Article de la Tribune de Lyon du 20/11/2008

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Article de la Tribune de Lyon du 20/11/2008
Librairie La Bande Dessinée - La BD - Lyon Croix Rousse
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Des bulles plein la ville !
La tribune de Lyon du 20 au 27 novembre 2008
BANDE DESSINEE. Même si c'est à Brignais qu'a lieu le festival de la Bulle d'Or (dont la 20e édition vient de
récompenser Kokor pour l'ensemble de son œuvre), Lyon n'a pas à rougir de son amour pour la bande dessinée.
Bien au contraire...
Lyon, berceau du 7* art... la rengaine est connue. Mais sait-on que Lyon a été et redevient, peu à peu. un centre
névralgique du 9e art - la bande dessinée - en France? Sait-on qu'une quantité impressionnante d'auteurs, dont les
plus vieux ne sont pas encore quadragénaires, travaillent entre Rhône et Saône, ou dans le Beaujolais comme Manu
Larcenet (Le Combat ordinaire)? Depuis que les outils informatiques leur permettent de transférer, en temps réel et
sans déperdition de qualité, leurs travaux à leurs éditeurs, les créateurs n'ont plus de raisons de s'exiler pour se
rapprocher d'eux, de s'agglutiner autour des capitales de la BD que sont Paris. Bruxelles ou Grenoble.
Riche d'un vivier artistique sans cesse renouvelé, grâce, notamment, à la présence de filières et d'écoles ayant tôt pris en
compte l'importance de la BD (et son poids dans l'économie du livre). Lyon bouillonne de projets, de diversité et de
talents. Avec plusieurs librairies spécialisées fort bien achalandées, des lieux d'exposition, des collectionneurs de
planches discrets mais dépositaires de véritables trésors, des réseaux professionnels extrêmement structurés,
animés convivialement par des artistes soucieux de l'évolution de leurs métiers et de
leur statut: avec, enfin, une manifestation encore balbutiante mais ne demandant qu'à devenir populaire (le Festival de la
bande dessinée de Lyon), la ville pourrait se métamorphoser en capitale alternative de la BD. allant, pourquoi pas.
jusqu'à concurrencer la pachydermique institution angoumoisine, devenue, par la force des choses, davantage un
gigantesque marché qu'une fête des cases et des bulles.
On objectera qu'il manque à Lyon un éditeur d'envergure nationale pour relayer largement toutes ces productions (qui.
notons-le au passage, couvrent tous les styles graphiques et narratifs, et visent tous les publics). Mais là encore,
l'évolution des techniques et l'aspiration des créateurs à une plus juste rétribution, pourraient les conduire à développer
des filières de distribution parallèles. Et si Lyon devenait la ville-prototype de la bande dessinée contemporaine? En
quelques trop brèves pages, partez à la rencontre des témoins d'un glorieux passé, et des artisans d'un radieux avenir...
DOSSIER RÉALISÉ PAR VINCENT RAYMOND
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Remerciements appuyés aux illustrateurs pour leurs réalisations originales : Jérôme Jouvray, B-gnet, Jean-Yves Mitton,
Guillaume Martinez, Serge Clerc et last but not least Maly Siri.
L'atelier KCS : une bande décidée
TALENTS. L'atelier KCS réunit la plus forte concentration de scénaristes-dessinateurs à Lyon. Les dix comparses
qui s'agencent dans ses 45 m2 travaillent à leurs œuvres respectives, et contribuent grandement à la résurrection de
la BD à Lyon. Petite visite de courtoisie dans le local qu'ils occupent depuis un an...
