directive - Travail sécuritaire NB
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DIRECTIVE 25-002.03 Effective / En vigueur: 08/07/2016 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Release / Diffusion 25 Page 1 of / de 86 TABLE OF CONTENTS TABLE DES MATIÈRES 2.0 Generally Not Approved Care, Treatments and Tests 2.1 Botulinum Toxin for Myofascial Pain, Chronic Pain or Chronic Headaches 2.0 Soins, traitements et examens généralement non approuvés 2.1 Toxine botulinique pour traiter les douleurs myofasciales, les douleurs chroniques ou les céphalées chroniques 2.2 Thérapie crânio-sacrale 2.3 Hydrothérapie / Baignoire de massage à domicile 2.4 Traitement au laser – Faible intensité 2.5 Massothérapie 2.6 Stimulation photonique 2.7 Sclérothérapie ou prolothérapie 2.8 Thérapie par ondes de choc (sauf pour traiter la fasciite plantaire chronique, la tendinite calcifiée de l’épaule, la tendinopathie / tendinose / tendinite du tendon d’Achille, la douleur du grand trochanter et la tendinopathie rotulienne) 2.9 Anxiolytiques, benzodiazépines et sédatifs 2.10 Physiothérapie et modalités physiques pour traiter les troubles de l’articulation temporo-mandibulaire 2.11 Stimulateurs de la moelle épinière / Implants de neurostimulateurs 2.12 Services spécialisés axés sur des injections 2.13 Orthèses plantaires et semelles pour traiter la douleur lombaire 2.14 Thérapie par traction vertébrale 2.15 Orthèses de genou / plantaires pour traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux 2.16 Méthadone pour traiter les douleurs chroniques bénignes / d’origine non cancéreuse 2.17 Ostéopathie dans la phase tardive du continuum des soins dispensée par un fournisseur autonome 2.2 Craniosacral Therapy 2.3 Home Hydrotherapy / Whirlpool 2.4 2.5 2.6 2.7 2.8 Laser Therapy – Low Intensity Massage Therapy Photonic Stimulation Sclerotherapy or Prolotherapy Shock Wave Therapy (except for Chronic Plantar Fasciitis, Calcific Shoulder Tendonitis, Achilles Tendinopathy/Tendinosis/Tendonitis, Greater Trochanteric Pain, Patellar Tendinopathy) 2.9 Anxiolytic, Benzodiazepine, and Sedative Medications 2.10 Physical Therapy and Physical Modalities for TMJ Disorders 2.11 Spinal Cord Stimulators / Neurostimulator Implants 2.12 Specialized Injection-based Services 2.13 Foot Orthotics and Insoles for Back Pain 2.14 Spinal Traction Therapy 2.15 Knee/Foot Orthotics in Patellofemoral Pain Syndrome (PFPS) 2.16 Methadone for treatment of chronic non-malignant / non-cancer pain 2.17 Osteopathy in the Later Part of the Continuum of Care by Stand Alone Provider DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés 2.18 Medication-Induced Dry Mouth (Xerostomia) and Dental Care 2.19 Medical Marijuana 2.20 Platelet Rich (PRP/PRT) Plasma/Therapy Page 2 of / de 86 2.18 Sécheresse de la bouche (xérostomie) induite par les médicaments et soins dentaires 2.19 Marijuana à des fins médicales 2.20 Thérapie par plasma riche en plaquettes (PRP) PURPOSE OBJECTIF The purpose of this directive is to provide direction to staff who deliver, plan or authorize care and treatment for workers. Cette directive a pour objectif d’orienter le personnel chargé de dispenser, de planifier ou d’autoriser des soins et des traitements à l’intention des travailleurs. SCOPE APPLICATION This directive applies to all workers who qualify for compensation benefits, and who are prescribed care and treatment for their compensable injury. Cette directive s’applique à tous les travailleurs qui sont admissibles à des prestations d’indemnisation, et à qui des soins et des traitements ont été prescrits pour leur lésion indemnisable. GLOSSARY GLOSSAIRE Chair massage – brief session, usually acupressure-based, done in a special chair, in which the client faces cushions and receives massage to the scalp, neck, shoulders, arms, back and hips. Efficacité – La capacité de produire un effet. Craniosacral therapy – manipulation or application of pressure to joints of the skull, facial bones and the sacral region of the spine, believed to increase or balance the impulses responsible for the flow of cerebrospinal fluid in the body. Effleurage – Un léger frôlement utilisé dans le massage. Efficacy – the power to produce an effect. Endorphines – Les substances chimiques, produites dans le cerveau, qui agissent comme des opiacés et qui produisent une analgésie en liant les sites récepteurs opiacés qui interviennent dans la perception de la douleur. Effleurage – smooth gliding strokes used in massage. Intégration structurale (« rolfing ») – La manipulation ou le massage des tissus profonds des muscles et des tissus conjonctifs pour réaligner et équilibrer la structure corporelle. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 3 of / de 86 Endorphins – chemical substances, produced in the brain, that act as opiates and produce analgesia by binding to opiate receptor sites involved in pain perception. Libération myofasciale – Une technique d’étirement qui demande une rétroaction du corps du patient pour déterminer la direction, la force et la durée de l’étirement pour faciliter la relaxation maximale des tissus affectés. Lymph – an almost colourless fluid that travels through vessels called lymphatics in the lymphatic system and carries cells that help fight infection and disease. Lymphe – Un liquide presque incolore qui circule dans les vaisseaux lymphatiques du système lymphatique et qui transporte des cellules pouvant aider à combattre les infections et les maladies. Lymphatic system – tissues and organs, including bone marrow, spleen, thymus and lymph nodes that produce and store cells that fight infection and disease. The channels that carry lymph are also part of this system. Massage sportif – Le massage des tissus profonds à des points précis du corps pour stimuler et dégager la tension. Modality – a method of application or the employment of a therapeutic agent, limited usually to physical agents and devices. Massage sur chaise – Une courte séance, faisant habituellement appel à la digitopuncture, effectuée sur une chaise spéciale munie de coussins devant lesquels le client s’assoit pour recevoir un massage du cuir chevelu, du cou, des épaules, des bras, du dos et des hanches. Myofascial release – stretching technique that requires feedback from the patient’s body to determine the direction, force and duration of stretch to facilitate maximum relaxation of restricted tissues. Méthode Rosen – L’utilisation du contact délicat sans manipulation et des mots pour favoriser la conscience physique et émotionnelle en travaillant avec la tension musculaire. Pettrisage – a form of massage where tissue is kneaded like dough. Modalité – Une méthode d’application ou d’emploi d’un agent thérapeutique qui se limite habituellement aux appareils et aux agents physiques. Reflexology – a system of massage in which the feet and hands are massaged for the purpose of attempting to favourably influence other body functions. Pétrissage – Une forme de massage où les tissus sont pétris comme de la pâte. Rolfing (Rolf Therapy) – the manipulation or deep tissue massage of the body’s connective tissue and muscles in order to realign and balance the body’s structure. Réflexologie – Une technique utilisant le massage des pieds et des mains pour tenter d’influencer favorablement d’autres fonctions corporelles. Rosen method – uses sensitive, non- Shiatsu – Une méthode de massage DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 4 of / de 86 manipulative touch and words to encourage physical and emotional awareness through working with muscular tension. japonais utilisée dans le traitement de maladies, qui incorpore la digitopuncture, soit la compression des vaisseaux sanguins à l’aide d’aiguilles insérées dans les tissus voisins. Shiatsu – Japanese massage method used in treatment of disease, which incorporates acupressure, the compression of blood vessels by means of needles in surrounding tissues. Système lymphatique – Les tissus et les organes, y compris la moelle osseuse, la rate, le thymus et les ganglions lymphatiques, qui produisent et emmagasinent des cellules pouvant combattre les infections et les maladies. Les vaisseaux qui transportent la lymphe font également partie de ce système. Sports massage – deep tissue massage to specific points of the body to stimulate and unlock tension. Tapotement – L’utilisation percussion dans le massage. Tapotement – the use of percussion in massage. Thérapie crânio-sacrale – La manipulation ou l’application d’une pression sur les articulations du crâne, le massif facial et la région sacro-iliaque de la colonne vertébrale qui augmenterait ou équilibrerait les impulsions permettant la circulation du liquide céphalorachidien dans le corps. Trigger point – any place on the body that when stimulated causes sudden pain in a specific area. Travail sécuritaire NB – La Commission de la santé, de la sécurité et de l’indemnisation des accidents au travail ou la « Commission », telle qu’elle est définie dans la Loi sur la Commission de la santé, de la sécurité et de l’indemnisation des accidents au travail et le Tribunal d’appel des accidents au travail. WorkSafeNB – means the Workplace Health, Safety and Compensation Commission or "the Commission" as defined by the Workplace Health, Safety and Compensation Commission and Workers’ Compensation Appeals Tribunal Act. Zone gâchette – Toute partie du corps qui, lorsqu’elle est stimulée, cause une douleur soudaine dans une région précise. DIRECTIVE STATEMENTS ÉNONCÉS DE LA DIRECTIVE 1.0 General 1.0 Généralités The Workers’ Compensation Act gives La Loi sur les accidents du travail donne à de la DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 5 of / de 86 WorkSafeNB the responsibility to determine all questions as to the necessity, character and sufficiency of any medical aid furnished or to be furnished. Policy 25-001 - Medical Aid Principles establishes that WorkSafeNB pays for effective care. Effective care is care that restores the worker to all possible functional activities as soon as possible after the injury or onset of industrial disease. Travail sécuritaire NB la responsabilité de régler toutes les questions relatives à la nécessité, la nature et la suffisance de toute aide médicale fournie ou à fournir. La Politique 25-001, intitulée Aide médicale – Principes, établit que Travail sécuritaire NB paie des soins efficaces. Des soins efficaces sont des soins qui rétablissent toutes les fonctions possibles du travailleur dans les meilleurs délais après l’accident ou l’apparition de la maladie professionnelle. The principles also establish that: WorkSafeNB provides authority to its Chief Medical Officer to establish standards for care and treatment; and Les principes établissent également que : Travail sécuritaire NB confère à son médecin-chef l’autorité d’établir des normes relatives aux soins et au traitement; Travail sécuritaire NB exige une preuve scientifique de l’efficacité de nouveaux traitements et examens qui ne sont pas normalisés ou qui ne sont pas généralement reconnus. WorkSafeNB requires scientific evidence of effectiveness of new, non-standard or not generally approved treatment and tests. Categorization of care depends on whether the care, treatment or test is considered to be practice that is traditionally approved or new, non-standard or generally not approved. In the absence of research demonstrating that the benefit to a worker outweighs the risk of harmful consequences, care, treatments and tests are categorized as not approved. Alternative and complementary care, treatments and tests are currently categorized as non-standard and generally lack proper studies demonstrating efficacy. Les soins, les traitements et les examens sont classés selon qu’ils sont considérés comme une pratique traditionnellement reconnue, une nouvelle pratique, une pratique qui n’est pas normalisée ou une pratique généralement non reconnue. En l’absence de recherche démontrant que les bienfaits d’une pratique l’emportent sur les risques de conséquences néfastes, les soins, les traitements et les examens sont classés comme non approuvés. Les soins, traitements et examens complémentaires sont actuellement classés comme des pratiques qui ne sont pas normalisées et, en général, les preuves attestant de leur efficacité sont insuffisantes. WorkSafeNB generally does not approve treatments and tests that are of questionable benefit, except under specific circumstances, as recommended by the Medical Advisor, and approved by the Regional Director. For more information, see Policy 25-014 – Medical Aid Decisions. En général, Travail sécuritaire NB n’approuve pas les traitements et les examens dont les bienfaits sont douteux, sauf ceux où les circonstances sont exceptionnelles, notamment s’ils sont recommandés par le médecin-conseil et approuvés par le directeur de région. Pour obtenir de plus amples renseignements, voir la Politique 25-014 – Décisions relatives à l’aide médicale. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 6 of / de 86 Requests to pay for new, non-standard or not generally approved care, treatment or tests that are not addressed in the schedules are forwarded to the Medical Advisor or Chief Medical Officer for evaluation and categorization as outlined in Policy 25-014 - Medical Aid Decisions. Les demandes de paiement de nouveaux soins, traitements ou examens qui ne sont pas normalisés, qui ne sont pas généralement reconnus et qui ne figurent pas dans les barèmes des frais doivent être transmises au médecin-conseil ou au médecin-chef afin qu’il les évalue et les classe conformément à la Politique 25-014 – Décisions relatives à l’aide médicale. 2.0 Generally Not Approved Care, Treatments and Tests 2.0 Soins, traitements et examens généralement non approuvés Care and treatment in this category are of unknown or questionable effectiveness. Recommendations will generally distinguish between authorization prior to the onset of the chronic injury phase, and subsequent to the onset of the chronic injury phase. Recommendations may also distinguish between early and late chronic injury phase. L’efficacité des soins et des traitements qui entrent dans cette catégorie n’est pas connue ou est douteuse. En général, les recommandations feront la distinction entre une autorisation avant le commencement de la phase de blessure chronique et après le commencement de la phase de blessure chronique. Les recommandations peuvent également faire une distinction entre la phase de blessure chronique précoce et tardive. 2.1 Botulinum Toxin for Myofascial Pain, Chronic Pain or Chronic Headaches 2.1 Toxine botulinique pour traiter les douleurs myofasciales, les douleurs chroniques ou les céphalées chroniques What is it? Botulinum toxin is a protein substance that is injected directly into muscle tissue. It is believed to relieve muscular contractions by blocking the transfer of acetylcholine thereby alleviating muscle spasm due to too much neural activity. The botulinum neurotoxin can provide relief from 6 weeks to months, although needs to be re-administered regularly. Long term affects to date are not known at this time. C’est quoi? La toxine botulinique est une substance protéinique qui est directement injectée dans les tissus musculaires. On croit qu’elle soulage les contractions musculaires en bloquant le transfert de l’acétylcholine et en atténuant ainsi le spasme musculaire causé par une trop grande activité neuronale. La neurotoxine botulique peut offrir un soulagement pendant une période variant de six semaines à plusieurs mois, bien qu’elle doive être réadministrée à intervalles réguliers. À ce jour, les effets à long terme ne sont pas encore connus. Recommendations Since: • the literature suggests that botulinum Recommandations Étant donné : • que la documentation suggère que la DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés toxin therapy may be beneficial in the treatment of very chronic low back and myofascial pain; • • treatment is passive; and the process of referring for this treatment would interfere with timely active Continuum of Care approach to managing injuries in the subacute and early chronic injury phase, WorkSafeNB: • does not approve authorization of payment prior to the late chronic phase; but • may be used adjunct in a pain management program in the later stages of the chronic phase of an injury in which work conditioning, work hardening and/or work recovery has failed. Authorization of Payment Authorization of payment is contingent upon: Page 7 of / de 86 toxine botulinique pourrait être favorable dans le traitement de douleurs lombaires et de douleurs myofasciales très chroniques; • qu’il s’agit d’un traitement passif; • que le processus d’orientation des patients entraverait la démarche active et opportune du continuum des soins dans les phases de blessure subaiguë et chronique précoce; Travail sécuritaire NB : • n’approuve pas ce traitement pour autorisation de paiement avant la phase chronique tardive, mais • ce traitement peut être utilisé comme thérapie complémentaire à un programme de traitement de la douleur plus tard dans la phase chronique d’une blessure pour laquelle le conditionnement au travail, le réentraînement au travail ou le rétablissement a échoué. Approval by a medical advisor; Worker is in an approved pain management program; Use of the functional restoration approach to evaluate an initial trial of therapy; and Authorization of subsequent injections based on functional response to prior injection. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à: l’approbation d’un médecin-conseil; • ce que le travailleur soit inscrit à un programme de traitement de la douleur; • l’utilisation de la démarche de rétablissement des fonctions afin d’évaluer un essai initial de la thérapie; • l’autorisation des injections subséquentes selon la réaction fonctionnelle à l’injection antérieure. References Porta, Mauro. “A comparative trial of botulinum toxin type A and methylprednisone for the treatment of myofascial pain syndrome and pain from chronic muscle spasm”, Pain, 2000; 85(1-2): 101-105. Randomized trial in 40 patients with chronic myofascial pain using either botulinum toxin A with 0.5% bupivicaine or methylprednisone with 0.5% bupivicaine. Both groups received PT after the injections. Pain scores after 30 days post showed greater pain reduction in the botulinum group. At 60 days, the effect was even Références PORTA, Mauro. « A comparative trial of botulinum toxin type A and methylprednisone for the treatment of myofascial pain syndrome and pain from chronic muscle spasm ». Pain, 2000; 85(1-2) : pages 101 à 105. Essai aléatoire auquel ont participé 40 patients atteints de douleur myofasciale chronique utilisant des injections de toxine botulinique A avec 0,5 % de bupivicaïne ou de méthylprednisone avec 0,5 % de bupivicaïne. Les deux groupes ont reçu une prolothérapie après les injections. Après 30 jours, la réduction de la douleur • • • • DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 8 of / de 86 greater as the methylprednisone wore off. était plus importante dans le groupe auquel la toxine botulinique avait été administrée. Après 60 jours, l’effet était encore plus important au fur et à mesure que les effets de la méthylprednisone se sont dissipés. Gassner, Holger. “Addition of an anesthetic agent to enhance the predictability of the effects of botulinum toxin type A injections: randomized control study, Mayo Clinic Proceedings, 2000; 75(7): 701-704. Double blind within study on 10 volunteers. Botulinum toxin A reconstituted in lidocaine with epinephrine versus saline and botulinum toxin A. Using forehead muscles, botulinum with lidocaine provided immediate paralysis. Photo and video documentation of results at 5-10 min, 1 week, and 3 months. GASSNER, Holger. « Addition of an anesthetic agent to enhance the predictability of the effects of botulinum toxin type A injections: randomized control study ». Mayo Clinic Proceedings, 2000; 75(7) : pages 701 à 704. Étude à double insu menée auprès de dix volontaires. Comparaison entre la toxine botulinique A reconstituée dans la lidocaïne avec l’épinéphrine et un composé de saline et de toxine botulinique A. Sur les muscles frontaux, la toxine botulinique avec la lidocaïne a produit une paralysie immédiate. Documentation photo et vidéo des résultats après cinq et dix minutes, une semaine et trois mois. Foster, L., L Clapp, M Erickson, B Jabbari. “Botulinum toxin A and chronic low back pain” Neurology, May 22, 2001; Vol. 56. No 10. A randomized, double-blind study involving 31 patients who met the inclusion criteria. 15 received 5 injections of 40 units of botulinum along 5 lumbar paravertebral levels on the maximum side of discomfort. 16 received saline. The visual analogue scale and the Oswestry Low Back Pain Questionnaire were used. At 3 weeks, 11/15 patients who received the botulinum had >50% pain relief vs. 4/16 in the saline group. At 8 weeks, 9/15 in the botulinum group had relief while 2/16 in the saline had relief. FOSTER, L., L. Clapp, M. Erickson et B. Jabbari. « Botulinum toxin A and chronic low back pain ». Neurology, 22 mai 2001. Vol. 56. No 10. Étude aléatoire, à double insu, menée auprès de 31 patients qui répondaient aux critères d’admissibilité. Un total de 15 patients ont reçu 5 injections de 40 unités de toxine botulinique le long de 5 niveaux paravertébraux lombaires sur le côté du malaise maximal. Un total de 16 patients ont reçu des injections salines. L’échelle visuelle analogue et le questionnaire sur les douleurs lombaires d’Oswestry ont été utilisés. Après 3 semaines, 11 patients sur 15 qui avaient reçu des injections de toxine botulinique ont indiqué un soulagement de la douleur de plus de 50 %, comparativement à 4 patients sur 16 dans le groupe des injections salines. Après 8 semaines, 9 patients sur 15 du groupe des injections de toxine botulinique ont indiqué un soulagement, comparativement à 2 patients sur 16 dans le groupe des injections salines. Graboski, C. L., Gray, D. S., & Burnham, R. GRABOSKI, C. L., D. S. Gray et DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 9 of / de 86 S. (2005). Botulinum toxin A versus bupivacaine trigger point injections for the treatment of myofascial pain syndrome: a randomised double blind crossover study. Pain, 118(1-2), 170-175. doi: 10.1016/j.pain.2005.08.012 There was no significant difference found between the two agents for pain relief, function, or satisfaction. Bupivacaine was found to be more cost effective. R. S. Burnham (2005). « Botulinum toxin A versus bupivacaine trigger point injections for the treatment of myofascial pain syndrome: a randomised double blind crossover study ». Pain, 118(1-2), pages 170 à 175. DOI : 10.1016/j.pain.2005.08.01. Aucune différence importante n’a été remarquée entre les deux agents quant au soulagement de la douleur, aux fonctions et à la satisfaction. La bupivacaïne était plus efficace par rapport au coût. Ferrante, F. M., Bearn, L., Rothrock, R., & King, L. (2005). Evidence against trigger point injection technique for the treatment of cervicothoracic myofascial pain with botulinum toxin type A. Anesthesiology, 103(2), 377-383. Findings: Injection of botulinum toxin type A directly into trigger points did not improve cervicothoracic myofascial pain. FERRANTE, F. M., L. Bearn, R. Rothrock et L. King (2005). « Evidence against trigger point injection technique for the treatment of cervicothoracic myofascial pain with botulinum toxin type A ». Anesthesiology, 103(2), pages 377 à 383. Constatations : L’injection de toxine botulinique de type A directement dans les zones gâchettes n’a pas soulagé la douleur myofasciale cervicothoracique. Ojala, T., Arokoski, J. P., & Partanen, J. (2006). The effect of small doses of botulinum toxin a on neck-shoulder myofascial pain syndrome: a double-blind, randomized, and controlled crossover trial. Clin J Pain, 22(1), 90-96. Findings: there were no differences found between small doses of botulinum toxin A versus saline, in the treatment of myofascial pain. OJALA, T., J. P. Arokoski et J. Partanen (2006). « The effect of small doses of botulinum toxin a on neck-shoulder myofascial pain syndrome: a double-blind, randomized, and controlled crossover trial ». The Clinical Journal of Pain, 22(1), pages 90 à 96. Constatations : Aucune différence n’a été remarquée entre les injections de petites doses de toxine botulinique A et les injections salines pour traiter la douleur myofasciale. Qerama, E., Fuglsang-Frederiksen, A., Kasch, H., Bach, F. W., & Jensen, T. S. (2006). A double-blind, controlled study of botulinum toxin A in chronic myofascial pain. Neurology, 67(2), 241-245. doi: 10.1212/01.wnl.0000224731.06168.df Results did not support an analgesic effect of botulinum toxin A. QERAMA, E., A. Fuglsang-Frederiksen, H. Kasch, F. W. Bach et T. S. Jensen (2006). « A double-blind, controlled study of botulinum toxin A in chronic myofascial pain ». Neurology, 67(2), pages 241 à 245. DOI : 10.1212/01.wnl.0000224731.06168.df. Les résultats n’ont pas appuyé l’effet analgésique de la toxine botulinique A. 2.2 Craniosacral Therapy 2.2 Thérapie crânio-sacrale What is it? Craniosacral therapy is a structured diagnostic process to evaluate the mobility C’est quoi? La thérapie crânio-sacrale est un processus de diagnostic structuré servant DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 10 of / de 86 of the skull and sacrum (craniosacral rhythm), and related osteopathic manipulation techniques to attempt to restore motion to areas of restriction. à évaluer la mobilité du crâne et du sacrum (rythme crânio-sacral). Des techniques de manipulation ostéopathique connexes sont également utilisées afin de rétablir la mobilité au niveau des régions moins flexibles. Recommendations Since: • the literature questions the validity of this treatment; Recommandations Étant donné : • que la documentation scientifique remet en question la validité du traitement; • que la documentation scientifique remet en question la fiabilité des mesures qui constituent la base de ce traitement; • qu’il s’agit d’un traitement passif qui peut être long; Travail sécuritaire NB : • n’approuve pas cette thérapie pour autorisation de paiement avant la phase chronique, mais • peut approuver son utilisation en tant que composante d’un programme de physiothérapie dans les phases tardives de la phase chronique de la blessure lorsque le conditionnement au travail, le réentraînement au travail ou le rétablissement a échoué. • the literature questions the reliability of the measurements that are the foundation of this therapy; and • the treatment is passive and may take some time; WorkSafeNB: • does not approve this therapy for authorization of payment prior to the chronic phase; but • may approve its use as a component of a physical therapy rehabilitation program in the later stages of the chronic phase of an injury in which work conditioning, work hardening and/or work recovery have failed. Authorization of Payment Authorization of payment is contingent upon: • • • Treatment being delivered either by or under the supervision of a physiotherapist; Use of the functional restoration approach to authorization of treatment; and Approval by Regional Director. Assessment and treatment is reimbursed in accordance with the rates for regular physiotherapy treatment set out in the WorkSafeNB-New Brunswick Private Physiotherapy Practitioners (NBPPP) agreement. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à: • la prestation du traitement par un physiothérapeute ou sous sa surveillance; • l’utilisation d’une démarche de rétablissement des fonctions en ce qui concerne l’autorisation du traitement; • l’approbation du directeur de région. L’évaluation et le traitement sont remboursés conformément au tarif établi dans l’entente entre Travail sécuritaire NB et l’Association des propriétaires de cliniques de physiothérapie privées du Nouveau-Brunswick (NBPPP) pour un traitement courant de physiothérapie. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 11 of / de 86 References Green, Carolyn, Craig Martin, Ken Bassett, and Arminée Kazanjian. “A systematic review of craniosacral therapy: biological plausibility, assessment reliability and clinical effectiveness”. BC Office of Health Technology Assessment. 