maroc trade info - Ministère du Commerce Extérieur
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Royaume du Maroc Ministère Délégué auprès du Ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique Chargé du Commerce Extérieur MAROC TRADE INFO Août 2014 Cadrage de juin 2014 53 DANS CE NUMERO 1. 2. 3. 4. Tendances économiques internationales …………….........................................................................................................................................................................P.1 Atténuation du déficit commercial de biens et services à fin Juin 2014...........................................................................................................................................P.2-3 Le sommet Afrique-Etats-Unis une occasion au Maroc pour confirmer sa capacité à être le premier partenaire des Etats Unis en Afrique.................................P. 4-5 Tableau de bord des échanges commerciaux du Maroc......................................................................................................................................................................P.6 1. Tendances économiques internationales Dans la mise à jour de ses perspectives sur l'économie mondiale, Le Fonds monétaire international (FMI) a rabaissé sa prévision pour la croissance économique mondiale cette année, et estime que la croissance mondiale pourrait être plus modeste pendant une plus longue période du fait de la faiblesse des marchés des pays avancés et émergents. Source : FMI (juillet 2014) Par ailleurs, l’économie mondiale reste fragile à des risques importants. Parmi les risques recensés figurent essentiellement des facteurs ponctuels, mais aussi le ralentissement de la demande dans les pays émergents. Les risques immédiats ont trait aux tensions géopolitiques et au regain de volatilité des marchés financiers. Dans ce contexte, la croissance économique mondiale, serait établie à 3,4 % en 2014, soit 0,3 point de moins que dans ses projections d’avril en raison de la morosité observée au premier trimestre, en particulier aux États-Unis, et des perspectives moins optimistes de plusieurs pays émergents. Les prévisions tablent sur un taux de croissance de 4 % pour 2015. Source : FMI (juillet 2014) En effet, dans l’ensemble de la zone euro, les perspectives sont à peu près les mêmes que dans les PEM d’avril, mais les résultats resteront inégaux à l’échelle de la région. Les perspectives demeurent positives, avec un taux de 1,1% en 2014 et 1,5% en 2015 après -0,4% en 2013, et ce grâce à l’accélération des exportations et la stabilisation de la demande intérieure. Aux États-Unis d’Amérique, l’activité a déjà commencé de rebondir, mais la reprise ne compensera qu’en partie les résultats du premier trimestre. La croissance devrait être en moyenne de 1,7 % en 2014 puis atteindre 3 % en 2015. Au Japon, la croissance économique devrait légèrement ralentir en 2015, en raison surtout du retrait prévu des mesures de relance budgétaire mises en place au début de l’année. Il serait de 1,6% en 2014 et de 1,1% en 2015. Dans les pays émergents et les pays en développement, la croissance économique devrait fléchir pour s’établir à 4,9 % en 2014, contre 4,7 % en 2013, avant de s’accélérer et d’atteindre 5,3 % en 2015 grâce à la vigueur des exportations. Source : FMI (juillet 2014) La région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord fait face à des conditions difficiles : la croissance régionale ne devrait s’accélérer que modérément en 2014 et 2015 avec respectivement 3,1% et 4,8%. La reprise tient principalement aux pays exportateurs de pétrole, tandis que de nombreux pays importateurs de pétrole demeurent confrontés à une situation sociopolitique et sécuritaire difficile. Les pays de l’Afrique subsaharienne maintiendraient une croissance vigoureuse, avec un taux de 5,4% en 2014 et 5,8% en 2015. Sur le plan financier, le marché européen a été caractérisé, en juin 2014, par la décision de la Banque centrale européenne (BCE) d’une nouvelle baisse de ses principaux taux directeurs, après celles de