Selección de artículos de actualidad de la prensa
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Revue de presse : La Colombie dans les médias français http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131129.AFP3693/colombie-les-farc-admettent-avoir-recu http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131129.AFP3693/colombie recu-un-impot-descultivateurs-de-coca.html http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/colombie-les-farc-admettent-avoir-recu-un-impot-des http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/colombie des-cultivateurs-decoca_1303971.html http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Colombie croix.com/Actualite/Monde/Colombie-les-Farc-admettent-avoir-recu-un-impot-des des-cultivateurs-de-coca2013-11-29-1068613 http://www.fait-religieux.com/monde/ameriques/2013/11/29/colombie religieux.com/monde/ameriques/2013/11/29/colombie-les-farc-encadrent-la-messe messe http://www.express.be/joker/fr/platdujour/voici http://www.express.be/joker/fr/platdujour/voici-les-50-villes-les-plus-dangereuses-du-monde/199169.htm monde/199169.htm http://www.midilibre.fr/2013/11/29/football tp://www.midilibre.fr/2013/11/29/football-l-ex-montpellierain-carlos-valderrama-candidat-au-senat senat-encolombie,790260.php http://www.dhnet.be/sports/football/carlos http://www.dhnet.be/sports/football/carlos-valderrama-candidat-au-senat-en-colombie-5298c0763570386f7f37ab26 5298c0763570386f7f37ab26 http://french.peopledaily.com.cn/International/8470213.html ACTUALITÉ > MONDE > COLOMBIE: LES FARC ADMETTENT AVOIR REÇU UN "IMPÔT" DES CULTIVATEURS DE COCA Colombie: les Farc admettent avoir reçu un "impôt" des cultivateurs de coca Publié le 29-11-2013 à 17h35 - Mis à jour à 17h40 La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des cultivateurs de coca et rejeté les accusations de "narco-guérilla" ou de "narco-terrorisme" portées contre elle. (c) Afp La Havane (AFP) - La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des cultivateurs de coca et rejeté les accusations de "narco-guérilla" ou de "narco-terrorisme" portées contre elle. "Nous nous sommes vus obligés d'établir un régime de contribution fiscale et de régulation des transactions auprès des cultivateurs, en prenant en compte leur droits et en les protégeant des abus des intermédiaires et des trafiquants de drogue", affirme un communiqué de la guérilla. Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement colombien discutent depuis jeudi à La Havane des moyens de mettre un terme au trafic de drogue en Colombie, dans le cadre des négociations menées depuis un an à Cuba pour conclure un accord de paix. "Nous désirons un pays sans cocaïne, mais nous sommes conscients que cela dépend surtout des règles imposées au niveau mondial par tous les pays qui, d'une manière ou d'une autre, sont impliqués", affirme le communiqué de la guérilla lu à la presse par le chef de la délégation des Farc, Ivan Marquez. "Au lieu de s'attaquer directement aux causes structurelles de la culture de la coca, le gouvernement colombien s'est totalement aligné sur la stratégie impérialiste des Etats-Unis de +guerre à la drogue+", a ajouté Ivan Marquez. La guérilla a rejeté les accusations de "narco-guérilla" et de "narco-terrorisme" portées contre elle en affirmant qu'elles avaient "pour origine la nécessité de la droite de trouver un nouvel ennemi après la disparition du bloc soviétique" au début des années 90. "L'invention du nouvel ennemi s'est accompagnée dans notre pays d'opérations idéologiques de production linguistique dirigées contre la guérilla révolutionnaire et orchestrées par les grands conglomérats : d'abord on a parlé de +narcoguérilla+, puis quand s'est affirmé le discours terroriste, est apparu le terme de +narco-terrorisme+", selon les Farc. Monde LA HAVANE Colombie: les Farc admettent avoir