations et les infrastructures de leurs ambassades et
consulats dans trois pays, a annoncé mercredi dans un communiqué le ministère péruvien des Affaires étrangères.
Le projet a été concrétisé par un accord bilatéral signé lors de la 20e Réunion du groupe de haut niveau de l'Alliance du
Pacifique (AP), qui se tient du 25 au 29 novembre à Santiago, capitale chilienne, indique le communiqué.
La démarche facilitera la présence des deux pays dans le monde, leur permettant d'accorder plus d'attention à leurs
expatriés dans différentes parties du monde, a affirmé le ministère.
Il s'agit du premier accord de ce genre entre les deux pays dans le cadre de l'AP, un mécanisme en faveur de
l'intégration économique et commerciale mis en place le 6 juin 2012 qui regroupe le Chili, la Colombie, le Mexique et le
Pérou.
Dans le cadre de l'accord, le Pérou sera représenté au Ghana à l'ambassade de la Colombie au Ghana, alors que la
Colombie sera autorisée à utiliser l'ambassade du Pérou au Vietnam.