mai et septembre 2013. En effet, l’Institution financière a porté à 0,15 % son taux de refinancement, soit une baisse de 10 points de base. La Banque a également décidé de baisser son taux de rémunération des dépôts qui est désormais fixé à -0,1 % contre 0 % précédemment. En effet, la banque centrale américaine, adossée à sa politique monétaire ultra expansive, continue d'influencer les marchés financiers internationaux. Le taux directeur de la Fed reste toujours faible, entre 0% et 0,25% En ce qui concerne le marché de change, en juin 2014, l’euro s’est déprécié par rapport au dollar (-1%), au yen (-0,8%) et à la livre sterling (-1,4%) en variation mensuelle. Comparativement à la même période un an auparavant, la monnaie unique s’apprécie par rapport au dollar et au yen, avec des taux respectifs de 3,2% et 7,9%, alors qu’elle se déprécie de 5,7% face à la livre. Par rapport au yen, le niveau d’appréciation de la devise américaine est estimé à 4,6% sur un an. Sur le marché du pétrole, les prix du pétrole brut ont de nouveau augmenté en juin, à112 $/b, portés par des chiffres économiques mondiaux encourageants pour la demande et confortés par les tensions géopolitiques persistantes. En variation mensuelle, le cours du Brent a progressé de 2,5% après 0,9% le mois précédent. 2. Atténuation du déficit commercial de biens et services à fin Juin 2014 contre 194,3 auparavant. Au terme du premier semestre de 2014, le déficit commercial de biens atteint 101,7 contre 100,3 milliards de dirham une année auparavant. Les exportations, ont connu une hausse significative de 8,5%, dépassant celle des importations qui est de l’ordre de 4,8%, en raison du recul des achats des biens d’équipement (-3% ou -1,3 milliards de dirhams). Par conséquent, le taux de couverture s’est amélioré de 1,7 point, pour s’établir à 50,1% contre 48,4% à fin Juin 2013. Hors produits énergétiques et céréales, ce taux a atteint 69,1% contre 65,2% une année auparavant. A fin Juin, Le volume des échanges de biens et services a augmenté de 5,6% pour s’établir à 359,2 contre 340,2 milliards de dirhams à fin Juin 2013. L’appréciation des exportations de biens et services est plus importante que celle des importations, avec des hausses respectives de 7,5% et 4,3%, en glissement annuel. Par suite, le déficit commercial de biens et services a reculé de 2,3%, pour s’établir à 66,3 milliards de dirhams. Le taux de couverture, quant à lui, a gagné 2,1 points, et s’est établit à 68,8% contre 66,7% un an auparavant. D’autre part, la balance commerciale de biens est déficitaire de 101,7 milliards de dirhams, soit une hausse de 1,4% par rapport au premier semestre de 2013. Ce résultat trouve son origine dans l’évolution en valeur des importations (+9,4 milliards de dirhams) qui est plus importante que celle des exportations (+7,9 milliards de dirhams). Ainsi, les exportations de biens se sont chiffrées à 101,9 contre 94,0 milliards de dirhams à fin Juin 2013, alors que les importations ont atteint 203,7 milliards de dirhams un an En revanche, la balance des services a enregistré une bonne performance, avec un excédent en progression de 13,8% pour s’établir à 28,2 milliards de dirhams contre 24,8 milliards de dirhams au premier semestre 2013. Cette performance est imputable principalement à la bonne tenue des recettes (+3,7%) et au recul des dépenses (-3,5%). Exportations A fin Juin 2014, les exportations de marchandises ont enregistré une amélioration de 8,5% (102 milliards de dirhams contre 94 milliards de dirhams un an auparavant). Cette performance est imputable aux ventes des nouveaux secteurs et à la reprise du secteur de textile et cuir et celui de l’agriculture et de l’agroalimentaire. En revanche, les exportations des phosphates et dérivés continuent à baisser malgré une légère reprise (-8,6% ou -1,7 milliards de dirhams). Ce repli a concerné aussi bien les phosphates bruts (-17%) que ses dérivés qui ont enregistré un recul de 6%. Ainsi, les exportations hors phosphates et dérivés ont enregistré une hausse de 13,1% ou +9,7 milliards de dirhams. L'automobile arrive en tête des secteurs ayant le plus progressé à l'exportation entre janvier et juin 2014 avec un taux de 35,9%, soit plus de 5,6 milliards de dirhams. Cette progression est due principalement à la performance continue des exportations de la construction automobile (+84,5% ou +4,8 milliards de dirhams) et du segment câblage (+9,8% ou +0,8 milliards de dirhams). Il en est de même pour les exportations du secteur de l’Electronique, en dépit de la régression des exportations des composants électroniques (-6,2%), le secteur a connu une amélioration de 26,1%, soit plus de 898 millions de dirhams. 