directive - Travail sécuritaire NB

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directive - Travail sécuritaire NB
DIRECTIVE
25-002.03
Effective / En vigueur:
08/07/2016
Title: Schedule of Care - Generally Not
Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements
et examens généralement non approuvés
Release /
Diffusion 25
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TABLE OF CONTENTS
TABLE DES MATIÈRES
2.0 Generally Not Approved Care,
Treatments and Tests
2.1 Botulinum Toxin for Myofascial Pain,
Chronic Pain or Chronic Headaches
2.0 Soins, traitements et examens
généralement non approuvés
2.1 Toxine botulinique pour traiter les
douleurs myofasciales, les douleurs
chroniques
ou
les
céphalées
chroniques
2.2 Thérapie crânio-sacrale
2.3 Hydrothérapie
/
Baignoire
de
massage à domicile
2.4 Traitement au laser – Faible intensité
2.5 Massothérapie
2.6 Stimulation photonique
2.7 Sclérothérapie ou prolothérapie
2.8 Thérapie par ondes de choc (sauf
pour traiter la fasciite plantaire
chronique, la tendinite calcifiée de
l’épaule, la tendinopathie / tendinose /
tendinite du tendon d’Achille, la
douleur du grand trochanter et la
tendinopathie rotulienne)
2.9 Anxiolytiques, benzodiazépines et
sédatifs
2.10 Physiothérapie
et
modalités
physiques pour traiter les troubles de
l’articulation temporo-mandibulaire
2.11 Stimulateurs de la moelle épinière /
Implants de neurostimulateurs
2.12 Services spécialisés axés sur des
injections
2.13 Orthèses plantaires et semelles pour
traiter la douleur lombaire
2.14 Thérapie par traction vertébrale
2.15 Orthèses de genou / plantaires pour
traiter le syndrome fémoro-rotulien
douloureux
2.16 Méthadone pour traiter les douleurs
chroniques bénignes / d’origine non
cancéreuse
2.17 Ostéopathie dans la phase tardive du
continuum des soins dispensée par
un fournisseur autonome
2.2 Craniosacral Therapy
2.3 Home Hydrotherapy / Whirlpool
2.4
2.5
2.6
2.7
2.8
Laser Therapy – Low Intensity
Massage Therapy
Photonic Stimulation
Sclerotherapy or Prolotherapy
Shock Wave Therapy (except for
Chronic Plantar Fasciitis, Calcific
Shoulder Tendonitis, Achilles
Tendinopathy/Tendinosis/Tendonitis,
Greater Trochanteric Pain, Patellar
Tendinopathy)
2.9 Anxiolytic, Benzodiazepine, and
Sedative Medications
2.10 Physical Therapy and Physical
Modalities for TMJ Disorders
2.11 Spinal Cord Stimulators /
Neurostimulator Implants
2.12 Specialized Injection-based Services
2.13 Foot Orthotics and Insoles for Back
Pain
2.14 Spinal Traction Therapy
2.15 Knee/Foot Orthotics in Patellofemoral
Pain Syndrome (PFPS)
2.16 Methadone for treatment of chronic
non-malignant / non-cancer pain
2.17 Osteopathy in the Later Part of the
Continuum of Care by Stand Alone
Provider
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2.18 Medication-Induced Dry Mouth
(Xerostomia) and Dental Care
2.19 Medical Marijuana
2.20
Platelet
Rich
(PRP/PRT)
Plasma/Therapy
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2.18 Sécheresse
de
la
bouche
(xérostomie)
induite
par
les
médicaments et soins dentaires
2.19 Marijuana à des fins médicales
2.20 Thérapie par plasma riche en
plaquettes (PRP)
PURPOSE
OBJECTIF
The purpose of this directive is to provide
direction to staff who deliver, plan or
authorize care and treatment for workers.
Cette directive a pour objectif d’orienter le
personnel chargé de dispenser, de
planifier ou d’autoriser des soins et des
traitements à l’intention des travailleurs.
SCOPE
APPLICATION
This directive applies to all workers who
qualify for compensation benefits, and who
are prescribed care and treatment for their
compensable injury.
Cette directive s’applique à tous les
travailleurs qui sont admissibles à des
prestations d’indemnisation, et à qui des
soins et des traitements ont été prescrits
pour leur lésion indemnisable.
GLOSSARY
GLOSSAIRE
Chair massage – brief session, usually
acupressure-based, done in a special chair,
in which the client faces cushions and
receives massage to the scalp, neck,
shoulders, arms, back and hips.
Efficacité – La capacité de produire un
effet.
Craniosacral therapy – manipulation or
application of pressure to joints of the skull,
facial bones and the sacral region of the
spine, believed to increase or balance the
impulses responsible for the flow of
cerebrospinal fluid in the body.
Effleurage – Un léger frôlement utilisé
dans le massage.
Efficacy – the power to produce an effect.
Endorphines
–
Les
substances
chimiques, produites dans le cerveau, qui
agissent comme des opiacés et qui
produisent une analgésie en liant les sites
récepteurs opiacés qui interviennent dans
la perception de la douleur.
Effleurage – smooth gliding strokes used in
massage.
Intégration structurale (« rolfing ») – La
manipulation ou le massage des tissus
profonds des muscles et des tissus
conjonctifs pour réaligner et équilibrer la
structure corporelle.
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Endorphins – chemical substances,
produced in the brain, that act as opiates
and produce analgesia by binding to opiate
receptor sites involved in pain perception.
Libération myofasciale – Une technique
d’étirement qui demande une rétroaction
du corps du patient pour déterminer la
direction, la force et la durée de l’étirement
pour faciliter la relaxation maximale des
tissus affectés.
Lymph – an almost colourless fluid that
travels through vessels called lymphatics in
the lymphatic system and carries cells that
help fight infection and disease.
Lymphe – Un liquide presque incolore qui
circule dans les vaisseaux lymphatiques
du système lymphatique et qui transporte
des cellules pouvant aider à combattre les
infections et les maladies.
Lymphatic system – tissues and organs,
including bone marrow, spleen, thymus and
lymph nodes that produce and store cells
that fight infection and disease. The
channels that carry lymph are also part of
this system.
Massage sportif – Le massage des tissus
profonds à des points précis du corps pour
stimuler et dégager la tension.
Modality – a method of application or the
employment of a therapeutic agent, limited
usually to physical agents and devices.
Massage sur chaise – Une courte
séance, faisant habituellement appel à la
digitopuncture, effectuée sur une chaise
spéciale munie de coussins devant
lesquels le client s’assoit pour recevoir un
massage du cuir chevelu, du cou, des
épaules, des bras, du dos et des hanches.
Myofascial release – stretching technique
that requires feedback from the patient’s
body to determine the direction, force and
duration of stretch to facilitate maximum
relaxation of restricted tissues.
Méthode Rosen – L’utilisation du contact
délicat sans manipulation et des mots pour
favoriser la conscience physique et émotionnelle
en travaillant avec la tension musculaire.
Pettrisage – a form of massage where
tissue is kneaded like dough.
Modalité – Une méthode d’application ou
d’emploi d’un agent thérapeutique qui se
limite habituellement aux appareils et aux
agents physiques.
Reflexology – a system of massage in
which the feet and hands are massaged for
the purpose of attempting to favourably
influence other body functions.
Pétrissage – Une forme de massage où
les tissus sont pétris comme de la pâte.
Rolfing (Rolf Therapy) – the manipulation or
deep tissue massage of the body’s
connective tissue and muscles in order to
realign and balance the body’s structure.
Réflexologie – Une technique utilisant le
massage des pieds et des mains pour
tenter d’influencer favorablement d’autres
fonctions corporelles.
Rosen method – uses sensitive, non-
Shiatsu – Une méthode de massage
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manipulative touch and words to encourage
physical and emotional awareness through
working with muscular tension.
japonais utilisée dans le traitement de
maladies, qui incorpore la digitopuncture,
soit la compression des vaisseaux
sanguins à l’aide d’aiguilles insérées dans
les tissus voisins.
Shiatsu – Japanese massage method used
in treatment of disease, which incorporates
acupressure, the compression of blood
vessels by means of needles in surrounding
tissues.
Système lymphatique – Les tissus et les
organes, y compris la moelle osseuse, la
rate, le thymus et les ganglions
lymphatiques,
qui
produisent
et
emmagasinent des cellules pouvant
combattre les infections et les maladies.
Les vaisseaux qui transportent la lymphe
font également partie de ce système.
Sports massage – deep tissue massage to
specific points of the body to stimulate and
unlock tension.
Tapotement
– L’utilisation
percussion dans le massage.
Tapotement – the use of percussion in
massage.
Thérapie
crânio-sacrale
–
La
manipulation
ou
l’application
d’une
pression sur les articulations du crâne, le
massif facial et la région sacro-iliaque de
la colonne vertébrale qui augmenterait ou
équilibrerait les impulsions permettant la
circulation du liquide céphalorachidien
dans le corps.
Trigger point – any place on the body that
when stimulated causes sudden pain in a
specific area.
Travail sécuritaire NB – La Commission
de la santé, de la sécurité et de
l’indemnisation des accidents au travail ou
la « Commission », telle qu’elle est définie
dans la Loi sur la Commission de la santé,
de la sécurité et de l’indemnisation des
accidents au travail et le Tribunal d’appel
des accidents au travail.
WorkSafeNB – means the Workplace
Health,
Safety
and
Compensation
Commission or "the Commission" as defined
by the Workplace Health, Safety and
Compensation Commission and Workers’
Compensation Appeals Tribunal Act.
Zone gâchette – Toute partie du corps
qui, lorsqu’elle est stimulée, cause une
douleur soudaine dans une région précise.
DIRECTIVE STATEMENTS
ÉNONCÉS DE LA DIRECTIVE
1.0 General
1.0 Généralités
The Workers’ Compensation Act gives
La Loi sur les accidents du travail donne à
de
la
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WorkSafeNB the responsibility to determine
all questions as to the necessity, character
and sufficiency of any medical aid furnished
or to be furnished. Policy 25-001 - Medical
Aid
Principles
establishes
that
WorkSafeNB pays for effective care.
Effective care is care that restores the
worker to all possible functional activities as
soon as possible after the injury or onset of
industrial disease.
Travail sécuritaire NB la responsabilité de
régler toutes les questions relatives à la
nécessité, la nature et la suffisance de
toute aide médicale fournie ou à fournir. La
Politique 25-001, intitulée Aide médicale –
Principes, établit que Travail sécuritaire NB
paie des soins efficaces. Des soins
efficaces sont des soins qui rétablissent
toutes les fonctions possibles du travailleur
dans les meilleurs délais après l’accident ou
l’apparition de la maladie professionnelle.
The principles also establish that:
 WorkSafeNB provides authority to its
Chief Medical Officer to establish
standards for care and treatment; and
Les principes établissent également que :
 Travail sécuritaire NB confère à son
médecin-chef l’autorité d’établir des
normes relatives aux soins et au
traitement;
 Travail sécuritaire NB exige une
preuve scientifique de l’efficacité de
nouveaux traitements et examens qui
ne sont pas normalisés ou qui ne sont
pas généralement reconnus.

WorkSafeNB requires scientific evidence
of effectiveness of new, non-standard or
not generally approved treatment and
tests.
Categorization of care depends on whether
the care, treatment or test is considered to
be practice that is traditionally approved or
new, non-standard or generally not
approved. In the absence of research
demonstrating that the benefit to a worker
outweighs the risk of harmful consequences,
care, treatments and tests are categorized
as
not
approved.
Alternative
and
complementary care, treatments and tests
are currently categorized as non-standard
and
generally
lack
proper
studies
demonstrating efficacy.
Les soins, les traitements et les examens
sont classés selon qu’ils sont considérés
comme une pratique traditionnellement
reconnue, une nouvelle pratique, une
pratique qui n’est pas normalisée ou une
pratique généralement non reconnue. En
l’absence de recherche démontrant que
les bienfaits d’une pratique l’emportent sur
les risques de conséquences néfastes, les
soins, les traitements et les examens sont
classés comme non approuvés. Les soins,
traitements et examens complémentaires
sont actuellement classés comme des
pratiques qui ne sont pas normalisées et,
en général, les preuves attestant de leur
efficacité sont insuffisantes.
WorkSafeNB generally does not approve
treatments and tests that are of questionable
benefit,
except
under
specific
circumstances, as recommended by the
Medical Advisor, and approved by the
Regional Director. For more information, see
Policy 25-014 – Medical Aid Decisions.
En général, Travail sécuritaire NB
n’approuve pas les traitements et les
examens dont les bienfaits sont douteux,
sauf ceux où les circonstances sont
exceptionnelles, notamment s’ils sont
recommandés par le médecin-conseil et
approuvés par le directeur de région. Pour
obtenir de plus amples renseignements,
voir la Politique 25-014 – Décisions
relatives à l’aide médicale.
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Requests to pay for new, non-standard or
not generally approved care, treatment or
tests that are not addressed in the
schedules are forwarded to the Medical
Advisor or Chief Medical Officer for
evaluation and categorization as outlined in
Policy 25-014 - Medical Aid Decisions.
Les demandes de paiement de nouveaux
soins, traitements ou examens qui ne sont
pas normalisés, qui ne sont pas
généralement reconnus et qui ne figurent
pas dans les barèmes des frais doivent
être transmises au médecin-conseil ou au
médecin-chef afin qu’il les évalue et les classe
conformément à la Politique 25-014 –
Décisions relatives à l’aide médicale.
2.0 Generally Not Approved Care,
Treatments and Tests
2.0 Soins, traitements et examens
généralement non approuvés
Care and treatment in this category are of
unknown or questionable effectiveness.
Recommendations will generally distinguish
between authorization prior to the onset of
the chronic injury phase, and subsequent to
the onset of the chronic injury phase.
Recommendations may also distinguish
between early and late chronic injury phase.
L’efficacité des soins et des traitements qui
entrent dans cette catégorie n’est pas
connue ou est douteuse. En général, les
recommandations feront la distinction
entre
une
autorisation
avant
le
commencement de la phase de blessure
chronique et après le commencement de
la phase de blessure chronique. Les
recommandations peuvent également faire
une distinction entre la phase de blessure
chronique précoce et tardive.
2.1 Botulinum Toxin for Myofascial
Pain, Chronic Pain or Chronic
Headaches
2.1 Toxine botulinique pour traiter
les douleurs myofasciales, les
douleurs
chroniques
ou
les
céphalées chroniques
What is it?
Botulinum toxin is a protein substance that is
injected directly into muscle tissue. It is
believed to relieve muscular contractions by
blocking the transfer of acetylcholine thereby
alleviating muscle spasm due to too much
neural activity. The botulinum neurotoxin
can provide relief from 6 weeks to months,
although needs to be re-administered
regularly. Long term affects to date are not
known at this time.
C’est quoi?
La toxine botulinique est une substance
protéinique qui est directement injectée
dans les tissus musculaires. On croit
qu’elle
soulage
les
contractions
musculaires en bloquant le transfert de
l’acétylcholine et en atténuant ainsi le
spasme musculaire causé par une trop
grande activité neuronale. La neurotoxine
botulique peut offrir un soulagement
pendant une période variant de six semaines
à plusieurs mois, bien qu’elle doive être
réadministrée à intervalles réguliers. À ce
jour, les effets à long terme ne sont pas
encore connus.
Recommendations
Since:
• the literature suggests that botulinum
Recommandations
Étant donné :
• que la documentation suggère que la
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toxin therapy may be beneficial in the
treatment of very chronic low back and
myofascial pain;
•
•
treatment is passive; and
the process of referring for this treatment
would interfere with timely active
Continuum of Care approach to
managing injuries in the subacute and
early chronic injury phase,
WorkSafeNB:
• does not approve authorization of
payment prior to the late chronic phase;
but
• may be used adjunct in a pain
management program in the later stages
of the chronic phase of an injury in which
work conditioning, work hardening
and/or work recovery has failed.
Authorization of Payment
Authorization of payment is contingent upon:
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toxine
botulinique
pourrait
être
favorable dans le traitement de
douleurs lombaires et de douleurs
myofasciales très chroniques;
• qu’il s’agit d’un traitement passif;
• que le processus d’orientation des
patients entraverait la démarche active
et opportune du continuum des soins
dans les phases de blessure subaiguë
et chronique précoce;
Travail sécuritaire NB :
• n’approuve pas ce traitement pour
autorisation de paiement avant la
phase chronique tardive, mais
• ce traitement peut être utilisé comme
thérapie
complémentaire
à
un
programme de traitement de la douleur
plus tard dans la phase chronique
d’une blessure pour laquelle le
conditionnement
au
travail, le
réentraînement au travail ou le
rétablissement a échoué.
Approval by a medical advisor;
Worker is in an approved pain
management program;
Use of the functional restoration
approach to evaluate an initial trial of
therapy; and
Authorization of subsequent injections
based on functional response to prior
injection.
Autorisation de paiement
L’autorisation de paiement est conditionnelle
à:
 l’approbation d’un médecin-conseil;
• ce que le travailleur soit inscrit à un
programme de traitement de la douleur;
• l’utilisation de la démarche de
rétablissement des fonctions afin
d’évaluer un essai initial de la thérapie;
• l’autorisation
des
injections
subséquentes selon la réaction
fonctionnelle à l’injection antérieure.
References
Porta, Mauro. “A comparative trial of
botulinum
toxin
type
A
and
methylprednisone for the treatment of
myofascial pain syndrome and pain from
chronic muscle spasm”, Pain, 2000; 85(1-2):
101-105. Randomized trial in 40 patients
with chronic myofascial pain using either
botulinum toxin A with 0.5% bupivicaine or
methylprednisone with 0.5% bupivicaine.
Both groups received PT after the injections.
Pain scores after 30 days post showed
greater pain reduction in the botulinum
group. At 60 days, the effect was even
Références
PORTA, Mauro. « A comparative trial of
botulinum toxin type A and methylprednisone
for the treatment of myofascial pain
syndrome and pain from chronic muscle
spasm ». Pain, 2000; 85(1-2) : pages 101 à
105. Essai aléatoire auquel ont participé
40 patients atteints de douleur myofasciale
chronique utilisant des injections de toxine
botulinique A avec 0,5 % de bupivicaïne ou
de méthylprednisone avec 0,5 % de
bupivicaïne. Les deux groupes ont reçu
une prolothérapie après les injections.
Après 30 jours, la réduction de la douleur
•
•
•
•
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greater as the methylprednisone wore off.
était plus importante dans le groupe
auquel la toxine botulinique avait été
administrée. Après 60 jours, l’effet était
encore plus important au fur et à mesure
que les effets de la méthylprednisone se
sont dissipés.
Gassner, Holger. “Addition of an anesthetic
agent to enhance the predictability of the
effects of botulinum toxin type A injections:
randomized control study, Mayo Clinic
Proceedings, 2000; 75(7): 701-704. Double
blind within study on 10 volunteers.
Botulinum toxin A reconstituted in lidocaine
with epinephrine versus saline and
botulinum toxin A. Using forehead muscles,
botulinum with lidocaine provided immediate
paralysis. Photo and video documentation of
results at 5-10 min, 1 week, and 3 months.
GASSNER, Holger. « Addition of an
anesthetic
agent
to
enhance
the
predictability of the effects of botulinum
toxin type A injections: randomized control
study ». Mayo Clinic Proceedings, 2000;
75(7) : pages 701 à 704. Étude à double
insu menée auprès de dix volontaires.
Comparaison entre la toxine botulinique A
reconstituée dans la lidocaïne avec
l’épinéphrine et un composé de saline et
de toxine botulinique A. Sur les muscles
frontaux, la toxine botulinique avec la
lidocaïne a produit une paralysie immédiate.
Documentation photo et vidéo des résultats
après cinq et dix minutes, une semaine et
trois mois.
Foster, L., L Clapp, M Erickson, B Jabbari.
“Botulinum toxin A and chronic low back
pain” Neurology, May 22, 2001; Vol. 56. No
10.
A randomized, double-blind study
involving 31 patients who met the inclusion
criteria. 15 received 5 injections of 40 units
of botulinum along 5 lumbar paravertebral
levels on the maximum side of discomfort.
16 received saline. The visual analogue
scale and the Oswestry Low Back Pain
Questionnaire were used. At 3 weeks, 11/15
patients who received the botulinum had
>50% pain relief vs. 4/16 in the saline group.
At 8 weeks, 9/15 in the botulinum group had
relief while 2/16 in the saline had relief.
FOSTER, L., L. Clapp, M. Erickson et
B. Jabbari. « Botulinum toxin A and chronic
low back pain ». Neurology, 22 mai 2001.
Vol. 56. No 10. Étude aléatoire, à double
insu, menée auprès de 31 patients qui
répondaient aux critères d’admissibilité. Un
total de 15 patients ont reçu 5 injections de
40 unités de toxine botulinique le long de
5 niveaux paravertébraux lombaires sur le
côté du malaise maximal. Un total de
16 patients ont reçu des injections salines.
L’échelle
visuelle
analogue
et
le
questionnaire sur les douleurs lombaires
d’Oswestry ont été utilisés. Après
3 semaines, 11 patients sur 15 qui avaient
reçu des injections de toxine botulinique
ont indiqué un soulagement de la douleur de
plus de 50 %, comparativement à 4 patients
sur 16 dans le groupe des injections
salines. Après 8 semaines, 9 patients sur
15 du groupe des injections de toxine
botulinique ont indiqué un soulagement,
comparativement à 2 patients sur 16 dans le
groupe des injections salines.
Graboski, C. L., Gray, D. S., & Burnham, R.
GRABOSKI,
C.
L.,
D.
S.
Gray
et
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S. (2005). Botulinum toxin A versus
bupivacaine trigger point injections for the
treatment of myofascial pain syndrome: a
randomised double blind crossover study.
Pain,
118(1-2),
170-175.
doi:
10.1016/j.pain.2005.08.012
There was no significant difference found
between the two agents for pain relief,
function, or satisfaction. Bupivacaine was
found to be more cost effective.
R. S. Burnham (2005). « Botulinum toxin A
versus bupivacaine trigger point injections for
the treatment of myofascial pain syndrome: a
randomised double blind crossover study ».
Pain, 118(1-2), pages 170 à 175. DOI :
10.1016/j.pain.2005.08.01.
Aucune différence importante n’a été
remarquée entre les deux agents quant au
soulagement de la douleur, aux fonctions
et à la satisfaction. La bupivacaïne était
plus efficace par rapport au coût.
Ferrante, F. M., Bearn, L., Rothrock, R., &
King, L. (2005). Evidence against trigger
point injection technique for the treatment of
cervicothoracic
myofascial
pain
with
botulinum toxin type A. Anesthesiology,
103(2), 377-383.
Findings: Injection of botulinum toxin type A
directly into trigger points did not improve
cervicothoracic myofascial pain.
FERRANTE, F. M., L. Bearn, R. Rothrock
et L. King (2005). « Evidence against
trigger point injection technique for the
treatment of cervicothoracic myofascial
pain with botulinum toxin type A ».
Anesthesiology, 103(2), pages 377 à 383.
Constatations : L’injection de toxine
botulinique de type A directement dans les
zones gâchettes n’a pas soulagé la
douleur myofasciale cervicothoracique.
Ojala, T., Arokoski, J. P., & Partanen, J.
(2006). The effect of small doses of
botulinum toxin a on neck-shoulder
myofascial pain syndrome: a double-blind,
randomized, and controlled crossover trial.
Clin J Pain, 22(1), 90-96.
Findings: there were no differences found
between small doses of botulinum toxin A
versus saline, in the treatment of myofascial
pain.
OJALA, T., J. P. Arokoski et J. Partanen
(2006). « The effect of small doses of
botulinum toxin a on neck-shoulder
myofascial pain syndrome: a double-blind,
randomized, and controlled crossover
trial ». The Clinical Journal of Pain, 22(1),
pages 90 à 96.
Constatations : Aucune différence n’a été
remarquée entre les injections de petites
doses de toxine botulinique A et les
injections salines pour traiter la douleur
myofasciale.
Qerama, E., Fuglsang-Frederiksen, A.,
Kasch, H., Bach, F. W., & Jensen, T. S.
(2006). A double-blind, controlled study of
botulinum toxin A in chronic myofascial pain.
Neurology,
67(2),
241-245.
doi:
10.1212/01.wnl.0000224731.06168.df
Results did not support an analgesic effect
of botulinum toxin A.
QERAMA, E., A. Fuglsang-Frederiksen,
H. Kasch, F. W. Bach et T. S. Jensen
(2006). « A double-blind, controlled study of
botulinum toxin A in chronic myofascial
pain ». Neurology, 67(2), pages 241 à 245.
DOI : 10.1212/01.wnl.0000224731.06168.df.
Les résultats n’ont pas appuyé l’effet
analgésique de la toxine botulinique A.
2.2 Craniosacral Therapy
2.2 Thérapie crânio-sacrale
What is it?
Craniosacral therapy is a structured
diagnostic process to evaluate the mobility
C’est quoi?
La thérapie crânio-sacrale est un
processus de diagnostic structuré servant
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of the skull and sacrum (craniosacral
rhythm),
and
related
osteopathic
manipulation techniques to attempt to
restore motion to areas of restriction.
à évaluer la mobilité du crâne et du
sacrum (rythme crânio-sacral). Des
techniques de manipulation ostéopathique
connexes sont également utilisées afin de
rétablir la mobilité au niveau des régions
moins flexibles.
Recommendations
Since:
• the literature questions the validity of this
treatment;
Recommandations
Étant donné :
• que la documentation scientifique
remet en question la validité du
traitement;
• que la documentation scientifique
remet en question la fiabilité des
mesures qui constituent la base de ce
traitement;
• qu’il s’agit d’un traitement passif qui
peut être long;
Travail sécuritaire NB :
• n’approuve pas cette thérapie pour
autorisation de paiement avant la
phase chronique, mais
• peut approuver son utilisation en tant
que composante d’un programme de
physiothérapie dans les phases
tardives de la phase chronique de la
blessure lorsque le conditionnement au
travail, le réentraînement au travail ou
le rétablissement a échoué.
•
the literature questions the reliability of
the measurements that are the
foundation of this therapy; and
•
the treatment is passive and may take
some time;
WorkSafeNB:
• does not approve this therapy for
authorization of payment prior to the
chronic phase; but
• may approve its use as a component of
a physical therapy rehabilitation program
in the later stages of the chronic phase
of an injury in which work conditioning,
work hardening and/or work recovery
have failed.
Authorization of Payment
Authorization of payment is contingent upon:
•
•
•
Treatment being delivered either by or
under
the
supervision
of
a
physiotherapist;
Use of the functional restoration
approach to authorization of treatment;
and
Approval by Regional Director.
Assessment and treatment is reimbursed in
accordance with the rates for regular
physiotherapy treatment set out in the
WorkSafeNB-New
Brunswick
Private
Physiotherapy
Practitioners
(NBPPP)
agreement.
Autorisation de paiement
L’autorisation de paiement est conditionnelle
à:
• la prestation du traitement par un
physiothérapeute
ou
sous
sa
surveillance;
• l’utilisation
d’une
démarche
de
rétablissement des fonctions en ce qui
concerne l’autorisation du traitement;
• l’approbation du directeur de région.
L’évaluation et le traitement sont
remboursés conformément au tarif établi
dans l’entente entre Travail sécuritaire NB
et l’Association des propriétaires de
cliniques de physiothérapie privées du
Nouveau-Brunswick (NBPPP) pour un
traitement courant de physiothérapie.
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 11 of / de 86
References
Green, Carolyn, Craig Martin, Ken Bassett,
and Arminée Kazanjian. “A systematic
review of craniosacral therapy: biological
plausibility, assessment reliability and
clinical effectiveness”. BC Office of Health
Technology Assessment. 1999 March.
Conclusions: This systematic review and
critical appraisal found that craniosacral
therapy is not supported by scientific
evidence.
