quand songent les nuits de pierre
Transcription
quand songent les nuits de pierre
Dossier de presse Quand songent les nuits de pierre (en croisade intérieure) Conte musical évoquant le Moyen Age, écrit et interprété par Pierre Desnoyers 2 Quand songent les nuits de pierre Pierre Desnoyers Biographie page 3 L’œuvre antérieure et la presse pages 3 et 4 Le conte et le spectacle pages 5 et 6 Contacts page 6 2 3 Quand songent les nuits de pierre Pierre Desnoyers Biographie Naissance fin 1948 milieu assez modeste mais aussi assez cultivé et très croyant. Je me souviens avoir suivi quelques cours de piano pendant des vacances à la campagne. Mais à la rentrée fini le piano : pas d’argent pour le piano et les cours. A la paroisse je chante parmi les alti dans une annexe des Petits Chanteurs à la Croix de bois. Première guitare à Noël juste avant la mort de mon père, en janvier 1962, mais pas de cours de musique en dehors de ceux dispensés à l’école ou au collège. Etudes de lettres classiques, allemand, latin, grec. Internat au petit séminaire, offices chantés en grégorien. Années 66, 67 premiers poèmes et premières chansons enregistrées en multiplay avec un Revox A 77, dont certaines sont reprises dans le conte Quand songent les nuits de pierre. 1967 bac philo, ensuite études de philosophie à Censier Daubenton puis à la Sorbonne jusqu’à la maîtrise en 1971. Mariage en 1975 et deux enfants un garçon en 1979 et une fille en 1983. A partir de 1971, je tente vainement de vivre de mes chansons et finit par trouver un poste d’enseignant à Dreux en 1978. J’acquiers le grade de certifié et reste enseignant à Dreux jusqu’à notre installation début 2004, à Sauxillanges en Auvergne. Entre temps en 1983 je suis quelques cours particuliers d’harmonie et de composition avec Narcisso Bonet alors directeur adjoint de l’Ecole Normale de Musique de Paris, que dirigeait Pierre Petit. Je retrouve à la rentrée 2004 un poste à Courpière puis à Clermont-Ferrand et prends ma retraite fin 2008. L’œuvre antérieure et la presse Je crois que la première fois que j’ai chanté mes chansons en public, ce fût à Abbeville le 4 juin 1971 en première partie de Tino Rossi, tout à fait par hasard. Etant venu de Paris avec des amies j’ai dû repartir à l’entracte ; mais un petit monsieur sur le trottoir, au moment de partir, m’a posé quelques questions et j’ai pu lire son article dans le journal local Abbeville Libre la semaine suivante : « Puis ce fût le tour de Pierre Desnoyers […] Il chanta trois chansons dignes de figurer au palmarès de la « Fine Fleur » de Luc Bérimont. » Il termine le paragraphe portant sur ma prestation par : « Et quelle fugitive modulation sur « j’y » en fin de chaque couplet [il s’agit en fait de la fin du refrain de la chanson intitulée La Samaritaine]. C’est là une trouvaille qui dénote un véritable artiste à qui je souhaite de devenir une vedette de « la vraie » chanson française. » . . . Vers 1980, là encore, en raison de relations établies un peu par hasard, je suis allé chanter mes chansons en Allemagne devant des étudiants de l’université de Cologne. Un ami étudiant allemand présentait les chansons et traduisait certains passages. Je retournerai chanter en Allemagne plusieurs fois à Cologne, à l’université de Bonn, à Francfort mais aussi dans le centre près de Cassel à Melsungen et à Spangenberg. La dernière fois, à Bad Soden Salmünster. En 1999 un premier CD de six titres, intitulé Chansons de pierre. 