VICTOR C. ARIOLE Department of Bur··oean Languages University

Transcription

VICTOR C. ARIOLE Department of Bur··oean Languages University
VICTOR C. ARIOLE
Department of Bur··oean Languages
University·\of Lagos
Akoka, Nigeria
ilL'Approche Fonctionnelle et Le Pranca i s au rHgeria"
Paper presented at the Maiden Conference and the AGM of
Nigerian Universities French Teachers Association (NUFTA)
held at the' University of Jos Plateau State
4th - 7th November 1998
·
.
2
r,1 ppro~he Fonctionnel1e et Ie Francais au Nigeria
Le
t ranca i s
est une langue internationale
et, en tant que
....
el'8, ~:-Jmmunicationen franyais exige Ie respect des normes pour
qu 'e 11 e so i t
i n t e lligible.
Comrre exp Iique Helgorsky
la
(1982),
notion de norne en t ranca i s souligne "qu 'elle est un des termes les
plus ambig0s et les plus polys~miques des sciences du langage. Elle
distingue trois realites derriere Ie terme general de "norme"; une
norme dite "objective", une norme prescriptive et une norme e t a.ron .
Ce qui est normal d'apres lui, c'est la norme obje-tivej car, elle
fait
objet
des
usages
observes
parmi
la majorite.
Avant
Ie
franyais, au Nigeria, 1 langlais et sa norme objective avait aussi
preoccupe
es specialistes nig~rians. Banjo
(1971)
s'etait inquiete
du prob 1 erneet i I fit savoir a ses paires qu' iI e t a i t nece ssa i re de
definir une norme objective de l'anglais au Nigeria. D'apres lui,
i1
Sf rlgi
r a i+
d ' I1n
ar-c l a i s
acceptable
au
sein
de
la
societe
nigeriane At aussi intelligible aux autres communautes anglais du
monde entiel. T1 3vait note aussi que 1 'eMergence de tel anglais ne
dependrait pas d'une
inguistique de lasser-faire,
plan t i ncu i stiqie . ~ous (les chercheurs en
r ace au nerne prob leme a I'egard du
mais d'un bon
f ranca i s )
t ranca i s
vo i c i aussi
au Nigeria.
I
II nous
fallt donc decrire Ie fi:"anyaisd'une maniei:"edetail lee compte tenu
des
C
.ievauchement
presen~er
franyais
il'i
et,
s des langues au Niger ia. Ainsi
I
nous voulons
quelques aspects de l'approche fonctionnelle
ensuite,
voir
dans
quelle
mesure
cette
et Ie
approche
3
pourrait ai er
au ~hgeria.
a
l'et.ab issement d'une norme objective du fran;ais
1 est neces sa i re de prec i ser que nous avons eu
etudier des oeuvres qui rapprochent
africains
a partir
desquelles
Ls
nous
f ranca i s
avons
a
aux paradigmes
fait
intervenir
Ie
+ran9ais au Nigeria. Denis Creissels, Ahmadou Kourouma nous ont
servis d'inspiration.
Creissels
fran9ai~
(1995:55) propose
apres
une
longue
une
revision
recherche
menee
de
sur
syntaxe
des
en
langues
africaines. II defend une these qui cherche a rompre d'une maniere
rac~~ale avec Ja theorie traditio~nelle des parties du discours. II
avance que:
"::,'idee selon
laque Ie
toutes
les
notions
syntaxiques
f6~ol11ent de celIe de constituant nominal et unite phrastique
i~plique une critique particulierement radicale de la theorie
c'ass i que des "part ies du discours".
I donne un exemple a partir de la langue bambara pour illustrer la
po ss i hi 1 i t e d' i den t i f ier des fragments d'enonces comme consti tuants
nominaux
en
1
'absence
de
toute
information
structure grammatica e d'une langue.
(a )
/riz/beaucoup/ manger-acc.pos/
"beaucoup de riz a ete mange"
prealable
sur
la
4
(b)
/Adama/ frapper-acc.pos/
"Adama a ete frappe"
( c)
,., .", mUJ du" ?
Se1{u ]e
/Sekou/acc.pos./quoi?/manger/
"qu'est-ce que Sekou a mange?"
(d )
Sekou
.'
]a
"
gOSl
/Sekou/acc.pos./lui/frapper/
"Sekou l'a frappe - Adama."
Au niveau de la notion verbale, Creissels procede par comparer
le8 expressions predicatives de fa~on
a
etablir qu'il
y
a lieu ou
non de considerer qu'elles relevent d'une meme structure. Toujours,
i
pr~sente un exe~ple en bamba~a.