Références
GREEN, Carolyn, Craig Martin, Ken Bassett
et Arminée Kazanjian. « A systematic
review of craniosacral therapy: biological
plausibility, assessment reliability and
clinical effectiveness ». BC Office of Health
Technology Assessment, mars 1999.
Conclusions : Cette étude méthodique et
critique démontre qu’aucune preuve
scientifique ne confirme l’efficacité de la
thérapie crânio-sacrale.
Green CJ. “Craniosacral therapy: biological
plausibility, assessment reliability and
clinical effectiveness evidence”. Annu Meet
Int Soc Technol Assess Health Care. 15,
1999: 88.
Conclusions: The beneficial effects of
craniosacral therapy of health outcomes
have not been demonstrated using welldesigned research protocols. Inter-observer
agreement studies have found that
assessment of craniosacral dysfunction by
CST practitioners is unreliable; that is, two
or more assessors do not agree on CS
findings to the extent required of scientific
measures. There is little evidence that CST
has a valid pathophysiological rationale.
GREEN, C. J. « Craniosacral therapy:
biological
plausibility,
assessment
reliability
and
clinical
effectiveness
evidence ». Annual Meeting International
Society Technology Assessment Health
Care, 15, 1999 : page 88. Conclusions :
Les bienfaits de la thérapie crânio-sacrale
sur la santé n’ont pu être démontrés à
l’aide de protocoles de recherche
perfectionnés. Des études d’entente ont
permis de démontrer que l’évaluation de la
dysfonction crânio-sacrale effectuée par
les praticiens de thérapie crânio-sacrale
n’est pas fiable, c’est-à-dire que deux ou
plusieurs évaluateurs ne s’entendent pas
sur les résultats de la thérapie crâniosacrale selon la portée requise des
mesures scientifiques. Il existe très peu de
preuves démontrant que la thérapie
crânio-sacrale est fondée sur un
raisonnement physiopathologique valide.
Green C.
“A systematic review of
craniosacral therapy: biological plausibility,
assessment
reliability
and
clinical
effectiveness”.
Complement Ther Med.
7(4), 1999 Dec: 201-7.
Conclusions: This systematic review and
critical appraisal found insufficient evidence
to support craniosacral therapy.
GREEN, C. « A systematic review of
craniosacral therapy: biological plausibility,
assessment
reliability
and
clinical
effectiveness ». Complementary Therapies
in Medicine, 7(4), décembre 1999 :
pages 201 à 207. Conclusions : Cette
étude méthodique et critique démontre que
les preuves confirmant l’efficacité de la
thérapie crânio-sacrale sont insuffisantes.
Hartman, S. E. (2006). Cranial osteopathy:
its fate seems clear. Chiropr Osteopat, 14,
10. doi: 10.1186/1746-1340-14-10
Statement made that until studies show a
direct and positive effect from craniosacral
therapy, this treatment should not
be
HARTMAN, S. E. (2006). « Cranial
osteopathy: its fate seems clear ».
Chiropractic & Osteopathy, 14, 10. DOI :
10.1186/1746-1340-14-10.
Énoncé précisant que jusqu’à ce que les
études démontrent un effet direct et positif
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 12 of / de 86
provided.
de la thérapie crânio-sacrale, ce traitement
ne devrait pas être offert.
2.3 Home Hydrotherapy / Whirlpool
2.3 Hydrothérapie / Baignoire de
massage à domicile
What is it?
Hydrotherapy involves the use of water and
air jets in sequence to different parts of the
body. The aim of hydrotherapy is to promote
wellness, stimulate blood circulation and
relieve pain. It can be used as a modality
within physiotherapy.
This schedule
addresses
requests
for
a
home
hydrotherapy unit.
C’est quoi?
L’hydrothérapie consiste en l’utilisation de
jets d’eau et d’air en séquence à
différentes
parties
du
corps.
L’hydrothérapie a pour but de promouvoir
le mieux-être, de stimuler la circulation
sanguine et de soulager la douleur. Elle
peut être utilisée comme une modalité
dans le cadre de la physiothérapie. Ce
barème porte sur les demandes d’unité
d’hydrothérapie à domicile.
Recommendations
Since:
• there is some peer-reviewed literature
suggesting that hydrotherapy may be
beneficial for a limited time in the
treatment of chronic low back;
Recommandations
Étant donné :
• qu’il
existe
certains
documents
approuvés
par
les
collègues
démontrant des bienfaits possibles de
l’hydrothérapie pendant une période
limitée dans le traitement de douleurs
lombaires chroniques;
• qu’il s’agit d’un traitement passif;
• que le processus d’orientation des
patients entraverait la démarche active
et opportune du continuum des soins
dans les phases de blessure subaiguë
et chronique précoce;
une demande pour acheter une unité
d’hydrothérapie à domicile :
• se limitera au coût d’un accessoire
d’une baignoire de massage /
d’hydrothérapie à une baignoire
existante;
• n’est pas approuvée pour autorisation
de paiement avant la phase chronique
tardive;
• peut être utilisée en tant que
composante d’un programme de
physiothérapie ou de traitement de la
douleur dans les phases tardives de la
phase chronique de la blessure lorsque
le conditionnement au travail, le
réentraînement au travail ou le
rétablissement a échoué.
•
•
treatment is passive; and
the process of referring for this treatment
would interfere with timely active
Continuum of Care approach to
managing injuries in the subacute and
early chronic injury phase,
a request to purchase a home hydrotherapy
unit:
• will be limited to covering the cost of a
whirlpool/hydrotherapy attachment to an
existing bathtub;
•
is not approved for authorization of
payment prior to the late chronic phase;
•
may be used as a component of a
physical therapy rehabilitation or pain
management program in the later stages
of the chronic phase of an injury in which
work conditioning, work hardening
and/or work recovery has failed.
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 13 of / de 86
Authorization of Payment
Authorization of payment is contingent on a
recommendation by a medical advisor.
Autorisation de paiement
L’autorisation
de
paiement
est
conditionnelle à une recommandation par
un médecin-conseil.
References
Sjogren, T., N Long, I Storay, and J Smith.
“Group hydrotherapy versus group land
based treatment for chronic LBP”.
Physiother Res Int 1997; 2(4): 212-22 60
patients with chronic low back pain were
allocated to either land or water treatment
groups in order of presentation. Subjects
were there own controls for 3 weeks after
which they attended their respective group
sessions 2 x a week for 6 weeks. Both
groups had an increase in functional ability
and a decrease in pain but no difference
between the two.
Références
SJOGREN, T., N. Long, I. Storay et
J. Smith. « Group hydrotherapy versus
group land based treatment for chronic low
back pain ». Physiotherapy Researchers
International, 1997; 2(4) : pages 212 à 222.
Un total de 60 patients atteints de douleurs
lombaires chroniques ont été répartis en
deux groupes,
soit
en
traitement
hydrothérapique ou en traitement sur sol,
dans l’ordre de présentation. Les sujets
ont procédé de façon individuelle pendant
trois semaines, après quoi ils se sont
rendus aux séances de leur groupe
respectif, deux fois par semaine, pendant
six semaines. Les deux groupes ont
remarqué une augmentation de la capacité
fonctionnelle et une diminution de la douleur,
mais aucune différence entre les deux.
Constant F., F Guillemin, JF Collin, M
Boulange. Use of spa therapy to improve
the quality of life of chronic low back pain
patients. Med Care 1998; 36(9): 1309-14
Randomized control trial involving 224
patients. 128 in the treatment group who
received drug therapy and spa therapy 6
days a week for 3 weeks. 96 in the control
group who received drug therapy only.
Effectiveness was measured using a quality
of life scale, clinical measures, and the
Roland and Morris disability questionnaire.
At 3 weeks and 3 months, patients in the
treatment group showed improvement in the
quality of life, anxiety, depression, pain
intensity, duration and functional disability.
CONSTANT, F., F. Guillemin, J. F. Collin et
M. Boulange. « Use of spa therapy to
improve the quality of life of chronic low
back pain patients ». Medical Care, 1998;
36(9) : pages 1309 à 1314. Essai aléatoire
auquel ont participé 224 patients, dont 128
ont été répartis dans un groupe pour
recevoir une pharmacothérapie et thérapie
de cuve thermale, six jours par semaine,
pendant trois semaines, et 96 ont été
répartis dans un groupe pour recevoir une
pharmacothérapie seulement. L’efficacité a
été mesurée à l’aide d’une échelle de la
qualité de vie, des moyens cliniques ainsi que
du Roland-Morris Disability Questionnaire.
Après trois semaines et trois mois, les
patients du groupe de traitement ont
indiqué une amélioration sur le plan de la
qualité de vie, de l’anxiété, de la
dépression, de l’intensité de la douleur, de
la durée et de l’incapacité fonctionnelle.
Sierpina V., P Curtis, J Doering. “ An
Integrative Approach to Low Back Pain”.
Clinics in Family Practice 2002; Vol 4 No 4.
SIERPINA, V., P. Curtis et J. Doering.
« An Integrative Approach to Low Back
Pain ». Clinics in Family Practice, 2002;
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
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Cochrane Collaboration Systematic Reviews
assessed the “best evidence” for the
treatment of acute and chronic back pain.
Functional restoration was found to be an
effective approach to chronic LBP. As an
alternative therapy for low back pain,
hydrotherapy was categorized in the “least
evidence” as studies are needed to support
the use of hydrotherapy in the treatment of
chronic LBP.
vol. 4, no 4. Cochrane Collaboration. Une
étude méthodique selon laquelle les
« meilleures preuves » ont été évaluées
pour le traitement des douleurs lombaires
aiguës et chroniques. Le rétablissement
des fonctions s’est révélé une démarche
efficace dans le cas de douleurs lombaires
chroniques.
Comme
thérapie
complémentaire pour la douleur lombaire,
l’hydrothérapie a été classée comme étant
celle qui présentait « le moins de
preuves », étant donné que des études
sont nécessaires pour appuyer l’utilisation
de l’hydrothérapie dans le traitement des
douleurs lombaires chroniques.
2.4 Laser Therapy – Low Intensity
2.4
Traitement au laser – Faible
intensité
What is it?
Low intensity laser therapy is the use of 250
milliwatts or less monochromatic light
emission to treat musculoskeletal injuries,
degenerative conditions and wounds. Shortterm effects includes increased production
of cortisol and beta-endorphins. Cumulative
effects include stimulation of macrophages,
fibroblasts and other cells involved in
healing process; increased cell replication;
increased levels of cytokines and serotonin.
C’est quoi?
Le traitement au laser à faible intensité
utilise 250 milliwatts ou moins d’émissions
de lumière monochromatique en vue de
traiter les lésions musculo-squelettiques,
les conditions dégénératives et les plaies.
Les effets à court terme comprennent la
production accrue de cortisol et de bétaendorphines.
Les
effets
cumulatifs
comprennent
la
stimulation
des
macrophages, des fibroblastes et d’autres
cellules qui jouent un rôle dans le
processus de guérison; la reproduction
accrue des cellules; ainsi que les niveaux
accrus de cytokines et de sérotonine.
Recommendations
Since:
• a literature search on evidence of this
treatment’s efficacy in restoring function
identified only articles relating to chronic
soft-tissue injuries;
Recommandations
Étant donné :
• que le dépouillement d’ouvrages
spécialisés sur l’efficacité du traitement
pour rétablir les fonctions n’a donné
que des articles portant sur les lésions
musculo-squelettiques chroniques;
• qu’on a trouvé aucun article qui traite
de l’efficacité du traitement pour les
fractures;
• que les ouvrages portant sur le
traitement pour les maladies de la peau
n’ont pas démontré l’efficacité du
traitement;
•
no articles on the efficacy of the
treatment’s use in fractures;
•
the literature on the treatment’s use in
skin disorders failed to demonstrate
efficacy;
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Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 15 of / de 86
•
•
treatment is passive; and
the process of referring for this treatment
would interfere with timely active
Continuum of Care approach to
managing injuries in the subacute and
early chronic injury phase;
WorkSafeNB:
• Does not approve authorization of
payment prior to the late chronic phase;
but
• May approve payment in the later stages
of the chronic phase of a soft-tissue
injury in which work conditioning, work
hardening and/or work recovery has
failed.
• qu’il s’agit d’un traitement passif;
• que le processus d’orientation des
patients entraverait la démarche active
et opportune du continuum des soins
dans les phases de blessure subaiguë
et chronique précoce;
Travail sécuritaire NB :
• n’approuve pas ce traitement pour
autorisation de paiement avant la
phase chronique tardive, mais
• peut en approuver le paiement dans les
stades plus avancés de la phase
chronique d’une lésion musculosquelettique
pour
laquelle
le
conditionnement
au
travail,
le
réentraînement au travail ou le
rétablissement a échoué.
Authorization of Payment
Authorization of payment is contingent upon:
Autorisation de paiement
L’autorisation de paiement est conditionnelle
à:
• l’approbation d’un médecin-conseil et
d’un directeur de région au préalable;
• l’utilisation
de la démarche de
rétablissement des fonctions afin
d’évaluer un essai initial de la thérapie;
• la prestation du traitement par un
fournisseur approuvé formé pour
dispenser des traitements au laser.
•
•
•
Prior approval by a medical advisor and
regional director;
Use of the functional restoration
approach to evaluate an initial trial of
therapy; and
Treatment is delivered by an approved
provider with training in the use of laser
therapy.
Additional
information
regarding
authorization
• Treatment is authorized for up to 3
sessions per week.
•
Initial treatment is limited to a block of up
to 5 weeks. If meaningful progress
towards the functional goal(s) is (are)
being made, then a second block of up
to 5 weeks may be authorized.
•
In a letter to WorkSafeNB dated June 26
2015, the NBCA informed WorkSafeNB
that laser therapy is now within the
scope of practice of chiropractors.
General training would be through the
Canadian Memorial Chiropractic College
(CMCC)
or
equivalent
education
Renseignements
supplémentaires
concernant l’autorisation de paiement
• Le traitement est autorisé jusqu’à
concurrence de trois traitements par
semaine.
• Le traitement initial est limité à une
tranche maximale de cinq semaines.
Travail sécuritaire NB peut ensuite
autoriser une deuxième tranche d’au
plus cinq semaines si le travailleur
blessé fait des progrès considérables
vers l’atteinte de ses buts fonctionnels.
• Dans une lettre en date du 26 juin 2015,
l’Association des chiropraticiens du
Nouveau-Brunswick a avisé Travail
sécuritaire NB que le traitement au
laser était maintenant à l’intérieur du
champ d’activité des chiropraticiens.
Le Canadian Memorial Chiropractic
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
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Page 16 of / de 86
institution.
Training
on
specific
equipment would be through the
manufacturer. Chiropractors requesting
that payment for laser therapy be
covered should submit a copy of both
certificates to the Chief Medical Officer.
College
ou
un
établissement
d’enseignement équivalent offrirait la
formation générale. Le fabricant
offrirait toute formation liée au
traitement. Les chiropraticiens qui
demandent que le traitement au laser
soit payé devraient présenter une copie
des deux certificats au médecin-chef.
References
• Gur, Al, Karakoc, M., Cevik, R., Nas, K.,
Sarac, A., and Karakoc, M. “Efficacy of
Low Power Laser Therapy and Exercise
on Pain and Functions in Chronic Low
Back Pain”. Lasers in Surgery and
Medicine. 2003: 32: 233-38.
Références
• GUR, Al, M. Karakoc, R. Cevik, K. Nas,
A. Sarac et M. Karacoc. « Efficacy of
Low Power Laser Therapy and
Exercise on Pain and Functions in
Chronic Low Back Pain ». Lasers in
Surgery and Medicine, 2003; 32 :
pages 233 à 238.
Un total de 75 patients atteints de douleur
lombaire depuis au moins un an ont été
choisis pour recevoir l’un de trois traitements :
laser et exercices, laser seulement ou
exercices seulement. Les chercheurs se
sont servis de l’échelle analogue visuelle
et de l’amplitude des mouvements
lombaires, ainsi que du Roland Disability
Questionnaire et du Modified Oswestry
Disability Questionnaire.
75 patients with low back pain for at least
one year were assigned to one of three
treatments: laser + exercise, laser alone and
exercise alone. In addition to the visual
analogue pain scale and lumbar range of
motion, the researchers used the Roland
Disability Questionnaire and Modified
Oswestry Disability Questionnaire.
These last two outcome measures evaluate
function.
The researchers indicate that
there was no difference in pre-therapy
outcome measures across the treatment
groups; and no difference in post-therapy
outcome measures across the treatment
groups. The researchers indicate that while
there was a significant improvement in all
outcome measures, no treatment group
fared statistically better than the others.
Les deux dernières mesures des résultats
évaluent les fonctions. Les chercheurs
indiquent qu’il n’y avait aucune différence
relativement aux mesures des résultats
avant le traitement chez les groupes ayant
reçu le traitement, et aucune différence
relativement aux mesures des résultats
après le traitement chez les groupes ayant
reçu le traitement. Selon les chercheurs,
bien qu’il y ait eu une amélioration
considérable vis-à-vis de toutes les mesures
des résultats, les statistiques n’étaient pas
plus favorables chez un groupe que chez
les autres.
Basford, J. R., Sheffield, C. G., & Cieslak, K.
R. (2000). Laser therapy: a randomized,
controlled trial of the effects of low intensity
Nd:YAG laser irradiation on lateral
epicondylitis. Arch Phys Med Rehabil,
81(11),
1504-1510.
doi:
10.1053/apmr.2000.17812
BASFORD, J. R., C. G. Sheffield et
K. R. Cieslak (2000). « Laser therapy:
a randomized, controlled trial of the
effects of low intensity Nd:YAG laser
irradiation on lateral epicondylitis ».
Archives of Physical Medicine and
Rehabilitation, 81(11), pages 1504 à 1510.
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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Findings: Low intensity laser therapy was
found to be a safe but ineffective treatment
for lateral epicondylitis.
DOI : 10.1053/apmr.2000.17812.
Constatations : Il a été déterminé que le
traitement au laser à faible intensité est
sécuritaire, mais inefficace pour traiter une
épicondylite latérale.
Basford, J. R., Sheffield, C. G., & Harmsen,
W. S. (1999). Laser therapy: a randomized,
controlled trial of the effects of low-intensity
Nd:YAG laser irradiation on musculoskeletal
back pain. Arch Phys Med Rehabil, 80(6),
647-652.
Low internsity laser therapy did have a
moderate improvement in function and pain
for those with low back pain but did not have
long term benefits beyond 1 month post
treatment.
BASFORD, J. R., C. G. Sheffield et
W. S. Harmsen (1999). « Laser therapy: a
randomized, controlled trial of the effects
of low-intensity Nd:YAG laser irradiation on
musculoskeletal back pain ». Archives of
Physical Medicine and Rehabilitation,
80(6), pages 647 à 652.
Les personnes atteintes d’une douleur
lombaire ont connu une amélioration
modérée au niveau de leurs fonctions et de
leur douleur grâce à la thérapie au laser à
faible intensité, mais n’ont pas connu de
bienfaits à long terme au-delà de un mois
après leur traitement.
2.5 Massage Therapy
2.5 Massothérapie
What is it?
Massage therapy refers to the use of
manual techniques to enhance the health
and well-being of the worker. A number of
research studies show massage therapy
reduces heart rate, lowers blood pressure,
increases blood circulation and lymph flow,
relaxes muscles, improves range of motion
and increases the release of endorphins.
Massage therapy may include the use of
additional therapies.
C’est quoi?
Il s’agit de l’utilisation de techniques
manuelles visant à améliorer la santé et le
bien-être du travailleur. Certaines études
ont démontré que la massothérapie
diminue le rythme cardiaque et la tension
artérielle; favorise la circulation sanguine
et le flux lymphatique; détend les muscles;
et augmente l’amplitude des mouvements
et
le
taux
d’endorphines.
La
massothérapie peut être pratiquée de
concert avec des traitements additionnels.
Massage therapy encompasses a broad
range of techniques:
 Craniosacral;
 Deep Tissue;
 Effleurage;
 Friction;
 Myofascial Release;
 Chair Massage;
 Petrissage;
 Reflexology;
 Rolfing;
 Rosen Method;
Elle englobe une vaste gamme
techniques, dont :
 crânio-sacrale
 tissu profond
 effleurage
 friction
 libération myofasciale
 massage sur chaise
 pétrissage
 réflexologie
 intégration structurale (« rolfing »)
 Méthode Rosen
de
DIRECTIVE
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Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés





Shiatsu and Acupuncture;
Sports Massage;
Swedish Massage;
Tapotement; and
Trigger Point Therapy.





Page 18 of / de 86
shiatsu et acupuncture
massage sportif
massage suédois
tapotement
zone gâchette
There is some recent peer-reviewed
literature to suggest that massage therapy
can be useful in the treatment of chronic
pain in conjunction with other treatment.
Certains documents récents approuvés
par les collègues suggèrent que la
massothérapie peut être utile pour traiter la
douleur chronique en combinaison avec
d’autres traitements.
Recommendation
Since:
• there is no peer-reviewed literature
showing massage therapy to be
beneficial as a standalone modality or
treatment;
• the treatment is passive; and
• the process of referring for this treatment
would interfere with the timely active
Continuum of Care approach to
managing injuries in the sub acute and
early chronic injury phase;
Recommandations
Étant donné :
• qu’aucun document approuvé par les
collègues ne démontre les bienfaits de
la massothérapie en tant que modalité
ou traitement autonome;
• qu’il s’agit d’un traitement passif;
• que le processus d’orientation dans le
cas de ce traitement entraverait la
démarche active et opportune du
continuum des soins dans le cas des
blessures en phase subaiguë et
chronique précoce;
Travail sécuritaire NB :
• n’approuve pas ce traitement pour
autorisation de paiement avant la
phase chronique, mais
• cette thérapie peut être utilisée en tant
que composante d’un programme de
physiothérapie dans les phases
tardives de la phase de blessure
chronique lorsque le conditionnement
au travail, le réentraînement au travail
ou le rétablissement a échoué.
WorkSafeNB:
• does not approve massage therapy for
authorization of payment prior to the
chronic phase; but
• may approve therapeutic massage for
use as a component of a physical
therapy rehabilitation program in the
later stages of the chronic phase of an
injury in which work conditioning, work
hardening and/or work recovery have
failed.
Authorization of payment
Authorization of payment is contingent upon:
•
•
Massage therapy being limited to
therapeutic
massage
of
the
compensable injury;
Treatment being delivered by a
physiotherapist, chiropractor, physician,
registered nurse, registered licensed
practical nurse, or massage therapist
licensed by the College of Massage
Autorisation de paiement
L’autorisation de paiement est conditionnelle
à:
• la limitation de la massothérapie au
massage thérapeutique au niveau de
la blessure indemnisable;
• la prestation du traitement par un
physiothérapeute, un chiropraticien, un
médecin, un infirmier praticien immatriculé
ou un massothérapeute ayant un
permis du Collège des massothérapeutes
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
•
•
Therapists of New Brunswick; or
Treatment being delivered under the
supervision
of
a
physiotherapist,
chiropractor or physician; and
Use of the functional restoration
approach to authorization of treatment.
Additional
information
regarding
authorization of massage therapy
WorkSafeNB reimburses massage therapy
provided by a physiotherapist, chiropractor
or physician at the rate set out in the
agreement
with
their
professional
association,
or
the
regular
office
visit/treatment rate if no special rate is
identified.
•
•
Page 19 of / de 86
du Nouveau-Brunswick;
ou
sous
la
surveillance
d’un
physiothérapeute, d’un chiropraticien
ou d’un médecin;
l’autorisation du traitement selon
l’approche visant le rétablissement des
fonctions.
Renseignements
supplémentaires
concernant l’autorisation de paiement
de la massothérapie
Travail sécuritaire NB rembourse les
traitements de massothérapie dispensés
par un physiothérapeute, un chiropraticien
ou un médecin au taux établi dans
l’entente
avec
son
association
professionnelle respective, ou selon le
taux établi pour les traitements ou les
visites ordinaires au bureau si aucun taux
particulier n’est établi.
For registered massage therapists licenced
by the College of Massage Therapists of
New Brunswick, there is no association with
which to negotiate a fee schedule.
WorkSafeNB reimburses the provider at a
rate that is adjusted each year on October 1
consistent with the annual increase provided
under the NB Medical Society contract.
October 1, 2015 to September 30, 2016, the
rate for massage therapy was $83.89.
Dans le cas des massothérapeutes
autorisés qui ont un permis du Collège des
massothérapeutes du Nouveau-Brunswick,
il n’y a aucune association avec laquelle
on peut négocier un barème des frais.
Travail sécuritaire NB rembourse le
fournisseur selon un taux qui est rajusté le
1er
octobre
de
chaque
année,
conformément à l’augmentation annuelle
en vertu du contrat avec la Société
médicale du Nouveau-Brunswick. Du
1er octobre 2015 au 30 septembre 2016, le
taux qui s’applique à la massothérapie est
de 83,89 $.
Extra-billing the worker is not allowed.
Il n’est pas permis de surfacturer le
travailleur.
Treatments are authorized in blocks of 5
treatments, 1 per week. Up to 2 additional
blocks may be authorized if the worker has
made
satisfactory
progress
towards
meaningful functional goals in the current
block.
Les traitements sont autorisés en tranches
de cinq, selon un traitement par semaine.
Travail sécuritaire NB peut autoriser
jusqu’à deux autres
tranches de
traitements si le travailleur a fait des
progrès satisfaisants vers l’atteinte de ses
buts fonctionnels au cours de la tranche
actuelle.
References
Furlan AD, L Brosseau, V Welch, J Wong.
Références
FURLAN, A. D., L. Brosseau, V. Welch et
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 20 of / de 86
“Massage for low back pain”. Cochrane
Database Syst Rev, The Cochrane Library,
Issue 4, 2001.
J. Wong. « Massage for low-back pain ».
The Cochrane Database of Systematic
Reviews, The Cochrane Library, no 4, 2001.
Hernandez-Reif M, T Field, J Krasnegor, H
Theakson. “Lower back pain is reduced and
range of motion is increased after massage
therapy”.
International
Journal
of
Neuroscience. 2001; 106(3-4): 131-45
HERNANDEZ-REIF,
M.,
T.
Field,
J. Krasnegor et H. Theakson. « Lower
back pain is reduced and range of motion
is increased after massage therapy ».
International Journal of Neuroscience,
2001; 106(3-4) : pages 131 à 145.
Preyde M. “Effectiveness of massage
therapy for sub acute low back pain: a
randomized controlled trial”. CMAJ 2000 Jun
27; 162(13): 1815-20. Note: A problem with
this study was the definition of “sub acute”: 2
weeks to 8 months. This timeframe actually
spans acute, sub acute and chronic. The
average interval to initiation of treatment
was 12-13 weeks – the beginning of the
chronic injury phase for soft tissue injuries.
PREYDE, M. « Effectiveness of massage
therapy for subacute low back pain: a
randomized controlled trial ». JAMC,
27 juin 2000; 162(13) : pages 1815 à
1820. Remarque : La définition de
« subaigu » dans cette étude pose un
problème : 2 semaines à 8 mois. Ce délai
couvre en fait la phase de blessure aiguë,
subaiguë et chronique. L’intervalle moyen de
début du traitement était de 12 à 13 semaines,
c’est-à-dire le début de la phase chronique
dans
le
cas
de
lésions
musculo-squelettiques.
Kalauokalani D, DC Cherkin, KJ Sherman,
TD Koepsell, RA Deyo. “Lessons from a trial
of acupuncture and massage for low back
pain: patient expectations and treatment
effects. Spine 2001 Jul 1; 26(13):1418-24.
KALAUOKALANI, D., D. C. Cherkin,
K. J. Sherman, T. D. Koepsell et R. A. Deyo.
« Lessons from a trial of acupuncture and
massage for low back pain: patient
expectations and treatment effects ».
Spine, 1er juillet 2001; 26(13) : pages 1418 à
1424.