Ils sont dix lorsqu'ils sont au complet, à peine la moitié durant cette après-midi de vendredi, à travailler dans une
atmosphère silencieuse, à gérer l'urgence (un dessin à rendre pour hier soir, une séquence d'animation à boucler dans
l'heure) sans se départir d'un zen magistral - il est vrai que l'on dessine difficilement lorsque l'on est crispé. Aux murs,
outre des affiches, des plaques, réalisées à l'occasion du festival On a marché sur la bulle d'Amiens, indiquent avec un
peu de pompe que l'atelier abrite des sommités (place Jouvray, rue Efix...). Très sérieusement, l'atelier KCS est l'un des
points majeurs de la BD lyonnaise, en lien étroit avec l'association L'Epicerie séquentielle. Sans lâcher son stylo. Jérôme
Jouvray (l'un des papas de la série Lincoln) rappelle l'historique de cette drôle de boutique: "L'Epicerie séquentielle a
été montée par Guillaume Martinet et quelques autres en 2004 pour réunir les dessinateurs de BD qui sont, chaque
année, plus nombreux à Lyon, notamment grâce aux élèves qui font un album dans la foulée de leur sortie de l'école
Emile-Cohl. L'Epicerie est un gros moteur dans ce nouvel essor de la BD, mais ce n 'est pas le seul." Grâce à cette
association, beaucoup de débutants ont pu partager les expériences de leurs aînés, et gagner du temps dans le dédale
administratif qui régit le métier d'illustrateur. Guillaume Martinez complète : "Si aujourd'hui, les infos tournent bien grâce
au site, rien n 'aurait été possible au départ sans la librairie Expérience : ils nous ont beaucoup aidés pour
l'organisation, quand nous n 'avions pas de lieu pour L'Epicerie." Le jeune illustrateur, récemment distingué par le prix
spécial du jury au festival les Utopiales de Nantes pour Le Monde de Lucie, ajoute que ses liens avec Expérience sont
tissés de longue date : "Mes parents m'y posaient, gamin, quand ils descendaient à Lyon ; ils me confiaient aux bons
soins de Jean-Louis Musy [NDLR l'un des deux emblématiques libraires, avec Nicolas Courthy]". Rien de tel pour ancrer
solidement une vocation.
Visite-éclair d'une future Bulle
Le téléphone sonne : un invité surprise s'annonce. Le Havrais Kokor. qui va recevoir une Bulle d'Or le lendemain à
Brignais, a décidé de venir saluer ses camarades lyonnais - qui apprécient vivement son travail (une planche de son
album Balade Balade, encadrée, est placée en majesté sur l'un des murs de l'atelier). Martinez exulte. B-gnet est
enthousiaste. Les honneurs sont ? Une pyramide de talents (du sommet à la base et de gauche à droite, sans sousentendu politique ni hiérarchique): BenLebègue, Olivier Jouvray, Jérôme Jouvray, Efix, Virginie Ollagnler, Anne-Claire
Thlbaut-Jouvray, Fred Salsedo, Guillaume Martinez, Fred Sorrentlno, B-gnet.
Le fier logo de l'atelier. On raconte que c'est Martinez qui a trouvé la devise.
d'avoir affaire à ceux qui, en voyant nos planches, nous disent "Il faudrait que la brune, là, elle soit blonde, et qu'elle
ait plus de nichons." Et puis, aujourd'hui, beaucoup d'auteurs se font connaître par leurs blogs. Si Boulet, dont le blog
(bouletcorp.com/blog) est très visité. utilisait le sien pour commercialiser ses albums, il en vendrait un petit paquet sans
problème. Un jour, nous le ferons, mais il faut avoir du temps et de l'argent devant soi pour cela." Mais la rupture est loin
d'être consommée avec les éditeurs : "Nous cherchons toujours à placer des projets, pour avoir des avances sur les
droits." On imagine difficilement un éditeur laisser partir tout ou partie des Jouvray, alors que le prochain Lincoln doit voir
le jour prochainement et que leur cote ne cesse de monter.
A l'équilibre
L'atelier KCS envisage-t-il de s'étendre, de coopter d'autres membres ?