(e )
....~k
;-.e
b~
"", i
~ war
J" " r i,
/Sekou/innac./argent/chercher/
"Sekou cherche de l'argent"
(f)
,'"
" ",
Seku b6 warl
...
f£
/Sekou/etre/argent/en
quete del
"Sekou veut de l'argent"
( g)
""
,.
,.,.
,.
Seku ma war i 'Jlln
"Sekou/acc.neg/argent/chercher/
"Sekou n'a pas cherche de l'argent"
5
observe que "be"
I
sont ps structure
.. ]--1
1
,
~
I
1
a
(~Iest-~-di-e
lui-merne a
comparable
a
'"
nominal
morph~me
t onc t i onne
Darts
d ' autres
Ie
a
statut
et
syntaxique
qui, ici, se
La i sse
'"
aspecto-modal
il note que "b'"
qui se combine
proposition
ve -be-objat.
l'etuoe
e t arrt
1
et Ie verbe.
de Creissels demontre la violation de la
traditionnelle
Pour
a un
nominal en fonction d 'objet s ILnser e entre un
tel ~arqueur aspecto-modal
Evidemment
est
glosser comme
vernal ~ fnf) (chercher), une particulari te du bambara
que ' e cons t i t oarit
est
ceci pres qu'il succede au
cas par contre,
(~omii'e
un marqueur
verbale
a une "postposition"
combine
dont
IIest une postposition
-
U:1e forme
celuj des prepositions,
"e nque t e de".
exerne
d'un
un
de commutation
b
que n'adme'" pas ]e
,
,
~'1ent de l'expression pr ed i ce t i ve be ... f~. "be" comme
genera'ene"'t su i v i
'"
"'e
(f)
ement comparable, l'expression predicative
"p"'~-e" equlva It par
11+£
fe" dans (e) et
n f" et "1)6 ...
admet des possibi'ites
pr envi er f.l
nom).
l'
.•.
de 1a segmentation
'et .ids du
t ranca i s
phrastique:
au Ghana,
Kuupo l e
sujet(1995)
s'etait inquie+e du grand fosse qui existait entre Ie franyais que
[ eco 1 e
,
I'
nous
enseignait
et Ls
f ranca is
grances vi les des pays francoprones
(les
norme
limitrophes du Ghana. L'une
ypo t heses qu '~ 1 ava i t avance e etai t que la syntaxe
langle substrat
Avait
qu i se par 1ait dans les
influait sur Ie franyais central. Sor hypothese
et~ ron+irmee et elle avait donne cours
1 oca Ie.
Tigeria.
de la
y a ]ieu de voir
a
la recherche d'une
son resuLtat pertinent
au
6
Tel resultat porte foi aux propositions
de Marinet
(1989),
chef de fil de l'ecole fonctionnelle. II avance que;
~p fnnctionnaltsme ne critique personne. II r81~ve simplement
ce que l'on entend effectivement
si l'on veut bien ecouter,
que cpla snit "correct" ou non. (p.5)
Il ajoute:
a
J'ins:ste pour qu'on donne une profondeur
la synchronie.
Nous avons une impression de la platitude parce que la langue
sur laquelle nous operons se presente ecrite sur un plan. II
faut
pour t arit
1jnguistique,
hien
comprendre
que
Ie
fonct ionnement
comme tout fonctionnement, est une succession de
causes et effet.(p.27)
La
succession
"ohjectives" et
d-i
AI
DOUS
de
causes
et
effet
joue
dans
les
normes
1 'avons constate dans l'analyse fonctionnelle
romanc i er africain, Ahmadou Kourouma. Certains critiques ont dit
l'~gard
e KOllrouma qll'il est originel dans sa presentation
du
fran9ajs, apres avoir lu ses romans. De la definition de la phrase
et 1 'explication des rapports des fonctions entre les ~ ements dans
une phrAse d'op~ique fonctionnelle, nous presentons quelques items
p~ra3~iques des romans de Kourouma. Ce faisant, nous degageons dans
que
e mesure
Ie fonctionnalisme
accommode
des
impacts
de
la
sucressior- de causes et effet dans l'elahoration de ses theories.
7
Martinet
ele~ents
defin"t
se
pr¢. i. cats
la phrase
a
rattachent
un
comme
"enonce
predicat
cco rdonnee s". Bureau
unique
d~nt
au
a
taus
plusieurs
eLabore davantage
(1976)
les
cet te
definition en apportant de precision sur l'enonce. Car, la phrase
fait partie de ce qu'il designe comme "la linearite des elements
linguistiques".