Cherkin, D. C., Sherman, K. J., Kahn, J.,
Wellman, R., Cook, A. J., Johnson, E., Erro,
J., et al. (2011). A comparison of the effects
of 2 types of massage and usual care on
chronic low back pain: a randomized,
controlled trial Annals of internal medicine,
155(1), 1–9.
CHERKIN, D. C., K. J. Sherman, J. Kahn,
R. Wellman, A. J. Cook, E. Johnson,
J. Erro et coll. (2011). « A comparison of
the effects of 2 types of massage and
usual care on chronic low back pain: a
randomized, controlled trial ». Annals of
Internal Medicine, 155(1), pages 1 à 9.
2.6 Photonic Stimulation
2.6 Stimulation photonique
What is it?
Photonic stimulation is promoted as a
modality for the treatment of radiculopathy,
myofascial pain and complex regional pain
(reflex sympathetic dystrophy).
The
Photonic Stimulator directs a beam of
photons to the traumatized area. The
C’est quoi?
Il s’agit d’une modalité de traitement de la
radiculopathie, de la douleur myofasciale
et de la douleur régionale complexe
(dystrophie sympathique réflexe). Le
stimulateur photonique dirige un rayon de
photons sur la région atteinte. Le faisceau
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 21 of / de 86
resultant infrared light is hypothesized to
facilitate healing by increasing blood flow to
the area.
de lumière infrarouge résultant permet
d’accélérer la guérison en augmentant le
débit sanguin au niveau de la région traitée.
Recommendations
Since:
• there is no peer-reviewed literature to
evaluate this new modality/treatment;
Recommandations
Étant donné :
• qu’il n’existe aucune documentation
approuvée par les collègues qui
permette
d’évaluer
ce
nouveau
traitement ou cette nouvelle modalité;
• qu’il s’agit d’un traitement passif;
• que le processus d’orientation dans le
cas de ce traitement entraverait la
démarche active et opportune du
continuum des soins dans le cas des
blessures en phase subaiguë et
chronique précoce;
Travail sécuritaire NB :
• n’approuve pas cette thérapie pour
autorisation de paiement avant la
phase de blessure chronique, mais
• cette thérapie peut être utilisée en tant
que composante d’un programme de
physiothérapie dans les phases
tardives de la phase de blessure
chronique lorsque le conditionnement
au travail, le réentraînement au travail
ou le rétablissement a échoué.
•
•
treatment is passive; and
the process of referring for this treatment
would interfere with timely active
Continuum of Care approach to
managing injuries in the subacute and
early chronic injury phase,
WorkSafeNB:
• does not approve this therapy for
authorization of payment prior to the
chronic phase; but
• may be used as a component of a
physical therapy rehabilitation program
in the later stages of the chronic phase
of an injury in which work conditioning,
work hardening and/or work recovery
has failed.
Authorization of payment
Authorization of payment is contingent upon
treatment being delivered either by or under
the supervision of a physiotherapist,
chiropractor or physician.
Autorisation de paiement
L’autorisation
de
paiement
est
conditionnelle à la prestation du traitement
par un physiothérapeute, un chiropraticien
ou un médecin ou sous la supervision de
l’un d’eux.
References
No peer-reviewed literature was found in a
search of MEDLINE
Références
Aucune documentation approuvée par les
collègues n’a été trouvée à la suite d’une
recherche dans la base de données
MEDLINE.
There are case studies demonstrating
sustained improvement in pain and activities
of daily living. While these case studies
might qualify for Level 3 Strength of
Evidence, there is insufficient evidence to
support the general use of the modality
(Level 3 Strength of Recommendation):
Des études de cas font état d’une
diminution soutenue de la douleur et d’une
plus grande facilité à exercer les activités
de la vie quotidienne. Bien que ces études
de cas remplissent les conditions requises
de la valeur de preuve de troisième
niveau, les preuves appuyant l’utilisation
générale de cette modalité (valeur de la
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 22 of / de 86
recommandation du troisième niveau) sont
insuffisantes :
Friedman, M.S. “The use of thermography
in sympathetically maintained pain”. Iowa
Orthopedic Journal. Vol. 14. No date given.
pp141-147.
FRIEDMAN, M. S. « The use of
thermography
in
sympathetically
maintained pain ». Iowa Orthopedic Journal.
Vol. 14. Sans date. Pages 141 à 147.
Vlasuk, S., “Sympathetic Nervous System
Studied at Interprofessional Symposium”.
American
Chiropractic
College
of
Thermology. May 15-16,1999
VLASUK, S. « Sympathetic Nervous
System Studied at Interprofessional
Symposium ».
American
Chiropractic
College of Thermology. 15 et 16 mai 1999.
Thomas,
K.J.
Popowich.
“Photonic
Stimulation, Stopping the Pain With Light”.
Case Studies; Myofascial Syndrome,
Diabetic
Neuropathies,
Radiculopathy
/Lumbar
Disc
Protrusions,
Complex
Regional Pain Syndrome.
THOMAS, K. et J. Popowich. « Photonic
Stimulation, Stopping the Pain With
Light ». Études de cas; douleurs
myofasciales, neuropathies diabétiques,
radiculopathie / protrusions du disque
lombaire, dystrophie sympathique réflexe.
2.7 Sclerotherapy or Prolotherapy
2.7 Sclérothérapie ou prolothérapie
What is it?
Sclerotherapy
or
prolotherapy
for
musculoskeletal conditions involves injecting
a sclerosing solution into soft tissues, for
management of chronic ligamentous and
tendon sprains and strains. The theory
behind the treatment is that it will produce
stronger tissue.
C’est quoi?
Dans le cas de problèmes musculosquelettiques, la sclérothérapie ou la
prolothérapie consiste en l’injection d’une
solution sclérosante dans les tissus mous
pour le traitement des entorses et foulures
ligamentaires chroniques. En théorie, ce
traitement permet de renforcer les tissus.
Recommendations
Based on WorkSafeNB experience and
internal research, this treatment is not
approved for authorization of payment at
least prior to workers being on benefits for 3
years. At this point, the worker should long
ago have gone through a multidisciplinary
approach to managing chronic pain. The
worker will long ago passed the point of
maximum medical improvement. The
objective of medical management at this
point is less about cure and more about
quality of life.
Recommandations
Selon l’expérience de Travail sécuritaire NB
et des recherches internes, ce traitement
n’est pas approuvé pour autorisation de
paiement, du moins tant que les
travailleurs n’ont pas touché des
prestations d’indemnisation pendant trois
ans. À cette étape, il y a longtemps que le
travailleur devrait avoir fait l’objet d’une
approche multidisciplinaire pour la gestion
de la douleur chronique. Le travailleur a
depuis longtemps dépassé le délai
nécessaire pour atteindre l’amélioration
médicale maximale. À cette étape, la
gestion médicale vise moins la guérison, et
plutôt la qualité de vie.
Authorization of this treatment to improve
quality of life for workers on benefits beyond
L’autorisation de ce traitement pour
améliorer la qualité de vie des travailleurs
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 23 of / de 86
3 years is contingent on the use of the
functional
restoration
approach
to
authorization of treatment. Prolotherapy is
not a stand-alone therapy and must be done
in conjunction with an exercise program.
dont la période d’indemnisation s’étend
au-delà de trois ans est conditionnelle à
l’utilisation de l’approche visant le
rétablissement
des
fonctions.
La
prolothérapie n’est pas un traitement
indépendant et doit être accompagnée
d’un programme d’exercices.
WorkSafeNB
does
not
approve
authorization of payment prior to a worker
being on benefits for 3 years.
Travail sécuritaire NB n’approuve pas ce
traitement pour autorisation de paiement si
les travailleurs n’ont pas touché des
prestations
d’indemnisation
pendant
trois ans.
Authorization of payment
Authorization of payment is contingent upon:
Autorisation de paiement
L’autorisation de paiement est conditionnelle
à:
• la prestation du traitement par un
anesthésiste associé à une clinique
antidouleur;
• la recommandation du traitement par le
médecin offrant les soins primaires au
travailleur;
• l’utilisation de la démarche de
rétablissement des fonctions en ce qui
concerne l’autorisation continue de
traitement;
• l’approbation du directeur de région.
•
•
Treatment being delivered by an
anaesthetist associated with a pain
clinic;
A recommendation for the treatment by
the worker’s primary care physician;
•
Use of the functional restoration
approach to ongoing authorization of
treatment; and
•
Approval by Regional Director.
Additional
information
regarding
authorization of sclerotherapy
Assessment and treatment is reimbursed in
accordance with the rates for physician
services set out in the WorkSafeNB-NBMS
agreement.
References
Dagenais, S., Yelland, M. et al. (2010).
“Prolotherapy injections for chronic low-back
pain
(Review).”
The
Cochrane
Collaboration, 2010 Issue 2. There is
conflicting evidence in using prolotherapy
injections for patients with chronic low-back
pain. When used alone, prolotherapy is not
an effective treatment. When used in
combination with spinal manipulation,
exercise
and
other
co-interventions,
Renseignements
supplémentaires
concernant l’autorisation de paiement
de la sclérothérapie
L’évaluation et le traitement sont
remboursés conformément au tarif établi
dans l’entente entre Travail sécuritaire NB
et
la
Société
médicale
du
Nouveau-Brunswick pour les services d’un
médecin.
Références
DAGENAIS, S., M. Yelland et coll. (2010).
« Prolotherapy injections for chronic lowback pain (Review) ». The Cochrane
Collaboration, 2. Il y a des arguments
contradictoires quant aux injections dans
le cadre de la prolothérapie pour traiter les
patients atteints de douleur lombaire
chronique. La prolothérapie utilisée seule
n’est pas efficace. Lorsqu’elle est utilisée
conjointement avec des manipulations
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 24 of / de 86
prolotherapy may improve chronic low-back
pain and disability
vertébrales, des exercices et d’autres
co-interventions, elle peut améliorer la
douleur lombaire chronique et l’incapacité
connexe.
Dagenais, S., S. Haldeman, et al.
(2005). “Intraligamentous
injection
of
sclerosing solutions (prolotherapy) for spinal
pain: a critical review of the literature.” Spine
J 5(3): 310-328.
Clinical studies show that prolotherapy may
be effective at reducing spinal pain. There
was however great variation in the type of
injection solutions and treatment protocols
used. Further studies need to be done to
identify the effective ones.
DAGENAIS, S., S. Halderman et coll.
(2005). « Intraligamentous injection of
sclerosing solutions (prolotherapy) for
spinal pain: a critical review of the
literature ». The Spine Journal, 5(3) :
pages 310 à 328.
Des études cliniques démontrent que la
prolothérapie peut être efficace pour
réduire la douleur vertébrale. Toutefois, les
types de solutions pour les injections et de
protocoles de traitement utilisés variaient
beaucoup. D’autres études doivent être
effectuées pour déterminer quels types
sont efficaces.
Rabago, D. et al. (2005). “A systematic
review
of
prolotherapy
for
chronic
musculoskeletal pain.” Clin J Sport Med
15(5): 376-380.
There is a limited amount of high-quality
data supporting prolotherapy in the
treatment of musculoskeletal pain. More
randomized controlled trials are needed to
determine its’ efficacy.
RABAGO, D. et coll. (2005). « A
systematic review of prolotherapy for
chronic musculoskeletal pain ». Clinical
Journal of Sport Medicine, 15(5) : pages
376 à 380.
Les données de haute qualité appuyant la
prolothérapie pour traiter la douleur
musculo-squelettique
sont
limitées.
D’autres essais aléatoires contrôlés sont
nécessaires pour déterminer son efficacité.
Hooper, R.A. and M. Ding (2004).
“Retrospective case series on patients with
chronic spinal pain treated with dextrose
prolotherapy.” J Altern Complement Med
10(4): 670-674.
177 patients with chronic spinal pain were
injected with a dextrose/xylocaine mixture
on a weekly basis for up to 3 weeks. 91%
reported a reduciton in pain, 84% reported
improvement in daily activities and ability to
work. It was found that women require on
average, three more injections than men.
HOOPER, R. A. et M. Ding (2004).
« Retrospective case series on patients
with chronic spinal pain treated with
dextrose prolotherapy ». The Journal of
Alternative and Complementary Medicine,
10(4) : pages 670 à 674.
Un total de 177 patients atteints de douleur
vertébrale chronique ont reçu une injection
d’un mélange de dextrose et de xylocaïne
chaque semaine pendant trois semaines
au plus. Des 177 patients, 91 % ont
signalé une réduction de la douleur, et
84 % ont indiqué une amélioration de leurs
activités quotidiennes et de leur capacité
de travailler. On a constaté qu’en général,
les
femmes
avaient
besoin
de
trois injections de plus que les hommes.
Yelland, M. et al. (2004).
YELLAND,
“Prolotherapy
M.
et
coll.
(2004).
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 25 of / de 86
injections for chronic low back pain: a
systematic review.” Spine 29(19): 21262133.
Four high quality studies, involving 344
patients were reviewed and found to have
conflicting evidence regarding the efficacy of
prolotherapy injections in reducing pain and
disability in patients with low back pain.
« Prolotherapy injections for chronic low
back pain: a systematic review ». Spine,
29(19) : pages 2126 à 2133.
On a examiné quatre études de haute
qualité effectuées auprès de 344 patients
et on a découvert des arguments
contradictoires
quant
à
l’efficacité
d’injections dans le cadre de la
prolothérapie pour réduire la douleur et
l’incapacité chez les patients atteints de
douleur lombaire.
Britton, KR. “Is prolotherapy safe and
effective for back pain?”.
Postgraduate
Medicine. 108 (2), 2000 Aug: 37-8.
BRITTON, K. R. « Is prolotherapy safe and
effective for back pain? ». Postgraduate
Medicine, 108(2), août 2000 : pages 37 et
38.
Margison,
Douglas.
“OrthoMedicine
Treatment2002Aug03.doc”. 2000. Internal
WorkSafeNB document.
MARGISON, Douglas. OrthoMedicine
Treatment2000Aug03.doc, 2000. Document
interne de Travail sécuritaire NB.
Chou, R., Atlas, S. J., Stanos, S. P., &
Rosenquist, R. W. (2009). Nonsurgical
interventional therapies for low back pain: a
review of the evidence for an American Pain
Society clinical practice guideline. Spine
(Phila Pa 1976), 34(10), 1078-1093. doi:
10.1097/BRS.0b013e3181a103b1
Found fair to good evidence that
prolotherapy is not effective for for low back
pain.
CHOU, R., S. J. Atlas, S. P. Stanos
et R. W. Rosenquist (2009). « Nonsurgical
interventional therapies for low back
pain: a review of the evidence for an
American
Pain
Society
clinical
practice guideline ». Spine (Phila Pa
1976), 34(10), pages 1078 à 1093. DOI :
10.1097/BRS.0b013e3181a103b1.
Selon des preuves de qualité passable à
bonne, la prolothérapie n’est pas efficace
pour traiter la douleur lombaire.
2.8 Shock Wave Therapy (except for
Chronic Plantar Fasciitis, Calcific
Shoulder
Tendonitis,
Achilles
Tendinopathy/Tendinosis/Tendonitis,
Greater Trochanteric pain, Patellar
Tendinopathy)
2.8
Shock wave therapy is the use of
electrohydraulic,
electromagnetic
or
pneumatic single pressure pulses of high,
medium, or low intensity to either break
down calcifications as in renal calculi or treat
chronic musculoskeletal conditions.
La thérapie par ondes de choc est l’usage
de
pulsations
électrohydrauliques,
électromagnétiques ou pneumatiques
simples de haute, moyenne ou faible
intensité en vue de décomposer les
calcifications comme les calculs rénaux ou
de traiter les conditions musculosquelettiques chroniques.
Thérapie par ondes de choc
(sauf pour traiter la fasciite plantaire
chronique, la tendinite calcifiée de
l’épaule, la tendinopathie / tendinose /
tendinite du tendon d’Achille, la
douleur du grand trochanter et la
tendinopathie rotulienne)
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 26 of / de 86
The mechanism of action in most chronic
musculoskeletal conditions is not clearly
understood.
Les mécanismes d’action pour la plupart
des conditions musculo-squelettiques ne
sont pas bien compris.
For chronic plantar fasciitis, calcific shoulder
tendonitis, achilles tendinopathy / tendinosis
/ tendinitis, greater trochanteric pain and
patellar tendinopathy see Procedure No. 25002.01 Schedule of Care – Generally
Approved Care, Treatment and Tests.
Pour les cas de fasciite plantaire chronique,
de tendinite calcifiée de l’épaule, de
tendinopathie / tendinose / tendinite du
tendon d’Achille, de la douleur du grand
trochanter et de la tendinopathie rotulienne,
voir la procédure 25-002.01, intitulée
Schedule of Care – Generally Approved
Care, Treatment and Tests.
The treatment may be used as a component
of a broader generally approved treatment
plan in which case the service provider
would generally not request specific
approval for shock wave therapy; or as a
primary modality in which case the service
provider is expected to obtain prior approval.
This directive refers to requests for shock
wave therapy as a primary modality.
La thérapie par ondes de choc peut être
utilisée dans le cadre d’un plan de
traitement généralement approuvé plus
large. Dans ce cas, le fournisseur de
services ne demanderait habituellement
pas une approbation distincte pour la
thérapie par ondes de choc. La thérapie
peut également être utilisée comme
modalité primaire. Dans ce cas, on
s’attend à ce que le fournisseur obtienne
une approbation avant de l’offrir. La
présente
directive
s’applique
aux
demandes en vue de dispenser de la
thérapie par ondes de choc en tant que
modalité primaire.
Shoulder Impingement Syndrome
ESWT was not effective for subacromial
impingement syndrome but was effective for
persistent shoulder calcific tendinitis (19).
Syndrome d’accrochage de l’épaule
La thérapie par ondes de choc
extracorporelles n’était pas efficace pour
traiter le syndrome d’accrochage sousacromial, mais elle l’était pour traiter la
tendinite calcifiée persistante de l’épaule
(19).
Conclusion : Dans l’absence d’une
méta-analyse, il n’est pas possible
d’évaluer l’efficacité de la thérapie par
ondes de choc extracorporelles pour traiter
le syndrome d’accrochage de l’épaule
dans le contexte de la recherche en
médecine du travail.
Conclusion: In the absence
analysis, it is not possible to
efficacy of ESWT for shoulder
syndrome in the context of
medicine research.
of a metaevaluate the
impingement
occupational
Low Back Pain
This study did not find any evidence
supporting the effectiveness of ultrasound or
shockwave for treating LBP (20). This study
of 30 patients demonstrated ESWT to be an
effective intervention for the treatment of
Douleur lombaire
L’étude n’a pas démontré de preuve
confirmant l’efficacité des ultrasons ou des
ondes de choc pour traiter la douleur
lombaire (20). L’étude effectuée auprès de
30 patients a démontré que la thérapie par
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
pain, disability and depression in chronic low
back pain (21).
Conclusion: Conflicting evidence was
obtained when the use of ESWT in treating
Low Back Pain was conducted.
Page 27 of / de 86
ondes de choc extracorporelles était
efficace pour traiter la douleur, l’incapacité et
la dépression chez les patients présentant
une douleur lombaire chronique (21).
Conclusion
:
Les
preuves
sont
contradictoires quant à l’efficacité de la
thérapie
par
ondes
de
choc
extracorporelles pour traiter la douleur
lombaire.
Other Conditions
Will need to be evaluated on the merits of
the case
Autres conditions
Devront être évaluées selon le bien-fondé
du cas.
Recommendation
Since:
• a literature search found no or conflicting
evidence of efficacy in restoring function;
and
Recommandation
Étant donné :
• que le dépouillement d’ouvrages
spécialisés n’a révélé aucune preuve
ou n’a révélé que des preuves
contradictoires quant à l’efficacité de
cette thérapie pour améliorer les
fonctions;
• qu’il s’agit d’un traitement passif;
Travail sécuritaire NB peut approuver le
paiement dans la phase tardive de la
douleur chronique si les traitements
conventionnels n’étaient pas efficaces.
•
the treatment is passive;
WorkSafeNB may approve payment in the
late chronic pain phase after conventional
treatments have failed.
Authorization of payment
Authorization of payment is contingent upon:
Prior approval by a medical advisor and
regional director;
Use of the functional restoration
approach to evaluate an initial trial of
therapy;
Treatment delivered by an approved
provider with training in the use of shock
wave therapy specific to the device in
use; and
Provision of written documentation by the
provider that the machine in use has
been approved for the specific therapy
by Health Canada.
Autorisation de paiement
L’autorisation de paiement est conditionnelle
à:
• l’approbation d’un médecin-conseil et
d’un directeur de région au préalable;
• l’utilisation de la démarche de
rétablissement des fonctions afin
d’évaluer un essai initial de la thérapie;
• la prestation du traitement par un
fournisseur approuvé formé pour
dispenser la thérapie par ondes de
choc à l’aide de l’appareil en question;
• la présentation d’une preuve écrite par
le fournisseur pour indiquer que Santé
Canada a approuvé l’appareil en vue
des traitements qui seront dispensés.
References
19. Yu H, Cote P, Shearer HM, Wong JJ,
Sutton DA, Randhawa KA, et al.
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•
•
•
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
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Science, 2015; 27(2) : pages 397 à 399.
2.9 Anxiolytic, Benzodiazepine, and
Sedative Medications
2.9 Anxiolytiques, benzodiazépines
et sédatifs
What are they?
Anxiolytic medications are a group of drugs
given to people to treat anxiety related
disorders.
C’est quoi?
Les anxiolytiques sont une classe de
médicaments prescrits pour traiter les
troubles d’anxiété.
Benzodiazepines are a group of anxiolytic
drugs that are effective in the treatment of
anxiety and tension, and are also useful as
muscle relaxants.
Les benzodiazépines sont une classe de
médicaments anxiolytiques utilisés pour
traiter l’anxiété et la tension, et qui sont
également utiles en tant que relaxants
musculaires.
Sedatives are a group of drugs given to
people to induce sleep or to improve the
quality of sleep.
Les sédatifs sont une classe de
médicaments prescrits en vue de faire
dormir ou d’améliorer la qualité du
sommeil.
Avis : La Food and Drug Administration
tient à aviser le public que les
médicaments consommés pour combattre
l’insomnie peuvent nuire à la conduite
automobile et à la vivacité d’esprit le matin
après la consommation, même si on se
sent bien éveillé.
Alert: The FDA is warning the public that
drugs taken for insomnia can impair driving
and mental alertness the morning after use,
even if feeling fully awake.
Recommendation
Since these classifications of medications
may impair function, and place a worker at
risk to further injury, WorkSafeNB does not
generally authorize the payment of
Recommandation
Étant donné que ces classes de
médicaments peuvent nuire aux fonctions
et aggraver la blessure du travailleur,
Travail
sécuritaire
NB
n’autorise
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
anxiolytics, benzodiazepines or sedatives,
but may authorize:
•
•
•
Payment of benzodiazepines in the
treatment of seizures;
Payment of benzodiazepines in the
treatment of spinal cord injury, and other
types of neurological spasticity; and
A one-time payment of an anxiolytic for
workers with claustrophobia or panic
attacks
when
undergoing
certain
diagnostic tests.
Authorization of payment
Authorization of payment for anxiolytic,
benzodiazepine and sedative medications,
other than indicated above, is contingent
upon the:
Page 29 of / de 86
habituellement
pas
le
paiement
d’anxiolytiques, de benzodiazépines ou de
sédatifs, mais peut autoriser :
• le paiement des benzodiazépines pour
traiter les crises épileptiques;
• le paiement des benzodiazépines pour
traiter les traumatismes médullaires et
d’autres types d’hypertonie spastique
neurologique;
• le paiement unique d’un anxiolytique pour
les
travailleurs
atteints
de
claustrophobie ou qui ont des crises de
panique lorsqu’ils subissent certains
tests de diagnostic.
•
Written submission for approval by the
treating physician to the regional Medical
Advisor. This submission must be
accompanied
by
research-based
evidence supporting the efficacy of the
drug as a treatment for the specific
condition;
•
Evaluation of the physician’s submission
by the Medical Advisor, including
evaluation of the research relating to the
use of the drug in the specific context;
and
Written decision of the Medical Advisor
provided to the requesting physician.
This will include the rationale for the
decision. The decision will be included in
the worker’s file and copied to the Chief
Medical Officer.
Autorisation de paiement
L’autorisation
de
paiement
des
anxiolytiques, des benzodiazépines et des
sédatifs, pour des raisons autres que
celles susmentionnées, est conditionnelle
à:
• la présentation d’une demande par
écrit du médecin traitant au médecinconseil de la région à des fins
d’approbation. La demande doit être
accompagnée d’une preuve fondée sur
la recherche appuyant l’efficacité du
médicament pour traiter la condition
précise;
• l’examen par le médecin-conseil de la
demande présentée par le médecin, y
compris l’évaluation de la recherche
sur l’efficacité du médicament dans le
contexte précis;
• la décision par écrit du médecinconseil au médecin demandeur, qui
explique les raisons qui ont motivé la
décision. On placera la décision au
dossier du travailleur et on en enverra
une copie au médecin-chef.
References
Talmage, J. B. and J. M. Mehorn.
"Chapter10: Medications, Driving and Work".
In: J. B. Talmage and J. M. Mehorn, ed. A
Physician’s Guide to Return-to-Work.
Washington, DC, AMA Press; 2005: 133-48.
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Work ». A Physician’s Guide to Return to
Work, Washington, DC, AMA Press; 2005 :
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Verster, J. C., & Mets, M. A. (2009).
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VERSTER, J. C. et M. A. Mets (2009).
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
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Environmental Research and Public
Health, 6(3), pages 1041 à 1054. DOI :
10.3390/ijerph6031041.
2.10 Physical Therapy and Physical
Modalities for TMJ Disorders
2.10 Physiothérapie et modalités
physiques pour traiter les troubles
de
l’articulation
temporomandibulaire
Temporomandibular
joint
disorders
encompass a heterogeneous group of
conditions. The majority of cases are a form
of myofascial pain syndrome related to
chronic
grinding
of
teeth,
stress,
hypermobile TMJ, hypomobile TMJ, dental
malocclusion and poorly fitting dentures.
Less common causes include trauma and
degenerative joint disease.
Les troubles de l’articulation temporomandibulaire comprennent un groupe
hétérogène de conditions. La plupart des
cas sont une forme du syndrome de
douleur myofasciale liée au grincement
chronique des dents; au stress; à
l’hypermobilité ou à l’hypomobilité de
l’articulation temporo-mandibulaire; à la
malocclusion dentaire; et aux dentiers mal
ajustés. Les causes moins fréquentes
comprennent les traumatismes et l’arthrose.
A literature review consistently notes the
lack of good methodological studies to
support the efficacy of most physical
therapies, modalities and appliances. Study
populations are generally persons with nontraumatic chronic myofascial pain.
A
protocol was posted with The Cochrane
Collaborative in 2006 to undertake a
systematic review of physical therapy. Two
systematic reviews in 2006 note the lack of
good studies, that treatment groups did
better than no treatment but did not do
better than placebo groups.
L’examen de la documentation révèle
invariablement un manque d’études
méthodiques sérieuses pour confirmer
l’efficacité de la plupart des traitements
physiques, des modalités physiques et des
appareils. Les populations étudiées sont
habituellement des personnes atteintes de
douleurs
myofasciales
chroniques
d’origine non traumatique. Un protocole a
été affiché sur le Cochrane Collaborative
en 2006 en vue de lancer une étude
méthodique
sur
la
physiothérapie.
Deux études méthodiques effectuées en
2006 indiquent qu’il y a un manque
d’études sérieuses, que les résultats des
groupes ayant reçu un traitement étaient
meilleurs que ceux des groupes n’ayant
reçu aucun traitement, mais non meilleurs
que ceux des groupes placebos.