Avec un sourire, Jérôme Jouvray secoue la tête : "Je ne sais pas si le mot est passé, mais nous sommes au complet.
Fred Mansot, qui était là dès le début, en 2006 dans le précédent local, est resté un an, puis il a été remplacé par
Fred Sorrentino. Dix dans 45 m2, c'est déjà pas mal, on ne peut accueillir une personne de plus sans que cela dérange
les autres. Il est arrivé que l'un d'entre nous prenne un stagiaire... une fois. Ça nous a tous vaccinés." L'équipage, bien
composé, semble avoir trouvé son équilibre pour naviguer à la conquête de nouveaux horizons bédéistes. Au fait, à
quoi se rapportent les initiales KCS? A Kansas City Shooters ? Kérato-conjonctivite sèche ? Kingsvvay Collège School?
Karaté Club Sa-vigny ? Non point : à rien du tout. De la même manière, le blason dont il s'est doté n'a aucune
signification - et, en un sens, cela vaut mieux...
(1) www.kcs-production.com
Deux générations,une passion
RENCONTRES. Quarante années séparent ces deux dessinateurs animés par le même feu. Regards croisés sur une
même profession par le toujours jeune Jean-Yves Mitton et la déjà grande MalySiri,
Jean-Yves Mitton : "Aujourd'hui, c'est la loi du marché qui décide"
Vous allez bientôt fêter votre demi-siècle de vie professionnelle. A quoi ressemblait ce milieu à vos débuts?
Comment a-t-il évolué?
Jean-Yves Mitton : En 1961, il était facile pour un jeune qui sortait des Beaux-Arts de Lyon, de trouver rapidement un
job chez l'un des quatre éditeurs lyonnais (Impéria, les Remparts d'Ainay, Mouchot ou Lug). Je me suis présenté chez
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Lug, rue Emile-Zola, avec mon carton à dessins sous le bras, bourré d'esquisses et surtout... d'illusions ! Il m'a fallu,
avant de dessiner des séries, travailler dans l'atelier de retouches pendant onze ans à gommer armes, attitudes
provocantes, ou sensuelles - on m'avait ainsi fait mettre un slip au Surfer d'Argent qui a fini par retrouver sa nudité
originelle sous la pression du courrier des lecteurs. Cette censure m'a permis d'entrer dans la BD et m'a enseigné les
bases essentielles dont je me sers encore et toujours. Hormis ces fondamentaux, les techniques graphiques et l'écriture
ont à peine évolué, et un auteur médiocre aura beau être un expert en informatique, il restera médiocre. En dépit des
modes, l'art du dessin et l'art du script demeurent et demeureront toujours le B-A BA du métier.
Avez-vous un regard particulier sur les nouvelles générations?
Je n'ai pas à juger, n'étant ni éditeur, ni diffuseur, ni commercial, ni libraire... ni même lecteur ! Je lis très peu de BD afin
de ne pas être influencé. Aujourd'hui, c'est la loi du marché qui décide les éditeurs et qui contraint la plupart des
artistes à un style, à un thème. Les Belges sortent difficilement du genre BD humoristique imprimé par Dupuis ou semihumoristique imprimé par Casterman. Les Français se sont engouffrés dans l'heroic-fantasy, et pour un jeune, hors de
ce genre, point de salut ! Les codes sont simplifiés, toute difficulté narrative est résolue par la magie, le graphisme est
plus facile car non contraint par
A Jean-Yves Mitton par lui-même.
la réalité. Il sera toujours plus aisé de dessiner des filles cuirassées, des monstres improbables et des cités
englouties que des anatomies exactes, des animaux authentiques et des quartiers de Lyon.
Y a-t-il une fracture culturelle entre vous?
Non. Ce n'est pas ainsi que je le ressens, car la BD, comme le cinéma, le roman et le théâtre, est un moyen d'expression
universel, quels que soient la culture, la langue et le sens de la lecture. Pas plus qu'il n'y a de fracture culturelle entre
John Ford, Kurosawa ou Truffaut, les Marvel US, les mangas ou Tintin sont liés par les mêmes procédés expressifs.