reçu un "impôt" des cultivateurs de coca Par AFP, publié le 29/11/2013 à 17:30, mis à jour à 17:30 La Havane - La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des cultivateurs de coca et rejeté les accusations de "narco-guérilla" ou de "narco-terrorisme" portées contre elle. Le gouvernement colombien et les Farc ont conclu mercredi un accord sur la participation politique de la guérilla après un éventuel accord de paix général, a annoncé un diplomate cubain à La Havane où se déroulent les négociations de paix entre les deux parties. afp.com/Luis Robayo "Nous nous sommes vus obligés d'établir un régime de contribution fiscale et de régulation des transactions auprès des cultivateurs, en prenant en compte leur droits et en les protégeant des abus des intermédiaires et des trafiquants de drogue", affirme un communiqué de la guérilla. Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement colombien discutent depuis jeudi à La Havane des moyens de mettre un terme au trafic de drogue en Colombie, dans le cadre des négociations menées depuis un an à Cuba pour conclure un accord de paix. "Nous désirons un pays sans cocaïne, mais nous sommes conscients que cela dépend surtout des règles imposées au niveau mondial par tous les pays qui, d'une manière ou d'une autre, sont impliqués", affirme le communiqué de la guérilla lu à la presse par le chef de la délégation des Farc, Ivan Marquez. "Au lieu de s'attaquer directement aux causes structurelles de la culture de la coca, le gouvernement colombien s'est totalement aligné sur la stratégie impérialiste des Etats-Unis de +guerre à la drogue+", a ajouté Ivan Marquez. La guérilla a rejeté les accusations de "narco-guérilla" et de "narco-terrorisme" portées contre elle en affirmant qu'elles avaient "pour origine la nécessité de la droite de trouver un nouvel ennemi après la disparition du bloc soviétique" au début des années 90. "L'invention du nouvel ennemi s'est accompagnée dans notre pays d'opérations idéologiques de production linguistique dirigées contre la guérilla révolutionnaire et orchestrées par les grands conglomérats : d'abord on a parlé de +narcoguérilla+, puis quand s'est affirmé le discours terroriste, est apparu le terme de +narco-terrorisme+", selon les Farc. Par Colombie: les Farc admettent avoir reçu un "impôt" des cultivateurs de coca 29/11/13 - Mis à jour le 29/11/13 - 18 H 00 La guérilla colombienne des Farc a admis vendredi avoir perçu un "impôt" des cultivateurs de coca et rejeté les accusations de "narco-guérilla" ou de "narco-terrorisme" portées contre elle. "Nous nous sommes vus obligés d'établir un régime de contribution fiscale et de régulation des transactions auprès des cultivateurs, en prenant en compte leur droits et en les protégeant des abus des intermédiaires et des trafiquants de drogue", affirme un communiqué de la guérilla. Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) et le gouvernement colombien discutent depuis jeudi à La Havane des moyens de mettre un terme au trafic de drogue en Colombie, dans le cadre des négociations menées depuis un an à Cuba pour conclure un accord de paix. "Nous désirons un pays sans cocaïne, mais nous sommes conscients que cela dépend surtout des règles imposées au niveau mondial par tous les pays qui, d'une manière ou d'une autre, sont impliqués", affirme le communiqué de la guérilla lu à la presse par le chef de la délégation des Farc, Ivan Marquez. "Au lieu de s'attaquer directement aux causes structurelles de la culture de la coca, le gouvernement colombien s'est totalement aligné sur la stratégie impérialiste des Etats-Unis de +guerre à la drogue+", a ajouté Ivan Marquez. La guérilla a rejeté les accusations de "narco-guérilla" et de "narco-terrorisme" portées contre elle en affirmant qu'elles avaient "pour origine la nécessité de la droite de trouver un nouvel ennemi