690 exemplaires vendus à ce jour. Les quelques dizaines de chansons déjà écrites ont été réparties ensuite en quatre thèmes : Chansons de pierre, Chansons d’eau, Chansons de dames et Chansons du ciel. 3 4 Quand songent les nuits de pierre Pierre Desnoyers Pour vendre ce CD, j’ai donné quelques concerts, en particulier à l’occasion de fêtes médiévales du côté de Dreux, Chartres mais aussi en Allemagne . . . suis passé quelquefois sur des radios locales drouaises et une fois sur une radio parisienne. En Auvergne, j’ai donné un premier concert dans l’église d’Usson le 12 Août 2005. Quelques extraits des articles de presse parus lors de mes rares passages : Suite à mon passage au Grand Café de Dreux en décembre 1999, La République du Centre : « L’auteur-compositeur et interprète vient de réaliser un nouveau disque. Il contient les textes très poétiques d’un artiste qui ne se contente pas de suivre la mode. [. . .] C’est en tout cas grâce à une volonté hors du commun et une ambition impressionnante qu’il a pu produire ce CD. [. . .] Cet homme qui ne s’appuie sur aucun courant musical et dont la passion pour la musique semble infinie, est un artiste novateur. Quoi qu’il en soit on peut dire que sa musique, douce et émouvante, gagne à être connue et qu’elle le sera sans doute un jour. » Suite à mon passage à Chartres en mars 2000 : L’écho Républicain : Avec pierre Desnoyers nous entrions dans un autre domaine où le texte prenait une importance primordiale. Ses « Chansons de pierre » disaient autant qu’elles chantaient la mémoire des monuments [. . .] qui depuis des siècles, voient passer nos bonheurs et nos malheurs. Des pierres façonnées par l’homme et qui savent raconter notre histoire bien mieux que nous le ferions nous-mêmes. Dans les alcôves du destin, les vitraux des cathédrales. Quand le ciel rêve de lumière et que le temps fait le mort. Les textes étaient beaux – un peu dans la lignée de Francis Jammes. Les airs rappelaient par moment aussi bien Léo Ferré (à ses débuts) que Georges Brassens. La voix, chaude et virile, captait l’intérêt et l’attention. [. . .] » Suite à mon passage à Usson le 12 Août 2005 cet article dans La Montagne : [. . .] Pierre Desnoyers, auteur-compositeur-interprète, est un artiste novateur tout à fait hors des courants habituels mais dont la musique et les paroles font oublier par leur douceur, le bruit, la fureur et l’agitation du temps. » 4 5 Quand songent les nuits de pierre Pierre Desnoyers Le conte et le spectacle Le conte Quand songent les nuits de pierre reprend d’anciennes chansons poussées un peu comme des fleurs sauvages sans semence intentionnelle ni jardinier, et s’efforce d’en faire un bouquet en les liant par une certaine cohérence. Sa lecture prend environ trente minutes entrecoupées de seize chansons qui totalisent un peu moins d’une heure. L’ensemble dure donc à peu près une heure et demie. Je lis le conte et chante les chansons en direct, mais sur un fond sonore que j’ai enregistré seul. Chaque chanson est animée d’un montage visuel que j’ai construit seul également tandis que je chante dans l’ombre, en une sorte de présence. J’ai produit un CD regroupant les seize chansons du conte, avec un livret contenant le texte du conte lui-même et celui des paroles des chansons. Comme pour le premier CD j’ai réalisé seul toute la partie sonore (à l’exception du mastering que je dois à Jean Pierre Bouquet). Quant aux images de la jaquette elles sont l’œuvre de Gilles Bonotaux. Ce spectacle prend son éclat naturel à l’intérieur de châteaux du Moyen Age ou de la Renaissance, d’églises et de chapelles romanes ou gothiques. Supposons que les pierres profitent de notre sommeil, d’une certaine vacance de notre conscience pour donner, le temps d’un songe, réalité à leur mémoire. Les chansons dans le spectacle prennent, trois dimensions : o Musicale : elles sonnent parfois un peu « modal » mais n’ont pas de prétention harmonique particulière. Leur particularité vient principalement des mélodies simples