1999 March. Conclusions: This systematic review and critical appraisal found that craniosacral therapy is not supported by scientific evidence. Références GREEN, Carolyn, Craig Martin, Ken Bassett et Arminée Kazanjian. « A systematic review of craniosacral therapy: biological plausibility, assessment reliability and clinical effectiveness ». BC Office of Health Technology Assessment, mars 1999. Conclusions : Cette étude méthodique et critique démontre qu’aucune preuve scientifique ne confirme l’efficacité de la thérapie crânio-sacrale. Green CJ. “Craniosacral therapy: biological plausibility, assessment reliability and clinical effectiveness evidence”. Annu Meet Int Soc Technol Assess Health Care. 15, 1999: 88. Conclusions: The beneficial effects of craniosacral therapy of health outcomes have not been demonstrated using welldesigned research protocols. Inter-observer agreement studies have found that assessment of craniosacral dysfunction by CST practitioners is unreliable; that is, two or more assessors do not agree on CS findings to the extent required of scientific measures. There is little evidence that CST has a valid pathophysiological rationale. GREEN, C. J. « Craniosacral therapy: biological plausibility, assessment reliability and clinical effectiveness evidence ». Annual Meeting International Society Technology Assessment Health Care, 15, 1999 : page 88. Conclusions : Les bienfaits de la thérapie crânio-sacrale sur la santé n’ont pu être démontrés à l’aide de protocoles de recherche perfectionnés. Des études d’entente ont permis de démontrer que l’évaluation de la dysfonction crânio-sacrale effectuée par les praticiens de thérapie crânio-sacrale n’est pas fiable, c’est-à-dire que deux ou plusieurs évaluateurs ne s’entendent pas sur les résultats de la thérapie crâniosacrale selon la portée requise des mesures scientifiques. Il existe très peu de preuves démontrant que la thérapie crânio-sacrale est fondée sur un raisonnement physiopathologique valide. Green C. “A systematic review of craniosacral therapy: biological plausibility, assessment reliability and clinical effectiveness”. Complement Ther Med. 7(4), 1999 Dec: 201-7. Conclusions: This systematic review and critical appraisal found insufficient evidence to support craniosacral therapy. GREEN, C. « A systematic review of craniosacral therapy: biological plausibility, assessment reliability and clinical effectiveness ». Complementary Therapies in Medicine, 7(4), décembre 1999 : pages 201 à 207. Conclusions : Cette étude méthodique et critique démontre que les preuves confirmant l’efficacité de la thérapie crânio-sacrale sont insuffisantes. Hartman, S. E. (2006). Cranial osteopathy: its fate seems clear. Chiropr Osteopat, 14, 10. doi: 10.1186/1746-1340-14-10 Statement made that until studies show a direct and positive effect from craniosacral therapy, this treatment should not be HARTMAN, S. E. (2006). « Cranial osteopathy: its fate seems clear ». Chiropractic & Osteopathy, 14, 10. DOI : 10.1186/1746-1340-14-10. Énoncé précisant que jusqu’à ce que les études démontrent un effet direct et positif DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 12 of / de 86 provided. de la thérapie crânio-sacrale, ce traitement ne devrait pas être offert. 2.3 Home Hydrotherapy / Whirlpool 2.3 Hydrothérapie / Baignoire de massage à domicile What is it? Hydrotherapy involves the use of water and air jets in sequence to different parts of the body. The aim of hydrotherapy is to promote wellness, stimulate blood circulation and relieve pain. It can be used as a modality within physiotherapy. This schedule addresses requests for a home hydrotherapy unit. C’est quoi? L’hydrothérapie consiste en l’utilisation de jets d’eau et d’air en séquence à différentes parties du corps. L’hydrothérapie a pour but de promouvoir le mieux-être, de stimuler la circulation sanguine et de soulager la douleur. Elle peut être utilisée comme une modalité dans le cadre de la physiothérapie. Ce barème porte sur les demandes d’unité d’hydrothérapie à domicile. Recommendations Since: • there is some peer-reviewed literature suggesting that hydrotherapy may be beneficial for a limited time in the treatment of chronic low back; Recommandations Étant donné : • qu’il existe certains documents approuvés par les collègues démontrant des bienfaits possibles de l’hydrothérapie pendant une période limitée dans le traitement de douleurs lombaires chroniques; • qu’il s’agit d’un traitement passif; • que le processus d’orientation des patients entraverait la démarche active et opportune du continuum des soins dans les phases de blessure subaiguë et chronique précoce; une demande pour acheter une unité d’hydrothérapie à domicile : • se limitera au coût d’un accessoire d’une baignoire de massage / d’hydrothérapie à une baignoire existante; • n’est pas approuvée pour autorisation de paiement avant la phase chronique tardive; • peut être utilisée en tant que composante d’un programme de physiothérapie ou de traitement de la douleur dans les phases tardives de la phase chronique de la blessure lorsque le conditionnement au travail, le réentraînement au travail ou le rétablissement a échoué. • • treatment is passive; and the process of referring for this treatment would interfere with timely active Continuum of Care approach to managing injuries in the subacute and early chronic injury phase, a request to purchase a home hydrotherapy unit: • will be limited to covering the cost of a whirlpool/hydrotherapy attachment to an existing bathtub; • is not approved for authorization of payment prior to the late chronic phase; • may be used as a component of a physical therapy rehabilitation or pain management program in the later stages of the chronic phase of an injury in which work conditioning, work hardening and/or work recovery has failed. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 13 of / de 86 Authorization of Payment Authorization of payment is contingent on a recommendation by a medical advisor. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à une recommandation par un médecin-conseil. References Sjogren, T., N Long, I Storay, and J Smith. “Group hydrotherapy versus group land based treatment for chronic LBP”. Physiother Res Int 1997; 2(4): 212-22 60 patients with chronic low back pain were allocated to either land or water treatment groups in order of presentation. Subjects were there own controls for 3 weeks after which they attended their respective group sessions 2 x a week for 6 weeks. Both groups had an increase in functional ability and a decrease in pain but no difference between the two. Références SJOGREN, T., N. Long, I. Storay et J. Smith. « Group hydrotherapy versus group land based treatment for chronic low back pain ». Physiotherapy Researchers International, 1997; 2(4) : pages 212 à 222. Un total de 60 patients atteints de douleurs lombaires chroniques ont été répartis en deux groupes, soit en traitement hydrothérapique ou en traitement sur sol, dans l’ordre de présentation. Les sujets ont procédé de façon individuelle pendant trois semaines, après quoi ils se sont rendus aux séances de leur groupe respectif, deux fois par semaine, pendant six semaines. Les deux groupes ont remarqué une augmentation de la capacité fonctionnelle et une diminution de la douleur, mais aucune différence entre les deux. Constant F., F Guillemin, JF Collin, M Boulange. Use of spa therapy to improve the quality of life of chronic low back pain patients. Med Care 1998; 36(9): 1309-14 Randomized control trial involving 224 patients. 128 in the treatment group who received drug therapy and spa therapy 6 days a week for 3 weeks. 96 in the control group who received drug therapy only. Effectiveness was measured using a quality of life scale, clinical measures, and the Roland and Morris disability questionnaire. At 3 weeks and 3 months, patients in the treatment group showed improvement in the quality of life, anxiety, depression, pain intensity, duration and functional disability. CONSTANT, F., F. Guillemin, J. F. Collin et M. Boulange. « Use of spa therapy to improve the quality of life of chronic low back pain patients ». Medical Care, 1998; 36(9) : pages 1309 à 1314. Essai aléatoire auquel ont participé 224 patients, dont 128 ont été répartis dans un groupe pour recevoir une pharmacothérapie et thérapie de cuve thermale, six jours par semaine, pendant trois semaines, et 96 ont été répartis dans un groupe pour recevoir une pharmacothérapie seulement. L’efficacité a été mesurée à l’aide d’une échelle de la qualité de vie, des moyens cliniques ainsi que du Roland-Morris Disability Questionnaire. Après trois semaines et trois mois, les patients du groupe de traitement ont indiqué une amélioration sur le plan de la qualité de vie, de l’anxiété, de la dépression, de l’intensité de la douleur, de la durée et de l’incapacité fonctionnelle. Sierpina V., P Curtis, J Doering. “ An Integrative Approach to Low Back Pain”. Clinics in Family Practice 2002; Vol 4 No 4. SIERPINA, V., P. Curtis et J. Doering. « An Integrative Approach to Low Back Pain ». Clinics in Family Practice, 2002; DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 14 of / de 86 Cochrane Collaboration Systematic Reviews assessed the “best evidence” for the treatment of acute and chronic back pain. Functional restoration was found to be an effective approach to chronic LBP. As an alternative therapy for low back pain, hydrotherapy was categorized in the “least evidence” as studies are needed to support the use of hydrotherapy in the treatment of chronic LBP. vol. 4, no 4. Cochrane Collaboration. Une étude méthodique selon laquelle les « meilleures preuves » ont été évaluées pour le traitement des douleurs lombaires aiguës et chroniques. Le rétablissement des fonctions s’est révélé une démarche efficace dans le cas de douleurs lombaires chroniques. Comme thérapie complémentaire pour la douleur lombaire, l’hydrothérapie a été classée comme étant celle qui présentait « le moins de preuves », étant donné que des études sont nécessaires pour appuyer l’utilisation de l’hydrothérapie dans le traitement des douleurs lombaires chroniques. 2.4 Laser Therapy – Low Intensity 2.4 Traitement au laser – Faible intensité What is it? Low intensity laser therapy is the use of 250 milliwatts or less monochromatic light emission to treat musculoskeletal injuries, degenerative conditions and wounds. Shortterm effects includes increased production of cortisol and beta-endorphins. Cumulative effects include stimulation of macrophages, fibroblasts and other cells involved in healing process; increased cell replication; increased levels of cytokines and serotonin. C’est quoi? Le traitement au laser à faible intensité utilise 250 milliwatts ou moins d’émissions de lumière monochromatique en vue de traiter les lésions musculo-squelettiques, les conditions dégénératives et les plaies. Les effets à court terme comprennent la production accrue de cortisol et de bétaendorphines. Les effets cumulatifs comprennent la stimulation des macrophages, des fibroblastes et d’autres cellules qui jouent un rôle dans le processus de guérison; la reproduction accrue des cellules; ainsi que les niveaux accrus de cytokines et de sérotonine. Recommendations Since: • a literature search on evidence of this treatment’s efficacy in restoring function identified only articles relating to chronic soft-tissue injuries; Recommandations Étant donné : • que le dépouillement d’ouvrages spécialisés sur l’efficacité du traitement pour rétablir les fonctions n’a donné que des articles portant sur les lésions musculo-squelettiques chroniques; • qu’on a trouvé aucun article qui traite de l’efficacité du traitement pour les fractures; • que les ouvrages portant sur le traitement pour les maladies de la peau n’ont pas démontré l’efficacité du traitement; • no articles on the efficacy of the treatment’s use in fractures; • the literature on the treatment’s use in skin disorders failed to demonstrate efficacy; DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 15 of / de 86 • • treatment is passive; and the process of referring for this treatment would interfere with timely active Continuum of Care approach to managing injuries in the subacute and early chronic injury phase; WorkSafeNB: • Does not approve authorization of payment prior to the late chronic phase; but • May approve payment in the later stages of the chronic phase of a soft-tissue injury in which work conditioning, work hardening and/or work recovery has failed. • qu’il s’agit d’un traitement passif; • que le processus d’orientation des patients entraverait la démarche active et opportune du continuum des soins dans les phases de blessure subaiguë et chronique précoce; Travail sécuritaire NB : • n’approuve pas ce traitement pour autorisation de paiement avant la phase chronique tardive, mais • peut en approuver le paiement dans les stades plus avancés de la phase chronique d’une lésion musculosquelettique pour laquelle le conditionnement au travail, le réentraînement au travail ou le rétablissement a échoué. Authorization of Payment Authorization of payment is contingent upon: Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à: • l’approbation d’un médecin-conseil et d’un directeur de région au préalable; • l’utilisation de la démarche de rétablissement des fonctions afin d’évaluer un essai initial de la thérapie; • la prestation du traitement par un fournisseur approuvé formé pour dispenser des traitements au laser. • • • Prior approval by a medical advisor and regional director; Use of the functional restoration approach to evaluate an initial trial of therapy; and Treatment is delivered by an approved provider with training in the use of laser therapy. Additional information regarding authorization • Treatment is authorized for up to 3 sessions per week. • Initial treatment is limited to a block of up to 5 weeks. If meaningful progress towards the functional goal(s) is (are) being made, then a second block of up to 5 weeks may be authorized. • In a letter to WorkSafeNB dated June 26 2015, the NBCA informed WorkSafeNB that laser therapy is now within the scope of practice of chiropractors. General training would be through the Canadian Memorial Chiropractic College (CMCC) or equivalent education Renseignements supplémentaires concernant l’autorisation de paiement • Le traitement est autorisé jusqu’à concurrence de trois traitements par semaine. • Le traitement initial est limité à une tranche maximale de cinq semaines. Travail sécuritaire NB peut ensuite autoriser une deuxième tranche d’au plus cinq semaines si le travailleur blessé fait des progrès considérables vers l’atteinte de ses buts fonctionnels. • Dans une lettre en date du 26 juin 2015, l’Association des chiropraticiens du Nouveau-Brunswick a avisé Travail sécuritaire NB que le traitement au laser était maintenant à l’intérieur du champ d’activité des chiropraticiens. Le Canadian Memorial Chiropractic DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 16 of / de 86 institution. Training on specific equipment would be through the manufacturer. Chiropractors requesting that payment for laser therapy be covered should submit a copy of both certificates to the Chief Medical Officer. College ou un établissement d’enseignement équivalent offrirait la formation générale. Le fabricant offrirait toute formation liée au traitement. Les chiropraticiens qui demandent que le traitement au laser soit payé devraient présenter une copie des deux certificats au médecin-chef. References • Gur, Al, Karakoc, M., Cevik, R., Nas, K., Sarac, A., and Karakoc, M. “Efficacy of Low Power Laser Therapy and Exercise on Pain and Functions in Chronic Low Back Pain”. Lasers in Surgery and Medicine. 2003: 32: 233-38. Références • GUR, Al, M. Karakoc, R. Cevik, K. Nas, A. Sarac et M. Karacoc. « Efficacy of Low Power Laser Therapy and Exercise on Pain and Functions in Chronic Low Back Pain ». Lasers in Surgery and Medicine, 2003; 32 : pages 233 à 238. Un total de 75 patients atteints de douleur lombaire depuis au moins un an ont été choisis pour recevoir l’un de trois traitements : laser et exercices, laser seulement ou exercices seulement. Les chercheurs se sont servis de l’échelle analogue visuelle et de l’amplitude des mouvements lombaires, ainsi que du Roland Disability Questionnaire et du Modified Oswestry Disability Questionnaire. 75 patients with low back pain for at least one year were assigned to one of three treatments: laser + exercise, laser alone and exercise alone. In addition to the visual analogue pain scale and lumbar range of motion, the researchers used the Roland Disability Questionnaire and Modified Oswestry Disability Questionnaire. These last two outcome measures evaluate function. The researchers indicate that there was no difference in pre-therapy outcome measures across the treatment groups; and no difference in post-therapy outcome measures across the treatment groups. The researchers indicate that while there was a significant improvement in all outcome measures, no treatment group fared statistically better than the others. Les deux dernières mesures des résultats évaluent les fonctions. Les chercheurs indiquent qu’il n’y avait aucune différence relativement aux mesures des résultats avant le traitement chez les groupes ayant reçu le traitement, et aucune différence relativement aux mesures des résultats après le traitement chez les groupes ayant reçu le traitement. Selon les chercheurs, bien qu’il y ait eu une amélioration considérable vis-à-vis de toutes les mesures des résultats, les statistiques n’étaient pas plus favorables chez un groupe que chez les autres. Basford, J. R., Sheffield, C. G., & Cieslak, K. R. (2000). Laser therapy: a randomized, controlled trial of the effects of low intensity Nd:YAG laser irradiation on lateral epicondylitis. Arch Phys Med Rehabil, 81(11), 1504-1510. doi: 10.1053/apmr.2000.17812 BASFORD, J. R., C. G. Sheffield et K. R. Cieslak (2000). « Laser therapy: a randomized, controlled trial of the effects of low intensity Nd:YAG laser irradiation on lateral epicondylitis ». Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, 81(11), pages 1504 à 1510. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 17 of / de 86 Findings: Low intensity laser therapy was found to be a safe but ineffective treatment for lateral epicondylitis. DOI : 10.1053/apmr.2000.17812. Constatations : Il a été déterminé que le traitement au laser à faible intensité est sécuritaire, mais inefficace pour traiter une épicondylite latérale. Basford, J. R., Sheffield, C. G., & Harmsen, W. S. (1999). Laser therapy: a randomized, controlled trial of the effects of low-intensity Nd:YAG laser irradiation on musculoskeletal back pain. Arch Phys Med Rehabil, 80(6), 647-652. Low internsity laser therapy did have a moderate improvement in function and pain for those with low back pain but did not have long term benefits beyond 1 month post treatment. BASFORD, J. R., C. G. Sheffield et W. S. Harmsen (1999). « Laser therapy: a randomized, controlled trial of the effects of low-intensity Nd:YAG laser irradiation on musculoskeletal back pain ». Archives of Physical Medicine and Rehabilitation, 80(6), pages 647 à 652. Les personnes atteintes d’une douleur lombaire ont connu une amélioration modérée au niveau de leurs fonctions et de leur douleur grâce à la thérapie au laser à faible intensité, mais n’ont pas connu de bienfaits à long terme au-delà de un mois après leur traitement. 2.5 Massage Therapy 2.5 Massothérapie What is it? Massage therapy refers to the use of manual techniques to enhance the health and well-being of the worker. A number of research studies show massage therapy reduces heart rate, lowers blood pressure, increases blood circulation and lymph flow, relaxes muscles, improves range of motion and increases the release of endorphins. Massage therapy may include the use of additional therapies. C’est quoi? Il s’agit de l’utilisation de techniques manuelles visant à améliorer la santé et le bien-être du travailleur. Certaines études ont démontré que la massothérapie diminue le rythme cardiaque et la tension artérielle; favorise la circulation sanguine et le flux lymphatique; détend les muscles; et augmente l’amplitude des mouvements et le taux d’endorphines. La massothérapie peut être pratiquée de concert avec des traitements additionnels. Massage therapy encompasses a broad range of techniques: Craniosacral; Deep Tissue; Effleurage; Friction; Myofascial Release; Chair Massage; Petrissage; Reflexology; Rolfing; Rosen Method; Elle englobe une vaste gamme techniques, dont : crânio-sacrale tissu profond effleurage friction libération myofasciale massage sur chaise pétrissage réflexologie intégration structurale (« rolfing ») Méthode Rosen de DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Shiatsu and Acupuncture; Sports Massage; Swedish Massage; Tapotement; and Trigger Point Therapy. Page 18 of / de 86 shiatsu et acupuncture massage sportif massage suédois tapotement zone gâchette There is some recent peer-reviewed literature to suggest that massage therapy can be useful in the treatment of chronic pain in conjunction with other treatment. Certains documents récents approuvés par les collègues suggèrent que la massothérapie peut être utile pour traiter la douleur chronique en combinaison avec d’autres traitements. Recommendation Since: • there is no peer-reviewed literature showing massage therapy to be beneficial as a standalone modality or treatment; • the treatment is passive; and • the process of referring for this treatment would interfere with the timely active Continuum of Care approach to managing injuries in the sub acute and early chronic injury phase; Recommandations Étant donné : • qu’aucun document approuvé par les collègues ne démontre les bienfaits de la massothérapie en tant que modalité ou traitement autonome; • qu’il s’agit d’un traitement passif; • que le processus d’orientation dans le cas de ce traitement entraverait la démarche active et opportune du continuum des soins dans le cas des blessures en phase subaiguë et chronique précoce; Travail sécuritaire NB : • n’approuve pas ce traitement pour autorisation de paiement avant la phase chronique, mais • cette thérapie peut être utilisée en tant que composante d’un programme de physiothérapie dans les phases tardives de la phase de blessure chronique lorsque le conditionnement au travail, le réentraînement au travail ou le rétablissement a échoué. WorkSafeNB: • does not approve massage therapy for authorization of payment prior to the chronic phase; but • may approve therapeutic massage for use as a component of a physical therapy rehabilitation program in the later stages of the chronic phase of an injury in which work conditioning, work hardening and/or work recovery have failed. Authorization of payment Authorization of payment is contingent upon: • • Massage therapy being limited to therapeutic massage of the compensable injury; Treatment being delivered by a physiotherapist, chiropractor, physician, registered nurse, registered licensed practical nurse, or massage therapist licensed by the College of Massage Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à: • la limitation de la massothérapie au massage thérapeutique au niveau de la blessure indemnisable; • la prestation du traitement par un physiothérapeute, un chiropraticien, un médecin, un infirmier praticien immatriculé ou un massothérapeute ayant un permis du Collège des massothérapeutes DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés • • Therapists of New Brunswick; or Treatment being delivered under the supervision of a physiotherapist, chiropractor or physician; and Use of the functional restoration approach to authorization of treatment. Additional information regarding authorization of massage therapy WorkSafeNB reimburses massage therapy provided by a physiotherapist, chiropractor or physician at the rate set out in the agreement with their professional association, or the regular office visit/treatment rate if no special rate is identified. • • Page 19 of / de 86 du Nouveau-Brunswick; ou sous la surveillance d’un physiothérapeute, d’un chiropraticien ou d’un médecin; l’autorisation du traitement selon l’approche visant le rétablissement des fonctions. Renseignements supplémentaires concernant l’autorisation de paiement de la massothérapie Travail sécuritaire NB rembourse les traitements de massothérapie dispensés par un physiothérapeute, un chiropraticien ou un médecin au taux établi dans l’entente avec son association professionnelle respective, ou selon le taux établi pour les traitements ou les visites ordinaires au bureau si aucun taux particulier n’est établi. For registered massage therapists licenced by the College of Massage Therapists of New Brunswick, there is no association with which to negotiate a fee schedule. WorkSafeNB reimburses the provider at a rate that is adjusted each year on October 1 consistent with the annual increase provided under the NB Medical Society contract. October 1, 2015 to September 30, 2016, the rate for massage therapy was $83.89. Dans le cas des massothérapeutes autorisés qui ont un permis du Collège des massothérapeutes du Nouveau-Brunswick, il n’y a aucune association avec laquelle on peut négocier un barème des frais. Travail sécuritaire NB rembourse le fournisseur selon un taux qui est rajusté le 1er octobre de chaque année, conformément à l’augmentation annuelle en vertu du contrat avec la Société médicale du Nouveau-Brunswick. Du 1er octobre 2015 au 30 septembre 2016, le taux qui s’applique à la massothérapie est de 83,89 $. Extra-billing the worker is not allowed. Il n’est pas permis de surfacturer le travailleur. Treatments are authorized in blocks of 5 treatments, 1 per week. Up to 2 additional blocks may be authorized if the worker has made satisfactory progress towards meaningful functional goals in the current block. Les traitements sont autorisés en tranches de cinq, selon un traitement par semaine. Travail sécuritaire NB peut autoriser jusqu’à deux autres tranches de traitements si le travailleur a fait des progrès satisfaisants vers l’atteinte de ses buts fonctionnels au cours de la tranche actuelle. References Furlan AD, L Brosseau, V Welch, J Wong. Références FURLAN, A. D., L. Brosseau, V. Welch et DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 20 of / de 86 “Massage for low back pain”. Cochrane Database Syst Rev, The Cochrane Library, Issue 4, 2001. J. Wong. « Massage for low-back pain ». The Cochrane Database of Systematic Reviews, The Cochrane Library, no 4, 2001. Hernandez-Reif M, T Field, J Krasnegor, H Theakson. “Lower back pain is reduced and range of motion is increased after massage therapy”. International Journal of Neuroscience. 2001; 106(3-4): 131-45 HERNANDEZ-REIF, M., T. Field, J. Krasnegor et H. Theakson. « Lower back pain is reduced and range of motion is increased after massage therapy ». International Journal of Neuroscience, 2001; 106(3-4) : pages 131 à 145. Preyde M. “Effectiveness of massage therapy for sub acute low back pain: a randomized controlled trial”. CMAJ 2000 Jun 27; 162(13): 1815-20. Note: A problem with this study was the definition of “sub acute”: 2 weeks to 8 months. This timeframe actually spans acute, sub acute and chronic. The average interval to initiation of treatment was 12-13 weeks – the beginning of the chronic injury phase for soft tissue injuries. PREYDE, M. « Effectiveness of massage therapy for subacute low back pain: a randomized controlled trial ». JAMC, 27 juin 2000; 162(13) : pages 1815 à 1820. Remarque : La définition de « subaigu » dans cette étude pose un problème : 2 semaines à 8 mois. Ce délai couvre en fait la phase de blessure aiguë, subaiguë et chronique. L’intervalle moyen de début du traitement était de 12 à 13 semaines, c’est-à-dire le début de la phase chronique dans le cas de lésions musculo-squelettiques. Kalauokalani D, DC Cherkin, KJ Sherman, TD Koepsell, RA Deyo. “Lessons from a trial of acupuncture and massage for low back pain: patient expectations and treatment effects. Spine 2001 Jul 1; 26(13):1418-24. KALAUOKALANI, D., D. C. Cherkin, K. J. Sherman, T. D. Koepsell et R. A. Deyo. « Lessons from a trial of acupuncture and massage for low back pain: patient expectations and treatment effects ». Spine, 1er juillet 2001; 26(13) : pages 1418 à 1424. Cherkin, D. C., Sherman, K. J., Kahn, J., Wellman, R., Cook, A. J., Johnson, E., Erro, J., et al. (2011). A comparison of the effects of 2 types of massage and usual care on chronic low back pain: a randomized, controlled trial Annals of internal medicine, 155(1), 1–9. CHERKIN, D. C., K. J. Sherman, J. Kahn, R. Wellman, A. J. Cook, E. Johnson, J. Erro et coll. (2011). « A comparison of the effects of 2 types of massage and usual care on chronic low back pain: a randomized, controlled trial ». Annals of Internal Medicine, 155(1), pages 1 à 9. 2.6 Photonic Stimulation 2.6 Stimulation photonique What is it? Photonic stimulation is promoted as a modality for the treatment of radiculopathy, myofascial pain and complex regional pain (reflex sympathetic dystrophy). The Photonic Stimulator directs a beam of photons to the traumatized area. The C’est quoi? Il s’agit d’une modalité de traitement de la radiculopathie, de la douleur myofasciale et de la douleur régionale complexe (dystrophie sympathique réflexe). Le stimulateur photonique dirige un rayon de photons sur la région atteinte. Le faisceau DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 21 of / de 86 resultant infrared light is hypothesized to facilitate healing by increasing blood flow to the area. de lumière infrarouge résultant permet d’accélérer la guérison en augmentant le débit sanguin au niveau de la région traitée. Recommendations Since: • there is no peer-reviewed literature to evaluate this new modality/treatment; Recommandations Étant donné : • qu’il n’existe aucune documentation approuvée par les collègues qui permette d’évaluer ce nouveau traitement ou cette nouvelle modalité; • qu’il s’agit d’un traitement passif; • que le processus d’orientation dans le cas de ce traitement entraverait la démarche active et opportune du continuum des soins dans le cas des blessures en phase subaiguë et chronique précoce; Travail sécuritaire NB : • n’approuve pas cette thérapie pour autorisation de paiement avant la phase de blessure chronique, mais • cette thérapie peut être utilisée en tant que composante d’un programme de physiothérapie dans les phases tardives de la phase de blessure chronique lorsque le conditionnement au travail, le réentraînement au travail ou le rétablissement a échoué. • • treatment is passive; and the process of referring for this treatment would interfere with timely active Continuum of Care approach to managing injuries in the subacute and early chronic injury phase, WorkSafeNB: • does not approve this therapy for authorization of payment prior to the chronic phase; but • may be used as a component of a physical therapy rehabilitation program in the later stages of the chronic phase of an injury in which work conditioning, work hardening and/or work recovery has failed. Authorization of payment Authorization of payment is contingent upon treatment being delivered either by or under the supervision of a physiotherapist, chiropractor or physician. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à la prestation du traitement par un physiothérapeute, un chiropraticien ou un médecin ou sous la supervision de l’un d’eux. References No peer-reviewed literature was found in a search of MEDLINE Références Aucune documentation approuvée par les collègues n’a été trouvée à la suite d’une recherche dans la base de données MEDLINE. There are case studies demonstrating sustained improvement in pain and activities of daily living. While these case studies might qualify for Level 3 Strength of Evidence, there is insufficient evidence to support the general use of the modality (Level 3 Strength of Recommendation): Des études de cas font état d’une diminution soutenue de la douleur et d’une plus grande facilité à exercer les activités de la vie quotidienne. Bien que ces études de cas remplissent les conditions requises de la valeur de preuve de troisième niveau, les preuves appuyant l’utilisation générale de cette modalité (valeur de la DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 22 of / de 86 recommandation du troisième niveau) sont insuffisantes : Friedman, M.S. “The use of thermography in sympathetically maintained pain”. Iowa Orthopedic Journal. Vol. 14. No date given. pp141-147. FRIEDMAN, M. S. « The use of thermography in sympathetically maintained pain ». Iowa Orthopedic Journal. Vol. 14. Sans date. Pages 141 à 147. Vlasuk, S., “Sympathetic Nervous System Studied at Interprofessional Symposium”. American Chiropractic College of Thermology. May 15-16,1999 VLASUK, S. « Sympathetic Nervous System Studied at Interprofessional Symposium ». American Chiropractic College of Thermology. 15 et 16 mai 1999. Thomas, K.J. Popowich. “Photonic Stimulation, Stopping the Pain With Light”. Case Studies; Myofascial Syndrome, Diabetic Neuropathies, Radiculopathy /Lumbar Disc Protrusions, Complex Regional Pain Syndrome. THOMAS, K. et J. Popowich. « Photonic Stimulation, Stopping the Pain With Light ». Études de cas; douleurs myofasciales, neuropathies diabétiques, radiculopathie / protrusions du disque lombaire, dystrophie sympathique réflexe. 2.7 Sclerotherapy or Prolotherapy 2.7 Sclérothérapie ou prolothérapie What is it? Sclerotherapy or prolotherapy for musculoskeletal conditions involves injecting a sclerosing solution into soft tissues, for management of chronic ligamentous and tendon sprains and strains. The theory behind the treatment is that it will produce stronger tissue. C’est quoi? Dans le cas de problèmes musculosquelettiques, la sclérothérapie ou la prolothérapie consiste en l’injection d’une solution sclérosante dans les tissus mous pour le traitement des entorses et foulures ligamentaires chroniques. En théorie, ce traitement permet de renforcer les tissus. Recommendations Based on WorkSafeNB experience and internal research, this treatment is not approved for authorization of payment at least prior to workers being on benefits for 3 years. At this point, the worker should long ago have gone through a multidisciplinary approach to managing chronic pain. The worker will long ago passed the point of maximum medical improvement. The objective of medical management at this point is less about cure and more about quality of life. Recommandations Selon l’expérience de Travail sécuritaire NB et des recherches internes, ce traitement n’est pas approuvé pour autorisation de paiement, du moins tant que les travailleurs n’ont pas touché des prestations d’indemnisation pendant trois ans. À cette étape, il y a longtemps que le travailleur devrait avoir fait l’objet d’une approche multidisciplinaire pour la gestion de la douleur chronique. Le travailleur a depuis longtemps dépassé le délai nécessaire pour atteindre l’amélioration médicale maximale. À cette étape, la gestion médicale vise moins la guérison, et plutôt la qualité de vie. Authorization of this treatment to improve quality of life for workers on benefits beyond L’autorisation de ce traitement pour améliorer la qualité de vie des travailleurs DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 23 of / de 86 3 years is contingent on the use of the functional restoration approach to authorization of treatment. Prolotherapy is not a stand-alone therapy and must be done in conjunction with an exercise program. dont la période d’indemnisation s’étend au-delà de trois ans est conditionnelle à l’utilisation de l’approche visant le rétablissement des fonctions. La prolothérapie n’est pas un traitement indépendant et doit être accompagnée d’un programme d’exercices. WorkSafeNB does not approve authorization of payment prior to a worker being on benefits for 3 years. Travail sécuritaire NB n’approuve pas ce traitement pour autorisation de paiement si les travailleurs n’ont pas touché des prestations d’indemnisation pendant trois ans. Authorization of payment Authorization of payment is contingent upon: Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à: • la prestation du traitement par un anesthésiste associé à une clinique antidouleur; • la recommandation du traitement par le médecin offrant les soins primaires au travailleur; • l’utilisation de la démarche de rétablissement des fonctions en ce qui concerne l’autorisation continue de traitement; • l’approbation du directeur de région. • • Treatment being delivered by an anaesthetist associated with a pain clinic; A recommendation for the treatment by the worker’s primary care physician; • Use of the functional restoration approach to ongoing authorization of treatment; and • Approval by Regional Director. Additional information regarding authorization of sclerotherapy Assessment and treatment is reimbursed in accordance with the rates for physician services set out in the WorkSafeNB-NBMS agreement. References Dagenais, S., Yelland, M. et al. (2010). “Prolotherapy injections for chronic low-back pain (Review).” The Cochrane Collaboration, 2010 Issue 2. There is conflicting evidence in using prolotherapy injections for patients with chronic low-back pain. When used alone, prolotherapy is not an effective treatment. When used in combination with spinal manipulation, exercise and other co-interventions, Renseignements supplémentaires concernant l’autorisation de paiement de la sclérothérapie L’évaluation et le traitement sont remboursés conformément au tarif établi dans l’entente entre Travail sécuritaire NB et la Société médicale du Nouveau-Brunswick pour les services d’un médecin. Références DAGENAIS, S., M. Yelland et coll. (2010). « Prolotherapy injections for chronic lowback pain (Review) ». The Cochrane Collaboration, 2. Il y a des arguments contradictoires quant aux injections dans le cadre de la prolothérapie pour traiter les patients atteints de douleur lombaire chronique. La prolothérapie utilisée seule n’est pas efficace. Lorsqu’elle est utilisée conjointement avec des manipulations DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 24 of / de 86 prolotherapy may improve chronic low-back pain and disability vertébrales, des exercices et d’autres co-interventions, elle peut améliorer la douleur lombaire chronique et l’incapacité connexe. Dagenais, S., S. Haldeman, et al. (2005). “Intraligamentous injection of sclerosing solutions (prolotherapy) for spinal pain: a critical review of the literature.” Spine J 5(3): 310-328. Clinical studies show that prolotherapy may be effective at reducing spinal pain. There was however great variation in the type of injection solutions and treatment protocols used. Further studies need to be done to identify the effective ones. DAGENAIS, S., S. Halderman et coll. (2005). « Intraligamentous injection of sclerosing solutions (prolotherapy) for spinal pain: a critical review of the literature ». The Spine Journal, 5(3) : pages 310 à 328. Des études cliniques démontrent que la prolothérapie peut être efficace pour réduire la douleur vertébrale. Toutefois, les types de solutions pour les injections et de protocoles de traitement utilisés variaient beaucoup. D’autres études doivent être effectuées pour déterminer quels types sont efficaces. Rabago, D. et al. (2005). “A systematic review of prolotherapy for chronic musculoskeletal pain.” Clin J Sport Med 15(5): 376-380. There is a limited amount of high-quality data supporting prolotherapy in the treatment of musculoskeletal pain. More randomized controlled trials are needed to determine its’ efficacy. RABAGO, D. et coll. (2005). « A systematic review of prolotherapy for chronic musculoskeletal pain ». Clinical Journal of Sport Medicine, 15(5) : pages 376 à 380. Les données de haute qualité appuyant la prolothérapie pour traiter la douleur musculo-squelettique sont limitées. D’autres essais aléatoires contrôlés sont nécessaires pour déterminer son efficacité. Hooper, R.A. and M. Ding (2004). “Retrospective case series on patients with chronic spinal pain treated with dextrose prolotherapy.” J Altern Complement Med 10(4): 670-674. 177 patients with chronic spinal pain were injected with a dextrose/xylocaine mixture on a weekly basis for up to 3 weeks. 91% reported a reduciton in pain, 84% reported improvement in daily activities and ability to work. It was found that women require on average, three more injections than men. HOOPER, R. A. et M. Ding (2004). « Retrospective case series on patients with chronic spinal pain treated with dextrose prolotherapy ». The Journal of Alternative and Complementary Medicine, 10(4) : pages 670 à 674. Un total de 177 patients atteints de douleur vertébrale chronique ont reçu une injection d’un mélange de dextrose et de xylocaïne chaque semaine pendant trois semaines au plus. Des 177 patients, 91 % ont signalé une réduction de la douleur, et 84 % ont indiqué une amélioration de leurs activités quotidiennes et de leur capacité de travailler. On a constaté qu’en général, les femmes avaient besoin de trois injections de plus que les hommes. Yelland, M. et al. (2004). YELLAND, “Prolotherapy M. et coll. (2004). DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 25 of / de 86 injections for chronic low back pain: a systematic review.” Spine 29(19): 21262133. Four high quality studies, involving 344 patients were reviewed and found to have conflicting evidence regarding the efficacy of prolotherapy injections in reducing pain and disability in patients with low back pain. « Prolotherapy injections for chronic low back pain: a systematic review ». Spine, 29(19) : pages 2126 à 2133. On a examiné quatre études de haute qualité effectuées auprès de 344 patients et on a découvert des arguments contradictoires quant à l’efficacité d’injections dans le cadre de la prolothérapie pour réduire la douleur et l’incapacité chez les patients atteints de douleur lombaire. Britton, KR. “Is prolotherapy safe and effective for back pain?”. Postgraduate Medicine. 108 (2), 2000 Aug: 37-8. BRITTON, K. R. « Is prolotherapy safe and effective for back pain? ». Postgraduate Medicine, 108(2), août 2000 : pages 37 et 38. Margison, Douglas. “OrthoMedicine Treatment2002Aug03.doc”. 2000. Internal WorkSafeNB document. MARGISON, Douglas. OrthoMedicine Treatment2000Aug03.doc, 2000. Document interne de Travail sécuritaire NB. Chou, R., Atlas, S. J., Stanos, S. P., & Rosenquist, R. W. (2009). Nonsurgical interventional therapies for low back pain: a review of the evidence for an American Pain Society clinical practice guideline. Spine (Phila Pa 1976), 34(10), 1078-1093. doi: 10.1097/BRS.0b013e3181a103b1 Found fair to good evidence that prolotherapy is not effective for for low back pain. CHOU, R., S. J. Atlas, S. P. Stanos et R. W. Rosenquist (2009). « Nonsurgical interventional therapies for low back pain: a review of the evidence for an American Pain Society clinical practice guideline ». Spine (Phila Pa 1976), 34(10), pages 1078 à 1093. DOI : 10.1097/BRS.0b013e3181a103b1. Selon des preuves de qualité passable à bonne, la prolothérapie n’est pas efficace pour traiter la douleur lombaire. 2.8 Shock Wave Therapy (except for Chronic Plantar Fasciitis, Calcific Shoulder Tendonitis, Achilles Tendinopathy/Tendinosis/Tendonitis, Greater Trochanteric pain, Patellar Tendinopathy) 2.8 Shock wave therapy is the use of electrohydraulic, electromagnetic or pneumatic single pressure pulses of high, medium, or low intensity to either break down calcifications as in renal calculi or treat chronic musculoskeletal conditions. La thérapie par ondes de choc est l’usage de pulsations électrohydrauliques, électromagnétiques ou pneumatiques simples de haute, moyenne ou faible intensité en vue de décomposer les calcifications comme les calculs rénaux ou de traiter les conditions musculosquelettiques chroniques. Thérapie par ondes de choc (sauf pour traiter la fasciite plantaire chronique, la tendinite calcifiée de l’épaule, la tendinopathie / tendinose / tendinite du tendon d’Achille, la douleur du grand trochanter et la tendinopathie rotulienne) DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 26 of / de 86 The mechanism of action in most chronic musculoskeletal conditions is not clearly understood. Les mécanismes d’action pour la plupart des conditions musculo-squelettiques ne sont pas bien compris. For chronic plantar fasciitis, calcific shoulder tendonitis, achilles tendinopathy / tendinosis / tendinitis, greater trochanteric pain and patellar tendinopathy see Procedure No. 25002.01 Schedule of Care – Generally Approved Care, Treatment and Tests. Pour les cas de fasciite plantaire chronique, de tendinite calcifiée de l’épaule, de tendinopathie / tendinose / tendinite du tendon d’Achille, de la douleur du grand trochanter et de la tendinopathie rotulienne, voir la procédure 25-002.01, intitulée Schedule of Care – Generally Approved Care, Treatment and Tests. The treatment may be used as a component of a broader generally approved treatment plan in which case the service provider would generally not request specific approval for shock wave therapy; or as a primary modality in which case the service provider is expected to obtain prior approval. This directive refers to requests for shock wave therapy as a primary modality. La thérapie par ondes de choc peut être utilisée dans le cadre d’un plan de traitement généralement approuvé plus large. Dans ce cas, le fournisseur de services ne demanderait habituellement pas une approbation distincte pour la thérapie par ondes de choc. La thérapie peut également être utilisée comme modalité primaire. Dans ce cas, on s’attend à ce que le fournisseur obtienne une approbation avant de l’offrir. La présente directive s’applique aux demandes en vue de dispenser de la thérapie par ondes de choc en tant que modalité primaire. Shoulder Impingement Syndrome ESWT was not effective for subacromial impingement syndrome but was effective for persistent shoulder calcific tendinitis (19). Syndrome d’accrochage de l’épaule La thérapie par ondes de choc extracorporelles n’était pas efficace pour traiter le syndrome d’accrochage sousacromial, mais elle l’était pour traiter la tendinite calcifiée persistante de l’épaule (19). Conclusion : Dans l’absence d’une méta-analyse, il n’est pas possible d’évaluer l’efficacité de la thérapie par ondes de choc extracorporelles pour traiter le syndrome d’accrochage de l’épaule dans le contexte de la recherche en médecine du travail. Conclusion: In the absence analysis, it is not possible to efficacy of ESWT for shoulder syndrome in the context of medicine research. of a metaevaluate the impingement occupational Low Back Pain This study did not find any evidence supporting the effectiveness of ultrasound or shockwave for treating LBP (20). This study of 30 patients demonstrated ESWT to be an effective intervention for the treatment of Douleur lombaire L’étude n’a pas démontré de preuve confirmant l’efficacité des ultrasons ou des ondes de choc pour traiter la douleur lombaire (20). L’étude effectuée auprès de 30 patients a démontré que la thérapie par DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés pain, disability and depression in chronic low back pain (21). Conclusion: Conflicting evidence was obtained when the use of ESWT in treating Low Back Pain was conducted. Page 27 of / de 86 ondes de choc extracorporelles était efficace pour traiter la douleur, l’incapacité et la dépression chez les patients présentant une douleur lombaire chronique (21). Conclusion : Les preuves sont contradictoires quant à l’efficacité de la thérapie par ondes de choc extracorporelles pour traiter la douleur lombaire. Other Conditions Will need to be evaluated on the merits of the case Autres conditions Devront être évaluées selon le bien-fondé du cas. Recommendation Since: • a literature search found no or conflicting evidence of efficacy in restoring function; and Recommandation Étant donné : • que le dépouillement d’ouvrages spécialisés n’a révélé aucune preuve ou n’a révélé que des preuves contradictoires quant à l’efficacité de cette thérapie pour améliorer les fonctions; • qu’il s’agit d’un traitement passif; Travail sécuritaire NB peut approuver le paiement dans la phase tardive de la douleur chronique si les traitements conventionnels n’étaient pas efficaces. • the treatment is passive; WorkSafeNB may approve payment in the late chronic pain phase after conventional treatments have failed. Authorization of payment Authorization of payment is contingent upon: Prior approval by a medical advisor and regional director; Use of the functional restoration approach to evaluate an initial trial of therapy; Treatment delivered by an approved provider with training in the use of shock wave therapy specific to the device in use; and Provision of written documentation by the provider that the machine in use has been approved for the specific therapy by Health Canada. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à: • l’approbation d’un médecin-conseil et d’un directeur de région au préalable; • l’utilisation de la démarche de rétablissement des fonctions afin d’évaluer un essai initial de la thérapie; • la prestation du traitement par un fournisseur approuvé formé pour dispenser la thérapie par ondes de choc à l’aide de l’appareil en question; • la présentation d’une preuve écrite par le fournisseur pour indiquer que Santé Canada a approuvé l’appareil en vue des traitements qui seront dispensés. References 19. Yu H, Cote P, Shearer HM, Wong JJ, Sutton DA, Randhawa KA, et al. Effectiveness of passive physical modalities for shoulder pain: systematic review by the Références 19. YU, H., P. Côté, H. M. Shearer, J. J. Wong, D. A. Sutton, K. A. Randhawa et coll. « Effectiveness of passive physical modalities for shoulder pain: systematic • • • • DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Ontario protocol for traffic management collaboration. Phys 2015;95(3):306-18. Page 28 of / de 86 injury Ther. review by the Ontario protocol for traffic injury management collaboration ». Physical Therapy, 2015; 95(3) : pages 306 à 318 20. Seco J, Kovacs FM, Urrutia G. The efficacy, safety, effectiveness, and costeffectiveness of ultrasound and shock wave therapies for low back pain: a systematic review. Spine J. 2011;11(10):966-77. 20. SECO, J., F. M. Kovacs et G. Urrutia. « The efficacy, safety, effectiveness, and cost-effectiveness of ultrasound and shock wave therapies for low back pain: a systematic review ». The Spine Journal, 2011; 11(10) : pages 966 à 977. 21. Han H, Lee D, Lee S, Jeon C, Kim T. The effects of extracorporeal shock wave therapy on pain, disability, and depression of chronic low back pain patients. J Phys Ther Sci. 2015;27(2):397-9. 21. HAN, H., D. Lee, S. Lee, C. Jeon et T. Kim. « The effects of extracorporeal shock wave therapy on pain, disability, and depression of chronic low back pain patients ». Journal of Physical Thererapy Science, 2015; 27(2) : pages 397 à 399. 2.9 Anxiolytic, Benzodiazepine, and Sedative Medications 2.9 Anxiolytiques, benzodiazépines et sédatifs What are they? Anxiolytic medications are a group of drugs given to people to treat anxiety related disorders. C’est quoi? Les anxiolytiques sont une classe de médicaments prescrits pour traiter les troubles d’anxiété. Benzodiazepines are a group of anxiolytic drugs that are effective in the treatment of anxiety and tension, and are also useful as muscle relaxants. Les benzodiazépines sont une classe de médicaments anxiolytiques utilisés pour traiter l’anxiété et la tension, et qui sont également utiles en tant que relaxants musculaires. Sedatives are a group of drugs given to people to induce sleep or to improve the quality of sleep. Les sédatifs sont une classe de médicaments prescrits en vue de faire dormir ou d’améliorer la qualité du sommeil. Avis : La Food and Drug Administration tient à aviser le public que les médicaments consommés pour combattre l’insomnie peuvent nuire à la conduite automobile et à la vivacité d’esprit le matin après la consommation, même si on se sent bien éveillé. Alert: The FDA is warning the public that drugs taken for insomnia can impair driving and mental alertness the morning after use, even if feeling fully awake. Recommendation Since these classifications of medications may impair function, and place a worker at risk to further injury, WorkSafeNB does not generally authorize the payment of Recommandation Étant donné que ces classes de médicaments peuvent nuire aux fonctions et aggraver la blessure du travailleur, Travail sécuritaire NB n’autorise DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés anxiolytics, benzodiazepines or sedatives, but may authorize: • • • Payment of benzodiazepines in the treatment of seizures; Payment of benzodiazepines in the treatment of spinal cord injury, and other types of neurological spasticity; and A one-time payment of an anxiolytic for workers with claustrophobia or panic attacks when undergoing certain diagnostic tests. Authorization of payment Authorization of payment for anxiolytic, benzodiazepine and sedative medications, other than indicated above, is contingent upon the: Page 29 of / de 86 habituellement pas le paiement d’anxiolytiques, de benzodiazépines ou de sédatifs, mais peut autoriser : • le paiement des benzodiazépines pour traiter les crises épileptiques; • le paiement des benzodiazépines pour traiter les traumatismes médullaires et d’autres types d’hypertonie spastique neurologique; • le paiement unique d’un anxiolytique pour les travailleurs atteints de claustrophobie ou qui ont des crises de panique lorsqu’ils subissent certains tests de diagnostic. • Written submission for approval by the treating physician to the regional Medical Advisor. This submission must be accompanied by research-based evidence supporting the efficacy of the drug as a treatment for the specific condition; • Evaluation of the physician’s submission by the Medical Advisor, including evaluation of the research relating to the use of the drug in the specific context; and Written decision of the Medical Advisor provided to the requesting physician. This will include the rationale for the decision. The decision will be included in the worker’s file and copied to the Chief Medical Officer. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement des anxiolytiques, des benzodiazépines et des sédatifs, pour des raisons autres que celles susmentionnées, est conditionnelle à: • la présentation d’une demande par écrit du médecin traitant au médecinconseil de la région à des fins d’approbation. La demande doit être accompagnée d’une preuve fondée sur la recherche appuyant l’efficacité du médicament pour traiter la condition précise; • l’examen par le médecin-conseil de la demande présentée par le médecin, y compris l’évaluation de la recherche sur l’efficacité du médicament dans le contexte précis; • la décision par écrit du médecinconseil au médecin demandeur, qui explique les raisons qui ont motivé la décision. On placera la décision au dossier du travailleur et on en enverra une copie au médecin-chef. References Talmage, J. B. and J. M. Mehorn. "Chapter10: Medications, Driving and Work". In: J. B. Talmage and J. M. Mehorn, ed. A Physician’s Guide to Return-to-Work. Washington, DC, AMA Press; 2005: 133-48. Références TALMAGE, J. B. et J. M. Mehorn. « Chapter 10: Medications, Driving, and Work ». A Physician’s Guide to Return to Work, Washington, DC, AMA Press; 2005 : pages 133 à 148. Verster, J. C., & Mets, M. A. (2009). Psychoactive medication and traffic safety. VERSTER, J. C. et M. A. Mets (2009). « Psychoactive medication and traffic • DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 30 of / de 86 Int J Environ Res Public Health, 6(3), 10411054. doi: 10.3390/ijerph6031041 safety ». International Journal of Environmental Research and Public Health, 6(3), pages 1041 à 1054. DOI : 10.3390/ijerph6031041. 2.10 Physical Therapy and Physical Modalities for TMJ Disorders 2.10 Physiothérapie et modalités physiques pour traiter les troubles de l’articulation temporomandibulaire Temporomandibular joint disorders encompass a heterogeneous group of conditions. The majority of cases are a form of myofascial pain syndrome related to chronic grinding of teeth, stress, hypermobile TMJ, hypomobile TMJ, dental malocclusion and poorly fitting dentures. Less common causes include trauma and degenerative joint disease. Les troubles de l’articulation temporomandibulaire comprennent un groupe hétérogène de conditions. La plupart des cas sont une forme du syndrome de douleur myofasciale liée au grincement chronique des dents; au stress; à l’hypermobilité ou à l’hypomobilité de l’articulation temporo-mandibulaire; à la malocclusion dentaire; et aux dentiers mal ajustés. Les causes moins fréquentes comprennent les traumatismes et l’arthrose. A literature review consistently notes the lack of good methodological studies to support the efficacy of most physical therapies, modalities and appliances. Study populations are generally persons with nontraumatic chronic myofascial pain. A protocol was posted with The Cochrane Collaborative in 2006 to undertake a systematic review of physical therapy. Two systematic reviews in 2006 note the lack of good studies, that treatment groups did better than no treatment but did not do better than placebo groups. L’examen de la documentation révèle invariablement un manque d’études méthodiques sérieuses pour confirmer l’efficacité de la plupart des traitements physiques, des modalités physiques et des appareils. Les populations étudiées sont habituellement des personnes atteintes de douleurs myofasciales chroniques d’origine non traumatique. Un protocole a été affiché sur le Cochrane Collaborative en 2006 en vue de lancer une étude méthodique sur la physiothérapie. Deux études méthodiques effectuées en 2006 indiquent qu’il y a un manque d’études sérieuses, que les résultats des groupes ayant reçu un traitement étaient meilleurs que ceux des groupes n’ayant reçu aucun traitement, mais non meilleurs que ceux des groupes placebos. Since there is a lack of evidence that physical therapies and physical modalities are more effective than placebo, WorkSafeNB: Étant donné qu’il n’y a pas suffisamment de preuves démontrant que les traitements et les modalités physiques sont plus efficaces que les placebos, Travail sécuritaire NB : • n’approuve habituellement pas le paiement de traitements et de modalités • Generally does not approve payment of treatments and modalities (such as DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés massage therapy, manipulation, laser therapy, botulinum toxin) for TMJ disorders that are listed in the Schedule of Care: Generally Not Approved; • Does not approve payment of treatments and modalities for TMJ disorders that are listed in the Schedule of Care: Not Approved; • • Generally replaces poorly fitting dentures if the compensable injury involves the facial bones; and Generally authorizes payment of dental appliances for dental malocclusion resulting from a compensable injury to the facial bones. • • • Page 31 of / de 86 pour traiter les troubles de l’articulation temporo-mandibulaire (tels la massothérapie, les manipulations, le traitement au laser et la toxine botulinique) qui figurent dans le Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés; n’approuve pas le paiement de traitements et de modalités pour traiter les troubles de l’articulation temporo-mandibulaire qui figurent dans le Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés; remplace habituellement les dentiers mal ajustés si la blessure indemnisable implique les os faciaux; autorise habituellement le paiement d’appareils dentaires pour traiter la malocclusion dentaire découlant d’une blessure indemnisable impliquant les os faciaux. Authorization of Payment Authorization of payment is contingent upon requirements outlined elsewhere for the treatment, modality or appliance. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle aux exigences précisées ailleurs relativement au traitement, à la modalité ou à l’appareil. References McNeely, M., S. Olivo and D. Magee. A systematic review of the effectiveness of physical therapy interventions for temporomandibular disorders. Physical Therapy. 2006; 86(5): 710-725. Systematic review. Most studies poor methodological quality. Manual therapy plus active exercise may be effective. One study showed support for acupuncture. Another did not. Relaxation, biofeedback and laser therapy may be effective. Références McNEELY, M., S. Olivo et D. Magee. « A Systematic Review of the Effectiveness of Physical Therapy Interventions for Temporomandibular Disorders ». Physical Therapy, 2006; 86(5) : pages 710 à 725. Étude méthodique. La plupart des études sont de mauvaise qualité méthodologique. La thérapie manuelle utilisée conjointement avec les exercices actifs peut être efficace. Une étude appuyait l’efficacité de l’acupuncture, tandis qu’une autre ne l’appuyait pas. La relaxation, la rétroaction biologique et le traitement au laser peuvent être efficaces. Medlicott, M. and S. Harris. A systematic review of the effectiveness of exercise, manual therapy, electrotherapy, relaxation training, and biofeedback in the management of temporomandibular MEDLICOTT, M. et S. Harris. « A Systematic Review of the Effectiveness of Exercise, Manual Therapy, Electrotherapy, Relaxation Training and Biofeedback in the Management of Temporomandibular DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 32 of / de 86 disorder. Physical Therapy. 2006; 86(7): 955-73. Systematic review. Many studies poor methodological quality. Active exercises and manipulation may be effective. Laser therapy may be more effective than other electrotherapy modalities. Relaxation and biofeedback may be more effective than placebo and occlusal splints. Combinations may be effective. Disorder ». Physical Therapy, 2006; 86(7) : pages 955 à 973. Étude méthodique. De nombreuses études sont de mauvaise qualité méthodologique. Des exercices actifs et des manipulations peuvent être efficaces. Le traitement au laser peut être plus efficace que d’autres modalités d’électrothérapie. La relaxation et la rétroaction biologique peuvent être plus efficaces que les placebos et les attelles occlusales. Les combinaisons peuvent être efficaces. Craane, B., A. De Laat, P. U. Dijkstra, K. Stappaerts and B. Stegenga. Physical therapy for the management of patients with temporomandibular disorders and related pain (protocol). Cochrane Database Syst Rev. 2006(1): 1-6. A systematic review proposal to assess the effectiveness of physical therapies including massage, manipulation; and physical modalities including ultrasound, TENS. CRAANE, B., A. De Laat, P. U. Dijkstra, K. Stappaerts et B. Stegenga. « Physical therapy for the management of patients with temporomandibular disorders and related pain [Protocol] ». Cochrane Database of Systematic Reviews, 2006(1) : pages 1 à 6. Une proposition d’étude méthodique pour évaluer l’efficacité des traitements physiques, y compris les massages et les manipulations; et les modalités physiques, y compris les ultrasons et la neurostimulation transcutanée. 2.11 Spinal Cord Stimulators Neurostimulator Implants / 2.11 Stimulateurs de la moelle épinière / Implants de neurostimulateurs What is it? Spinal cord stimulation refers to a type of therapy called neurostimulation. Neurostimulation therapies are used for pain relief from certain types of chronic pain, through the use of an implanted device to deliver low levels of electrical energy directly to nerve fibers. This stimulation effectively changes the pain messages and replaces them with a more pleasant sensation called paresthesia. C’est quoi? La stimulation de la moelle épinière désigne un type de thérapie appelée neurostimulation. On s’en sert pour soulager certaines douleurs chroniques au moyen d’un appareil implanté qui transmet de faibles niveaux d’énergie électrique directement aux fibres nerveuses. La stimulation modifie les messages de douleur et les remplace par des sensations plus agréables, soit la paresthésie. Patients undergo a trial of therapy with an external stimulator to see if he or she will benefit from neurostimulation (Weinand, Madhusudan, Davis, & Miguel, 2003). If the trial is successful, the patient undergoes an operation to implant a stimulator. Les patients font l’essai de la thérapie à l’aide d’un stimulateur externe afin de voir si elle leur procurera des bienfaits (Weinand, Madhusudan et coll., 2003). Dans l’affirmative, on procède à une opération pour implanter un stimulateur. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 33 of / de 86 The literature for mainstream use of spinal cord stimulators/neurostimulator implants suggests that they are effective in reducing pain. Willis (2003) did a follow-study of 86 patients, at on average 5.8 years after implant. Patients had chronic non-cancer pain for an average of 3.3 years. There was a 92.9% reported improvement in performing daily activities. This is not the experience of WCBs in Canada. This therapy has poor outcomes in workers’ compensation cases. Les ouvrages sur les utilisations courantes de stimulateurs de la moelle épinière ou d’implants de neurostimulateurs suggèrent qu’ils sont efficaces pour réduire la douleur. Willis (2003) a étudié 86 patients qui avaient reçu un implant il y a en moyenne 5,8 ans. Ils avaient soufferts de douleur chronique d’origine non cancéreuse pendant en moyenne 3,3 ans. Les patients ont signalé une amélioration de 92,9 % au niveau de leurs activités quotidiennes. Les résultats ne sont pas conformes à ceux des commissions des accidents du travail du Canada. La thérapie connaît de mauvais résultats dans les cas d’indemnisation des travailleurs. In 2013, the CMO undertook a review of 19 WorkSafeNB workers who had neurostimulator implants. 12 were done in Moncton, 5 in Halifax, 1 in Quebec and 1 in Toronto. Only 1 worker returned to work and 18 are on LTD (95%). Only 2 reported long-term pain relief and functional improvement (11% - 1 RTW and 1 LTD) and 4 (21%) reported pain relief only. 32% were better off (compared with 16% in 2003; but still less than 55-60% in Medicare stream). 3 workers developed infection, requiring removal (16%). The unit malfunctioned in a total of 2 workers, requiring removal (11%) – all pre 2004. En 2013, le Bureau du médecin-chef a entrepris l’étude de 19 cas relevant de Travail sécuritaire NB où les travailleurs avaient des implants de neurostimulateur. Douze procédures ont été effectuées à Moncton, cinq à Halifax, un au Québec et un à Toronto. Un seul travailleur est retourné au travail et 18 sont atteints d’une invalidité à long terme (95 %). Seulement deux travailleurs ont signalé un soulagement de la douleur à long terme et une amélioration fonctionnelle (11 % – un travailleur est retourné au travail et un est atteint d’une invalidité à long terme) et quatre (21 %) ont signalé un soulagement de la douleur seulement. Un total de 32 % ont connu une amélioration (comparativement à 16 % en 2003, mais toujours moins que 55 à 60 % qui relèvent du régime d’Assurance-maladie). Trois travailleurs ont contracté une infection et le neurostimulateur a dû être enlevé (16 %). Le neurostimulateur a mal fonctionné chez deux travailleurs et a dû être enlevé (11%). Tous les cas datent d’avant 2004. In 2004, WCB-BC Evidence-Based Practice Group released a report on spinal cord stimulation (W.C.B. Evidence Based Practice Group 2004). A systematic literature review did not find support for improved RTW; and identified a significant complication rate between 20% and 75%. En 2004, le Evidence Based Practice Group de la commission des accidents du travail de la Colombie-Britannique a publié un rapport sur la stimulation de la moelle épinière. Un examen systématique de la documentation n’a pas démontré d’amélioration par rapport au retour au DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 34 of / de 86 WCB-BC’s experience showed only 2 out of 10 workers with spinal cord stimulators returned to work. travail et a révélé un taux de complications considérable, soit entre 20 et 75 %. Selon l’expérience de la commission des accidents du travail de la ColombieBritannique, seulement 2 travailleurs sur 10 munis d’un stimulateur de la moelle épinière sont retournés au travail. Recommendation Since WorkSafeNB’s experience with spinal cord stimulators is that most workers are worse off with this treatment, WorkSafeNB generally does not authorize payment for this treatment. Recommandation Étant donné que l’expérience de Travail sécuritaire NB relativement aux stimulateurs de la moelle épinière démontre que l’état des travailleurs est pire avec le traitement, il n’en autorise généralement pas le paiement. In the exceptional case that WorkSafeNB does authorize payment, authorization is contingent upon: • Other treatments to manage chronic pain have failed; Toute autorisation de paiement découlant de situations inhabituelles est conditionnelle à ce qui suit : • Les autres traitements en vue de maîtriser la douleur chronique ont échoué. • Des discussions ont eu lieu avec le médecin qui a adressé le cas (habituellement le médecin offrant les soins primaires) – Quel est le but du médecin? La douleur est-elle la source principale du problème? Existe-t-il des preuves cliniques objectives pour appuyer l’incapacité physique? Qu’estce que le médecin espère changer? • Des discussions ont eu lieu avec le médecin qui a adressé le cas et le travailleur pour expliquer que les mauvais résultats sont la raison pour laquelle Travail sécuritaire NB hésite à autoriser le paiement. Des travailleurs ont affirmé avoir regretté d’avoir subi l’intervention. • Il y a une longue liste d’attente si le médecin qui adresse le cas demande un neurochirurgien au NouveauBrunswick. Cela pourrait avoir le même effet que de ne pas subir l’intervention. Si on essaie d’améliorer les fonctions physiques, devrait-on adresser le travailleur à un neurochirurgien à l’extérieur du Nouveau-Brunswick? On devrait en discuter avec le médecin qui adresse le cas. • Discussions with the referring physician (usually the primary care physician) – what is the physician’s goal? Is the problem primarily pain? Is there objective clinical evidence of physical disability? Is this what the physician hopes to change?; • Discussions with the referring physician and worker that our poor track record is the reason for our reluctance to authorize payment. Workers tell us afterwards that they wish they had never had the procedure; • If the referring physician is requesting a neurosurgeon in NB, there is a long waiting time. This may be equivalent to not getting the procedure. If we are trying to improve physical function, should the referral be to a neurosurgeon outside NB. Have a discussion with the referring physician; DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés • If the referring physician and worker still want the referral, then initial authorization is for a consultation and expectation set that referral for implant is contingent upon: − − Recommendation from neurosurgeon; Worker then gets psychological assessment and pre-op SF-36; − Worker, referring physician and neurosurgeon commit to getting 3 and 6 month post-op SF-36; − Neurosurgeon agrees to doing a trial of treatment; Worker meeting with another who has already had the procedure (I think we have one currently who would talk about his experience); − • • If everyone is on board with conditions, recommend authorization of payment for consultation to the regional director; • • Approval by regional director; • • If neurosurgeon recommends implant and agrees to conditions, get psychological assessment and SF-36; • • • – Convey results to neurosurgeon and referring physician. – Do results support primarily physical disability, or primarily pain and psychosocial disability? – Set up meeting with worker who has already had the procedure; If the neurosurgeon still recommends the implant and the worker still wants to proceed, then authorize trial implant; and If trial implant successful, then authorize permanent implant. • • Page 35 of / de 86 Si le médecin qui adresse le cas et le travailleur veulent toujours procéder, Travail sécuritaire NB autorise d’abord une consultation et on s’entend à ce que l’implant soit conditionnel à ce qui suit : − la recommandation d’un neurochirurgien; − le travailleur fait ensuite l’objet d’une évaluation psychologique et remplit le questionnaire SF-36; − le travailleur, le médecin qui a adressé le cas et le neurochirurgien s’engagent à faire remplir un questionnaire SF-36 trois et six mois après l’opération; − le neurochirurgien accepte de faire l’essai du traitement; − le travailleur doit rencontrer une autre personne qui a déjà subi l’intervention (je crois que nous avons un travailleur qui pourrait discuter de son expérience). Si tout le monde s’entend sur les conditions, on recommande au directeur de région d’autoriser le paiement d’une consultation. Le directeur de région donne son approbation. Si le neurochirurgien recommande l’implant et accepte les conditions, le travailleur doit subir une évaluation psychologique et remplir le questionnaire SF-36. − Faire part des résultats au neurochirurgien et au médecin qui adresse le cas. − Les résultats appuient-ils principalement une incapacité physique ou une douleur accompagnée d’une incapacité psychosociale? − Fixer une rencontre avec un travailleur qui a déjà subi l’intervention. Si le neurochirurgien recommande toujours l’implant et que le travailleur veut procéder, autoriser l’implant. Si l’essai de l’implant réussit, autoriser l’implant permanent. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 36 of / de 86 References W.C.B. Evidence Based Practice Group (2004). Spinal Cord Stimulation, WCB - B.C. Références W.C.B. Evidence Based Practice Group (Colombie-Britannique). Spinal Cord Stimulation, 2004. Weinand, M. E., Madhusudan, H., Davis, B., & Miguel, M. (2003). Acute vs. Prolonged Screening for Spinal Cord Stimulation in Chronic Pain. Neuromodulation : Journal of the International Neuromodulation Society, 6(1). WEINAND, M. E., H. Madhusudan, B. Davis et M. Miguel (2003). « Acute vs. Prolonged Screening for Spinal Cord Stimulation in Chronic Pain ». Neuromodulation: Journal of the International Neuromodulation Society, 6(1). Willis, K. D. A simple approach to outcomes assessment of the therapeutic and costbenefit success rates for spinal cord stimulation therapy. Anesthesiol Clin North America. 2003; 21(4): 817-23. WILLIS, K. D. « A simple approach to outcomes assessment of the therapeutic and cost-benefit success rates for spinal cord stimulation therapy ». Anesthesiology Clinics of North America, 2003; 21(4) : pages 817 à 823. North, R. B., Kidd, D., Shipley, J., & Taylor, R. S. (2007). Spinal cord stimulation versus reoperation for failed back surgery syndrome: a cost effectiveness and cost utility analysis based on a randomized, controlled trial. Neurosurgery, 61(2), 361368; discussion 368-369. doi: 10.1227/01.NEU.0000255522.42579.EA Findings: spinal cord stimulator is less expensive and more effective than repeat surgery in failed back surgery syndrome patients. NORTH, R. B., D. Kidd, J. Shipley et R. S. Taylor (2007). « Spinal cord stimulation versus reoperation for failed back surgery syndrome: a cost effectiveness and cost utility analysis based on a randomized, controlled trial ». Neurosurgery, 61(2), pages 361 à 368; discussion, pages 368 et 369. DOI : 10.1227/01.NEU.0000255522.42579.EA. Constatations : Un stimulateur de moelle épinière est moins cher et plus efficace qu’une nouvelle opération chez les patients atteints de séquelles de l’échec chirurgical rachidien. Kumar, K., Taylor, R. S., Jacques, L., Eldabe, S., Meglio, M., Molet, J., . . . North, R. B. (2007). Spinal cord stimulation versus conventional medical management for neuropathic pain: a multicentre randomised controlled trial in patients with failed back surgery syndrome. Pain, 132(1-2), 179-188. doi: 10.1016/j.pain.2007.07.028 Findings: spinal cord stimulator is an effective treatment to improve leg and back pain in failed back surgery syndrome patients. KUMAR, K., R. S. Taylor, L. Jacques, S. Eldabe, M. Meglio, J. Molet, ... et R. B. North (2007). « Spinal cord stimulation versus conventional medical management for neuropathic pain: a multicentre randomised controlled trial in patients with failed back surgery syndrome ». Pain, 132(1-2), pages 179 à 188. DOI : 10.1016/j.pain.2007.07.028. Constatations : Le stimulateur de moelle épinière est un traitement efficace pour soulager la douleur à la jambe et au dos chez les patients atteints de séquelles de l’échec chirurgical rachidien. 2.12 2.12 Services spécialisés axés sur Specialized Injection-based DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 37 of / de 86 Services des injections WorkSafeNB authorizes specialized injection services differently, depending on whether the injections are: • Part of a WorkSafeNB caremap; Travail sécuritaire NB autorise des services spécialisés axés sur des injections selon si les injections : • sont données dans le cadre d’un plan de soins de Travail sécuritaire NB; • ont pour but d’aider à poser un diagnostic ou de traiter une personne qui n’a pas de plan de soins de Travail sécuritaire NB; • servent à traiter une personne qui n’a pas de plan de soins de Travail sécuritaire NB, que le but soit le retour au travail, la continuation du travail ou la qualité de vie. • For diagnostic or treatment purposes outside a WorkSafeNB caremap; and • In the case of treatment outside a WorkSafeNB caremap, whether the goal is return to work, stay at work or quality of life. An injection-based treatment service generally refers to trigger point and nerve block injections done in unidisciplinary pain clinics. Un service spécialisé axé sur des injections désigne habituellement des injections pour des points gâchettes et des cas d’anesthésie tronculaire dans des cliniques unidisciplinaires de la douleur. Internal research done April 22, 2014 on 32 claims with Physical (PCS) and Mental Component (MCS) SF36 scores found no statistically significant change in function (P value for PCS was 0.57; P value for MCS was 0.42). Des recherches internes effectuées le 22 avril 2014 relativement aux résultats des composantes physiques et mentales du questionnaire SF-36 pour 32 réclamations n’ont démontré aucun changement important du point de vue statistique au niveau des fonctions (la valeur de probabilité pour la composante physique était de 0,57 et celle pour la composante mentale se chiffrait à 0,42). Since these services are generally elective, WorkSafeNB requires prior authorization. Puisque ces services sont habituellement non urgents, Travail sécuritaire NB exige que l’autorisation soit obtenue au préalable. WorkSafeNB does not require prior authorization for injections provided in an emergency context. Travail sécuritaire NB n’exige pas une autorisation au préalable dans le cas d’injections d’urgence. Part of a WorkSafeNB Caremap Dans le cadre d’un plan de soins de Travail sécuritaire NB Les plans de soins de Travail sécuritaire NB qui incluent des injections seraient une exception à cette directive. WorkSafeNB caremaps that include injections would be an exception to this directive. Diagnostic Injections WorkSafeNB Caremap Outside a Injections diagnostiques autres que dans le cadre d’un plan de soins de Travail sécuritaire NB DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 38 of / de 86 Diagnostic injections may be requested by a surgeon to assist in diagnosis and determining the best treatment approach. A local anaesthetist would do these. Un chirurgien peut demander des injections diagnostiques pour l’aider à poser un diagnostic et à déterminer la meilleure approche de traitements. Un anesthésiste de la région donnerait les injections. Return to Work Stream Outside a WorkSafeNB Caremap – Worker is off work Volet du retour au travail pour le travailleur blessé qui n’a pas de plan de soins de Travail sécuritaire NB – Travailleur absent du travail Ce volet s’applique habituellement à l’étape précoce de la douleur ou de la blessure chronique, lorsque le médecin offrant les soins primaires cherche de l’aide pour gérer la douleur chronique. La documentation indique que la meilleure pratique comprend l’utilisation d’une approche visant une réadaptation fonctionnelle active multidisciplinaire qui comprend une thérapie comportementale cognitive. Ce type de service n’est habituellement pas disponible pour les patients qui ne sont pas des clients de Travail sécuritaire NB. Ces patients reçoivent habituellement des services à des cliniques unidisciplinaires de la douleur. This context generally refers to the earlier chronic pain / chronic injury phase, when the primary care physician is looking for help in managing chronic pain. The literature indicates that best practice involves the use of a multidisciplinary active functional restoration with cognitive-behavioural therapy approach. This type of service is generally not available for non-WorkSafeNB patients. Services for these patients generally involve unidisciplinary pain clinics. WorkSafeNB will consider a referral to a pain clinic to be a referral for a multidisciplinary active function-focused rehabilitation program with cognitivebehavioural therapy and work simulation. Travail sécuritaire NB considérera un cas adressé à une clinique de traitement de la douleur comme un cas adressé en vue d’un programme de réadaptation multidisciplinaire actif axé sur les fonctions comprenant une thérapie comportementale cognitive et la simulation du travail. WorkSafeNB will not pay for pain clinic programs that do not meet this criterion. WorkSafeNB will communicate this position to the physician and the worker. Travail sécuritaire NB ne paiera pas les programmes offerts à une clinique de traitement de la douleur qui ne satisfont pas à ces critères. Il communiquera sa position au médecin et au travailleur. If a referral to an injection-based pain clinic has been made without prior approval, WorkSafeNB will notify the worker, the referring physician and specialist of the requirement. WorkSafeNB will pay for the sessions to date; and refer the worker for a multidisciplinary assessment. Si un travailleur a été adressé en vue de services axés sur des injections sans autorisation au préalable, Travail sécuritaire NB avisera le travailleur, le médecin qui l’a adressé et le spécialiste de l’exigence. Travail sécuritaire NB paiera les services qui ont été dispensés jusqu’à ce jour et adressera le travailleur en vue d’une évaluation multidisciplinaire. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 39 of / de 86 If the worker proceeds to go to a pain clinic that does not meet the above criterion, then WorkSafeNB may consider that the worker is not participating in the rehab plan. Si le travailleur fréquente une clinique de traitement de la douleur qui ne satisfait pas aux critères susmentionnés, Travail sécuritaire NB peut considérer qu’il ne participe pas à son plan de réadaptation. Stay at Work Stream Outside a WorkSafeNB Caremap – Worker having trouble staying at work Volet visant à demeurer au travail pour le travailleur blessé qui n’a pas de plan de soins de Travail sécuritaire NB – Travailleur qui a de la difficulté à demeurer au travail Travail sécuritaire NB prendra des mesures afin que le travailleur subisse une évaluation multidisciplinaire : • s’il a de la difficulté à demeurer au travail ou à son programme de recyclage; • s’il a de la difficulté à maintenir les mêmes heures au travail ou à son programme de recyclage; • si l’outil d’évaluation validé indique une détérioration selon la différence minimale cliniquement importante (DMCI) ou plus sur une période de deux mois. – Questionnaire SF-36 : DMCI pour toutes les parties du corps : 5 points; – Questionnaire Roland-Morris : DMCI pour les blessures au dos : 3 points; – Questionnaire DASH : DMCI pour les blessures aux membres supérieurs : 15 points. WorkSafeNB will seek a multidisciplinary assessment if: • The worker is having difficulty staying at work or in retraining; • The worker is having difficulty maintaining the same hours at work or in retraining; or There is a deterioration in the validated functional tool by the minimal clinically important difference (MCID) or greater over 2 months. • - SF-36 : all body areas MCID : 5 points - Roland-Morris : back injuries MCID : 3 points - DASH : upper extremity MCID : 15 points injuries If a referral to an injection-based pain clinic has been made without prior approval, WorkSafeNB will notify the worker, the referring physician and specialist of the requirement. WorkSafeNB will pay for the sessions to date; and refer the worker for a multidisciplinary assessment. Si on a adressé le travailleur blessé à une clinique de traitement de la douleur axé sur des injections sans en avoir obtenu l’autorisation au préalable, Travail sécuritaire NB avisera le travailleur, le médecin qui l’a adressé et le spécialiste de l’exigence. Il paiera les services qui ont été dispensés jusqu’à ce jour, et adressera le travailleur en vue d’une évaluation multidisciplinaire. If the assessment suggests that the worker may benefit from injections, WorkSafeNB may authorize payment of treatment at a local pain clinic on the proviso that: Si l’évaluation indique que le travailleur pourrait profiter d’injections, Travail sécuritaire NB peut autoriser le paiement des traitements à une clinique de DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés • The worker will complete a validated functional tool prior to starting treatment and at 8-week intervals while undergoing active treatment; • The worker will undergo a trial of treatment; and • If the trial is helpful, WorkSafeNB authorizes payment of up to 8 weeks of treatment, at which time functional progress will be evaluated before authorizing payment of additional treatments. Page 40 of / de 86 traitement de la douleur de la région aux conditions suivantes : • Le travailleur sera évalué à l’aide d’un outil validé avant de commencer les traitements ainsi que toutes les huit semaines pendant la durée des traitements actifs. • Il fera l’objet d’un essai de traitement. • Si l’essai est efficace, Travail sécuritaire NB autorise le paiement des traitements pour une période allant jusqu’à huit semaines. Les progrès fonctionnels seront évalués à la fin des traitements, avant d’autoriser le paiement de traitements additionnels. Information on SF-36: The index for monitoring improvement in physical function is the PCS (Physical Component Score). The index for monitoring improvement in psychosocial function is the MCS (Mental Component Score). A minimal clinically important difference is a 5-point change in score. The SF-36 questionnaire is obtained from the Chief Medical Officer. The completed questionnaire is returned to the Chief Medical Officer. Questionnaire SF-36 : L’indice dont on se sert pour surveiller l’amélioration des fonctions physiques est le Physical Component Score et celui dont on se sert pour surveiller l’amélioration des fonctions psychosociales est le Mental Component Score. La différence minimale importante sur le plan clinique est de cinq points. On peut se procurer le questionnaire SF-36 auprès du médecin-chef. Le questionnaire rempli est ensuite envoyé à ce dernier. Information on Roland-Morris and DASH: If the pain clinic routinely does these, then WorkSafeNB would get the clinic to complete the appropriate questionnaire. Otherwise, WorkSafeNB would get the appropriate questionnaire completed through an approved primary physiotherapy clinic in New Brunswick. Questionnaires Roland-Morris et DASH : Si la clinique de la douleur administre couramment ces questionnaires, Travail sécuritaire NB chargerait la clinique d’administrer le questionnaire approprié. Sinon, il demanderait à une clinique de physiothérapie primaire approuvée au Nouveau-Brunswick de le faire. If the trial of therapy is beneficial, WorkSafeNB authorizes up to 8 weeks treatment and monitors functional progress using the functional goal for treatment and the validated functional tool. Si l’essai de thérapie procure des bienfaits, Travail sécuritaire NB autorise des traitements pour une période allant jusqu’à huit semaines et surveille les progrès fonctionnels en se fondant sur le but fonctionnel établi pour le traitement et l’outil d’évaluation validé. If there has been an increase of greater than 5 points in the SF-36 PCS or 3 points in the Roland-Morris or 15 points in the DASH, WorkSafeNB may authorize a bank of up to Si le résultat du Physical Component Score du questionnaire SF-36 a augmenté de plus de cinq points; celui du questionnaire Roland-Morris, de plus de DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 41 of / de 86 15 treatments that can be used over the next year to manage flare-ups. trois points; ou celui du questionnaire DASH, de plus de 15 points, Travail sécuritaire NB peut autoriser une série allant jusqu’à 15 traitements au cours de la prochaine année afin de gérer les poussées actives. If the recent SF-36 PCS is within 5 points of the prior score or the recent Roland-Morris is within 3 points of the prior score or the recent DASH is within 15 points of the prior score, then WorkSafeNB may authorize payment of one additional 8-week set of treatments to see if that will help to improve function. Si le résultat du Physical Component Score du questionnaire SF-36 indique une différence de moins de cinq points par rapport au résultat précédent, ou une différence de moins de trois points sur le récent questionnaire Roland-Morris ou de moins de 15 points sur le récent questionnaire DASH, Travail sécuritaire NB peut autoriser le paiement de traitements pour une autre tranche de huit semaines en vue d’essayer d’améliorer les fonctions. At the end of the 8-week treatment, another functional questionnaire is completed and its score is compared with the prior score. À la fin de la tranche de huit semaines, le travailleur remplira un autre questionnaire des fonctions, et on comparera ce résultat avec le résultat précédent. • Si le résultat du Physical Component Score du questionnaire SF-36 n’a pas augmenté de plus de cinq points; de plus de trois points pour le questionnaire Roland-Morris; ou de plus de 15 points pour le questionnaire DASH, Travail sécuritaire NB n’autorise pas d’autres traitements. • Si le résultat du Physical Component Score du questionnaire SF-36 a augmenté de plus de cinq points; celui du questionnaire Roland-Morris, de plus de trois points; ou celui du questionnaire DASH, de plus de plus de 15 points, Travail sécuritaire NB peut autoriser une série allant jusqu’à 15 traitements au cours de la prochaine année afin de gérer les poussées actives. • L’autorisation d’autres traitements par série de 15 traitements par année varierait selon l’examen et tiendrait compte des arguments objectifs quant à l’efficacité des traitements pour améliorer ou maintenir le niveau de fonctions du travailleur. • If there has not been an increase of greater than 5 points in SF-36 PCS or 3 points in the Roland-Morris or 15 points in the DASH, then WorkSafeNB does not authorize additional treatments. • If there has been an increase of greater than 5 points in SF-36 PCS or 3 points in the Roland-Morris or 15 points in the DASH, then WorkSafeNB may authorize a bank of up to 15 treatments that can be used over the next year to manage flare-ups. • Authorization of additional treatments in banks of up to 15 treatments per year would depend on review to include the objective evidence of the effectiveness of the treatments in improving or maintaining the worker’s level of function. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés If the worker: • Goes off work or retraining; • Reduces hours at work or in retraining; or • Has a drop of over 5 points in the SF-36 PCS or over 3 points in the RolandMorris or over 15 points in the DASH; then: • The worker will be transferred to a multidisciplinary active function-focused rehabilitation program with cognitivebehavioural therapy and work simulation; and • WorkSafeNB will stop paying unidisciplinary pain services. for Page 42 of / de 86 Si : • le travailleur s’absente du travail ou de son programme de recyclage; • le travailleur réduit ses heures au travail ou à son programme de recyclage; • le Physical Component Score du questionnaire SF-36 diminue de plus de cinq points, de plus de trois points pour le questionnaire Roland-Morris ou de plus de 15 points pour le questionnaire DASH; Travail sécuritaire NB : • adressera le travailleur en vue d’un programme de réadaptation multidisciplinaire actif axé sur les fonctions comprenant une thérapie comportementale cognitive et la simulation du travail; • cessera de payer les services unidisciplinaires de traitement de la douleur. Quality of Life stream Workers with no expectation of RTW or still on benefits two or more years after the injury or recurrence might benefit from additional services to help them cope with their pain and gain more function. Volet de la qualité de vie Les travailleurs qui ne s’attendent pas de pouvoir retourner au travail, ou qui continuent de recevoir des prestations deux ans ou plus après leur blessure ou la réapparition de leur blessure pourraient profiter d’autres services pour les aider à faire face à leur douleur et à améliorer leurs fonctions. Sclerotherapy / prolotherapy would come under this category. La sclérothérapie / prolothérapie serait classée dans cette catégorie. Since most of these workers will have already undergone multidisciplinary treatment for chronic pain without being cured, “cure” is an unrealistic goal at this point in the claim. Puisque la plupart de ces travailleurs auront déjà reçu des traitements multidisciplinaires pour leur douleur chronique sans avoir été guéris, la « guérison » constitue un but non réaliste à ce stade de la réclamation. WorkSafeNB may authorize payment for unidisciplinary services, including injectionbased treatment, to reduce pain and improve function. Payment for consultation and treatment must be pre-authorized. Travail sécuritaire NB peut autoriser le paiement de services unidisciplinaires, y compris des injections, pour réduire la douleur et améliorer les fonctions. Le paiement de la consultation et du traitement doit être approuvé à l’avance. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 43 of / de 86 The referring physician must identify a meaningful specific functional goal as the objective for the referral. Le médecin qui adresse le cas doit établir un but fonctionnel précis valable qui serait l’objectif du renvoi. If WorkSafeNB decides to authorize payment, the first step is to authorize payment of a consultation with a specialist at the pain clinic. Si Travail sécuritaire NB décide d’autoriser le paiement, il doit d’abord autoriser le paiement d’une consultation avec un spécialiste à la clinique de traitement de la douleur. The specialist must identify a meaningful specific functional goal as the treatment objective. Le spécialiste doit établir un but fonctionnel précis valable qui serait l’objectif du traitement. WorkSafeNB can authorize payment of treatment at the local pain clinic on the proviso that: Travail sécuritaire NB peut autoriser le paiement du traitement à une clinique de traitement de la douleur de la région aux conditions suivantes : • Le travailleur sera évalué à l’aide d’un outil validé avant de commencer les traitements ainsi que toutes les huit semaines pendant la durée des traitements actifs. • Il fera l’objet d’un essai de traitement. • The worker will complete a validated functional tool prior to starting treatment and at 8-week intervals while undergoing active treatment; • The worker will undergo a trial of treatment; and • If the trial is helpful, WorkSafeNB authorizes payment of up to 8 weeks treatment, at which time functional progress will be evaluated before authorizing payment of additional treatments. • Si l’essai est efficace, Travail sécuritaire NB autorise le paiement des traitements pour une période allant jusqu’à huit semaines. Les progrès fonctionnels seront évalués à la fin des traitements avant d’autoriser le paiement de traitements additionnels. For guidance on validated functional tools, trial of treatment and authorization of additional treatment see Stay at Work Stream Outside a WorkSafeNB Caremap Pour obtenir des détails sur les outils d’évaluation validés, les essais de traitement et l’autorisation d’autres traitements, voir la section intitulée « Volet visant à demeurer au travail pour le travailleur blessé qui n’a pas de plan de soins de Travail sécuritaire NB ». 2.13 Foot Orthotics and Insoles for Back Pain 2.13 Orthèses plantaires et semelles pour traiter la douleur lombaire What is it? A mechanical device designed for the foot to decrease low back pain through shockabsorbing, gait alteration due to neuromuscular and bone disorders and/or correction of leg length discrepancy. C’est quoi? Un dispositif mécanique conçu pour le pied en vue de réduire la douleur lombaire au moyen de l’absorption de chocs; de la modification d’une mauvaise démarche en raison de troubles neuromusculaires et DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 44 of / de 86 osseux; ou de la correction de l’inégalité de la longueur des jambes. Recommendation Since: • the literature does not support the use of foot orthotics or insoles to correct leg length discrepancy under 2 cm; • the literature suggests that shockabsorbing foot orthotics may reduce back pain in persons walking during most of the work shift or frequently on uneven ground, but there is no evidence to support the use of custom orthotics per se; • the literature suggests that custom foot orthotics or insoles for back pain may produce leg pain; and • the literature suggests that orthotics to correct gait disturbance due to neuromuscular and bone disorders may correct back pain, but not due to prolonged standing WorkSafeNB: • may authorize payment of an insole or custom orthotic to correct gait disturbance due to neuromuscular and bone disorders; • may authorize payment of a shockabsorbing insole or shock-absorbing custom orthotic for workers walking during most of the work shift or frequently on uneven ground; • may authorize payment of an insole or custom orthotic to correct leg length discrepancy over 2 cm. Recommandation Étant donné : • que la documentation n’appuie pas l’utilisation d’orthèses plantaires ou de semelles pour corriger une inégalité de la longueur des jambes de moins de 2 cm; • que la documentation suggère que les orthèses plantaires absorbant les chocs peuvent réduire la douleur lombaire chez les personnes qui marchent sur du terrain inégal pendant la majeure partie de leur quart de travail ou fréquemment, mais qu’il n’y a pas de preuves pour appuyer l’utilisation d’orthèses faites sur mesure en soi; • que la documentation suggère que les semelles ou les orthèses plantaires faites sur mesure pour traiter la douleur lombaire peuvent causer une douleur à la jambe; • que la documentation suggère que des orthèses pour corriger les troubles de la démarche en raison de troubles neuromusculaires ou osseux peuvent soulager la douleur lombaire, mais non la douleur attribuable à la position debout pendant une période prolongée; Travail sécuritaire NB : • peut autoriser le paiement d’une semelle ou d’une orthèse faite sur mesure pour corriger un trouble de la démarche attribuable à des troubles neuromusculaires ou osseux; • peut autoriser le paiement d’une semelle absorbant les chocs ou d’une orthèse absorbant les chocs faite sur mesure pour les travailleurs qui marchent sur du terrain inégal pendant la majeure partie de leur quart de travail ou fréquemment; • peut autoriser le paiement d’une semelle ou d’une orthèse faite sur mesure pour corriger une inégalité de la longueur des jambes de plus de 2 cm. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 45 of / de 86 Authorization of payment is contingent upon the provider belonging to an authorized provider group. L’autorisation de paiement est conditionnelle à ce que le fournisseur appartienne à un groupe de fournisseurs approuvés. References Charrette, M. (2003). Orthotic support for low back pain. The Chiropractic Journal. March. Références CHARRETTE, M. (2003). « Orthotic support for low back pain ». The Chiropractic Journal, mars. Christensen, K. (2008). Three step program for chronic low back pain. Retrieved March 3, 2008 from http://www.spineuniverse.com/rtbarticle.php/ article788.html CHRISTENSEN, K. (2008). « Three-Step Program for Chronic Low Back Pain ». Tiré du site http://www.spineuniverse.com/rtbarti cle.php/article788.html le 3 mars 2008. Leach, R. (2004). “The Chiropractic Theories: A Textbook of Scientific Research” (4th ed.). Lippincott Williams & Wilkins: Philadelphia: PA LEACH, R. (2004). The Chiropractic Theories: A Textbook of Scientific Research, (4e éd.). Lippincott, Williams & Wilkins, Philadelphia, PA. Sahar, T., Cohen, M., Ne’enman, V., Kandel, L., Odebiyi, D., Lev, I., Brezis, & Lahad, A. (2007). Insoles for the prevention and treatment of back pain. Cochrane Database Systematic Review. CD 005275. SAHAR, T., M. Cohen, V. Ne’enman, L. Kandel, D. Odebiyi, I. Lev, Brezis et A. Lahad (2007). « Insoles for the prevention and treatment of back pain ». Cochrane Database Systematic Review. CD 005275. Sahar, T., Cohen, M. J., Uval-Ne’eman, V., Kandel, L., Odebiyi, D. O., Lev, I., . . . Lahad, A. (2009). Insoles for prevention and treatment of back pain: a systematic review within the framework of the Cochrane Collaboration Back Review Group. Spine (Phila Pa 1976), 34(9), 924-933. doi: 10.1097/BRS.0b013e31819f29be Findings: there is strong evidence that the use of insoles does not prevent back pain. SAHAR, T., M. J. Cohen, V. Uval-Ne’eman, L. Kandel, D. O. Odebiyi, I. Lev, ... et A. Lahad (2009). « Insoles for prevention and treatment of back pain: a systematic review within the framework of the Cochrane Collaboration Back Review Group ». Spine (Phila Pa 1976), 34(9), pages 924 à 933. DOI : 10.1097/BRS.0b013e31819f29be. Constatations : Il y a des preuves solides que l’utilisation de semelles ne prévient pas la douleur au dos. Hall, K. (2004). “The effects of custom fitted orthotics on structural alignment of the foot, electromyographic activity and perceived comfort in surgical nurses”. Unpublished doctoral dissertation. Retrieved from Dissertation and Thesis database, May 13, 2008. This study is an unpublished dissertation by Hall (2004). A small study was conducted with a sample of 30 operating room nurses. A number of HALL, K. (2004). « The effects of custom fitted orthotics on structural alignment of the foot, electromyographic activity and perceived comfort in surgical nurses ». Thèse de doctorat non publiée. Tirée de la base de données des thèses, 13 mai 2008. Cette étude est une thèse non publiée par Hall (2004). Une étude de petite envergure auprès d’un échantillon de 30 infirmières en salle d’opération. Un DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 46 of / de 86 measures, including an invalidated tool to measure pain, were used to determine outcomes. Ultimately the use of orthotics did not demonstrate statistically significant improvement in perceived pain and discomfort by the participants. certain nombre d’indicateurs, y compris un outil non validé pour mesurer la douleur, ont été utilisés pour déterminer les résultats. En bout de ligne, l’utilisation d’orthèses n’a pas démontré une d’amélioration considérable du point de vue statistique au niveau de la douleur et de l’inconfort perçus par les participants. 2.14 Spinal Traction Therapy 2.14 Thérapie par traction vertébrale What is it? Spinal traction therapy is used to treat pain in the cervical and lumbar areas of the back. It can be accomplished using manual and mechanical forms of traction. This includes halter and weight systems. C’est quoi? La thérapie par traction vertébrale sert à traiter la douleur aux régions cervicale et lombaire. Elle comporte des techniques de traction manuelles et mécaniques, y compris des systèmes de sangles et poids. Spinal traction may be a component of regular treatment by physiotherapists, physicians or chiropractors. In this context, it is paid for as a regular treatment session according to the agreement with that provider group. La traction vertébrale peut faire partie d’un traitement ordinaire dispensé par un physiothérapeute, un médecin ou un chiropraticien. Dans ce cas, il est payé au même titre qu’un traitement ordinaire, conformément à l’entente conclue avec le groupe de fournisseurs en question. The purpose of this section is to address standalone spinal traction therapy, for which the provider is not one of the above or is one of the above and wants to bill more than a regular treatment session fee under the agreement with that provider group. Cette section porte sur la thérapie par traction vertébrale autonome lorsque le fournisseur n’est pas l’une des personnes nommées plus haut ou l’est, mais veut facturer selon un montant supérieur aux frais applicables à un traitement ordinaire en vertu de l’entente établie avec le groupe de fournisseurs. Recommendation Since: • a literature search found extremely limited evidence of efficacy of the use of spinal traction and a lack of a standardized process for spinal traction; and • the treatment is passive WorkSafeNB: • generally does not approve the payment of standalone spinal traction in the treatment of cervical and lumbar pain, including specialized hydraulic forms of spinal traction. Recommandation Étant donné : • que le dépouillement d’ouvrages a révélé des preuves extrêmement limitées quant à l’efficacité de cette thérapie et n’a donné aucun processus normalisé pour la traction vertébrale; • que le traitement est passif; Travail sécuritaire NB : • n’autorise habituellement pas le paiement de la traction vertébrale autonome pour traiter la douleur cervicale et lombaire, y compris les techniques hydrauliques spécialisées de la traction vertébrale. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés In the exceptional case that WorkSafeNB does authorize payment, authorization is contingent upon: • Approval by regional director; and • Completion of a Pain and Activity Questionnaire and an SF 36 by the worker prior to the start of spinal traction and 3 months after starting of traction, in order to assess the efficacy of treatment. Page 47 of / de 86 Dans les cas exceptionnels où Travail sécuritaire NB autorise le paiement, l’autorisation est conditionnelle : • à l’approbation d’un directeur de région; • à ce que le travailleur remplisse le Questionnaire sur la douleur et les activités et le questionnaire SF-36 avant le début de la thérapie par traction vertébrale et trois mois après le début de la thérapie afin d’évaluer l’efficacité du traitement. References Clarke, J. A., M. W. van Tulder, et al. (2007). "Traction for low-back pain with or without sciatica." Cochrane Database Syst Rev(2): CD003010.This review found that spinal traction was no more effective than other treatments in treating pain in the lumbar region. Références CLARKE, J. A., M. W. van Tulder, et coll. (2007). « Traction for low-back pain with or without sciatica ». The Cochrane Database of Systematic Reviews (2) : CD003010. Cette étude a révélé que la thérapie par traction vertébrale n’était pas plus efficace que d’autres traitements pour traiter la douleur lombaire. Daniel, D. M. (2007). "Non-surgical spinal decompression therapy: does the scientific literature support efficacy claims made in the advertising media?" Chiropr Osteopat 15: 7.This review of the literature indicated that there is no evidence to support the use of commercially expensive hydraulic traction systems in the treatment of cervical and lumbar back pain. DANIEL, D. M. (2007). « Non-surgical spinal decompression therapy: does the scientific literature support efficacy claims made in the advertising media? ». Chiropractic & Osteopathy, 15 : page 7. Cette étude a indiqué qu’il n’y a pas de preuves pour appuyer l’utilisation de systèmes de traction hydraulique dispendieux pour traiter la douleur cervicale et lombaire. Peake, N., & Harte, A. (2005). "The effectiveness of cervical traction." Physical Therapy Reviews 10: 217-229.This review indicated that until clear medical evidence related to spinal traction is established, the practitioner must treat the client using individual and hospital guidelines. PEAKE, N. et A. Harte (2005). « The effectiveness of cervical traction ». Physical Therapy Reviews, 10 : pages 217 à 229. Cette étude souligne que jusqu’à ce qu’il y ait des preuves médicales claires relativement à la thérapie par traction vertébrale, le praticien doit traiter le client selon des lignes directrices individuelles et de l’hôpital. 2.15 Knee/Foot Orthotics in Patellofemoral Pain Syndrome (PFPS) 2.15 Orthèses de genou / plantaires pour traiter le syndrome fémororotulien douloureux What is it? Patellofemoral pain syndrome is pain around C’est quoi? Il s’agit de la douleur autour de la rotule ou DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 48 of / de 86 or behind the kneecap (patella) when going up or downstairs, squatting or sitting with flexed knees. derrière la rotule lorsqu’on monte ou descend un escalier, qu’on s’accroupit ou qu’on s’assoit avec les genoux fléchis. The use of knee or foot orthotics as treatments for PFPS is the focus of the section. Cette section porte sur l’utilisation d’orthèses de genou ou plantaires pour traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux. Recommendation Since: • A literature search found extremely limited evidence of efficacy of the use of custom orthotics in the treatment of PFPS, Recommandation Étant donné : • que le dépouillement des ouvrages a révélé des preuves extrêmement limitées quant à l’efficacité des orthèses sur mesure pour traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux; Travail sécuritaire NB : • n’autorise habituellement pas le paiement d’orthèses plantaires ou de genou pour traiter le syndrome fémororotulien douloureux. WorkSafeNB: • Generally does not approve the payment of custom foot or knee orthotics in the treatment of PFPS. If WorkSafeNB does authorize payment, authorization is contingent upon: • Consideration only after other conservative treatments such as physiotherapy have failed; • Approval by the Regional Director; and S’il autorise le paiement, l’autorisation : • • Completion of a Pain and Activity Questionnaire and an SF 36 by the worker prior to the payment of orthotics and 3 months after the worker has been provided with the orthotic, in order to assess the efficacy of treatment. • • ne sera considérée que si d’autres traitements conservateurs tels la physiothérapie ont échoué; est conditionnelle à l’approbation d’un directeur de région; est conditionnelle à ce que le travailleur remplisse le Questionnaire sur la douleur et les activités et le questionnaire SF-36 avant le début du paiement des orthèses et trois mois après que le travailleur a reçu l’orthèse afin d’évaluer l’efficacité du traitement. References D’hondt, N., Struijs, P., Kerkhoffs, G., Verheul, C., Lysens, R., Aufdemkampe, G., & Van Dijk, C. (2002). Orthotic devices for treating patellofemoral pain syndrome. Cochrane Database of Systematic Reviews. Issue 2. Art No.: CD002267. This Cochrane Review found that there was no evidence to support the use of orthotic devices in the treatment of PFPS. Références D’HONDT, N., P. Struijs, G. Kerkhoffs, C. Verheul, R. Lysens, G. Aufdemkampe et C. Van Dijk (2002). « Orthotic devices for treating patellofemoral pain syndrome ». Cochrane Database of Systematic Reviews, 2, article no CD002267. Cette étude de Cochrane a révélé qu’il n’existait aucune preuve pour appuyer l’utilisation d’orthèses pour traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux. Lun, V., Wiley, J., Meeuwissw, W., & Yanagawa, T. (2005). Effectiveness of LUN, V., J. Wiley, W. Meeuwissw et T. Yanagawa (2005). « Effectiveness of DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 49 of / de 86 patellar bracing for treatment of patellofemoral pain syndrome (abstract). Clinical Journal of Sport Medicine, 15 (4), 235-240. This study found that patellar bracing was not effective in the treatment of PFPS. patellar bracing for treatment of patellofemoral pain syndrome (abstract) ». Clinical Journal of Sport Medicine, 15(4), pages 235 à 240. L’étude a démontré qu’une orthèse rotulienne n’était pas efficace pour traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux. Weiner-Ogilvie, S., & Jones, R. (2004). A randomized trial of exercise therapy and foot orthoses as treatment for knee pain in primary care. British Journal of Podiatry, 7 (2), 43-49. This study found no differences in outcomes for participants treated with exercise or foot orthoses in the PFPS. WEINER-OGILVIE, S. et R. Jones (2004). « A randomized trial of exercise therapy and foot orthoses as treatment for knee pain in primary care ». British Journal of Podiatry, 7(2), pages 43 à 49. Cette étude n’a pas révélé de différences entre les résultats pour les participants traités au moyen d’exercices ou d’orthèses plantaires dans le cas du syndrome fémoro-rotulien douloureux. Collins, N., Crossley, K., Beller, E., Darnell, R., McPoil, T., & Vicenzino, B. (2009). Foot orthoses and physiotherapy in the treatment of patellofemoral pain syndrome: randomised clinical trial. Br J Sports Med, 43(3), 169-171. doi: 10.1136/bmj.a1735 Foot orthoses do not improve outcomes when added to physiotherapy for treatment of PFPS. COLLINS, N., K. Crossley, E. Beller, R. Darnell, T. McPoil et B. Vicenzino (2009). « Foot orthoses and physiotherapy in the treatment of patellofemoral pain syndrome: randomised clinical trial ». British Journal of Sports Medicine, 43(3), pages 169 à 171. DOI : 10.1136/bmj.a1735. Les orthèses plantaires utilisées avec la physiothérapie pour traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux n’améliorent pas les résultats. 2.16 Methadone for Treatment of Chronic Non-malignant / Non-cancer Pain 2.16 Méthadone pour traiter les douleurs chroniques bénignes / d’origine non cancéreuse What is it? Methadone is an opioid with a long half-life. It is generally less expensive than other opioids; produces less allodynia and hyperalgesia than other opioids; and produces less euphoria than other opioids. C’est quoi? La méthadone est un opiacé ayant une longue demi-vie. Elle coûte habituellement moins cher; provoque moins d’allodynie et d’hyperalgésie; et engendre moins d’euphorie que d’autres opiacés. When is it used? Methadone is generally reserved for: • Treatment of opioid addiction and dependency; and • As a last resort replacement of other opioids in the treatment of chronic nonmalignant pain (CNMP) / chronic non- À quoi sert-elle? La méthadone est habituellement réservée : • pour traiter l’accoutumance et la dépendance aux opiacés; • en dernier recours, pour remplacer d’autres opiacés afin de traiter les douleurs chroniques bénignes / DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés cancer pain (CNCP). Page 50 of / de 86 d’origine non cancéreuse. In the first case, the physician must have a licence for prescribing in an addiction program context. Dans le premier cas, le médecin doit détenir un permis pour prescrire de la méthadone dans les cas d’accoutumance. In the second, the physician must have a licence for prescribing in a treatment program context. Dans le second, le médecin doit détenir un permis pour prescrire de la méthadone à des fins de traitement. The two are not interchangeable. Les deux permis interchangeables. Pain should be managed according to the WHO stepladder approach. Opioids are not first line treatment in acute pain. Opioids are generally used in the treatment of predominantly biological chronic pain. Opioids should be avoided in the treatment of predominantly psychosocial chronic pain. La douleur devrait être gérée selon l’échelle analgésique de l’Organisation mondiale de la Santé. Les opiacés ne constituent pas un traitement de première intention pour traiter les douleurs aiguës. Ils sont habituellement utilisés pour traiter les douleurs chroniques de nature essentiellement biologique et devraient être évités pour traiter les douleurs chroniques de nature essentiellement psychosociale. Methadone should be reserved for the treatment of predominantly biological chronic pain where the response to other opioids has shown poorer pain control with escalating doses. La méthadone devrait être réservée pour traiter les douleurs chroniques de nature essentiellement biologique lorsque les autres opiacés procurent une moins bonne maîtrise de la douleur malgré des doses croissantes. WorkSafeNB uses the Pain & Activity Questionnaire and SF-36 to screen workers for predominantly psychosocial pain generators. Additional assessment may be done if indicated. Travail sécuritaire NB se sert du Questionnaire sur la douleur et les activités et du questionnaire SF-36 pour dépister les clients qui démontrent des facteurs de douleur de nature essentiellement psychosociale. D’autres évaluations peuvent être effectuées, s’il y a lieu. WorkSafeNB uses validated functional assessment tools such as the Québec Pain Disability Questionnaire (QPD) and SF-36 to evaluate the effectiveness of treatment. Travail sécuritaire NB utilise des outils d’évaluation fonctionnelle comme le Quebec Back Pain Disability Questionnaire et le questionnaire SF-36 pour évaluer l’efficacité du traitement. • Le traitement devrait avoir pour but d’améliorer les fonctions ainsi que de maîtriser ou de réduire la douleur. La définition de la capacité fonctionnelle • The goal of treatment should be functional improvement with control or reduction of pain. The definition of what constitutes functional depends on the ne sont pas DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés context – return to work, stay at work, quality of life. • While reducing medications used to treat pain, the functional goal may be to maintain function as the worker is weaned off medication rather than increase function. A worker staying at work with no clinically significant change in SF-36 or QPD score while undergoing reduction in medications may be considered to have functional improvement (less disability). • • Greater than 5 point decrease in SF-36 PCS or MCS score is indicative of worsening function. Greater than 5 point increase is indicative of increased function (decreased disability). • • Greater than 17 point increase in QPD score during acute and subacute injury phases is indicative of worsening function. Greater than 17 point decrease is indicative of increased function (decreased disability). • • Greater than 9 point increase in QPD score during chronic injury phases is indicative of worsening function. Greater than 9 point decrease is indicative of increased function (decreased disability). • Recommendation WorkSafeNB: • Does not authorize payment of methadone for treatment of acute and subacute non-malignant / non-cancer Page 51 of / de 86 varie selon le contexte, selon qu’il s’agisse de retourner au travail, de demeurer au travail ou de la qualité de vie. Le but relativement aux fonctions peut viser le maintien des fonctions pendant que le travailleur apprenne à se passer de médicaments, plutôt que l’amélioration des fonctions, tout en réduisant les médicaments utilisés pour traiter la douleur. On peut considérer qu’un travailleur connaît une amélioration des fonctions (invalidité réduite) s’il demeure au travail, sans qu’il n’y ait de changement clinique important au niveau du résultat du questionnaire SF-36 ou du Quebec Back Pain Disability Questionnaire pendant qu’il réduit sa consommation de médicaments. Une diminution de plus de cinq points du résultat du Physical Component Score ou du Mental Component Score du questionnaire SF-36 indique une diminution des fonctions. Une augmentation de plus de cinq points indique une amélioration des fonctions (invalidité réduite). Une augmentation de plus de 17 points du résultat du Quebec Back Pain Disability Questionnaire pendant les phases aiguë et subaiguë d’une blessure indique une diminution des fonctions. Une diminution de plus de 17 points indique une amélioration des fonctions (invalidité réduite). Une augmentation de plus de neuf points du résultat du Quebec Back Pain Disability Questionnaire pendant les phases chroniques d’une blessure indique une diminution des fonctions. Une diminution de plus de neuf points indique une amélioration des fonctions (invalidité réduite). Recommandation Travail sécuritaire NB : • n’autorise pas le paiement de la méthadone pour traiter les douleurs bénignes / d’origine non cancéreuse DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés • pain; but May authorize payment of methadone for treatment of chronic non-malignant / non-cancer pain. Authorization of payment is contingent upon: • Methadone being a last resort replacement of other opioids in the treatment of chronic non-malignant pain (CNMP) / chronic non-cancer pain (CNCP); • Prior approval by a medical advisor and regional director; • The prescribing physician having a licence to prescribe methadone in a treatment context. An addiction licence is not the same as a treatment licence; • The prescribing physician providing WorkSafeNB with a functional goal for methadone treatment; • The worker completing the Opioid Risk Tool; • The worker completing a pre-treatment P&A Questionnaire and SF-36; • The worker’s pain generator predominantly biological; • The worker agreeing to complete an SF36 every 2 months to monitor functional progress; • The worker signing an informed consent and therapeutic agreement with the program physician and with the dispensing pharmacy (pharmacist); • The prescribing physician monitoring the worker for opioids and street drugs; • The prescribing physician monitoring the worker for taking of methadone; being • Page 52 of / de 86 aiguës et subaiguës; peut autoriser le paiement de la méthadone pour traiter les douleurs chroniques bénignes / d’origine non cancéreuse. L’autorisation de paiement est conditionnelle à ce qui suit : • la méthadone est une mesure de dernier recours pour remplacer d’autres opiacés afin de traiter les douleurs chroniques bénignes / d’origine non cancéreuse; • un médecin-conseil et un directeur de région doivent approuver le traitement au préalable; • le médecin prescripteur doit détenir un permis pour prescrire de la méthadone à des fins de traitement. Un permis pour les cas d’accoutumance n’est pas la même chose qu’un permis de traitement; • le médecin prescripteur doit aviser Travail sécuritaire NB d’un but fonctionnel quant au traitement à la méthadone; • le travailleur doit remplir l’évaluation des risques d’accoutumance aux opiacés; • le travailleur doit remplir le Questionnaire sur la douleur et les activités et le questionnaire SF-36 avant le traitement; • le facteur de douleur du travailleur doit être de nature essentiellement biologique; • le travailleur doit accepter de remplir un questionnaire SF-36 tous les deux mois afin qu’on puisse surveiller ses progrès fonctionnels; • le travailleur doit signer le consentement éclairé et l’Entente relative à la thérapie par les opiacés avec le médecin du programme et le pharmacien; • le médecin prescripteur doit surveiller le travailleur pour ce qui est des opiacés et des drogues de la rue; • le médecin prescripteur doit surveiller le travailleur relativement à l’usage de DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés • The prescribing physician agreeing to work with the WorkSafeNB’s medical advisor and providing the medical advisor with reports of drug and opioid monitoring; Clarifying with the prescribing physician and dispensing pharmacy that since the purpose of methadone is for treatment, WorkSafeNB does not expect to pay daily travel and dispensing costs; • • The worker using colour-coded methadone powder and capsules as a due-diligence measure to limit the risk of diversion. The medical advisor may also require the addition of cayenne pepper to limit the risk of diversion; and • • The medical advisor establishing special authorization to limit: • • – – Prescribing to one physician; and Dispensing to one pharmacy. • Page 53 of / de 86 la méthadone; le médecin prescripteur doit accepter de travailler avec le médecin-conseil de Travail sécuritaire NB et lui faire parvenir des rapports de surveillance de drogues et d’opiacés; le médecin prescripteur et le pharmacien doivent avoir été avisés que puisque la méthadone a été prescrite à des fins de traitement, Travail sécuritaire NB ne prévoit pas payer les frais de déplacement quotidien et d’ordonnance; le travailleur doit utiliser de la poudre et des capsules de méthadone à code de couleur par mesure de diligence raisonnable afin de limiter le détournement. Le médecin-conseil peut également exiger l’ajout de piment de Cayenne pour limiter le risque de détournement; le médecin-conseil doit établir une autorisation spéciale pour que l’ordonnance : – ne provienne que d’un seul médecin; – ne provienne que d’une seule pharmacie. References: Sandoval, J. A., A. D. Furlan, et al. (2005). "Oral methadone for chronic noncancer pain: a systematic literature review of reasons for administration, prescription patterns, effectiveness, and side effects." Clin J Pain 21(6): 503-12 – systematic review: use of methadone in CNCP patients is based primarily on uncontrolled studies (4 cases reports back pain, 1 case report CRPS, 1 study neuropathic pain, 1 study phantom limb pain). So the estimate of 59% efficacy is likely overstated. Références SANDOVAL, J. A., A. D. Furlan, et coll. (2005). « Oral methadone for chronic noncancer pain: a systematic literature review of reasons for administration, prescription patterns, effectiveness, and side effects ». Clinical Journal of Pain, 21(6) : pages 503 à 512 – L’examen systématique de l’usage de la méthadone chez les patients atteints de douleurs chroniques d’origine non cancéreuse est surtout fondé sur des études non contrôlées (4 rapports de cas : douleurs dorsales; 1 rapport de cas : syndrome de douleur régionale complexe; 1 étude : douleur neuropathique; 1 étude : douleur du membre fantôme). Le pourcentage estimatif d’efficacité, soit 59 %, est probablement exagéré. Atlier, N., D. Dion, et al. (2005). "Management of chronic neuropathic pain ATLIER, N., D. Dion, et coll. (2005). « Management of chronic neuropathic pain DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 54 of / de 86 with methadone: a review of 13 cases." Clin J Pain 21(4): 364-9 – case study of benefit in neuropathic pain concluded that there was now a need for controlled studies. with methadone: a review of 13 cases ». Clinical Journal of Pain, 21(4) : pages 364 à 369 – Une étude de cas sur les bienfaits relativement à la douleur neuropathique a indiqué que des études contrôlées étaient maintenant nécessaires. Rhodin, A., Gronbladh, L., Nilsson, L. H., & Gordh, T. (2006). Methadone treatment of chronic non-malignant pain and opioid dependence--a long-term follow-up. Eur J Pain, 10(3), 271-278. A methadone programme can treat chronic pain patients with opioid dependency improving pain relief and quality of life but side effects and adverse effects may limit the benefits. RHODIN, A., L. Gronbladh, L. H. Nilsson et T. Gordh (2006). « Methadone treatment of chronic non-malignant pain and opioid dependence – A long-term follow-up ». European Journal of Pain, 10(3) : pages 271 à 278. Un programme de méthadone pour traiter la douleur chronique chez les patients ayant une dépendance aux opiacés peut soulager leur douleur et améliorer leur qualité de vie, mais les effets secondaires et les effets néfastes peuvent limiter les bienfaits. 2.17 Osteopathy in the Later Part of the Continuum of Care by Stand Alone Provider 2.17 Ostéopathie dans la phase tardive du continuum des soins What is it? C’est quoi? Osteopathic medicine is based on the belief that most diseases are related to problems in the musculoskeletal system or structural integrity. Manipulation is used to restore the body to harmony. La médecine ostéopathique est fondée sur la croyance que la plupart des maladies sont liées à des problèmes au niveau du système musculo-squelettique ou à l’intégrité structurale. La manipulation est utilisée pour rétablir l’harmonie du corps. Purpose To distinguish between two contexts: • Early Continuum of Care; and • Later Continuum of Care. But Pour distinguer entre deux contextes : • phase précoce du continuum des soins; • phase tardive du continuum des soins. Early: Osteopathy as a component of care by a provider group that is generally used at this point in the early continuum (e.g. Physician seeing own patient, primary physiotherapy). The worker is not being referred for osteopathy – covered under Directive No. 25-002.01 Schedule of Care – Generally Approved Care, Treatment and Tests Phase précoce : Ostéopathie dans le cadre de soins, dispensée par un groupe de fournisseurs dans la phase précoce du continuum des soins (médecin qui voit son propre patient, physiothérapie primaire). Le travailleur n’est pas adressé en vue de traitements d’ostéopathie, lesquels sont payés conformément à la Directive 25-002.01, intitulée Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement approuvés. dispensée par un fournisseur autonome DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 55 of / de 86 Later: Osteopathy in the later part of the continuum of care either as a standalone (being referred for osteopathy e.g. to Doctor of Osteopathy) or as a component of care (e.g massage therapy or chronic pain clinic) covered under this directive. Phase tardive : Ostéopathie dans la phase tardive du continuum des soins, soit en tant que traitement autonome (client adressé en vue de traitements d’ostéopathie, par exemple à un ostéopraticien) ou dans le cadre de soins, comme la massothérapie ou le traitement de la douleur chronique, lesquels sont payés conformément à la présente directive. Recommendation Osteopathy in this context is generally not approved prior to completion of the Continuum of Care by the early chronic injury phase. Recommandation L’ostéopathie dans ce contexte n’est habituellement pas approuvée avant la fin du continuum des soins avant la phase chronique précoce d’une lésion. Osteopathy may be approved in the late chronic injury phase with the proviso that: L’ostéopathie peut être approuvée dans la phase chronique tardive d’une lésion à condition que : • le médecin-conseil recommande qu’on en approuve le paiement; • le directeur de région donne son approbation; • les progrès sont évalués et démontrent une amélioration importante des fonctions; • les traitements sont autorisés en tranches allant jusqu’à huit semaines. Le client doit démontrer une amélioration importante de ses fonctions pour que des tranches subséquentes de huit semaines soient autorisées. • Recommendation to approve payment by the Medical Advisor; • Approval by the Regional Director; • Progress is evaluated for significant functional improvement; and • Authorization of treatments in blocks of up to 8 weeks. Authorization of subsequent blocks of up to 8 weeks is based on demonstration of significant functional improvement. References Earley, B. E. and H. Luce (2010). "An introduction to clinical research in osteopathic medicine." Prim Care 37(1): 4964. Conclusions: Although osteopathic medicine has been in existence for more than 130 years, it is poorly understood by other health care professionals. This article reviews the effect of osteopathic manipulative treatment on various medical conditions. Références EARLEY, B. E., et H. Luce (2010). « An introduction to clinical research in osteopathic medicine ». Primary Care: Clinics in Office Practice, 37(1) : pages 49 à 64. Conclusions : Bien que la médecine ostéopathique existe depuis plus de 130 ans, elle est mal comprise des autres professionnels des soins de santé. L’article aborde l’effet du traitement ostéopathique par manipulation pour traiter diverses conditions médicales. Gamber, R., S. Holland, et al. (2005). "Cost-effective osteopathic manipulative medicine: a literature review of cost- GAMBER, R., S. Holland et coll. (2005). « Cost-effective osteopathic manipulative medicine: a literature review of cost- DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 56 of / de 86 effectiveness analyses for osteopathic manipulative treatment." J Am Osteopath Assoc 105(8): 357-367. Conclusions: The cost-effectiveness of osteopathic manipulative treatment in comparison to other treatment therapies has not been well researched or documented. This article recommends that the osteopathic profession needs to conduct and publish research in relation to the value and costeffectiveness of this medical treatment. effectiveness analyses for osteopathic manipulative treatment ». The Journal of the American Osteopathic Association, 105(8) : pages 357 à 367. Conclusions : La rentabilité des traitements ostéopathiques par manipulation comparativement à d’autres traitements n’a pas fait l’objet de suffisamment de recherches et n’a pas été suffisamment documentée. L’article recommande aux ostéopraticiens d’effectuer et de publier de la recherche relativement à la valeur et à l’efficacité par rapport au coût de ce traitement médical. 2.18 Medication-Induced Dry Mouth (Xerostomia) and Dental Care 2.18 Sécheresse de la bouche (xérostomie) induite par les médicaments et soins dentaires What is it? Dry mouth (Xerostomia) affects 10-29% of the population. There are many causes of reduced saliva including aging, certain disease conditions and as a side effect from well over 500 medications. C’est quoi? La sécheresse de la bouche (xérostomie) affecte entre 10 et 29 % de la population. Il existe de nombreuses causes de réduction de la salive, y compris l’âge, certains états pathologiques et les effets secondaires de bien au-delà de 500 médicaments. Request There have been requests from workers for dental work related to periodontal disease, dental caries and tooth replacement, stating that the usage of certain medications (paid for by WorkSafeNB for the compensable injury) which can cause Xerostomia, have resulted in dental decay. Demande Des travailleurs ont demandé que Travail sécuritaire NB paie les soins dentaires liés à la maladie parodontale, aux caries et au remplacement de dents en affirmant que la prise de certains médicaments (payés par Travail sécuritaire NB en raison d’une blessure indemnisable) pouvant causer la xérostomie ont entraîné des caries dentaires. Recommendation Since the literature and two reports from dental faculty at Dalhousie University (see reports in MA Handbook) do not support that xerostomia alone causes an increased risk of dental caries, WorkSafeNB does not generally authorize payment for this condition. Recommandation Étant donné que la documentation et deux rapports de la faculté de médecine dentaire de la Dalhousie University (voir les rapports du Medical Advisor’s Handbook) n’appuient pas que la xérostomie seule cause un risque accru de caries dentaires, Travail sécuritaire NB n’autorise généralement pas le paiement de traitements liés à cette condition. • D’autres facteurs de risque doivent être pris en considération, y compris le • Other risk factors must be taken into account including diet, carbohydrate DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés intake, oral hygiene status, age, and microbial load of the worker’s saliva. • • • There must be an objective demonstration of reduced salivary flow not caused by other conditions e.g. Sjögren’s Syndrome, diabetes, AIDS, bone marrow transplants, dehydration etc. If salivary flow is found to be of normal volume then the complaint of dry mouth is due to other factors. • If salivary flow is found to be reduced, some literature supports there is a reduced risk of dental disease. • • Page 57 of / de 86 régime alimentaire, l’apport de glucides, l’hygiène buccale, l’âge et la charge microbienne de la salive du travailleur. Il doit y avoir une démonstration objective de salivation réduite non causée par d’autres conditions, comme le syndrome de Sjögren, le diabète, le SIDA, une greffe de moelle osseuse, la déshydratation, etc. Si on détermine que le volume de salivation est normal, la sécheresse de la bouche est alors attribuable à d’autres facteurs. De la documentation appuie que le risque d’une maladie dentaire est moindre si on détermine que le volume de salivation est réduit. References Billings, R. J. (1993). "An epidemiologic perspective of saliva flow rates as indicators of susceptibility to oral disease." Crit Rev Oral Biol Med 4(3-4): 351-356. Conclusions: Low saliva rates alone do not have a clinically revelent effect on susceptibility to oral diseases. Références BILLINGS, R. J. (1993). « An epidemiologic perspective of saliva flow rates as indicators of susceptibility to oral disease. » Critical Reviews in Oral Biology & Medicine, 4(3-4) : pages 351 à 356. Conclusions : La salivation réduite à elle seule n’a pas d’incidence clinique valable sur la susceptibilité aux maladies buccales. Guggenheimer, J. and P. A. Moore (2003). "Xerostomia: etiology, recognition and treatment." J Am Dent Assoc 134(1): 61-69; quiz 118-119. Conclusions: Xerostomia has many causes, from disease entities to medication side effects. The physician needs to identify the possible cause(s) in order to provide the patient with the appropriate treatment. GUGGENHEIMER, J. et P. A. Moore (2003). « Xerostomia: etiology, recognition and treatment. » Journal of the American Dental Association, 134(1) : pages 61 à 69; questionnaire, pages 118 et 119. Conclusions : La xérostomie a de nombreuses causes, allant d’entités morbides aux effets secondaires de médicaments. Le médecin doit déterminer les causes possibles afin de pouvoir offrir le traitement approprié au patient. Janket, S. J., J. A. Jones, et al. (2003). "Xerostomic medications and oral health: the Veterans Dental Study (part I)." Gerodontology 20(1): 41-49. Conclusions: The study looked at 345 veterans on medications and found there were effects on oral mucosa from xerostomic medications but found no increase in dental caries or periodontal disease. JANKET, S. J., J. A. Jones et coll. (2003). « Xerostomic medications and oral health: the Veterans Dental Study (part I). » Gerodontology, 20(1) : pages 41 à 49. Conclusions : L’étude visait 354 anciens combattants qui prenaient des médicaments et a conclu que les médicaments qui entraînaient la xérostomie avaient des effets sur la DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 58 of / de 86 muqueuse buccale, mais n’a pas constaté d’augmentation de l’incidence de caries dentaires ou de maladies parodontales. 2.19 Medical Marijuana 2.19 Marijuana à des fins médicales What is it? While “medical marijuana” is often used as being synonymous with “dried marijuana”, it technically refers to both “dried marijuana” and “pharmaceutical marijuana”. In this document, medical marijuana will refer to both forms. C’est quoi? Bien que l’expression « marijuana à des fins médicales » soit souvent utilisée comme un synonyme de « marijuana séchée », elle désigne à la fois la « marijuana séchée » et la « marijuana à usage pharmaceutique ». Aux fins de la présente politique, la marijuana à des fins médicales désignera les deux formes. Dried (Non-Pharmaceutical) Marijuana Marijuana séchée (à usage non pharmaceutique) Cette directive a été rédigée en fonction d’énoncés de position de l’Association médicale canadienne, du Collège des médecins de famille du Canada et de Santé Canada. This directive has been formulated based on position statements of the Canadian Medical Association, the College of Family Physicians of Canada and Health Canada Canadian Medical Association’s current position paper on medical marijuana accessed Oct. 20 2015 is dated 2011: “In summary, there remains scant evidence regarding the effectiveness of the herbal form of marijuana (e.g. smoked) as accessed through Health Canada’s MMAR program. The generalizability of the conclusions from published studies are limited by methodology (double blind placebo controlled trials are not possible; previous users of marijuana are often excluded) and very small sample sizes. While it may be the case that medical marijuana is efficacious, scientific evidence comparable to other prescription pharmaceuticals is still lacking. Additionally, there is insufficient information about longterm effects and pharmacodynamics such as interactions with other medications and dose response curves.” L’exposé de position actuel sur la marijuana à des fins médicales de l’Association médicale canadienne, consulté le 20 octobre 2015, est daté de 2011 : « En résumé, il y a toujours peu de données probantes sur l’efficacité de la marijuana sous forme d’herbe (p. ex., inhalée) à laquelle donne accès le programme RAMM de Santé Canada. Les possibilités de généraliser les conclusions tirées d’études publiées sont limitées par la méthodologie (il est impossible de procéder à des essais à double insu contrôlés par placebo; les personnes ayant déjà fait usage de marijuana sont souvent exclues) de même que par la taille très limitée des échantillons. La marijuana à des fins médicales est peut-être efficace, mais il n’y a toujours pas de données scientifiques permettant d’en comparer l’efficacité à celle d’autres médicaments d’ordonnance. En outre, il n’y a pas suffisamment d’information sur les effets à long terme et la pharmacodynamique, comme les interactions avec d’autres médicaments et les courbes dose-réponse. » DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 59 of / de 86 “Pharmaceutical cannabinoids have undergone clinical trials to demonstrate safety and effectiveness, and have been approved for use through the Food and Drug Act of Canada. Of note is that in this format, the toxic by-products of smoked marijuana are avoided.” « Les cannabinoïdes pharmaceutiques ont fait l’objet d’essais cliniques visant à en démontrer l’innocuité et l’efficacité, et l’utilisation en a été approuvée en vertu de la Loi sur les aliments et drogues du Canada. Il convient de signaler que ce format évite les sous-produits toxiques de la marijuana inhalée. » “The active ingredient of cannabis, or synthetic cannabinoids, THC, can already be prescribed as an oral capsule (nabilone) and as an inhaled spray (Sativex).” Lexicomp drug information database accessed from Canadian Medical Association website on Oct. 20 2015 lists approved indications as: • Neuropathic pain, • Spasticity in multiple sclerosis; and • Moderate to severe cancer pain. « L’ingrédient actif du cannabis, ou des cannabinoïdes de synthèse, le THC, est déjà disponible sous forme de capsule à prise orale (nabilone) ou de pulvérisateur pour inhalation (Sativex). » Selon LexicompMD, la base de données d’information sur les drogues qui a été consultée à partir du site Web de l’Association médicale canadienne le 20 octobre 2015, les indications approuvées sont la spasticité et la douleur neuropathique associées à la sclérose en plaques, et la douleur cancéreuse modérée à sévère. Elle n’est pas approuvée pour traiter d’autres types de douleur chronique non cancéreuse et le syndrome de stress post-traumatique. Use in other types of chronic non-cancer pain and in PTSD is not an approved indication. College of Family Physicians of Canada’s current position paper on medical marijuana accessed Oct. 20 2015 is dated 2013: “Physicians cannot be expected to prescribe a drug without the safeguards in place as for other medications – solid evidence supporting the effectiveness and safety of the medication, and a clear set of indications, dosing guidelines and precautions.” WorkSafeNB turns to professional associations such as the College of Family Physicians of Canada and the Canadian Medical Association for guidance. There continues to be a lack of medical evidence to support the use of smoked marijuana in much of the context that WorkSafeNB is being asked to cover payment. L’exposé de position actuel du Collège des médecins de famille du Canada sur la marijuana à des fins médicales, consulté le 20 octobre 2015, est daté de 2013 : « On ne peut pas s’attendre à ce que les médecins prescrivent la marijuana sans les mesures de protection présentes pour les autres médicaments ‒ efficacité et innocuité solidement établies, indications, recommandations posologiques et précautions à prendre clairement définies. » Travail sécuritaire NB se fie sur des associations professionnelles comme le Collège des médecins de famille du Canada et l’Association médicale du Canada pour l’orienter. Les preuves médicales demeurent toujours insuffisantes pour appuyer l’utilisation de la marijuana inhalée dans la plupart des instances où l’on demande à Travail sécuritaire NB de la payer. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 60 of / de 86 “No prescribed medication uses smoke (combustion of herbal material) as a delivery system. Smoke is a hazardous delivery system, because (a) psychoactive ingredients reach the CNS much faster than other routes, causing intoxication; and (b) smoke contains hundreds of chemicals that are potentially carcinogenic or harmful to the heart or other organs.” « Aucun médicament sous ordonnance n’utilise la fumée (produit de combustion d’une plante) comme mode d’administration. La fumée est un mode d’administration dangereux, puisque a) les psychotropes atteignent le SNC beaucoup plus rapidement qu’avec tout autre mode, provoquant une intoxication; b) la fumée contient des centaines de produits chimiques potentiellement cancérogènes ou nocifs pour le cœur ou d’autres organes. » Health Canada: “Dried marijuana is not an approved drug or medicine in Canada” http://www.hc-sc.gc.ca/dhpmps/marihuana/index-eng.php (Health Canada site accessed Feb. 13, 2015) Santé Canada : « La marijuana séchée n’est pas un médicament approuvé au Canada. » http://www.hc-sc.gc.ca/dhpps/marihuana/index-fra.php (site Web de Santé Canada consulté le 13 février 2015). Marijuana is a controlled substance under the Controlled Drugs and Substances Act in Canada (“The Controlled Drugs and Substances Act (CDSA) and its regulations provide a framework for the control of substances that can alter mental processes and that may harm an individual or society when misused or diverted to an illicit market” – Health Canada site accessed Feb. 13, 2015). Au Canada, la marijuana est une substance contrôlée en vertu de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances. [« La Loi réglementant certaines drogues et autres substances (LRCDAS) et les règlements y afférents encadrent le contrôle des substances qui peuvent altérer les processus mentaux et nuire à la santé des individus et à la société si elles sont mal utilisées ou distribuées dans un marché clandestin. » – Site Web de Santé Canada consulté le 13 février 2015.] Despite being classified under the Controlled Drugs and Substances Act, Health Canada has not issued a Drug Identification Number (DIN) because “Controlled substances that meet the definition of a drug under the Food and Drugs Act (FDA) are generally subject to the requirements of the FDA and the Food and Drug Regulations (FDR). Même si la marijuana est une substance contrôlée en vertu de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances, Santé Canada ne lui a pas accordé un numéro d’identification du médicament puisque « En règle générale, les substances désignées qui répondent à la définition de drogue contenue dans la Loi sur les aliments et drogues (LAD) sont assujetties aux exigences de la LAD et du Règlement sur les aliments et drogues (RAD). To date, the scientific evidence supporting the safety and efficacy of dried marijuana for À ce jour, les preuves scientifiques démontrant l’innocuité et l’efficacité de la DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 61 of / de 86 medical purposes has not reached the level required by the FDA and the FDR, and therefore, dried marijuana is not an approved therapeutic product in Canada, does not have a Drug Identification Number” (Health Canada site accessed Feb. 13, 2015). Dried marijuana is a “controlled substance” but not a “controlled drug”. marihuana sèche à des fins médicales n’ont pas atteint le niveau exigé par la LAD et le RAD; ainsi, la marihuana sèche n’est pas un produit thérapeutique approuvé au Canada, n’a pas de numéro d’identification du médicament…» (site Web de Santé Canada consulté le 13 février 2015). La marijuana séchée est une « substance contrôlée », mais non un « médicament contrôlé ». Health Canada goes on to note that “Despite the move to treat dried marijuana as much as possible like other narcotic drugs, to date, the scientific evidence supporting the safety and efficacy of dried marijuana for medical purposes has not reached the level required by the Food and Drugs Act and its regulations, to which all other marketed narcotic drugs are subject. As a result, healthcare practitioners have expressed concern with providing their patients with medical documents to support their access to dried marijuana” (Health Canada site accessed Feb. 13, 2015). Santé Canada souligne également que « Malgré la décision de traiter, dans la mesure du possible, la marihuana sèche comme tout autre stupéfiant, à ce jour, les preuves scientifiques démontrant l’innocuité et l’efficacité de la marihuana sèche à des fins médicales n’ont pas atteint le niveau exigé par la Loi sur les aliments et drogues et les règlements y afférents auxquels tous les autres stupéfiants commercialisés sont assujettis. À cet égard, des professionnels de la santé ont fait part de leurs préoccupations concernant la remise de documents médicaux à leurs patients pour soutenir leur demande d’accès à de la marihuana sèche » (site Web de Santé Canada consulté le 13 février 2015). The “Marijuana for Medical Purposes Regulations” (MMPR) that came into effect on June 7, 2013, provides for legal purchase of dried marijuana through Licensed Producers. Le Règlement sur la marihuana à des fins médicales, qui est entré en vigueur le 7 juin 2013, prévoit l’achat légal de la marijuana séchée par le biais de producteurs autorisés. The College of Family Physicians of Canada issued recommendations for prescribing dried cannabis (marijuana) in September 2014 (reference 8): En septembre 2014, le Collège des médecins de famille du Canada a présenté les recommandations suivantes relativement aux ordonnances de la marijuana séchée (référence 8) : Recommendation 1 There is no research evidence to support the authorization of dried cannabis as a treatment for pain conditions commonly seen in primary care, such as fibromyalgia or low back pain … Authorizations for dried cannabis should only be considered for Recommandation 1 Aucune donnée probante issue de la recherche n’étaye l’autorisation du cannabis séché pour le traitement des affections douloureuses couramment traitées en soins primaires, comme la fibromyalgie ou la lombalgie… DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 62 of / de 86 patients with neuropathic pain that has failed to respond to standard treatments L’autorisation de cannabis séché doit être envisagée exclusivement pour les patients souffrant de douleur neuropathique réfractaire aux traitements classiques. Recommendation 2 If considering authorizing dried cannabis for treatment of neuropathic pain, the physician should first consider: a) adequate trials of other pharmacologic and nonpharmacologic therapies; and b) an adequate trial of pharmaceutical cannabinoids. Recommandation 2 S’il envisage d’autoriser le cannabis séché pour le traitement de la douleur neuropathique, le médecin doit d’abord faire l’essai adéquat : a) d’autres thérapies pharmacologiques et non pharmacologiques; b) de cannabinoïdes pharmaceutiques. Recommendation 3 Dried cannabis is not an appropriate therapy for anxiety or insomnia. Recommandation 3 Le cannabis séché n’est pas un traitement approprié de l’anxiété ni de l’insomnie. Recommendation 5 Dried cannabis should be authorized with caution in those patients who … Are heavy users of alcohol or taking high doses of opioids or benzodiazepines or other sedating medications prescribed or available over the counter. Recommandation 5 L’accès au cannabis séché doit être autorisé avec prudence aux patients qui… font une grande consommation d’alcool ou qui prennent de fortes doses d’opioïdes ou de benzodiazépines ou d’autres sédatifs sur ordonnance ou en vente libre. Recommendation 12 The physician should manage disagreements with patients about decisions around authorization, dosing, or other issues with unambiguous, evidence-based statements. Recommandation 12 Le médecin doit gérer les désaccords avec les patients au sujet des décisions concernant l’autorisation, la posologie ou les autres problèmes à l’aide d’énoncés non équivoques et factuels. Recommendation 14 Given the weak evidence for benefit and the known risks of using cannabis, the only sensible advice for physicians involved with authorizing dried cannabis is the maxim “Start low, and go slow”. Recommandation 14 Étant donné la faiblesse des données étayant un bienfait et les risques connus de l’usage de cannabis, le seul conseil raisonnable que l’on puisse donner aux médecins qui autorisent l’accès au cannabis séché est « Commencez lentement et allez-y lentement ». Recommendation 15 Although it is not required by the Marijuana for Medical Purposes Regulation, physicians should specify the percentage of THC on the medical document for all authorizations for dried cannabis, just as they would specify dosing when prescribing any other analgesic. Recommandation 15 Bien que le Règlement sur la marihuana à des fins médicales ne l’exige pas, les médecins doivent préciser le pourcentage de tétrahydrocannabinol sur le document médical de toutes les autorisations d’accès au cannabis séché, tout comme ils préciseraient la posologie d’un DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 63 of / de 86 analgésique sur une ordonnance. Recommendation on Authorization of Coverage • With the exception of conditions listed in Procedure 25-002.01 Schedule of Care – Generally Approved Care, Treatment and Tests, WorkSafeNB generally does not approve medical marijuana, and if approving medical marijuana generally not: 1. Dried marijuana because of a lack of guidance for prescribers on safe dosing thereby creating a risk of causing harm to self and others from cognitive impairment; and 2. Smoked form of dried marijuana because of risk of lung cancer. • For WorkSafeNB to consider recommending payment for medical marijuana, the following conditions should be met: − − − The medical condition for which medical marijuana is being prescribed is the compensable condition; The symptom management effect is related to the compensable condition; and Traditional forms of treatment have been tried and have failed to alleviate the worker’s symptoms. If the above conditions are met and symptom management is for pain, WorkSafeNB determines if the pain is acute, subacute or chronic. Current guidelines and research are limited to chronic pain. Acute and subacute pain are managed using traditional forms of treatment. WorkSafeNB would generally not approve coverage of medical marijuana for acute and subacute Recommandation quant à l’autorisation de paiement • Sauf pour les conditions énumérées à la Directive 25-002.01, intitulée Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement approuvés, Travail sécuritaire NB n’approuve généralement pas la marijuana à des fins médicales. S’il l’approuve, il ne s’agit habituellement pas de : 1. la marijuana séchée, en raison du manque de directives pour les médecins prescripteurs quant au dosage sécuritaire, ce qui entraîne un risque lié à la possibilité de se faire du mal et de faire du mal aux autres en raison d’une déficience cognitive; 2. la marijuana séchée inhalée, en raison du risque de cancer du poumon. • Pour que Travail sécuritaire NB envisage de recommander le paiement de la marijuana à des fins médicales, les conditions suivantes doivent être satisfaites : − La condition médicale pour laquelle la marijuana médicale est prescrite est la condition indemnisable. − − L’effet de la gestion des symptômes est lié à la condition indemnisable. Le travailleur a fait l’essai de traitements traditionnels et ces derniers n’ont pas soulagé ses symptômes. Si les conditions susmentionnées sont satisfaites et le symptôme à gérer est la douleur, Travail sécuritaire NB détermine si la douleur est aiguë, sous-aiguë ou chronique. La recherche et les lignes directrices actuelles se limitent à la douleur chronique. La douleur aiguë et sous-aiguë est gérée au moyen de traitements traditionnels. Travail sécuritaire NB DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 64 of / de 86 pain. n’approuverait généralement pas le paiement de la marijuana médicale pour traiter la douleur aiguë et sous-aiguë. If symptom management is for chronic neuropathic pain, WorkSafeNB confirms that the worker has true neuropathic pain using validated tools. Dans le cas de la gestion des symptômes liés à la douleur neuropathique chronique, Travail sécuritaire NB confirme que le travailleur ressent une douleur neuropathique réelle à l’aide d’outils validés. If the worker has true neuropathic pain: Si le travailleur ressent une douleur neuropathique réelle : – la marijuana à des fins médicales est recommandée comme traitement des troisième et quatrième paliers (premier palier : tricycliques, gabapentine et Lyrica; deuxième palier : inhibiteur sélectif de la recaptation de la sérotonine / norépinéphrine et lidocaïne topique; troisième palier : tramadol, opiacés et cannabinoïdes; quatrième palier : méthadone et anticonvulsivants). – Medical marijuana is recommended as third and fourth-tier treatment (1st tier is: tricyclics, gabapentin, lyrica; 2nd tier is: SNRI, topical lidocaine; 3rd tier is: tramadol, opioids and cannabinoids; 4th tier is: methadone and anticonvulsants) If symptom management is for other forms of chronic non-cancer pain, WorkSafeNB notes that while guidelines currently do not recommend the use of medical marijuana and its use is “off-label”, research into efficacy is evolving. Dans le cas de la gestion des symptômes liés à d’autres formes de douleur chronique non cancéreuse, Travail sécuritaire NB fait remarquer que bien que les lignes directrices ne recommandent pas l’utilisation de la marijuana médicale à l’heure actuelle et que son utilisation est « non conforme à l’étiquette », la recherche quant à son efficacité évolue. Conditions for which WorkSafeNB might cover medical marijuana in the symptom management of other forms of chronic pain, after traditional forms of treatment have failed, include : • Major trauma • Failed surgery • Harm reduction – the worker is on signficiant amount of opioids with a high risk profile for death from respiratory depression Travail sécuritaire NB pourrait payer la marijuana médicale pour les conditions suivantes afin de gérer les symptômes liés à d’autres formes de douleur chronique si les traitements traditionnels ont échoué : • traumatisme majeur; • opération inefficace; • réduction des méfaits – le travailleur prend une grande quantité d’opiacés et est à risque élevé de mourir de dépression respiratoire. Otherwise, coverage of medical marijuana for chronic non-cancer pain is decided on Autrement, Travail sécuritaire NB approuve le paiement de la marijuana médicale pour DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 65 of / de 86 the “merits of the case”. traiter la douleur chronique non cancéreuse selon le « bien-fondé du cas ». If symptom management is for psychological conditions (e.g.,PTSD), WorkSafeNB notes that while guidelines currently do not recommend the us eof medical marijuana and its use is “off-label”, research into efficacy is evolving. Dans le cas de la gestion des symptômes liés à des conditions psychologiques, comme le syndrome de stress post-traumatique, Travail sécuritaire NB fait remarquer que bien que les lignes directrices ne recommandent pas l’utilisation de la marijuana médicale à l’heure actuelle et que son utilisation est « non conforme à l’étiquette », la recherche quant à son efficacité évolue. Coverage of medical marijuana is decided on the “merits of the case”. Travail sécuritaire NB approuve le paiement de la marijuana médicale selon le « bien-fondé du cas ». For anything not covered above, coverage of medical marijuana is decided on the “merits of the case”. Pour les situations non mentionnées plus haut, Travail sécuritaire NB approuve le paiement de la marijuana médicale selon le « bien-fondé du cas ». “Merits of the case” evaluation: for consistency and incorporation / synthesis of the latest research into its decision-making process, WorkSafeNB will use Canadian Health Solutions to evaluate the “merits of the case”. Évaluation selon le « bien-fondé du cas » : Afin d’assurer la conformité et d’intégrer les dernières recherches à son processus de prise de décision, Travail sécuritaire NB fera appel aux Solutions de santé canadiennes pour évaluer le « bienfondé du cas ». WorkSafeNB: • Must comply with Federal and Provincial regulations regarding medical marijuana. • If the Medical Advisor recommends payment of medical marijuana, the recommendation is generally for pharmaceutical marijuana since this form of marijuana contains the same active ingredients as nonpharmaceutical marijuana and: – Non-pharmaceutical marijuana can be contaminated with chemicals that may put the worker at risk of significant illness; – Smoked dried marijuana may be associated with increased risk of lung cancer. Past studies report no • Travail sécuritaire NB doit se conformer aux règlements fédéraux et provinciaux régissant la marijuana à des fins médicales. • Si le médecin-conseil recommande le paiement de la marijuana à des fins médicales, il s’agit habituellement de marijuana pharmaceutique puisque cette forme de marijuana contient les mêmes ingrédients actifs que la marijuana non pharmaceutique et : – la marijuana non pharmaceutique peut être contaminée par des substances chimiques qui pourraient rendre le travailleur très malade; – la marijuana séchée inhalée peut être liée à un risque accru de cancer du poumon. Selon des études DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés increased risk of lung cancer in “regular users” who are defined as taking fewer than 2 joints per day – recreational users not “medical marijuana” users (references 10-12). antérieures, il n’y a pas de risque accru de cancer du poumon chez les « usagers réguliers », qui sont définis comme les personnes qui fument moins de deux joints par jour, soit des usagers à des fins récréatives et non médicales (références 10 à 12). In a recent study looking at cannabis for chronic non-cancer pain, the average daily dose was 2.5gm = 5 joints (reference 9). However, heavy users (> 10-joint year, and longterm) may be at increased risk (references 12-13). 5 joints per day x 1 year = 5-joint year. 5 joints per day x 3 years = 15-joint year, making this scenario fall into the “heavy user” category. A worker with chronic pain is more likely to be on cannabis for a long time. The data on risk of lung cancer in “medical marijuana” users is yet to come. Une étude récente a démontré que la dose quotidienne moyenne de cannabis pour traiter la douleur chronique non cancéreuse était de 2,5 g, ce qui équivaut à 5 joints (référence 9). Cependant, les grands consommateurs (plus de 10 jointsannée, et à long terme) peuvent être plus à risque (références 12 et 13). Cinq joints par jour pendant un an équivaut à 5 joints-année. Cinq joints par jour pendant trois ans équivaut à 15 joints-année, ce qui caractérise le « grand consommateur ». Un travailleur atteint de douleur chronique a plus tendance à consommer du cannabis pour une longue période. Il n’y a pas encore de données sur les risques de cancer du poumon chez les consommateurs de « marijuana à des fins médicales ». • Si Travail sécuritaire NB approuve le paiement de la marijuana séchée, il : I. recueille des renseignements quant à la consommation antérieure de marijuana; la concentration de THC et de cannabidiol (CBD); les directives quant à la posologie selon la pratique relative aux drogues pharmaceutiques; et la durée prévue du traitement; II. paie pour que le travailleur achète la marijuana séchée d’une source approuvée. Sauf dans de rares cas, Travail sécuritaire NB limite les paiements aux fournisseurs néo-brunswickois. Il ne paie pas pour que le travailleur établisse une installation de culture de la marijuana; • If the decision is to cover payment of dried marijuana, WorkSafeNB I. Gathers information on prior use of marijuana, concentration of THC and CBD and dosing instructions as per practice with pharmaceutical drugs, expected duration of treatment II. Page 66 of / de 86 Pays the worker to purchase dried marijuana from an approved source. Except for the rare case, WorkSafeNB limits payment to providers in New Brunswick. WorkSafeNB does not pay for the worker to establish a grow-op. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés III. IV. Recommends the worker use a vaporizer instead of smoking, and covers the cost of the vaporizer; Expects the daily dosage of dried marijuana to be 5 gm or less; V. Expects workers on marijuana for all forms of chronic non-cancer pain to be on a daytime formulation that is high in CBD (high analgesic effect, low cognitive impairment effect) and low (9% or less) in THC (low analgesic effect, high cognitive impairment effect). A high THC concentration at bedtime generally allows sufficient time for the cognitive effects to wear off by morning. VI. Refers the worker to Canadian Health Solutions to evaluate the “merits of the case” when dosing is not consistent with expectations (e.g., the worker has been using dried marijuana from non-approved sources with a very high concentration of THC – query dosing appropriate in this case; query develop a gameplan to move to high CBD and low THC). • Uses the ePay system to process payment for pharmaceutical marijuana. The ePay system is not available for licensed producers of dried marijuana. Authorization of payment for marijuana is contingent upon: • dried The worker providing WorkSafeNB with a copy of the physician’s medical document for medical marijuana and if required, the licensed producer’s Page 67 of / de 86 III. recommande que le travailleur utilise un vaporisateur au lieu de fumer, et il paie le vaporisateur; IV. s’attend à ce que la posologie quotidienne de marijuana séchée soit de 5 g ou moins; V. s’attend à ce que la formulation de la marijuana consommée pour traiter tous les types de douleur non cancéreuse soit une formulation de jour qui a une concentration élevée de CBD (effet analgésique important, peu d’effet sur les facultés cognitives) et une faible concentration (9 % ou moins) de THC (peu d’effet analgésique, effet important sur les facultés cognitives). L’effet sur les facultés cognitives lorsque de la marijuana à concentration de THC élevée est prise au coucher s’atténue habituellement avant le matin; VI. adresse le travailleur à Solutions de santé canadiennes pour évaluer le « bien-fondé » du cas lorsque la posologie n’est pas conforme aux attentes (par exemple, le travailleur consomme de la marijuana séchée obtenue de sources non approuvées et ayant une concentration très élevée de THC; déterminer si la posologie est appropriée dans ce cas ou si on peut établir un plan pour faire la transition à une concentration de CBD élevée et de THC faible). • Travail sécuritaire NB paie la marijuana à usage pharmaceutique par le biais du système électronique de paiement direct. Le système n’est pas disponible pour les producteurs autorisés de marijuana séchée. L’autorisation de paiement de la marijuana séchée est conditionnelle à ce qui suit : • Le travailleur remet à Travail sécuritaire NB une copie du document médical du médecin relativement à la marijuana à des fins médicales et au DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés registration form. • Payment authorization for purchase through a licensed provider who has been assigned a WorkSafeNB medical aid payee number. The CMO is responsible for approving creation of a medical aid payee number for a licensed provider. The CMO confirms that the provider is licensed by checking Health Canada’s “List of Authorized Licensed Providers under the Marijuana for Medical Purposes Regulations”. • • WorkSafeNB uses the SF-36 (or one of the other validated functional questionnaires for physical injuries) to measure effectiveness of therapy. • − The initial questionnaire will likely be administered after the worker has started marijuana; − Based on the worker’s response to marijuana at the time of the initial questionnaire, the goal of treatment on a go-forward basis may to retain gained function and pain control rather than to increase; − Effectiveness is evaluated using a minimum of three time intervals at 8 weeks apart; If evidence is lacking for a meaningful functional improvement (i.e., change is not greater than the minimal clinically important difference [MCID], then one would generally reject further payment) − • For PTSD, WorkSafeNB uses the SF-36 or PTSD-related severity / function measures – e.g., the CAPS-5. − From the questionnaire instructions: “The CAPS-5 should be • Page 68 of / de 86 besoin, le formulaire d’inscription du producteur autorisé. L’autorisation de paiement vise l’achat de la marijuana séchée par le biais d’un fournisseur autorisé qui a obtenu un code du bénéficiaire de Travail sécuritaire NB. Il relève du médecinchef d’approuver l’établissement d’un code du bénéficiaire pour un fournisseur autorisé. Le médecin-chef vérifie que le fournisseur est autorisé en consultant la Liste de producteurs autorisés en vertu du Règlement sur la marihuana à des fins médicales de Santé Canada. Travail sécuritaire NB se sert du questionnaire SF-36 (ou d’un autre questionnaire sur les fonctions validé pour les blessures physiques) afin de mesurer l’efficacité de la thérapie. − Le travailleur remplira probablement le questionnaire initial après avoir commencé à prendre la marijuana. − Selon la réaction du travailleur à la marijuana au moment du questionnaire initial, le but du traitement par la suite peut être de maintenir les fonctions rétablies et de maîtriser la douleur plutôt que d’augmenter les fonctions. − L’efficacité est évaluée selon un minimum de trois intervalles de huit semaines. − S’il n’y a pas suffisamment de preuves qui indiquent une amélioration des fonctions (par exemple, l’amélioration n’est pas supérieure à la différence minimale importante sur le plan clinique), tout autre paiement ne sera généralement pas approuvé. Dans le cas du syndrome de stress posttraumatique, Travail sécuritaire NB se sert du questionnaire SF-36 ou des mesures de la gravité / des fonctions liées au syndrome, comme le questionnaire CAPS-5. − Les directives qui accompagnent le questionnaire précisent que ce DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 69 of / de 86 administered only by qualified interviewers who have formal training in structured clinical interviewing and differential diagnosis, a thorough understanding of the conceptual basis of PTSD and its various symptoms, and detailed knowledge of the features and conventions of the CAPS-5 itself”. dernier ne devrait être administré que par des personnes compétentes qui ont reçu une formation officielle pour effectuer des entrevues cliniques structurées et poser des diagnostics différentiels, et qui comprennent très bien le concept de base du syndrome de stress posttraumatique et ses divers symptômes. Les personnes doivent également avoir des connaissances approfondies en ce qui a trait aux caractéristiques du questionnaire CAPS-5. References 1. Medical Use of Marijuana. Health Canada website. http://www.hc-sc.gc.ca/dhpmps/marihuana/law-loi/fact_sheet-infoficheeng.php Références 1. Usage de la marijuana à des fins médicales. Site Web de Santé Canada. http://www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/marihuana /law-loi/fact_sheet-infofiche-fra.php 2. Canadian Health Solutions. Marijuana Authorization Report. December 31, 2011. 2. Solutions de santé canadiennes, rapport sur l’autorisation de la marijuana en date du 31 décembre 2011. 3. Martin-Sanchez, E., T. A. Furukawa, et al. (2009). "Systematic review and metaanalysis of cannabis treatment for chronic pain." Pain medicine 10(8): 1353-1368. 3. MARTIN-SANCHEZ, E., T. A. Furukawa et coll. (2009). « Systematic review and meta-analysis of cannabis treatment for chronic pain ». Pain medicine 10(8) : pages 1353 à 1368. Conclusions: This systematic review found cannabis to be moderately efficacious in the treatment of chronic pain related to brachial plexus injuries, upper motor neuron disease, multiple sclerosis, cancer, rheumatoid arthritis and pathological bone lesions. This benefit may be offset in part or in whole by adverse side-effects. Conclusions : Cette étude systématique a démontré que le cannabis était modérément efficace pour traiter la douleur chronique liée aux blessures du plexus brachial, aux maladies des neurones moteurs supérieurs, à la sclérose en plaques, au cancer, à l’arthrite rhumatoïde et aux lésions pathologiques osseuses. Ce bienfait pourrait être neutralisé, en tout ou en partie, par des effets secondaires indésirables. 4. Kalant, H. (2004). Adverse effects of cannabis on health; an update of the literature since 1996. Progress in Neuropsychopharmacology & Biological Psychiatry, 28 (5), 849-863. 4. KALANT, H. (2004). « Adverse effects of cannabis on health; an update of the literature since 1996 ». Progress in Neuropsychopharmacology & Biological Psychiatry, 28(5) : pages 849 à 863. Cette étude a démontré que l’usage DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 70 of / de 86 This review found that heavy use of cannabis has negative consequences, including respiratory problems and possibly depression. intensif du cannabis entraîne des effets négatifs, y compris des problèmes respiratoires et peut-être la dépression. 5. Moir, D., Rickert, W., Lavasseur, G., et al (2008). A comparison of mainstream and sidestream marijuana and tobacco cigarette smoke produced under two machine smoking conditions. Chemical Research in Toxicology, 21(2), 494-502. 5. MOIR, D., W. Rickert, G. Levasseur et coll. (2008). « A comparison of mainstream and sidestream marijuana and tobacco cigarette smoke produced under two machine smoking conditions ». Chemical Research in Toxicology, 21(2) : pages 494 à 502. This trial used a smoking machine to trap the smoke produced by both tobacco and marijuana smoke. Both types of smoke were analyzed and found to contain known carcinogens. Dans le cadre de l’essai, on a utilisé une machine à fumer pour recueillir la fumée du tabac et de la marijuana. Les deux types de fumée ont été analysés et on y a trouvé des cancérogènes connus. 6. Wilsey, B., T. Marcotte, et al. (2008). "A randomized, placebo-controlled, crossover trial of cannabis cigarettes in neuropathic pain." The Journal of Pain: official journal of the American Pain Society 9(6): 506-521. 6. WILSEY, B., T. Marcotte et coll. (2008). «A randomized, placebo-controlled, crossover trial of cannabis cigarettes in neuropathic pain ». The Journal of Pain: Official Journal of the American Pain Society, 9(6) : pages 506 à 521. Conclusions: This trial found efficacy for the use of smoked cannabis in CRPS Type 1 (using specific criteria to meet this diagnosis), diabetic peripheral neuropathy, spinal cord injury, and peripheral nerve injury – as an alternative treatments for patients who do not respond to or cannot tolerate other drugs. The study specifically excluded patients with major depression and other major psychiatric conditions as the psychoactive effects of cannabis may make these conditions worse. Conclusions : Dans le cadre de l’essai, on a déterminé que le cannabis était efficace pour traiter le syndrome de douleur régionale complexe de type 1 (selon des critères précis quant au diagnostic), la neuropathie périphérique diabétique, les traumatismes médullaires et les lésions des nerfs périphériques, à titre de traitement non traditionnel pour les patients qui ne répondent pas à d’autres drogues ou qui ne peuvent pas les tolérer. L’essai excluait tout particulièrement les patients souffrant de dépression majeure et d’autres conditions psychiatriques majeures puisque les effets psychoactifs du cannabis peuvent aggraver ces conditions. 7. Ware, M. A., T. Wang, et al. (2010). "Smoked cannabis for chronic neuropathic pain: a randomized controlled trial." CMAJ : Canadian Medical Association Journal 182(14): E694-701. 7. WARE, M. A., T. Wang et coll. (2010). « Smoked cannabis for chronic neuropathic pain: a randomized controlled trial ». Journal de l’Association médicale canadienne, 182(14) : pages E694 à 701. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 71 of / de 86 Conclusions: This trial found smoked cannabis to be efficacious in the short-term (5 days) treatment of post-traumatic and post-surgical neuropathic pain. The authors recommend longer-term studies to see if the benefit extends to longer use. Conclusions : Dans le cadre de l’essai, on a déterminé que le cannabis fumé était un traitement à court terme (cinq jours) efficace pour traiter la douleur neuropathique post-traumatique et postchirurgicale. Les auteurs recommandent d’effectuer des études sur une plus longue durée afin de déterminer si l’usage du cannabis procure le même bienfait si le patient le consomme à plus long terme. 8. CFPC (2014). Authorizing Dried Cannabis for Chronic Pain or Anxiety: Preliminary Guidance from the College of Family Physicians of Canada. Mississauga, Ontario, College of Family Physicians of Canada. 8. Collège des médecins de famille du Canada (2014). Autorisation de cannabis séché pour le traitement de la douleur chronique ou de l’anxiété : orientation préliminaire. Mississauga, Ontario. 9. Ware, M. A., T. Wang, et al. (2015). "Cannabis for the Management of Pain: Assessment of Safety Study (COMPASS)." J Pain 16(12): 1233-1242. 9. WARE, M. A., T. Wang et coll. (2015). « Cannabis for the Management of Pain: Assessment of Safety Study (COMPASS) ». The Journal of Pain: Official Journal of the American Pain Society, 16(12) : pages 1233 à 1242. 10. Hashibe, M., H. Morgenstern, et al. (2006). "Marijuana use and the risk of lung and upper aerodigestive tract cancers: results of a population-based case-control study." Cancer Epidemiol Biomarkers Prev 15(10): 1829-1834. 10. HASHIBE, M., H. Morgenstern et coll. (2006). « Marijuana use and the risk of lung and upper aerodigestive tract cancers: results of a population-based case-control study ». Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, 15(10) : pages 1829 à 1834. 11. Tashkin, D. P. (2013). "Effects of marijuana smoking on the lung." Ann Am Thorac Soc 10(3): 239-247. 11. TASHKIN, D. P. (2013). « Effects of marijuana smoking on the lung ». Annals of the American Thoracic Society, 10(3) : pages 239 à 247. 12. Zhang, L. R., H. Morgenstern, et al. (2015). "Cannabis smoking and lung cancer risk: Pooled analysis in the International Lung Cancer Consortium." Int J Cancer 136(4): 894-903. 12. ZHANG, L. R., H. Morgenstern et coll. (2015). « Cannabis smoking and lung cancer risk: Pooled analysis in the International Lung Cancer Consortium ». International Journal of Cancer, 136(4) : pages 894 à 903. 13. Callaghan, R. C., P. Allebeck, et al. (2013). "Marijuana use and risk of lung cancer: a 40-year cohort study." Cancer Causes Control 24(10): 1811-1820. 13. CALLAGHAN, R. C., P. Allebeck et coll. (2013). « Marijuana use and risk of lung cancer: a 40-year cohort study ». Cancer Causes & Control, 24(10) : pages 1811 à 1820. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 72 of / de 86 2.20 Platelet Rich Plasma/ Therapy (PRP/ PRT) 2.20 Thérapie par plasma riche en plaquettes (PRP) What is it? Platelets produce growth factors that assist in repair and regeneration of tissue. Plateletrich therapy involves the production of a concentrated platelet rich fraction of the patient’s own blood which is then applied by injection to the site of injury. C’est quoi? Les plaquettes produisent des facteurs de croissance qui aident à la réparation et à la régénération des tissus. Pour la thérapie par plasma riche en plaquettes, on obtient une fraction du plasma ayant une concentration élevée de plaquettes à partir du sang du patient. Ce plasma est ensuite injecté dans le site de la blessure. Literature Review The available scientific evidence does not warrant the use of PRP for the first-line treatment of tendinopathy. PRP therapy may deserve consideration in specific tendinopathy subtypes, after failure of ultrasound-guided corticosteroid injections (1). US-guided percutaneous needle tenotomy followed by PRP injection was observed to be a safe and effective treatment for chronic, recalcitrant tendinopathy, and this treatment was associated with sonographically apparent improvements in tendon morphology (2). Examen de la documentation Les preuves scientifiques disponibles n’appuient pas l’utilisation du plasma riche en plaquettes comme traitement de première intention pour traiter la tendinopathie. La thérapie par plasma riche en plaquettes peut mériter d’être considérée pour traiter des sous-types précis de tendinopathie si les injections de corticostéroïdes guidées par échographie ne sont pas efficaces (1). On a observé qu’une ténotomie à aiguille percutanée guidée par échographie suivie d’une injection de plasma riche en paquettes était un traitement sécuritaire et efficace pour traiter la tendinopathie récalcitrante chronique. De plus, ce traitement a été lié à des améliorations apparentes en échographie au niveau de la morphologie des tendons (2). Surgical Repair of Rotator Cuff Tears (RCT) Functional evaluation was performed to access the effectiveness of Platelet Rich Therapy (PRT) using subjective assessment questionnaires such as disabilities of the arm, shoulder and hand questionnaire, Victorian Institute of Sports Assessment, Achilles questionnaire and American Orthopedic foot and Ankle Society. No statistically significant differences were observed between the therapeutic and placebo arm when functionality and pain were assessed. Fewer re-tear rates were reported in the PRT group after one year compared to the placebo arm (3-8). The Réparation chirurgicale de ruptures de la coiffe des rotateurs Une évaluation fonctionnelle a été effectuée pour déterminer l’efficacité de la thérapie par plasma riche en plaquettes. On s’est servi de questionnaires d’évaluation subjectifs, comme le questionnaire DASH, le questionnaire VISA-A (Victorian Institute of Sports Assessment – Achilles) et un questionnaire de l’American Orthopaedic Foot and Ankle Society. Aucune différence importante du point de vue statistique n’a été observée entre le volet thérapeutique et le volet placebo lors de l’évaluation des fonctions et de la douleur. Le groupe traité au DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 73 of / de 86 application of PRT had a statistically significant positive effect on re-tear rates and increased cross-sectional area of the supraspinatus compared to placebo (9). Kesikburun et al. didn’t find PRT any statistically different from placebo in improving quality of life, pain, disability and range of motion compared to placebo in treating people with chronic RCT (10). Maltavolta et al. didn’t observe any statistically significant clinical improvement between those complete supraspinatus tears treated with PRT after arthroscopic surgery compared to those treated by placebo(6). PRT treatment after arthroscopic supraspinatus tendon surgery didn’t improve early tendon-bone healing or functional recovery (11). plasma riche en plaquettes a signalé un taux inférieur de nouvelles ruptures au bout d’un an comparativement au volet placebo (3 à 8). L’utilisation de plasma riche en plaquettes a eu un effet positif important du point de vue statistique sur le taux de nouvelles ruptures et a augmenté la surface de la section transversale du sus-épineux comparativement au placebo (9). Kesikburun et coll. n’ont pas constaté de différence du point de vue statistique relativement à la qualité de vie, à la douleur, à l’incapacité et à l’amplitude des mouvements chez les personnes présentant une rupture complète de la coiffe des rotateurs et ayant reçu du plasma riche en plaquettes comparativement à ceux ayant reçu un placebo (10). Maltavolta et coll. n’ont pas constaté d’amélioration clinique importante du point de vue statistique entre les patients présentant une rupture complète du susépineux et ayant reçu du plasma riche en plaquettes après une chirurgie arthroscopique comparativement à ceux ayant reçu un placebo (6). Le traitement par plasma riche en plaquettes après une chirurgie arthroscopique du tendon susépineux n’a pas eu d’effet sur la guérison précoce du tendon / de l’os ni sur le rétablissement fonctionnel précoce (11). There were no statistically significant differences in overall gain in outcome scores or re-tear rates between rotator cuff tears treated with PRT and placebo. However, when PRT were applied at the tendon-bone interface compared to application over the top of the repaired tendon, there was an improvement in Constant Scores. Re-tear rates significantly decreased when PRTs were used for tears greater than 3 cm in anterior-posterior length using a double-row technique(12). A study attested the safety and efficacy of PRT on pain and disability in Rotator Cuff tear patients(13). Il n’y avait aucune différence du point de vue statistique entre les résultats ou les taux de nouvelles ruptures chez les patients ayant reçu du plasma riche en plaquettes et ceux ayant reçu un placebo. Cependant, les scores de Constant étaient meilleurs pour l’application du plasma riche en plaquettes sur l’interface du tendon / de l’os comparativement à l’application sur la surface du tendon réparé. Les taux de nouvelles ruptures ont considérablement baissé lorsqu’on a utilisé du plasma riche en plaquettes dans le cas de ruptures de plus de 3 cm de longueur antérieurepostérieure utilisant une technique en double rang (12). Une étude a confirmé que le plasma riche en plaquettes était sécuritaire et efficace pour traiter la douleur DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 74 of / de 86 et l’incapacité chez les patients présentant une rupture de la coiffe des rotateurs (13). Conclusion: conflicting evidence of efficacy Conclusion : Preuves contradictoires quant à l’efficacité. Shoulder Impingement Syndrome (Surgery) Pain reduction was better in the PRT group (14). Those treated by PRT also reported better functional outcomes and ADLs (Activities of Daily Living). Syndrome d’accrochage de l’épaule (opération) Le groupe ayant reçu du plasma riche en plaquettes a connu une meilleure réduction de la douleur (14). Ces patients ont également indiqué de meilleures résultats fonctionnels et une amélioration au niveau des activités de la vie quotidienne. Conclusion: One study improvement in function. suggested Conclusion : Une étude a suggéré une amélioration au niveau des fonctions. Elbow Epicondylitis Three studies compared ultrasound-guided PRP injections versus controls. Conflicting reports were obtained on the efficiency of PRT on functional improvement. PRT had an effect on pain scores at six weeks (1517). Though no significant differences were found at 12 weeks, at 24 weeks clinically meaningful improvements were observed in individuals treated with PRT compared to controls (18). Épicondylite Trois études ont comparé des patients ayant reçu des injections de plasma riche en plaquettes guidées par échographie et des groupes témoins. On a obtenu des rapports divergents quant à l’efficacité du plasma riche en plaquettes pour améliorer les fonctions. Le plasma riche en plaquettes avait un effet sur la douleur à six semaines (15 à 17). Bien qu’aucune différence importante n’ait été remarquée à 12 semaines, des améliorations importantes du point de vue clinique ont été observées à 24 semaines chez les patients ayant reçu du plasma riche en plaquettes comparativement aux groupes témoins (18). Peerbooms observed treatment of patients with chronic lateral epicondylitis with PRP reduces pain and significantly increases function, exceeding the effect of corticosteroid injection (19). Peerbooms a constaté que les patients présentant une épicondylite externe chronique qui recevaient du plasma riche en plaquettes connaissaient une réduction de leur douleur et une augmentation considérable de leurs fonctions. Les résultats sont meilleurs que ceux obtenus pour les injections de corticostéroïdes (19). Conclusion: conflicting evidence of efficacy. One study suggested it might more effective than steroid injections. Conclusion : Preuves contradictoires quant à l’efficacité. Une étude suggère que le plasma riche en plaquettes pourrait être plus efficace que les injections de stéroïdes. DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 75 of / de 86 Anterior Cruciate Ligament (ACL) Conflicting evidence was found when the effectiveness of PRT on ACL- Graft donor site and on the ACL reconstruction procedure on the whole was evaluated (20, 21). Duif observed intraoperative application of LP-PRP may enhance pain reduction and gain of knee function within 6-12 months when compared to arthroscopy (22). No benefit was detected with using PRT compared to placebo in terms of reoperation rate (23). PRT appears to be effective in reducing pain compared to placebo injections and hyaluronic acid injections in Osteoarthritis of the knee, however quality of evidence is questionable (24). Ligament croisé antérieur On a découvert des preuves contradictoires lors de l’évaluation de l’efficacité générale du plasma riche en plaquettes sur le site donneur du ligament croisé antérieur et de la procédure de reconstruction du ligament croisé antérieur (20 et 21). Duif a constaté que l’application peropératoire de plasma riche en plaquettes et pauvre en leucocytes était efficace pour réduire la douleur et améliorer les fonctions du genou après six à 12 mois comparativement à une arthroscopie (22). Aucun bienfait n’a été déterminé quant à l’utilisation du plasma riche en plaquettes comparativement au placebo pour ce qui est du taux de réopération (23). Le plasma riche en plaquettes semble efficace pour réduire la douleur liée à l’arthrose du genou comparativement aux injections de placebo et d’acide hyaluronique. Toutefois, la qualité de la preuve est douteuse (24). Conclusion: lack of evidence of efficacy Conclusion : Il n’y a pas suffisamment de preuves démontrant l’efficacité. Patellar Tendinopathy Individuals treated by PRT were more likely to have better pain control at the six month interval (25). Local infiltration of Platelet Rich Plasma is efficient to improve symptoms of chronic jumper’s knee in patients not responding to classical treatments (26-28). PRT doesn’t decrease blood loss and hospital stay in the peri-operative period during total knee arthroplasty (29).Therapeutic injections of PRT leads to better midterm clinical results compared to Extarcorporeal Shock Wave Tendinopathy while treating jumper’s knee in athletes (30).Ultrasound-guided PRT accelerates the recovery from patellar tendinopathy, but the apparent benefit of PRT dissipates over time (31). After being treated with PRT, treatment-naïve (naïve to cortisone, ethoxysclerol, and/or surgical treatment) patellar tendinopathy patients showed statistical and clinical improvement (32). Tendinopathie rotulienne Les patients ayant reçu du plasma riche en plaquettes avaient plus tendance à pouvoir mieux maîtriser leur douleur à l’intervalle de six mois (25). L’infiltration locale de plasma riche en plaquettes est efficace pour améliorer les symptômes de tendinite rotulienne chronique chez les patients qui ne réagissent pas aux traitements classiques (26 à 28). Le plasma riche en plaquettes ne réduit pas la perte de sang et le séjour à l’hôpital pendant la période péri-opératoire lors d’une arthroplastie totale du genou (29). Les injections thérapeutiques de plasma riche en plaquettes produisent de meilleurs résultats cliniques à moyen terme que la thérapie par ondes de choc extracorporelles pour traiter une tendinite rotulienne chez les athlètes (30). Les injections de plasma riche en plaquettes guidées par échographie accélèrent le rétablissement de la tendinopathie DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés Page 76 of / de 86 rotulienne, mais les bienfaits apparents disparaissent avec le temps (31). Après avoir reçu du plasma riche en plaquettes, les patients présentant une tendinopathie rotulienne n’ayant jamais reçu de traitement (cortisone, étholsysclérol ou opération) ont démontré une amélioration statistique et clinique (32). Conclusion: possibly better than shockwave therapy but benefit dissipates over time Conclusion : Il est possible que le plasma riche en plaquettes soit plus efficace que la thérapie par ondes de choc, mais les bienfaits disparaissent avec le temps. Achilles Tendinopathy / Tendon Repair Tendinopathie ou réparation du tendon d’Achille Aucune différence n’a été remarquée au niveau de la fonction entre le groupe ayant reçu du plasma riche en plaquettes et celui ayant reçu un placebo (33 et 34). Il n’y a aucune preuve clinique, statistique ou ultrasonographique à un an pour indiquer que le plasma riche en plaquettes, conjointement avec un programme d’exercices, est plus efficace que le placebo pour traiter la tendinopathie chronique du tendon d’Achille (35). No difference in function was observed between the PRT and placebo groups (33, 34). No clinical, statistical or ultrasonographic evidence of the superiority of PRT was observed over placebo in the treatment of chronic Achilles tendinopathy at 1 year in combination with an exercise program (35) Conclusion: lack of evidence of efficacy Conclusion : Il n’y a pas suffisamment de preuves démontrant l’efficacité. Recommendation Recommandation Étant donné : Since: • There is insufficient evidence to say that PRT is effective in treating MSK (musculoskeletal) injuries; • • In some cases there is conflicting evidence as to efficacy; and In the absence of a meta-analysis it is not possible to accurately assess the efficacy of PRT in the context of occupational medicine research. WorkSafeNB: • Generally does not approve Platelet Rich Plasma treatment • • • qu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour indiquer que le plasma riche en plaquettes est efficace pour traiter les lésions musculo-squelettiques; qu’il y a des preuves contradictoires quant à l’efficacité; qu’en l’absence d’une méta-analyse, il n’est pas possible d’évaluer avec précision l’efficacité de la thérapie par plasma riche en plaquettes dans le contexte de la recherche en médecine du travail; Travail sécuritaire NB : • n’approuve habituellement pas la thérapie par plasma riche en plaquettes; DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés • But may approve PRP treatment upon recommendation of the Medical Advisor Authorization of Payment Authorization of payment is contingent upon: • Use of the SF-36 to measure function prior to PRT and after treatment at 3 and 6 months • Page 77 of / de 86 mais l’approuve sur recommandation du médecin-conseil. Autorisation de paiement L’autorisation de paiement est conditionnelle à : • l’utilisation du questionnaire SF-36 pour mesurer les fonctions avant la thérapie par plasma riche en plaquettes et après le traitement, et ce, à trois et à six mois. References 1. Nourissat G, Ornetti P, Berenbaum F, Sellam J, Richette P, Chevalier X. Does platelet-rich plasma deserve a role in the treatment of tendinopathy? Joint Bone Spine. 2015;82(4):230-4. Références 1. NOURISSAT, G., P. Ornetti, F. Berenbaum, J. Sellam, P. Richette et X. Chevalier. « Does platelet-rich plasma deserve a role in the treatment of tendinopathy? ». Joint Bone Spine, 2015; 82(4) : pages 230 à 234. 2. Finnoff JT, Fowler SP, Lai JK, Santrach PJ, Willis EA, Sayeed YA, et al. Treatment of chronic tendinopathy with ultrasoundguided needle tenotomy and platelet-rich plasma injection. PM & R : the journal of injury, function, and rehabilitation. 2011;3(10):900-11. 2. FINNOFF, J. T., S. P. Fowler, J. K. Lai, P. J. Santrach, E. A. 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AUTHORITY AUTORITÉ Policy 25-002 Medical Aid Standards of Care Politique 25-002 Aide médicale – Normes de soins REFERENCES RÉFÉRENCES Policy-related Documents Policy 25-001 Medical Aid - Principles Policy 25-002 Medical Aid Standards of Care Policy 25-014 Medical Aid Decisions Policy 25-030 Chronic Pain Documents liés aux politiques Politique 25-001 – Aide médicale – Principes Politique 25-002 – Aide médicale – Normes de soins Politique 25-014 – Décisions relatives à l’aide médicale Politique 25-030 – Douleur chronique RESCINDS RÉVOCATION Directive 25-002.03, release 024, approved 09/11/2015. Directive 25-002.03, diffusion approuvée le 9 septembre 2015. APPENDICES ANNEXES N/A Sans objet HISTORY HISTORIQUE 1. This document is release 025 and replaces release 024. Section 2.19 Medical Marijuana has been updated. 1. Ce document est la diffusion 025 et remplace la diffusion 024. La section 2.19, qui porte sur la marijuana à des fins médicales, a été mise à jour. 2. La diffusion 024, approuvée et en vigueur le 9 septembre 2015, remplaçait la diffusion 023. Des sections ont été mises à jour, soit la section 2.5, qui porte sur la massothérapie; la section 2.8, qui porte sur la thérapie par ondes de choc; et la section 2.19, qui porte sur la marijuana à des fins médicales. La section 2.20 portant sur la thérapie par plasma riche en plaquettes a été ajoutée. 3. La diffusion 023, approuvée et en vigueur le 11 août 2015, remplaçait la diffusion 022. 2. Release 24 approved and effective 09/11/2015 replaced release 023. Section 2.5 Massage Therapy, 2.8 Shock Wave Therapy and 2.19 Medical Marijuana were updated; and Section 2.20 Platelet Rich Plasma/Therapy was added 3. Release 023 approved and effective 11/08/2015 replaced release 022. Additional 024, DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés information regarding authorization - under Section 2.4 Laser Therapy has been updated. 4. Release 022 approved and effective 04/03/2015 replaced release 021. Section 2.19 Medical Marijuana has been updated. 5. Release 021 approved and effective 22/04/2014 replaced release 020. A reference was added to section 2.12 Specialized Injection-based Services. 6. Release 020 approved and effective 11/03/2014 replaced release 019. A few section references were deleted and more recent ones added. 7. Release 019 approved and effective 22/07/2013 replaced release 018. A reference was added to section 2.5; an Alert was added to section 2.9; and a summary was added to section 2.11. 8. Release 018 approved and effective 03/12/2012 replaced release 017. Section 2.12 Specialized Injection-Based Services was updated. 9. Release 017 approved and effective 22/11/2012 replaced release 016. Section 2.7 Sclerotherapy or Prolotherapy was updated. 10. Release 016 approved and effective 01/11/2012 replaced release 015. Section 2.4 Laser Therapy – Low Intensity was updated. 11. Release 015 approved and effective 03/04/2012 replaced release 014. A section on Medical Marijuana was added. 12. Release 014 approved and effective 11/01/2012 replaced release 013. A section on Medication-Induced Dry Mouth (Xerostomia) and Dental Care was added. 13. Release 013 approved and effective 07/02/2011 replaced release 012. A section Page 84 of / de 86 Les renseignements additionnels au sujet de l’autorisation à la section 2.4, qui porte sur le traitement au laser, ont été mis à jour. 4. La diffusion 022, approuvée et en vigueur le 4 mars 2015, remplaçait la diffusion 021. La section 2.19 portant sur la marijuana à des fins médicales a été mise à jour. 5. La diffusion 021, approuvée et en vigueur le 22 avril 2014, remplaçait la diffusion 020. Une référence a été ajoutée à la section 2.12 – Services spécialisés axés sur des injections. 6. La diffusion 020, approuvée et en vigueur le 11 mars 2014, remplaçait la diffusion 019. Quelques références ont été enlevées et de plus récentes ont été ajoutées. 7. La diffusion 019, approuvée et en vigueur le 22 juillet 2013, remplaçait la diffusion 018. Une référence a été ajoutée à la section 2.5; un avis a été ajouté à la section 2.9; et un sommaire a été ajouté à la section 2.11. 8. La diffusion 018, approuvée et en vigueur le 3 décembre 2012, remplaçait la diffusion 017. La section 2.12, intitulée « Services spécialisés axés sur des injections », a été mise à jour. 9. La diffusion 017, approuvée et en vigueur le 22 novembre 2012, remplaçait la diffusion 016. La section 2.7, intitulée « Sclérothérapie ou prolothérapie », a été mise à jour. 10. La diffusion 016, approuvée et en vigueur le 1er novembre 2012, remplaçait la diffusion 015. La section 2.4, intitulée « Traitement au laser – Faible intensité », a été mise à jour. 11. La diffusion 015, approuvée et en vigueur le 3 avril 2012, remplaçait la diffusion 014. Une section sur la marijuana à des fins médicales a été ajoutée. 12. La diffusion 014, approuvée et en vigueur le 11 janvier 2012, remplaçait la diffusion 013. Une section sur la sécheresse de la bouche (xérostomie) induite par les médicaments et les soins dentaires a été ajoutée. 13. La diffusion 013, approuvée et en vigueur le 7 février 2011, remplaçait la DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés on Osteopathy was added. 14. Release 012 approved and effective 21/07/2009 replaced release 011. Section 2.5 Massage Therapy was updated to include the NB Massotherapy Association and the Association of NB Massage Therapists. 15. Release 011 approved and effective 14/04/2009 replaced release 010. A section on Methadone was added. 16. Release 010 approved and effective 27/01/2009 replaced release 009. A section on Spinal Traction Therapy and Knee/Foot Orthotics in Patellofemoral Pain Syndrome was added. 17. Release 009 approved and effective 15/05/2008 replaced release 008. A section on Foot Orthotics and Insoles for Back Pain was added. 18. Release 008 approved and effective 24/04/2008 replaced release 007. The section on Specialized Injection-based Services was updated. 19. Release 007 approved and effective 07/04/2008 replaced release 006. Two sections were added: Spinal Cord Stimulators/Neurostimulator Implants, and Specialized Injection-based Services. 20. Release 006 approved and effective 31/05/2007 replaced release 005. Section 2.10 Physical Therapy and Physical Modalities for TMJ Disorders was added. 21. Release 005 approved and effective 07/12/2007 replaced release 004. Section 2.9 Anxiolytic, Benzodiazepine, and Sedative Medications was added. 22. Release 004 approved and effective Page 85 of / de 86 diffusion 012. Une section sur l’ostéopathie a été ajoutée. 14. La diffusion 012, approuvée et en vigueur le 21 juillet 2009, remplaçait la diffusion 011. La section 2.5, intitulée « Massothérapie » a été mise à jour pour inclure l’Association de massothérapie du Nouveau-Brunswick et l’Association néo-brunswickoise de massothérapeutes. 15. La diffusion 011, approuvée et en vigueur le 14 avril 2009, remplaçait la diffusion 010. Une section sur la méthadone a été ajoutée. 16. La diffusion 010, approuvée et en vigueur le 27 janvier 2009, remplaçait la diffusion 009. Des sections sur la thérapie par traction vertébrale et les orthèses de genou / plantaires pour traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux ont été ajoutées. 17. La diffusion 009, approuvée et en vigueur le 15 mai 2008, remplaçait la diffusion 008. Une section sur les orthèses plantaires et les semelles pour traiter la douleur lombaire a été ajoutée. 18. La diffusion 008, approuvée et en vigueur le 24 avril 2008, remplaçait la diffusion 007. On a mis à jour la section portant sur les services spécialisés axés sur les injections. 19. La diffusion 007, approuvée et en vigueur le 7 avril 2008, remplaçait la diffusion 006. Deux sections ont été ajoutées, soit « Stimulateurs de la moelle épinière / Implants de neurostimulateurs » et « Services spécialisés axés sur des injections ». 20. La diffusion 006, approuvée et en vigueur le 31 mai 2007, remplaçait la diffusion 005. On a ajouté la section 2.10 portant sur la physiothérapie et les modalités physiques pour traiter les troubles de l’articulation temporo-mandibulaire. 21. La diffusion 005, approuvée et en vigueur le 7 décembre 2007, remplaçait la diffusion 004. On a ajouté la section 2.9 portant sur les anxiolytiques, les benzodiazépines et les sédatifs. 22. La diffusion 004, approuvée et en DIRECTIVE 25-002.03 Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non approuvés 23/08/2006 replaced release 003. Section 2.8 Shock Wave Therapy (Calcific Shoulder Tendonitis) was added. 23. Release 003 approved and effective 03/01/2006 replaced release 002. A section on Laser Therapy – Low Intensity was added and the section on Massage Therapy was updated. 24. Release 002 approved and effective 03/08/2004 replaced release 001. The section on Massage Therapy was updated. 25. Release 001, approved and effective 07/07/2003 was the original issue. Page 86 of / de 86 vigueur le 23 août 2006, remplaçait la diffusion 003. On a ajouté la section 2.8 portant sur la thérapie par ondes de choc (pour traiter la tendinite calcifiée de l’épaule). 23. La diffusion 003, approuvée et en vigueur le 3 janvier 2006, remplaçait la diffusion 002. On a ajouté une section sur le traitement au laser à faible intensité et on a mis à jour la section qui porte sur la massothérapie. 24. La diffusion 002, approuvée et en vigueur le 3 août 2004, remplaçait la diffusion 001. On a mis à jour la section qui porte sur la massothérapie. 25. La diffusion 001, approuvée et en vigueur le 7 juillet 2003, était la diffusion initiale. RELEASE CRITERIA CRITÈRES DE DIFFUSION Available for public release Il s’agit d’un document public. REVISION RÉVISION 12 Months 12 mois APPROVAL DATE DATE D’APPROBATION 08/07/2016 Le 8 juillet 2016 Submitted by / Présentée par : Approved by / Approuvée par : D. Margison Chief Medical Officer / Médecin-chef S. Dauphinee Vice-President, WorkSafe Services / Viceprésidente aux Services de travail sécuritaire Signature Date / Date de la signature September 14, 2016 Signature Date / Date de la signature : September 21, 2016