Since there is a lack of evidence that
physical therapies and physical modalities
are
more
effective
than
placebo,
WorkSafeNB:
Étant donné qu’il n’y a pas suffisamment
de preuves démontrant que les traitements
et les modalités physiques sont plus
efficaces que les placebos, Travail
sécuritaire NB :
• n’approuve habituellement pas le
paiement de traitements et de modalités
•
Generally does not approve payment of
treatments and modalities (such as
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approuvés
massage therapy, manipulation, laser
therapy, botulinum toxin) for TMJ
disorders that are listed in the Schedule
of Care: Generally Not Approved;
•
Does not approve payment of treatments
and modalities for TMJ disorders that
are listed in the Schedule of Care: Not
Approved;
•
•
Generally
replaces
poorly
fitting
dentures if the compensable injury
involves the facial bones; and
Generally authorizes payment of dental
appliances for dental malocclusion
resulting from a compensable injury to
the facial bones.
•
•
•
Page 31 of / de 86
pour traiter les troubles de l’articulation
temporo-mandibulaire
(tels
la
massothérapie, les manipulations, le
traitement au laser et la toxine
botulinique) qui figurent dans le Barème
des soins – Soins, traitements et
examens généralement non approuvés;
n’approuve pas le paiement de
traitements et de modalités pour traiter
les
troubles
de
l’articulation
temporo-mandibulaire qui figurent dans
le Barème des soins – Soins,
traitements et examens généralement
non approuvés;
remplace habituellement les dentiers
mal ajustés si la blessure indemnisable
implique les os faciaux;
autorise habituellement le paiement
d’appareils dentaires pour traiter la
malocclusion dentaire découlant d’une
blessure indemnisable impliquant les
os faciaux.
Authorization of Payment
Authorization of payment is contingent upon
requirements outlined elsewhere for the
treatment, modality or appliance.
Autorisation de paiement
L’autorisation
de
paiement
est
conditionnelle aux exigences précisées
ailleurs relativement au traitement, à la
modalité ou à l’appareil.
References
McNeely, M., S. Olivo and D. Magee. A
systematic review of the effectiveness of
physical
therapy
interventions
for
temporomandibular
disorders.
Physical
Therapy. 2006; 86(5): 710-725. Systematic
review. Most studies poor methodological
quality. Manual therapy plus active exercise
may be effective. One study showed support
for
acupuncture.
Another
did
not.
Relaxation, biofeedback and laser therapy
may be effective.
Références
McNEELY, M., S. Olivo et D. Magee. « A
Systematic Review of the Effectiveness of
Physical
Therapy
Interventions
for
Temporomandibular Disorders ». Physical
Therapy, 2006; 86(5) : pages 710 à 725.
Étude méthodique. La plupart des études
sont de mauvaise qualité méthodologique.
La
thérapie
manuelle
utilisée
conjointement avec les exercices actifs
peut être efficace. Une étude appuyait
l’efficacité de l’acupuncture, tandis qu’une
autre ne l’appuyait pas. La relaxation, la
rétroaction biologique et le traitement au
laser peuvent être efficaces.
Medlicott, M. and S. Harris. A systematic
review of the effectiveness of exercise,
manual therapy, electrotherapy, relaxation
training,
and
biofeedback
in
the
management
of
temporomandibular
MEDLICOTT, M. et S. Harris. « A
Systematic Review of the Effectiveness of
Exercise, Manual Therapy, Electrotherapy,
Relaxation Training and Biofeedback in the
Management
of
Temporomandibular
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disorder. Physical Therapy. 2006; 86(7):
955-73. Systematic review. Many studies
poor
methodological
quality.
Active
exercises and manipulation may be
effective. Laser therapy may be more
effective
than
other
electrotherapy
modalities. Relaxation and biofeedback may
be more effective than placebo and occlusal
splints. Combinations may be effective.
Disorder ». Physical Therapy, 2006; 86(7) :
pages 955 à 973. Étude méthodique. De
nombreuses études sont de mauvaise
qualité méthodologique. Des exercices
actifs et des manipulations peuvent être
efficaces. Le traitement au laser peut être
plus efficace que d’autres modalités
d’électrothérapie. La relaxation et la
rétroaction biologique peuvent être plus
efficaces que les placebos et les attelles
occlusales. Les combinaisons peuvent être
efficaces.
Craane, B., A. De Laat, P. U. Dijkstra, K.
Stappaerts and B. Stegenga. Physical
therapy for the management of patients with
temporomandibular disorders and related
pain (protocol). Cochrane Database Syst
Rev. 2006(1): 1-6. A systematic review
proposal to assess the effectiveness of
physical therapies including massage,
manipulation; and physical modalities
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CRAANE, B., A. De Laat, P. U. Dijkstra,
K. Stappaerts et B. Stegenga. « Physical
therapy for the management of patients
with temporomandibular disorders and
related pain [Protocol] ». Cochrane
Database of Systematic Reviews, 2006(1) :
pages 1 à 6. Une proposition d’étude
méthodique pour évaluer l’efficacité des
traitements physiques, y compris les
massages et les manipulations; et les
modalités physiques, y compris les
ultrasons
et
la
neurostimulation
transcutanée.
2.11 Spinal Cord Stimulators
Neurostimulator Implants
/
2.11
Stimulateurs de la moelle
épinière
/
Implants
de
neurostimulateurs
What is it?
Spinal cord stimulation refers to a type of
therapy
called
neurostimulation.
Neurostimulation therapies are used for pain
relief from certain types of chronic pain,
through the use of an implanted device to
deliver low levels of electrical energy directly
to nerve fibers. This stimulation effectively
changes the pain messages and replaces
them with a more pleasant sensation called
paresthesia.
C’est quoi?
La stimulation de la moelle épinière
désigne un type de thérapie appelée
neurostimulation. On s’en sert pour
soulager certaines douleurs chroniques au
moyen d’un appareil implanté qui transmet
de faibles niveaux d’énergie électrique
directement aux fibres nerveuses. La
stimulation modifie les messages de
douleur et les remplace par des sensations
plus agréables, soit la paresthésie.
Patients undergo a trial of therapy with an
external stimulator to see if he or she will
benefit from neurostimulation (Weinand,
Madhusudan, Davis, & Miguel, 2003). If the
trial is successful, the patient undergoes an
operation to implant a stimulator.
Les patients font l’essai de la thérapie à
l’aide d’un stimulateur externe afin de voir
si elle leur procurera des bienfaits
(Weinand, Madhusudan et coll., 2003).
Dans l’affirmative, on procède à une
opération pour implanter un stimulateur.
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The literature for mainstream use of spinal
cord stimulators/neurostimulator implants
suggests that they are effective in reducing
pain. Willis (2003) did a follow-study of 86
patients, at on average 5.8 years after
implant. Patients had chronic non-cancer
pain for an average of 3.3 years. There was
a
92.9%
reported
improvement
in
performing daily activities. This is not the
experience of WCBs in Canada.
This
therapy has poor outcomes in workers’
compensation cases.
Les ouvrages sur les utilisations courantes
de stimulateurs de la moelle épinière ou
d’implants de neurostimulateurs suggèrent
qu’ils sont efficaces pour réduire la
douleur. Willis (2003) a étudié 86 patients
qui avaient reçu un implant il y a en
moyenne 5,8 ans. Ils avaient soufferts de
douleur
chronique
d’origine
non
cancéreuse pendant en moyenne 3,3 ans.
Les patients ont signalé une amélioration
de 92,9 % au niveau de leurs activités
quotidiennes. Les résultats ne sont pas
conformes à ceux des commissions des
accidents du travail du Canada. La
thérapie connaît de mauvais résultats dans
les cas d’indemnisation des travailleurs.
In 2013, the CMO undertook a review of 19
WorkSafeNB
workers
who
had
neurostimulator implants. 12 were done in
Moncton, 5 in Halifax, 1 in Quebec and 1 in
Toronto. Only 1 worker returned to work
and 18 are on LTD (95%). Only 2 reported
long-term pain relief and functional
improvement (11% - 1 RTW and 1 LTD) and
4 (21%) reported pain relief only. 32% were
better off (compared with 16% in 2003; but
still less than 55-60% in Medicare stream). 3
workers developed infection, requiring
removal (16%). The unit malfunctioned in a
total of 2 workers, requiring removal (11%) –
all pre 2004.
En 2013, le Bureau du médecin-chef a
entrepris l’étude de 19 cas relevant de
Travail sécuritaire NB où les travailleurs
avaient des implants de neurostimulateur.
Douze procédures ont été effectuées à
Moncton, cinq à Halifax, un au Québec et
un à Toronto. Un seul travailleur est
retourné au travail et 18 sont atteints d’une
invalidité à long terme (95 %). Seulement
deux
travailleurs
ont
signalé
un
soulagement de la douleur à long terme et
une amélioration fonctionnelle (11 % – un
travailleur est retourné au travail et un est
atteint d’une invalidité à long terme) et
quatre (21 %) ont signalé un soulagement
de la douleur seulement. Un total de 32 %
ont
connu
une
amélioration
(comparativement à 16 % en 2003, mais
toujours moins que 55 à 60 % qui relèvent
du régime d’Assurance-maladie). Trois
travailleurs ont contracté une infection et le
neurostimulateur a dû être enlevé (16 %).
Le neurostimulateur a mal fonctionné chez
deux travailleurs et a dû être enlevé (11%).
Tous les cas datent d’avant 2004.
In 2004, WCB-BC Evidence-Based Practice
Group released a report on spinal cord
stimulation
(W.C.B.
Evidence
Based
Practice Group 2004).
A systematic
literature review did not find support for
improved RTW; and identified a significant
complication rate between 20% and 75%.
En 2004, le Evidence Based Practice
Group de la commission des accidents du
travail de la Colombie-Britannique a publié
un rapport sur la stimulation de la moelle
épinière. Un examen systématique de la
documentation
n’a
pas
démontré
d’amélioration par rapport au retour au
DIRECTIVE
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Page 34 of / de 86
WCB-BC’s experience showed only 2 out of
10 workers with spinal cord stimulators
returned to work.
travail et a révélé un taux de complications
considérable, soit entre 20 et 75 %. Selon
l’expérience de la commission des
accidents du travail de la ColombieBritannique, seulement 2 travailleurs
sur 10 munis d’un stimulateur de la moelle
épinière sont retournés au travail.
Recommendation
Since WorkSafeNB’s experience with spinal
cord stimulators is that most workers are
worse off with this treatment, WorkSafeNB
generally does not authorize payment for
this treatment.
Recommandation
Étant donné que l’expérience de Travail
sécuritaire
NB
relativement
aux
stimulateurs de la moelle épinière
démontre que l’état des travailleurs est
pire avec le traitement, il n’en autorise
généralement pas le paiement.
In the exceptional case that WorkSafeNB
does authorize payment, authorization is
contingent upon:
• Other treatments to manage chronic
pain have failed;
Toute autorisation de paiement découlant
de
situations
inhabituelles
est
conditionnelle à ce qui suit :
• Les autres traitements en vue de
maîtriser la douleur chronique ont
échoué.
• Des discussions ont eu lieu avec le
médecin qui a adressé le cas
(habituellement le médecin offrant les
soins primaires) – Quel est le but du
médecin? La douleur est-elle la source
principale du problème? Existe-t-il des
preuves cliniques objectives pour
appuyer l’incapacité physique? Qu’estce que le médecin espère changer?
• Des discussions ont eu lieu avec le
médecin qui a adressé le cas et le
travailleur pour expliquer que les
mauvais résultats sont la raison pour
laquelle Travail sécuritaire NB hésite à
autoriser le paiement. Des travailleurs
ont affirmé avoir regretté d’avoir subi
l’intervention.
• Il y a une longue liste d’attente si le
médecin qui adresse le cas demande
un neurochirurgien au NouveauBrunswick. Cela pourrait avoir le même
effet que de ne pas subir l’intervention.
Si on essaie d’améliorer les fonctions
physiques, devrait-on adresser le
travailleur à un neurochirurgien à
l’extérieur du Nouveau-Brunswick? On
devrait en discuter avec le médecin qui
adresse le cas.
•
Discussions with the referring physician
(usually the primary care physician) –
what is the physician’s goal? Is the
problem primarily pain? Is there
objective clinical evidence of physical
disability? Is this what the physician
hopes to change?;
•
Discussions with the referring physician
and worker that our poor track record is
the reason for our reluctance to
authorize payment. Workers tell us
afterwards that they wish they had never
had the procedure;
•
If the referring physician is requesting a
neurosurgeon in NB, there is a long
waiting time. This may be equivalent to
not getting the procedure. If we are
trying to improve physical function,
should the referral be to a neurosurgeon
outside NB. Have a discussion with the
referring physician;
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•
If the referring physician and worker still
want
the
referral,
then
initial
authorization is for a consultation and
expectation set that referral for implant is
contingent upon:
−
−
Recommendation from neurosurgeon;
Worker then gets psychological
assessment and pre-op SF-36;
−
Worker, referring physician and
neurosurgeon commit to getting 3
and 6 month post-op SF-36;
−
Neurosurgeon agrees to doing a trial
of treatment;
Worker meeting with another who
has already had the procedure (I
think we have one currently who
would talk about his experience);
−
•
•
If everyone is on board with conditions,
recommend authorization of payment for
consultation to the regional director;
•
•
Approval by regional director;
•
•
If neurosurgeon recommends implant
and
agrees
to
conditions,
get
psychological assessment and SF-36;
•
•
•
–
Convey results to neurosurgeon and
referring physician.
–
Do results support primarily physical
disability, or primarily pain and
psychosocial disability?
–
Set up meeting with worker who has
already had the procedure;
If the neurosurgeon still recommends the
implant and the worker still wants to
proceed, then authorize trial implant; and
If trial implant successful, then authorize
permanent implant.
•
•
Page 35 of / de 86
Si le médecin qui adresse le cas et le
travailleur veulent toujours procéder,
Travail sécuritaire NB autorise d’abord
une consultation et on s’entend à ce
que l’implant soit conditionnel à ce qui
suit :
− la recommandation d’un neurochirurgien;
− le travailleur fait ensuite l’objet d’une
évaluation psychologique et remplit
le questionnaire SF-36;
− le travailleur, le médecin qui a
adressé le cas et le neurochirurgien
s’engagent à faire remplir un
questionnaire SF-36 trois et six mois
après l’opération;
− le neurochirurgien accepte de faire
l’essai du traitement;
− le travailleur doit rencontrer une
autre personne qui a déjà subi
l’intervention (je crois que nous
avons un travailleur qui pourrait
discuter de son expérience).
Si tout le monde s’entend sur les
conditions,
on
recommande
au
directeur de région d’autoriser le
paiement d’une consultation.
Le directeur de région donne son
approbation.
Si le neurochirurgien recommande
l’implant et accepte les conditions, le
travailleur doit subir une évaluation
psychologique
et
remplir
le
questionnaire SF-36.
− Faire part des résultats au
neurochirurgien et au médecin qui
adresse le cas.
− Les
résultats
appuient-ils
principalement
une
incapacité
physique
ou
une
douleur
accompagnée d’une incapacité
psychosociale?
− Fixer une rencontre avec un
travailleur qui a déjà subi
l’intervention.
Si le neurochirurgien recommande
toujours l’implant et que le travailleur
veut procéder, autoriser l’implant.
Si l’essai de l’implant réussit, autoriser
l’implant permanent.
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syndrome: a cost effectiveness and cost
utility analysis based on a randomized,
controlled trial. Neurosurgery, 61(2), 361368;
discussion
368-369.
doi:
10.1227/01.NEU.0000255522.42579.EA
Findings: spinal cord stimulator is less
expensive and more effective than repeat
surgery in failed back surgery syndrome
patients.
NORTH, R. B., D. Kidd, J. Shipley et
R. S. Taylor (2007). « Spinal cord
stimulation versus reoperation for failed
back
surgery
syndrome:
a
cost
effectiveness and cost utility analysis
based on a randomized, controlled trial ».
Neurosurgery, 61(2), pages 361 à 368;
discussion, pages 368 et 369. DOI :
10.1227/01.NEU.0000255522.42579.EA.
Constatations : Un stimulateur de moelle
épinière est moins cher et plus efficace
qu’une nouvelle opération chez les
patients atteints de séquelles de l’échec
chirurgical rachidien.
Kumar, K., Taylor, R. S., Jacques, L.,
Eldabe, S., Meglio, M., Molet, J., . . . North,
R. B. (2007). Spinal cord stimulation versus
conventional medical management for
neuropathic pain: a multicentre randomised
controlled trial in patients with failed back
surgery syndrome. Pain, 132(1-2), 179-188.
doi: 10.1016/j.pain.2007.07.028
Findings: spinal cord stimulator is an
effective treatment to improve leg and back
pain in failed back surgery syndrome
patients.
KUMAR, K., R. S. Taylor, L. Jacques,
S. Eldabe, M. Meglio, J. Molet, ... et
R. B. North (2007). « Spinal cord
stimulation versus conventional medical
management for neuropathic pain: a
multicentre randomised controlled trial in
patients with failed back surgery
syndrome ». Pain, 132(1-2), pages 179 à
188. DOI : 10.1016/j.pain.2007.07.028.
Constatations : Le stimulateur de moelle
épinière est un traitement efficace pour
soulager la douleur à la jambe et au dos
chez les patients atteints de séquelles de
l’échec chirurgical rachidien.
2.12
2.12 Services spécialisés axés sur
Specialized
Injection-based
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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Services
des injections
WorkSafeNB
authorizes
specialized
injection services differently, depending on
whether the injections are:
• Part of a WorkSafeNB caremap;
Travail sécuritaire NB autorise des
services spécialisés axés sur des
injections selon si les injections :
• sont données dans le cadre d’un plan
de soins de Travail sécuritaire NB;
• ont pour but d’aider à poser un
diagnostic ou de traiter une personne
qui n’a pas de plan de soins de Travail
sécuritaire NB;
• servent à traiter une personne qui n’a
pas de plan de soins de Travail
sécuritaire NB, que le but soit le retour
au travail, la continuation du travail ou
la qualité de vie.
• For diagnostic or treatment purposes
outside a WorkSafeNB caremap; and
• In the case of treatment outside a
WorkSafeNB caremap, whether the goal
is return to work, stay at work or quality
of life.
An injection-based treatment service
generally refers to trigger point and nerve
block injections done in unidisciplinary pain
clinics.
Un service spécialisé axé sur des
injections désigne habituellement des
injections pour des points gâchettes et des
cas d’anesthésie tronculaire dans des
cliniques unidisciplinaires de la douleur.
Internal research done April 22, 2014 on 32
claims with Physical (PCS) and Mental
Component (MCS) SF36 scores found no
statistically significant change in function (P
value for PCS was 0.57; P value for MCS
was 0.42).
Des recherches internes effectuées le
22 avril 2014 relativement aux résultats
des composantes physiques et mentales
du
questionnaire
SF-36
pour
32 réclamations n’ont démontré aucun
changement important du point de vue
statistique au niveau des fonctions (la
valeur de probabilité pour la composante
physique était de 0,57 et celle pour la
composante mentale se chiffrait à 0,42).
Since these services are generally elective,
WorkSafeNB requires prior authorization.
Puisque ces services sont habituellement
non urgents, Travail sécuritaire NB exige
que l’autorisation soit obtenue au préalable.
WorkSafeNB does not require prior
authorization for injections provided in an
emergency context.
Travail sécuritaire NB n’exige pas une
autorisation au préalable dans le cas
d’injections d’urgence.
Part of a WorkSafeNB Caremap
Dans le cadre d’un plan de soins de
Travail sécuritaire NB
Les plans de soins de Travail sécuritaire NB
qui incluent des injections seraient une
exception à cette directive.
WorkSafeNB
caremaps
that
include
injections would be an exception to this
directive.
Diagnostic
Injections
WorkSafeNB Caremap
Outside
a
Injections diagnostiques autres que
dans le cadre d’un plan de soins de
Travail sécuritaire NB
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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Diagnostic injections may be requested by a
surgeon to assist in diagnosis and
determining the best treatment approach. A
local anaesthetist would do these.
Un chirurgien peut demander des
injections diagnostiques pour l’aider à
poser un diagnostic et à déterminer la meilleure
approche de traitements. Un anesthésiste
de la région donnerait les injections.
Return to Work Stream Outside a
WorkSafeNB Caremap – Worker is off
work
Volet du retour au travail pour le
travailleur blessé qui n’a pas de plan de
soins de Travail sécuritaire NB –
Travailleur absent du travail
Ce volet s’applique habituellement à
l’étape précoce de la douleur ou de la
blessure chronique, lorsque le médecin
offrant les soins primaires cherche de
l’aide pour gérer la douleur chronique. La
documentation indique que la meilleure
pratique comprend l’utilisation d’une
approche
visant
une
réadaptation
fonctionnelle active multidisciplinaire qui
comprend une thérapie comportementale
cognitive. Ce type de service n’est
habituellement pas disponible pour les
patients qui ne sont pas des clients de
Travail sécuritaire NB. Ces patients
reçoivent habituellement des services à
des cliniques unidisciplinaires de la douleur.
This context generally refers to the earlier
chronic pain / chronic injury phase, when the
primary care physician is looking for help in
managing chronic pain. The literature
indicates that best practice involves the use
of a multidisciplinary active functional
restoration
with
cognitive-behavioural
therapy approach. This type of service is
generally not available for non-WorkSafeNB
patients. Services for these patients
generally involve unidisciplinary pain clinics.
WorkSafeNB will consider a referral to a
pain clinic to be a referral for a
multidisciplinary active function-focused
rehabilitation program with cognitivebehavioural therapy and work simulation.
Travail sécuritaire NB considérera un cas
adressé à une clinique de traitement de la
douleur comme un cas adressé en vue
d’un
programme
de
réadaptation
multidisciplinaire actif axé sur les fonctions
comprenant une thérapie comportementale
cognitive et la simulation du travail.
WorkSafeNB will not pay for pain clinic
programs that do not meet this criterion.
WorkSafeNB will communicate this position
to the physician and the worker.
Travail sécuritaire NB ne paiera pas les
programmes offerts à une clinique de
traitement de la douleur qui ne satisfont
pas à ces critères. Il communiquera sa
position au médecin et au travailleur.
If a referral to an injection-based pain clinic
has been made without prior approval,
WorkSafeNB will notify the worker, the
referring physician and specialist of the
requirement. WorkSafeNB will pay for the
sessions to date; and refer the worker for a
multidisciplinary assessment.
Si un travailleur a été adressé en vue de
services axés sur des injections sans
autorisation
au
préalable,
Travail
sécuritaire NB avisera le travailleur, le
médecin qui l’a adressé et le spécialiste de
l’exigence. Travail sécuritaire NB paiera
les services qui ont été dispensés jusqu’à
ce jour et adressera le travailleur en vue
d’une évaluation multidisciplinaire.
DIRECTIVE
25-002.03
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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If the worker proceeds to go to a pain clinic
that does not meet the above criterion, then
WorkSafeNB may consider that the worker
is not participating in the rehab plan.
Si le travailleur fréquente une clinique de
traitement de la douleur qui ne satisfait pas
aux critères susmentionnés, Travail
sécuritaire NB peut considérer qu’il ne
participe pas à son plan de réadaptation.
Stay at Work Stream Outside a
WorkSafeNB Caremap – Worker having
trouble staying at work
Volet visant à demeurer au travail pour
le travailleur blessé qui n’a pas de plan
de soins de Travail sécuritaire NB –
Travailleur qui a de la difficulté à
demeurer au travail
Travail sécuritaire NB prendra des
mesures afin que le travailleur subisse une
évaluation multidisciplinaire :
• s’il a de la difficulté à demeurer au
travail ou à son programme de
recyclage;
• s’il a de la difficulté à maintenir les
mêmes heures au travail ou à son
programme de recyclage;
• si l’outil d’évaluation validé indique une
détérioration selon la différence
minimale
cliniquement
importante
(DMCI) ou plus sur une période de
deux mois.
– Questionnaire SF-36 : DMCI pour
toutes les parties du corps :
5 points;
– Questionnaire
Roland-Morris
:
DMCI pour les blessures au dos :
3 points;
– Questionnaire DASH : DMCI pour
les
blessures
aux
membres
supérieurs : 15 points.
WorkSafeNB will seek a multidisciplinary
assessment if:
•
The worker is having difficulty staying at
work or in retraining;
•
The
worker
is
having
difficulty
maintaining the same hours at work or in
retraining; or
There is a deterioration in the validated
functional tool by the minimal clinically
important difference (MCID) or greater
over 2 months.
•
-
SF-36 : all body areas MCID : 5
points
-
Roland-Morris : back injuries MCID :
3 points
-
DASH : upper extremity
MCID : 15 points
injuries
If a referral to an injection-based pain clinic
has been made without prior approval,
WorkSafeNB will notify the worker, the
referring physician and specialist of the
requirement. WorkSafeNB will pay for the
sessions to date; and refer the worker for a
multidisciplinary assessment.
Si on a adressé le travailleur blessé à une
clinique de traitement de la douleur axé
sur des injections sans en avoir obtenu
l’autorisation
au
préalable,
Travail
sécuritaire NB avisera le travailleur, le
médecin qui l’a adressé et le spécialiste de
l’exigence. Il paiera les services qui ont été
dispensés jusqu’à ce jour, et adressera le
travailleur en vue d’une évaluation
multidisciplinaire.
If the assessment suggests that the worker
may benefit from injections, WorkSafeNB
may authorize payment of treatment at a
local pain clinic on the proviso that:
Si l’évaluation indique que le travailleur
pourrait profiter d’injections, Travail
sécuritaire NB peut autoriser le paiement
des traitements à une clinique de
DIRECTIVE
25-002.03
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
• The worker will complete a validated
functional tool prior to starting treatment
and at 8-week intervals while undergoing
active treatment;
• The worker will undergo a trial of
treatment; and
• If the trial is helpful, WorkSafeNB
authorizes payment of up to 8 weeks of
treatment, at which time functional
progress will be evaluated before
authorizing
payment
of
additional
treatments.
Page 40 of / de 86
traitement de la douleur de la région aux
conditions suivantes :
• Le travailleur sera évalué à l’aide d’un
outil validé avant de commencer les
traitements ainsi que toutes les
huit semaines pendant la durée des
traitements actifs.
• Il fera l’objet d’un essai de traitement.
•
Si l’essai est efficace, Travail
sécuritaire NB autorise le paiement des
traitements pour une période allant
jusqu’à huit semaines. Les progrès
fonctionnels seront évalués à la fin des
traitements, avant d’autoriser le
paiement de traitements additionnels.
Information on SF-36: The index for
monitoring improvement in physical function
is the PCS (Physical Component Score).
The index for monitoring improvement in
psychosocial function is the MCS (Mental
Component Score). A minimal clinically
important difference is a 5-point change in
score. The SF-36 questionnaire is obtained
from the Chief Medical Officer. The
completed questionnaire is returned to the
Chief Medical Officer.
Questionnaire SF-36 : L’indice dont on se
sert pour surveiller l’amélioration des
fonctions physiques est le Physical
Component Score et celui dont on se sert
pour surveiller l’amélioration des fonctions
psychosociales est le Mental Component
Score. La différence minimale importante
sur le plan clinique est de cinq points. On
peut se procurer le questionnaire SF-36
auprès du médecin-chef. Le questionnaire
rempli est ensuite envoyé à ce dernier.
Information on Roland-Morris and DASH: If
the pain clinic routinely does these, then
WorkSafeNB would get the clinic to
complete the appropriate questionnaire.
Otherwise, WorkSafeNB would get the
appropriate
questionnaire
completed
through an approved primary physiotherapy
clinic in New Brunswick.
Questionnaires Roland-Morris et DASH :
Si la clinique de la douleur administre
couramment ces questionnaires, Travail
sécuritaire NB chargerait la clinique
d’administrer le questionnaire approprié.
Sinon, il demanderait à une clinique de
physiothérapie primaire approuvée au
Nouveau-Brunswick de le faire.
If the trial of therapy is beneficial,
WorkSafeNB authorizes up to 8 weeks
treatment and monitors functional progress
using the functional goal for treatment and
the validated functional tool.