après la disparition du bloc soviétique" au début des années 90. "L'invention du nouvel ennemi s'est accompagnée dans notre pays d'opérations idéologiques de production linguistique dirigées contre la guérilla révolutionnaire et orchestrées par les grands conglomérats : d'abord on a parlé de +narcoguérilla+, puis quand s'est affirmé le discours terroriste, est apparu le terme de +narco-terrorisme+", selon les Farc. AFP Monde / Amériques Colombie : les FARC encadrent la messe La rédaction | le 29.11.2013 à 14:18 Après avoir interdit la célébration de la messe dans les zones de Puerto Guzman et Puerto Asis, tout près de la frontière avec l'Equateur, les Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) sont finalement revenues sur leurs décisions. Suite aux protestations de l'archevêque de Mocoa, le chef-lieu du département de Putumayo, au su-ouest du pays, les rebelles ont finalement accepté d'autoriser les eucharisties le dimanche uniquement. L'interdiction valait au départ pour toute la semaine, et seules les paroisses des chefs-lieux de district en étaient exemptées.« Nous en sommes à présent à l'étape du dialogue avec les groupes armés, a déclaré le prélat sur la radio Noticia Caracol, ce qui nous a permis de recommencer à célébrer l'eucharistie dans les zones urbaines, mais nous ne pouvons pas nous rendre dans les campagnes et les églises restent fermées tout au long de la semaine ». « Manuel du vivre-ensemble » sous les FARC Fin octobre, le journal El Colombiano, basé à Medellin, publiait dans ses colonnes un document que le Front 32, affilié aux FARC, a fait circuler parmi la population civile du département de Putumayo. Présenté comme un « manuel de vivre-ensemble pour le bon fonctionnement de la communauté », dont la nonobservance peut attirer quelques problèmes aux habitants, il compile quelque 46 points, dont deux - les points numéro 40 et 41 - sont spécifiquement dirigés contre la pratique religieuse : les seuls lieux de culte admis sont ceux qui se trouvent. Les autres règles varient dans leur contenu, de la plus étrange - quiconque souhaite acquérir une moto, une voiture ou un animal de compagnie doit en faire la demande aux FARC - à celles clairement menaçantes - quiconque a un enfant dans la police doit faire ses valises et s'en aller. aller En février dernier, Rafael Salazar, cardinal et président de la Conférence des évêques de Colombie, Colo a rejeté une « invitation » des FARC à participer aux négociations de paix en cours depuis l'an dernier à la Havane avec le gouvernement du président colombien Juan Manuel Santos. Dans une lettre ouverte, le chef des rebelles, Ivan Marquez avait déclaré aré apprécier apprécie « le prêche continu des prêtres colombiens depuis leur chaire » pour mettre fin à un conflit vieux de presque cinquante ans. Il en profitait pour demander à la hiérarchie catholique de se joindre aux pourparlers de paix. paix Mais dès le lendemain, le chef des évêques colombiens déclarait n'avoir appris l'existence d'une invitation de la part des FARC qu'en lisant la presse. « En tant qu'église, et je le répéterai encore et encore, nous sommes toujours disposés à faire tout ce qui est à notre portée pour aider la paix à s'implanter », a-t-il déclaré. Cependant, a-t-il ajouté, « j'ai dit clairement que nous n'avions aucun rôle à jouer à la table des négociations à La Havane, il est donc parfaitement clair que nous n'avons rien à aller y faire ». Un mois plus tôt, les rebelles des FARC avaient annoncé mettre fin à leur cessez-le-feu cessez feu unilatéral qu'ils avaient décrété pour deux mois en novembre afin de faciliter les pourparlers de paix. En cause, selon eux, le refus des autorités colombiennes lombiennes de respecter elles aussi la trêve. trêve Colombie: les Farc nient tout projet d'attentat contre Uribe Les commandants des Farc Jésus Santrich (g), Ivan Marquez (c) et Pablo Catatumbo lors d'une conférence de presse à La Havane, le 6 novembre 2013 A la veille de la reprise des négociations de paix avec le gouvernement colombien, la guérilla des Farc a de nouveau rejeté les accusations de projet d'attentat contre l'ex-président Uribe, qui visent, selon elle, à faire échouer les pourparlers de la Havane. Dans un communiqué publié mercredi soir sur leur site internet, le bloc Sud des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc, marxistes) a répondu à "la soudaine cascade de calomnies dont l'objectif est de provoquer la rupture des négociations à La Havane". Le texte fait référence aux déclarations de Bogota qui a annoncé le 12 novembre avoir découvert un projet d'attentat de la guérilla contre l'ancien président Alvaro Uribe et le procureur général de Colombie, Eduardo Montealagre. L'annonce de ces projet d'attentats avait suscité une vive émotion dans le pays, et l'ancien vice-président Humberto de la Calle, chef de la délégation gouvernementale pour les pourparlers de Cuba, avait même averti qu'un attentat de cette nature pourrait "détruire" le processus de paix. L'ex-président colombien Alvaro Uribe, le 22 octobre 2013 à Guadalajara, au Mexique Hôpitaux de Paris: Mireille Faugère déplore son éviction "politique""Il n'est pas vrai que la colonne Teófilo Forero est en train de préparer un attentat contre l'ex-président Uribe. Le soit-disant attentat, par la même colonne, contre M. le procureur, est encore moins vrai", a affirmé le communiqué. Ce texte a été publié la veille de la reprise des négociations de paix entre le gouvernement colombien et la guérilla des Farc à La Havane. Dans leur communiqué, les Farc ont également appelé "tous ceux qui veulent la paix" à "resserrer les rangs" contre "ceux qui, chaque fois que le pays s'approche d'un réglement politique du conflit social et armé, font feu" sur "la possibilité d'une solution pacifique". Ouvertes depuis un an à Cuba, pays garant du processus, les négociations entre représentants du gouvernement colombien et de la rébellion marxiste ont abouti à des accords sur la nécessité d'une réforme rurale puis, tout récemment, sur la participation de la guérilla à la vie politique, une fois la paix restaurée. le chef de la délégation du gouvernement aux négociations de paix avec les Farc, l'ex-vice-président colombien Humberto de la Calle (c), le 6 novembre 2013 à La Havane A partir de jeudi, les négociateurs aborderont le thème sensible des drogues. Il y a dix jours, le chef de la délégation des Farc à Cuba, Ivan Marquez, avait déjà démenti les accusations de projet d'attentat, et assuré avoir reçu ces informations "avec surprise". Le président colombien Juan Manuel Santos lui même avait déclaré qu'il s'agissait d'un projet "ancien". Avec environ 8.000 combattants selon les autorités, les Farc sont la plus ancienne guérilla du continent, en activité depuis plus d'un demi-siècle. Voici les 50 villes les plus dangereuses du monde 28 ov. 2013 par Mylène Vandecasteele 1 des 50 villes les plus dangereuses du monde se situent en Amérique du Sud. C’est ce qui ressort duclassement annuel de l'organisation indépendante mexicaine Consejo para la Seguridad Pública Ciudadano y la Justicia pénal. Le classement présente le nombre de meurtres pour 100.000 habitants. Pour la deuxième année consécutive, San Pedro Sula (Honduras) est la ville la plus dangereuse du monde avec 169 meurtres pour 100.000 habitants. La station balnéaire mexicaine d'Acapulco se classe seconde (143 meurtres pour 100.000 habitants en 2012), devant la capitale vénézuélienne Caracas (119 meurtres par 100 000). Les villes suivantes ont disparu du top 50 en 2012: Durango, Mazatlán, Tepic et Veracruz (toutes les quatre au Mexique), Mossoul (Irak), Panama (Panama) et Johannesburg (Afrique du Sud). Les nouveaux entrants