S'il y a des nuances, et non des fractures, c'est dans le fond et non dans la forme. Ces nuances ne sont que les reflets
de nos sociétés.
Maintenant, vous pouvez bien nous l'avouer: vous êtes un super-héros...
Ah ! Voler en slip au-dessus de la place Bellecour pour sauver une jolie Lyonnaise des griffes d'un super-vilain... Je l'ai
rêvé lorsque je dessinais Mikros ; comme je rêvais la sauver des Indiens quand je dessinais Blek le Rok, des Romains
dans Vœ Victis. ou du sacrifice aztèque dans Quetzalcoatl... Je pourrais citer ainsi de nombreuses prouesses
vécues le pinceau à la main. Mais la seule que je puisse avouer, c'est de n'avoir jamais connu le chômage, d'avoir pu
m'exprimer et d'avoir tenu bon dans ce formidable métier qui m'a fait rêver en donnant du rêve aux autres. Bon, c'est
pas tout ça, mais je dois retourner sur ma nouvelle série Ben Hur pour Delcourt, et je dois ramer sur une galère plus
douce que la sienne pour tenir les délais de livraison... tout en rêvant à ma future course de chars (rires), En BD, on est
un super-héros lorsque l'on tient les délais !
? Ben Hur, tome 1 Messala, de Jean-Yves Mltton, Delcourt 12,90 euros.
Maly Siri : "Une école de dessin enseigne l'humilité"
Vous considérez-vous davantage comme illustratrice que comme auteur de BD ?
Maly Siri : Pourquoi pas une illustratrice de BD ? (sourire) Ces deux pratiques sont distinctes, mais proches. J'ai
très envie de raconter des histoires sous différentes formes, mais pour le moment, je préfère me pencher surtout sur la
bande dessinée : c'est fascinant de voir à quel point c'est un art complet, si complet ! On doit tout maîtriser: acteurs,
lumière, narration... Je n'ai encore pas d'album complet à mon actif- mais ça viendra bientôt.
Qu'avez-vous retiré de votre passage à l'école Emile-Cohl?
Oh. en terme de technique, c'est là que j'ai tout appris ! Je suis arrivée avec une base plutôt moyenne en dessin. Mais le
bagage avec lequel on arrive compte moins que le travail, la volonté, l'autocritique ou la faculté d'écouter les critiques
constructives. Une école de dessin enseigne l'humilité, la patience... J'ai retenu qu'il y a toujours à apprendre, qu'on peut
toujours progresser (c'est ce qui est intéressant dans ce genre de profession). On tend à toujours s'améliorer en
technique, en narration... et humainement, aussi. J'ai fait de très belles rencontres parmi les professeurs et dans ma
promotion. Quant à l'apprentissage de la vie d'artiste indépendant, on nous a plutôt bien avertis de la difficulté de vivre de
ce métier, mais à l'époque où j'y étais, je dois avouer que la préparation au marché du travail était plutôt restreinte...
Alors on apprend à la sortie, avec les échecs, les désillusions... Mais c'est valable dans tous les milieux.
Vous êtes une bloggueuse assidue. Ce mode de communication permet-il aux artistes de rester dans leur
"territoire" d'origine?
Complètement ! Internet c'est l'Ouverture vers l'information, vers les découvertes, vers les contacts ! Ça a ses petits
dangers, mais personnellement, je m'en sers en permanence. On peut être à Tombouctou et travailler pour les EtatsUnis ou la France, du moment qu'on a un bon scanner! Toutes les offres de travail qui m'ont été faites viennent
d'éditeurs ou de gens qui ont vu mon blog. C'est une petite vitrine pour l'illustrateur qui veut montrer son travail.