Si l’essai de thérapie procure des bienfaits,
Travail sécuritaire NB autorise des
traitements pour une période allant jusqu’à
huit semaines et surveille les progrès
fonctionnels en se fondant sur le but
fonctionnel établi pour le traitement et
l’outil d’évaluation validé.
If there has been an increase of greater than
5 points in the SF-36 PCS or 3 points in the
Roland-Morris or 15 points in the DASH,
WorkSafeNB may authorize a bank of up to
Si le résultat du Physical Component
Score du questionnaire SF-36 a augmenté
de plus de cinq points; celui du
questionnaire Roland-Morris, de plus de
DIRECTIVE
25-002.03
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approuvés
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15 treatments that can be used over the
next year to manage flare-ups.
trois points; ou celui du questionnaire
DASH, de plus de 15 points, Travail
sécuritaire NB peut autoriser une série
allant jusqu’à 15 traitements au cours de la
prochaine année afin de gérer les
poussées actives.
If the recent SF-36 PCS is within 5 points of
the prior score or the recent Roland-Morris
is within 3 points of the prior score or the
recent DASH is within 15 points of the prior
score, then WorkSafeNB may authorize
payment of one additional 8-week set of
treatments to see if that will help to improve
function.
Si le résultat du Physical Component
Score du questionnaire SF-36 indique une
différence de moins de cinq points par
rapport au résultat précédent, ou une
différence de moins de trois points sur le
récent questionnaire Roland-Morris ou de
moins de 15 points sur le récent
questionnaire DASH, Travail sécuritaire NB
peut autoriser le paiement de traitements
pour une autre tranche de huit semaines
en vue d’essayer d’améliorer les fonctions.
At the end of the 8-week treatment, another
functional questionnaire is completed and its
score is compared with the prior score.
À la fin de la tranche de huit semaines, le
travailleur remplira un autre questionnaire
des fonctions, et on comparera ce résultat
avec le résultat précédent.
• Si le résultat du Physical Component
Score du questionnaire SF-36 n’a pas
augmenté de plus de cinq points; de
plus de trois points pour le
questionnaire Roland-Morris; ou de
plus de 15 points pour le questionnaire
DASH, Travail sécuritaire NB n’autorise
pas d’autres traitements.
• Si le résultat du Physical Component
Score du questionnaire SF-36 a
augmenté de plus de cinq points; celui
du questionnaire Roland-Morris, de
plus de trois points; ou celui du
questionnaire DASH, de plus de plus
de 15 points, Travail sécuritaire NB
peut autoriser une série allant jusqu’à
15 traitements au cours de la prochaine
année afin de gérer les poussées actives.
• L’autorisation d’autres traitements par
série de 15 traitements par année
varierait selon l’examen et tiendrait
compte des arguments objectifs quant
à l’efficacité des traitements pour
améliorer ou maintenir le niveau de
fonctions du travailleur.
•
If there has not been an increase of
greater than 5 points in SF-36 PCS or 3
points in the Roland-Morris or 15 points
in the DASH, then WorkSafeNB does
not authorize additional treatments.
•
If there has been an increase of greater
than 5 points in SF-36 PCS or 3 points
in the Roland-Morris or 15 points in the
DASH, then WorkSafeNB may authorize
a bank of up to 15 treatments that can
be used over the next year to manage
flare-ups.
•
Authorization of additional treatments in
banks of up to 15 treatments per year
would depend on review to include the
objective evidence of the effectiveness
of the treatments in improving or
maintaining the worker’s level of
function.
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
If the worker:
• Goes off work or retraining;
•
Reduces hours at work or in retraining;
or
•
Has a drop of over 5 points in the SF-36
PCS or over 3 points in the RolandMorris or over 15 points in the DASH;
then:
• The worker will be transferred to a
multidisciplinary active function-focused
rehabilitation program with cognitivebehavioural
therapy
and
work
simulation; and
•
WorkSafeNB will stop paying
unidisciplinary pain services.
for
Page 42 of / de 86
Si :
• le travailleur s’absente du travail ou de
son programme de recyclage;
• le travailleur réduit ses heures au
travail ou à son programme de
recyclage;
• le Physical Component Score du
questionnaire SF-36 diminue de plus
de cinq points, de plus de trois points
pour le questionnaire Roland-Morris ou
de plus de 15 points pour le
questionnaire DASH;
Travail sécuritaire NB :
• adressera le travailleur en vue d’un
programme
de
réadaptation
multidisciplinaire actif axé sur les
fonctions comprenant une thérapie
comportementale
cognitive
et
la
simulation du travail;
• cessera de payer les services
unidisciplinaires de traitement de la
douleur.
Quality of Life stream
Workers with no expectation of RTW or still
on benefits two or more years after the injury
or recurrence might benefit from additional
services to help them cope with their pain
and gain more function.
Volet de la qualité de vie
Les travailleurs qui ne s’attendent pas de
pouvoir retourner au travail, ou qui
continuent de recevoir des prestations
deux ans ou plus après leur blessure ou la
réapparition de leur blessure pourraient
profiter d’autres services pour les aider à
faire face à leur douleur et à améliorer
leurs fonctions.
Sclerotherapy / prolotherapy would come
under this category.
La sclérothérapie / prolothérapie serait
classée dans cette catégorie.
Since most of these workers will have
already
undergone
multidisciplinary
treatment for chronic pain without being
cured, “cure” is an unrealistic goal at this
point in the claim.
Puisque la plupart de ces travailleurs
auront déjà reçu des traitements
multidisciplinaires pour leur douleur
chronique sans avoir été guéris, la
« guérison » constitue un but non réaliste
à ce stade de la réclamation.
WorkSafeNB may authorize payment for
unidisciplinary services, including injectionbased treatment, to reduce pain and
improve function. Payment for consultation
and treatment must be pre-authorized.
Travail sécuritaire NB peut autoriser le
paiement de services unidisciplinaires, y
compris des injections, pour réduire la
douleur et améliorer les fonctions. Le
paiement de la consultation et du
traitement doit être approuvé à l’avance.
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
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approuvés
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The referring physician must identify a
meaningful specific functional goal as the
objective for the referral.
Le médecin qui adresse le cas doit établir
un but fonctionnel précis valable qui serait
l’objectif du renvoi.
If WorkSafeNB decides to authorize
payment, the first step is to authorize
payment of a consultation with a specialist at
the pain clinic.
Si Travail sécuritaire NB décide d’autoriser
le paiement, il doit d’abord autoriser le
paiement d’une consultation avec un
spécialiste à la clinique de traitement de la
douleur.
The specialist must identify a meaningful
specific functional goal as the treatment
objective.
Le spécialiste doit établir un but
fonctionnel précis valable qui serait
l’objectif du traitement.
WorkSafeNB can authorize payment of
treatment at the local pain clinic on the
proviso that:
Travail sécuritaire NB peut autoriser le
paiement du traitement à une clinique de
traitement de la douleur de la région aux
conditions suivantes :
• Le travailleur sera évalué à l’aide d’un
outil validé avant de commencer les
traitements ainsi que toutes les huit
semaines pendant la durée des
traitements actifs.
• Il fera l’objet d’un essai de traitement.
• The worker will complete a validated
functional tool prior to starting treatment
and at 8-week intervals while undergoing
active treatment;
• The worker will undergo a trial of
treatment; and
• If the trial is helpful, WorkSafeNB
authorizes payment of up to 8 weeks
treatment, at which time functional
progress will be evaluated before
authorizing
payment
of
additional
treatments.
•
Si l’essai est efficace, Travail
sécuritaire NB autorise le paiement des
traitements pour une période allant
jusqu’à huit semaines. Les progrès
fonctionnels seront évalués à la fin des
traitements
avant
d’autoriser
le
paiement de traitements additionnels.
For guidance on validated functional tools,
trial of treatment and authorization of
additional treatment see Stay at Work
Stream Outside a WorkSafeNB Caremap
Pour obtenir des détails sur les outils
d’évaluation validés, les essais de
traitement
et
l’autorisation
d’autres
traitements, voir la section intitulée « Volet
visant à demeurer au travail pour le
travailleur blessé qui n’a pas de plan de
soins de Travail sécuritaire NB ».
2.13 Foot Orthotics and Insoles for
Back Pain
2.13 Orthèses plantaires et semelles
pour traiter la douleur lombaire
What is it?
A mechanical device designed for the foot to
decrease low back pain through shockabsorbing,
gait
alteration
due
to
neuromuscular and bone disorders and/or
correction of leg length discrepancy.
C’est quoi?
Un dispositif mécanique conçu pour le pied
en vue de réduire la douleur lombaire au
moyen de l’absorption de chocs; de la
modification d’une mauvaise démarche en
raison de troubles neuromusculaires et
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
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Page 44 of / de 86
osseux; ou de la correction de l’inégalité de
la longueur des jambes.
Recommendation
Since:
• the literature does not support the use of
foot orthotics or insoles to correct leg
length discrepancy under 2 cm;
•
the literature suggests that shockabsorbing foot orthotics may reduce
back pain in persons walking during
most of the work shift or frequently on
uneven ground, but there is no evidence
to support the use of custom orthotics
per se;
•
the literature suggests that custom foot
orthotics or insoles for back pain may
produce leg pain; and
•
the literature suggests that orthotics to
correct gait disturbance due to
neuromuscular and bone disorders may
correct back pain, but not due to
prolonged standing
WorkSafeNB:
• may authorize payment of an insole or
custom
orthotic
to
correct
gait
disturbance due to neuromuscular and
bone disorders;
•
may authorize payment of a shockabsorbing insole or shock-absorbing
custom orthotic for workers walking
during most of the work shift or
frequently on uneven ground;
•
may authorize payment of an insole or
custom orthotic to correct leg length
discrepancy over 2 cm.
Recommandation
Étant donné :
• que la documentation n’appuie pas
l’utilisation d’orthèses plantaires ou de
semelles pour corriger une inégalité de
la longueur des jambes de moins de
2 cm;
• que la documentation suggère que les
orthèses plantaires absorbant les
chocs peuvent réduire la douleur
lombaire chez les personnes qui
marchent sur du terrain inégal pendant
la majeure partie de leur quart de
travail ou fréquemment, mais qu’il n’y a
pas de preuves pour appuyer
l’utilisation d’orthèses faites sur mesure
en soi;
• que la documentation suggère que les
semelles ou les orthèses plantaires
faites sur mesure pour traiter la douleur
lombaire peuvent causer une douleur à
la jambe;
• que la documentation suggère que des
orthèses pour corriger les troubles de
la démarche en raison de troubles
neuromusculaires ou osseux peuvent
soulager la douleur lombaire, mais non
la douleur attribuable à la position
debout pendant une période prolongée;
Travail sécuritaire NB :
• peut autoriser le paiement d’une
semelle ou d’une orthèse faite sur
mesure pour corriger un trouble de la
démarche attribuable à des troubles
neuromusculaires ou osseux;
• peut autoriser le paiement d’une
semelle absorbant les chocs ou d’une
orthèse absorbant les chocs faite sur
mesure pour les travailleurs qui
marchent sur du terrain inégal pendant
la majeure partie de leur quart de
travail ou fréquemment;
• peut autoriser le paiement d’une
semelle ou d’une orthèse faite sur
mesure pour corriger une inégalité de
la longueur des jambes de plus de 2 cm.
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 45 of / de 86
Authorization of payment is contingent upon
the provider belonging to an authorized
provider group.
L’autorisation de paiement est conditionnelle
à ce que le fournisseur appartienne à un
groupe de fournisseurs approuvés.
References
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low back pain. The Chiropractic Journal.
March.
Références
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support for low back pain ». The
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review within the framework of the
Cochrane Collaboration Back Review
Group ». Spine (Phila Pa 1976), 34(9),
pages
924
à
933.
DOI
:
10.1097/BRS.0b013e31819f29be.
Constatations : Il y a des preuves solides
que l’utilisation de semelles ne prévient
pas la douleur au dos.
Hall, K. (2004). “The effects of custom fitted
orthotics on structural alignment of the foot,
electromyographic activity and perceived
comfort in surgical nurses”. Unpublished
doctoral
dissertation.
Retrieved
from
Dissertation and Thesis database, May 13,
2008. This study is an unpublished
dissertation by Hall (2004). A small study
was conducted with a sample of 30
operating room nurses. A number of
HALL, K. (2004). « The effects of custom
fitted orthotics on structural alignment of
the foot, electromyographic activity and
perceived comfort in surgical nurses ».
Thèse de doctorat non publiée. Tirée de la
base de données des thèses, 13 mai
2008. Cette étude est une thèse non
publiée par Hall (2004). Une étude de
petite envergure auprès d’un échantillon
de 30 infirmières en salle d’opération. Un
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 46 of / de 86
measures, including an invalidated tool to
measure pain, were used to determine
outcomes. Ultimately the use of orthotics did
not demonstrate statistically significant
improvement in perceived pain and
discomfort by the participants.
certain nombre d’indicateurs, y compris un
outil non validé pour mesurer la douleur,
ont été utilisés pour déterminer les
résultats. En bout de ligne, l’utilisation
d’orthèses n’a pas démontré une
d’amélioration considérable du point de
vue statistique au niveau de la douleur et
de l’inconfort perçus par les participants.
2.14 Spinal Traction Therapy
2.14 Thérapie par traction vertébrale
What is it?
Spinal traction therapy is used to treat pain
in the cervical and lumbar areas of the back.
It can be accomplished using manual and
mechanical forms of traction. This includes
halter and weight systems.
C’est quoi?
La thérapie par traction vertébrale sert à
traiter la douleur aux régions cervicale et
lombaire. Elle comporte des techniques de
traction manuelles et mécaniques, y
compris des systèmes de sangles et poids.
Spinal traction may be a component of
regular treatment by physiotherapists,
physicians or chiropractors. In this context, it
is paid for as a regular treatment session
according to the agreement with that
provider group.
La traction vertébrale peut faire partie d’un
traitement ordinaire dispensé par un
physiothérapeute, un médecin ou un
chiropraticien. Dans ce cas, il est payé au
même titre qu’un traitement ordinaire,
conformément à l’entente conclue avec le
groupe de fournisseurs en question.
The purpose of this section is to address
standalone spinal traction therapy, for which
the provider is not one of the above or is one
of the above and wants to bill more than a
regular treatment session fee under the
agreement with that provider group.
Cette section porte sur la thérapie par
traction vertébrale autonome lorsque le
fournisseur n’est pas l’une des personnes
nommées plus haut ou l’est, mais veut
facturer selon un montant supérieur aux
frais applicables à un traitement ordinaire
en vertu de l’entente établie avec le groupe
de fournisseurs.
Recommendation
Since:
• a literature search found extremely
limited evidence of efficacy of the use of
spinal traction and a lack of a
standardized process for spinal traction;
and
• the treatment is passive
WorkSafeNB:
• generally does not approve the payment
of standalone spinal traction in the
treatment of cervical and lumbar pain,
including specialized hydraulic forms of
spinal traction.
Recommandation
Étant donné :
• que le dépouillement d’ouvrages a
révélé des preuves extrêmement
limitées quant à l’efficacité de cette
thérapie et n’a donné aucun processus
normalisé pour la traction vertébrale;
• que le traitement est passif;
Travail sécuritaire NB :
• n’autorise
habituellement pas le
paiement de la traction vertébrale
autonome pour traiter la douleur
cervicale et lombaire, y compris les
techniques hydrauliques spécialisées
de la traction vertébrale.
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
In the exceptional case that WorkSafeNB
does authorize payment, authorization is
contingent upon:
• Approval by regional director; and
•
Completion of a Pain and Activity
Questionnaire and an SF 36 by the
worker prior to the start of spinal traction
and 3 months after starting of traction, in
order to assess the efficacy of treatment.
Page 47 of / de 86
Dans les cas exceptionnels où Travail
sécuritaire NB autorise le paiement,
l’autorisation est conditionnelle :
• à l’approbation d’un directeur de
région;
• à ce que le travailleur remplisse le
Questionnaire sur la douleur et les
activités et le questionnaire SF-36 avant
le début de la thérapie par traction
vertébrale et trois mois après le début
de la thérapie afin d’évaluer l’efficacité
du traitement.
References
Clarke, J. A., M. W. van Tulder, et al.
(2007). "Traction for low-back pain with or
without sciatica." Cochrane Database Syst
Rev(2): CD003010.This review found that
spinal traction was no more effective than
other treatments in treating pain in the
lumbar region.
Références
CLARKE, J. A., M. W. van Tulder, et coll.
(2007). « Traction for low-back pain with or
without sciatica ». The Cochrane Database
of Systematic Reviews (2) : CD003010.
Cette étude a révélé que la thérapie par
traction vertébrale n’était pas plus efficace
que d’autres traitements pour traiter la
douleur lombaire.
Daniel, D. M. (2007). "Non-surgical spinal
decompression therapy: does the scientific
literature support efficacy claims made in
the advertising media?" Chiropr Osteopat
15: 7.This review of the literature indicated
that there is no evidence to support the use
of commercially expensive hydraulic traction
systems in the treatment of cervical and
lumbar back pain.
DANIEL, D. M. (2007). « Non-surgical
spinal decompression therapy: does the
scientific literature support efficacy claims
made in the advertising media? ».
Chiropractic & Osteopathy, 15 : page 7.
Cette étude a indiqué qu’il n’y a pas de
preuves pour appuyer l’utilisation de
systèmes
de
traction
hydraulique
dispendieux pour traiter la douleur
cervicale et lombaire.
Peake, N., & Harte, A. (2005). "The
effectiveness of cervical traction." Physical
Therapy Reviews 10: 217-229.This review
indicated that until clear medical evidence
related to spinal traction is established, the
practitioner must treat the client using
individual and hospital guidelines.
PEAKE, N. et A. Harte (2005). « The
effectiveness of cervical traction ».
Physical Therapy Reviews, 10 : pages 217
à 229. Cette étude souligne que jusqu’à ce
qu’il y ait des preuves médicales claires
relativement à la thérapie par traction
vertébrale, le praticien doit traiter le client
selon des lignes directrices individuelles et
de l’hôpital.
2.15
Knee/Foot
Orthotics
in
Patellofemoral Pain Syndrome (PFPS)
2.15 Orthèses de genou / plantaires
pour traiter le syndrome fémororotulien douloureux
What is it?
Patellofemoral pain syndrome is pain around
C’est quoi?
Il s’agit de la douleur autour de la rotule ou
DIRECTIVE
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Page 48 of / de 86
or behind the kneecap (patella) when going
up or downstairs, squatting or sitting with
flexed knees.
derrière la rotule lorsqu’on monte ou
descend un escalier, qu’on s’accroupit ou
qu’on s’assoit avec les genoux fléchis.
The use of knee or foot orthotics as
treatments for PFPS is the focus of the
section.
Cette section porte sur l’utilisation
d’orthèses de genou ou plantaires pour
traiter le syndrome fémoro-rotulien douloureux.
Recommendation
Since:
• A literature search found extremely
limited evidence of efficacy of the use of
custom orthotics in the treatment of
PFPS,
Recommandation
Étant donné :
• que le dépouillement des ouvrages a
révélé des preuves extrêmement
limitées quant à l’efficacité des
orthèses sur mesure pour traiter le
syndrome fémoro-rotulien douloureux;
Travail sécuritaire NB :
• n’autorise
habituellement pas le
paiement d’orthèses plantaires ou de
genou pour traiter le syndrome fémororotulien douloureux.
WorkSafeNB:
• Generally does not approve the payment
of custom foot or knee orthotics in the
treatment of PFPS.
If WorkSafeNB does authorize payment,
authorization is contingent upon:
• Consideration
only
after
other
conservative
treatments
such
as
physiotherapy have failed;
• Approval by the Regional Director; and
S’il autorise le paiement, l’autorisation :
•
•
Completion of a Pain and Activity
Questionnaire and an SF 36 by the
worker prior to the payment of orthotics
and 3 months after the worker has been
provided with the orthotic, in order to
assess the efficacy of treatment.
•
•
ne sera considérée que si d’autres
traitements conservateurs tels la
physiothérapie ont échoué;
est conditionnelle à l’approbation d’un
directeur de région;
est conditionnelle à ce que le travailleur
remplisse le Questionnaire sur la douleur
et les activités et le questionnaire SF-36
avant le début du paiement des orthèses
et trois mois après que le travailleur a
reçu l’orthèse afin d’évaluer l’efficacité
du traitement.
References
D’hondt, N., Struijs, P., Kerkhoffs, G.,
Verheul, C., Lysens, R., Aufdemkampe, G.,
& Van Dijk, C. (2002). Orthotic devices for
treating patellofemoral pain syndrome.
Cochrane Database of Systematic Reviews.
Issue 2. Art No.: CD002267.
This Cochrane Review found that there was
no evidence to support the use of orthotic
devices in the treatment of PFPS.
Références
D’HONDT, N., P. Struijs, G. Kerkhoffs,
C. Verheul, R. Lysens, G. Aufdemkampe et
C. Van Dijk (2002). « Orthotic devices for
treating patellofemoral pain syndrome ».
Cochrane
Database
of
Systematic
Reviews, 2, article no CD002267.
Cette étude de Cochrane a révélé qu’il
n’existait aucune preuve pour appuyer
l’utilisation d’orthèses pour traiter le
syndrome fémoro-rotulien douloureux.
Lun, V., Wiley, J., Meeuwissw, W., &
Yanagawa, T. (2005). Effectiveness of
LUN, V., J. Wiley, W. Meeuwissw et
T. Yanagawa (2005). « Effectiveness of
DIRECTIVE
25-002.03
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 49 of / de 86
patellar
bracing
for
treatment
of
patellofemoral pain syndrome (abstract).
Clinical Journal of Sport Medicine, 15 (4),
235-240.
This study found that patellar bracing was
not effective in the treatment of PFPS.
patellar
bracing
for
treatment
of
patellofemoral pain syndrome (abstract) ».
Clinical Journal of Sport Medicine, 15(4),
pages 235 à 240.
L’étude a démontré qu’une orthèse
rotulienne n’était pas efficace pour traiter
le syndrome fémoro-rotulien douloureux.
Weiner-Ogilvie, S., & Jones, R. (2004). A
randomized trial of exercise therapy and foot
orthoses as treatment for knee pain in
primary care. British Journal of Podiatry, 7
(2), 43-49.
This study found no differences in outcomes
for participants treated with exercise or foot
orthoses in the PFPS.
WEINER-OGILVIE, S. et R. Jones (2004).
« A randomized trial of exercise therapy
and foot orthoses as treatment for knee pain
in primary care ». British Journal of Podiatry,
7(2), pages 43 à 49.
Cette étude n’a pas révélé de différences
entre les résultats pour les participants
traités au moyen d’exercices ou d’orthèses
plantaires dans le cas du syndrome
fémoro-rotulien douloureux.
Collins, N., Crossley, K., Beller, E., Darnell,
R., McPoil, T., & Vicenzino, B. (2009). Foot
orthoses and physiotherapy in the treatment
of
patellofemoral
pain
syndrome:
randomised clinical trial. Br J Sports Med,
43(3), 169-171. doi: 10.1136/bmj.a1735
Foot orthoses do not improve outcomes
when added to physiotherapy for treatment
of PFPS.
COLLINS, N., K. Crossley, E. Beller,
R. Darnell, T. McPoil et B. Vicenzino
(2009). « Foot orthoses and physiotherapy
in the treatment of patellofemoral pain
syndrome: randomised clinical trial ».
British Journal of Sports Medicine, 43(3),
pages 169 à 171. DOI : 10.1136/bmj.a1735.
Les orthèses plantaires utilisées avec la
physiothérapie pour traiter le syndrome
fémoro-rotulien douloureux n’améliorent
pas les résultats.
2.16 Methadone for Treatment of
Chronic Non-malignant / Non-cancer
Pain
2.16 Méthadone pour traiter les
douleurs chroniques bénignes /
d’origine non cancéreuse
What is it?
Methadone is an opioid with a long half-life.
It is generally less expensive than other
opioids; produces less allodynia and
hyperalgesia than other opioids; and
produces less euphoria than other opioids.
C’est quoi?
La méthadone est un opiacé ayant une
longue demi-vie. Elle coûte habituellement
moins cher; provoque moins d’allodynie et
d’hyperalgésie;
et
engendre
moins
d’euphorie que d’autres opiacés.
When is it used?
Methadone is generally reserved for:
• Treatment of opioid addiction and
dependency; and
• As a last resort replacement of other
opioids in the treatment of chronic nonmalignant pain (CNMP) / chronic non-
À quoi sert-elle?
La méthadone est habituellement réservée :
• pour traiter l’accoutumance et la
dépendance aux opiacés;
• en dernier recours, pour remplacer
d’autres opiacés afin de traiter les
douleurs
chroniques
bénignes
/
DIRECTIVE
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
cancer pain (CNCP).
Page 50 of / de 86
d’origine non cancéreuse.
In the first case, the physician must have a
licence for prescribing in an addiction
program context.
Dans le premier cas, le médecin doit
détenir un permis pour prescrire de la
méthadone dans les cas d’accoutumance.
In the second, the physician must have a
licence for prescribing in a treatment
program context.
Dans le second, le médecin doit détenir un
permis pour prescrire de la méthadone à
des fins de traitement.
The two are not interchangeable.
Les
deux
permis
interchangeables.
Pain should be managed according to the
WHO stepladder approach. Opioids are not
first line treatment in acute pain. Opioids are
generally used in the treatment of
predominantly biological chronic pain.
Opioids should be avoided in the treatment
of predominantly psychosocial chronic pain.
La douleur devrait être gérée selon
l’échelle analgésique de l’Organisation
mondiale de la Santé. Les opiacés ne
constituent pas un traitement de première
intention pour traiter les douleurs aiguës.
Ils sont habituellement utilisés pour traiter
les douleurs chroniques de nature
essentiellement biologique et devraient
être évités pour traiter les douleurs
chroniques de nature essentiellement
psychosociale.
Methadone should be reserved for the
treatment of predominantly biological
chronic pain where the response to other
opioids has shown poorer pain control with
escalating doses.
La méthadone devrait être réservée pour
traiter les douleurs chroniques de nature
essentiellement biologique lorsque les
autres opiacés procurent une moins bonne
maîtrise de la douleur malgré des doses
croissantes.
WorkSafeNB uses the Pain & Activity
Questionnaire and SF-36 to screen workers
for
predominantly
psychosocial
pain
generators. Additional assessment may be
done if indicated.
Travail sécuritaire NB se sert du
Questionnaire sur la douleur et les
activités et du questionnaire SF-36 pour
dépister les clients qui démontrent des
facteurs
de
douleur
de
nature
essentiellement psychosociale. D’autres
évaluations peuvent être effectuées, s’il y
a lieu.
WorkSafeNB uses validated functional
assessment tools such as the Québec Pain
Disability Questionnaire (QPD) and SF-36 to
evaluate the effectiveness of treatment.
Travail sécuritaire NB utilise des outils
d’évaluation fonctionnelle comme le
Quebec Back Pain Disability Questionnaire
et le questionnaire SF-36 pour évaluer
l’efficacité du traitement.
• Le traitement devrait avoir pour but
d’améliorer les fonctions ainsi que de
maîtriser ou de réduire la douleur. La
définition de la capacité fonctionnelle
•
The goal of treatment should be
functional improvement with control or
reduction of pain. The definition of what
constitutes functional depends on the
ne
sont
pas
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
context – return to work, stay at work,
quality of life.
•
While reducing medications used to treat
pain, the functional goal may be to
maintain function as the worker is
weaned off medication rather than
increase function. A worker staying at
work with no clinically significant change
in SF-36 or QPD score while undergoing
reduction in medications may be
considered
to
have
functional
improvement (less disability).
•
•
Greater than 5 point decrease in SF-36
PCS or MCS score is indicative of
worsening function. Greater than 5 point
increase is indicative of increased
function (decreased disability).
