Création du 1e Pavillon français China International BOAT SHOW

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Création du 1e Pavillon français China International BOAT SHOW
Création du 1e Pavillon français
China International BOAT SHOW
Shanghai, 8 - 11 avril 2005
Acteur incontournable de l’industrie nautique mondiale, la France est le 1e pays exportateur de
bateaux à voile et de bateaux pneumatiques, le 6e producteur mondial de bateaux à
moteur. La filière nautique française réunit 3.000 entreprises qui emploient 46.000 personnes
pour un chiffre d’affaires de 2,8 milliards d’euros.
Dans le cadre du second volet des Années Croisées France - Chine, la Fédération des industries
nautiques a souhaité être partie prenante de cette dynamique d’échanges en offrant à ses
adhérents la possibilité d’aller à la rencontre du pays, de communiquer sur leur savoir faire, afin
d’amorcer un courant d’affaires entre les deux pays.
Forte de ses quelques 10% de croissance par an et d’un revenu moyen dans la fourchette haute
des revenus européens, la Chine dispose d’un potentiel de développement considérable qui en
fait un véritable marché d’avenir. En effet, si la demande en matière de nautisme est encore
balbutiante dans le pays, de nombreux projets de construction de marinas, annonciateurs
d’un proche décollage, voient actuellement le jour. Plusieurs grands noms du nautisme
international ont d’ailleurs commencé à prendre position depuis quelques années en
Chine, face à des constructeurs locaux de stature modeste.
Autant de points tentant à démontrer s’il en était besoin, la nécessité pour les entreprises
françaises, de se positionner dans le pays. A cet effet, la Fédération des industries nautiques
va créer le 1e pavillon français du China International Boat Show (CIBS) dont la 10e
édition se tiendra à Shanghai du 8 au 11 avril 2005. Salon résolument haut de gamme, le
CIBS est le rendez-vous de référence de la région Asie Pacifique pour tous les acteurs
internationaux du secteur nautique (constructeurs, équipementiers, prestataires de services…).
Patronnée par le Secrétariat d’Etat au Transport et à la Mer, cette opération est également
soutenue par UBIFrance et par la Mission Economique de Shanghai. Une trentaine
d’acteurs majeurs de l’industrie nautique française ont d’ores et déjà confirmé leur présence.
Création du 1e Pavillon français
China International BOAT SHOW (8 - 11 avril 2005)
Shanghai Exhibition Center
Depuis l’ouverture de ses frontières aux investisseurs étrangers il y a 25 ans, la Chine se développe de
manière extrêmement soutenue. Au rythme de sa croissance (9.7% au 1e trimestre 2004), la Chine
rattrapera l’Allemagne dès 2010. A plus longue échéance, le Japon (en 2020) et les Etats-Unis (en 2050)
pourraient également se voir distancer par le pays qui se hisserait ainsi à la place de première puissance
économique mondiale.
La Chine : un marché en plein essor
Un pays tout en superlatifs
La Chine compte 20 villes de plus de 5 millions d’habitants,
100 de plus de 1 million. Avec ses 20 millions d’habitants,
Shanghai est la ville la plus importante du pays.
La dynamique de croissance du pays (près de 10% par an)
lui confère un potentiel de développement considérable :
le revenu moyen chinois se situe dans la fourchette haute des
revenus
européens
et
progresse
extrêmement
rapidement.
La Chine se classe au premier rang mondial pour le nombre de
téléphones portables - 221 millions - et au second rang pour le
nombre d’accès Internet - 100 millions : le nombre d’abonnés au
haut débit a doublé en un an pour atteindre 13 millions
(« seulement » 78 millions au total dans le monde). Chaque
année, 5 millions de véhicules sont vendus dans le pays.
Le volume des importations chinoises croit à un rythme
très soutenu : d’un montant de 500 milliards de dollars cette
année, elles pourraient doubler à l’horizon 2010.
Shanghai :
un acteur incontournable de la
mondialisation
Grâce à un dynamisme exceptionnel et à
la
concentration
de
nombreuses
entreprises internationales, Shanghai se
positionne aujourd’hui comme le cœur
économique du pays. D’une valeur de
5000 $, le PIB par habitant y est l’un
des plus élevés de Chine.
Non content de sa 3e place parmi les
ports mondiaux et d’un trafic en
progression de 20 à 30% par an,
Shanghai ambitionne de devenir le
numéro un d’ici 2020.
Pour ce faire, un nouveau port en eaux
profondes va être créé de toutes pièces
pour un montant de l’ordre de
17 milliards de dollars. Dès 2006,
il permettra à Shanghai de traiter
5,5
millions
de
conteneurs
supplémentaires.
Parallèlement
au
port,
une ville
nouvelle
pouvant
accueillir
un
million de résidents est également en
train de voir le jour.
