AVRIL 2013. VALPRE (ECULLY)

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AVRIL 2013. VALPRE (ECULLY)
FORUM DE L’ASSOMPTION – « AGRANDIR L’INTELLIGENCE » 5 & 6 AVRIL 2013. VALPRE (ECULLY)
Mesdames, Messieurs,
PRESENTATION (si nécessaire)
QUELQUES MOTS :
Je dois vous avouer que j’ai été bien ennuyé lorsque Sr Véronique m’a demandé d’intervenir aujourd’hui
devant vous. Et ce, à double titre : le sujet est intéressant mais reste difficile ; et surtout, je ne vais pas
pouvoir terminer mon intervention comme j’en ai pris l’habitude depuis quelques années. En effet, j’ai
pour coutume de citer une phrase de Sr Véronique en disant « … mais on ne pourra pas tout faire, il nous
faudra alors agir avec audace (ma grande vision) et humilité (mes priorités) ». Il me faudra donc trouver
une autre conclusion, d’autant que cette phrase est l’un des dix piliers du Projet Apostolique et Educatif de
l’Assomption comme Aimer son temps, Voir large, Chercher toujours la formation intégrale de la
personne et de la communauté ou bien sûr Agrandir l’intelligence, thème qui occupe votre forum.
Comme toute intervention, la mienne aura un parti pris. Celui de traiter du « pourquoi faut-il agrandir
l’intelligence, notamment en pédagogie et en éducation ?» – c’est l’audace citée plus haut – plutôt que de
me concentrer sur le « comment faire agrandir… » – ce sont mes priorités citées précédemment.
INTRO :
Alors justement, pourquoi agrandir l’intelligence au-delà de la réponse évidente du célèbre acteurphilosophe-karatéka belge J.-C. Vandamme : « Agrandir l’intelligence, c’est être aware » ?
Tout d’abord, parce que les modèles que nous connaissons en pédagogie et en éducation ont été
largement bousculés : le modèle de l’École, le modèle du temps, le modèle de l’espace/temps, le
découpage des apprentissages et la place du numérique… Rien que ça ! De plus, à cause ou grâce à cette
émergence de la sphère du numérique (mais pas que), il y a une obligation à prendre en compte les
intelligences multiples tant dans les approches et les démarches pédagogiques, que dans l’orientation
scolaire. Enfin, il y a l’apport aujourd’hui des neurosciences grâce auxquelles on peut vérifier que le
cerveau reste – comme l’écrivait B. Werber il y a plus de dix ans – « l’ultime secret » avec une cartographie
toujours incomplète et des connexions finalement de plus en plus surprenantes.
PARTIE 1. Le modèle de l’Ecole
Pour commencer reprenons ensemble, aussi rapidement que possible, le modèle de l’École avec ses trois
composantes :
1 enseignant + des élèves + un contenu = modèle de l’École.
Chaque élément de cette équation jouant un rôle : l’enseignant, en tant que détenteur du savoir et
pédagogue, envoie des signaux de reconnaissance et de valorisation aux élèves aux travers de
récompenses et de sanctions.
A leur tour, les élèves adoptent une posture d’apprenants afin de bénéficier de l’apprentissage, et restent
en quête légitime d’identification et de crédibilité.
Le contenu – avec les programmes et les savoirs – jouent le rôle de l’élément stable de l’équation.
C’est ce modèle qui perdure encore aujourd’hui, même s’il est à bout de souffle.
D’un point de vue systémique – Structure : École, Collège, Lycée et Post-Bac – le découpage du système
éducatif avec ses articulations CM2/6°, 3°/2nde, Bac/Post-Bac, conserve des questionnements toujours sans
réponse.
Ainsi l’école primaire, qui s’est beaucoup remise en question, reste clairement positionnée comme le lieu
des premiers savoirs ; Ainsi les lycées, légitimement chahutés aujourd’hui, gardent néanmoins une position
claire : celle de préparer au Post-Bac.