dans le classement pour 2012 sont Valencia et Maracaibo (Venezuela), Santa Marta (Colombie), Portau-Prince (Haïti), Victoria (Mexique), Oakland (États-Unis) et Brasilia (Brésil). En comparaison, dans la période 2007-2009 3,09 homicides pour 100 000 habitants ont été commis à Bruxelles chaque année, selon les chiffres d'Eurostat. Bruxelles se classe cinquième en Europe, après la capitale lituanienne Vilnius (7,90), la capitale estonienne Tallinn (6,03), la ville de Luxembourg (4,24) et Amsterdam (3,65). Dans le reste de la Belgique, la moyenne est de 1,87 homicide pour 100 000 habitants par an. Nombre de Nombre meurtres (2012) d'habitants Nombre de meutres pour 100.000 habitants Ville Pays 1 San Pedro Sula Honduras 1,218 719,447 169.30 2 Acapulco Mexique 1,170 818,853 142.88 3 Caracas Venezuela 3,862 3,247,971 118.89 4 Distrito Central Honduras 1,149 1,126,534 101.99 5 Torreón Mexique 1,087 1,147,647 94.72 6 Maceió Brésil 7 Cali Colombie 8 Nuevo Laredo 9 801 932,748 85.88 1,819 2,294,653 79.27 Mexique 288 395,315 72.85 Barquisimeto Venezuela 804 1,120,718 71.74 10 João Pessoa Brésil 518 723,515 71.59 11 Manaus Brésil 945 1,342,846 70.37 12 Guatemala Guatemala 2,063 3,062,519 67.36 13 Fortaleza Brésil 1,628 2,452,185 66.39 14 Salvador (y RMS) Brésil 2,391 3,642,682 65.64 15 Culiacán Mexique 549 884,601 62.06 16 Vitoria Brésil 1,018 1,685,384 60.40 17 New Orleans Etats-Unis 193 343,829 56.13 18 Cuernavaca Mexique 359 640,188 56.08 19 Juárez Mexique 749 1,339,648 55.91 20 Ciudad Guayana Venezuela 578 1,050,283 55.03 21 Detroit Etats-Unis 386 706,585 54.63 22 Cúcuta Colombie 346 637,302 54.29 23 São Luís Brésil 509 1,014,837 50.16 24 Medellín Colombie 1,175 2,393,011 49.10 25 Kingston Jamaïque 568 1,171,686 48.48 26 Belém Brésil 1,033 2,141,618 48.23 27 Kaapstad Afrique du Sud 1,722 3,740,026 46.04 28 Cuiabá Brésil 380 839,130 45.28 29 Santa Marta Colombie 209 461,810 45.26 30 Recife Brésil 1,656 3,717,640 44.54 31 Valencia Venezuela 977 2,227,165 43.87 32 Chihuahua Mexique 367 843,844 43.49 33 San Juan Puerto Rico 185 427,789 43.25 34 Goiânia Brésil 547 1,302,001 42.01 35 Port au Prince Haití 495 1,234,414 40.10 36 Victoria Mexique 126 333,517 37.78 37 Pereira Colombie 167 462,230 36.13 38 Nelson Mandela Bay Afrique du Sud 415 1,152,115 36.02 39 Maracaibo Venezuela 784 2,212,040 35.44 40 ST. Louis Etats-Unis 113 319,294 35.39 41 Baltimore Etats-Unis 217 619,493 35.03 42 Curitiba Brésil 597 1,751,907 34.08 43 Oakland Etats-Unis 131 395,817 33.10 44 San Salvador Salvador 744 2,290,790 32.48 45 Macapá Brésil 160 499,116 32.06 46 Durban Afrique du Sud 1,065 3,442,361 30.94 47 Monterrey Mexique 1,305 4,230,716 30.85 48 Belo Horizonte Brésil 1,452 4,882,977 29.74 49 Brasilia Brésil 764 2,570,160 29.73 50 Barranquilla Colombie 349 1,186,640 29.41 Football : l'ex Montpelliérain Carlos Valderrama candidat au Sénat en Colombie Midilibre.fr 29/11/2013, 17 h 00 | Mis à jour le 29/11/2013, 17 h 19 Carlos Valderrama est engagé dans de nombreuses campagnes caritatives dans son pays. (AFP/LUIS ACOSTA) Du terrain à l'hémicycle ? L'ancienne légende du football colombien, Carlos Valderrama, qui a fait les beaux jours de Montpellier entre 1988 et 1991, a annoncé jeudi qu'il serait candidat au Sénat aux élections de mars prochain pour le parti présidentiel. Son investiture a été célébrée jeudi soir lors d'une réunion politique en présence du chef de l'État Juan Manuel Santos, dirigeant de centre droit de 52 ans, qui briguera lui-même lui même un nouveau mandat de quatre ans lors de la présidentielle en mai. "Je vais jouer jouer la meilleure partie de ma vie "Après avoir joué tant de matches pour la sélection colombienne, je vais jouer la meilleure partie de ma vie", a lancé Carlos Valderrama, célèbre dans le monde entier pour ses passes au millimètre comme pour son abondante crinière blonde. Vainqueur de la Coupe