•
•
Greater than 17 point increase in QPD
score during acute and subacute injury
phases is indicative of worsening
function. Greater than 17 point decrease
is indicative of increased function
(decreased disability).
•
•
Greater than 9 point increase in QPD
score during chronic injury phases is
indicative of worsening function. Greater
than 9 point decrease is indicative of
increased function (decreased disability).
•
Recommendation
WorkSafeNB:
• Does
not authorize payment of
methadone for treatment of acute and
subacute non-malignant / non-cancer
Page 51 of / de 86
varie selon le contexte, selon qu’il
s’agisse de retourner au travail, de
demeurer au travail ou de la qualité de
vie.
Le but relativement aux fonctions peut
viser le maintien des fonctions pendant
que le travailleur apprenne à se passer
de
médicaments,
plutôt
que
l’amélioration des fonctions, tout en
réduisant les médicaments utilisés
pour traiter la douleur. On peut
considérer qu’un travailleur connaît
une
amélioration
des
fonctions
(invalidité réduite) s’il demeure au
travail, sans qu’il n’y ait de changement
clinique important au niveau du résultat
du questionnaire SF-36 ou du Quebec
Back Pain Disability Questionnaire
pendant qu’il réduit sa consommation
de médicaments.
Une diminution de plus de cinq points
du résultat du Physical Component
Score ou du Mental Component Score
du questionnaire SF-36 indique une
diminution
des
fonctions.
Une
augmentation de plus de cinq points
indique une amélioration des fonctions
(invalidité réduite).
Une augmentation de plus de 17 points
du résultat du Quebec Back Pain
Disability Questionnaire pendant les
phases aiguë et subaiguë d’une
blessure indique une diminution des
fonctions. Une diminution de plus de
17 points indique une amélioration des
fonctions (invalidité réduite).
Une augmentation de plus de neuf
points du résultat du Quebec Back
Pain Disability Questionnaire pendant
les phases chroniques d’une blessure
indique une diminution des fonctions.
Une diminution de plus de neuf points
indique une amélioration des fonctions
(invalidité réduite).
Recommandation
Travail sécuritaire NB :
• n’autorise pas le paiement de la
méthadone pour traiter les douleurs
bénignes / d’origine non cancéreuse
DIRECTIVE
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
•
pain; but
May authorize payment of methadone
for treatment of chronic non-malignant /
non-cancer pain.
Authorization of payment is contingent
upon:
• Methadone
being
a
last
resort
replacement of other opioids in the
treatment of chronic non-malignant pain
(CNMP) / chronic non-cancer pain
(CNCP);
• Prior approval by a medical advisor and
regional director;
•
The prescribing physician having a
licence to prescribe methadone in a
treatment context. An addiction licence
is not the same as a treatment licence;
•
The prescribing physician providing
WorkSafeNB with a functional goal for
methadone treatment;
•
The worker completing the Opioid Risk
Tool;
•
The worker completing a pre-treatment
P&A Questionnaire and SF-36;
•
The worker’s pain generator
predominantly biological;
•
The worker agreeing to complete an SF36 every 2 months to monitor functional
progress;
•
The worker signing an informed consent
and therapeutic agreement with the
program physician and with the
dispensing pharmacy (pharmacist);
•
The prescribing physician monitoring the
worker for opioids and street drugs;
•
The prescribing physician monitoring the
worker for taking of methadone;
being
•
Page 52 of / de 86
aiguës et subaiguës;
peut autoriser le paiement de la
méthadone pour traiter les douleurs
chroniques bénignes / d’origine non
cancéreuse.
L’autorisation
de
paiement
est
conditionnelle à ce qui suit :
• la méthadone est une mesure de
dernier recours pour remplacer d’autres
opiacés afin de traiter les douleurs
chroniques bénignes / d’origine non
cancéreuse;
• un médecin-conseil et un directeur de
région doivent approuver le traitement
au préalable;
• le médecin prescripteur doit détenir un
permis pour prescrire de la méthadone
à des fins de traitement. Un permis
pour les cas d’accoutumance n’est pas
la même chose qu’un permis de
traitement;
• le médecin prescripteur doit aviser
Travail sécuritaire NB d’un but
fonctionnel quant au traitement à la
méthadone;
• le travailleur doit remplir l’évaluation
des risques d’accoutumance aux
opiacés;
• le
travailleur
doit
remplir
le
Questionnaire sur la douleur et les
activités et le questionnaire SF-36 avant
le traitement;
• le facteur de douleur du travailleur doit
être
de
nature
essentiellement
biologique;
• le travailleur doit accepter de remplir un
questionnaire SF-36 tous les deux mois
afin qu’on puisse surveiller ses progrès
fonctionnels;
• le
travailleur
doit
signer
le
consentement éclairé et l’Entente
relative à la thérapie par les opiacés
avec le médecin du programme et le
pharmacien;
• le médecin prescripteur doit surveiller
le travailleur pour ce qui est des
opiacés et des drogues de la rue;
• le médecin prescripteur doit surveiller
le travailleur relativement à l’usage de
DIRECTIVE
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
•
The prescribing physician agreeing to
work with the WorkSafeNB’s medical
advisor and providing the medical
advisor with reports of drug and opioid
monitoring;
Clarifying with the prescribing physician
and dispensing pharmacy that since the
purpose of methadone is for treatment,
WorkSafeNB does not expect to pay
daily travel and dispensing costs;
•
•
The
worker
using
colour-coded
methadone powder and capsules as a
due-diligence measure to limit the risk of
diversion. The medical advisor may also
require the addition of cayenne pepper
to limit the risk of diversion; and
•
•
The medical advisor establishing special
authorization to limit:
•
•
–
–
Prescribing to one physician; and
Dispensing to one pharmacy.
•
Page 53 of / de 86
la méthadone;
le médecin prescripteur doit accepter
de travailler avec le médecin-conseil
de Travail sécuritaire NB et lui faire
parvenir des rapports de surveillance
de drogues et d’opiacés;
le médecin prescripteur
et
le
pharmacien doivent avoir été avisés
que puisque la méthadone a été
prescrite à des fins de traitement,
Travail sécuritaire NB ne prévoit pas
payer les frais de déplacement
quotidien et d’ordonnance;
le travailleur doit utiliser de la poudre et
des capsules de méthadone à code de
couleur par mesure de diligence
raisonnable
afin
de
limiter
le
détournement. Le médecin-conseil
peut également exiger l’ajout de piment
de Cayenne pour limiter le risque de
détournement;
le médecin-conseil doit établir une
autorisation
spéciale
pour
que
l’ordonnance :
– ne provienne que d’un seul médecin;
– ne provienne que d’une seule
pharmacie.
References:
Sandoval, J. A., A. D. Furlan, et al. (2005).
"Oral methadone for chronic noncancer
pain: a systematic literature review of
reasons for administration, prescription
patterns, effectiveness, and side effects."
Clin J Pain 21(6): 503-12 – systematic
review: use of methadone in CNCP patients
is based primarily on uncontrolled studies (4
cases reports back pain, 1 case report
CRPS, 1 study neuropathic pain, 1 study
phantom limb pain). So the estimate of 59%
efficacy is likely overstated.
Références
SANDOVAL, J. A., A. D. Furlan, et coll.
(2005). « Oral methadone for chronic
noncancer pain: a systematic literature
review of reasons for administration,
prescription patterns, effectiveness, and
side effects ». Clinical Journal of Pain,
21(6) : pages 503 à 512 – L’examen
systématique de l’usage de la méthadone
chez les patients atteints de douleurs
chroniques d’origine non cancéreuse est
surtout fondé sur des études non
contrôlées (4 rapports de cas : douleurs
dorsales; 1 rapport de cas : syndrome de
douleur régionale complexe; 1 étude :
douleur neuropathique; 1 étude : douleur
du membre fantôme). Le pourcentage
estimatif d’efficacité, soit 59 %, est
probablement exagéré.
Atlier, N., D. Dion, et al. (2005).
"Management of chronic neuropathic pain
ATLIER, N., D. Dion, et coll. (2005).
« Management of chronic neuropathic pain
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 54 of / de 86
with methadone: a review of 13 cases." Clin
J Pain 21(4): 364-9 – case study of benefit
in neuropathic pain concluded that there
was now a need for controlled studies.
with methadone: a review of 13 cases ».
Clinical Journal of Pain, 21(4) : pages 364
à 369 – Une étude de cas sur les bienfaits
relativement à la douleur neuropathique a
indiqué que des études contrôlées étaient
maintenant nécessaires.
Rhodin, A., Gronbladh, L., Nilsson, L. H., &
Gordh, T. (2006). Methadone treatment of
chronic non-malignant pain and opioid
dependence--a long-term follow-up. Eur J
Pain, 10(3), 271-278.
A methadone programme can treat chronic
pain patients with opioid dependency
improving pain relief and quality of life but
side effects and adverse effects may limit
the benefits.
RHODIN, A., L. Gronbladh, L. H. Nilsson
et T. Gordh (2006). « Methadone
treatment of chronic non-malignant pain
and opioid dependence – A long-term
follow-up ». European Journal of Pain,
10(3) : pages 271 à 278.
Un programme de méthadone pour traiter
la douleur chronique chez les patients
ayant une dépendance aux opiacés peut
soulager leur douleur et améliorer leur
qualité de vie, mais les effets secondaires
et les effets néfastes peuvent limiter les
bienfaits.
2.17 Osteopathy in the Later Part of
the Continuum of Care by Stand
Alone Provider
2.17
Ostéopathie dans la phase
tardive du continuum des soins
What is it?
C’est quoi?
Osteopathic medicine is based on the belief
that most diseases are related to problems
in the musculoskeletal system or structural
integrity. Manipulation is used to restore the
body to harmony.
La médecine ostéopathique est fondée sur
la croyance que la plupart des maladies
sont liées à des problèmes au niveau du
système musculo-squelettique ou à
l’intégrité structurale. La manipulation est
utilisée pour rétablir l’harmonie du corps.
Purpose
To distinguish between two contexts:
• Early Continuum of Care; and
• Later Continuum of Care.
But
Pour distinguer entre deux contextes :
• phase précoce du continuum des soins;
• phase tardive du continuum des soins.
Early: Osteopathy as a component of care
by a provider group that is generally used at
this point in the early continuum (e.g.
Physician seeing own patient, primary
physiotherapy). The worker is not being
referred for osteopathy – covered under
Directive No. 25-002.01 Schedule of Care –
Generally Approved Care, Treatment and
Tests
Phase précoce : Ostéopathie dans le
cadre de soins, dispensée par un groupe
de fournisseurs dans la phase précoce du
continuum des soins (médecin qui voit son
propre patient, physiothérapie primaire). Le
travailleur n’est pas adressé en vue de
traitements d’ostéopathie, lesquels sont payés
conformément à la Directive 25-002.01,
intitulée Barème des soins – Soins,
traitements et examens généralement
approuvés.
dispensée par un fournisseur autonome
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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Later: Osteopathy in the later part of the
continuum of care either as a standalone
(being referred for osteopathy e.g. to Doctor
of Osteopathy) or as a component of care
(e.g massage therapy or chronic pain clinic)
covered under this directive.
Phase tardive : Ostéopathie dans la
phase tardive du continuum des soins, soit
en tant que traitement autonome (client
adressé
en
vue
de
traitements
d’ostéopathie,
par
exemple
à
un
ostéopraticien) ou dans le cadre de soins,
comme la massothérapie ou le traitement
de la douleur chronique, lesquels sont
payés conformément à la présente directive.
Recommendation
Osteopathy in this context is generally not
approved prior to completion of the
Continuum of Care by the early chronic
injury phase.
Recommandation
L’ostéopathie dans ce contexte n’est
habituellement pas approuvée avant la fin
du continuum des soins avant la phase
chronique précoce d’une lésion.
Osteopathy may be approved in the late
chronic injury phase with the proviso that:
L’ostéopathie peut être approuvée dans la
phase chronique tardive d’une lésion à
condition que :
• le médecin-conseil recommande qu’on
en approuve le paiement;
• le directeur de région donne son
approbation;
• les progrès sont évalués et démontrent
une amélioration importante des
fonctions;
• les traitements sont autorisés en
tranches allant jusqu’à huit semaines.
Le
client
doit
démontrer
une
amélioration
importante
de
ses
fonctions pour que des tranches
subséquentes de huit semaines soient
autorisées.
• Recommendation to approve payment
by the Medical Advisor;
• Approval by the Regional Director;
• Progress is evaluated for significant
functional improvement; and
• Authorization of treatments in blocks of
up to 8 weeks. Authorization of
subsequent blocks of up to 8 weeks is
based on demonstration of significant
functional improvement.
References
Earley, B. E. and H. Luce (2010). "An
introduction to clinical research in
osteopathic medicine." Prim Care 37(1): 4964. Conclusions: Although osteopathic
medicine has been in existence for more
than 130 years, it is poorly understood by
other health care professionals. This article
reviews
the
effect
of
osteopathic
manipulative treatment on various medical
conditions.
Références
EARLEY, B. E., et H. Luce (2010). « An
introduction to clinical research in
osteopathic medicine ». Primary Care:
Clinics in Office Practice, 37(1) : pages 49
à 64. Conclusions : Bien que la médecine
ostéopathique existe depuis plus de
130 ans, elle est mal comprise des autres
professionnels des soins de santé. L’article
aborde l’effet du traitement ostéopathique
par manipulation pour traiter diverses
conditions médicales.
Gamber, R., S. Holland, et al. (2005).
"Cost-effective osteopathic manipulative
medicine: a literature review of cost-
GAMBER, R., S. Holland et coll. (2005).
« Cost-effective osteopathic manipulative
medicine: a literature review of cost-
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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effectiveness analyses for osteopathic
manipulative treatment." J Am Osteopath
Assoc 105(8): 357-367. Conclusions: The
cost-effectiveness
of
osteopathic
manipulative treatment in comparison to
other treatment therapies has not been well
researched or documented. This article
recommends
that
the
osteopathic
profession needs to conduct and publish
research in relation to the value and costeffectiveness of this medical treatment.
effectiveness analyses for osteopathic
manipulative treatment ». The Journal of the
American
Osteopathic
Association,
105(8) : pages 357 à 367. Conclusions :
La
rentabilité
des
traitements
ostéopathiques
par
manipulation
comparativement à d’autres traitements
n’a pas fait l’objet de suffisamment de
recherches et n’a pas été suffisamment
documentée. L’article recommande aux
ostéopraticiens d’effectuer et de publier de
la recherche relativement à la valeur et à
l’efficacité par rapport au coût de ce
traitement médical.
2.18 Medication-Induced Dry Mouth
(Xerostomia) and Dental Care
2.18
Sécheresse de la bouche
(xérostomie)
induite
par
les
médicaments et soins dentaires
What is it?
Dry mouth (Xerostomia) affects 10-29% of
the population. There are many causes of
reduced saliva including aging, certain
disease conditions and as a side effect from
well over 500 medications.
C’est quoi?
La sécheresse de la bouche (xérostomie)
affecte entre 10 et 29 % de la population. Il
existe de nombreuses causes de réduction
de la salive, y compris l’âge, certains états
pathologiques et les effets secondaires de
bien au-delà de 500 médicaments.
Request
There have been requests from workers for
dental work related to periodontal disease,
dental caries and tooth replacement, stating
that the usage of certain medications (paid
for by WorkSafeNB for the compensable
injury) which can cause Xerostomia, have
resulted in dental decay.
Demande
Des travailleurs ont demandé que Travail
sécuritaire NB paie les soins dentaires liés à
la maladie parodontale, aux caries et au
remplacement de dents en affirmant que la
prise de certains médicaments (payés par
Travail sécuritaire NB en raison d’une
blessure indemnisable) pouvant causer la
xérostomie ont entraîné des caries
dentaires.
Recommendation
Since the literature and two reports from
dental faculty at Dalhousie University (see
reports in MA Handbook) do not support that
xerostomia alone causes an increased risk
of dental caries, WorkSafeNB does not
generally authorize payment for this
condition.
Recommandation
Étant donné que la documentation et
deux rapports de la faculté de médecine
dentaire de la Dalhousie University (voir les
rapports du Medical Advisor’s Handbook)
n’appuient pas que la xérostomie seule
cause un risque accru de caries dentaires,
Travail
sécuritaire
NB
n’autorise
généralement pas le paiement de
traitements liés à cette condition.
• D’autres facteurs de risque doivent être
pris en considération, y compris le
•
Other risk factors must be taken into
account including diet, carbohydrate
DIRECTIVE
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Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
intake, oral hygiene status, age, and
microbial load of the worker’s saliva.
•
•
•
There
must
be
an
objective
demonstration of reduced salivary flow
not caused by other conditions e.g.
Sjögren’s Syndrome, diabetes, AIDS,
bone marrow transplants, dehydration
etc.
If salivary flow is found to be of normal
volume then the complaint of dry mouth
is due to other factors.
•
If salivary flow is found to be reduced,
some literature supports there is a
reduced risk of dental disease.
•
•
Page 57 of / de 86
régime
alimentaire,
l’apport
de
glucides, l’hygiène buccale, l’âge et la
charge microbienne de la salive du
travailleur.
Il doit y avoir une démonstration
objective de salivation réduite non
causée par d’autres conditions, comme
le syndrome de Sjögren, le diabète, le
SIDA, une greffe de moelle osseuse, la
déshydratation, etc.
Si on détermine que le volume de
salivation est normal, la sécheresse de
la bouche est alors attribuable à
d’autres facteurs.
De la documentation appuie que le
risque d’une maladie dentaire est
moindre si on détermine que le volume
de salivation est réduit.
References
Billings, R. J. (1993). "An epidemiologic
perspective of saliva flow rates as indicators
of susceptibility to oral disease." Crit Rev
Oral Biol Med 4(3-4): 351-356. Conclusions:
Low saliva rates alone do not have a
clinically revelent effect on susceptibility to
oral diseases.
Références
BILLINGS,
R.
J.
(1993).
«
An
epidemiologic perspective of saliva flow
rates as indicators of susceptibility to oral
disease. » Critical Reviews in Oral Biology
& Medicine, 4(3-4) : pages 351 à 356.
Conclusions : La salivation réduite à elle
seule n’a pas d’incidence clinique valable
sur la susceptibilité aux maladies buccales.
Guggenheimer, J. and P. A. Moore (2003).
"Xerostomia: etiology, recognition and
treatment." J Am Dent Assoc 134(1): 61-69;
quiz 118-119. Conclusions: Xerostomia has
many causes, from disease entities to
medication side effects. The physician
needs to identify the possible cause(s) in
order to provide the patient with the
appropriate treatment.
GUGGENHEIMER, J. et P. A. Moore
(2003). « Xerostomia: etiology, recognition
and treatment. » Journal of the American
Dental Association, 134(1) : pages 61 à 69;
questionnaire, pages 118 et 119.
Conclusions : La xérostomie a de
nombreuses causes, allant d’entités
morbides aux effets secondaires de
médicaments. Le médecin doit déterminer
les causes possibles afin de pouvoir offrir
le traitement approprié au patient.
Janket, S. J., J. A. Jones, et al. (2003).
"Xerostomic medications and oral health:
the Veterans Dental Study (part I)."
Gerodontology 20(1): 41-49. Conclusions:
The study looked at 345 veterans on
medications and found there were effects on
oral mucosa from xerostomic medications
but found no increase in dental caries or
periodontal disease.
JANKET, S. J., J. A. Jones et coll. (2003).
« Xerostomic medications and oral health:
the Veterans Dental Study (part I). »
Gerodontology, 20(1) : pages 41 à 49.
Conclusions : L’étude visait 354 anciens
combattants
qui
prenaient
des
médicaments et a conclu que les
médicaments
qui
entraînaient
la
xérostomie avaient des effets sur la
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25-002.03
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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muqueuse buccale, mais n’a pas constaté
d’augmentation de l’incidence de caries
dentaires ou de maladies parodontales.
2.19 Medical Marijuana
2.19 Marijuana à des fins médicales
What is it?
While “medical marijuana” is often used as
being synonymous with “dried marijuana”, it
technically refers to both “dried marijuana”
and “pharmaceutical marijuana”. In this
document, medical marijuana will refer to
both forms.
C’est quoi?
Bien que l’expression « marijuana à des fins
médicales » soit souvent utilisée comme un
synonyme de « marijuana séchée », elle
désigne à la fois la « marijuana séchée » et
la « marijuana à usage pharmaceutique ».
Aux fins de la présente politique, la
marijuana à des fins médicales désignera
les deux formes.
Dried (Non-Pharmaceutical) Marijuana
Marijuana séchée (à usage non
pharmaceutique)
Cette directive a été rédigée en fonction
d’énoncés de position de l’Association
médicale canadienne, du Collège des
médecins de famille du Canada et de
Santé Canada.
This directive has been formulated based on
position statements of the Canadian Medical
Association, the College of Family
Physicians of Canada and Health Canada
Canadian Medical Association’s current
position paper on medical marijuana
accessed Oct. 20 2015 is dated 2011:
“In summary, there remains scant evidence
regarding the effectiveness of the herbal
form of marijuana (e.g. smoked) as
accessed through Health Canada’s MMAR
program. The generalizability of the
conclusions from published studies are
limited by methodology (double blind
placebo controlled trials are not possible;
previous users of marijuana are often
excluded) and very small sample sizes.
While it may be the case that medical
marijuana is efficacious, scientific evidence
comparable
to
other
prescription
pharmaceuticals is still lacking. Additionally,
there is insufficient information about longterm effects and pharmacodynamics such
as interactions with other medications and
dose response curves.”
L’exposé de position actuel sur la
marijuana à des fins médicales de
l’Association
médicale
canadienne,
consulté le 20 octobre 2015, est daté de 2011 :
« En résumé, il y a toujours peu de
données probantes sur l’efficacité de la
marijuana sous forme d’herbe (p. ex.,
inhalée) à laquelle donne accès le
programme RAMM de Santé Canada. Les
possibilités de généraliser les conclusions
tirées d’études publiées sont limitées par
la méthodologie (il est impossible de
procéder à des essais à double insu
contrôlés par placebo; les personnes ayant
déjà fait usage de marijuana sont souvent
exclues) de même que par la taille très
limitée des échantillons. La marijuana à
des fins médicales est peut-être efficace,
mais il n’y a toujours pas de données
scientifiques permettant d’en comparer
l’efficacité à celle d’autres médicaments
d’ordonnance. En outre, il n’y a pas
suffisamment d’information sur les effets à
long terme et la pharmacodynamique,
comme les interactions avec d’autres
médicaments et les courbes dose-réponse. »
DIRECTIVE
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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“Pharmaceutical
cannabinoids
have
undergone clinical trials to demonstrate
safety and effectiveness, and have been
approved for use through the Food and
Drug Act of Canada. Of note is that in this
format, the toxic by-products of smoked
marijuana are avoided.”
« Les cannabinoïdes pharmaceutiques ont
fait l’objet d’essais cliniques visant à en
démontrer l’innocuité et l’efficacité, et
l’utilisation en a été approuvée en vertu de
la Loi sur les aliments et drogues du
Canada. Il convient de signaler que ce
format évite les sous-produits toxiques de
la marijuana inhalée. »
“The active ingredient of cannabis, or
synthetic cannabinoids, THC, can already
be prescribed as an oral capsule (nabilone)
and as an inhaled spray (Sativex).”
Lexicomp drug information database
accessed
from
Canadian
Medical
Association website on Oct. 20 2015 lists
approved indications as:
• Neuropathic pain,
• Spasticity in multiple sclerosis; and
• Moderate to severe cancer pain.
« L’ingrédient actif du cannabis, ou des
cannabinoïdes de synthèse, le THC, est
déjà disponible sous forme de capsule à
prise orale (nabilone) ou de pulvérisateur
pour inhalation (Sativex). » Selon
LexicompMD, la base de données
d’information sur les drogues qui a été
consultée à partir du site Web de
l’Association
médicale
canadienne
le 20 octobre
2015,
les
indications
approuvées sont la spasticité et la douleur
neuropathique associées à la sclérose en
plaques, et la douleur cancéreuse
modérée à sévère. Elle n’est pas
approuvée pour traiter d’autres types de
douleur chronique non cancéreuse et le
syndrome de stress post-traumatique.
Use in other types of chronic non-cancer
pain and in PTSD is not an approved
indication.
College of Family Physicians of Canada’s
current position paper on medical marijuana
accessed Oct. 20 2015 is dated 2013:
“Physicians cannot be expected to prescribe
a drug without the safeguards in place as for
other medications – solid evidence
supporting the effectiveness and safety of
the medication, and a clear set of
indications,
dosing
guidelines
and
precautions.”
WorkSafeNB
turns
to
professional
associations such as the College of Family
Physicians of Canada and the Canadian
Medical Association for guidance. There
continues to be a lack of medical evidence
to support the use of smoked marijuana in
much of the context that WorkSafeNB is
being asked to cover payment.
L’exposé de position actuel du Collège
des médecins de famille du Canada sur
la marijuana à des fins médicales, consulté
le 20 octobre 2015, est daté de 2013 :
« On ne peut pas s’attendre à ce que les
médecins prescrivent la marijuana sans les
mesures de protection présentes pour les
autres médicaments ‒ efficacité et innocuité
solidement
établies,
indications,
recommandations
posologiques
et
précautions à prendre clairement définies. »
Travail sécuritaire NB se fie sur des
associations professionnelles comme le
Collège des médecins de famille du
Canada et l’Association médicale du
Canada pour l’orienter. Les preuves
médicales demeurent toujours insuffisantes
pour appuyer l’utilisation de la marijuana
inhalée dans la plupart des instances où
l’on demande à Travail sécuritaire NB de la
payer.
DIRECTIVE
25-002.03
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
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“No prescribed medication uses smoke
(combustion of herbal material) as a delivery
system. Smoke is a hazardous delivery
system, because
(a) psychoactive ingredients reach the CNS
much faster than other routes, causing
intoxication; and
(b) smoke contains hundreds of chemicals
that are potentially carcinogenic or
harmful to the heart or other organs.”
« Aucun médicament sous ordonnance
n’utilise la fumée (produit de combustion
d’une
plante)
comme
mode
d’administration. La fumée est un mode
d’administration dangereux, puisque
a) les psychotropes atteignent le SNC
beaucoup plus rapidement qu’avec tout
autre
mode,
provoquant
une
intoxication;
b) la fumée contient des centaines de
produits
chimiques potentiellement
cancérogènes ou nocifs pour le cœur ou
d’autres organes. »
Health Canada: “Dried marijuana is not
an approved drug or medicine in
Canada”
http://www.hc-sc.gc.ca/dhpmps/marihuana/index-eng.php (Health
Canada site accessed Feb. 13, 2015)
Santé Canada : « La marijuana séchée
n’est pas un médicament approuvé au
Canada. » http://www.hc-sc.gc.ca/dhpps/marihuana/index-fra.php (site Web de
Santé Canada consulté le 13 février 2015).
Marijuana is a controlled substance under
the Controlled Drugs and Substances Act in
Canada (“The Controlled Drugs and
Substances Act (CDSA) and its regulations
provide a framework for the control of
substances that can alter mental processes
and that may harm an individual or society
when misused or diverted to an illicit market”
– Health Canada site accessed Feb. 13,
2015).
Au Canada, la marijuana est une
substance contrôlée en vertu de la Loi
réglementant certaines drogues et autres
substances. [« La Loi réglementant
certaines drogues et autres substances
(LRCDAS) et les règlements y afférents
encadrent le contrôle des substances qui
peuvent altérer les processus mentaux et
nuire à la santé des individus et à la
société si elles sont mal utilisées ou
distribuées dans un marché clandestin. » –
Site Web de Santé Canada consulté le
13 février 2015.]
Despite being classified under the
Controlled Drugs and Substances Act,
Health Canada has not issued a Drug
Identification Number (DIN) because
“Controlled substances that meet the
definition of a drug under the Food and
Drugs Act (FDA) are generally subject to the
requirements of the FDA and the Food and
Drug Regulations (FDR).
