Test Final de Lexique Nom : Prénom : Date

Classe E – Vos clés pour le Sorbonne B2 – Unités 5 – 9
Test Final de Lexique
Nom :
Prénom :
Date :
Exercice 1 : Compréhension orale : Écoutez bien les enregistrements
sonores et répondez aux questions
(pistes 16 & 13)
/25
A/ Épreuve de compréhension orale – questions
1. Cet article concerne :
a. la biographie de Zola
b. un roman de Zola
c. l’écriture de Zola
b. Médan
c. Paris
b. Pépin
c. Pipin
b. Non
c. On ne sait pas
2. Zola habite à :
a. Meudon
3. Le chien de Zola s’appelle :
a. Pinpin
4. Zola fait de la politique :
a. Oui
5. Complétez :
Un des ___________ de Zola consiste en sa force de travail et sa régularité.
6. Zola se lève tous les jours à :
a. 6h
b. 7h
c. 8h
7. Combien de temps dure sa première séance de travail ?
__________________
8. Qu’est-ce qui tient une large place chez Zola ?
________________________________________
9. Pourquoi change-t-il son programme à la fin de sa vie ?
________________________________________
10. Complétez :
Il modifie cet ordre ___________
11. Complétez :
Zola se présente comme un écrivain à la fois minutieux et ___________.
12. Lorsqu’il travaille, Zola d’abord …
________________________________________
13. Ensuite, il se renseigne par …
________________________________________
14. Qui lui donne ses notes ?
__________________
15. Complétez :
Et enfin l’imagination, l’ ___________ plutôt, fait le reste.
1
Classe E – Vos clés pour le Sorbonne B2 – Unités 5 – 9
B/ Discrimination auditive (une seule écoute)
 Première série
1. Le premier événement à noter dans sa vie est / c’est la rencontre
2. En janvier 1844, il les abandonne / abandonne
3. Il fait un long voyage en Orient avec Maxime du / de Camp
4. C’est pendant l’été de / en 1851

Deuxième série
1. Il poursuivra ce travail pendant / durant 56 mois
2. L’œuvre sort en livre et a fait / fait l’objet
3. Flaubert est acquitté / quitté, à la différence de Charles Baudelaire.
4. Il meurt le 8 mai 1880, à / en Canteleu
Exercice 2 : Lisez
questions
attentivement cet extrait et répondez aux
/13 points
Lalla connaît tous les chemins
Le soleil se lève au-dessus de la terre, les ombres s’allongent sur le sable
gris, sur la poussière des chemins. Les dunes sont arrêtées devant la mer. Les
petites plantes grasses tremblent dans le vent. Dans le ciel très bleu, froid, il n’y
a pas d’oiseau, pas de nuage. Il y a le soleil. Mais la lumière du matin bouge un
peu, comme si elle n’était pas tout à fait sûre.
Le long du chemin, à l’abri de la ligne des dunes grises, Lalla marche
lentement. De temps à autre, elle s’arrête, elle regarde quelque chose par terre.
Ou bien elle cueille une feuille de plante grasse, elle s’écrase entre les doigts
pour sentir l’odeur douce et poivrée de la sève. Les plantes sont vert sombre,
luisantes, elles ressemblent à des algues. Quelquefois il y a un gros bourdon doré
sur une touffe de ciguë, et Lalla le poursuit en courant. Mais elle ne s’approche
pas trop près, parce qu’elle a un peu peur tout de même. Quand l’insecte s’envole,
elle court derrière lui, les mains tendues, comme si elle voulait réellement
l’attraper. Mais c’est juste pour s’amuser.
Ici, autour, il n’y a que cela : la lumière du ciel, aussi loin qu’on regarde. Les
dunes vibrent sous les coups de la mer qu’on ne voit pas, mais qu’on entend. Les
petites plantes grasses sont luisantes de sel comme de sueur. Il y a des insectes
çà et là, une coccinelle pâle, une sorte de guêpe à la taille si étroite qu’on la
dirait coupée en deux, une scolopendre qui laisse des traces fines dans la
poussière ; et des mouches plates, couleur de métal, qui cherchent les jambes et
le visage de la petite, pour boire le sel.
Lalla connaît tous les chemins, tous les creux des dunes. Elle pourrait aller
partout les yeux fermés, et elle saurait tout de suite où elle est, rien qu’en
touchant la terre avec ses pieds nus. Le vent saute par instants la barrière des
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dunes, jette des poignées d’aiguilles sur la peau de l’enfant, emmêle ses cheveux
noirs. La robe de Lalla colle sur sa peau humide, elle doit tirer sur le tissu pour le
détacher.
Lalla connaît tous les chemins, ceux qui vont à perte de vue le long des dunes
grises, entre les broussailles, ceux qui font une courbe et retournent en arrière,
ceux qui ne vont jamais nulle part. Pourtant, chaque fois qu’elle marche ici, il y a
quelque chose de nouveau. Aujourd’hui, c’est le bourdon doré qui l’a conduite très
loin, au-delà des maisons des pêcheurs et de la lagune d’eau morte. Entre les
broussailles, un peu plus tard, il y a eu tout d’un coup cette carcasse de métal
rouillé qui dressait ses griffes et ses cornes menaçantes. Puis, dans le sable du
chemin, une petite boîte de conserve en métal blanc, sans étiquette, avec deux
trous de chaque côté du couvercle.
J.-M. G. Le Clézio, Désert, 1980
1. La scène a lieu pendant :
a. le matin
b. le midi
c. l’après-midi
2. Dans les deux premiers paragraphes, trouvez les mots qui appartiennent au
champ lexical du « clair – obscur » :
3. Le vent jette des poignées d’aiguilles signifie …
a. qu’il y a des aiguilles dans le sable
b. qu’elle n’est pas protégée du vent
c. que le sable pique sa peau comme des aiguilles
4. Citez quatre insectes présents dans le texte :
5. Pourquoi les mouches cherchent-elles les jambes et le visage de la fille ?
6. Elle connaît le désert par cœur.
a. Oui
b. Non
c. On ne sait pas
Justification :
7. L’expression « c’est juste pour s’amuser » signifie :
8. « Mais la lumière du matin bouge un peu, comme si elle n’était pas tout à fait
sûre » est une figure de style. Laquelle ?
9. Trouvez un synonyme aux mots proposés en contexte :
a. sûre