Le collège (l’ancien « petit-lycée ») n’arrive toujours pas à prendre sa place dans cette structure, et cela
entraine des conséquences notoires sur la pédagogie qui y est prodiguée. Un seul exemple : Le collège
prépare-t-il les élèves à la rude vie lycéenne ou est-il la poursuite et l’approfondissement de l’école
primaire ? Un peu des deux ? Dans la théorie oui. Mais dans la pratique, non ! Bien sûr que non. Pour s’en
convaincre, il suffit de regarder tel ou tel contrôle, rédigé par tel ou tel enseignant, de telle ou telle
matière, de tel ou tel établissement.
Certes mais venons-en aux faits me diriez vous : Quel est le rapport entre le découpage du système
éducatif français et le fait d’agrandir (ou pas) l’intelligence ? Je pense que nous ne sommes pas si éloignés
du sujet car, selon les cas, les attendus ne vont pas être les mêmes. Ce qui est vrai de manière générale
mais reste encore plus exacerbé au collège. Il en va ainsi de certains enseignants qui mettront plus l’accent
sur les connaissances pures, d’autres sur les savoir-faire, plus rares sur les savoir-être… et encore plus
rares sur les compétences ! C’est pourquoi les élèves qui connaissent des difficultés comme ceux qui ont
des facilités vont, tour à tour, ressentir un stress improductif ou un profond ennui. Le reste de la classe
s’adaptera au gré des journées qui passent.
Je ne sais pas si on fait agrandir l’intelligence au collège, mais pour sûr, c’est « l’intelligence des situations »
que les collégiens vont développer. Et c’est une bonne chose tant cette compétence est devenue
primordiale pour une certaine maîtrise des réseaux sociaux.
Pour l’orientation scolaire, il semble que nous ayons des progrès à réaliser. Au vu des statistiques du
nombre d’élèves qui quittent le système scolaire sans diplôme (150 000/an), on ne peut que constater la
non-prise en compte de toutes les intelligences ! Sauf si on imagine que ces 150 000 jeunes représentent la
part incompressible de personnes non éducables de notre société mais dans ce cas, on n’aurait rien à faire
dans l’Éducation en général, et dans l’Enseignement Catholique en particulier.
Aujourd’hui, de nouvelles formations, hors des cadres connus et hors contrat commencent à se
développer : École 42, École du Rocher ou le Camping au Palais Brognard… Des formations intéressantes
pour lesquelles il y a eu une prise en compte réelle des différentes intelligences.
Dans le cadre de l’Éducation Nationale, nous gardons nos trois voies (Technologique, Générale et
Professionnelle) aux prix de luttes acharnées contre un Ministère qui aimerait bien n’en garder que deux.
Ces distinctions sont importantes car elles permettent à des nombreux élèves d’avoir la possibilité de
choisir la voie qui convient le mieux à leurs approches intellectuelles. Choisissent-ils vraiment leur voie ou
est-ce un choix par défaut ? C’est un autre débat.
Quand j’étais en responsabilité face à des jeunes, ils me posaient souvent cette question, de façon directe
ou indirecte : « C’est quoi ma voie ? ». Je répondais invariablement : « Celle où tes efforts seront
récompensés et dans laquelle tu pourras montrer tes qualités ». Ce n’est certainement pas la meilleure
réponse mais la seule que j’ai trouvée à ce jour.
L’éducation au choix de vie, et ne pas se contenter de choisir des séries de Bacs, c’est aussi agrandir son
intelligence.
PARTIE 2. Le modèle du temps.
Je pourrai me cantonner à évoquer l’absurdité du découpage temporel dans nos établissements scolaires
mais je pense que la notion du temps est à prendre dans sa grande globalité afin d’imaginer après les
changements qu’on pourrait y apporter. Récemment dans une chronique radio, M. Serres illustrait les
bouleversements du temps en reprenant cette donnée : aujourd’hui, une femme de 60 ans est aussi
éloignée de sa propre mort qu’une jeune fille de 13 ans du XIX° Siècle. Imaginez les bouleversements
induits sur les préoccupations des personnes composant notre société !