D'apres lui, i
revient
a
la syntaxe de pourvoir
les mavens de marquer les relations entre ces elements et de les
hierarchiser.
quand
on
La ~efinition de phrase se laisse voir, facilement
se
donne
la
tache
qu 'ent r et iennent des elements
p~opose que
de
rechercher
des
relations
qui forment un enonce . Alors
a syntaxe fonctionnelle
reconnait
I
il
en general trois
rapports de fonctions.
P~"mo,
At/all
T'Pr'
gUl
l'Enonce Syntaxique. Clest une succession de monemes
A syn+agmes
Par exemple "demain",
"vite", "ma i ntenant ." etc. L'impression
-e <1egage i~i est que "demain, vite" peuvent passer de phrases.
S.:oC'ondo
I
1
ou la fonction de chacun est indique par lui-
" I
E'ionce qui indique les rapports de fonction par
'A<1jonc~ion de mOtemes speciaux appeles aussi monenes fonctionnels
ou des ir icateurs de fonction, parce que leur role est de marquer
fa
f onc t
ion d un autre segment comme "de" dans" La te:tre manque de
I
minera "
ierGo,
marcue es par
l'enonce
dont
Jes
eurs positions dans
elements
1
I
enonce.
ont
leurs
fonctions
8
Ces rapports
Or,
1 'r:erarchie
d "un enonce
comms
e
de fonctions
n'explique
ur s au , t ous
les
'as
principes
Rlp~eail (1976:~6)
rapport
de non-i~p
a
+onc t i onne lIe
e ement s qu'
est
un syntagme
paR fo~cement
irdependanti
'-1':' tpls
f:.
J 'autre
i1 peut
errents
If:.gtt~~e
i ssen-
f
de
un encnce . C' est
II
syntagme
constitue
Mart i ne t
entre
des
ecole
qui
un "vautour",
la
avec
les
Ie cas de:
il
est
qui
syntaxe
aut res
"II
court"
tiT'
.1..1.
court"
syntaxiquement
un message.
dans
(a)
n'implique
Nous notons
la phrase
"Pama
mere Doumbouya, dernier
Doumbouya du Horodougou,
"vr a i Doumbouya" ou "totem
des e"onces
totem
pan t he r e "
qui veb i cu l.ent (les mAssages ou encore
pas forcement
pas
pourtant
capatle
de ve~i~u
ar un sens.
au n i ve au (t-)
oyau dans
un noyau
oumbouya,
des princes
suivants:
Le segment
consituer
oumbouva , pere
~A n'est
1;::
sa force".
de la phrase;
a .ui seul
ph-ase
'1;lA
elements
une
non-implication
de toute
des noyaux qui n'imp]iquen+-
c';.st
Ie
c: e;; Kour ouma . Par exemple,
('OIT'n€-
des
relations
svnt ax iques
Par exemple,
'~apport
desrendant
pant here ,etai
des
du fonctionnalisme
Jes rapports
predicatif.
noumbouvs : 'ra i
souf
note
J court
liT
entre
monemes.
de re ativite.
i 1 r scr oupe dans
da ns 1a phrase
re_ations
pr e sent errt
font
icatjon.
un
les
les
ion che r e au f onc t i cnna I isme.
deux,
emen-+-s Ii' un e'-IOnCe qui
soutient
At
pas
une pr eoccupat
i
a hierarchiser
tendent
rapport
une
d'autres
structure
francaise
a
de Ja
de souche
r e c i pr oque I L
d'implication
s yrt axe de la Lanoue subs t r a t tendai t
syntagmes
~)
i nfl us r enormement
9
8
~1l-
C8
f r a nca t s .
variClnt.8
rp(" i proq'J8 .
a rrangA
Yoruba
de
'oeu~)
1"
pel~
e "1 ien habi
d'imp'l("Cltion
dApend d'un
1 'enoD('e,
"to
autre
s ans
heso i r
de
composes
pan+
dans
a
que
I'
nve r s e
mais,
et
"u'1e femme".
y a une
"J"
et
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d '
unique
po
J1'
rr.ar que r
i te'TlS de
sa
).
langue
vra i . Par
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i on.
haoussa
Avec
sont
S il
e
.
,
les
"
j::iri-7'--'0
aut res
(,-"
1
exemes
vient)
(:';11e viendra)
(Slle
lies
e e s t venu)
(SU'e
311'e
qui
v i sndr a ) .
habitue
e'TIent
a
a
n'
f
A
aut
pas
monems
s
pr e serit e
sens
"7'.)"0"
dans
i1
des
comme 1es
entre
~""l
...