de France avec Montpellier en 1990 L'ancien milieu de terrain, capitaine de sa sélection lors des Coupes du monde en 1990, 1994 et 1998, a disputé 77 matches (pour quatre buts) avec Montpellier entre 1988 et 1991 et remporté avec le MHSC la Coupe de France en 1990. Jeudi, il a rendu un hommage vibrant au président Santos, dont le gouvernement a ouvert il y a un an des négociations de paix avec la guérilla des Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie). "Que tous to les Colombiens nous soutiennent : le parti et le président, pour la paix. (...) La Colombie a besoin de lui", a clamé Valderrama, affectueusement surnommé "El Pibe" (le gamin). Adulé en Colombie Adulé en Colombie, où il a créé des écoles de football pour pour la jeunesse, Valderrama, souvent sollicité pour des publicités, participe aussi régulièrement à des campagnes caritatives. En septembre dernier, il n'avait pas hésité à se teindre les cheveux en rose pour une campagne contre le cancer du sein. Carlos Valderrama candidat au Sénat en Colombie AFP Publié le vendredi 29 novembre 2013 à 17h27 - Mis à jour le vendredi 29 novembre 2013 à 17h29 FOOTBALL L'ancienne vedette de football s'est reconvertie dans la politique. L'ancienne légende du football colombien, Carlos Valderrama (52 ans), a annoncé qu'il serait candidat au Sénat aux élections de mars prochain pour le parti présidentiel, "la U". Son investiture a été célébrée jeudi soir lors d'une réunion politique en présence du chef de l'État Juan Manuel Santos (52 ans), dirigeant de centre droit, qui briguera un nouveau mandat de quatre ans lors de la présidentielle en mai. "Après avoir joué tant de matches pour la sélection colombienne, je vais jouer la meilleure partie de ma vie", a lancé Valderrama, célèbre dans le monde entier pour ses passes au millimètre comme pour son abondante crinière blonde. L'ancien milieu de terrain, qui fut le capitaine de la sélection nationale aux Mondiaux de foot d'Italie en 1990, des États-Unis en 1994 et de France en 1998, a rendu un hommage vibrant au président Santos, dont le gouvernement a ouvert il y a un an des négociations de paix avec la guérilla des Farc (Forces armées révolutionnaires de Colombie). "Que tous les Colombiens nous soutiennent: le parti et le président, pour la paix. (...) La Colombie a besoin de lui", a clamé Valderrama, affectueusement surnommé El Pibe (le gamin). Adulé en Colombie, où il a créé des écoles de football, l'ex-joueur de Montpellier, souvent sollicité pour des publicités, participe aussi régulièrement à des campagnes caritatives. En septembre dernier, il n'a pas hésité à se teindre les cheveux en rose pour une campagne contre le cancer du sein. Le Pérou et la Colombie partageront leurs représentations diplomatiques à l'étranger ( Xinhua ) 29.11.2013 à 10h18 Le Pérou et la Colombie ont convenu de partager les installations et les infrastructures de leurs ambassades et consulats dans trois pays, a annoncé mercredi dans un communiqué le ministère péruvien des Affaires étrangères. Le projet a été concrétisé par un accord bilatéral signé lors de la 20e Réunion du groupe de haut niveau de l'Alliance du Pacifique (AP), qui se tient du 25 au 29 novembre à Santiago, capitale chilienne, indique le communiqué. La démarche facilitera la présence des deux pays dans le monde, leur permettant d'accorder plus d'attention à leurs expatriés dans différentes parties du monde, a affirmé le ministère. Il s'agit du premier accord de ce genre entre les deux pays dans le cadre de l'AP, un mécanisme en faveur de l'intégration économique et commerciale mis en place le 6 juin 2012 qui regroupe le Chili, la Colombie, le Mexique et le Pérou. Dans le cadre de l'accord, le Pérou sera représenté au Ghana à l'ambassade de la Colombie au Ghana, alors que la Colombie sera autorisée à utiliser l'ambassade du Pérou au Vietnam.