En effet, jusqu’il n’y a pas si longtemps, le cadre global de la vie humaine était marqué, à chaque âge, par
deux préoccupations majeures :
• La naissance et la formation
• Le travail et la profession
• L’affaiblissement et la mort
Aujourd’hui, l’ère numérique, le Législateur et le mode de vie de nos jeunes imposent que l’on revoie
complètement la formation. Celle-ci n’étant plus cantonnée à un moment de la vie, comme le stipule la loi
OFPTLV votée en 2009. Et si le chômage oblige à revoir les concepts de travail et de profession, les
personnes dites âgées, dont 92 % sont autonomes aujourd’hui, imposent que l’on revoie également le
vieillissement : on vivra plus vieux et en meilleure santé.
Et pour se maintenir, on sait bien qu’il existe globalement trois leviers :
• Cosmétique : cher et peu efficace ;
• Corporel : « bouger plus » est une condition nécessaire mais pas suffisante ;
• Intellectuel : Les époux Badinter, A. Jacquard, M. Serres ou jusqu’il y a peu S. Hessel paraiss(ai)entils vieux… intellectuellement parlant ?
Il semble donc évident que, tout au long de sa vie, on devra maintenir ou développer une souplesse
intellectuelle par de la curiosité bien sûr, mais surtout en continuant à réfléchir, analyser et lire des sujets
difficiles. Des « sujets difficiles », la clef est là. Je reste toujours fasciné par les réactions de notre cerveau :
plus on le soumet à des contraintes fortes ; plus il va s’assouplir et plus il trouvera des solutions.
Dans cette partie, on pourrait résumer en disant qu’agrandir l’intelligence, c’est maintenir ou développer
cette capacité, que nous avons tous, à aller toujours plus loin.
PARTIE 3. Le modèle de l’espace
En se recentrant sur la pédagogie, il n’y a pas que le temps qui a été bousculé ; L’espace l’a été tout autant.
Je ne vous éviterai pas le poncif du savoir aujourd’hui fractionné, éparpillé, partagé, accessible en tout lieu
et à toute heure. Pour autant, l’École n’a montré que très peu de volonté de changements en ce sens,
même si on voit bien ici et là des cours « mis en barrette », des matières qui perdent leur rigidité horaire
(LV)… C’est un début. Un début timide car l’unité de lieu reste la classe et l’unité de temps reste l’heure de
cours ! Pour le coup, il manque un peu d’audace comme dirait Sr Véronique !!!
En effet, si on pose le postulat qu’il y a plus d’intelligences dans plusieurs têtes que dans une seule, faisons
en sorte que ces têtes travaillent de concert. Imaginons ce qui est considéré comme l’impensable par
certains professionnels de l’éducation :
Une classe de 200m² dans laquelle il n’y aurait plus une heure de maths, suivie d’une heure de SVT, suivie
d’une heure de SCP mais 3 heures consécutives de « Sciences » avec une problématique complexe posée
aux élèves de 3 classes de 1°S avec comme experts : un prof de maths, un de SCP, un de SVT et un prof de
philo qui errerait parmi les groupes en posant des questions faussement idiotes.
Les réactions ne tardent pas : « ça se voit que vous n’enseignez plus au collège ou au lycée depuis
longtemps ! » « Inimaginable ! Cela mettrait une belle pagaille » ; « Vous connaissez beaucoup
d’Etablissements qui ont une salle de classe de 200m² et des profs qui veulent bien travailler ensemble
toute l’année ? » ; « Et les programmes, vous y avez pensé ? Et l’emploi du temps ? »... Et je ne vous
épargne les yeux révulsés, les noms d’oiseaux ou le renvoi plus ou moins poli à mes chères études.
Evidemment, les freins ne manquent pas. Le pire est que ces remarques sont justifiées. Mais des
expériences comme celle citée existent et le sens des réformes m’incitent à penser que ce n’est qu’une
question de temps pour qu’elles se généralisent.
Et si nous prenions les devants sans attendre des lois décrétées dans les BOEN chaque jeudi, un peu
comme l’ont fait les pères (et mères) fondateurs de l’Enseignement Catholique ?