Le rapport
sa fonction
d' im ,1i ca t i on
~-.."
au
moneme ou sy~tagme
marquer
f onct
il
ou implication
Cre'; sse' r: •.. ous not ons aus s i 'In rapport
,.
impl ication
reciproque,
ou ._"r_-"
pour
de
"je".
ication
lorsqu'un
so i t
a
as"
sens
existe
I
qu'a
a fonct ion de "pan t he -e" mais "totem"
rp re
les
j
~,.
'y'
en francais
d'imp
moneme ou syntagme
pour mar que r
PiT"
rapport
. ..
unique
.,-.....•
{Yl" un rapport
uel"
sens
A
d'implication
aucun
) entre
d'imp]ication
de cabe ,
femme" en francais,
il
",
".dI'-"'--
que dans
de type
atre
sens
indique
.-
- je
dans
--oli!''SP~0 '
"tu
" ;;J "
('Ie
eil-
y a aussi
ureau
e1"tr
~tude
as une femme) et ~ je
"une
~
Q"
#>tt1che "
reciprOlUe.
ste
P);.·
sor
notion
de segments
l' on detache
~
0'1
la
!tu
plus
ans
(1991)
0
corrohore
presentent
de r e c ipr oc i te.
qua nd
A
exempl
a-
, Angu8 subs r r a t . Si
I i en
releve
qtl~
unique
10
en; i SSA 1 S fTleliCi
i t ses etudes
s:
a~ts aspe ct.ue1 s et car act eristiques
'AVOli~
~I
1a suppression
des constats
ans
es faits dA la syntaxe
de "pa sse compose" en
es langues africaines.
A pr8~Ar"" ('~mpn<:;e".
Une ~ntervention
professpurs
~·ISS~
I
nigerianes
affirmait
p.'isse-compose dans la langue yoruba.
t ranca i se . L I etude de Lukas
1a 1angue
apr es
a propose a son lieu
Fn Kanuri, aussi, nous avons des structures
;:;111'
f ranca i s
au cours de la ~onference
u fran<;ais aux universites
1 'i ne x i stance du
i nf l ue r
Nous
Nous devons signa er, tout de m@me, que Creissels
av a i t propose
des
de la base verbale.
apt~eservai~ a~ssi pour expliquer
frn-tj~nrAlle.
II
dans ce sens POU-::Axpl iquer les
qui pourraient
(1937;
254)
en
dAIT'Ontr8.r.es exempJ es suivants sont pertinents.
+-~t~ ga rti'skana(enfant j'ai vu)
pour dire j'ai vu l'erfant.
()" pnco~p
...
".; na
"ga ruska
(Arfant fp-mme grosse ~ette
j'ai vu)
pour d;re
j'R~
vu
~T'~'JS
ne manque rons pas de pr ec i ser qu I en Igbo (une des trois
1
I
~fart de cette grosse ~e~me
~.'inguAsimport ;mtes
dpTj
geria) i
ex iste te lIes structures aus s i
qui peuvent influer sur la langue fran<;aise. Par exemple:
.
'n!~
iiir
m r u* o Iu any i
u
11
T; = ns Antendre voix nous)
pnur dire
Vipn~ pntpnrire notre voix
au en("nre
hur u m n' anva
A
(voir moi dans yeux)
pour rii re
suis aime.
je
,/\T\,"'re
etude
l1'Ast qu'une
goutte
d'eau
dans
l'ocean
pour
exp~~er de~ apprn •...
e~ possibles a adopter pour l'etude du fran~ais
au
:1 gP'-i a corrp t e tenu
TPVA 1 p
I
frAnCAjs
aus s i , que
AU
des
pour
Nigeria,
interferences
l'emergence
i
en
possibles.
d' une
faudra
1.
norme
des
Elle nous
obj ect i ve du
etudes
de
1a
st i que r-onr ras t i ves menees en concert avec des experts des
langiles nigeri.ane~; ,.,'" .. Ja traduction en francais des romans
1 i "1gU"
ri'e("r"vain~nigprians;
AU
NigeT iAd'
J. ~ativation
des
professeurs
du frAncais
er:r i re des romans en francais tout en restant or igina 1
i na lement
. on ne saur a i t ignorer Jes varietes du
francais at son e~seigne~ent
en Afrique comme presente par Kwofie
Victor C. Ariole
Dept. of European ~anguage
University of Lagos
Akoka, Nigeria.
8"'ud~J'hoDeti que eLPhonc logi~ue du
Cab~, un Parle Yoruba. These de
Doctorat,
Facu te des
Le tre~,
Universite de Lyon 2, France.
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M.A. ed
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