35,8 milliards de dirhams contre 32,5 milliards un an auparavant. Ainsi, les voitures de tourisme marquent des hausses d’importation de 25,3% (5,7 milliards de dirhams contre 4,5 milliards à fin Juin 2013). Les achats des tissus et fils de fibres synthétiques et artificielles ont également progressé de 16,6% (3,2 milliards de dirhams contre 2,7 milliards à fin Juin 2013). Les exportations du secteur de l’agriculture et de l’agro-alimentaire ont enregistré une hausse de 411 millions de dirhams, imputable essentiellement à la bonne tenues des exportations du segment agriculture, sylviculture et chasse (+6,4% ou +401 millions de dirhams). De même, les achats des produits bruts ont connu une augmentation de 4,1% ou de 395 millions de dirhams (9,9 milliards de dirhams contre 9,6 milliards de dirhams à fin Juin 2013). En effet, les importations des soufres bruts ont connu une hausse de 8,2% ou +191 millions de dirhams. De même, les exportations du secteur du textile et cuir sont passées de 16,8 à 17,5 milliards de dirhams à fin juin 2014, soit une hausse de 3,8%. La bonne tenue du secteur est issue essentiellement des ventes des vêtements confectionnés (+4,3% ou +439 millions de dirhams) et des chaussures (+3,7% ou 53 millions de dirhams). Quant aux importations de demi-produits, elles ont enregistré une légère hausse de l’ordre de 0,7% ou +280 millions de dirhams, en se chiffrant à 41,8 milliards de dirhams. Ainsi, les importation des matières plastiques et ouvrages divers en plastique et les fils et câbles électriques ont accusé une croissance significative qui est, respectivement, de l’ordre de 534 millions de dirham et 251 millions de dirhams. Les ventes du secteur de l’aéronautique et de l’industrie pharmaceutiques ont progressé respectivement de 6,1% ou de 226 millions de dirhams et 6,7% ou de 33 millions de dirhams. Importations Durant les six premiers mois de 2014, les importations ont augmenté de 4,8% (ou +9,4 milliards de dirhams). Cette hausse a concerné la plus part des produits, principalement les produits alimentaires (+20,2%), les produits énergétiques (+5,3%), les produits finis de consommation (+10,2%) et les produits bruts (+4,1%). Ainsi, la hausse des importations des produits alimentaires a pour principale origine l’augmentation des achats du blé de 35,7% (ou +2,3 milliards de dirhams), de l’orge de +334 millions de dirhams et du lait de +359 millions de dirhams. Les approvisionnements en énergie sont en hausse de 5,3% (ou 2,5 milliards de dirhams). Ainsi, les achats de l'huile brute de pétrole ont progressé de 10,9%, passant de 15,3 milliards à 16,9 milliards de dirhams à fin Juin 2014. Le gaz de pétrole et autres hydrocarbures ont également enregistré une augmentation de 11,7% (ou de 1,1 milliards de dirhams). En outre, les importations des gas-oils et fuel-oils sont passées de 17,9 à 17,5 milliards de dirhams à fin Juin2014, soit une baisse de 3,0 %. Dans le même contexte, les achats de produits finis de consommation ont augmenté de 10,2% (ou +3,3 milliards de dirhams), en se chiffrant à près de En revanche, Les importations des biens d’équipement ont accusé une baisse de l’ordre de 3% (ou de -1,3 milliards de dirhams). Ce résultat a été constaté au niveau des achats des machines à trier, concasser, broyer ou agglomérer qui se sont chiffrées à 492 millions de dirhams contre 1,5 milliards de dirhams un an plutôt soit 1,0 milliards de dirhams de moins. 