PARTIE 3’. L’espace-temps
Si la taille de la classe, le découpage des contenus en sous-contenus d’une même matière et plus
globalement l’organisation d’un établissement scolaire ont été interrogés, il convient de repenser
l’existence même du lieu « Ecole ». Dans l’enseignement supérieur se développe de plus en plus les cours
en « distanciel ». Ah ! Le mot n’est pas beau, il ne sonne pas bien. Il concentre même deux connotations
négatives : « distance » qui, a priori, va à l’encontre de toute idée liée à la pédagogie ou à l’éducation ; le
suffixe « ciel » qui renvoie au monde froid et impersonnel du logiciel. Quand on combine les deux, le
résultat se traduit souvent par une grimace. Je vous laisse imaginer les réactions à ce nouveau concept de
lieu pédagogique : « Vous voulez que nos enfants restent chez eux et travaillent à distance en éradiquant
les relations qui se créent à l’Ecole ? » ; « C’est un bel avenir que vous nous promettez là ! Et vous travaillez
dans l’Enseignement Catholique ? Et on vous laisse faire ? ».
Evidemment, repenser ne signifie pas faire table rase du passé. On aura toujours besoin de lieux de
rassemblements et de socialisation. Mais imaginez un cours de 10 min (largement suffisant pour présenter
une nouvelle notion) sans interruption sans oubli, travaillé par un enseignant spécialiste de la partie
présentée et retravaillé par le groupe d’enseignants de la matière. Ce cours pourrait être vus et revus à
loisir par les élèves et ce, avant la rencontre avec l’enseignant. Ladite rencontre, appelée autrefois « le
cours », laisserait donc la place dans sa quasi-totalité à des échanges plus fructueux qui changeront les
relations profs/élèves mais aussi élèves/élèves.
L’ennui en classe pour certains ou l’incompréhension du cours pour d’autres, évoqués précédemment ne
seront pas totalement bannis mais bon nombre d’élèves exploiteront le temps passé en classe d’une façon
disons… plus intelligente.
PARTIE 3’’. Quid de l’enseignant ?
Mais il ne faut pas penser qu’aux élèves, si les maitres n’élargissent pas leur vision, il y a peu de chances
qu’ils développent celle de leurs disciples. Quand j’enseignais à temps plein et que j’annonçais ma
profession à de nouvelles connaissances, il arrivait que de bonnes âmes me disent : « Mon pauvre, tu n’en
as pas marre ? Prof, c’est répétitif comme boulot… et en maths, c’est pire, ça ne change jamais ! » Par
lâcheté, la plupart du temps, je ne relevais pas.
Aujourd’hui, la formation des maitres du 2nd degré n’a que très peu changé dans le fond : Elle est axée sur
la didactique. Il faut décrocher un Master2 dans la matière que l’on veut enseigner et avec la fibre
enseignante (?), du temps, de l’expérience avec des collègues, des élèves sans oublier quelques rencontres
avec des parents… vous deviendrez un bon enseignant, ou pas. Et en poursuivant ce chemin, l’enseignant
va se documenter et aura la confirmation qu’il n’est plus le seul détenteur du savoir, qu’il ne peut plus
uniquement jouer le rôle d’intermédiaire entre les élèves et le savoir, qu’il devra avoir une vision
transversale de sa matière, qu’il devra travailler en équipe et bien sûr accompagner les élèves. Reste une
question : Qui accompagne les enseignants ? Une réponse me vient spontanément : le Chef
d’Etablissement à travers la formation continue. Si cette dernière est un autre et vaste sujet, la formation
continue reste le maillon essentiel pour que les enseignants puissent accompagner nos enfants.
PARTIE 4 : Faut-il encore apprendre ?
Sans rentrer dans une liste exhaustive type « boite-à-outils » (qui semble être à la mode en ce moment) on
peut se demander comment susciter le désir et la recherche de sens dans un monde hypnotisant qu’est la
sphère numérique ? Autrement dit, si on n’est pas moins intelligent avec Internet, ne fait-on pas
aujourd’hui un mauvais usage de son intelligence ? Comme le dit Raffaele Simone dans son dernier
ouvrage.