des divers instruments, qui s’enchevêtrent avec celle de la voix principale. Ce qui ne se fait plus guère. o Littéraire : il s’agit de poésie, pas de peinture de mœurs ; bien que je commence toujours par les mélodies, celles-ci conviennent souvent assez bien au rythme de la versification. o Visuelle : c’est la dernière dimension réalisée. Bien que présente dans mon esprit, dès le début des premières chansons, je n’ai pu la mettre à jour que très tardivement. Les images ne sont pas celles qui me viennent spontanément à l’esprit avec le texte car je ne dispose pas des moyens nécessaires à leur concrétisation. Ces images sont nées de rencontres avec celles d’une réalité culturelle passée qui m’a inspiré. En Août 2010 j’ai présenté le conte dans la chapelle clunisienne de Colamine sous Vodable puis en octobre 2011 au Cercle Laïque de Dreux. A l’époque je n’avais pas encore terminé la partie visuelle. Sur ces deux spectacles il reste trois articles : Un dans La Montagne du 10 Août 2010, suite à mon passage à Colamine sous Vodable : « [. . . ] dimanche une prestation inédite et originale avec le conte musical « Quand songent les nuits de pierre » de Pierre Desnoyers. Inscrite par l’auteur dans un Moyen-âge de lenteurs, de chevaliers en armures, de châteaux immobiles, de mendiants, de chrétienté mobilisée, de communications improbables, l’histoire surgit des siècles anciens en contraire de l’actuelle immédiateté agitée. Quittant les douves et forteresses au galop des chevaux, le public était en partance pour la défense des 5 6 Quand songent les nuits de pierre Pierre Desnoyers lieux saints, devenus croisés en chemin vers l’Orient des infidèles, des mystères, du soleil brûlant et de la cité évanouie dans le désert . . . Guidé souvent par les pierres muettes des siècles, le parcours du rêveur s’achevait en lui-même, au bord de la fontaine où boire l’eau mystérieuse apaisait la soif de l’âme. [. . . ] L’écran de pierre de Colamine conservera peut-être en silence et à l’infini les secrets de cette croisade. » Deux autres, suite à mon passage au Cercle Laïque de Dreux : L’Echo Républicain du 26 octobre 2011 : « Quand songent les nuits de pierre raconte l’histoire d’un homme de notre époque, qui chaque nuit a rendez-vous avec un songe qui se déroule au fil du temps. Une fois plongé dans le sommeil, il se retrouve au Moyen-âge, chevalier s’apprêtant à prendre la mer pour une croisade en Orient. Au travers des textes très bien écrits, Pierre Desnoyers conduit le public à l’accompagner dans sa double vie diurne et nocturne. Le jour sa vie s’écoule normale tandis que la nuit, il vit sous une armure de fer et mène une guerre dure en Terre Sainte. Les croisades s’achèveront avec la découverte de la sérénité [. . .] » Sur le site du Cercle Laïque de Dreux : « Nous avons passé une excellente et fort intéressante soirée en compagnie de Pierre Desnoyers et de ses « nuits de pierre », un conte musical baigné d’une atmosphère comme les aiment les amoureux des ruines, des pans de murs oubliés au creux des forêts, des donjons démantelés [. . .] On n’échappe pas à la magie de ces vestiges solitaires, à leur silence bavard. [. . .] Seize chansons qui partent en hennissant pour la croisade, qui vont chevaucher, guerroyer, découvrir les routes de l’Orient avant de regagner la Fontaine et le cocon seigneurial et goûter les joies du bonheur familial ; seize poèmes [. . .] dont les mélodies savent se faire séduisantes, insistantes, soulignées de saveurs médiévales pour ne pas trahir leur temps. Tout cela se laisse écouter voire fredonner. [. . .] » Pour me contacter : Pierre Desnoyers 1 rue Notre Dame du Bon Secours ; Sauxillanges (63490) Tél. : 04 73 96 85 33 E Mail : [email protected] 6