3. Le sommet Afrique-Etats-Unis une occasion au Maroc pour confirmer sa capacité à être le premier partenaire des Etats Unis en Afrique Les exportations marocaines destinées vers les pays Le Maroc en achète principalement des « Energies de l’Afrique se sont chiffrées à 16,3 milliards de et Lubrifiants » (54% de la moyenne des dirhams en 2013, en enregistrant un taux de importations croissance annuel moyen de 14% depuis l’an 2000. l’Afrique sur la période 2000-2013), des « Demi- Les importations en provenance de ces pays ont évolué de 10% sur la même période, se chiffrant à marocaines en provenance de Produits » (18%) et des « Alimentations- Boissons et Tabac » (10%). 19,8 milliards de dirhams en 2013. Sur la même Par ailleurs, L’Afrique est la première destination année le taux de couverture a été de l’ordre de des investissements marocains. En effet, selon 82,5%. l’Office des Changes, elle a reçu 92,2% des Les exportations sont destinées essentiellement vers les pays de l’Afrique du Nord (33% de la moyenne des exportations marocaines vers l’Afrique entre 2000 et 2013), le Sénégal (7%), la Mauritanie (6%), la Cote d’ivoire et le Nigéria (5% chacun), le Ghana la Guinée Equatoriale et la Guinée (4% chacun). Les ventes marocaines en Afrique se constituent en premier lieu des « préparations et conserves de poissons » (15% de la moyenne des exportations marocaines vers l’Afrique entre 2000 et 2013), des « Engrais naturels et chimiques » (7%), des « Huiles de pétrole et lubrifiants » (5%), des « Fils, câbles et autres conducteurs isolés pour l’électricité » (5%), des « Farines, gruaux, semoules et agglomérés de investissements directs marocains à l’étranger en 2010, soit 4,6 milliards de dirhams. En 2011, ce chiffre a été de l’ordre de 0,9 milliards de dirhams. L’année suivante, il a augmenté de 88,9% pour s’établir à 1,7 milliards de dirhams. Et selon les données provisoires de l’année 2013, l’Afrique a reçu 44,1% du total des investissements directs marocains à l'étranger, soit un montant de 1,2 milliards de dirhams. Les investissements directs du Maroc en Afrique sont principalement destinés vers l’Afrique subsaharienne, celle-ci accueille plus de 40% du total des investissements directs du Maroc dans le monde entier (72,8% et 88,2% des investissements marocains en Afrique en 2009 et 2010). céréales » (4%), des « voitures de tourismes » (2%) Selon la même source, la Côte d’Ivoire a été en tête et des « voitures industrielles » (2%). des pays destinataires de ces investissements au Les principaux fournisseurs africains du Maroc sont les pays de l’Afrique du Nord (74 % de la moyenne des achats en provenance de l’Afrique entre 2000 et 2013), suivis de la république de l’Afrique du Sud (11%), du Nigeria (4%) et du Gabon (2%). cours des années 2012 et 2013 avec 52,1% et 36,7% des investissements directs marocains en Afrique. Le Cameroun a occupé le premier rang en 2011 avec 47,7% et le Mali en 2009 et 2010 avec 54,1% et 34,1%. Le Maroc investit essentiellement en Afrique dans Sans oublier la stratégie d’immigration lancée cette le secteur bancaire et les télécommunications. En année par le royaume, axée sur une approche des effet, Au cours des cinq dernières années, le droits de l’homme et de développement, dont secteur bancaire a occupé la première position du bénéficient beaucoup les africains résidents au total des investissements directs marocains en Maroc. Afrique en 2008 avec 90,4%, en 2011 (65,3%), en 2012 (75,3%) et en 2013 (56,3%). En effet les banques marocaines sont implantées dans plus de 26 pays africains. En plus, Le Maroc est doté d’une position stratégique dans ce continent, vu sa situation géographique, son capital immatériel sans pareil dans toutes sa région, caractérisé par sa stabilité Quant au secteur des télécommunications, il a été politique, institutionnelle et macro-économique, classé au premier rang en 2009 et en 2010 avec son ouverture économique, sa tolérance religieuse respectivement 59,9% et 42,5%. et son identité plurielle, sa proximité culturelle avec Il est à noter que la part du secteur de l’immobilier a passé de 7,5% en 2012 à 19,6% en 2013. En outre, le Maroc est lié