Aujourd’hui, pour agrandir l’intelligence d’un point de vue méthodologique, la première clef à transmettre
réside dans le traitement de l’information. Pour ce faire, il convient de privilégier l’ouverture mentale.
Jusqu’alors, et il n’y a pas de raison pour que cela s’arrête, l’apprentissage commence par la concentration
et l’observation de la réalité. Demain, les capacités de curiosité, d’intuition et de création seront de plus en
plus sollicitées. [Ex de Prezi].
Le second outil dont on doit équiper les jeunes, est la capacité à se centrer sur ce qui est prioritaire face
aux montagnes de données. Ce concept a toujours existé. Il est juste devenu incontournable faute de quoi
la moindre recherche paralysera toute avancée possible.
Enfin, il faudra développer la souplesse mentale (déjà évoquée) qu’impose le multi-tâche.
Pour les lycéens qui sont dans la salle, les 3 étapes que je viens d’énumérer ne sont pas sans rappeler celles
de la procédure d’orientation Post-Bac « APB ».
Pour réussir à mettre en place cette ouverture mentale, puis la hiérarchisation qui en découle et enfin
garder une certaine souplesse intellectuelle, il est nécessaire déjà de croire et de développer ses propres
capacités [ex des Prépas] mais aussi miser sur le travail collaboratif, ce qui revient à accepter de se
confronter aux autres et à tendre vers le bien commun.
PARTIE 4’. Les Neurosciences.
Pour finir, j’évoquerai rapidement les avancées des nouvelles sciences appelées neurosciences, qui se
trouvent aux confins de la neurologie, de la chimie, de la physique et des mathématiques.
Je me limiterai ici à poser le cadre en insistant sur le terme de « nouveautés » pour lesquelles il convient de
rester critique. En effet, d’un côté les découvertes fleurissent sur la plasticité du cerveau, sur des
connexions neuronales jusqu’alors inimaginables, sur des régions cérébrales alors inconnues pour leurs
fonctions cognitives… d’un autre côté, des batteries de nouveaux tests sont créés, s’en suivent des
interprétations certainement sérieuses mais dont on manque de recul et des études tout aussi sérieuses
mais dont les analyses approfondies nécessiteront du temps.
Pour autant, les neurosciences nous montrent qu’il n’existe pas de cerveaux qui n’apprennent pas, que
chaque apprenant, quel que soit son âge, son sexe… a son propre rythme et ses propres approches selon
ce qu’il a à résoudre ou à faire.
En d’autres termes, les avancées des neurosciences tendent à montrer scientifiquement que le concept de
l’Ecole unique – avec son corollaire que les jeunes apprennent tous la même chose, en même temps et de
la même façon – reste une absurdité non seulement conceptuelle mais surtout en contradiction avec les
dernières découvertes scientifiques.
Mesdames, Messieurs, Je vous avais promis une autre conclusion que celle de Sr Véronique. Je n’ai trouvé
qu’un certain J. F. Kennedy qui paraphrasait le projet de l’Assomption en disant « Nous ne réussirons pas
parce que nous sommes les meilleurs, mais parce que c’est difficile ».
Merci.
Forum 2013 - Assomption France
« Agrandir l’intelligence »
5 & 6 avril 2013 – Valpré.
Bibliographie :
• « Faut-il encore apprendre ? » S. Enlart et O. Charbonnier – Dunod.
• « Comment le numérique transforme les lieux de savoirs ». B. Devauchelle – Fyp.
• « Faut-il interdire les écrans à nos enfants ? » S. Tisseron et B. Steigler – Mordicus.
• « Apprendre avec les neurosciences ». P. Toscani – Chroniques sociales.
• « Discours de la méthode créatrice ». T. Gaudin et F. L’Yvonnet – Le Rédé Coll. « Ose
savoir ».
• « Petite Poucette ». Michel Serres (Académie Française) – Séance solennelle « les
nouveaux défis de l’éducation » - Mardi 1er mars 2011.
• « Pris dans la toile ». Raffaele Simone – Gallimard.
Eric M’FARREDJ