b. réellement

c. sueur

d. dunes

10. Expliquez l’expression « à perte de vue » avec vos propres mots :
3
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Exercice 3 : Expression écrite
/12
Vous traiterez un des sujets au choix de 20 à 25 lignes (indiquez le
sujet choisi) :
a. Sujet de discussion : « Lalla est en harmonie avec la nature, loin de toute
« civilisation ». Pensez-vous qu’aujourd’hui nous serions capables de vivre en
pleine nature sans les facilités de notre société civilisée ? »
b. Sujet d’imagination: « Imaginez la suite de l’extrait : Lalla continue son
chemin, et elle rencontre quelqu’un … »
Bonne Chance !!! 
4
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Nom :
Prénom :
Date :
Exercice 1 : Compréhension orale : Écoutez bien les enregistrements
sonores et répondez aux questions
(pistes 16 & 13)
/25
A/ Épreuve de compréhension orale – questions
1. Cet article concerne :
a. la biographie de Zola
b. un roman de Zola
c. l’écriture de Zola
b. Médan
c. Paris
b. Pépin
c. Pipin
b. Non
c. On ne sait pas
2. Zola habite à :
a. Meudon
3. Le chien de Zola s’appelle :
a. Pinpin
4. Zola fait de la politique :
a. Oui
5. Complétez :
Un des atouts de Zola consiste en sa force de travail et sa régularité.
6. Zola se lève tous les jours à :
a. 6h
b. 7h
c. 8h
7. Combien de temps dure sa première séance de travail ?
4 heures
8. Qu’est-ce qui tient une large place chez Zola ?
La lecture et la correspondance
9. Pourquoi change-t-il son programme à la fin de sa vie ?
Pour consacrer plus de temps à ses enfants.
10. Complétez :
Il modifie cet ordre immuable
11. Complétez :
Zola se présente comme un écrivain à la fois minutieux et méthodique.
12. Lorsqu’il travaille, Zola d’abord …
Il se renseigne par lui-même.
13. Ensuite, il se renseigne par …
Les documents écrits, les livres sur la matière, les notes.
14. Qui lui donne ses notes ?
Ses amis
15. Complétez :
Et enfin l’imagination, l’ intuition plutôt, fait le reste.
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Classe E – Vos clés pour le Sorbonne B2 – Unités 5 – 9
B/ Discrimination auditive (une seule écoute)
 Première série
1. Le premier événement à noter dans sa vie est / c’est la rencontre
2. En janvier 1844, il les abandonne / abandonne
3. Il fait un long voyage en Orient avec Maxime du / de Camp
4. C’est pendant l’été de / en 1851