Un milliard de dollars de capitaux étrangers sont investis, chaque semaine en Chine : pour les dix
premiers mois de 2004, ces investissements ont atteint un montant de 53,8 milliards de dollars.
La Chine occupe désormais le premier plan de l’économie mondiale : Pékin organisera les Jeux
Olympiques de 2008 et Shanghai accueille depuis cette année une épreuve de la saison régulière
de Formule 1, en attendant L’Exposition Universelle en 2010.
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Un pays qui s’ouvre au nautisme
Peu développée en Chine, l’industrie de la plaisance possède un potentiel de développement
important dans le pays. Parfaites illustrations de cette tendance, de nombreux projets de
développement se multiplient : une dizaine de marinas devrait être construite au cours des
prochaines années à Shanghai, tandis que le gouvernement de la province de Xiamen projetterait
de consacrer quelques 100 millions de dollars à la création de la plus grande marina de Chine et
que Qingdao devrait accueillir une station balnéaire avant 2008.
260 constructeurs chinois se partagent aujourd’hui un marché encore balbutiant. Situés en
bordures de rivières, seuls quelques uns d’entre eux disposent d’une stature internationale, tels
Shanghai Hongshuangxi, Shanghai Baodao et Hangzhou Xindongfeng. Ceux-ci ne parviennent
toutefois pas à répondre à la demande croissante, contraignant le pays à avoir recours à de
nombreuses importations.
Forts de ces constats, les grands noms du nautisme international prennent position
depuis quelques années dans le pays, à l’instar de Sunseeker, Ferretti, Regal ou
Brahrfuss Yachting. Leur activité dans le pays est d’ores et déjà très soutenue et constitue, le
plus souvent, l’un des axes majeurs de leur stratégie de développement international.
L’industrie nautique française dans le monde
Un acteur incontournable de la scène internationale
Filière dynamique, compétitive et innovante, l’industrie nautique française se caractérise par
sa bonne santé et son excellent positionnement international. Forte d’une croissance de
l’ordre de 5%, la production française de bateaux de plaisance devrait dépasser le milliard d’euros
en 2004.
Un dynamisme qui a contribué à renforcer la position incontournable de la France au cœur des
industries nautiques mondiales (environ 10% de l’industrie mondiale de la plaisance, contre 3,7%
en 1997). La France détient, de loin, la place de 1e pays exportateur de bateaux à voile et de
bateaux pneumatiques (près des deux tiers de la production sont exportés). Leader européen
dans le secteur de la location maritime et fluviale, la France est également le 6e producteur
mondial de bateaux à moteur.
La filière nautique française réunit 3000 entreprises qui emploient 46000 personnes pour
un chiffre d’affaires de 2,8 milliards d’euros.
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Le rôle de la Fédération des industries nautiques
Créée en 1964, la Fédération des industries nautiques rassemble les professionnels du nautisme.
Elle regroupe les représentants de tous les secteurs d’activité de la navigation de plaisance, des
sports de glisse et de la grande plaisance : constructeurs, distributeurs, équipementiers,
motoristes, importateurs, et métiers de services (architectes, experts, assureurs, courtiers,
convoyeurs, loueurs, réparateurs, éditeurs…).
Etabli en association, ce regroupement est au service des professionnels du nautisme français : il a
pour missions principales de défendre, représenter et promouvoir les métiers de la plaisance, en
France et à l’étranger. La Fédération des industries nautiques est en relation permanente avec les
institutions ; les élus du littoral, les partenaires et groupements associés, les collectivités
territoriales, les instances européennes et les fédérations étrangères. Elle joue un rôle de
négociateur et de modérateur dans les projets nationaux et régionaux où le secteur nautique est
associé ou sollicité. Interlocuteur privilégié des pouvoirs publics au plan national, régional et
européen, la Fédération des industries nautiques assiste et conseille les entreprises dans de
nombreux domaines : technique, juridique, social, fiscal, assurance et formation.
La fédération des industries nautiques possède également un rôle d’information auprès du grand
public en renseignant notamment les médias sur les tendances du marché. Elle est mandatée par le
Ministère de l’Industrie pour réaliser des tableaux de bord sur l’évolution de la filière et mène des
études statistiques et des enquêtes afin de cerner, au plus près, les fondamentaux de l’activité de
la filière nautique française.
Elle organise aussi de nombreux événements nationaux et internationaux qui contribuent au
développement et à l’essor des activités nautiques :
•
Le Salon nautique international de Paris : 300 000 visiteurs dont 20% d’étrangers, 1400
exposants, issus de 25 nations ; Un Salon incontournable, qui regroupe l’ensemble de l’industrie
et des activités de loisirs.
•
Le prestigieux Festival de la Plaisance de Cannes, le salon de référence pour la grande
plaisance et les bateaux à moteur, où sont présentés des produits de luxe et d’excellence.