Même si la marijuana est une substance
contrôlée en vertu de la Loi réglementant
certaines drogues et autres substances,
Santé Canada ne lui a pas accordé un
numéro d’identification du médicament
puisque « En règle générale, les
substances désignées qui répondent à la
définition de drogue contenue dans la Loi
sur les aliments et drogues (LAD) sont
assujetties aux exigences de la LAD et du
Règlement sur les aliments et drogues
(RAD).
To date, the scientific evidence supporting
the safety and efficacy of dried marijuana for
À ce jour, les preuves scientifiques
démontrant l’innocuité et l’efficacité de la
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medical purposes has not reached the level
required by the FDA and the FDR, and
therefore, dried marijuana is not an
approved therapeutic product in Canada,
does not have a Drug Identification Number”
(Health Canada site accessed Feb. 13,
2015). Dried marijuana is a “controlled
substance” but not a “controlled drug”.
marihuana sèche à des fins médicales
n’ont pas atteint le niveau exigé par la LAD
et le RAD; ainsi, la marihuana sèche n’est
pas un produit thérapeutique approuvé au
Canada, n’a pas de numéro d’identification
du médicament…» (site Web de Santé
Canada consulté le 13 février 2015). La
marijuana séchée est une « substance
contrôlée », mais non un « médicament
contrôlé ».
Health Canada goes on to note that
“Despite the move to treat dried marijuana
as much as possible like other narcotic
drugs, to date, the scientific evidence
supporting the safety and efficacy of dried
marijuana for medical purposes has not
reached the level required by the Food and
Drugs Act and its regulations, to which all
other marketed narcotic drugs are subject.
As a result, healthcare practitioners have
expressed concern with providing their
patients with medical documents to support
their access to dried marijuana”
(Health Canada site accessed Feb. 13,
2015).
Santé
Canada
souligne
également
que « Malgré la décision de traiter, dans la
mesure du possible, la marihuana sèche
comme tout autre stupéfiant, à ce jour, les
preuves
scientifiques
démontrant
l’innocuité et l’efficacité de la marihuana
sèche à des fins médicales n’ont pas
atteint le niveau exigé par la Loi sur les
aliments et drogues et les règlements y
afférents auxquels tous les autres
stupéfiants commercialisés sont assujettis.
À cet égard, des professionnels de la santé
ont fait part de leurs préoccupations
concernant la remise de documents
médicaux à leurs patients pour soutenir
leur demande d’accès à de la marihuana
sèche »
(site Web de Santé Canada consulté le
13 février 2015).
The “Marijuana for Medical Purposes
Regulations” (MMPR) that came into effect
on June 7, 2013, provides for legal purchase
of dried marijuana through Licensed
Producers.
Le Règlement sur la marihuana à des fins
médicales, qui est entré en vigueur
le 7 juin 2013, prévoit l’achat légal de la
marijuana séchée par le biais de
producteurs autorisés.
The College of Family Physicians of Canada
issued recommendations for prescribing
dried cannabis (marijuana) in September
2014 (reference 8):
En septembre 2014, le Collège des
médecins de famille du Canada a présenté
les
recommandations
suivantes
relativement aux ordonnances de la
marijuana séchée (référence 8) :
Recommendation 1
There is no research evidence to support
the authorization of dried cannabis as a
treatment for pain conditions commonly
seen in primary care, such as fibromyalgia
or low back pain … Authorizations for dried
cannabis should only be considered for
Recommandation 1
Aucune donnée probante issue de la
recherche
n’étaye
l’autorisation
du
cannabis séché pour le traitement des
affections
douloureuses
couramment
traitées en soins primaires, comme la
fibromyalgie
ou
la
lombalgie…
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patients with neuropathic pain that has
failed to respond to standard treatments
L’autorisation de cannabis séché doit être
envisagée exclusivement pour les patients
souffrant
de douleur
neuropathique
réfractaire aux traitements classiques.
Recommendation 2
If considering authorizing dried cannabis for
treatment of neuropathic pain, the physician
should first consider:
a) adequate trials of other pharmacologic
and nonpharmacologic therapies; and
b) an adequate trial of pharmaceutical
cannabinoids.
Recommandation 2
S’il envisage d’autoriser le cannabis séché
pour le traitement de la douleur
neuropathique, le médecin doit d’abord
faire l’essai adéquat :
a) d’autres thérapies pharmacologiques et
non pharmacologiques;
b) de cannabinoïdes pharmaceutiques.
Recommendation 3
Dried cannabis is not an appropriate therapy
for anxiety or insomnia.
Recommandation 3
Le cannabis séché n’est pas un traitement
approprié de l’anxiété ni de l’insomnie.
Recommendation 5
Dried cannabis should be authorized with
caution in those patients who … Are heavy
users of alcohol or taking high doses of
opioids or benzodiazepines or other
sedating medications prescribed or available
over the counter.
Recommandation 5
L’accès au cannabis séché doit être
autorisé avec prudence aux patients qui…
font une grande consommation d’alcool ou
qui prennent de fortes doses d’opioïdes ou
de benzodiazépines ou d’autres sédatifs
sur ordonnance ou en vente libre.
Recommendation 12
The
physician
should
manage
disagreements with patients about decisions
around authorization, dosing, or other issues
with
unambiguous,
evidence-based
statements.
Recommandation 12
Le médecin doit gérer les désaccords avec
les patients au sujet des décisions
concernant l’autorisation, la posologie ou
les autres problèmes à l’aide d’énoncés
non équivoques et factuels.
Recommendation 14
Given the weak evidence for benefit and the
known risks of using cannabis, the only
sensible advice for physicians involved with
authorizing dried cannabis is the maxim
“Start low, and go slow”.
Recommandation 14
Étant donné la faiblesse des données
étayant un bienfait et les risques connus
de l’usage de cannabis, le seul conseil
raisonnable que l’on puisse donner aux
médecins qui autorisent l’accès au
cannabis
séché
est
« Commencez
lentement et allez-y lentement ».
Recommendation 15
Although it is not required by the Marijuana
for Medical Purposes Regulation, physicians
should specify the percentage of THC on the
medical document for all authorizations for
dried cannabis, just as they would specify
dosing when prescribing any other
analgesic.
Recommandation 15
Bien que le Règlement sur la marihuana à
des fins médicales ne l’exige pas, les
médecins doivent préciser le pourcentage
de tétrahydrocannabinol sur le document
médical de toutes les autorisations d’accès
au cannabis séché, tout comme ils
préciseraient
la
posologie
d’un
DIRECTIVE
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analgésique sur une ordonnance.
Recommendation on Authorization of
Coverage
• With the exception of conditions listed in
Procedure 25-002.01 Schedule of Care –
Generally Approved Care, Treatment and
Tests, WorkSafeNB generally does not
approve medical marijuana, and if
approving medical marijuana generally
not:
1. Dried marijuana because of a lack of
guidance for prescribers on safe
dosing thereby creating a risk of
causing harm to self and others from
cognitive impairment; and
2. Smoked form of dried marijuana
because of risk of lung cancer.
• For
WorkSafeNB
to
consider
recommending payment for medical
marijuana, the following conditions
should be met:
−
−
−
The medical condition for which
medical
marijuana
is
being
prescribed is the compensable
condition;
The symptom management effect is
related to the compensable condition;
and
Traditional forms of treatment have
been tried and have failed to alleviate
the worker’s symptoms.
If the above conditions are met and
symptom management is for pain,
WorkSafeNB determines if the pain is acute,
subacute or chronic. Current guidelines and
research are limited to chronic pain. Acute
and subacute pain are managed using
traditional forms of treatment. WorkSafeNB
would generally not approve coverage of
medical marijuana for acute and subacute
Recommandation quant à l’autorisation
de paiement
• Sauf pour les conditions énumérées à
la Directive 25-002.01, intitulée Barème
des soins – Soins, traitements et
examens généralement approuvés,
Travail sécuritaire NB n’approuve
généralement pas la marijuana à des
fins médicales. S’il l’approuve, il ne
s’agit habituellement pas de :
1. la marijuana séchée, en raison du
manque de directives pour les
médecins prescripteurs quant au
dosage sécuritaire, ce qui entraîne
un risque lié à la possibilité de se
faire du mal et de faire du mal aux
autres en raison d’une déficience
cognitive;
2. la marijuana séchée inhalée, en
raison du risque de cancer du
poumon.
• Pour que Travail sécuritaire NB
envisage de recommander le paiement
de la marijuana à des fins médicales,
les conditions suivantes doivent être
satisfaites :
− La condition médicale pour laquelle
la marijuana médicale est prescrite
est la condition indemnisable.
−
−
L’effet
de
la
gestion
des
symptômes est lié à la condition
indemnisable.
Le travailleur a fait l’essai de
traitements traditionnels et ces
derniers n’ont pas soulagé ses
symptômes.
Si les conditions susmentionnées sont
satisfaites et le symptôme à gérer est la
douleur, Travail sécuritaire NB détermine
si la douleur est aiguë, sous-aiguë ou
chronique. La recherche et les lignes
directrices actuelles se limitent à la douleur
chronique. La douleur aiguë et sous-aiguë
est gérée au moyen de traitements
traditionnels.
Travail
sécuritaire
NB
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
Page 64 of / de 86
pain.
n’approuverait généralement pas le
paiement de la marijuana médicale pour
traiter la douleur aiguë et sous-aiguë.
If symptom management is for chronic
neuropathic pain, WorkSafeNB confirms
that the worker has true neuropathic pain
using validated tools.
Dans le cas de la gestion des
symptômes
liés
à
la
douleur
neuropathique
chronique,
Travail
sécuritaire NB confirme que le travailleur
ressent une douleur neuropathique réelle
à l’aide d’outils validés.
If the worker has true neuropathic pain:
Si le travailleur ressent une douleur
neuropathique réelle :
– la marijuana à des fins médicales est
recommandée comme traitement des
troisième et quatrième paliers (premier
palier : tricycliques, gabapentine et
Lyrica; deuxième palier : inhibiteur
sélectif de la recaptation de la
sérotonine
/
norépinéphrine
et
lidocaïne topique; troisième palier :
tramadol, opiacés et cannabinoïdes;
quatrième palier : méthadone et
anticonvulsivants).
–
Medical marijuana is recommended as
third and fourth-tier treatment (1st tier is:
tricyclics, gabapentin, lyrica; 2nd tier is:
SNRI, topical lidocaine; 3rd tier is:
tramadol, opioids and cannabinoids; 4th
tier is: methadone and anticonvulsants)
If symptom management is for other
forms of chronic non-cancer pain,
WorkSafeNB notes that while guidelines
currently do not recommend the use of
medical marijuana and its use is “off-label”,
research into efficacy is evolving.
Dans le cas de la gestion des
symptômes liés à d’autres formes de
douleur chronique non cancéreuse,
Travail sécuritaire NB fait remarquer que
bien que les lignes directrices ne
recommandent pas l’utilisation de la
marijuana médicale à l’heure actuelle et
que son utilisation est « non conforme à
l’étiquette », la recherche quant à son
efficacité évolue.
Conditions for which WorkSafeNB might
cover medical marijuana in the symptom
management of other forms of chronic pain,
after traditional forms of treatment have
failed, include :
• Major trauma
• Failed surgery
• Harm reduction – the worker is on
signficiant amount of opioids with a high
risk profile for death from respiratory
depression
Travail sécuritaire NB pourrait payer la
marijuana médicale pour les conditions
suivantes afin de gérer les symptômes liés
à d’autres formes de douleur chronique si
les traitements traditionnels ont échoué :
• traumatisme majeur;
• opération inefficace;
• réduction des méfaits – le travailleur
prend une grande quantité d’opiacés et
est à risque élevé de mourir de
dépression respiratoire.
Otherwise, coverage of medical marijuana
for chronic non-cancer pain is decided on
Autrement, Travail sécuritaire NB approuve
le paiement de la marijuana médicale pour
DIRECTIVE
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Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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the “merits of the case”.
traiter
la
douleur
chronique
non
cancéreuse selon le « bien-fondé du cas ».
If
symptom
management
is
for
psychological conditions (e.g.,PTSD),
WorkSafeNB notes that while guidelines
currently do not recommend the us eof
medical marijuana and its use is “off-label”,
research into efficacy is evolving.
Dans le cas de la gestion des symptômes
liés à des conditions psychologiques,
comme
le
syndrome
de
stress
post-traumatique, Travail sécuritaire NB fait
remarquer que bien que les lignes directrices
ne recommandent pas l’utilisation de la
marijuana médicale à l’heure actuelle et que
son utilisation est « non conforme à
l’étiquette », la recherche quant à son
efficacité évolue.
Coverage of medical marijuana is decided
on the “merits of the case”.
Travail sécuritaire NB approuve le
paiement de la marijuana médicale selon le
« bien-fondé du cas ».
For anything not covered above, coverage
of medical marijuana is decided on the
“merits of the case”.
Pour les situations non mentionnées plus
haut, Travail sécuritaire NB approuve le
paiement de la marijuana médicale selon le
« bien-fondé du cas ».
“Merits of the case” evaluation: for
consistency and incorporation / synthesis of
the latest research into its decision-making
process, WorkSafeNB will use Canadian
Health Solutions to evaluate the “merits of
the case”.
Évaluation selon le « bien-fondé du
cas » : Afin d’assurer la conformité et
d’intégrer les dernières recherches à son
processus de prise de décision, Travail
sécuritaire NB fera appel aux Solutions de
santé canadiennes pour évaluer le « bienfondé du cas ».
WorkSafeNB:
• Must comply with Federal and Provincial
regulations
regarding
medical
marijuana.
• If the Medical Advisor recommends
payment of medical marijuana, the
recommendation
is
generally
for
pharmaceutical marijuana since this
form of marijuana contains the same
active
ingredients
as
nonpharmaceutical marijuana and:
– Non-pharmaceutical
marijuana
can be contaminated with chemicals
that may put the worker at risk of
significant illness;
– Smoked dried marijuana may be
associated with increased risk of
lung cancer. Past studies report no
• Travail sécuritaire NB doit se conformer
aux règlements fédéraux et provinciaux
régissant la marijuana à des fins
médicales.
• Si le médecin-conseil recommande le
paiement de la marijuana à des fins
médicales, il s’agit habituellement de
marijuana pharmaceutique puisque
cette forme de marijuana contient les
mêmes ingrédients actifs que la
marijuana non pharmaceutique et :
– la marijuana non pharmaceutique
peut être contaminée par des
substances chimiques qui pourraient
rendre le travailleur très malade;
– la marijuana séchée inhalée peut
être liée à un risque accru de cancer
du poumon. Selon des études
DIRECTIVE
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increased risk of lung cancer in
“regular users” who are defined as
taking fewer than 2 joints per day –
recreational users not “medical
marijuana” users (references 10-12).
antérieures, il n’y a pas de risque
accru de cancer du poumon chez les
« usagers réguliers », qui sont
définis comme les personnes qui
fument moins de deux joints par jour,
soit des usagers à des fins
récréatives
et
non
médicales
(références 10 à 12).
In a recent study looking at cannabis
for chronic non-cancer pain, the
average daily dose was 2.5gm = 5
joints (reference 9). However, heavy
users (> 10-joint year, and longterm) may be at increased risk
(references 12-13). 5 joints per day x
1 year = 5-joint year. 5 joints per day
x 3 years = 15-joint year, making this
scenario fall into the “heavy user”
category. A worker with chronic pain
is more likely to be on cannabis for a
long time. The data on risk of lung
cancer in “medical marijuana” users
is yet to come.
Une étude récente a démontré que
la dose quotidienne moyenne de
cannabis pour traiter la douleur
chronique non cancéreuse était de
2,5 g, ce qui équivaut à 5 joints
(référence 9). Cependant, les grands
consommateurs (plus de 10 jointsannée, et à long terme) peuvent être
plus à risque (références 12 et 13).
Cinq joints par jour pendant un an
équivaut à 5 joints-année. Cinq joints
par jour pendant trois ans équivaut à
15 joints-année, ce qui caractérise le
« grand consommateur ». Un
travailleur
atteint
de
douleur
chronique a plus tendance à
consommer du cannabis pour une
longue période. Il n’y a pas encore
de données sur les risques de
cancer du poumon chez les
consommateurs de « marijuana à
des fins médicales ».
• Si Travail sécuritaire NB approuve le
paiement de la marijuana séchée, il :
I.
recueille des renseignements quant
à la consommation antérieure de
marijuana; la concentration de THC
et de cannabidiol (CBD); les
directives quant à la posologie
selon la pratique relative aux
drogues pharmaceutiques; et la
durée prévue du traitement;
II.
paie pour que le travailleur achète
la marijuana séchée d’une source
approuvée. Sauf dans de rares
cas, Travail sécuritaire NB limite
les paiements aux fournisseurs
néo-brunswickois. Il ne paie pas
pour que le travailleur établisse une
installation de culture de la
marijuana;
• If the decision is to cover payment of
dried marijuana, WorkSafeNB
I.
Gathers information on prior use of
marijuana, concentration of THC and
CBD and dosing instructions as per
practice with pharmaceutical drugs,
expected duration of treatment
II.
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Pays the worker to purchase dried
marijuana from an approved source.
Except
for
the
rare
case,
WorkSafeNB limits payment to
providers
in
New
Brunswick.
WorkSafeNB does not pay for the
worker to establish a grow-op.
DIRECTIVE
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approuvés
III.
IV.
Recommends the worker use a
vaporizer instead of smoking, and
covers the cost of the vaporizer;
Expects the daily dosage of dried
marijuana to be 5 gm or less;
V.
Expects workers on marijuana for all
forms of chronic non-cancer pain to
be on a daytime formulation that is
high in CBD (high analgesic effect,
low cognitive impairment effect) and
low (9% or less) in THC (low
analgesic effect, high cognitive
impairment effect). A high THC
concentration at bedtime generally
allows sufficient time for the
cognitive effects to wear off by
morning.
VI.
Refers the worker to Canadian
Health Solutions to evaluate the
“merits of the case” when dosing is
not consistent with expectations
(e.g., the worker has been using
dried marijuana from non-approved
sources
with
a
very
high
concentration of THC – query dosing
appropriate in this case; query
develop a gameplan to move to high
CBD and low THC).
• Uses the ePay system to process
payment for pharmaceutical marijuana.
The ePay system is not available for
licensed producers of dried marijuana.
Authorization of payment for
marijuana is contingent upon:
•
dried
The worker providing WorkSafeNB with
a copy of the physician’s medical
document for medical marijuana and if
required, the licensed producer’s
Page 67 of / de 86
III.
recommande que le travailleur
utilise un vaporisateur au lieu de
fumer, et il paie le vaporisateur;
IV.
s’attend à ce que la posologie
quotidienne de marijuana séchée
soit de 5 g ou moins;
V.
s’attend à ce que la formulation de
la marijuana consommée pour
traiter tous les types de douleur non
cancéreuse soit une formulation de
jour qui a une concentration élevée
de
CBD
(effet
analgésique
important, peu d’effet sur les
facultés cognitives) et une faible
concentration (9 % ou moins) de
THC (peu d’effet analgésique, effet
important
sur
les
facultés
cognitives). L’effet sur les facultés
cognitives lorsque de la marijuana à
concentration de THC élevée est
prise
au
coucher
s’atténue
habituellement avant le matin;
VI.
adresse le travailleur à Solutions de
santé canadiennes pour évaluer le
« bien-fondé » du cas lorsque la
posologie n’est pas conforme aux
attentes (par exemple, le travailleur
consomme de la marijuana séchée
obtenue
de
sources
non
approuvées
et
ayant
une
concentration très élevée de THC;
déterminer si la posologie est
appropriée dans ce cas ou si on
peut établir un plan pour faire la
transition à une concentration de
CBD élevée et de THC faible).
• Travail
sécuritaire NB
paie
la
marijuana à usage pharmaceutique
par le biais du système électronique de
paiement direct. Le système n’est pas
disponible
pour
les
producteurs
autorisés de marijuana séchée.
L’autorisation de paiement de la
marijuana séchée est conditionnelle à
ce qui suit :
• Le travailleur
remet à Travail
sécuritaire NB une copie du document
médical du médecin relativement à la
marijuana à des fins médicales et au
DIRECTIVE
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registration form.
•
Payment authorization for purchase
through a licensed provider who has
been assigned a WorkSafeNB medical
aid payee number. The CMO is
responsible for approving creation of a
medical aid payee number for a licensed
provider. The CMO confirms that the
provider is licensed by checking Health
Canada’s “List of Authorized Licensed
Providers under the Marijuana for
Medical Purposes Regulations”.
•
•
WorkSafeNB uses the SF-36 (or one of
the
other
validated
functional
questionnaires for physical injuries) to
measure effectiveness of therapy.
•
−
The initial questionnaire will likely be
administered after the worker has
started marijuana;
−
Based on the worker’s response to
marijuana at the time of the initial
questionnaire, the goal of treatment
on a go-forward basis may to retain
gained function and pain control
rather than to increase;
−
Effectiveness is evaluated using a
minimum of three time intervals at 8
weeks apart;
If evidence is lacking for a
meaningful functional improvement
(i.e., change is not greater than the
minimal
clinically
important
difference [MCID], then one would
generally reject further payment)
−
•
For PTSD, WorkSafeNB uses the SF-36
or PTSD-related severity / function
measures – e.g., the CAPS-5.
−
From the questionnaire instructions:
“The
CAPS-5
should
be
•
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besoin, le formulaire d’inscription du
producteur autorisé.
L’autorisation de paiement vise l’achat
de la marijuana séchée par le biais
d’un fournisseur autorisé qui a obtenu
un code du bénéficiaire de Travail
sécuritaire NB. Il relève du médecinchef d’approuver l’établissement d’un
code
du
bénéficiaire
pour
un
fournisseur autorisé. Le médecin-chef
vérifie que le fournisseur est autorisé
en consultant la Liste de producteurs
autorisés en vertu du Règlement sur la
marihuana à des fins médicales de
Santé Canada.
Travail sécuritaire NB se sert du
questionnaire SF-36 (ou d’un autre
questionnaire sur les fonctions validé
pour les blessures physiques) afin de
mesurer l’efficacité de la thérapie.
− Le
travailleur
remplira
probablement le questionnaire
initial après avoir commencé à
prendre la marijuana.
− Selon la réaction du travailleur à la
marijuana
au
moment
du
questionnaire initial, le but du
traitement par la suite peut être de
maintenir les fonctions rétablies et
de maîtriser la douleur plutôt que
d’augmenter les fonctions.
− L’efficacité est évaluée selon un
minimum de trois intervalles de
huit semaines.
− S’il n’y a pas suffisamment de
preuves
qui
indiquent
une
amélioration des fonctions (par
exemple, l’amélioration n’est pas
supérieure à la différence minimale
importante sur le plan clinique),
tout autre paiement ne sera
généralement pas approuvé.
Dans le cas du syndrome de stress posttraumatique, Travail sécuritaire NB se
sert du questionnaire SF-36 ou des
mesures de la gravité / des fonctions
liées au syndrome, comme le
questionnaire CAPS-5.
− Les directives qui accompagnent le
questionnaire précisent que ce
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administered only by qualified
interviewers who have formal training
in structured clinical interviewing and
differential diagnosis, a thorough
understanding of the conceptual
basis of PTSD and its various
symptoms, and detailed knowledge
of the features and conventions of
the CAPS-5 itself”.
dernier ne devrait être administré
que
par
des
personnes
compétentes qui ont reçu une
formation officielle pour effectuer
des entrevues cliniques structurées
et
poser
des
diagnostics
différentiels, et qui comprennent
très bien le concept de base du
syndrome
de
stress
posttraumatique
et
ses
divers
symptômes. Les personnes doivent
également
avoir
des
connaissances approfondies en ce
qui a trait aux caractéristiques du
questionnaire CAPS-5.
References
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website.
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Références
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2. Solutions de santé canadiennes, rapport
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du 31 décembre 2011.
3. Martin-Sanchez, E., T. A. Furukawa, et
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pain." Pain medicine 10(8): 1353-1368.
3. MARTIN-SANCHEZ, E., T. A. Furukawa
et coll. (2009). « Systematic review and
meta-analysis of cannabis treatment for
chronic pain ». Pain medicine 10(8) :
pages 1353 à 1368.
Conclusions: This systematic review found
cannabis to be moderately efficacious in the
treatment of chronic pain related to brachial
plexus injuries, upper motor neuron
disease,
multiple
sclerosis,
cancer,
rheumatoid arthritis and pathological bone
lesions. This benefit may be offset in part or
in whole by adverse side-effects.
Conclusions : Cette étude systématique a
démontré
que
le
cannabis
était
modérément efficace pour traiter la
douleur chronique liée aux blessures du
plexus brachial, aux maladies des
neurones moteurs supérieurs, à la
sclérose en plaques, au cancer, à l’arthrite
rhumatoïde et aux lésions pathologiques
osseuses. Ce bienfait pourrait être
neutralisé, en tout ou en partie, par des
effets secondaires indésirables.
4. Kalant, H. (2004). Adverse effects of
cannabis on health; an update of the
literature
since
1996.
Progress
in
Neuropsychopharmacology & Biological
Psychiatry, 28 (5), 849-863.
4. KALANT, H. (2004). « Adverse effects
of cannabis on health; an update of the
literature since 1996 ». Progress in
Neuropsychopharmacology & Biological
Psychiatry, 28(5) : pages 849 à 863.
Cette étude a démontré que l’usage
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This review found that heavy use of
cannabis has negative consequences,
including respiratory problems and possibly
depression.
intensif du cannabis entraîne des effets
négatifs, y compris des problèmes
respiratoires et peut-être la dépression.
5. Moir, D., Rickert, W., Lavasseur, G., et al
(2008). A comparison of mainstream and
sidestream marijuana and tobacco cigarette
smoke produced under two machine
smoking conditions. Chemical Research in
Toxicology, 21(2), 494-502.
5. MOIR, D., W. Rickert, G. Levasseur et
coll. (2008). « A comparison of mainstream
and sidestream marijuana and tobacco
cigarette smoke produced under two
machine smoking conditions ». Chemical
Research in Toxicology, 21(2) : pages
494 à 502.
This trial used a smoking machine to trap
the smoke produced by both tobacco and
marijuana smoke. Both types of smoke were
analyzed and found to contain known
carcinogens.
Dans le cadre de l’essai, on a utilisé une
machine à fumer pour recueillir la fumée
du tabac et de la marijuana. Les deux
types de fumée ont été analysés et on y a
trouvé des cancérogènes connus.
6. Wilsey, B., T. Marcotte, et al. (2008). "A
randomized, placebo-controlled, crossover
trial of cannabis cigarettes in neuropathic
pain." The Journal of Pain: official journal of
the American Pain Society 9(6): 506-521.
6. WILSEY, B., T. Marcotte et coll. (2008).
«A
randomized,
placebo-controlled,
crossover trial of cannabis cigarettes in
neuropathic pain ». The Journal of Pain:
Official Journal of the American Pain
Society, 9(6) : pages 506 à 521.
Conclusions: This trial found efficacy for the
use of smoked cannabis in CRPS Type 1
(using specific criteria to meet this
diagnosis), diabetic peripheral neuropathy,
spinal cord injury, and peripheral nerve
injury – as an alternative treatments for
patients who do not respond to or cannot
tolerate other drugs. The study specifically
excluded patients with major depression
and other major psychiatric conditions as
the psychoactive effects of cannabis may
make these conditions worse.
Conclusions : Dans le cadre de l’essai, on
a déterminé que le cannabis était efficace
pour traiter le syndrome de douleur
régionale complexe de type 1 (selon des
critères précis quant au diagnostic), la
neuropathie périphérique diabétique, les
traumatismes médullaires et les lésions
des nerfs périphériques, à titre de
traitement non traditionnel pour les
patients qui ne répondent pas à d’autres
drogues ou qui ne peuvent pas les tolérer.