Deuxième série
1. Il poursuivra ce travail pendant / durant 56 mois
2. L’œuvre sort en livre et a fait / fait l’objet
3. Flaubert est acquitté / quitté, à la différence de Charles Baudelaire.
4. Il meurt le 8 mai 1880, à / en Canteleu
Exercice 2 : Lisez
questions
attentivement cet extrait et répondez aux
/13 points
Lalla connaît tous les chemins
Le soleil se lève au-dessus de la terre, les ombres s’allongent sur le sable
gris, sur la poussière des chemins. Les dunes sont arrêtées devant la mer. Les
petites plantes grasses tremblent dans le vent. Dans le ciel très bleu, froid, il n’y
a pas d’oiseau, pas de nuage. Il y a le soleil. Mais la lumière du matin bouge un
peu, comme si elle n’était pas tout à fait sûre.
Le long du chemin, à l’abri de la ligne des dunes grises, Lalla marche
lentement. De temps à autre, elle s’arrête, elle regarde quelque chose par terre.
Ou bien elle cueille une feuille de plante grasse, elle s’écrase entre les doigts
pour sentir l’odeur douce et poivrée de la sève. Les plantes sont vert sombre,
luisantes, elles ressemblent à des algues. Quelquefois il y a un gros bourdon doré
sur une touffe de ciguë, et Lalla le poursuit en courant. Mais elle ne s’approche
pas trop près, parce qu’elle a un peu peur tout de même. Quand l’insecte s’envole,
elle court derrière lui, les mains tendues, comme si elle voulait réellement
l’attraper. Mais c’est juste pour s’amuser.
Ici, autour, il n’y a que cela : la lumière du ciel, aussi loin qu’on regarde. Les
dunes vibrent sous les coups de la mer qu’on ne voit pas, mais qu’on entend. Les
petites plantes grasses sont luisantes de sel comme de sueur. Il y a des insectes
çà et là, une coccinelle pâle, une sorte de guêpe à la taille si étroite qu’on la
dirait coupée en deux, une scolopendre qui laisse des traces fines dans la
poussière ; et des mouches plates, couleur de métal, qui cherchent les jambes et
le visage de la petite, pour boire le sel.
Lalla connaît tous les chemins, tous les creux des dunes. Elle pourrait aller
partout les yeux fermés, et elle saurait tout de suite où elle est, rien qu’en
touchant la terre avec ses pieds nus. Le vent saute par instants la barrière des
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Classe E – Vos clés pour le Sorbonne B2 – Unités 5 – 9
dunes, jette des poignées d’aiguilles sur la peau de l’enfant, emmêle ses cheveux
noirs. La robe de Lalla colle sur sa peau humide, elle doit tirer sur le tissu pour le
détacher.
Lalla connaît tous les chemins, ceux qui vont à perte de vue le long des dunes
grises, entre les broussailles, ceux qui font une courbe et retournent en arrière,
ceux qui ne vont jamais nulle part. Pourtant, chaque fois qu’elle marche ici, il y a
quelque chose de nouveau. Aujourd’hui, c’est le bourdon doré qui l’a conduite très
loin, au-delà des maisons des pêcheurs et de la lagune d’eau morte. Entre les
broussailles, un peu plus tard, il y a eu tout d’un coup cette carcasse de métal
rouillé qui dressait ses griffes et ses cornes menaçantes. Puis, dans le sable du
chemin, une petite boîte de conserve en métal blanc, sans étiquette, avec deux
trous de chaque côté du couvercle.
J.-M. G. Le Clézio, Désert, 1980
1. La scène a lieu pendant :
a. le matin
b. le midi
c. l’après-midi
2. Dans les deux premiers paragraphes, trouvez les mots qui appartiennent au
champ lexical du « clair – obscur » :
Soleil, ombres, gris, lumière, grises, vert sombre, luisantes
3. Le vent jette des poignées d’aiguilles signifie …
a. qu’il y a des aiguilles dans le sable
b. qu’elle n’est pas protégée du vent
c. que le sable pique sa peau comme des aiguilles
4. Citez quatre insectes présents dans le texte :
Un bourdon, une coccinelle, une guêpe, une scolopendre, des mouches
5. Pourquoi les mouches cherchent-elles les jambes et le visage de la fille ?
Parce que ce sont les seuls endroits découverts ; où il n’y a pas d’habits.
6. Elle connaît le désert par cœur.
a. Oui
b. Non
c. On ne sait pas
Justification : Elle pourrait aller partout les yeux fermés.
7. L’expression « c’est juste pour s’amuser » signifie :
Ce n’est pas pour de vrai, elle fait semblant.
8. « Mais la lumière du matin bouge un peu, comme si elle n’était pas tout à fait
sûre » est une figure de style. Laquelle ?
C’est une comparaison.
9. Trouvez un synonyme aux mots proposés en contexte :
a. sûre

certaine
b. réellement

vraiment
c. sueur

transpiration
d. dunes

collines
10. Expliquez l’expression « à perte de vue » avec vos propres mots :
Jusqu’à ce qu’on ne puisse plus voir, très loin.
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Classe E – Vos clés pour le Sorbonne B2 – Unités 5 – 9
Exercice 3 : Expression écrite
/12
Vous traiterez un des sujets au choix de 20 à 25 lignes (indiquez le
sujet choisi) :
a. Sujet de discussion : « Lalla est en harmonie avec la nature, loin de toute
« civilisation ». Pensez-vous qu’aujourd’hui nous serions capables de vivre en
pleine nature sans les facilités de notre société civilisée ? »
b. Sujet d’imagination: « Imaginez la suite de l’extrait : Lalla continue son
chemin, et elle rencontre quelqu’un … »
Réponse libre
Bonne Chance !!! 
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