•
Maritima, le premier Salon français des professionnels de la mer, du fluvial et du portuaire.
Parrainant par ailleurs plusieurs manifestations, la Fédération des industries nautiques développe
également des pavillons France dans divers salons internationaux.
Membre fondateur de l’ICOMIA, qui regroupe l’ensemble des fédérations nationales des industries
nautiques ainsi que d’autres intervenants du monde du nautisme liés aux loisirs, la Fédération des
industries nautiques contribue significativement, au niveau européen et mondial, à l’évolution de
la filière nautique. La FIN est, avec Nautibel, la Fédération des industries nautiques belge, à
l’origine de la création de la Confédération européenne des industries nautiques (ECNI).
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La France au China International Boat Show de Shanghai (CIBS)
2004-2005 : Année de la France en Chine
Second volet des années croisées France - Chine,
l’Année de la France en Chine a été officiellement
inaugurée par le Président Chirac le 10 octobre
dernier. La Fédération des industries nautiques a
décidé d’être partie prenante de cette dynamique
en créant le premier pavillon français du 10e China
International Boat Show de Shanghai qui se
tiendra du 8 au 11 avril 2005, afin de promouvoir
le savoir-faire des entreprises hexagonales.
Fleuve du Huang Pu
Un volontarisme qui entre en droite ligne avec la volonté affichée par les pouvoirs publics français
de voir un plus grand nombre de PME de moins de 500 salariés se montrer plus actives en Chine.
En effet, même si le nombre des investissements français dans le pays a été multiplié par quatre en
dix ans, seules 250 PME (effectifs jusqu’à 1500 personnes) s’y sont pour le moment implantées.
Une opportunité de prise de contact exceptionnelle pour la filière nautique française
Avec ses 14.500 kilomètres de côtes et ses 122.000 kilomètres de fleuves et voies navigables, la
Chine dispose d’un espace fluvial et maritime propice au nautisme, aujourd’hui encore peu
développé, même si un « boom » est attendu au cours des prochaines années. Certains de nos
concurrents (italiens, hollandais, néo-zélandais, australiens, américains…) sont déjà implantés dans
le pays et participent depuis plusieurs années au China International Boat Show. Pénétrer un
marché aussi spécifique nécessite, en amont, un travail intense de prise de contact. Tel est
l’objectif de notre démarche : aller à la rencontre de la Chine, communiquer sur notre
savoir-faire, afin d’amorcer les relations entre nos deux pays en créant un courant
d’affaires.
L’accès à ce formidable marché constitue une priorité pour la Fédération des industries nautiques
qui s’est donné les moyens de rendre cette opération plus accessible. Afin d’apporter le meilleur
soutien à ses adhérents, la FIN s’est entourée de partenaires tels que UBIFrance - Agence française
pour le développement international des entreprises - (labellisation du pavillon français) et la
Mission Economique de Shanghai. Il est important de souligner que la Fédération des industries
nautiques a obtenu le patronage de son Ministère de tutelle.
Par sa présence au China Boat Show, la Fédération souhaite nouer des relations chaleureuses avec
ses homologues chinois, basées sur la volonté de développer des liens forts dans le respect et la
considération des deux nations.
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Le salon de référence de la région Asie Pacifique en chiffres
Créé en 1995, le CIBS (China International Boat Show) répond
à l’intérêt croissant suscité par la plaisance auprès de la classe
moyenne/supérieure chinoise. Il réunit tous les acteurs du secteur
nautique
(fabricants
de
voiliers,
de
bateaux
à
moteur,
de pneumatiques jusqu’à l’accastillage, les équipements, les sports
nautiques, les services -assurance, crédits, presse-, ainsi que
l’aménagement de marinas...).
Pour sa 10e édition, le China International Boat Show franchit
un cap significatif et s’enrichit d’un hall supplémentaire, afin de
répondre à l’afflux des demandes, particulièrement en provenance
de l’étranger. Fort de plus de 10.000 m² d’exposition, il réunit
pendant 4 jours 120 exposants issus de 11 pays et 12.000
Shanghai Exhibition Center
visiteurs, dont 4.000 professionnels∗.
Résolument haut de gamme, le CIBS compte de nombreux partenaires de prestige (voitures,
montres, champagne…) et bénéficie d’une importante couverture média (partenariats exclusifs
avec Boating, Yacht, Pinnacle, Shanghai Tatler…).
Le Pavillon français
Situé dans le hall principal du Shanghai
Exhibition
Center,
le
pavillon
français, développé sur une surface de
près
de
1000
m²,
accueillera
une
trentaine d’entreprises françaises
sur
environ 400 m2.
.
∗
Pour mémoire, le 1er Salon nautique de Paris était de dimension identique. Le dynamisme actuel de l’économie chinoise laisse
à penser qu’à court terme, ce salon atteindra la surface actuelle du Salon nautique de Paris.
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