au continent africain par des relations très particulières qui sont non uniquement économiques et commerciales mais aussi historiques, humaines et spirituelles. les pays du continent, ainsi que l’importance du rôle joué par sa majesté le Roi Mohammed VI pour la promotion de la coopération Sud-Sud. Donc le Maroc a tous les atouts pour accompagner les investisseurs américains dans l’Afrique, non uniquement comme intermédiaire, mais également En effet, le Maroc a conclu avec l’Afrique près de comme partenaire. Surtout qu’il connait bien le 500 accords de coopération dans de multiples terrain, et il a une expertise qui peut partager avec domaines, avec plus de 40 pays, depuis le début des eux. En plus le Maroc peut être une plateforme années 2000. Dont plus de 90 accords ont été industrielle et de distribution pour leurs activités en signés cette année. Afrique. Comme il prend en charge la formation des Imams d’un ensemble de pays musulmans en Afrique. Il accueil des étudiants et des cadres africains dans ses universités et ses centres de formation. Et il contribue effectivement au renforcement de la paix et de la stabilité du continent. 4. Tableau de bord des échanges commerciaux du Maroc Evolution de la balance commerciale Échanges des biens et services en valeur (En millions de DH) Janvier –Juin Evolution (en %) 2013 2014* Import 204 030 212 750 +4,3 Biens (FAB) 169 382 179 320 +5,9 Services 34 648 33 430 -3,5 Export 136 174 146 433 +7,5 Biens (FAB) 76 723 84 779 +10,5 Services 59 451 61 654 +3,7 Taux de couverture 66,7% 68,8% +3 *Chiffres provisoires (2014) Source : Office des changes Principaux produits échangés Principaux produits à l’exportation (en milliards de dirhams) Janvier- Juin 2013 Principaux produits à l’importation (en milliards de dirhams) Janvier – Juin 2014* Produits Janvier-Juin 2013 Evol. valeur part valeur part Dérivés de phosphates 15,1 16% 14,2 14% -6% Vêtements confectionnés 10,3 11% 10,7 11% Fils, câbles et autres conducteurs isolés pour l’électricité 8,9 9% 10,2 Voitures de tourisme 4,9 5% Articles de bonneterie 3,6 4% Janvier-Juin 2014* Produits Evol. valeur part valeur part Gas-oils et fuel-oils 18,0 9% 17,5 9% -3% +4% Huile brute de pétrole 15,3 8% 16,9 8% 11% 10% 14% Gaz de pétrole et autres hydrocarbures 9,6 5% 10,8 5% 12% 9,3 9% 91% Blé 6,5 3% 8,9 4% 36% 3,7 4% 1% Voitures de tourisme 4,5 2% 5,7 3% 25% Matières plastiques et ouvrages divers en plastique 5,5 3% 6,0 3% 10% Phosphates 4,9 5% 4,1 4% -17% Préparations et conserves de poissons et crustacés 2,8 3% 2,8 3% 0% Produits chimiques 4,0 2% 4,1 2% 2% Huiles de pétrole et lubrifiants 3,0 3% 3,0 3% 3% Voitures industrielles 4,1 2% 3,4 2% -17% 1,5 2% 2,6 3% 72% Tissus et fils de fibres synthétiques et artificielles 2,7 1% 3,2 2% 17% 3,3 4% 2,9 3% -12% Machines et appareils divers 3,1 2% 2,9 1% -4% 2,2 2% 2,0 2% -8% Soufres bruts et non raffinés 2,3 1% 2,4 1% 5% 1,6 2% 1,6 2% 3% Houilles; cokes et combustibles solides similaires 2,2 1% 2,9 1% 30% Tomates fraîches 2,0 2% 1,9 2% -5% Mais 1,6 1% 1,9 1% 17% Agrumes 1,4 2% 1,8 2% 24% Parties et pièces pour voitures et véhicules de tourisme 2,7 1% 2,0 1% -28% 1,2 1% 1,0 1% -20% Sucre brut ou raffiné 2,3 1% 1,5 1% -34% 0,6 1% 0,6 1% -10% Papiers et cartons; ouvrages divers en papiers et cartons 2,5 1% 2,7 1% 6% Appareils pour la coupure ou la connexion des circuits électriques et résistances Crustacés, mollusques et coquillages Composants électroniques (transistors) Parties d'avions et d'autres véhicules aériens ou spatiaux Ferraille, déchets, débris de cuivre, fonte, fer, acier et autres minerais Argent brut et ouvrages miouvrés en argent Echanges de services (en millions de DH) Exportations de services Janv-Juin 2013 Exportations de services 59 451 Services de transport 9 906 Voyages 24 939 Services Janv-Juin 2014* 61 654 10 883 26 056 Evolution % +3,7 +9,9 +4,5 Importations de services Janv-Juin 2013 Importations de services 34 648 Services de transport 12 442 Voyages 5 128 Services * Chiffres provisoires / Source : Office des changes Janv-Juin 2014* 33 430 12 278 5 696 Evolution % -3,5 -1,3 +11,1