Abrutis par Aimé Z le 15122013

Abrutis
par Aimé Z le 15 décembre 2013
Abrutis ces intellectuels du dimanche, pseudo- Ces juges qui donnent systématiquement raison
agriculteurs, qui, voulant m'empêcher de quitter leur dans leurs jugements à tous ceux qui mentent.
département, n'ont trouvé mieux que de me détruire
économiquement en trafiquant les autorisations
administratives m'ayant permis d'acheter un terrain
dans un département voisin sur lequel ces dernières
m'autorisaient à construire deux maisons, voici
maintenant vingt années.
Abrutis,
toujours
ces
mêmes
pseudoagriculteurs, mais aussi écologistes, qui ont
prétextés que ce terrain devait rester dans le
domaine agricole car, soi disant, en montagne il en
manquait et que la nature devait rester vierge afin de
préserver la diversité des écosystèmes naturels alors
que le manque d'entretien déclenche chaque année
de gigantesques feux de forêts.
Abrutis, encore ces pseudo-agriculteurs, qui,
après avoir réussis à m'interdire de réaliser mon
métier, ainsi que mon déménagement du
département, cherchent à m'interdire d’aménager
des cultures biologiques privées sur un terrain
parfaitement enregistré dans le domaine agricole et
qu'ils avaient totalement négligés de travailler
jusqu'au jour où, moi, je l'ai fait sans aucunes
subventions, à la force de mes seules mains.
Abrutis, tous ces intellectuels d'internet et de
l'espionnage électronique, qui placent de fausses
annonces commerciales de vente d'objet de
communication, afin de m'attirer à l'extérieur de mon
domicile et voir mes réactions et commentaires avant
ou après l'adoption de lois régissant l'utilisation du
domaine public, comme en matière de stationnement
de véhicules, ou de limitation des libertés sur internet
et des utilisations abusives des géolocalisations,
entre autres.
Abrutis, aussi ces agités du bocal qui n'ont rien
trouvé de mieux que de placer tout mon appartement
sous surveillance afin de me voler toutes mes
créations notamment informatiques ou pouvant
éventuellement déboucher sur des brevets.
Abrutis toujours, tous ceux qui voudraient que je
m'engage publiquement, soit en me présentant aux
prochaines
élections,
municipales
et/ou
européennes. Ou, qui voudraient que je négocie
un accord mafieux avec notre monde judiciaire
pour sortir de mes liquidations judiciaires afin de
leur créer des emplois. Alors même qu'ils ont
conspiré pour me ruiner autrefois.
Et que malgré mes publications, mes appels pour
agir, je n'ai toujours pas reçu un seul message de
soutien, même par internet, ni, bien entendu
financièrement, ni un appui physique ou matériel.
Abrutis ensuite, toujours les mêmes qui, avec des
technologies radiophoniques surveillent mes faits et
gestes au quotidien, mais détraquent aussi mes
objets de transport sensibles dans leurs
programmations de carburation électronique, dans
l'espoir, peut-être, de pouvoir les récupérer pour une
éventuelle réparation rémunérée.
Abrutis, enfin, ces défenseurs de la démocratie
qui n'ont toujours pas compris que la démocratie des
temps modernes, devenue médiatique, est réservée
à une élite de gens ayant les moyens financiers de
se présenter, comme l'ont fait leurs ancêtres Grecs
autoproclamés citoyens libres ; tout comme notre
justice.
Abrutis, tous ces juges qui ne jugent plus mais Abruti, moi-même, de croire toujours et encore
qui entérinent seulement les rapports d'experts dits qu'au bon côté de l'âme humaine m'aveuglant à tout
judiciaires, qui n'appliquent qu'une partie des jamais.
procédures judiciaires, qui sont très souvent juges et Aimé Z le 15 décembre 2013
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parties.