rallye oilibya du maroc stephane clair

03/10/2015
RALLYE OILIBYA DU MAROC
STEPHANE CLAIR
Action ! Le Rallye OiLibya du Maroc by NPO Events est en effervescence ! Les vérifications
administratives et techniques donnent le coup d’envoi des manches mondiales FIM et FIA. Le
fièvre monte au fil des heures à l’Hôtel Reda, cœur du rallye. Tout sourire, Stéphane Clair,
Président NPO Events et Directeur Général de l’épreuve, accueille ses hôtes avec une fierté non
dissimulée. La nature des plateaux motos et autos en sont la cause, ils sont le reflet d’une
reconnaissance du professionnalisme de l’équipe NPO Events.
- Des plateaux exceptionnels, un grand Oilibya du Maroc se profile ?
Stéphane Clair : « Ca fait plaisir après tant d’années compliquées d’avoir remonté un rallye
à ce niveau. Aujourd’hui, nous organisons le deuxième plus beau rallye-raid dans le
monde. C’est une fierté pour toute l’équipe NPO Events. La discipline se rajeunit, s’ouvre à
des pilotes que nous ne connaissions pas ou peu et cela donne un grand bol d’air à ce
sport. Le public va aussi apprécier. Friands de belles images, ils vont pouvoir assister aux
débuts des nouveaux pilotes motos et autos et juger de la façon dont ils vont se
débrouiller face aux cadors de la discipline qui vont vouloir tenir leur rang et jouer de
leur expérience… »
- Le côté quantitatif représente-t’il à vos yeux, une reconnaissance envers l’organisation ?
Stéphane Clair : « Nous avons travaillé intensément depuis des années et aujourd’hui, nous
sommes devenus un évènement de référence grâce à ce pays d’accueil qui est le Maroc.
C’est aussi un condensé de tout ce qui se fait ailleurs sur le plan terrain. Ce qui donne une
base formidable de tests pour y tenir une course en fin de saison. Des finales importantes
se profilent pour l’ensemble des équipes professionnelles mais aussi pour les nombreux
amateurs, ossature du rallye. »
- Un rallye court sur 5 étapes, est-ce une de vos volontés ?
Stéphane Clair : « C’est une volonté des autorités sportives d'agencer des rallyes courts
pour des raisons de fond : les coûts d’une part et pour donner de l’intensité à l’épreuve
d’autre part, à contrario de certaines épreuves. D’où la ‘maximum attaque’ dès les
premiers mètres. Pas de temps pour les calculs, la bagarre s’installe dès l’étape 1. »
- Stéphane Clair aurait-il ses favoris pour cette édition ?
Stéphane Clair : « Pas de favori. Que des champions ! Je suis tellement heureux d’accueillir
autant de pilotes venus de tous horizons. De l’hélico certes, je serais un témoin privilégié
mais je ne cache pas que ma préférence serait d’être avec eux sur la piste ! »