J'aimerais bien être encore plus assidue; je rêve secrètement de raconter toutes ces petites choses extraordinairement
ordinaires qui arrivent dans ma vie ! Ce qu'il y a d'agaçant ces derniers temps, c'est que je travaille à des projets dont je ne
peux parler tout de suite et dont j'espère que vous aurez prochainement des nouvelles...
http://maly-siri.blogspot.com
A Rendez-vous,Collectif. Akileos, 80 pages, 20 euros.
¦4 Maly Siri par elle-même.
Retrouvez l'intégralité de cette interview sur www.tribunedelyon.fr
Les incontournables de la BD à Lyon
Où aller? Où surfer? Où étudier? Que lire? Pas de panique, voici les pages pratiques.
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LIBRAIRIES
Expérience
Ce n'est pas faire injure à ses camarades (et néanmoins concurrentes) que de la placer en tête des librairies:
Expérience fait partie des meubles de la ville, des points de passage obligés pour ies auteurs - tant pour leur
approvisionnement en nouveautés que pour leurs séances de dédicaces. Expérience joue un rôle majeur dans la
promotion de la BD lyonnaise en organisant des nocturnes où sont conviés des éditeurs, en publiant ce qui est devenu
une bible, Le Projet Bermuda (le nec plus ultra en matière de book et de CV collectifs - le tome 2 est d'ailleurs prévu
pour 2009) et en imprimant des sérigraphies commandées à des duos d'illustrateurs (Larcenet vs. Jouvray, Pedrosa vs.
Gauthier...). S'il vous faut une raison supplémentaire pour visiter ce sanctuaire de la place Antonin-Poncet, allez-y pour
admirer les voûtes de ce magasin en demi-sous-sol, ornées depuis 1990 d'une impressionnante collection de dessins un trésor muséal à classer sans tarder.
Librairie Expérience: 5 place Antonin-Poncet, Lyon 2'. www.librairie-experience.com. 04 7241 8414.
La Bande dessinée
Les Croix-roussiens lui doivent beaucoup: c'est le poumon bédéiste du plateau. Historiquement associée au festival de
la bande dessinée de Lyon (dont la 4' édition se tiendra à nouveau place de la Bourse du 5 au 7 juin 2009), cette librairie
attire à elle de jeunes auteurs, et consacre de nombreux mètres linéaires aux productions nippones dans son espace "Le
Manga".
La Bande dessinée. 57 grande rue de la Croix-Rousse, Lyon 4'. www.labd.net. 0478394504.
BD Bondy
Pour enrichir ses collections de premières éditions, de comics et mangas, pour revendre ou échanger ses BD, voici une
adresse à connaître. Tenue par un passionné, Marc Le Gouis, qui a tout lâché pour se consacrer à son amour pour les
planches et les albums, cette librairie à l'agencement impeccable, où la poussière n'a pas son mot à dire, donne envie
d'augmenter la taille de sa bibliothèque. Un dernier détail, qui a son importance: les occasions sont à des prix très
raisonnables.
BD Bondy: 25 quai de Bondy, Lyon 5'. 0472870286.
Album
Insérée dans le vaste complexe spatial de la Part-Dieu, cette enseigne spécialisée fait partie d'une chaîne qui compte
près de trente adresses en France. On y trouve, bien entendu, des albums (ben oui) mais aussi tout un assortiment de
gadgets et produits dérivés.
Album: 3' niveau du centre commercial La Part Dieu: Lyon 3'. www.album.fr. 0478604536.
BD Fugue Lyon
Après son changement de propriétaire en septembre dernier (qui a failli lui coûter l'espace bar faisant toute son identité
et son originalité), le BD Fugue Café a pour mission de redevenir cet apaisant point de rencontre convivial où les
lecteurs peuvent prendre le temps de siroter BD et boissons. A suivre...
BD Fugue Lyon: 14 rue Confort, Lyon 2'. http://bdfugue-lyon.com. 0478374146.
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