Maman … je t`aime

Transcription

Maman … je t`aime
Maman … je t’aime
Elle est celle qui a peur pour nous comme la colombe
Quitte son nid et aussitôt revient, de peur que ses petits tombent.
Tu nous aimes toujours autant alors que nous sommes adultes ou âgés.
Et sans ton amour, nous sommes damnés et naufragés.
Mais ton amour est sincère, infini et précieux
Et j’aime le recevoir telle une lumière traversant les cieux.
Ô Maman, je t’aime plus que mes amis, plus que moi-même et ma richesse.
Tu es plus qu’une reine, à mes yeux, une duchesse ou une princesse.
As-tu vu ceux et celles qui maltraitent leurs mères
Aimeraient les voir mourir en pensant d’elles des choses amères?
Ont-ils oublié qu’elles ont tant souffert des mois durant:
Neuf mois, puis d’autres à allaiter, à soigner… en endurant?
Ont-ils renié la souffrance du jour où ils furent mis au monde?
Quelle ingratitude, répugnance et quel acte immonde!
Il en est qui insultent, soupirent ou frappent, voire : tuent
Leurs mères. Simplement car ils préfèrent leurs amis : vois-tu?
Quel ciel, quelle terre peut les protéger de la malédiction?
Car toute injustice, mal contre un parent est une mauvaise action.
Quant à toi maman, je cherche à tout moment ton agrément,
Et si je ne l’obtiens pas, je suis seul et perdant: vraiment.
Combien d’êtres sont actuellement chez eux : seuls ou orphelins?
Mais tu es à mes côtés et je me prive de tes calins!
Les calins de mon enfance quand tu me portais après mon réveil.
***
Ainsi, je prie Dieu de t’accorder le Paradis: Monde de Merveilles.
Nûrdîn Hamza