L’essai excluait tout particulièrement les
patients souffrant de dépression majeure
et d’autres conditions psychiatriques
majeures puisque les effets psychoactifs
du cannabis peuvent aggraver ces
conditions.
7. Ware, M. A., T. Wang, et al. (2010).
"Smoked cannabis for chronic neuropathic
pain: a randomized controlled trial." CMAJ :
Canadian Medical Association Journal
182(14): E694-701.
7. WARE, M. A., T. Wang et coll. (2010).
« Smoked
cannabis
for
chronic
neuropathic pain: a randomized controlled
trial ». Journal de l’Association médicale
canadienne, 182(14) : pages E694 à 701.
DIRECTIVE
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Conclusions: This trial found smoked
cannabis to be efficacious in the short-term
(5 days) treatment of post-traumatic and
post-surgical neuropathic pain. The authors
recommend longer-term studies to see if the
benefit extends to longer use.
Conclusions : Dans le cadre de l’essai, on
a déterminé que le cannabis fumé était un
traitement à court terme (cinq jours)
efficace
pour
traiter
la
douleur
neuropathique post-traumatique et postchirurgicale. Les auteurs recommandent
d’effectuer des études sur une plus longue
durée afin de déterminer si l’usage du
cannabis procure le même bienfait si le
patient le consomme à plus long terme.
8. CFPC (2014). Authorizing Dried Cannabis
for Chronic Pain or Anxiety: Preliminary
Guidance from the College of Family
Physicians
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Ontario, College of Family Physicians of
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2.20 Platelet Rich Plasma/ Therapy
(PRP/ PRT)
2.20 Thérapie par plasma riche en
plaquettes (PRP)
What is it?
Platelets produce growth factors that assist
in repair and regeneration of tissue. Plateletrich therapy involves the production of a
concentrated platelet rich fraction of the
patient’s own blood which is then applied by
injection to the site of injury.
C’est quoi?
Les plaquettes produisent des facteurs de
croissance qui aident à la réparation et à la
régénération des tissus. Pour la thérapie
par plasma riche en plaquettes, on obtient
une fraction du plasma ayant une
concentration élevée de plaquettes à partir
du sang du patient. Ce plasma est ensuite
injecté dans le site de la blessure.
Literature Review
The available scientific evidence does not
warrant the use of PRP for the first-line
treatment of tendinopathy. PRP therapy may
deserve
consideration
in
specific
tendinopathy subtypes, after failure of
ultrasound-guided corticosteroid injections
(1). US-guided percutaneous needle
tenotomy followed by PRP injection was
observed to be a safe and effective
treatment
for
chronic,
recalcitrant
tendinopathy, and this treatment was
associated with sonographically apparent
improvements in tendon morphology (2).
Examen de la documentation
Les preuves scientifiques disponibles
n’appuient pas l’utilisation du plasma riche
en plaquettes comme traitement de
première
intention
pour
traiter
la
tendinopathie. La thérapie par plasma riche
en plaquettes peut mériter d’être
considérée pour traiter des sous-types
précis de tendinopathie si les injections de
corticostéroïdes guidées par échographie
ne sont pas efficaces (1). On a observé
qu’une ténotomie à aiguille percutanée
guidée par échographie suivie d’une
injection de plasma riche en paquettes était
un traitement sécuritaire et efficace pour
traiter la tendinopathie récalcitrante
chronique. De plus, ce traitement a été lié
à des améliorations apparentes en
échographie au niveau de la morphologie
des tendons (2).
Surgical Repair of Rotator Cuff Tears
(RCT)
Functional evaluation was performed to
access the effectiveness of Platelet Rich
Therapy (PRT) using subjective assessment
questionnaires such as disabilities of the
arm, shoulder and hand questionnaire,
Victorian Institute of Sports Assessment,
Achilles questionnaire and American
Orthopedic foot and Ankle Society. No
statistically significant differences were
observed between the therapeutic and
placebo arm when functionality and pain
were assessed. Fewer re-tear rates were
reported in the PRT group after one year
compared to the placebo arm (3-8). The
Réparation chirurgicale de ruptures de
la coiffe des rotateurs
Une évaluation fonctionnelle a été
effectuée pour déterminer l’efficacité de la
thérapie par plasma riche en plaquettes.
On
s’est
servi
de
questionnaires
d’évaluation
subjectifs,
comme
le
questionnaire DASH, le questionnaire
VISA-A (Victorian Institute of Sports
Assessment – Achilles) et un questionnaire
de l’American Orthopaedic Foot and Ankle
Society. Aucune différence importante du
point de vue statistique n’a été observée
entre le volet thérapeutique et le volet
placebo lors de l’évaluation des fonctions
et de la douleur. Le groupe traité au
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application of PRT had a statistically
significant positive effect on re-tear rates
and increased cross-sectional area of the
supraspinatus compared to placebo (9).
Kesikburun et al. didn’t find PRT any
statistically different from placebo in
improving quality of life, pain, disability and
range of motion compared to placebo in
treating people with chronic RCT (10).
Maltavolta et al. didn’t observe any
statistically significant clinical improvement
between those complete supraspinatus
tears treated with PRT after arthroscopic
surgery compared to those treated by
placebo(6). PRT treatment after arthroscopic
supraspinatus tendon surgery didn’t improve
early tendon-bone healing or functional
recovery (11).
plasma riche en plaquettes a signalé un
taux inférieur de nouvelles ruptures au bout
d’un an comparativement au volet placebo
(3 à 8). L’utilisation de plasma riche en
plaquettes a eu un effet positif important du
point de vue statistique sur le taux de
nouvelles ruptures et a augmenté la
surface de la section transversale du
sus-épineux comparativement au placebo
(9). Kesikburun et coll. n’ont pas constaté
de différence du point de vue statistique
relativement à la qualité de vie, à la
douleur, à l’incapacité et à l’amplitude des
mouvements
chez
les
personnes
présentant une rupture complète de la
coiffe des rotateurs et ayant reçu du
plasma
riche
en
plaquettes
comparativement à ceux ayant reçu un
placebo (10). Maltavolta et coll. n’ont pas
constaté d’amélioration clinique importante
du point de vue statistique entre les patients
présentant une rupture complète du susépineux et ayant reçu du plasma riche en
plaquettes
après
une
chirurgie
arthroscopique comparativement à ceux
ayant reçu un placebo (6). Le traitement par
plasma riche en plaquettes après une
chirurgie arthroscopique du tendon susépineux n’a pas eu d’effet sur la guérison
précoce du tendon / de l’os ni sur le
rétablissement fonctionnel précoce (11).
There were no statistically significant
differences in overall gain in outcome scores
or re-tear rates between rotator cuff tears
treated with PRT and placebo. However,
when PRT were applied at the tendon-bone
interface compared to application over the
top of the repaired tendon, there was an
improvement in Constant Scores. Re-tear
rates significantly decreased when PRTs
were used for tears greater than 3 cm in
anterior-posterior length using a double-row
technique(12). A study attested the safety
and efficacy of PRT on pain and disability in
Rotator Cuff tear patients(13).
Il n’y avait aucune différence du point de
vue statistique entre les résultats ou les
taux de nouvelles ruptures chez les
patients ayant reçu du plasma riche en
plaquettes et ceux ayant reçu un placebo.
Cependant, les scores de Constant étaient
meilleurs pour l’application du plasma riche
en plaquettes sur l’interface du tendon / de
l’os comparativement à l’application sur la
surface du tendon réparé. Les taux de
nouvelles ruptures ont considérablement
baissé lorsqu’on a utilisé du plasma riche
en plaquettes dans le cas de ruptures de
plus de 3 cm de longueur antérieurepostérieure utilisant une technique en
double rang (12). Une étude a confirmé
que le plasma riche en plaquettes était
sécuritaire et efficace pour traiter la douleur
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et l’incapacité chez les patients présentant
une rupture de la coiffe des rotateurs (13).
Conclusion: conflicting evidence of efficacy
Conclusion : Preuves contradictoires quant
à l’efficacité.
Shoulder
Impingement
Syndrome
(Surgery)
Pain reduction was better in the PRT group
(14). Those treated by PRT also reported
better functional outcomes and ADLs
(Activities of Daily Living).
Syndrome d’accrochage de l’épaule
(opération)
Le groupe ayant reçu du plasma riche en
plaquettes a connu une meilleure réduction
de la douleur (14). Ces patients ont
également indiqué de meilleures résultats
fonctionnels et une amélioration au niveau
des activités de la vie quotidienne.
Conclusion:
One
study
improvement in function.
suggested
Conclusion : Une étude a suggéré une
amélioration au niveau des fonctions.
Elbow Epicondylitis
Three studies compared ultrasound-guided
PRP injections versus controls. Conflicting
reports were obtained on the efficiency of
PRT on functional improvement. PRT had
an effect on pain scores at six weeks (1517). Though no significant differences were
found at 12 weeks, at 24 weeks clinically
meaningful improvements were observed in
individuals treated with PRT compared to
controls (18).
Épicondylite
Trois études ont comparé des patients
ayant reçu des injections de plasma riche
en plaquettes guidées par échographie et
des groupes témoins. On a obtenu des
rapports divergents quant à l’efficacité du
plasma riche en plaquettes pour améliorer
les fonctions. Le plasma riche en
plaquettes avait un effet sur la douleur à
six semaines (15 à 17). Bien qu’aucune
différence importante n’ait été remarquée à
12
semaines,
des
améliorations
importantes du point de vue clinique ont
été observées à 24 semaines chez les
patients ayant reçu du plasma riche en
plaquettes comparativement aux groupes
témoins (18).
Peerbooms observed treatment of patients
with chronic lateral epicondylitis with PRP
reduces pain and significantly increases
function,
exceeding
the
effect
of
corticosteroid injection (19).
Peerbooms a constaté que les patients
présentant une épicondylite externe
chronique qui recevaient du plasma riche
en plaquettes connaissaient une réduction
de leur douleur et une augmentation
considérable de leurs fonctions. Les
résultats sont meilleurs que ceux obtenus
pour les injections de corticostéroïdes (19).
Conclusion: conflicting evidence of efficacy.
One study suggested it might more effective
than steroid injections.
Conclusion : Preuves contradictoires
quant à l’efficacité. Une étude suggère que
le plasma riche en plaquettes pourrait être
plus efficace que les injections de
stéroïdes.
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Anterior Cruciate Ligament (ACL)
Conflicting evidence was found when the
effectiveness of PRT on ACL- Graft donor
site and on the ACL reconstruction
procedure on the whole was evaluated (20,
21). Duif observed intraoperative application
of LP-PRP may enhance pain reduction and
gain of knee function within 6-12 months
when compared to arthroscopy (22). No
benefit was detected with using PRT
compared to placebo in terms of reoperation
rate (23). PRT appears to be effective in
reducing pain compared to placebo
injections and hyaluronic acid injections in
Osteoarthritis of the knee, however quality of
evidence is questionable (24).
Ligament croisé antérieur
On
a
découvert
des
preuves
contradictoires lors de l’évaluation de
l’efficacité générale du plasma riche en
plaquettes sur le site donneur du ligament
croisé antérieur et de la procédure de
reconstruction du ligament croisé antérieur
(20 et 21). Duif a constaté que l’application
peropératoire de plasma riche en
plaquettes et pauvre en leucocytes était
efficace pour réduire la douleur et
améliorer les fonctions du genou après six
à 12 mois comparativement à une
arthroscopie (22). Aucun bienfait n’a été
déterminé quant à l’utilisation du plasma
riche en plaquettes comparativement au
placebo pour ce qui est du taux de
réopération (23). Le plasma riche en
plaquettes semble efficace pour réduire la
douleur liée à l’arthrose du genou
comparativement aux injections de placebo
et d’acide hyaluronique. Toutefois, la
qualité de la preuve est douteuse (24).
Conclusion: lack of evidence of efficacy
Conclusion : Il n’y a pas suffisamment de
preuves démontrant l’efficacité.
Patellar Tendinopathy
Individuals treated by PRT were more likely
to have better pain control at the six month
interval (25). Local infiltration of Platelet Rich
Plasma is efficient to improve symptoms of
chronic jumper’s knee in patients not
responding to classical treatments (26-28).
PRT doesn’t decrease blood loss and
hospital stay in the peri-operative period
during
total
knee
arthroplasty
(29).Therapeutic injections of PRT leads to
better midterm clinical results compared to
Extarcorporeal Shock Wave Tendinopathy
while treating jumper’s knee in athletes
(30).Ultrasound-guided PRT accelerates the
recovery from patellar tendinopathy, but the
apparent benefit of PRT dissipates over time
(31). After being treated with PRT,
treatment-naïve
(naïve
to
cortisone,
ethoxysclerol, and/or surgical treatment)
patellar tendinopathy patients showed
statistical and clinical improvement (32).
Tendinopathie rotulienne
Les patients ayant reçu du plasma riche en
plaquettes avaient plus tendance à pouvoir
mieux maîtriser leur douleur à l’intervalle
de six mois (25). L’infiltration locale de
plasma riche en plaquettes est efficace
pour améliorer les symptômes de tendinite
rotulienne chronique chez les patients qui
ne réagissent pas aux traitements
classiques (26 à 28). Le plasma riche en
plaquettes ne réduit pas la perte de sang et
le séjour à l’hôpital pendant la période
péri-opératoire lors d’une arthroplastie
totale du genou (29). Les injections
thérapeutiques de plasma riche en
plaquettes
produisent
de
meilleurs
résultats cliniques à moyen terme que la
thérapie
par
ondes
de
choc
extracorporelles pour traiter une tendinite
rotulienne chez les athlètes (30). Les
injections de plasma riche en plaquettes
guidées par échographie accélèrent le
rétablissement
de
la
tendinopathie
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rotulienne, mais les bienfaits apparents
disparaissent avec le temps (31). Après
avoir reçu du plasma riche en plaquettes,
les patients présentant une tendinopathie
rotulienne n’ayant jamais reçu de
traitement (cortisone, étholsysclérol ou
opération) ont démontré une amélioration
statistique et clinique (32).
Conclusion:
possibly
better
than
shockwave therapy but benefit dissipates
over time
Conclusion : Il est possible que le plasma
riche en plaquettes soit plus efficace que la
thérapie par ondes de choc, mais les
bienfaits disparaissent avec le temps.
Achilles Tendinopathy / Tendon Repair
Tendinopathie ou réparation du tendon
d’Achille
Aucune différence n’a été remarquée au
niveau de la fonction entre le groupe ayant
reçu du plasma riche en plaquettes et celui
ayant reçu un placebo (33 et 34). Il n’y a
aucune preuve clinique, statistique ou
ultrasonographique à un an pour indiquer
que le plasma riche en plaquettes,
conjointement
avec
un
programme
d’exercices, est plus efficace que le
placebo pour traiter la tendinopathie
chronique du tendon d’Achille (35).
No difference in function was observed
between the PRT and placebo groups (33,
34). No clinical, statistical or ultrasonographic evidence of the superiority of PRT
was observed over placebo in the treatment
of chronic Achilles tendinopathy at 1 year in
combination with an exercise program (35)
Conclusion: lack of evidence of efficacy
Conclusion : Il n’y a pas suffisamment de
preuves démontrant l’efficacité.
Recommendation
Recommandation
Étant donné :
Since:
• There is insufficient evidence to say that
PRT is effective in treating MSK
(musculoskeletal) injuries;
•
•
In some cases there is conflicting
evidence as to efficacy; and
In the absence of a meta-analysis it is
not possible to accurately assess the
efficacy of PRT in the context of
occupational medicine research.
WorkSafeNB:
• Generally does not approve Platelet
Rich Plasma treatment
•
•
•
qu’il n’y a pas suffisamment de preuves
pour indiquer que le plasma riche en
plaquettes est efficace pour traiter les
lésions musculo-squelettiques;
qu’il y a des preuves contradictoires
quant à l’efficacité;
qu’en l’absence d’une méta-analyse, il
n’est pas possible d’évaluer avec
précision l’efficacité de la thérapie par
plasma riche en plaquettes dans le
contexte de la recherche en médecine
du travail;
Travail sécuritaire NB :
• n’approuve habituellement pas la
thérapie
par
plasma
riche
en
plaquettes;
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approuvés
•
But may approve PRP treatment upon
recommendation of the Medical Advisor
Authorization of Payment
Authorization of payment is contingent upon:
•
Use of the SF-36 to measure function
prior to PRT and after treatment at 3 and
6 months
•
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mais l’approuve sur recommandation
du médecin-conseil.
Autorisation de paiement
L’autorisation
de
paiement
est
conditionnelle à :
• l’utilisation du questionnaire SF-36 pour
mesurer les fonctions avant la thérapie
par plasma riche en plaquettes et après
le traitement, et ce, à trois et à six mois.
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application of leukocyte-poor platelet-rich
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Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
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Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
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plasma treatment in chronic Achilles
tendinopathy: a double-blind randomized
placebo-controlled trial. Am J Sports Med.
2011;39(8):1623-9.
of platelet-rich plasma treatment in chronic
Achilles tendinopathy: a double-blind
randomized placebo-controlled trial ». The
American Journal of Sports Medicine, 2011;
39(8) : pages 1623 à 1629.
AUTHORITY
AUTORITÉ
Policy 25-002 Medical Aid Standards of
Care
Politique 25-002 Aide médicale – Normes
de soins
REFERENCES
RÉFÉRENCES
Policy-related Documents
Policy 25-001 Medical Aid - Principles
Policy 25-002 Medical Aid Standards of
Care
Policy 25-014 Medical Aid Decisions
Policy 25-030 Chronic Pain
Documents liés aux politiques
Politique 25-001 – Aide médicale – Principes
Politique 25-002 – Aide médicale – Normes
de soins
Politique 25-014 – Décisions relatives à
l’aide médicale
Politique 25-030 – Douleur chronique
RESCINDS
RÉVOCATION
Directive 25-002.03, release 024, approved
09/11/2015.
Directive
25-002.03,
diffusion
approuvée le 9 septembre 2015.
APPENDICES
ANNEXES
N/A
Sans objet
HISTORY
HISTORIQUE
1. This document is release 025 and
replaces release 024. Section 2.19 Medical
Marijuana has been updated.
1. Ce document est la diffusion 025 et
remplace la diffusion 024. La section 2.19,
qui porte sur la marijuana à des fins
médicales, a été mise à jour.
2. La diffusion 024, approuvée et en
vigueur le 9 septembre 2015, remplaçait la
diffusion 023. Des sections ont été mises à
jour, soit la section 2.5, qui porte sur la
massothérapie; la section 2.8, qui porte
sur la thérapie par ondes de choc; et la
section 2.19, qui porte sur la marijuana à
des fins médicales. La section 2.20 portant
sur la thérapie par plasma riche en
plaquettes a été ajoutée.
3. La diffusion 023, approuvée et en vigueur
le 11 août 2015, remplaçait la diffusion 022.
2. Release 24 approved and effective
09/11/2015 replaced release 023. Section
2.5 Massage Therapy, 2.8 Shock Wave
Therapy and 2.19 Medical Marijuana were
updated; and Section 2.20 Platelet Rich
Plasma/Therapy was added
3. Release 023 approved and effective
11/08/2015 replaced release 022. Additional
024,
DIRECTIVE
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Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
information regarding authorization - under
Section 2.4 Laser Therapy has been
updated.
4. Release 022 approved and effective
04/03/2015 replaced release 021. Section
2.19 Medical Marijuana has been updated.
5. Release 021 approved and effective
22/04/2014 replaced release 020. A
reference was added to section 2.12
Specialized Injection-based Services.
6. Release 020 approved and effective
11/03/2014 replaced release 019. A few
section references were deleted and more
recent ones added.
7. Release 019 approved and effective
22/07/2013 replaced release 018. A
reference was added to section 2.5; an Alert
was added to section 2.9; and a summary
was added to section 2.11.
8. Release 018 approved and effective
03/12/2012 replaced release 017. Section
2.12 Specialized Injection-Based Services
was updated.
9. Release 017 approved and effective
22/11/2012 replaced release 016. Section
2.7 Sclerotherapy or Prolotherapy was
updated.
10. Release 016 approved and effective
01/11/2012 replaced release 015. Section
2.4 Laser Therapy – Low Intensity was
updated.
11. Release 015 approved and effective
03/04/2012 replaced release 014. A section
on Medical Marijuana was added.
12. Release 014 approved and effective
11/01/2012 replaced release 013. A section
on
Medication-Induced
Dry
Mouth
(Xerostomia) and Dental Care was added.
13. Release 013 approved and effective
07/02/2011 replaced release 012. A section
Page 84 of / de 86
Les renseignements additionnels au sujet de
l’autorisation à la section 2.4, qui porte sur le
traitement au laser, ont été mis à jour.
4. La diffusion 022, approuvée et en vigueur
le 4 mars 2015, remplaçait la diffusion 021.
La section 2.19 portant sur la marijuana à
des fins médicales a été mise à jour.
5. La diffusion 021, approuvée et en
vigueur le 22 avril 2014, remplaçait la
diffusion 020. Une référence a été ajoutée à
la section 2.12 – Services spécialisés axés
sur des injections.
6. La diffusion 020, approuvée et en
vigueur le 11 mars 2014, remplaçait la
diffusion 019. Quelques références ont été
enlevées et de plus récentes ont été
ajoutées.
7. La diffusion 019, approuvée et en
vigueur le 22 juillet 2013, remplaçait la
diffusion 018. Une référence a été ajoutée à
la section 2.5; un avis a été ajouté à la
section 2.9; et un sommaire a été ajouté à
la section 2.11.
8. La diffusion 018, approuvée et en
vigueur le 3 décembre 2012, remplaçait la
diffusion 017. La section 2.12, intitulée
« Services spécialisés axés sur des
injections », a été mise à jour.
9. La diffusion 017, approuvée et en
vigueur le 22 novembre 2012, remplaçait la
diffusion 016. La section 2.7, intitulée
« Sclérothérapie ou prolothérapie », a été
mise à jour.
10. La diffusion 016, approuvée et en
vigueur le 1er novembre 2012, remplaçait la
diffusion 015. La section 2.4, intitulée
« Traitement au laser – Faible intensité », a
été mise à jour.
11. La diffusion 015, approuvée et en
vigueur le 3 avril 2012, remplaçait la
diffusion 014. Une section sur la marijuana
à des fins médicales a été ajoutée.
12. La diffusion 014, approuvée et en
vigueur le 11 janvier 2012, remplaçait la
diffusion 013. Une section sur la
sécheresse de la bouche (xérostomie)
induite par les médicaments et les soins
dentaires a été ajoutée.
13. La diffusion 013, approuvée et en
vigueur le 7 février 2011, remplaçait la
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
on Osteopathy was added.
14. Release 012 approved and effective
21/07/2009 replaced release 011. Section
2.5 Massage Therapy was updated to
include the NB Massotherapy Association
and the Association of NB Massage
Therapists.
15. Release 011 approved and effective
14/04/2009 replaced release 010. A section
on Methadone was added.
16. Release 010 approved and effective
27/01/2009 replaced release 009.
A
section on Spinal Traction Therapy and
Knee/Foot Orthotics in Patellofemoral Pain
Syndrome was added.
17. Release 009 approved and effective
15/05/2008 replaced release 008. A section
on Foot Orthotics and Insoles for Back Pain
was added.
18. Release 008 approved and effective
24/04/2008 replaced release 007.
The
section on Specialized Injection-based
Services was updated.
19. Release 007 approved and effective
07/04/2008 replaced release 006. Two
sections were added: Spinal Cord
Stimulators/Neurostimulator Implants, and
Specialized Injection-based Services.
20. Release 006 approved and effective
31/05/2007 replaced release 005. Section
2.10 Physical Therapy and Physical
Modalities for TMJ Disorders was added.
21. Release 005 approved and effective
07/12/2007 replaced release 004. Section
2.9
Anxiolytic,
Benzodiazepine,
and
Sedative Medications was added.
22. Release 004 approved and effective
Page 85 of / de 86
diffusion 012. Une section sur l’ostéopathie
a été ajoutée.
14. La diffusion 012, approuvée et en
vigueur le 21 juillet 2009, remplaçait la
diffusion 011. La section 2.5, intitulée
« Massothérapie » a été mise à jour pour
inclure l’Association de massothérapie du
Nouveau-Brunswick
et
l’Association
néo-brunswickoise de massothérapeutes.
15. La diffusion 011, approuvée et en
vigueur le 14 avril 2009, remplaçait la
diffusion 010. Une section sur la
méthadone a été ajoutée.
16. La diffusion 010, approuvée et en
vigueur le 27 janvier 2009, remplaçait la
diffusion 009. Des sections sur la thérapie
par traction vertébrale et les orthèses de
genou / plantaires pour traiter le syndrome
fémoro-rotulien
douloureux
ont
été
ajoutées.
17. La diffusion 009, approuvée et en
vigueur le 15 mai 2008, remplaçait la
diffusion 008. Une section sur les orthèses
plantaires et les semelles pour traiter la
douleur lombaire a été ajoutée.
18. La diffusion 008, approuvée et en
vigueur le 24 avril 2008, remplaçait la
diffusion 007. On a mis à jour la section
portant sur les services spécialisés axés
sur les injections.
19. La diffusion 007, approuvée et en
vigueur le 7 avril 2008, remplaçait la
diffusion 006. Deux sections ont été
ajoutées, soit « Stimulateurs de la moelle
épinière / Implants de neurostimulateurs »
et « Services spécialisés axés sur des
injections ».
20. La diffusion 006, approuvée et en
vigueur le 31 mai 2007, remplaçait la
diffusion 005. On a ajouté la section 2.10
portant sur la physiothérapie et les
modalités physiques pour traiter les
troubles
de
l’articulation
temporo-mandibulaire.
21. La diffusion 005, approuvée et en
vigueur le 7 décembre 2007, remplaçait la
diffusion 004. On a ajouté la section 2.9
portant sur les anxiolytiques, les
benzodiazépines et les sédatifs.
22. La diffusion 004, approuvée et en
DIRECTIVE
25-002.03
Title: Schedule of Care - Generally Not Approved Care, Treatment and Tests
Titre : Barème des soins – Soins, traitements et examens généralement non
approuvés
23/08/2006 replaced release 003. Section
2.8 Shock Wave Therapy (Calcific Shoulder
Tendonitis) was added.
23. Release 003 approved and effective
03/01/2006 replaced release 002. A section
on Laser Therapy – Low Intensity was
added and the section on Massage Therapy
was updated.
24. Release 002 approved and effective
03/08/2004 replaced release 001. The
section on Massage Therapy was updated.
25. Release 001, approved and effective
07/07/2003 was the original issue.
Page 86 of / de 86
vigueur le 23 août 2006, remplaçait la
diffusion 003. On a ajouté la section 2.8
portant sur la thérapie par ondes de choc
(pour traiter la tendinite calcifiée de
l’épaule).
23. La diffusion 003, approuvée et en
vigueur le 3 janvier 2006, remplaçait la
diffusion 002. On a ajouté une section sur
le traitement au laser à faible intensité et
on a mis à jour la section qui porte sur la
massothérapie.
24. La diffusion 002, approuvée et en
vigueur le 3 août 2004, remplaçait la
diffusion 001. On a mis à jour la section
qui porte sur la massothérapie.
25. La diffusion 001, approuvée et en
vigueur le 7 juillet 2003, était la diffusion
initiale.
RELEASE CRITERIA
CRITÈRES DE DIFFUSION
Available for public release
Il s’agit d’un document public.
REVISION
RÉVISION
12 Months
12 mois
APPROVAL DATE
DATE D’APPROBATION
08/07/2016
Le 8 juillet 2016
Submitted by / Présentée par :
Approved by / Approuvée par :
D. Margison
Chief Medical Officer / Médecin-chef
S. Dauphinee
Vice-President, WorkSafe Services / Viceprésidente aux Services de travail sécuritaire
Signature Date / Date de la signature
September 14, 2016
Signature Date / Date de la signature :
September 21, 2016